• Makhno contre l’antisémitisme (3)
    http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#makhno3

    A la mort de Makhno, à 46 ans, « Le Libertaire » consacra la presque totalité de son numéro du 3 août 1934 pour lui rendre hommage, revenant sur les épisodes de sa vie, ses combats et ses apports... Un article de Voline, « Aux calomniateurs », revenait sur les accusations de pogroms, apportant de nouveaux éléments. Il est à noter que l’auteur, lui-même d’origine juive et ayant participé à la Makhnovchtchina, a depuis le début soutenu Makhno malgré leurs différends personnels et leurs choix organisationnels opposés...

    #libertaire #Makhno #Ukraine #pogrom #antisémitisme #Russie #Voline #anarchisme #juif

  • Les réfractaires depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie (13ème partie • avril 2024)
    https://www.obsarm.info/spip.php?article648

    Depuis octobre 2022, Guy Dechesne recense longuement les actes de désertion, d’insoumission, de désobéissance et d’exil posés pour refuser de combattre, les actions de désobéissance civiles pour entraver la guerre et les appuis que les réfractaires reçoivent tant dans les pays concernés qu’à l’étranger dans le prolongement d’un dossier paru dans le numéro 164-165 de « Damoclès ». Cette rubrique est rédigée à partir d’un suivi méticuleux des médias. 13ème épisode, avril 2024. Retrouvez (...) #Résistances

    / #Guerres, #Actions_contre_la_guerre, #Antimilitarisme, #La_deux

  • « Pressentiments, sentiments et ressentiments antifrançais : itinéraire
    d’un passé qui ne passe pas »
    El Hadj Souleymane Gassama (Elgas) - Journaliste, docteur en sociologie et chercheur associé à l’IRIS.
    Extraits de la revue de l’IRIS - printemps 2024
    https://drive.google.com/file/d/19fofUU-lfVozuoB4TXUnzNcXISaoK4DB/view


    #françafrique #décolonisation #antifrançais

  • Defences Down ! ClamTk is No Longer Maintained
    https://www.omgubuntu.co.uk/2024/04/clamtk-is-no-longer-maintained

    It’s always sad to see a long-standing bit of open-source software put itself out to pasture (a euphemism for going way of the dodo, which is a metaphor becoming extinct or obsolete – which is a lengthy way to open a post). A few weeks back the iconic IRC client Hexchat announced it is no longer under active development, citing a lack of manpower and will. This week the developer of ClamTk announced it is no longer maintained. The seemingly sole dev has chosen to step away for a mix of personal, technical, and modernity-related reasons, adding: – “My goals […] You’re reading Defences Down! ClamTk is No Longer Maintained, a blog post from OMG! Ubuntu. Do not reproduce elsewhere without (...)

    #News #antivirus #ClamAV #Graveyard

  • Juive et antisioniste : Portrait de Sarah Katz
    https://bascules.blog/2024/04/07/juive-et-antisioniste-portrait-de-sarah-katz

    L’antisémitisme, c’est un crime, mais l’antisionisme, c’est un devoir. Malgré les menaces qu’elle a reçues, cette femme juive est engagée envers la cause palestinienne depuis des années, contre les crimes commis par Israël et pour une Palestine libre. Ou quand l’histoire n’est pas racontée par une minorité dominante et inhumaine…

    #Antisémitisme #Antisionisme #Colonialisme #Histoire #Humanité #Impérialisme
    https://2.gravatar.com/avatar/2cef04a2923b4b5ffd87d36fa9b79bc27ee5b22c4478d785c3a3b7ef8ab60424?s=96&d=

  • Massacre de Thiaroye
    http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#thiaroye

    Alors que la France est libérée de l’occupation allemande, des soldats français vont tuer des dizaines – peut-être des centaines ? – d’autres militaires français. Cela se passe au Sénégal, au camp de Thiaroye, près de Dakar, le 1er décembre 1944. L’émission « Affaire sensible » de France Inter est revenue sur ce massacre avec l’historienne Armelle Mabon et tente de répondre à des questions toujours en suspens quatre-vingts ans après...

    #Sénégal #antimilitarisme #Thiaroye #France #libertaire

  • Un tag antisémite à Fléron

    Nous avons appris via le CCOJB qu’une maison pour personnes âgées survivantes du judéocide à Fléron (Province de Liège) a été victime d’un tag haineux antisémite.

    Imputer aux Juif·ves la responsabilité des atrocités commises en Palestine, et en particulier à Gaza, par l’État israélien et son armée, c’est de l’antisémitisme.

    Essayer d’identifier des Juifs aux nazis parce qu’ils sont Juifs, c’est de l’antisémitisme.

    Le fétichisme de l’imagerie nazie pour critiquer le sionisme, c’est de l’antisémitisme.

    Tagger des croix gammées sur des lieux juifs, c’est de l’antisémitisme.

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2023/11/20/lantisemitisme-nous-regarde-combattons-le-partout-tout-le-temps/#comment-60605

    #racisme #antisemitisme

  • Makhno contre l’antisémitisme (2)
    http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#makhno2

    Le procès de Samuel Schwartzbard qui a abattu le 25 mai 1926 le dirigeant nationaliste ukrainien Symon Petlioura, l’accusant d’être antisémite et responsable de nombreux pogroms, s’ouvre le 16 octobre 1927 à Paris. « L’Humanité » du lendemain en profite pour accuser sans preuve Nestor Makhno. Le 21 octobre, sous la plume de Pierre Odéon, « Le Libertaire » lui répond et apporte des précisions...

    #Libertaire #anarchisme #Makhno #pogrom #antisémitisme #L'Humanité #PartiCommuniste #Ukraine #Russie #RévolutionRusse

  • En hommage à Maryse Condé (1934-2024), écrivaine guadeloupéenne, prix Nobel alternatif de littérature en 2018, je poste cet entretien accordé au quotidien LIbération en 1997. Le passage sur les appropriations et usages de la « langue coloniale » est particulièrement intéressant et à mettre en perspective avec, par exemple, les analyses de Kateb Yacine (1929-1989).

    Maryse Condé, Antilles mutantes
    https://www.liberation.fr/livres/1997/09/18/maryse-conde-antilles-mutantes_214339

    Née à Pointe-à-Pitre, romancière et professeure de littérature à l’université de Columbia, Maryse Condé est sortie de la traditionnelle opposition créole-français en cannibalisant, pour la faire sienne, la langue coloniale. Entretien.
    par Claire Devarrieux, publié le 18 septembre 1997.

