• Polishing our window to the world | Panethos

    https://panethos.wordpress.com/2015/05/14/polishing-our-window-to-the-world

    Detroit Metropolitan Airport is very impressive to anyone who arrives there by aircraft. Both the McNamara Terminal and the North Terminal are bright, shiny, modern, busy, welcoming, and clean. The same cannot be said for those arriving by car or once passengers leave the airport grounds and access I-94 from Merriman Road (see map below). The interchange is a boring, outdated, decrepit, pot-hole filled dodgem course that rattles one’s bones down to their very core. It certainly is NOT welcoming.

    #urban_matter #dfs #aéroports #aménagement_urbain

  • Usages de la #mémoire dans les projets de #renouvellement_urbain. Le cas des #espaces_hérités de l’#industrie_française

    Les projets de renouvellement #urbain sur des espaces hérités de l’#industrie constituent des #lieux d’observation privilégiés pour saisir les processus d’actualisation, de sélection et de transmission de mémoires. Considérant ces processus dans cinq villes françaises (#Saint-Etienne, #Nantes, #Clermont-Ferrand, #Givors et #Saint-Chamond), cet article interroge les différents contextes de mobilisation de la mémoire dans les #projets_urbains et invite à envisager ce qui pourrait justifier et construire des catégories générales à même d’instruire la comparaison, voire d’organiser une #typologie, ayant trait aux usages politiques et sociaux de la mémoire dans les projets d’#aménagement_urbain.

    http://articulo.revues.org/2464
    #ville #France

    • Le Rize de Villeurbanne tout comme cet article me semble typiques d’une intelligentsia culturelle qui, utilisant des concepts universitaires un peu verbeux pour parler du monde ouvrier ou de ce qu’il en reste, ne fait qu’accentuer la séparation qu’elle semble pourtant dénoncer.

      Derrière le jargon fumeux, le Rize est en fait un établissement municipal assez classique : une médiathèque, un lieu d’expo et les archives municipales. La dernière fois que j’y suis passé, il y avait une expo sur l’implantation religieuse dans la ville. Ce qui m’a frappé c’est qu’il n’y avait aucun lien entre la salle d’expo et les collections de la médiathèque. Aucune sélection de livres à emprunter provenant de la médiathèque ne venaient appuyer l’expo, c’était pourtant la moindre des choses étant donné l’ambition affichée du lieu. Le Rize est situé non loin de la médiathèque centrale de la ville et n’est pas du tout implanté dans un quartier laissé pour compte.

      Ce que pointe l’auteur est tout à fait vrai : il y a une sorte de mise en spectacle du monde ouvrier pour mieux acter de sa disparition. Mais heureusement, on nous informe de :

      la mise place d’un groupe informel, à l’initiative du directeur du Rize, regroupant outre lui-même, la responsable des expositions du Rize, une chargée de mission du service de l’urbanisme, une chercheure à l’inventaire du patrimoine, un président d’association et l’auteur de ces lignes. Ce groupe s’est emparé de la question du patrimoine villeurbannais, dans le contexte de révision du PLU-H, considérant qu’elle ne pouvait être traitée indépendamment de la question mémorielle et devait être mise en débat.

      Comme dans tous ces projets à saveur « participative » l’initiative part du haut, d’une élite qui maîtrise les « concepts » et rien n’est spontané. Il semblerait à la lecture de cet article que Villeurbanne soit une ville dortoir où les habitants complètement passifs sont sommés de se réveiller pour « participer » enfin aux grandioses initiatives des technocrates locaux. Où est l’éducation populaire ? Où est le lien ne serait-ce qu’avec les organisations syndicales locales qui ont bien sûr une mémoire mais qui sont encore bien vivantes ? À Villeurbanne comme à d’autres endroits, c’est une sorte de nomenklatura municipale qui prétend tout incarner. Et lorsque des initiatives plus alternatives comme par exemple le squat politique Le Boulon rue Verlaine se mettent en place, elles sont virées manu-militari.

  • Nouveaux lieux de loisirs marchands à Beyrouth : poursuite du renouvellement urbain du centre-ville aux périphéries avec un nouveau mall dans le Metn et l’ouverture d’un vaste complexe de cinéma dans le centre-ville
    Plans announced for region’s first luxury outlet mall in Metn | Culture , Lifestyle | THE DAILY STAR
    http://dailystar.com.lb/Culture/Lifestyle/2013/Dec-18/241490-plans-announced-for-regions-first-luxury-outlet-mall-in-metn.as

    Another luxury mall is slated to open in the Alissar area of Metn in spring 2016, Lebanese developer SIDCOM announced Monday.

    Centerfalls shopping mall will offer 72,000 square meters of retail space and will include the region’s first designer outlets with discounted prices on luxury brands between 30 percent and 70 percent, according to a news release announcing the plans Monday.

    Centerfalls may even rival the Gulf’s enormous luxury malls, as SIDCOM is boasting the largest range of restaurants and personal services “ever seen in a mall.”

    CinemaCity at the Souks makes splashy debut in Downtown

    http://dailystar.com.lb/Culture/Lifestyle/2013/Dec-19/241597-cinemacity-at-the-souks-makes-splashy-debut-in-downtown.ashx#ix
    http://dailystar.com.lb/dailystar/Pictures/2013/12/18/234387_mainimg.jpg

    Lebanon’s largest cinema opened Wednesday evening in Beirut Souks, bringing moviegoers back to Downtown for the first time since war razed the thriving picture scene in the heart of Beirut.

    [...]

    The three-flour, 12,000 square meter complex houses 2,200 seats across 14 auditoriums – 12 regular cinemas and two Gold Plus VIP theaters. Two auditoriums house supersize screens 18.5 meters wide.

    CinemaCity at the Souks was a $25 million joint project between Solidere, Atassi and Mario Haddad, owner of Empire.

    The new cinema is the region’s largest, Atassi said.

    The area around Downtown’s Martyrs’ Square used to house half-a-dozen movie theaters, including iconic buildings such as the Rivoli, located in what is now a dusty parking lot, and the Opera Cinema, a historic facade that today houses Virgin Megastore. A few skeletons still remain of Downtown’s entertainment hub, like the theater near Riad al-Solh and the Egg, the bullet-ridden, dome-shaped carcass of a modernist, 1,000-seat cinema built in the 1960s.

    Solidere put considerable effort into the structure of the new theater and sought to make the complex an iconic addition to the Souks. The giant copper building is lined on two sides with LED screens that will play moving images. The electronic facade will act as decor rather than advertising space, Atassi assured.

    [...]

    During Beirut’s reconstruction in the ’90s, cinemas reopened around the capital and its suburbs that were for the most part embedded in shopping malls. Today, there are around 16 cinemas across the country, less than half of them freestanding theaters.

    During the heydays of Beirut’s theaters, matinees were popular fare as the venues drew in early foot traffic from Downtown and university students playing hooky.

    [...]

    The opening was long-awaited. Plans for a Souk theater and restaurant complex began in 2004, and it has been under construction since 2010. CinemaCity advertised its opening date earlier this month, but then postponed the soft opening until Thursday – though movies played Wednesday.

    #Beyrouth
    #mall
    #cinéma
    #immobilier
    #loisirs