Humans have no monopoly on moral behaviour (▻https://aeon.co/essays...
▻https://diasp.eu/p/9779876
Humans have no monopoly on moral behaviour | #animals #anthropomorphism #emotions #empathy #ethics #humans #moral
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Fun examples of AI’s doing what they’re told to but not what they’re expected to
Neural nets evolved to classify edible and poisonous mushrooms took advantage of the data being presented in alternating order, and didn’t actually learn any features of the input images
A genetic algorithm designed a circuit with a disconnected logic gate that was necessary for it to function (exploiting peculiarities of the hardware)
▻https://docs.google.com/spreadsheets/u/1/d/e/2PACX-1vRPiprOaC3HsCf5Tuum8bRfzYUiKLRqJmbOoC-32JorNdfyTiRRsR7Ea5eWtvsWzuxo8bjOxCG84dAg/pubhtml
La vie sexuelle de ces coléoptères va vous donner des sueurs froides | Daily Geek Show
▻https://dailygeekshow.com/coleoptere-course-armement-sexuel
Derrière le terme ô combien étonnant d’accouplement traumatique se cache un phénomène qui l’est tout autant. Il est pourtant très répandu chez certaines espèces animales, notamment chez certains coléoptères. En effet, dans ces espèces, le mâle est pourvu d’un appareil génital particulier, hérissé de pics et aiguillons de tailles en tous genres. Parmi ces coléoptères, la bruche du niebé fait figure de célébrité avec son phallus ressemblant étrangement à un fléau de l’époque médiévale.
UN MÂLE PLANTE SON PÉNIS DANS LA CARAPACE DE LA FEMELLE AFIN QUE LE SPERME SE FRAYE UN CHEMIN JUSQU’AUX OVULES A TRAVERS LE SANG ET LE CORPS DE CELLE-CI.
Pendant l’acte de reproduction avec la femelle, le mâle plante son pénis dans le corps de la femelle en utilisant ses aiguillons pour percer la carapace de celle-ci, à l’endroit où se trouvent les organes reproducteurs. L’étape suivante consiste alors simplement à déverser son sperme dans l’orifice créé par l’aiguillon, en espérant que les gamètes reproductrices atteignent les ovules de la femelle. Heureusement, les femelles se sont pourvues de moyen pour lutter contre ces agressions répétées qui, si elles ne les tuent pas, peuvent tout de même réduire leur espérance de vie et le nombre d’œufs qu’elles peuvent produire.
Quelques penis de Callosobruchus maculatus
▻https://img.purch.com/w/660/aHR0cDovL3d3dy5saXZlc2NpZW5jZS5jb20vaW1hZ2VzL2kvMDAwLzAwMS81MjIvb3JpZ2luY
The Twisted World of Sexual Organs
How evolution solved the problem of conception
▻http://www.bbc.com/earth/bespoke/story/20140908-twisted-world-of-sexual-organs/index.html
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un penis de Callosobruchus subinnotatus
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Penis de punaise des lits (Cimex lectularius)
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Penis de mouche drosophile (Drosophila buskii)
La mouche drosophile à la particularité d’avoir de très gros spermatozoide. Dans l’image ci dessous l’espèce de boyeau qui entoure la mouche est un seul spermatozoide
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Penis de libellule
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Penis de puce
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Penis (amovible) de faux-bourdon
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Penis d’abeille
▻https://media.gettyimages.com/photos/apis-mellifera-drone-penis-picture-id522182134
Si vous tenez à faire de l’anthropomorphisme, les insectes ne ressentent pas la douleur.
Je suis très septique sur ce genre d’affirmations. Les insectes ont un système nerveux même si il n’est pas centralisé comme le notre il n’y a pas de raison qu’il ne transmette pas d’information de type douleur et peut être qu’ils la transmettent par un autre moyen que des bêtes pourvu d’un système nerveux central comme nous.
Pour l’anthropomorphisme je propose plutot cette illustration :
Penis Envy: NSFW: A show “dedicated to the problem of/the splendor of/the lack of phallus.” Featuring the work of Kt Shores, Amanda Manitach, Brendan Griffin, and about a dozen others.
Il y a une nécessité biologique à ressentir la douleur pour éloigner l’organisme d’une source de danger. Cela dit, ça doit être radicalement différent de ce que nous ressentons.
Je viens de découvrir le « penis zombi » de l’Argonaute.
