Usbek & Rica - Ariane Lavrilleux : « Une dictature se construit brique par brique »
▻https://usbeketrica.com/fr/article/ariane-lavrilleux-on-risque-d-entrer-dans-une-ere-tres-sombre
La France se targue d’être l’un des pays les plus libertaires au monde, mais est-ce vraiment le cas en 2023 ? Pour la journaliste Ariane Lavrilleux, perquisitionnée et détenue trente-neuf heures suite à des enquêtes pour le média indépendant Disclose, l’état de santé de notre démocratie est à surveiller de près. Entretien.
]]>Ariane Lavrilleux au Parlement européen : « La France pousse pour l’espionnage des journalistes »
▻https://disclose.ngo/fr/article/ariane-lavrilleux-au-parlement-europeen-la-france-pousse-pour-lespionnage-
Un mois après sa garde à vue et la perquisition de son domicile par les agents de la DGSI, la journaliste de Disclose, Ariane Lavrilleux, est intervenue au Parlement européen, mardi 17 octobre, pour dénoncer les menaces croissantes pour la liberté de la presse en France. Lire l’article
]]>Tout travail journalistique censuré mérite d’être mis en lumière :
►https://disclose.ngo/fr/article/video-sirli-la-france-complice-de-crimes-detat-en-egypte
Sirli, la France complice de crimes d’État en Égypte
Depuis 2016, la direction du renseignement militaire mène une opération secrète dans le désert occidental égyptien, au service de la dictature du maréchal Al-Sissi. Révélations.
Les documents « confidentiel-défense » obtenu par Disclose révèlent l’existence d’une opération militaire secrète, la mission Sirli, utilisée par la dictature égyptienne pour bombarder des civils. Malgré de nombreuses alertes, ni François Hollande ni Emmanuel Macron n’ont mis fin à l’opération.
]]>La France teste le premier avion hypersonique Ryabov Kirill - Topwar.ru
Il y a quelques années, la France lançait son propre programme hypersonique dont le but ultime est de créer des armes fondamentalement nouvelles. À ce jour, sur ordre du département militaire, un avion expérimental VMaX a été développé, conçu pour tester de nouvelles technologies. L’autre jour, il a fait son premier vol et a démontré ses vraies caractéristiques. À présent, le client et l’entrepreneur étudient les résultats du premier vol et élaborent des plans pour l’avenir.
Développement expérimental
Le développement de « l’avion de manœuvre expérimental » Véhicule Manœuvrant eXpérimental (VMaX) a été annoncé pour la première fois par le ministère français des Armées en janvier 2019. Comme indiqué à l’époque, l’objectif du projet est de créer et de tester de nouvelles technologies. . À l’avenir, l’expérience du projet VMAX pourra être utilisée pour créer des systèmes de frappe à part entière pour l’armée.
La gestion globale du programme VMaX a été assurée par la Direction Générale de l’Armement du Ministère de la Défense (DGA). Le développement et la construction ont été confiés au groupe Ariane (coentreprise entre Airbus et Safran). La partie recherche du projet a été assurée par le Centre National de Recherche Aérospatiale ONERA.
Selon les plans initiaux, le développement du projet et la construction du premier produit VMaX, suivis de la préparation des tests, auraient dû prendre moins de trois ans. Le premier lancement de test était prévu pour fin 2021. Apparemment, le projet s’est avéré plus difficile que prévu et les principales étapes ont dû être déplacées vers la droite. Comme il est maintenant clair, l’assemblage d’un avion expérimental n’a été achevé que cette année. La préparation des tests a également eu lieu dans un passé récent.
Le premier lancement test de l’appareil VMaX a eu lieu le soir du 26 juin sur le terrain d’entraînement de Biscarrosse (Rég. Aquitaine) dans le sud-ouest de la France. Le décollage, le lancement sur la trajectoire calculée et l’accélération à la vitesse requise ont été assurés par une fusée géophysique rééquipée d’un des modèles disponibles.
Le lancement a été effectué en direction de l’océan Atlantique. Après avoir volé le long d’une trajectoire donnée, le prototype est tombé à l’eau. Une traînée d’une fusée et d’un avion a été observée dans les régions du sud de la France et du nord de l’Espagne.
Selon un communiqué de la DGA, de nombreuses nouvelles technologies ont été utilisées pour préparer ces tests. Des problèmes techniques sans précédent ont été résolus, ce qui permettra de poursuivre le développement du programme national hypersonique. De plus, selon les résultats de ces tests, la France est entrée dans un cercle restreint d’États capables de créer des avions hypersoniques.
Problèmes techniques
Le département militaire et les développeurs du projet VMaX n’ont pas encore dévoilé l’apparence de l’appareil expérimental et n’ont pas nommé ses caractéristiques exactes. Le potentiel de ce produit en termes d’adaptation de la conception pour résoudre des missions de combat spécifiques reste également inconnu. Cependant, il existe certaines informations pour aider à construire une vue d’ensemble.
Selon les versions les plus populaires, le prototype VMaX est un planeur hypersonique sans son propre système de propulsion. Le vol s’effectue uniquement grâce à l’énergie reçue lors de l’accélération due au lanceur. L’apparence de l’appareil est cachée, mais on peut supposer qu’il ne présente pas de différences fondamentales par rapport aux équipements étrangers de cette classe.
Le lancement a été effectué à l’aide d’une fusée géophysique, dont le type n’a pas été nommé. Il a placé le compartiment de tête sous la forme d’un carénage avec un VMaX hypersonique à l’intérieur. Le centre ONERA dispose de missiles de plusieurs modèles aux caractéristiques différentes. Sur la base de leurs paramètres, on peut supposer que l’avion expérimental a une longueur pouvant atteindre plusieurs mètres et une largeur/diamètre disproportionnellement petit. Poids maximal - 150-200 kg.
Les responsables ont précédemment divulgué des objectifs de vitesse anémométrique. Selon certaines déclarations, VMaX devrait voler à une vitesse supérieure à Mach 5. Selon d’autres sources, ce paramètre dépasse 6 XNUMX km / h. Les caractéristiques d’altitude n’ont pas été divulguées, mais il est clair que la partie hypersonique du vol se déroule dans la stratosphère.
Des photographies et des vidéos de spectateurs du vol montrent la traînée comme une ligne blanche incurvée. Sa forme peut s’expliquer par l’influence des courants d’air ou par les manœuvres de l’avion sur les trajectoires. Apparemment, VMaX dispose d’un pilote automatique à part entière avec des systèmes de navigation et des commandes. Sans perte importante d’énergie cinétique, le planeur doit effectuer des manœuvres simples d’altitude et de cap. On ne sait pas dans quelle mesure il peut s’écarter de la trajectoire d’origine.