    Les fictions qui traitent d’un secret familial sont généralement conçues pour l’élucider. Dans Desirada, son dixième roman, Maryse Condé approfondit au contraire le mystère, le construit comme un monstrueux fardeau de mensonges, ou de demi-vérités, dont l’héroïne choisira de se détourner. Qui était son père ? Elle est née d’un viol. Sa mère et sa grand-mère donnent des versions opposées. Ni l’une ni l’autre n’ont eu d’amour maternel à transmettre, c’est un manque glaçant qui gagne le livre peu à peu, alors qu’il avait commencé dans la chaleur de l’enfance. Desirada (la Désirade est une petite île des Antilles, dépendant de la Guadeloupe) entrecroise les lignes de force de destins féminins, comme la plupart des nouvelles de Pays mêlés. C’est surtout le tableau d’une diaspora. On y rencontre à Paris des enfants d’Haïtiens émigrés à Cuba, une Russe égarée en Haute-Guinée, un musicien né à Londres de parents qui venaient de Trinidad. L’héroïne épouse le musicien, le suit en Amérique où il voudrait imposer sa propre « symphonie du Nouveau Monde ». Un personnage optimiste ­ ce que n’est pas tout à fait le livre, bien qu’il soit parcouru d’un grand vent de liberté ­ dit : « Personne ne veut entendre que les immigrés ne sont pas des damnés. Ils sont le sel de la terre ainsi que la lumière du monde. » Maryse Condé est née Maryse Boucolon en 1937 à Pointe-à-Pitre. Sa mère était enseignante, son père travaillait dans une banque. Après son bac, elle a été ravie de partir étudier en France, à Fénelon, puis à la Sorbonne. Elle a publié son premier roman en 1976, après avoir longtemps vécu en Afrique, sans laquelle elle dit qu’elle ne serait pas devenue écrivain, et où elle a puisé la matière de Ségou, son plus grand succès. Elle vit depuis douze ans à New York, où elle enseigne la littérature à l’université de Columbia. Son oeuvre n’est pas autobiographique. Ni insulaire.

    Le message de « Desirada » est-il qu’il faut arracher ses racines pour être libre ?

    Oui, en un sens. Nous, Antillais, on nous demande toujours de nous définir par rapport à nos racines. Je crois qu’il est grand temps de dire : ça n’a pas tellement d’importance, l’endroit d’où nous venons, ce qui compte c’est le peuple que nous sommes devenu, ce que nous avons aujourd’hui comme culture à présenter au reste du monde. Je crois qu’il faut cesser cette quête traumatisante des racines, et puis essayer de vivre au présent. Ce n’est pas facile.

    Pourquoi avez-vous écrit des Guadeloupéens qu’« ils ne survivraient pas à l’arrivée du troisième millénaire » ?

    Nous ne survivrons pas tels que nous avons été. Avec Maastricht, avec l’ouverture des frontières, le fait que les Européens peuvent venir s’installer comme ils veulent, le fait que privés de travail nous sommes obligés de partir à l’étranger de plus en plus loin pour chercher à survivre, la composition de la Guadeloupe change énormément. Entre la Guadeloupe que ma grand-mère a connue, même pas, que ma mère a connue, et la Guadeloupe d’aujourd’hui, l’écart est considérable.

    Il ne reste rien de votre enfance ?

    Pas grand-chose. Des lieux, des bribes. La maison : disparue. La famille : dispersée. L’endroit où je passais les vacances a été coupé en deux par une nouvelle route, un côté a été bâti, et de l’autre côté reste le vieux pont sur lequel je jouais, au-dessus d’une petite rivière qu’on appelait la Sarcelle. Ça me paraît un symbole. Maintenant cette route est abandonnée, elle a été remplacée par une déviation. Voyez, tout le paysage dans lequel j’ai grandi a disparu, c’est un peu l’impression que j’ai quand je retourne en Guadeloupe, ce n’est pas nous qui générons le changement, il est décidé par les institutions en place, même physiquement le pays nous échappe.

    Où en êtes-vous avec la politique ?

    J’étais, d’une façon peut-être un peu idéale, pour l’indépendance de la Guadeloupe. Je ne me suis pas assez engagée parce que, avant tout, je voulais écrire. Or, je crois que la politique est une chose qu’on fait à plein temps. Il m’aurait fallu me lancer vraiment dans le combat, et à cause de ce manque de décision, finalement je n’ai pas été capable d’influer sur le statut guadeloupéen. Alors, je suis un peu en retrait. La cause demeure, mais étant donné qu’on n’a pas su la défendre au moment où il fallait, il faut maintenant essayer de gérer l’échec, de le transformer. On n’a pas pu mener la Guadeloupe à l’indépendance, faisons-nous une raison, voyons comment, dans la situation actuelle, on peut quand même préserver un minimum d’indépendance culturelle, d’indépendance spirituelle, puisque sur le plan économique et politique, on a complètement échoué. Ce n’est pas très gai comme constat. Mais c’est la sagesse. Le problème de l’indépendance ne se pose plus comme en 1960.

    Et avec la langue française ?

    Il y a une sorte de dichotomie dans la littérature antillaise. On vous dit : le français est la langue de la colonisation, et le créole, c’est la langue maternelle, plus vous êtes proche de la langue maternelle, plus vous êtes authentique. D’abord, je ne sais pas très bien ce que veut dire authentique, il n’y a pas de norme. Deuxièmement, il y a possibilité de pervertir le français tel que le colonisateur a voulu nous l’imposer. Une langue, c’est quelque chose qu’on refait à son image. Quand je parle français, c’est un français que j’ai cannibalisé, réinterprété avec mon histoire, avec mon ethnicité, mon expérience particulière, ce n’est pas la langue coloniale, c’est devenu la mienne. Enfin, je crois que pour un écrivain, toutes les langues sont des langues étrangères qu’il lui faut déconstruire. Il lui faut trouver sa propre voix avec des mots imposés par la société. La dichotomie créole/français est terriblement simpliste, elle a un air comme ça politique, révolutionnaire, en fait elle ne s’appuie pas sur la réalité de l’ambiguïté de l’utilisation d’une langue par le locuteur, et sur le problème que pose la langue en général à celui qui écrit.

    Ne pas écrire systématiquement sur les Antilles vous éloigne des écrivains antillais ?

    La littérature antillaise parle des lieux qu’elle considère comme antillais, de la terre (le Martiniquais parle de la terre martiniquaise, le Guadeloupéen de la terre guadeloupéenne). Elle fait l’inventaire de ce que nous possédons, c’est très bien, mais elle oublie qu’il y a davantage de Guadeloupéens et de Martiniquais en dehors de la région que dans la région elle-même. Il y a d’énormes communautés d’Antillais aux Etats-Unis, en Europe, partout, est-ce qu’il faut exclure ces gens-là de la littérature antillaise ? Il faut au contraire s’intéresser à ceux qui créent à l’extérieur, parce que, étant donné qu’ils sont constamment confrontés avec l’Autre, ils ont toujours à se redéfinir ou à se définir comme Antillais. On ne sait pas très bien ce que c’est. Mais on sait absolument qu’on est différent des autres, et c’est ça qu’on cultive.
    Qu’est-ce qui vous fait le plus plaisir, que Derek Walcott et Toni Morrison aient le prix Nobel, ou que Patrick Chamoiseau ait le Goncourt ?

    Ça me fait plaisir pour eux parce que je les aime bien tous les trois ­ Patrick est un vieux copain­, mais je ne peux pas dire que j’éprouve un sentiment de fierté régionale ou raciale. Je crois que j’en ai fini avec ça. Ce qui est important c’est qu’en tant qu’écrivains ils soient couronnés. Ce n’est pas parce qu’ils sont antillais, ou qu’elle est une femme noire, que je me sens plus heureuse.
    Vous sentez-vous plus proches des écrivains femmes que des écrivains hommes ?