Argonaut
The #1 weirdest animal penis goes to the argonaut octopus , a type of nautilus. This tentacle animal swims around in the ocean, but while it’s busy looking for food and checking out the sights, the argonaut’s penis simply detaches itself and swims away to look for ladyparts. When scientists first encountered the disembodied penis, they thought it was a parasitic worm. It was only years later that they discovered the swimming organ was actually a zombielike sperm bomb.
source ; ►https://imgur.com/gallery/1s4Ah
Old tuatara slides show genital swelling in last common ancestor of vertebrates
▻https://phys.org/news/2015-10-tuatara-genital-common-ancestor-vertebrates.html
A trio of researchers with the University of Florida has found evidence of genital swelling in a tuatara embryo from over a hundred years ago and it offers evidence that penile evolutionary development in vertebrates only occurred once. In their paper published in the journal Biology Letters, Thomas Sanger, Marissa Gredler and Martin Cohn describe how they created 3D images of the endangered reptile from old slides found in a museum and what they learned as a result.
Among evolutionary scientists there has been a debate for quite some time regarding the evolutionary history of the penis in vertebrates—some suggest it only occurred once and the various types of penises that exist today in different species evolved from it, while others suggest each evolved separately. To help settle the debate, scientists have been looking for a common ancestor with a really long history—if it had a developed penis, that might suggest that all the other penises that developed in vertebrates, evolved from a common ancestor. In this new effort, the researchers turned to the tuatara as an example of that ancestor; a creature native to New Zealand that looks like a lizard but is not—they diverged from other reptiles approximately 250 million years ago.
But the team was not able to study tuataras directly because they are endangered and take a very long time to reproduce—instead, they cleaned up and photographed old slides made from slicing tuatara embryo samples nearly a hundred years ago by Arthur Dendy. The slides had been made from four embryos, one of which was just the right age for the study—despite being stored in a museum for over a century, they were still in good enough condition to allow for study. After sorting out the right slides and taking pictures, the photographs were then converted to a 3D model which showed genital swellings, a precursor to penis development in many vertebrates. In the tuatara, the developments do not mature, like many modern bird species, they cease developing, thus adults have no penis. But the swellings clearly show the possibility, which the team suggests, offers a strong argument to the case of the penis developing from a common ancestor.
Read more at: ▻https://phys.org/news/2015-10-tuatara-genital-common-ancestor-vertebrates.html#jCp
Le Tuatara c’est le sphénodon en français
Galerie de membres, partie 4 : Mammifères
Les penis d’oiseaux : ►http://ssaft.com/Blog/dotclear/index.php?post/2010/02/01/Galerie-de-membres%2C-partie-3%3A-Oiseaux
Penis de squamates : ▻http://ssaft.com/Blog/dotclear/index.php?post/2010/01/18/Galerie-de-membres%2C-partie-2%3A-Sauropsid%C3%A9s
et penis d’arthropodes : ▻http://ssaft.com/Blog/dotclear/index.php?post/2009/12/09/Galerie-de-membres%2C-partie1%3A-arthropodes
#zoologie #armes #guerre_des_sexes #sexualité #souffrance #douleur #anthropomorphisme
@monolecte j’avais lu de travers ta réponse. Sorry ! je vais aller me refaire un café.
ici un article sur la sexualité des limaces et escargots : ▻http://ssaft.com/Blog/dotclear/?post/2009/05/20/Le-dard-d-amour-des-escargots
Platycleis affinis détient le record insolite du plus important ratio masse testiculaire/masse totale. En effet, les testicules de cette sauterelle représentent pas moins de 14% de la masse totale de l’insecte. Des boules records qui correspondraient à plus d’une tête chez un homme normal.
Cette hypertrophie, constatée par le Dr Karim Vahed et ses collègues[1] se rencontre davantage chez les espèces dont la femelle multiplie les partenaires sexuels : des gros testicules augmentent la production de sperme et la possibilité d’inséminer de nombreux partenaires. C’est ce que l’on voit par exemple chez les chimpanzés, les primates ayant les plus gros testicules parmi les grands singes. Comme chaque femelle est fécondée par l’ensemble des mâles d’un groupe, la quantité de sperme inséminé augmente les chances de passation du patrimoine génétique.
