• Brèves de presse sur Twitter : « 🔴🇲🇫INFO - Pour tenter de calmer la colère des #policiers, le min. de l’Intérieur Christophe #Castaner envisage d’autoriser la pratique de la clé d’étranglement respiratoire. C’est-à-dire qd le policier appuie son bras sur la trachée de l’interpellé. (BFM) » / Twitter
    https://twitter.com/Brevesdepresse/status/1271172014867447809

    Christophe Castaner envisage de revenir en partie sur l’interdiction de la clé d’étranglement
    https://www.bfmtv.com/police-justice/christophe-castaner-envisage-de-revenir-en-partie-sur-l-interdiction-de-la-cl

    ... il n’est pas question pour le ministre de parler de rétropédalage. La clé d’étranglement respiratoire prendra sûrement une autre #appellation, telle que la prise par le cou ou par derrière. Toute la #subtilité tiendra dans la terminologie choisie par le ministère lors de l’annonce.

    #sans_vergogne #France

  • La #viticulture_bio peut-elle se passer du #terroir et du label Appellation d’Origine Contrôlée (#AOC) ? Ou bien est-elle un moyen pour reformuler terroir et AOC en lien avec les attentes des #consommateurs ? Le film est ici :

    https://sms.hypotheses.org/11670

    #vin, #viticulture, #viticulteur, #AOC, #appellation, #terroir, #consommateur, #film, #documentaire, #alcool, #biologique, #bio, #cépage, #œnologique, #œnologue, #vignoble, #gaillac, #consommateur, #écosystème, #pratique

  • Nommer les nouveaux territoires en #Bretagne : actes vidéo d’un colloque

    Le site de l’association Bretagne Culture Diversité propose un compte rendu exhaustif des contributions au colloque « Nommer les territoires – Réflexions sur les appellations des nouvelles collectivités » .

    Celui-ci s’est tenu à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Saint-Brieuc le 24 novembre 2017. Il proposait un ensemble d’interventions motivées par les changements toponymiques liés aux nouveaux noms des communes nouvelles (issues de la fusion de communes), nombreuses en Bretagne. Ces nouveaux noms peuvent introduire des références nouvelles et externes en effaçant une partie du patrimoine toponymique et linguistique breton. Cette inquiétude avait généré des prises de position et ce colloque vise à mettre en perspective cette question.

    On trouve ainsi les interventions suivantes (dont celle Lucas Destrem qui représentait le groupe Néotoponymie)

    https://neotopo.hypotheses.org/1029
    #toponymie

    « Nommer les #territoires » - Réflexions sur l’#appellation des nouvelles collectivités

    L’actualité a récemment souligné l’importance du nom que l’on donne à un territoire, notamment dans le cas des nouvelles collectivités territoriales. Comment peut-on expliquer les réactions parfois vives qui s’ensuivent ? Comment tenir compte des enjeux liés à l’appellation ? Existe-t-il une ou des méthode(s) qui permettraient aux collectivités d’aborder ces questions avec sérénité ?


    http://bcd.bzh/becedia/fr/nommer-les-territoires-reflexions-sur-l-appellation-des-nouvelles-collectivites

  • Drogues et agriculture : une interaction méconnue | IRIS
    http://www.iris-france.org/106922-drogues-et-agriculture-une-interaction-meconnue

    Tout ceci nous ramène à l’#agriculture. Le cannabis est, en effet, soulignons-le nettement, un produit agricole non-alimentaire. Et la #Californie représente la ferme des #États-Unis. C’est un État agricole puissant où l’innovation dans les champs n’est donc pas que technologique aujourd’hui. La Californie produit 6000 tonnes de #marijuana, qui représentent cinq fois sa consommation intérieure et une manne fiscale importante pour ses finances publiques (1 milliard de dollars selon les estimations à maturité du marché). Une filière se met en place, avec des exploitations qui se convertissent sur cette culture à haute valeur ajoutée. Des organisations professionnelles spécifiques (California growers association, California canabis industry association) coexistent avec des producteurs locaux qui revendiquent des « #appellations » selon les #terroirs. À cela s’ajoutent la prolifération de start-ups de Silicon Valley, se positionnant sur la filière #cannabis et dont les levées de fonds battent des records.

    Le cannabis ne mettra sans doute pas en péril la puissante ferme californienne. De sérieuses limites au développement de la filière méritent d’être indiquées : une règlementation stricte (permis de production), une fiscalité élevée ou un plafond foncier très faible (une acre soit 4000 mètres carrés) sur 5 ans pour freiner l’émergence d’une agriculture de firme et capitalistique. Mais sa production pourrait toutefois gagner du terrain au détriment des filières horticoles et de fruits et légumes, car ces cultures ont des besoins analogues en énergie, eau et en infrastructures (cultures sous serres). En outre, la production californienne excède déjà largement la consommation locale dans l’État. Sachant que les exportations interétatiques de cannabis sont interdites sur le sol américain, nous observons donc dans une explosion du marché noir dans les villes californiennes.