Un avion hypersonique doit transporter une certaine charge utile. Dans le cas d’un démonstrateur technologique, seuls les équipements de contrôle et les moyens d’enregistrement/transmission des données sont nécessaires. Avec la poursuite du développement du projet, l’ogive remplacera ces dispositifs.
Plans pour l’avenir
Dans un avenir proche, le ministère de la Défense, le groupe Ariane et l’ONERA étudieront les résultats du premier lancement test et en tireront les conclusions nécessaires. Ensuite, il est prévu de développer une version améliorée du projet existant avec des caractéristiques techniques accrues. Un tel appareil a été mentionné à plusieurs reprises sous le nom de VMaX-2.
Les essais de la deuxième version de la cellule hypersonique devraient avoir lieu en 2024-25. Sur la base des résultats de cet événement, le client et les développeurs tireront à nouveau des conclusions, ainsi que détermineront l’avenir de l’ensemble du programme et de la direction. Si le département militaire prend une décision appropriée, le programme VMaX sera développé et conduira probablement à l’émergence d’un système de missile hypersonique à part entière.
La manière exacte dont les développements du projet VMaX actuel peuvent être utilisés n’a pas encore été signalée. Selon diverses estimations, l’ogive de planification peut être utilisée comme charge utile pour les missiles balistiques sous-marins. Dans ce cas, la seule composante des forces nucléaires stratégiques françaises recevra des capacités fondamentalement nouvelles et améliorera considérablement son potentiel.
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Concept de cellule hypersonique Raytheon
Cependant, le calendrier de la mise en œuvre de tous les travaux nécessaires est toujours en question. Le projet VMaX-2 sera mis à l’essai au plus tôt deux ans plus tard, après quoi il faudra un certain temps pour analyser ses résultats et élaborer d’autres plans. Le développement d’une ogive à part entière et, éventuellement, de SLBM pour celle-ci durera encore plusieurs années. En raison du long temps de développement, les porteurs de promesses оружия, très probablement, ce ne seront pas les SNLE actuels de type Triomphant, mais les prometteurs navires SNLE 3G, dont le développement a commencé dans un passé récent.
A noter que VMaX n’est pas le seul projet hypersonique français. Ainsi, la DGA, en collaboration avec le groupe Ariane, développe un missile de croisière aéroporté de nouvelle génération prometteur ASN4G (Air-Sol Nucléaire de 4ème Génération). Ce produit sera équipé d’un statoréacteur hypersonique, en cours de réalisation dans le cadre d’une collaboration entre l’ONERA et MBDA.
Il faudra au moins 4 à 10 ans pour développer, tester et préparer la production de la fusée ASN12G. Il est prévu d’être adopté par l’Armée de l’Air et la Marine. aviation seulement au milieu de la trentaine. Cela montre, entre autres, qu’à l’heure actuelle, les technologies clés du projet prometteur en sont aux tout premiers stades de développement.
club hypersonique
Ainsi, l’industrie française, mandatée par le département militaire, a non seulement développé un avion hypersonique, mais l’a également testé avec succès pour la première fois. Cela démontre son potentiel et ses capacités, et introduit également la France dans un "club" étroit de pays dotés de technologies hypersoniques.
La poursuite du développement des développements existants au cours des prochaines années devrait conduire à l’émergence d’au moins deux modèles d’armes fondamentalement nouvelles à hautes performances. On ignore encore s’il sera possible de créer de nouveaux missiles. Cependant, la question du prestige national dans ce contexte a déjà été résolue - la France a montré ses capacités technologiques.
#France #Aviation #hypersonique #armes #VMAX #DGA #ONERA #technologies #Ariane #Airbus #Safran #ASN4G
Source : ▻https://fr.topwar.ru/220474-francija-vpervye-ispytala-giperzvukovoj-letatelnyj-apparat.html
]]>France attacks religion secularism radicalism blasphemy
–-> article retiré:
–—
Copié ici:
Another string of jihadist attacks has shaken France. The most recent, at a church in Nice, left three people dead, only two weeks after a teacher was beheaded on the outskirts of Paris after he displayed cartoons of the prophet Mohammed in his classroom.
Why is France targeted, over and over again, by violent extremists? Germany, England, Italy and even Denmark — where cartoons of controversial Mohammed were first published — have not seen comparable violence.
The reason is simple: France’s extreme form of secularism and its embrace of blasphemy, which has fueled radicalism among a marginalized minority.
Specifically, the latest round of violence follows the decision earlier this month by the satirical newspaper Charlie Hebdo to mark the beginning of a trial over a murderous attack on its newsroom in 2015 by republishing the blasphemous cartoons of Mohammed that prompted the original assault.
This duo — radical secularism and religious radicalism — have been engaged in a deadly dance ever since.
Traditionally, French secularism requires the state to be neutral and calls for respect for religions in the public space, in order to avoid the rise of religious intolerance.
In modern times, however, it has become something far more extreme. The moderate secularism that prevailed as recently as the 1970s has been replaced with something more like a civil religion.
It’s a belief system that has its own priests (government ministers), its pontiff (the president of the republic), its acolytes (intellectuals) and its heretics (anyone who calls for a less antagonistic attitude toward Islam is rejected and branded an “Islamo-leftist”).
One of the defining features of this new secularism is the promotion of religious blasphemy — and, in particular, its extreme expression in the form of caricatures like those of Mohammed.
This embrace was on full display following the murder of the teacher who showed cartoons of Mohammed in his classes, when many French intellectuals came out in praise of blasphemy and defended the government’s unequivocal defense of the right to free expression.
They should have considered their words more carefully.
In Western Europe the right to blaspheme is legally recognized. But it is one thing to protect the freedom to blaspheme and another to enthusiastically exhort blasphemy, as is the case in France.
Blasphemy is a non-argumentative and sarcastic form of free speech. It should be used, at best, with moderation in a country where between 6 percent and 8 percent of the population is Muslim, most of whose parents or grandparents emigrated from French colonies in North Africa.
Defenders of blasphemy invoke freedom of expression, but what blasphemy does, in fact, is trap France in a vicious cycle of reactivity to jihadist terror that makes it less free and less autonomous.
The immoderate use of caricatures in name of the right to blaspheme ultimately undermines public debate: It stigmatizes and humiliates even the most moderate or secular Muslims, many of whom do not understand French secularists’ obsessive focus on Islam, the veil, daily prayers or Islamic teachings.