Pour autant, la quantité de sperme inséminé par le mâle decticelle côtière à chaque accouplement n’est, en comparaison avec les autres espèces, pas plus importante, voire moins : la surproduction permet avant tout à Platycleis affinis de féconder plusieurs femelles avec une quantité relativement normale de sperme, sans que ses réserves ne s’épuisent. Bien qu’encore spéculative cette assertion est corroborée par la « vitesse de rechargement » de l’insecte : une heure après une fécondation, Platycleis affinis peut à nouveau rechercher une partenaire et l’inséminer, quand le délai pour les autres espèces de sauterelles étudiées s’élève à plusieurs jours.
Platycleis affinis remplace donc désormais la précédente détentrice du record, la mouche Drosophila bifurca, dont les testicules atteignent 10,6% de sa masse totale.
▻http://www.le-saviez-vous.fr/2010/11/platycleis-affinis-et-ses-records.html
Ce post complète admirablement celui ci :
Appareil reproducteur aviaire
►https://seenthis.net/messages/582137
avec les #canards, les #pouce-pieds...
(canards dont on parle aussi sur ces liens cités par @mad_meg :
►https://imgur.com/gallery/1s4Ah
►http://ssaft.com/Blog/dotclear/index.php?post/2010/02/01/Galerie-de-membres%2C-partie-3%3A-Oiseaux )
Avec le #Tachyglossus_aculeatus (ou #Échidné à nez court), hérisson australien, dont le mâle possède un quadruple pénis, et dont la femelle possède un double vagin ! Ou plutôt un pénis avec quatre « têtes » et un vagin avec deux « orifices ». Deux des têtes pénètrent les deux orifices, pendant que les deux autres têtes sont au repos. Lors du coït suivant, ce seront les deux autres têtes qui seront de service pendant que les deux premières seront en mode « recharge »...
►https://imgur.com/gallery/i5w7L
Female Echidnas Sleep Right Through The Mating Ritual
M.Admin, Knowledge Nuts, le 17 septembre 2013
▻http://knowledgenuts.com/2013/09/17/female-echidnas-sleep-right-through-the-mating-ritual
The Creature Feature : 10 Fun Facts About the Echidna
Rikkonakamichi, Imgur, le 4 juillet 2014
►https://imgur.com/gallery/i5w7L
Monotrèmes :
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Monotremata
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Monotreme
▻https://www.universalis.fr/encyclopedie/monotremes-prototheriens
▻https://www.universalis.fr/encyclopedie/monotremes-prototheriens/1-description
Et les références complètes de deux des articles:
Male genital morphology and function: an evolutionary perspective.
Simmons MN and Jones JS
J. Urol. 177:1625-1631 (2007)
▻http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0022534707000110
Resurrecting embryos of the tuatara, Sphenodon punctatus, to resolve vertebrate phallus evolution.
Sanger TJ, Gredler ML and Cohn MJ
Biol. Lett. 11, pii:20150694 (2015)
▻http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/11/10/20150694.long
Another good one :
LA SEXUALITÉ DÉBRIDÉE DES PUNAISES DE LIT, PlanetBio
▻https://planetebio.wordpress.com/2011/07/10/la-sexualite-debridee-des-punaises-de-lit
insémination traumatique
►https://www.youtube.com/watch?v=vcPJkz-D5II
note : 1:58 le moustique sud américain au pénis musical - chercher son nom.
Je crois que c’est lui:
Anastrepha fraterculus
▻http://entnemdept.ufl.edu/creatures/fruit/tropical/south_american_fruit_fly.htm
Sexual behavior of these insects is complex, variable, and very interesting. Males from the Anastrepha fraterculus complex exhibit a lek mating system in which calling individuals get together on trees (usually under the leaves) to attract, court, and mate with receptive females (Morgante et al. 1983).
Multiple signals, such as visual (symmetry of structures), acoustical (buzzing) and chemical (pheromones), are used by males to court females (Segura et al. 2007, Gomez-Cendra et al. 2011, Brizová et al. 2013, Dias et al. 2016).