    Non. Pas du tout. J’aime beaucoup Edwidge Danticat. Elle a 26 ans, elle écrit en anglais, sur Haïti, à Brooklyn. Je vois là une nouvelle génération de la littérature antillaise. Je me sens pas proche d’elle parce que c’est une femme. Je n’ai pas ce genre de considération. J’enseigne la littérature féminine, mais pour une raison, je dirais, pédagogique, parce qu’elle est moins connue. Il y a une espèce de silence, on parle toujours des hommes, c’est agaçant à la fin, toujours, toujours les mêmes. C’est bizarre que ça résiste comme ça en cette fin du XXe siècle, où on pourrait penser que le monde est plus ouvert. Et puis j’enseigne aussi des hommes, comme Raphaël Confiant. Je ne divise pas en catégories.

    Parmi les amis écrivains que je fréquente à New York, il y a Caryl Phillips, qui vient d’Antigua, il y a Antonio Benites-Rojo, qui vient de Cuba. On a les mêmes intérêts, on cherche à dire la même chose, on a la même expérience de ce qu’on appelle exil, déracinement. Ce n’est pas basé sur des affinités de langue, l’un est anglophone, l’autre espagnol, ce n’est pas basé sur des affinités de sexe, puisque ce sont des hommes, c’est basé sur des affinités littéraires, une façon de concevoir le travail d’écrivain. Tous les trois, nous sommes d’avis que la littérature antillaise ne peut être confinée à la production insulaire, qu’elle a largement débordé la frontière des îles. Nous essayons de faire entrer dans l’expérience antillaise celle de toutes les communautés éparses à extérieur. De trouver une voix qui soit complexe, qui mêle les influences traditionnelles et ce changement auxquels nous sommes confrontés à tous les instants de notre vie. Nous sommes un peu des mutants, il faut tenir compte en littérature de ces mutations. Je sais que les Antillais n’aiment pas ça, ils préfèrent les écrivains qui les confortent, leur fait croire que leur société n’a pas tellement changé. Nous qui voulons trop les tourner vers l’avenir, vers ce qui va arriver, il est certain que ça les déconcerte un peu, ils préfèrent une littérature plus régionale. Et régionaliste.

    Maryse Condé, Desirada , Robert Laffont, 282 pp., 129F. Pays mêlés . Même éditeur, 222 pp., 129F.

    #écriture #langues #colonisation #Antilles #Guadeloupe

  • La boussole du #don
    https://laviedesidees.fr/La-boussole-du-don

    Contestant les anthropologies de l’égoïsme possessif, Philippe Chanial reprend le paradigme du don pour étayer les logiques de solidarité et relativiser l’emprise de la domination et de l’exploitation. À propos de : Philippe Chanial, Nos généreuses réciprocités. Tisser le monde commun, Actes Sud

    #Philosophie #anthropologie #sociologie #exploitation #Double_Une
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20240402_chanial.docx
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20240402_chanial.pdf

  • L’antisionisme est-il forcément un antisémitisme ?
    Samedi 30 mars 2024 | En quête de politique | France-Inter | Thomas Legrand
    https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/en-quete-de-politique/en-quete-de-politique-du-samedi-30-mars-2024-7417023

    Peut-on être antisioniste sans être antisémite ? Le conflit en Israël a-t-il ressuscité un nouvel antisémitisme déguisé en antisionisme ? La question se pose dans le débat public depuis la création de l’état d’Israël et donc bien avant la vague islamiste des années 90.
    Avec

    Shlomo Sand Historien israélien spécialisé dans l’histoire contemporaine
    Eva Illouz Sociologue
    Pierre Stambul Auteur
    René Guez Militant

    Que revêt aujourd’hui cet « isme » qui provoque encore tant de controverses et de débats ?

    #Antisionisme

  • Le blanchiment des Juifs européens et l’utilisation abusive de la mémoire de la Shoah

    Il est aujourd’hui difficile de considérer les Juifs européens comme non blancs. Le mantra selon lequel la très blanche « civilisation occidentale » serait « judéo-chrétienne » est devenu si omniprésent qu’il a acquis le statut d’un préjugé commun, digne du Dictionnaire des idées reçues de Gustave Flaubert. Ce même mantra a été fortement renforcé ces derniers temps par la façon dont les gouvernements occidentaux, à commencer par l’administration américaine de Joe Biden, ont soutenu inconditionnellement le gouvernement israélien d’extrême droite de Benyamin Netanyahou dans les représailles au centuple qu’il a lancées contre la bande de Gaza, causant la mort d’un très grand nombre d’habitants, dont une proportion terrifiante d’enfants, ainsi que la dévastation de la majeure partie du territoire de l’enclave et le déplacement de la grande majorité des survivants – tout cela en prétendant hypocritement se soucier de la nécessité d’épargner les civils. Ce soutien inconditionnel découle d’une identification occidentale avec les Israéliens face à l’attentat du 7 octobre 2023 fort semblable à la « compassion narcissique » des Européens envers les Américains face aux attentats du 11 septembre 2001. J’ai décrit cette dernière il y a 22 ans comme un genre de compassion « qui s’émeut beaucoup plus des calamités qui frappent les semblables que de celles des populations dissemblables »[1].

    https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2024/03/31/le-blanchiment-des-juifs-europeens-et-lutilisa

    #international #antisémitisme

  • Subcontractors of Guilt: Holocaust Memory and Muslim Belonging in Postwar Germany
    https://www.sup.org/books/cite/?id=34868

    Author(s): Esra Özyürek
    Publisher: Stanford University Press, Year: 2023
    ISBN: 9781503635579

    Description:

    At the turn of the millennium, Middle Eastern and Muslim Germans had rather unexpectedly become central to the country’s Holocaust memory culture—not as welcome participants, but as targets for re-education and reform. Since then, Turkish- and Arab-Germans have been considered as the prime obstacles to German national reconciliation with its Nazi past, a status shared to a lesser degree by Germans from the formerly socialist East Germany. It is for this reason that the German government, German NGOs, and Muslim minority groups have begun to design Holocaust education and anti-Semitism prevention programs specifically tailored for Muslim immigrants and refugees, so that they, too, can learn the lessons of the Holocaust and embrace Germany’s most important postwar democratic political values.

    Based on ethnographic research conducted over a decade, Subcontractors of Guilt explores when, how, and why Muslim Germans have moved to the center of Holocaust memory discussions. Esra Özyürek argues that German society “subcontracts” guilt of the Holocaust to new minority immigrant arrivals, with the false promise of this process leading to inclusion into the German social contract and equality with other members of postwar German society. By focusing on the recently formed but already sizable sector of Muslim-only anti-Semitism and Holocaust education programs, this book explores the paradoxes of postwar German national identity.

    #Allemagne #antisemitisme #racisme #propagande

  • Makhno contre l’antisémitisme (1)
    http://anarlivres.free.fr/pages/nouveau.html#makhno

    Nous entamons avec cet article le premier d’une série de trois qui présenteront les « fakes news » du gouvernement soviétique contre Nestor Makhno, l’accusant d’antisémitisme et d’avoir organisé des pogroms en Ukraine.
    L’invasion de l’Ukraine par les troupes russes en février 2022 a remis en mémoire les pogroms qui se sont déroulés dans cette région de 1917 à 1921. D’un côté, la redécouverte et le sacre du « héros national ukrainien » Symon Petlioura, coupable pour le moins d’avoir toléré des massacres contre les communautés juives ; de l’autre, la propagande poutinienne dénonçant l’« antisémitisme atavique » des Ukrainiens. Après la révolution de février, le nouveau gouvernement bolchevik doit faire face à de nombreux ennemis, tant internes qu’externes...