The result is a harmful cycle: provocation, counter-provocation, and a society’s descent into hell. As French secularism has become radicalized, the number of jihadist attacks in the country has multiplied.
French secularists claim to be fighting for freedom of expression. As they do so, innocent people are dying, Muslims around the world are rejecting French values and boycotting the country’s products, and French Muslims are facing restrictions on their freedom of expression in the name of thwarting Islamist propaganda.
France is paying a heavy price for its fundamentalist secularism, both inside and outside its own borders.
▻https://www.1news.info/european-news/france-s-dangerous-religion-of-secularism-798875
#Farhad_Khosrokhavar #terrorisme #religion #sécularisme #blasphème #extrémisme #France #violence #minorité_marginalisée #radicalisme #radicalisation #Charlie_Hebdo #radicalisme_religieux #sécularisme_radical #religion_civile #islamo-gauchisme #caricatures #liberté_d'expression #débat_public #provocation #contre-provocation #sécularisme_fondamentaliste
L’artiste passe-muraille ? | Espacestemps.net
▻https://www.espacestemps.net/articles/lartiste-passe-muraille
« Le bruit de sa renommée commençait à le lasser et depuis son séjour à la Santé, il était un peu blasé sur le plaisir de passer à travers les murs. Les plus épais, les plus orgueilleux, lui semblaient maintenant de simples paravents, et il rêvait de s’enfoncer au cœur de quelque massive pyramide. Tout en mûrissant le projet d’un voyage en Égypte, il menait une vie des plus paisibles […] »
Marcel Aymé. 1943. Le passe-muraille. Paris : Gallimard.
Dans la nouvelle à laquelle le personnage de Marcel Aymé a donné son nom, le Passe-Muraille est un homme anodin qui se découvre une faculté inouïe, celle de pouvoir traverser la pierre sans que son corps en soit affecté. Au-delà de quelques bénéfices immédiats, larcins et conquêtes amoureuses, il se lasse cependant de cette faculté magique et finit par commettre une imprudence qui lui vaut d’être rattrapé par la matière d’une muraille qu’il traversait, « une matière encore fluide, mais qui devenait pâteuse et prenait, à chacun de ses efforts, plus de consistance » (Aymé 1943) et qui finit par l’enserrer à jamais. Écrit sous l’occupation, le texte porte ce rêve de tous ceux qui, enfermés dans une réalité qui les étouffe, voudraient pouvoir en franchir les limites sans souffrir. Ce souhait, certainement, pourrait être exprimé par deux populations qui vivent au Proche-Orient, déchirées par une fragmentation géopolitique matérialisée depuis 2003 par une barrière, les Israéliens et les Palestiniens. Pourtant, les recherches (Lévy 2007, Latte Abdallah et Parizot 2011) tendent à montrer qu’une telle initiative, dont l’objectif semble être à première vue d’opérer une séparation territoriale, remplit de fait un but plus complexe pour les Israéliens, celui d’opacifier leur action en Cisjordanie.
#art #cisjodanie #ariane_littman #installation_artistique #frontières
]]>▻https://www.foudetheatre.com/post/et-si-je-vous-parlais-de-mon-avignon
Salut, mes petits fous. Il est temps pour moi de faire le bilan de cette expérience hors norme que j’ai eu la chance de vivre en Avignon.
Cette année plus de 1500 spectacles. Plus de 300 accréditations "presse". Des milliers de spectateurs de toute la France mais aussi d’ailleurs. J’ai croisé plein de Belges, des Italiens et même des Québécois. Et quels spectateurs ! J’ai été vraiment surpris par le niveau et l’implication des fous de théâtre. Leurs cultures. Leurs connaissances. Il est troublant de voir ces salles combles avec un public hyperconcentré du début jusqu’à la fin. Je tiens à faire un hommage tout particulier aux comédiens qui jouent parfois plusieurs pièces dans la même journée. Qui n’ont pas vraiment le temps pour une concentration maximum et qui doivent souvent gérer leurs propres accessoires et costumes. Les techniciens, éclairagistes, régisseurs, font un travail incroyable pour que tout fonctionne au cordeau, car le temps est particulièrement précieux avec toutes ces pièces qui s’enchaînent continuellement. Le régisseur du théâtre La Luna (il se reconnaîtra) est quelqu’un de particulièrement charmant qui m’a sauvé de quelques coups difficiles. Les responsables de diffusion sont ultra sollicités et toujours souriants.
Le festival OFF d’Avignon est loin d’être off, au contraire, quand on imagine qu’une bande de jeunes fous se sont lancés dans cette aventure il y a plusieurs années. Ils peuvent être fiers. En France. L’art vivant est magnifique et la création artistique est formidable. Les paris sont courageux, étonnants et ambitieux.
Avignon est mon lieu de pèlerinage a moi (chacun le sien). L’endroit où je deviens encore plus fou. Je n’ai ni envie de manger ni envie de dormir. Je n’ai envie que de théâtre.
Je tiens absolument à m’excuser pour les rendez-vous manqués, oubliés. Les spectacles que j’ai ratés. Les rencontres que je n’ai pu faire. Les pièces que je n’ai pu voir. J’en suis profondément triste, mais j’ai donné mon maximum. Vraiment.
Je voudrais souligner certains théâtres où la programmation a été particulièrement intéressantes cette année et où l’on a pu m’y voir très souvent. L’Essaion Avignon. Le théâtre transversal. Le Buffon, l’espace Roseaux Teinturier. Le théâtre la Luna. Le théâtre Actuel. Le théâtre des corps saints. Le théâtre les 3 Soleils. La Fabrik théâtre et un petit nouveau le théâtre des brunes. La directrice - comédienne Ariane Carmin est quelqu’un que j’ai particulièrement appréciée et je suis certains que ce théâtre, va faire beaucoup parler de lui les prochaines saisons.
En vrac. Mes coups de cœur 2019.