En fait ce sont plusieurs Anastrepha, j’ai trouvé un autre article:
Effect of Male Size on Calling Propensity, Song Parameters, and Mating Success in Caribbean Fruit Flies, Anastrepha suspensa (Loew) (Diptera: Tephritidae)
T. Burk and J. C. Webb
Annals of the Entomological Society of America 76:678–682 (1983)
▻https://doi.org/10.1093/aesa/76.4.678
Sexual selection theory predicts discriminative female mate choice based on differences in male phenotype in lek-mating species. We selected large and small males of the Caribbean fruit fly, Anastrepha suspensa (Loew), and analyzed calling sounds produced by these males. Calling propensity was significantly higher and calling song pulse train interval significantly shorter in large males. In mate choice tests, 70% of mating females mated with a large male. Additionally, the power output (sound pressure level) of precopulatory songs of successfully mating males averaged 10 dB greater than that of mounting males that were rejected by females.
Les femelles préfères les mâles les plus gros qui ont les voix les plus fortes et les plus graves...
Le petit film dit que c’est des « crane flies »
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Crane_fly
Crane fly is a common name referring to any member of the insect family Tipulidae, of the order Diptera, true flies in the superfamily Tipuloidea. Cylindrotominae, Limoniinae, and Pediciinae have been ranked as subfamilies of Tipulidae by most authors,[1] though occasionally elevated to family rank. In the most recent classifications, only Pediciidae is now ranked as a separate family, due to considerations of paraphyly.[2] In colloquial speech, crane flies are sometimes known as mosquito hawks or daddy longlegs, a term also used to describe opiliones or the family Pholcidae, both of which are arachnids. The larvae of crane flies are known commonly as leatherjackets.[3]
Tu as raison. J’avais entendu « grape flies »...
▻http://www.yousubtitles.com/The-evolution-of-animal-genitalia-Menno-Schilthuizen-id-685176
Effectivement, il s’agit des Tipula Bellardina (ou araignées d’eau)
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Tipula
Les chercheurs ont mis en évidence le premier cas de stridulation copulatoire chez les insectes : le pénis vibreur du tipule fait en effet office de « vibromasseur ». Cet organe est un édéage modifié, une sorte de pénis chantant dont les vibrations excitent la femelle pendant la copulation.
Genitalic stridulation during copulation in a species of crane fly, Tipula (Bellardina) sp. (Diptera : Tipulidae)
Eberhard et Gelhaus
Rev. biol. trop 57:251-256 (2009)
▻http://www.scielo.sa.cr/scielo.php?script=sci_arttext&pid=S0034-77442009000500021&lng=en.
This is apparently the first direct observation of stridulatory behavior in male genitalia; previous examples of male genital stridulation were based only on observations of apparent file and scraper morphology in dead specimens. Although the observation described here concerns only a single pair, the sustained and highly stereotyped movements that caused the process of the outer gonostylus to scrape repeatedly across the low, closely spaced ridges on the ninth sternite apical lobes, and the appropriate designs of these two genitalic structures for stridulation leave little doubt that these portions of the male’s genitalia function to produce stridulation during copulation. It seems reasonable to conclude that the function of this behavior and of these structures is to stimulate the female, because stridulation behavior is ill-designed for any of the alternative functions that have been mentioned previously for genital movements, such as sensing the female, removing sperm, forcing open female passages, or penetrating more deeply.
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Dans le même genre, on trouve aussi les Micronecta scholtzi, des punaises aquatiques
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/Corixidae#Particularit%C3%A9s
Par sa stridulation qui consiste dans le frottement du pénis contre son abdomen, le mâle de l’espèce Micronecta scholtzi, insecte de deux millimètres qui appartient à la famille des Corixidae, détient le record de volume sonore émis par un insecte (99,2 décibels, soit l’équivalent d’un orchestre au grand complet que l’on écouterait assis au premier rang, pour une moyenne de 79 décibels à 1 mètre de distance). Cette performance en fait l’animal le plus bruyant sur Terre proportionnellement à sa taille. Si 99 % du son émis disparaît hors de l’eau, il demeure audible par l’homme à l’extérieur. Le biologiste Jérôme Sueur explique que « les mâles sont en compétition pour accéder aux femelles et ils essayent de chanter le plus fort possible pour masquer les concurrents ».
So Small, So Loud : Extremely High Sound Pressure Level from a Pygmy Aquatic Insect (Corixidae, Micronectinae)
Sueur J, Mackie D, Windmill JFC
PLoS ONE 6(6) : e21089 (2011)
▻http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0021089
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Et des papillons de nuit aussi
▻https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9t%C3%A9roc%C3%A8res#Le_chant_des_papillons_de_nuit
Ultrasound production by genital stridulation in Syntonarcha iriastis (Lepidoptera : Pyralidae) : long-distance signalling by male moths ?