    #Makhno #antisémitisme #Ukraine #pogrom #Russie #RévolutionRusse #anarchisme #libertaire

  • Why a Diaspora Alliance?
    https://diasporaalliance.co

    In recent years, we have watched antisemitic rhetoric and violence increase – while political leaders and movements around the world have wielded bad faith accusations of antisemitism to promote authoritarian, racist, and misogynist polices and politics, and attack and attempt to silence Palestinians and their allies.

    Those instrumentalizing antisemitism are doing the opposite of what they purport to do: instead of offering safety, they isolate Jews and leave us vulnerable to real antisemitism; instead of promoting justice, they undermine the projects of democracy and social justice that our collective future on this planet depend on.

    We are united in our commitment to building a world where everyone has what they need to thrive. We know the future of Jewish communities is inextricably linked to the future and well being of all communities, especially those who are uprooted, displaced, and scapegoated—and that is why we chose to be a Diaspora Alliance.

    Beyond the Dichotomy: Disentangling Antisemitism and Anti-Zionism
    https://diasporaalliance.co/wp-content/uploads/2024/02/DA-UK-Response_-LFI_Antisemitic-Antizionism-Response-.pdf

    IHRA Explainer and Messaging
    https://diasporaalliance.co/wp-content/uploads/2023/11/IHRA-Explainer-and-Messaging.pdf

    International Advisory Board

    Alon Confino, Professor of History and Jewish Studies, University of Massachusetts Amherst (US/Israel)
    Amos Goldberg, The Hebrew University of Jerusalem (Israel)
    Anita Altman, Founder, ReelAbilities Festival (US)
    Avraham (Avrum) Burg, Author, Former Speaker of the Knesset (Israel)
    Anselm Franke, Zurich University of Arts (Germany/Switzerland)
    Barbara Kane, Psychoanalyst and Author (US)
    Barrie Kosky, Opera and Theater Director (Germany)
    Rabbi Becky Silverstein (US)
    Benjamin Seroussi, Artistic Director, Casa do Povo (Brazil)
    Dania Rajendra (US)
    Daniel Levy, US/Middle East Project (UK/US)
    David Feldman, Director, Birkbeck Institute for the Study of Antisemitism, University of London (UK)
    Eva Illouz, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (France)
    Eva Menasse, Novelist and Essayist (Germany)
    Francesca Klug, Human Rights Academic and Activist (UK)
    Heidi Grunebaum (South Africa)
    Jessy Tolkan, Founder and President, The Driver Agency (US)
    Jelena Subotic, Professor of Political Science, Georgia State University (US)
    Kathleen Peratis, Co-chair, Jewish Currents (US)
    Layla Al-Zubaidi (Germany)
    Leah Greenberg, Co-Executive Director, Indivisible (US)
    Libby Lenkinski, New Israel Fund (US/Israel)
    Lila Corwin Berman, Professor of History, Temple University (US)
    Marianne Hirsch, Professor, Columbia University (US)
    Max Kenner, Executive Director, Bard Prison Initiative (US)
    Michael Rothberg, Professor, University of California, Los Angeles (US)
    Natasha Josette, Director, Breathe (UK)
    Omri Boehm, Professor, New School for Social Research (US/Israel/Germany)
    Peter Beinart, Professor, City University of New York (US)
    Rabbi Rachel Kahn-Troster (US)
    Rachel E. Luft, Associate Professor, Seattle University (US)
    Rachel Shabi, Journalist and Author (UK)
    Dr. Santiago Slabodsky, Kaufman Chair in Jewish Studies, Hofstra University (US)
    Shahanna McKinney Baldon (US)
    Simone Susskind, Former Member, Brussels Parliament and the Federal Senate (Belgium)
    Stefanie Schüler-Springorum, Center for Research on Antisemitism, Berlin (Germany)
    Susan Neiman, Einstein Forum (Germany)
    Tom Haviv, Ayin Press (US)
    Z”L Natalie Zemon Davis, Princeton University, University of Toronto, (Canada/US)

    *Affiliations are listed for identification purposes only.
    Our Team

    Ben Malley (International)
    Carinne Luck (International Director)
    Charley Katan (UK)
    Diana Falchuk (US)
    Emily Dische-Becker (Germany)
    Emily Hilton (UK)
    Sasha Josette (UK)
    Emma Saltzberg (US)
    Natasha Roth-Rowland (International)
    Shoshana Brown (US)
    Simone Zimmerman (International)
    Tammy Shapiro (US)
    Yael Attia (Germany)

    #sionisme #antisemitisme #politique #gauche

  • La #catastrophe et ses signes
    https://laviedesidees.fr/La-catastrophe-et-ses-signes

    Les sociétés primitives, explique Levy-Bruhl, se montraient vigilantes aux signes annonçant les catastrophes, pourtant imprévisibles. Voilà qui doit nous inspirer, nous qui devons aujourd’hui être en alerte. À propos de : Frédéric Keck, Préparer l’imprévisible. Lévy-Bruhl et les sciences de la vigilance, Puf

    #Philosophie #anthropologie

  • The Cost of Germany’s Guilt Politics
    https://jacobin.com/2024/03/germany-antisemitism-afd-palestine-zionism

    La folie règne. Donc il y a de l’espoir, rien que ça.

    23.3.2024 - An interview with Emily Dische-Becker

    Germany has, in the name of fighting antisemitism, embraced a strange philosemitism and proxy Israeli nationalism, which involves demonizing and suppressing expressions of Palestinian identity and anti-Zionism in the guise of Holocaust remembrance. Consequently, leftist Jews often find themselves being lectured to about antisemitism by the descendants of people who murdered Jews.

    #Allemagne #antisemitisme #wtf

  • Croatie : le président #Zoran_Milanović appelle à la haine contre les migrants

    21 mars - 7h50 : Le président Zoran Milanović, officiellement non candidat aux élections législatives du 17 avril, mais qui mène, de fait, la campagne du Parti social-démocrate (SDP), accélère sa transformation en « Trump croate ». Il a publié trois posts sur Facebook, évoquant respectivement la guerre en Ukraine, les fonds européens et la crise des migrants.