Vous pouvez lire mes articles détaillés pour chaque pièce mais là, avec le recul, ce que je retiens tout particulièrement. Les cavaliers, juste magnifiques. Happy mâle. Une très belle surprise. Tatie jambon pour Marianne James que j’adore. Un garçon d’Italie pour le texte magnifique et la mise en scène particulièrement réussie de Mathieu Touzé. Les passagers de l’aube, pour la justesse de l’écriture, les idées brillantes de « Mise en Science » et le jeu des comédiens. 4,48 psychoses. Pour le choix de ce sujet difficile. Le texte particulièrement beau est la merveilleuse comédienne, Cécile Fleury. Des plans sur la comète. Pour le rire et le bonheur que j’ai eu, pour Tristan Petitgirard que j’adore pour les comédiens excellents. Bye Bye tristesse, pour Caroline Loeb, divinement gracieuse et à fleur de peau. Le K. Pour le texte. La brillante idée de l’objet et Grégori baquet que j’adore. Nos années parallèles pour le texte magnifique de Stéphane Corbin (le papa des funambules) brillant et lumineux. Pour la mise en scène intelligente et émouvante de Virginie Lemoine et Valérie Zaccomer, un véritable coup de foudre. La famille Ortiz pour Jean-philippe Daguerre, un très grand auteur contemporain, isabelle de Botton et Bernard Malaka au charisme fou. Marie des poules pour l’écriture de Gérard Savoisien. La mise en scène et le jeu d’Arnaud Denis tout en nuances et élégance et surtout Béatrice Agenin, une immense comédienne. Don Juane et Pan deux très belles surprises avec de jeunes comédiens brillants. Stephanie st Clair. Pour l’histoire incroyable et Isabelle Kancel absolument brillante. Beaucoup de bruit pour rien. Pour les choix de mise en scène très culottés et cette bande de comédiens truculente. Qui a peur de Virginia Wolf ? Pour la surprise absolue et je jeu absolument magnifique des comédiens. Frédérique Lanzarini est parfaitement parfaite. Le 32 pour une fin de soirée idéale et pour Mme brune que j’adore avec son aspirateur. Good Night. Parce que je ne m’attendais pas du tout à cela et pour le jeu de Romain poli et Nouritzia Emmanuelia. Succès reprise. Pour la pièce de café-théâtre idéale et pour Agathe Quelquejay, lumineuse.
Quelle chance d’avoir pu voir toutes ces belles productions qui sont certainement les grands succès de la rentrée 2019 (je le souhaite de tout cœur). J’ai déjà très envie de revoir ces pièces très vite à Paris.
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#Taha_Bouhafs, le fumeur de chicha qui a fait tomber #Benalla | #StreetPress
▻https://www.streetpress.com/sujet/1550583313-taha-bouhafs-journaliste-chicha-benalla
À seulement 21 ans, Taha Bouhafs s’est forgé une solide réputation dans les milieux militants et politiques de gauche. Candidat aux législatives de 2017 pour la France Insoumise – à 19 ans -, activiste assidu durant les blocus étudiants de 2018, il ne manque aucun rendez-vous lié aux luttes des quartiers populaires non plus. Surtout, il a participé à lancer la saga Benalla, qui secoue le gouvernement depuis déjà huit mois. Taha est l’auteur de la vidéo où l’ex-collaborateur de Macron tabasse un couple de manifestants, place de la Contrescarpe. « Et ça n’a rien d’un coup de chance que ça soit lui : il est partout, tout le temps », assure son ami #Youcef_Brakni, membre du Comité #Adama
[...]
C’est deux mois plus tard qu’une amie lui signale que sa vidéo est sur Le Monde. « #Ariane_Chemin ne m’a jamais ni crédité, ni appelé », regrette-t-il, y voyant un mépris pour les militants de terrain. « Si j’avais été envoyé en GAV, ni elle, ni les journalistes de Médiapart ne seraient venus m’aider… »
]]>« J’étais là comme suspecte », affirme la journaliste du Monde #Ariane_Chemin, après sa convocation par la DGSI
Je référence pour les archives.
▻https://www.francetvinfo.fr/societe/justice/journalistes-convoques-par-la-dgsi/j-etais-la-comme-suspecte-affirme-la-journaliste-du-monde-ariane-chemin
« J’étais là comme suspecte », affirme la journaliste du Monde Ariane Chemin, après sa convocation par la DGSI
Sur France Inter, la journaliste a raconté son entretien avec les services de sécurité intérieure, après avoir révélé le nom d’un membre des forces spéciales dans un article sur l’affaire Benalla.
]]>L’inquiétante #convocation d’une #journaliste du « #le_Monde » pour des #articles sur l’#affaire #Benalla
►https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/05/22/affaire-benalla-la-convocation-inquietante-d-une-journaliste-du-monde_546550
L’« occasion manquée » de Lepage au Soleil
Lela Savic, Métro, le 24 avril 2019
▻https://journalmetro.com/culture/2311750/loccasion-manquee-de-lepage-au-soleil
La pièce Kanata portant sur l’histoire des premiers peuples du Canada a suscité une telle controverse l’été dernier, en raison de l’absence d’Autochtones dans le projet, qu’elle a été annulée au Québec. Le documentaire Lepage au Soleil nous plonge au coeur de sa création. Métro l’a fait voir à trois spécialistes des questions autochtones.
« Lorsqu’un aîné parle de ses blessures, ou un chef raconte notre culture, il n’a pas de nom, c’est comme si “c’est juste un vieil indien”. La seule femme autochtone qui est interviewée dans le film est aussi celle qui dit qu’elle trouve dommage que la pièce n’ait pas eu lieu. Même si elle ouvre le film en exprimant son support envers Kanata, on apprend son nom que vers la moitié du film ».
Redface
Les spectacles qui représentent des autochtones ne datent pas d’hier, précise l’historien Gavin Taylor. Au 19 e siècle, quelque soixante-dix productions de « pièces de théâtre indiennes » (Indian plays) ont été mises en scène aux États-Unis. « À bien des égards, ces pièces étaient l’analogue des spectacles de Blackface — c’était des productions dans lesquelles des acteurs blancs caricaturaient les personnes autochtones pour le plaisir d’un public blanc. Alors que le Blackface présentait les Afro-Américains comme des bouffons, les personnages “indiens” étaient présentés comme des sauvages, mais aussi comme des restants tragiques d’une race mourante. » Selon M.Taylor cette représentation des peuples autochtones avait une très longue histoire ; l’historien Lakota Philip Deloria a appelé cela « jouer aux Indiens » explique-t-il. « L’effacement et l’appropriation de l’identité autochtone est typiques des sociétés coloniales qui prétendent être fondées dans le territoire même où les Autochtones ont été dépossédés. » En ne reconnaissant pas cette dynamique, Lepage et Ariane Mnouchkine ont étés « naïfs, voire arrogants » croit l’historien.