GWYNNE et EDWARDS
Zoological Journal of the Linnean Society 88:363–376 (1986)
▻https://doi.org/10.1111/j.1096-3642.1986.tb02253.x
‘Un chant d’appel amoureux’ : acoustic communication in moths
W.E. Conner
Journal of Experimental Biology 202:1711-1723 (1999)
▻http://jeb.biologists.org/content/202/13/1711.long
J’ai trouvé ces références dans :
Musical Genitals
Gwen Pearson, le 14 septembre 2013
▻https://membracid.wordpress.com/2013/09/14/musical-genitals
Compilation d’article sur la #sexualité animale et humaine :
►https://seenthis.net/messages/686795
▻http://www.insectescomestibles.fr/blog/pratique-insectes-comestibles-reproduction
Les insectes peuvent tordre leur sexe pour l’accouplement
Pour éviter d’être à l’envers et d’être traîné par la femelle, certains mâles-mouches subissent des torsion génitales : entre 90º 180º avant ou pendant les rapports sexuels, pour quelques espèces, il existe des torsions à 360 degrés . Le mâle mouche approche et doit se transformer ni plus ni moins en cow-boy le temps de l’accouplement. Si on devait comparer ça à l’homme…non en fait on ne le fera pas ça fait déjà trop mal rien que d’y penser.
Les insectes peuvent éjaculer… et perdre leur pénis au passage
abeille-accouplementVous avez bien compris le titre…chez certaines espèces, le sexe est à la fois l’agonie et l’extase : leur pénis explose ou se détache, en restant dans sur la femelle comme un bouchon. Des exemples ? Les abeilles sont peut-être les plus célèbres. D’abord, la jeune reine abeille va chercher les mâles qui la poursuivent alors à grande vitesse : seulement le plus rapide a une chance de s’accoupler mais aussi de mourir. Dans l’accouplement, le pénis du jeune mâle explose avec l’éjaculation, et le mâle éviscéré tombe du ciel pour mourir seul dans le bosquet.
Des insectes à deux pénis : l’exemple des perce-oreilles
Avez-vous un pénis de rechange ? Les chercheurs ont été déconcertés de constater un deuxième pénis chez certaines espèces de perce-oreille. Pourquoi ? une évolution ? Non, le seconde pénis est une pièce de rechange au cas où le premier se détache puisqu’en cas de danger Monsieur Perce-oreille laisse la femelle son sexe détaché encore en elle.
Les coléoptères : un accouplement douloureux
Callosobruchus_analis_penis-315x273 On ne pourrait pas parler de plaisir chez les coléoptères : les femelles sont régulièrement blessées et développent des cicatrices vaginales après l’accouplement. Les chercheurs savaient que les mâles avaient de grandes épines mais n’étaient pas sûrs de ce que les épines faisaient réellement. Ainsi, ils ont rasé certains pénis de coléoptères . Vous faites ça avec un laser, pas un rasoir, au cas où vous poseriez la question^^^ Les chercheurs ont obtenu leur réponse : les pénis d’insectes piquants agissent comme un type de velcro biologique pour aider le mâle à s’accrocher .
La mouche aux testicules géantes
Les testicules de la mouche sont hors normes : elles représentent 10,6% du poids de la mouche. En proportion à taille humaine, les testicules seraient de la taille d’une dinde de Thanksgiving. De grosses testicules mais aussi des spermatozoïdes géants qui vont avec !
Les phasmes sont des maîtres de sexe tantrique
insectthreesome-315x437Pour terminer sur une note plus joyeuse, nous allons examiner les phasmes. Une façon efficace de contrer un concurrent est tout simplement de ne jamais arrêter l’accouplement. Ces insectes peuvent s’accoupler jusqu’à 79 jours .
Quand les enfants découvriront-ils qu’un écureuil ne va pas à l’école ?
▻https://www.franceculture.fr/litterature/anthropomorphisme
En robe à fleurs ou au fond de la classe, la moitié des albums pour enfants prêtent encore aux animaux des caractéristiques humaines. Depuis un siècle, des tentatives émergent pour écorner l’anthropomorphisme de la littérature jeunesse. Depuis peu, le poids de l’écologie y contribue plus que jamais.