    A ce sujet, il écrit : « La Croatie est confrontée au problème de la migration. Mais aujourd’hui, il ne s’agit plus des migrants comme en 2015, lorsque nous avions une approche humaine et ouverte, mais aussi calculée de ce problème, lorsque moi-même, en tant que Premier ministre, cherchais comment aider ces gens. Aujourd’hui, tout est différent parce que les migrants arrivent ici avec une stratégie et veulent seulement bénéficier de l’aide sociale. Certes, ceux qui fuient les persécutions, la guerre ou le génocide doivent être protégés, mais les migrants d’aujourd’hui ne fuient pas pour cela. Ces personnes sont ici illégalement et doivent être traitées comme telles. Continuons à être honnêtes et sympathiques à leur égard, mais ne soyons pas idiots. La frontière croate est sacrée, des gens sont morts pour elle pendant la guerre, des gens se sont soulevés pour résister, des brigades ont été formées - pour que l’on sache ce qui nous appartenait. Aidons ceux qui en ont besoin, mais protégeons avant tout le peuple croate ! »

    #anti-migrants #anti-réfugiés #appel_à_la_haine #Croatie #racisme #xénophobie #migrations #réfugiés #Milanović #Milanovic

  • https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/210324/scandale-du-chlordecone-le-conseil-de-l-europe-est-saisi

    Écosystèmes et pollution
    Scandale du chlordécone : le Conseil de l’Europe est saisi

    La Fédération internationale pour les droits humains a déposé jeudi une réclamation collective auprès du Comité européen des droits sociaux pour exiger de la France un accès urgent à l’eau potable en Guadeloupe et des réparations pour l’empoisonnement des Antilles à ce pesticide.

    Mickaël Correia, 21 mars 2024

    Dix-huit ans après le dépôt d’une première plainte qui a débouché en janvier 2023 sur un non-lieu, le combat pour réparer l’empoisonnement des Antilles françaises au chlordécone continue. Ce pesticide, abondamment utilisé dans les bananeraies de 1972 à 1993 en Guadeloupe et en Martinique, est au centre d’une nouvelle action en justice lancée jeudi 21 mars.

    La Fédération internationale pour les droits humains (FIDH), avec le concours de la Ligue des droits de l’homme et de Kimbé Rèd FWI, association antillaise de défense des droits humains, a déposé une réclamation collective auprès du Comité européen des droits sociaux à l’égard de la France. Cette requête, que Mediapart a pu consulter, dénonce la violation du droit à l’eau potable et à l’assainissement en Guadeloupe, ainsi que la pollution au chlordécone des Antillais et Antillaises, considérée par ces trois organisations comme une atteinte au droit à la santé.

    Cette action contre l’État français est fondée sur la Charte sociale européenne, un traité du Conseil de l’Europe qui garantit le respect des droits économiques et sociaux fondamentaux, tels que la santé et la non-discrimination. Le Comité européen des droits sociaux, à qui a été adressé la réclamation, est l’institution du Conseil de l’Europe chargée de la mise en œuvre de cette charte ratifiée par la France en 1973 puis en 1999, dans sa version révisée.

    Le dossier déposé dénonce dans un premier temps « la privation d’eau potable à plus de 380 000 personnes en Guadeloupe », qui résulte tant des coupures chroniques du réseau de distribution que de la pollution de l’eau, notamment au chlordécone.

    Dans l’objet de la réclamation, la FIDH souligne qu’en Guadeloupe, « jusqu’à 80 % de l’eau produite est perdue à cause de fuites dans les réseaux ». Pis, lorsque l’eau est disponible, elle n’est pas potable en raison de « la vétusté des canalisations », de la « défaillance de l’assainissement » et de la « pollution au chlordécone ».

    Concernant l’empoisonnement au chlordécone des Antilles françaises, le dossier pointe « le manque de mesures préventives et curatives effectives pour plus de 665 000 personnes dont la santé est exposée aux conséquences néfastes du chlordécone en Martinique et en Guadeloupe ». Selon Santé publique France, plus de 90 % de la population adulte y est contaminée par le chlordécone et, dans les deux îles, « les taux d’incidence du cancer de la prostate se situent parmi les plus élevés au monde ».

    Bien que l’Organisation mondiale de la santé eût averti dès 1979 de la dangerosité de ce produit, le chlordécone n’a été interdit en France qu’en 1990, puis a continué d’être utilisé aux Antilles françaises par dérogation ministérielle jusqu’en 1993. À la suite de ces pollutions délétères pour la santé, la requête collective précise que « la traçabilité du chlordécone à titre préventif et la détoxification de l’être humain à titre curatif ne sont pas garanties et [que], fin 2023, seules 45 personnes avaient été indemnisées pour le préjudice subi ».

    En ce sens, concernant l’accès à l’eau potable et l’empoisonnement au chlordécone, le refus de l’État français d’appliquer des mesures d’urgence relève pour la FIDH d’un traitement discriminatoire « qui serait inimaginable dans l’Hexagone » et qui contrevient à plusieurs droits fondamentaux des ultramarin·es, pourtant consacrés par la Charte sociale européenne.

    « La France ne peut pas continuer à ignorer les problèmes récurrents des Antilles. Ils n’ont que trop duré, prévient Elena Crespi, responsable du bureau Europe de l’Ouest à la FIDH. Elle doit enfin reconnaître que la Charte sociale européenne doit s’appliquer à l’ensemble de ses territoires. »

    Face à ces violations « graves et répétées » des droits des Antillais et des Antillaises, l’organisation demande au Comité européen des droits sociaux d’« accorder un traitement prioritaire à [leur] réclamation et […] une attention particulière à la demande de mesures immédiates dont elle est assortie ».

    Dans sa requête, la FIDH exhorte le Comité à demander que « l’État français adopte urgemment des mesures » pour pallier les coupures d’eau et des mesures de traçabilité systématique du chlordécone dans l’alimentation, ou encore mette en place « des mesures de détoxification systématique du corps humain pour les personnes dépistées, en fonction du taux de chlordécone mesuré dans leur sang ».

    Elena Crespi résume : « En donnant une suite favorable à la présente réclamation collective, le Comité européen des droits sociaux inviterait la France à prendre plus sérieusement en compte les inégalités historiques entre l’Hexagone et les territoires ultramarins. »

    Le 29 février dernier, l’Assemblée nationale a adopté une proposition de loi visant à reconnaître la responsabilité de l’État dans le scandale du chlordécone. Dans ce texte, la République française « s’est assigné pour objectif » l’indemnisation des victimes.

    Mickaël Correia

    #Antilles #pollution #empoisonnement #justice

  • L’ère de la standardisation : conversation sur la Plantation, Anna Lowenhaupt Tsing, Donna Haraway
    https://www.terrestres.org/2024/02/23/lere-de-la-monoculture-et-de-la-standardisation-conversation-sur-la-plan

    [Donna Haraway] D’une certaine manière, la notion de #Plantationocène nous force à prêter attention aux cultures qui se sont constituées autour de la nourriture et de la #plantation en tant que système de #travail forcé multi-espèces. Le système de la plantation accélère la temporalité même des générations. La plantation perturbe en effet les successions de génération pour tous les acteurs·trices humains·es et non humains·nes. Elle simplifie radicalement leur nombre et met en place des situations favorisant la vaste prolifération de certain·es et l’élimination d’autres. Cette façon de réorganiser la vie des espèces favorise en retour les épidémies. Ce système dépend d’un certain type de travail humain forcé, car si jamais la main-d’œuvre peut s’échapper, elle s’enfuiera de la plantation.