#Kanata #Robert_Lepage #autochtone #France #Ariane_Mnouchkine #Théâtre_du_Soleil #Cartoucherie #appropriation_culturelle #racisme #invisibilisation #Spectacle #Théâtre #Canada
]]>Politique des lanceurs spatiaux : les cinq bombes de la Cour des comptes
▻https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/politique-des-lanceurs-spatiaux-les-cinq-bombes-de-la-cour-des-comptes-806
La Cour des comptes évoque dans son rapport annuel une série de problèmes qui plombe la filière européenne des lanceurs spatiaux. A commencer par Ariane 6, qui n’est qu’une « réponse transitoire » au défi du marché des lanceurs.
Enfin un rapport qui évoque les vrais problèmes de la filière spatiale. La Cour des comptes lance une énorme météorite dans le marigot spatial en traitant dans son rapport annuel la politique des lanceurs spatiaux. Il montre la filière sous son vrai profil. Ce rapport pourrait être une bénédiction pour la filière européenne s’il n’est pas rangé rapidement dans un des placards des ministères concernés (Armées, Recherche, Outre-Mer). Pourquoi ? Parce qu’il énumère simplement noir sur blanc ce que tout le monde dans la filière spatiale sait mais ne dit surtout pas par intérêt corporatiste ou par manque de courage.
1/ La bombe Ariane 6, un lanceur transitoire
[…]
2/ La bombe du soutien à exploitation d’Ariane 6
Pressentant le défi que représentait #SpaceX, les pouvoirs publics français ont soutenu en décembre 2014 le projet d’Ariane 6 et d’une nouvelle gouvernance du spatial proposé par les industriels Airbus et Safran. Ce projet, juraient alors les industriels, devait assurer la compétitivité du lanceur européen sur le marché commercial et mettre un terme aux dispositifs de soutiens financiers publics à l’exploitation : […].
C’est raté pour ne pas dire plus. Ce postulat, qui avait servi aux industriels pour prendre le pouvoir dans la filière des lanceurs au détriment du CNES, ne semble curieusement plus valide aujourd’hui : les industriels demandent toujours autant d’argent pour le soutien à l’exploitation. Le secteur privé se colle finalement à ce que faisait le secteur public.
3/ La bombe du juste retour géographique
Éternel dilemme... Le juste retour géographique - un boulet pour une industrie mature - permet à la fois le financement des programmes spatiaux non obligatoires en faisant bénéficier de retombées industrielles les pays qui les financent, à hauteur de leurs investissements.
[…]
4/ La bombe Vega qui concurrence Ariane 6
[…]
5/ La bombe de la filière lanceur, aspirateur des crédits du spatial
Au cours des années récentes, l’engagement financier de la France s’est traduit par la souscription de la moitié des 4 milliards d’euros décidée pour le développement d’Ariane 6, lors de la réunion ministérielle de l’ESA au Luxembourg en 2014.
[…]
Cet effort, au profit de la politique spatiale européenne en matière de lanceurs, « s’effectue au détriment des autres activités spatiales », affirment les magistrats de la Cour des comptes. Résultat, l’effort consenti pour les lanceurs risque donc d’avoir « un effet d’éviction sur les moyens consacrés à d’autres domaines, notamment les systèmes orbitaux et les nouvelles applications du spatial, pourtant essentiels dans le cadre du développement du New Space », estime-t-elle.
[…]
Et le CNES ? Le président du Centre national d’études spatiales n’a fait curieusement aucune observation à la suite du rapport de la Cour des comptes, tandis que le ministre de l’Action et des Comptes publics n’a tout simplement pas répondu.
]]>Du danger de « l’appropriation culturelle » pour les sciences humaines
(dans Le Monde)]]>J’aimerais revenir sur la polémique #Kanata / #Robert_Lepage qui n’a finalement presque pas été abordée sur Seenthis, et donc peut-être pas assez en France (pourtant ça rappelle une polémique en France, avec #Exhibit_B.), sauf ici :
►https://seenthis.net/messages/717781
►https://seenthis.net/messages/747168
Robert Lepage a décidé dans cette dernière pièce de traiter de l’histoire du Canada, et donc des #autochtones, sans actrices ou acteurs autochtones, mais même sans consulter la ou le moindre autochtone pendant la genèse de la pièce.
Alors, laissons d’abord la parole à Maya Cousineau-Mollen :
Kanata : Maya Cousineau-Mollen, entre espoir et tristesse
Radio Canada, le 17 décembre 2018
▻https://ici.radio-canada.ca/espaces-autochtones/1142422/kanata-maya-cousineau-mollen-theatre-autochtone
Elle s’explique aussi ici en vidéo sur Le Média, le 23 décembre 2018 :
▻https://www.youtube.com/watch?v=lG5ptrcijdI
Mais, avant de revenir là dessus, rajoutons le contexte qui manque un peu. Alors qu’il annonce la sortie de cette pièce à Montréal en été 2018, il vient de subir une autre controverse avec sa pièce #Slav, consacrée aux chants d’esclaves #noirs, avec aucun.e chanteu.se.r noir ni aucun.e noir.e consultée pendant la génèse de la pièce. Présentée pendant le Festival de Jazz de Montréal, un tonnerre de protestation a conduit le Festival à annuler la pièce après les quelques premières représentations. J’en avais un peu parlé ici :
►https://seenthis.net/messages/706476
Peu de gens s’en souviennent, mais en 2001, Robert Lepage avait présenté sa pièce #Zulu_Time où des personnes de nombreuses origines sont représentées, mais où là encore, neuf des dix membres de la troupe étaient des Québécois blancs, le dixième étant d’origine péruvienne. De plus, les représentations étaient stéréotypées, en position d’infériorité par rapport aux personnages blancs. Des femmes provenant apparemment du Moyen-Orient ou du sous-continent indien étaient placés dans des rôles de servitude et d’assujettissement. Enfin, la seule représentation d’un homme noir, jouée par un comédien blanc, arborait un maquillage corporel noir, portant le costume traditionnel d’un guerrier zoulou, avec couvre-chef, torse nu, lance et bouclier, et dont la pièce établissait un parallèle avec le personnage du singe, joué par l’acteur d’origine péruvienne.
Bref, pour en revenir à Kanata et à 2018, comme le rappelle Maya Cousineau-Mollen, bien qu’il y ait des critiques, il n’y a pas d’appel à l’annulation ou à la censure. Ce sont les producteurs de la pièce qui se retirent, ne voulant pas être mêlés à une telle controverse.