#anthropomorphisme #littérature #littérature_jeunesse #livres #enfants #pédagogie
via @erational
Élevage industriel, abattoirs et souffrance animale : non, culpabiliser le consommateur ne sert à rien | A Contrario
▻http://www.acontrario.fr/2017/03/01/elevage-industriel-abattoirs-souffrance-animale-consommateur
Le fantasme de la viande heureuse : que dit-il de nous ?
Les mangeurs de viande sont réceptifs à la culpabilisation. Ils n’ont pas forcément les moyens ni le temps de modifier pour de bon leurs habitudes alimentaires, sauf à consommer moins de viande (c’est une tendance nette depuis une bonne quinzaine d’années et c’est une excellente chose pour la santé), mais le procédé fonctionne.
L’ #anthropomorphisme fonctionne également très bien. Qu’on nous montre des porcelets congelés dans des bras en deuil ou un élevage « à taille humaine », avec un gars débonnaire qui parle d’amour pour ses animaux, leur donne des prénoms, les câline et évoque leur bonheur, on a le coeur qui fond de tristesse ou de tendresse et on peut être amené à se dire : « Voilà la viande que je voudrais manger ! Une viande dont je saurais qu’elle a été heureuse ! ». C’est un joli rêve. En vérité, ce qu’on souhaite tout au fond de nous, ce n’est pas le bonheur de notre viande ni l’assurance que l’éleveur vit décemment de son travail. Ce qu’on veut, c’est cesser de se sentir coupables et continuer à acheter et à manger de la viande sans être embarrassés par notre conscience.
De la même façon qu’on nous vend de la peur et de la culpabilité, on nous vend l’utopie d’un élevage qui serait à la fois industriel et heureux, et qui pourrait résoudre l’insoluble équation du mangeur de #viande honteux : réduction du stress pour les animaux, conditions de transport et d’abattage « décentes », toutes mesures apparemment destinées à rendre la filière viande plus éthique. Sauf qu’on nous ment à toutes les étapes, non ?
Le stress de l’ #animal par exemple : celles et ceux qui ont un jour lu les romans ruraux de Claude Michelet le savent, le stress comme une poussée de fièvre avant l’abattage d’une vache nuit à la qualité de la viande et la rend moins tendre. Cette vérité est aujourd’hui scientifiquement établie et le film en fait état. Si l’industrie agro-alimentaire souhaite réduire le stress des vaches avant l’abattage, ce n’est pas donc pas pour améliorer le bien-être des animaux mais pour préserver la rentabilité à chaque étape des opérations.
Quant aux cadences de croissance et aux conditions de vie épouvantables des animaux, de leur naissance à leur abattage, la cause première n’est ni la cruauté ni l’indifférence des éleveurs mais toujours cette obligation de rentabilité, directement liée au fonctionnement de l’industrie agro-alimentaire, fonctionnement qui répond à des impératifs financiers et à une logique commerciale implacable. Le marketing du goût conditionne nos envies, et quand un éleveur dit face à la caméra « C’est le consommateur qui veut ça », il est loin du compte et il en est en partie conscient. Cela fait-il de lui un coupable par essence ?
La fantasme de la viande heureuse nous aide à nous défausser et à oublier que nous sommes le maillon faible d’un système à pognon, tout au bout de la chaîne de l’industrie agro-alimentaire. Une heure de culpabilisation télévisée nous permet de payer notre tribut et de continuer à manger de la viande en nous promettant de faire des efforts, sans que les journalistes ne prennent la peine de nous donner d’autres pistes de réflexion : interroger les maillons forts de l’élevage industriel ? Vous plaisantez ! Il n’en est pas question. Restons dans la facilité et désignons le consommateur comme bourreau final de cet engrenage ignoble. Obligeons-le à regarder en face les grands yeux bordés de longs cils du steak qu’il se grillera demain, et amenons-le à voir le porc de sa tranche de jambon comme un bébé mort dans les bras d’un manifestant accusateur.
L’ #industrie_agro-alimentaire est un grand méchant tout, qu’on résume à des consommateurs prétendument aveuglés : fantasmer une viande heureuse garantit l’économie de toute réflexion de fond et permet aux maillons forts de ce système de prospérer sans être inquiétés. Et au final, la réalité reste la même : manger de la viande implique de tuer des animaux. Aussi vertueux que soit le souhait d’améliorer leurs conditions de vie, de transport et d’abattage, cela ne modifie en rien le fait qu’on les élève pour être tués. Le tour de passe-passe mental visant à tordre cette vérité en l’habillant de conditions « décentes », voire « humaines » n’est que poudre aux yeux.