    Le système de la plantation nécessite donc soit un génocide ou l’exil forcé d’une population, ou encore un certain mode d’enfermement et de remplacement de la force de travail locale par une main d’œuvre contrainte venant d’ailleurs. Cela peut être mis en place par des contrats bilatéraux mais quoiqu’il en soit asymétriques, soit par de l’esclavage pur et simple. La plantation dépend ainsi par définition de formes très intenses de #travail_forcé, s’appuyant aussi sur la sur-exploitation du travail mécanique, la construction de machines pour l’exploitation et l’extraction des êtres terrestres. Je pense d’ailleurs qu’il est essentiel d’inclure le travail forcé des #non-humains – plantes, animaux et microbes – dans notre réflexion.

    Dès lors, lorsque je réfléchis à la question de savoir ce qu’est une plantation, il me semble qu’une combinaison de ces éléments est presque toujours présente sur les cinq derniers siècles : simplification radicale ; remplacement de peuples, de cultures, de microbes et de formes de vie ; travail forcé. Plus encore peut-être que ces éléments, la plantation repose en outre sur le bouleversement des temporalités qui rendent possible la succession des générations, la transmission et le passage d’une génération à l’autre pour chaque espèce, y compris pour les êtres humains. J’évite le mot reproduction à cause de son aspect productiviste, mais je veux souligner l’interruption radicale de la possibilité de prendre soin des générations et, comme Anna me l’a appris, la rupture du lien avec le lieu – la capacité d’aimer et de prendre soin des localités est radicalement incompatible avec la plantation. En pensant à la plantation, toutes ces dimensions semblent être constamment présentes à travers diverses configurations.

    Anna Tsing : J’ajouterai brièvement que le terme plantation m’évoque l’héritage d’un ensemble bien particulier d’histoires convoquant ce qui s’est passé après l’invasion européenne du Nouveau Monde, notamment la capture d’Africain·es comme main-d’œuvre asservie et la simplification des cultures pour forcer les travailleurs·euses asservi·es à devenir des travailleurs·euses agricoles. Dans de nombreuses petites exploitations agricoles indépendantes, des dizaines de cultures agricoles différentes peuvent être pratiquées et exiger du soin de la part des agriculteurs-trices qui se préoccupent de chacune d’elles. En concevant à l’inverse des systèmes reposant sur du travail forcé et contraint, l’agriculture en est venue à reposer sur des simplifications écologiques.

    #histoire #mise_au_travail #capitalisme #anthropocène #capitalocène #écologie

  • L’anti-impérialisme des imbéciles – Leila Al-Shami, avril 2018
    https://web.archive.org/web/20190404064840/http://solitudesintangibles.fr/lanti-imperialisme-des-imbeciles-leila-al-shami

    Pour cette gauche autoritaire, le soutien à Assad se manifeste au nom de l’anti-impérialisme. Assad est perçu comme appartenant à l’« axe de la résistance » face à l’empire américain et au sionisme. Le fait que son régime ait soutenu la première guerre du Golfe semble ne pas compter, ni le fait qu’il ait participé au programme illégal d’extradition des États-Unis où des terroristes présumés ont été torturés pour le compte de la CIA. Le fait que le régime ait probablement massacré plus de palestiniens que l’État israélien est constamment négligé de même que le fait qu’il préfère user de sa force de frappe pour éliminer l’opposition interne plutôt que pour libérer le Golan occupé par Israël.

    Cet « anti-impérialisme » des imbéciles est celui pour qui l’« impérialisme » équivaut uniquement à l’action des États-Unis. Ces derniers bombardent pourtant la Syrie depuis 2014. Lors de la campagne américaine visant à libérer Raqqa de l’emprise de Daesh, toutes les normes internationales de la guerre et les considérations de proportionnalité ont été bafouées. Plus de 1000 civils ont été tués et selon une estimation de l’ONU, 80 % de la ville se trouve maintenant inhabitable. Il n’y a eu aucune protestation organisée par le mouvement « anti-guerre » contre cette intervention, pas d’appels pour s’assurer que les civils et infrastructures civiles seraient protégés. Cet anti-impérialisme là a préféré adopter le discours de la guerre au terrorisme autrefois promu par les néoconservateurs et repris maintenant par le régime qui qualifie de djihadiste et terroriste toute opposition à Assad. Il a fermé les yeux sur le fait qu’Assad envoyait dans ses goulags des milliers de manifestants laïques, pacifiques et pro-démocratie afin de les torturer à mort tandis qu’il sortait les militants islamistes de prison. De même, les manifestations qui se poursuivaient dans les zones libérées contre les groupes extrémistes et autoritaires tels que Daesh, al-Nosra et Ahrar al-Sham ont été ignorées. Les Syriens sont vus comme incapables d’adopter un large éventail de points de vue variés. Activistes de la société civile (dont des femmes incroyables), journalistes citoyens et travailleurs humanitaires sont insignifiants. Toute l’opposition est réduite à ses éléments les plus autoritaires ou perçue comme une émanation d’intérêts étrangers.

    Cette gauche pro-fasciste semble aveugle à toute forme d’impérialisme qui ne serait pas d’origine occidentale. Cela relève d’une combinaison de politique de l’identité et d’égoïsme. Tout événement est vu via un prisme occidental – seuls les mâles blancs ont le pouvoir d’écrire l’Histoire. Selon le Pentagone, il y a actuellement 2000 soldats américains en Syrie. Les États-Unis ont installé de nombreuses bases militaires dans les zones sous contrôle kurde du nord de la Syrie pour la première fois dans l’histoire du pays. Cette présence américaine devrait préoccuper quiconque se soucie de l’autodétermination du peuple syrien mais fait pâle figure au regard des dizaines de milliers de soldats iraniens et de milices chiites soutenues par l’Iran qui occupent le reste du pays ou des bombardements meurtriers de l’aviation russe en soutien à la dictature fasciste. La Russie dispose dorénavant de bases permanentes dans le pays et a obtenu un droit exclusif sur les hydrocarbures syriens en échange de son soutien. Noam Chomsky a affirmé qu’on ne pouvait pas qualifier l’intervention russe d’impérialiste dans la mesure où elle répondrait à l’invitation du régime. Selon cette analyse, l’intervention américaine au Vietnam n’était donc pas non plus impérialiste puisque sollicitée par le gouvernement sud-vietnamien.

    #anti-impérialisme

  • DDR-Geschichte mal wieder negativ und falsch dargestellt : Neue Ausstellung im HKW Berlin
    https://www.berliner-zeitung.de/open-source/ddr-geschichte-mal-wieder-negativ-und-falsch-dargestellt-neue-ausst


    https://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_des_cultures_du_monde_(Berlin)

    Quand on annonce une expo sur la vie en RDA tu peux être sûr qu’on t’y racontera une série de mensonges et demi-vérités. Là les propagandistes du capitalisme triomphant s’attaquent au sort des ouvriers du tier monde généralement bien accueillis et traités dans le premier état socialiste allemand.

    La nouvelle exposition au Haus der Kulturen der Welt à Berlin veut te faire croire le contraire. On se demande s’il y un rapport avec l’adresse de l’institution dans la rue la qui porte le nom de l’auteur de la politique de refoulement (« rollback ») de l’URSS John Foster Dulles.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Foster_Dulles

    14.03.2024 von Ulrich van der Heyden - Das Haus der Kulturen der Welt will mit seiner Ausstellung „Echos der Bruderländer“ die Lebensrealität von Migranten in der DDR abbilden. Unser Autor übt Kritik.