  • Le meilleur vigneron de Pouilly-Fumé dépouillé de son #AOC | No wine is innocent | Rue89 Les blogs
    http://blogs.rue89.nouvelobs.com/no-wine-is-innocent/2015/09/18/le-meilleur-vigneron-de-pouilly-fume-depouille-de-son-aoc-234

    « Deuxième dégustation d’agrément vers mai 2014. Coup de fil : “Votre vin, M. Bain, il est oxydé...” C’est ce jour-là que j’ai compris qu’un vin tel que je le fais, en bio et biodynamie, avec des raisins mûrs, des peaux qui se sont affinées en cours d’élevage, des pépins qui sont devenus marrons et qui cassent comme un bris de verre, un vin sans arômes herbacés... Plus la fermentation malolactique, qui donne des vins plus digestes. Un vin pareil, ça ne passe pas.

    Avec ma femme, on s’est d’abord dit “Après tout, on va se mettre en vin de table.” Mais mon vin, il s’appelle Pouilly-Fumé, pourquoi on l’appellerait autrement ? Moi, je m’appelle Alexandre, pas Robert.

    Ici, tu peux faire des sauvignons [le cépage du pouilly-fumé, ndlr] californiens, et inversement... Si on joue la carte cépage-cépage-cépage, ça ne me plaît pas. Moi, je considère qu’on a des terroirs, et donc il faut élever les vins.

    Chaque année, je vois le terroir sortir, le côté variétal s’efface au profit de quelque chose de plus exotique. La bouche n’est plus courte et acidulée, mais tu gagnes en longueur, tu as une acidité différente couplée à une grosse minéralité, mot fourre-tout que je n’aime pas, mais tu as vraiment l’impression d’avoir sur la langue une pierre fondue. C’est ce que je recherche, mais c’est absolument pas ce qui est recherché. »

    « Des gens cautionnent notre travail »

    Voilà l’un des problèmes d’Alexandre Bain, il fait différemment, selon nombre de commentateurs il fait mieux et, plus grave, ça se voit, ça se sait.

    « J’ai bien compris que le principe des gens qui composent le comité de dégustation d’agrément, c’est de refuser tout produit différent du cadre qu’impose l’appellation #Pouilly-Fumé. Et alors on trouve un motif : éventé, oxydé, ou autre.

    Mais quand tu es dans 17 des 50 meilleurs restos du monde, que tu fais du bio, que tu introduis des chevaux, et à la fin tu as le sourire du sommelier, du caviste, du client. Que tu as des articles dans des médias nationaux, les guides... Tous ces gens cautionnent notre travail. Donc remettre en question mes vins, c’est remettre en question le niveau de compétence de ces gens, comme Alexandre Jean, le chef sommelier à L’Astrance, ou le caviste Marc Sibard, ou Mickaël de Crus et Découvertes, ou Olivier Roblin des Caves du Panthéon. »

    #vin #mode #appellation #biodynamie #sans_sulfite

  • #revue #parution
    Géographie(s) et Droit(s)

    Nadia Belaidi et Geneviève Koubi
    Droit et Géographie [Texte intégral]
    Construire une approche pour (re)lire l’#environnement
    Law and Geography. Towards an approach to read (over) environment
    Éric Rouvellac
    La construction des #appellations_viticoles et la géographie juridique [Texte intégral]
    De l’élaboration de limites dans le cadre du projet de hiérarchisation d’une aire viticole, le cas de l’#AOC Cahors (Lot), ou comment introduire du droit dans une démarche géographique
    The construction of the guaranteed vintage and the legal geography ; of the elaboration of limits within the framework of the project of hierarchical organization of a wine-making area, the case of the guaranteed vintage of Cahors (Lot), or how to introduce some law into a geographical approach
    Stéphanie De Carrara et Yves-François Le Lay
    Quand l’usage fait #patrimoine. Vers une patrimonialisation des usages et des #paysages_culturels ? [Texte intégral]
    L’exemple de la Dombes
    When Uses Make Heritage : Towards the Recognition of Uses and Cultural Landscapes as Heritage ? The Case of Ponds in the Dombes Area (France)
    Antonio Azuela, Patrice Melé et Vicente Ugalde
    Conflits de proximité et rapport(s) au(x) droit(s) [Texte intégral]
    Proximity conflicts and their relations to right(s)
    Geneviève Koubi
    Construire des espaces en Droit. Des vocables empruntés à la Géographie [Texte intégral]
    Build « spaces » in law. Words borrowed from Geography
    Nadia Belaidi
    Théorie du droit et #front_écologique : apport à la (re)définition de la #justice_environnementale [Texte intégral]
    Theory of law and ecofrontier : Contribution to the (re)definition of the environmental justice
    Jean-François Boudet
    La #géographie_juridique. Recherche et limite d’une définition [Texte intégral]
    The « legal geography ». Research and limited definition

    http://developpementdurable.revues.org/10714
    #droit #droits