Pourquoi tu dit qu’elle « confond » deux approches ? Elles ne fait que parlé de deux aspects différents du problème posé par un docu diffusé sur F2. Docu qui passe à la TV et qui s’adresse à un publique de masse plus susceptible de vivre en ville (+ de 75% de la population française est urbaine ▻http://www.observationsociete.fr/population/donneesgeneralespopulation/la-part-de-la-population-vivant-en-ville-plafonne.html ) et de chopper du jambon au supermarché ( 72% des achats en France ▻http://www.lefigaro.fr/conso/2014/12/12/05007-20141212ARTFIG00012-grande-surface-petit-commerce-internet-o-les-fran ).
Pour moi les deux aspects évoqués dans son texte sont :
a- La réduction du problème aux seul·e·s consommateurices qui sont culpabilisé·e·s et ce qui évite de critiquer l’industrie. Procédé bien pratique pour dépolitisé le problème - Cf question du choix individuel.
b-Une critique de la notion de « Viande heureuse » qui est une réponse à cette culpabilisation dula consommateurice utilisée par l’industrie qui instrumentalise les 1% d’éleveureuses auquel tu te réfère, au bénéfice de 99% de la pratique.
Pour cette instrumentalisation, c’est un classique, comme une faculté spécial des groupes dominants à s’accommoder de tout. On a vu ca avec le bio qui est devenu une norme très souple qui permet à la grande distribution de faire du bio n’importe comment.
Ca me rappel « No Logo » avec cette idée que le capitalisme (via la pub) récupère absolument tout, y compris l’anticapitalisme.
Je crois que miss Tourterelle n’a pas apprécié mon éclat de rire... (point #anthropomorphisme assumé)
ValK. a posté une photo :
En tout premier, j’ai lu « cartes entrelacées ». Merci @touti pour ces quelques secondes de bonheur :)
Je n’ai pas mis la main sur tes cartes entrelacées, mais sur un petit site sympa, j’y découvre des #légumes_pensées
▻http://sols-et-fruits.e-monsite.com/album-photos/carottes-enlacees.html
Y a-t-il un alpha dans la meute ?
▻https://www.letemps.ch/societe/2016/07/28/y-atil-un-alpha-meute
TL ;DR : Non.
L’« animal alpha » continue à rôder dans les limbes des concepts zombies – les idées mortes-vivantes qui grignotent nos cerveaux. — Permalink
Le hic ? Mech le dévoile en 1999 : à l’image de Schenkel, qui observait les loups du zoo de Bâle, « la plupart des études sur la dynamique sociale des meutes de loups ont été conduites sur des regroupements artificiels d’animaux en captivité ». Mech lui-même a observé des loups en liberté, mais, comme cela arrive souvent, il a vu ce qu’il avait lu chez Schenkel plutôt que ce qu’il avait sous les yeux. A l’état sauvage, explique-t-il, le « couple alpha » est en réalité un couple parental, dont le reste du groupe est la progéniture : « la meute de loups typique est une famille ». Exit le modèle classique de la dominance animale. Qui, à vrai dire, avait déjà été ébranlé trente ans plus tôt.
Re-flash-back. On est au début des années 60. La primatologue britannique Thelma Rowell publie une série d’études basées sur ses observations chez les babouins de la forêt d’Ishasha, en Ouganda. Signes particuliers : ces singes, membres d’une espèce réputée belliqueuse et hiérarchique, « ne connaissaient pas la hiérarchie ». Mieux : « une atmosphère paisible règne dans la troupe, les agressions sont rares et les mâles semblent beaucoup plus attentifs à coopérer qu’à entretenir la compétition », rapporte la philosophe des sciences belge Vinciane Despret, qui reprend et développe les études de Thelma Rowell, dans son livre Que diraient les animaux si on leur posait les bonnes questions ? (2012). Encore plus étonnant, « il ne semble pas y avoir de hiérarchie entre mâles et femelles ».