    Seit einigen Jahren wird die Spaltung der deutschen Gesellschaft immer deutlicher, nicht nur bemerkbar an oben und unten, sondern auch zwischen Ost und West; wobei der Frust der Ostdeutschen immer deutlicher zum Ausdruck kommt.

    Parteipolitisch artikuliert sich dieser an der Zunahme radikaler Positionen und sozial-gesellschaftlich – worauf in dieser Zeitung mehrfach hingewiesen worden ist – in der breiten Kritik an den Folgen der staatlichen Vereinigung. Die Kollegen Dirk Oschmann und Katja Hoyer haben auf die Gefahren dieser Entwicklung in ihren Büchern deutlich aufmerksam gemacht. Zumindest angesprochen wird in diesen, dass es nicht nur die bekannten Ungleichheiten zwischen Ost- und Westdeutschen auf den Gebieten der Renten, der Gehälter, des Besitzes und anderer materiell zu charakterisierenden Folgen sind, die frustrieren.

    Auch in der Repräsentanz in Politik und Wirtschaft sieht es bis heute nicht anders aus, was Desillusionierung und Enttäuschung über die mehr als dreißig Jahre andauernde „deutsche Einheit“ hervorrufen.

    Ebenso ist die Tatsache zu berücksichtigen, dass ihre Geschichte verfälscht, zu einseitig oder mit den unglaublichsten Fiktionen verquickt in Medien und Wissenschaft dargestellt wird. Zu den die ostdeutsche Bevölkerung partiell und temporär erbosenden Tatsachen gehört, dass ihnen quasi flächendeckend Rassismus in den Medien und nun auch in einer Ausstellung im Haus der Kulturen der Welt zugeschrieben wird.
    Falschdarstellungen und Fake News

    Dabei wird gern auf Falschdarstellungen und Fake News über die Beziehungsgeschichte der DDR zu den Ländern des Globalen Südens zurückgegriffen, vor allem über die Bedingungen für in die DDR gekommene Menschen aus jenen Regionen. So kann auch auf der aktuellen Website des Hauses der Kulturen der Welt festgestellt werden, wie weitab von den Fakten ein Narrativ des Lebens von Ausländern, vor allem von sogenannten Vertragsarbeitern, gezeichnet wird, welches diese letztlich beleidigt.

    Auch hier scheint sich das jahrelang mit staatlichen Mitteln alimentierte Bild von einem Kapitel der DDR-Geschichte auf Kosten der Erzählungen der Beteiligten sowie der Ergebnisse relevanter seriöser Forschungen im allgemeinen Narrativ durchgesetzt zu haben. Dabei gab es in der ersten Hälfte der 1990er-Jahre durchaus relevante Aussagen von vielen Ausländern, die sich zu dieser Frage zu Wort meldeten.
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    Solche Ego-Dokumente, Interviews und andere heute als wichtige Originalquellen zu bezeichnenden Schriftstücke werden jedoch von vielen Historikern, wie auch von den Kuratoren der Ausstellung, kaum zur Kenntnis genommen. Und so soll ein Narrativ ausgebaut werden, welches die meisten ehemaligen DDR-Bürger nicht akzeptieren können.

    Nicht umsonst berichtete die Historikerin Katja Hoyer in dieser Zeitung, dass, als sie für ihre Forschungen notwendige Fragen an ostdeutsche Interviewpartner stellte, man ihr oft entgegnete: „Wenn das Wort DDR schon fällt in irgendeiner Dokumentation, dann schalten wir weg.“

    Wie erfolgreich weithin das gepflegte Narrativ ist, macht die Website der Veranstaltungen unter der Überschrift „Echos der Bruderländer“ deutlich. Selbst eine Journalistin der Berliner Zeitung schließt sich der dort postulierten Vorstellung an. Demnach sollen die Leben von, wie es auf der offiziellen Seite heißt, „zwischen 1949 und 1990 migrierten Hunderttausende(n) Menschen“ in die DDR „bislang weitgehend unerzählt“ geblieben sein.

    Das verwundert, denn in dem aktuellsten Buch allein zu den Vertragsarbeitern aus Mosambik weisen etwa 50 Druckseiten aufgelistete Publikationen zur Thematik hin. Die Ignorierung der durchaus vorhandenen Literatur macht deutlich, dass, wenn es um Kenntnisse der DDR-Geschichte geht, das eigene Unwissen als Stand der Forschungen ausgegeben wird.

    Vertragsarbeiter aus Mosambik

    Wenn man sich der Geschichte einer der größten Gruppierungen der in der DDR zeitweilig lebenden Ausländer, der Mosambikaner, zuwendet, wird deutlich, dass über diese schon recht viel berichtet worden ist, unter anderem auch über eine von dieser Zeitung aufgedeckte Mord-Lügenstory.

    Die Palette der Unwahrheiten reicht weit. So wird immer wieder auch im Artikel der Berliner Zeitung über „Bruderland ist abgebrannt“ (1.3.24) behauptet, dass die DDR „nach Arbeitskräften“ rief oder sie gar anwarb und sich diese aus der Dritten Welt holte. Dies ist nur zu einem ganz geringen Maße zutreffend gewesen, denn Arbeitskräfte holte man sich zunächst aus den benachbarten Ländern, wie Polen und Ungarn – so wie es in modernen Gesellschaften keine Seltenheit ist.

    Die Vertragsarbeiter (der Begriff wurde erst nach der deutschen Vereinigung eingeführt, um dieses solidarische Projekt des untergegangenen Staates zu diskreditieren; in der DDR hießen sie „ausländische Arbeitskräfte“), vor allem diejenigen aus Vietnam und Afrika, kamen aus ihren Heimatländern, um dem verbrecherischen Angriffskrieg und dem Bomberterror der USA in Vietnam oder um dem von der Nato, vom südafrikanischen Apartheidstaat und den portugiesischen ehemaligen Kolonialherren unterstützten Bürgerkrieg in Mosambik zu entfliehen.

    Die konterrevolutionären Banden der Renamo, ausgestattet mit Waffenlieferungen und militärischem Know-how auch aus der Bundesrepublik, hatten schreckliche Verbrechen begangen, die heute kaum noch Erwähnung finden.

    Durch den blutigen Terror wurde der Aufbau einer eigenständigen Industrieproduktion verhindert – was u. a. von der DDR im Rahmen ihrer Möglichkeiten unterstützt wurde –, sodass die durchaus ehrgeizigen Ziele nicht umgesetzt werden konnten. Die jungen Menschen kamen also nicht nach Europa, um die DDR-Wirtschaft am Laufen zu halten oder gar zu retten (was zwischen einem viertel und maximal einem Prozent der in der Produktion eingesetzten Arbeitskräfte wohl kaum realistisch anmutet), sondern um kostenfrei einen Beruf zu erlernen, ihr Leben zu retten und ihre Familien und ihr Land zu unterstützen.

    Bis zur Wende geheim gehaltene „Nutzungsberechnungen zum Einsatz ausländischer Werktätiger in der Volkswirtschaft der DDR aus dem Jahre 1987“ besagen, „daß die erbrachten Leistungen mocambiquischer Werktätiger im Vergleich zu DDR-Werktätigen ca. 80 % betragen.“ Als der erste Vertrag, den die Regierungen der DDR und Mosambiks 1979 abgeschlossen hatten, auslief, wollte wohl nicht zuletzt aus diesem Grunde die DDR den Vertrag nicht verlängern.