C’est alors que dans sa grande mansuétude, qui démontre aussi à quel point le débat est en retard en #France sur ces questions, qu’ #Ariane_Mnouchkine décide d’offrir son #Théâtre_du_Soleil de la #Cartoucherie de Vincennes à Robert Lepage pour qu’il y monte une versions légèrement modifiée de sa pièce, et donc tout aussi critiquable. On en est là.
#appropriation_culturelle #racisme #invisibilisation #Spectacle #Théâtre #Canada
]]>Les piratages avec fuite massive de #données_personnelles, on va finir par s’y habituer. Avant, c’était une fois par semaine, maintenant trois en une journée. Bref, répétons-le une nouvelle fois : VOTRE BASE DE DONNÉES AVEC DES INFORMATIONS PERSONNELLES SERA PIRATÉE. Il est donc crucial de minimiser les données en récoltant moins voire, idéalement, pas du tout. Si vous collectez des donées personnelles, vous êtes responsable de la mauvaise utilisation qui en sera faite.
Donc, hier :
1) Piratage de la base #ARIANE du Ministère des Affaires Étrangères français (données sur les contacts des voyageurs) ▻https://www.diplomatie.gouv.fr/fr/salle-de-presse/communiques-techniques/article/ariane-piratage-de-donnees-communique-f-a-q-13-12-18 ▻https://twitter.com/francediplo/status/1073157281217417216 et l’article de Libération : ▻https://www.liberation.fr/planete/2018/12/13/piratage-au-quai-d-orsay-les-coordonnees-de-540-000-personnes-derobees_16
2) Piratage d’un fichier du syndicat de policiers #Alliance ▻https://www.lexpress.fr/actualite/societe/enquete/l-inquietante-fuite-des-coordonnees-de-500-policiers_2052828.html
3) Piratage de la base nationale des citoyens au Brésil (après la Turquie et l’Inde, répétons que c’est une folie que d’avoir une base centralisée de tous les citoyens d’un pays, même si ça fait moderne, e-Gouvernement et tout). ▻https://www.infosecurity-magazine.com/news/apache-misconfig-leaks-data-120
La prochaine fois que vous entendrez un monsieur sérieux dire avec assurance « il n’y a rien à craindre, la base de données est sécurisée [ou autres éléments de langage comme « anonymisée » ou « cryptée »] », méfiez-vous.
]]> LE #THÉÂTRE #AFTAAB, LE SOLEIL #AFGHAN À LA #CARTOUCHERIE DE VINCENNES
▻https://www.la-croix.com/Culture/Theatre/Le-Theatre-Aftaab-le-Soleil-afghan-a-la-Cartoucherie-de-Vincennes-2013-04-
publié par DIDIER MÉREUZE, le 18/04/2013 à 14h40
consulté le 03/06/2018
Fondée avec la complicité d’#Ariane_Mnouchkine et du #Théâtre_du_Soleil, la troupe de #Kaboul s’installe à la Cartoucherie pour conter les chemins de l’#immigration.
La Ronde de nuit
par le Théâtre Aftaab
Théâtre du Soleil, Cartoucherie de Vincennes
Les comédiens afghans d’Aftaab ont retrouvé la Cartoucherie de Vincennes et le Théâtre du Soleil à l’origine de leur histoire. Conviée, en 2005, à diriger en stage des artistes de Kaboul, Ariane Mnouchkine les avait engagés à fonder une troupe. Sur les 250 participants, une vingtaine se lancèrent dans l’aventure, baptisant leur théâtre « Aftaab » – « Soleil » en langue dari.
Depuis la formation de cette troupe, les comédiens du Théâtre du Soleil se rendent régulièrement à Kaboul afin d’assister les comédiens d’Aftaab dans leur mise en scène. En 2008, la troupe afghane est invitée à la Cartoucherie pour présenter leurs mises en scène du Tartuffe de Molière et du Cercle de craie caucasien de Brecht. L’année suivante, ils sont à nouveau conviés afin de travailler sur leur première création, qui cherche à illustrer la vie quotidienne de l’Afghanistan des talibans : la #Ronde_de_nuit, qui narre la vie d’un gardien de théâtre afghan. Cette pièce est pour les comédiens Afghan l’occasion de témoigner, auprès de la « France des droits de l’homme », d’eux mêmes et de leur existence. Le gardien du Théâtre du Soleil, chargé par Ariane de veiller sur les archives et les décors, se retrouve soudain au beau milieu d’une cohorte d’Afghan sans papier qui cherchent un endroit où passer la nuit à l’abri de la neige et du gel. D’autres personnages viennent s’ajouter aux réfugiés : « un sympathique policier humaniste, une prostituée au grand cœur, un SDF qui vient prendre sa douche, une jeune femme temporairement hébergée par le Soleil… »
Bruissante, frémissante, une humanité s’agite, en proie aux peurs, aux angoisses, aux difficultés du quotidien, à la douleur de la séparation. Décidée à se battre, à survivre, à connaître enfin (ou retrouver) le bonheur, être libre.
Cette pièce s’inspire en partie du vécu des acteurs (le gardien de nuit du théâtre du soleil est réellement un immigré afghan), elle a été construite à partir de leurs souvenirs et de leurs improvisations. Selon un témoignage de Shuhra Sabagny, l’une des actrices de la Ronde de nuit, les membres de la troupe ont désiré mettre en lumière la condition de ceux qui, contrairement à eux, n’ont pas la chance d’avoir obtenu des papiers et un travail en France, tout comme ils ont souhaité rendre hommage aux français qui les ont aidés. Malgré leur rêve de retourner dans leur pays, cette perspective leur semble lointaine, voire impossible. À titre d’exemple, lorsque Haroon Amani, l’un des membres d’Aftaab, s’est rendu en Afghanistan, il a dû prétendre travailler dans un atelier de couture au Pakistan, parce qu’il aurait encouru des risques et aurait probablement mis en danger son entourage.
Mon commentaire sur cet article :
L’expérience de la troupe Aftaab nous montre dans non seulement à quel point la censure de l’art est forte dans des pays tels que l’Afghanistan, mais elle nous apprend également et surtout le pouvoir que des pays comme le nôtre ont de faire changer les choses. Si nous pouvons, en effet, agir individuellement en aidant des immigrés à échapper à la tyrannie ou à la pauvreté de leur pays et à s’intégrer aux nôtres, les états les plus libres et le plus développés ont en outre le pouvoir, si ce n’est le devoir, d’aider les pays en difficulté à sortir des situations de crise.