Babouins et management
Perturbés par ce constat, les confrères de la primatologue suggèrent que les « extravagances babouines d’Ishasha » doivent être dues à des « circonstances écologiques exceptionnelles » : cette forêt, disent-ils, est un « véritable paradis terrestre avec ses arbres offrant abris contre les prédateurs, sites de sommeil et, surtout, abondance de nourriture »… Mais Thelma Rowell a une autre explication. Analysant les études menées jusque-là sur les babouins, elle découvre que les résultats se classent en trois types : d’un côté, « des animaux qui visiblement ne sont pas très intéressés par la hiérarchie » ; pour ceux-ci, les primatologues ont forgé le concept étonnant d’une « dominance latente », c’est-à-dire invisible.
Viennent ensuite les études en captivité : c’est en observant les babouins du zoo de Londres que le zoologiste Solly Zuckermann a élaboré la théorie de la dominance, à la fin des années 1920. L’histoire de cette colonie est un cauchemar simiesque : 110 babouins, essentiellement mâles, sont rassemblés dans un enclos ; une trentaine sont tués par leurs congénères en l’espace de six mois ; les effectifs sont alors renfloués en ajoutant une trentaine de femelles ; et les bagarres redoublent en intensité. Moralité ? Zuckermann croit voir là un comportement naturel, alors qu’il observe la pagaille que le zoo lui-même a créée… Le dernier type d’études identifié par Thelma Rowell est basé sur des observations faites en nature, mais « les chercheurs ont nourri les animaux pour les attirer » : ces bouchées balancées aux singes suscitent une compétition et font émerger une hiérarchie qui jusque-là n’existait pas. Il s’agit là de ce que les scientifiques appellent un « artéfact » : un phénomène qu’on observe parce qu’on l’a créé.
#andromorphisme #anthropomorphisme #zoologie #éthologie #loups #primates #mâlealphisme
Ian Kerr, Canada Research Chair in Ethics, Law and Technology at the University of Ottawa, on the implications of human-robot relationships
▻http://www.cbc.ca/player/play/2685221555
#unpredictability #anthropomorphism #manipulation #armement #robots_tueurs #voitures_autopilotées
the million-dollar question: how to keep meaningful human control on robots
Ian Kerr : ▻http://iankerr.ca
Un ouvrier tué par un robot « en cage » en Allemagne
▻http://rue89.nouvelobs.com/2015/07/02/ouvrier-tue-robot-allemagne-260064
Il a également déclenché un humour macabre car la journaliste du FT qui a révélé l’affaire s’appelle Sarah O’Connor, et certains internautes ont fait le parallèle avec Sarah Connor, personnage de fiction de la série des Terminator, dont le père perd son travail, remplacé par une machine... La journaliste n’a pas apprécié.
#anthropomorphisme
on y décèle des intentions. Une fausse « premiere fois ». On l’appelle Le robot, plutot que bras robotisé hydrolique. Donc anthropomorphisme.
Envoyez des drones pour l’abattre !
rappel
Les accidents du travail dus aux machines sont en nette diminution depuis 1990 mais le risque ne doit pas être sous-estimé car les accidents dus aux machines sont souvent graves.
[Pour la France] En 2011, on recensait 22 516 accidents de travail avec arrêt dont 1 990 ayant entraîné une incapacité permanente.
Si le nombre d’accidents du travail avec arrêt enregistré en 2012 a nettement diminué à 19 463 accidents de travail, le nombre d’accidents ayant entraîné une incapacité permanente est resté stable à 1 989 et 6 décès sont à déplorer (contre 4 en 2011)
« perdre sa vie à la gagner ». C’est énorme.
Disons que j’ai bien aimé le gag du nom de la journaliste, voilà !
VIDÉO. Un bourdon en sauve un autre d’une araignée
▻http://www.huffingtonpost.fr/2014/06/12/bourdon-sauve-bourdon-toile-araignee_n_5487058.html
INSOLITE - Les bourdons aussi ont droit à leur moment de gloire. Dans cette vidéo filmée par un internaute anglais nommé Keith Adams, un bourdon vient au secours d’un autre, piégé dans la toile d’une araignée.
Ça m’agace un peu, ces non-anecdotes où les gens cherchent à retrouver des attitudes humaines dans le comportement des animaux.
Merci @monolecte, c’est le mot que je cherchais.
La domination des chats | Damien Babet
►http://owni.fr/2011/10/27/la-domination-des-chats
Comment expliquer que les #lolcats, ces images de chat avec des légendes comiques, soient un tel succès ? Analyse sous l’angle sociologique avec un détour par Bernard Montiel.