    Maputo drängte mit Verweis auf das bekannte solidarische Engagement der DDR auf eine Verlängerung und schlug vor, dass nicht mehr so viele Kosten entstehen würden, wenn es keine Berufsausbildung mehr gäbe; ihre Leute könnten also als ungelernte Hilfsarbeiter beschäftigt werden. Darauf ließen sich die DDR-Vertreter nicht ein und so kam es, dass die ostdeutsche Bevölkerung, ohne dass darüber gesprochen wurde, weiterhin Solidarität übte, was im Übrigen – wie mehrere wissenschaftliche Veranstaltungen und Publikationen belegen – in der Wissenschaft nicht bestritten wird.

    Kann es da verwundern, wenn man sich über diese die Wirklichkeit verzerrenden Veranstaltungen in der großen kulturellen Einrichtung an der Spree verärgert zeigt? Auf der Website der aktuellen Ausstellung heißt es nämlich: „Obwohl die DDR die Fairness ihrer Arbeitsbedingungen und die Möglichkeiten beruflicher Weiterentwicklung hervorhob, erlebten ‚Vertragsarbeiter‘ und Migrant:innen im Allgemeinen Ausbeutung, beengte Wohnverhältnisse, Überwachung, den Entzug gewisser Freiheiten und Rechte (wie etwa das Recht, schwanger zu werden oder eine Beziehung zu führen), rassistische und fremdenfeindliche Angriffe, einbehaltene Löhne und gebrochene Versprechen sowohl der entsendenden Regierungen als auch der Führung der DDR.“

    Dazu sei nur angeführt, dass allein die Mosambikaner etwa 1500 Kinder zeugten, die Urlaubs- und Gesundheitsdienste ihrer Betriebe nutzten, es gemeinsame Freizeitveranstaltungen gab, kollegiale und familiäre Kontakte mit deutschen Kollegen gab, die Vertragsarbeiter mehr Geld verdienten als junge Wissenschaftler, Ärzte und andere Berufsgruppen in der DDR.

    Wer sich genauer mit der Thematik beschäftigt, wird feststellen, dass sich „Ehemalige“ über ihre Zeit in der DDR anders äußern, als es das hier vermittelte Bild nahelegt. Jenes sieht anders aus als Isolation, Überwachung, Entzug gewisser Freiheiten und Rechte. Auch das muss gesagt werden: Wenn mosambikanische Frauen schwanger wurden, mussten sie zwar nach Hause zurückkehren oder abtreiben.

    Aber das war nicht deshalb festgelegt worden, weil die DDR-Bonzen dies so wollten, sondern, weil dies der Wunsch der mosambikanischen Regierung war. Wer seine verblendende Anti-DDR-Sicht gegen die der afrikanischen Realität eintauscht, wird die Gründe hierfür erkennen. Die Wohnheime hatten gute Standards, in der Regel gleich oder besser ausgestattet als Arbeiter- bzw. Studentenheime. Die viel beklagte Einbehaltung eines Teils der Lohnzahlungen gab es und war den Betroffenen bekannt. Es handelte sich um einen von der mosambikanischen Regierung vorgesehenen Teil des Lohns, der bereits in den Betrieben ausgerechnet und an den mosambikanischen Staat überwiesen wurde.

    Nach Beendigung ihres Vertrages und bei Rückkehr erhielten dann die mosambikanischen Arbeiter diese Summe in ihrem Land in der Währung Metical ausgezahlt, was bis 1989 auch erfolgte. Danach, als die „ausländischen Arbeitskräfte“ auf Drängen der westlichen Berater in den zu übernehmenden Betrieben als Erste entlassen und nach Hause geschickt wurden, änderte sich dies.

    Nicht der Sympathie für den sozialistischen Staat verdächtige westdeutsche Diplomaten untersuchten diesen „Fall“ und konnten konstatieren, dass die DDR allen ihren Verpflichtungen nachgekommen war. Das hinderte jedoch nicht zwei Frauen vor einiger Zeit daran, eine Petition ins Leben zu rufen, die „Respekt und Anerkennung“ der angeblich von der DDR um ihren Lohn betrogenen Vertragsarbeiter einforderte.

    Wie seriös diese Aktion war, lässt sich daran ersehen, dass auf Anfragen des Verfassers an die Initiatorinnen des Schreibens, wie denn ihr Wissensstand zur Geschichte der Vertragsarbeiter sei, die Antwort lautete, sie haben schon einmal in einer Ausstellung ein Bild von Mosambikanern gesehen.

    Das hinderte jedoch den alarmierten Vorgesetzten, den Direktor eines zeithistorischen Instituts in Potsdam, nicht daran, der Angelegenheit freien Lauf zu lassen, sodass diese nun dem Bundestag vorliegt. Die Behandlung von Ausländern, die in der DDR gelebt haben, wird von diesen im Allgemeinen dankbar memoriert – wie mehrere Forschungen belegen. So wie kürzlich in einer Dissertation über den ANC-Exil in der DDR exemplarisch nachgewiesen werden konnte.

    Tausende Menschen aus der Dritten Welt fanden hier Schutz vor Mord, Terror, Bomben, Napalm, Rassismus, Hunger und Armut. Diese sehen das Land, das ihnen Rettung anbot, fast ausnahmslos positiv. Es bleibt die Hoffnung, dass die verschiedenen Veranstaltungen zu den „Echos aus den Bruderländern“ an die in der internationalen Wissenschaft nicht bezweifelte solidarische Grundhaltung der DDR-Bevölkerung erinnern werden.

    In Mosambik wird übrigens gerade darüber diskutiert, ob ehemals für die Vertragsverhandlungen zuständige Politiker nach Deutschland kommen sollten, um über die von der Berliner Zeitung vor einiger Zeit exemplarisch aufgedeckten Fake News über die Vertragsarbeiter aufzuklären.

    Prof. Dr. mult. Ulrich van der Heyden ist Historiker, Politikwissenschaftler und Spezialist für die Kolonialgeschichte Afrikas, tätig an FU, HU und in Südafrika sowie Autor zahlreicher Bücher.

    #DDR #histoire #solidarité_internationale #Berlin #Tiergarten #John_Foster_Dulles_Allee #HdKW #anticommunisme

  • Les réfractaires depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie (12ème partie • mars 2024)
    https://www.obsarm.info/spip.php?article645

    Depuis octobre 2022, Guy Dechesne recense longuement les actes de désertion, d’insoumission, de désobéissance et d’exil posés pour refuser de combattre, les actions de désobéissance civiles pour entraver la guerre et les appuis que les réfractaires reçoivent tant dans les pays concernés qu’à l’étranger dans le prolongement d’un dossier paru dans le numéro 164-165 de « Damoclès ». Cette rubrique est rédigée à partir d’un suivi méticuleux des médias. 12ème épisode, mars 2024. Retrouvez (...) #Résistances

    / #Actions_contre_la_guerre, #Antimilitarisme, #Guerres, Service national / conscription, #La_trois

    #Service_national_/_conscription