#ARIANE_MNOUCHKINE E L’INNO ALL’#ILLUMINISMO : « DA 50 ANNI INSEGUO L’#UTOPIA »
Ariane Mnouchkine et l’hymne aux #Lumières : « Je poursuis l’#utopie depuis 50 ans »
▻http://27esimaora.corriere.it/articolo/ariane-mnouchkine-e-linno-allilluminismo-da-50-anni-inseguo-luto
publié le 02/02/2015
consulté le 16/04/2018 à 19h00
Sulla strada dell’utopia Ariane Mnouchkine è in marcia da oltre mezzo secolo. E se tanti nel frattempo si sono perduti, tornati indietro, preso vie laterali più comode, peggio per loro. A cambiare il mondo lei non rinuncia. Nemmeno ora che i riccioli sono candidi e il bel viso severo porta le rughe di molte battaglie per l’integrazione e l’accoglienza. Per i sans papier, gli esuli afghani e tibetani, i rifugiati politici di ogni parte del mondo.
À la recherche de l’utopie depuis près d’un demi-siècle, Ariane Mnouchkine est décrite dans cet article comme une icône du théâtre, le plus grand metteur en scène d’Europe. Le #Théâtre_du_Soleil, installé depuis 1964 à Paris, dans une ancienne fabrique de munitions, la Cartoucherie, œuvre en faveur des sans papiers, des exilés afghans ou tibétains et des réfugiés politiques du monde entier ; dans une époque pourtant encline à la perdition, au retour en arrière et au choix de la facilité, Ariane Mnouchkine ne renonce pas à changer le monde. Selon cette dernière, « l’#égalité n’est pas un mot abstrait » (« l’eguaglianza non è una parola astratta ») : elle comprise, toute la communauté du théâtre du soleil participe aux décisions et touche le même salaire. Inspirée des lumières et mue par un idéal de tolérance, Ariane Mnouchkine et le Théâtre du Soleil sont en outre lauréats de nombreux prix (Molières, pris Nonino...). Elle s’inspire en partie de monuments classiques, allant des œuvres d’Eschyle à celles de Shakespeare, qu’elle transpose dans diverses cultures, souvent orientales ; nombre de ses pièces ont également comme thème des sujets controversés, allant de la guerre d’Iraq à celle de Syrie, en passant pas les exils tibétain, afghan ou palestinien. Le Théâtre du Soleil transmet en outre ses idées à travers sa forme même : ouvert à tous et à toutes nationalités, les acteurs rencontrent les spectateurs à l’issue de la pièce à l’occasion d’un repas convivial. Le Théâtre du Soleil prône donc un idéal dont les seules limites sont la conscience et le respect de l’autre, la justice, la solidarité.
Mon commentaire sur cet article :
Cet article présente avec fidélité l’idéal poursuivi par Ariane Mnouchkine : celui de l’humanisme. Le Théâtre du Soleil se veut un exemple d’égalité et de tolérance pour ses spectateurs, autant par le sujet de ses pièces que par la diversité de sa production et des troupes qu’il convie à la Cartoucherie.
Cependant, les propos rapportés d’Ariane Mnouchkine me paraissent trop généraux, l’article n’insiste pas assez sur les actions concrètes du Théâtre du Soleil afin de mettre en pratique cet idéal utopique dans les pays et pour les personnes qui en ont besoin.
#ARIANE_MNOUCHKINE ET L’#UTOPIE DU SOLEIL
▻https://www.lesinrocks.com/2010/03/07/actualite/ariane-mnouchkine-et-lutopie-du-soleil-1133097
publié le 07/03/2010 à 14h00
consulté le 03/06/2018 à 16h00
ARIANE MNOUCHKINE magnifie l’ultime saga humaniste de Jules Verne en une brillante fête de théâtre.
[…]
Son génie, elle le réserve à la générosité du manifeste politique contenu dans l’ultime roman de Jules Verne. Pour lui, elle ose un retour au théâtre expressionniste du temps du muet dans un éblouissant hommage aux pionniers du 7e art. Alors, dans des décors montés à vue et sous l’œil d’une antique caméra à manivelle, Ariane Mnouchkine se fait magicienne pour redonner vie à ces illustrations des éditions Hetzel qui nous firent tant voyager enfants. Sur les musiques de Jean-Jacques Lemêtre, l’opérette se mue en un opéra sans parole qui, usant de simples cartons pour les dialogues, nous propulse dans l’aventure de la naissance de ce phalanstère idéal créé par des naufragés sur une île perdue entre Patagonie et Terre de Feu. Et le rêve d’Ariane de cette petite lumière d’un phare du bout du monde témoignant d’une humanité capable d’égalité et de fraternité devient alors le nôtre.
Cet article est une critique de l’une des nombreuses pièces du #Théâtre_Du_Soleil : Les naufragés du fol espoir, inspirée du roman de Jules Verne, Les naufragés du Jonathan. Ariane Mnouchkine met en scène une Europe précipitée vers le carnage de 14-18 : la temporalité de la pièce se situe entre l’attentat de Sarajevo et l’assassinat de Jean Jaurès, jusqu’à la déclaration de guerre. Les personnages, dans un décor monté au vu du spectateur et sur les musiques de Jean-Jacques Lemêtre, participent au tournage d’un film muet inspiré du roman de Jules Verne. Cette pièce prend la forme populaire de l’opérette pour faire passer, grâce à la mise en abyme, un message aussi politique qu’humaniste : le motif de l’utopie, à travers une société idéale créée sur une île par des naufragés.
Mon commentaire sur cet article :
J’ai choisi cet article pour présenter le travail d’Ariane Mnouchkine, dans la mesure où celle-ci reste convaincue que le théâtre peut être le lieu d’une utopie, c’est-à dire un moyen de véhiculer des idées humanistes telles que la paix et l’entre-aide. Le célèbre Théâtre du Soleil, installé a la cartoucherie, s’est en effet donné comme mission de transmettre ce message, aussi bien de manière métaphorique, avec ses pièce de théâtre, que pratique : le théâtre du soleil accueille de nombreuses troupes étrangères (notamment indiennes) et partage son savoir-faire et ses convictions dans le cadre de l’école nomade en proposant des stages de théâtre à l’étranger. Je m’intéresserai en outre, à l’occasion d’un prochain article, à la troupe Afghane Aftaab, fondée à l’issue d’un stage dirigé par Ariane Mnouchkine et la troupe du soleil à Kaboul en 2005.
Je trouve cet article intéressant dans la mesure où il illustre bien le parti pris idéologique du Théâtre du Soleil et le message qu’Ariane Mnouchkine cherche à faire passer dans la plupart de ses pièces. Non seulement le théâtre peut permettre une prise de conscience des difficultés de certains pays pauvres (ce n’est pas le cas dans les naufragés du fol espoir, mais dans l’œuvre d’Ariane Mnouchkine), mais le Théâtre du Soleil offre également à des populations défavorisées (comme c’est le cas en Inde ou en Afghanistan) la possibilité de s’ouvrir à l’univers particulier du théâtre, qui devient un échappatoire et, comme c’est le cas de la troupe Aftaab, un moyen de se soustraire aux conditions difficiles des pays dont elles sont issues.
Un troublant exercice de style !
Ou comment dissimuler ses partis pris sous le masque trompeur d’une objectivité proclamée.
A propos d’un article d’Ariane Chemin sur le Média (Le Monde, 3 mars 2018)
Ariane Chemin est une journaliste que je connais bien. Nous ne sommes pas des amis, mais on discute de temps en temps, il nous est arrivé de déjeuner ensemble et quand l’un appelle l’autre sur son portable, l’autre répond aussitôt. Récemment encore, nous avons parlé de son métier, et comme la plupart de ses confrères qui ont le sentiment de faire honnêtement leur travail, Ariane trouvait fort injuste que les journalistes soient tellement décriés par nos concitoyens. Or il se trouve que le 1er mars dernier, dans le cadre de l’enquête qu’elle menait pour le Monde sur le Média dont je suis l’un des co-fondateurs, elle m’a téléphoné, me demandant de répondre à un certain nombre de ses questions, ce que j’ai fait longuement, sans en écarter aucune. Deux jours plus tard, je lisais son enquête qui me laissait — comment dire ? — perplexe. Ne voulant pas que cette perplexité m’encombre, je vais en rendre compte ici, souhaitant que cela serve éventuellement à expliquer ce qu’il n’est pas toujours illégitime de reprocher aux journalistes : la dissimulation de leurs présupposés et de leurs partis pris sous le masque trompeur d’une objectivité proclamée.
Beaucoup d’entre nous ont déjà éprouvé ce sentiment étrange quand un article concerne des faits que l’on connaît personnellement. Très souvent, on y trouve un certain nombre d’imprécisions, de confusions, d’erreurs, et on se prend à penser que s’il en est de même pour tous les articles qui traitent de sujets qu’on ne connaît pas ou mal, ce ne serait guère rassurant. C’est assurément exagéré, mais en tout cas, dans l’article d’Ariane Chemin, je dois bien avouer n’avoir rien retrouvé de ce que j’ai vécu au Média et rien non plus de ce que je me suis efforcé de lui raconter pendant plus d’une heure. Pour ne pas infliger au lecteur la liste de tout ce qui cloche à mes yeux dans cet article et ne pas donner l’impression fâcheuse d’être un mauvais coucheur, voire un censeur, je me contenterai de prendre le début, les premières phrases, celles qui donnent le ton, créent l’ambiance et préparent psychologiquement le lecteur à adopter le point de vue spécieux de l’auteur. Car l’article d’Ariane Chemin est un modèle de ce qu’on pourrait appeler, en hommage à Raymond Queneau, un troublant exercice de style.
Ariane Chemin commence par quelques mots aussi précis qu’un constat d’huissier : « Montreuil, métro Robespierre, lundi 19 février, 9 heures du matin. » Jusque là, rien à dire. Encore que souligner dans un article la station de métro la plus proche de l’endroit dont on parle doit avoir une utilité. Pour ma part, si j’écrivais un article sur BFM, je ne commencerai pas par ces mots : « Paris, métro Porte de Versailles, lundi 19 février, 9 heures du matin. » Evidemment, l’avantage avec la station Robespierre, c’est qu’on peut imaginer par exemple la guillotine et ça tombe bien. Car de quoi s’agit-il tout de suite après ? De décrire justement une scène inquiétante, une scène de procès comme les robespierristes, assoiffés de vengeance et de sang, sont supposés en avoir eu le goût à leur époque.
Deuxième phrase : « La journaliste Aude Rossigneux a été convoquée la veille par un mail lapidaire. » Dès la deuxième phrase, pas d’hésitation, on comprend bien pourquoi le Média s’est installé à un jet de pierre de la station Robespierre : les mails qu’il envoie ne sont pas concis — ce qui est quand même le cas de bien des messages, textos et autres, que nous nous échangeons —, non, ils sont lapidaires, ce qui est déjà menaçant. Limite angoissant. On imagine le mail lapidaire en question : « Aude, descends à la station Robespierre, emprunte la rue Lénine, puis l’avenue Fidel Castro, et arrive jusqu’à nous. »
La troisième phrase vaut son pesant de cacahuètes : « Dans la cuisine du Média, au sous-sol des nouveaux locaux de la télé proche des « insoumis », le dos au réfrigérateur, elle cherche à comprendre l’objet de cette réunion un brin solennelle. » Ça, je ne l’aurais pas inventé : « le dos au réfrigérateur ». Aude s’est assise où elle a voulu, on est dans une cuisine, il y a un frigo, et la voilà… le dos au mur, pardon, « le dos au réfrigérateur ». Si elle voulait s’enfuir par là, impossible — elle est prisonnière ! Et comme un lapin pris dans les phares d’une voiture, « elle cherche à comprendre l’objet de cette réunion. » Bon, la rédaction du Média était en ébullition depuis des semaines, Aude était au centre de très vives tensions — il est difficile de croire qu’elle tombait ce jour-là des nues, mais peu importe. Pour paraphraser Hitchcock, « demander à un journaliste qui veut raconter une histoire à sa façon de tenir compte de la vraisemblance est aussi ridicule que de demander à un peintre figuratif de représenter la réalité avec exactitude. » Poursuivons donc notre lecture.
« De l’autre côté de la table en bois clair, trois hommes lui font face : le psychanalyste Gérard Miller, le réalisateur Henri Poulain, accompagné de son directeur de production et associé, Hervé Jacquet. » On n’est qu’à la quatrième phrase de l’article et j’espère que chacun apprécie le talent de l’auteur : l’angoisse est à son paroxysme, Ariane tient la scène. Aude est seule, alors que le nommé Henri est venu « accompagné » dont ne sait quelle âme damnée. Aude est seule, « le dos au réfrigérateur », alors que « trois hommes lui font face ». Aude est seule et, pétrifiée, « elle cherche à comprendre » ce qui se passe. Le grand Alfred, que je viens d’évoquer, appelait ça l’anticipation. Au cinéma, expliquait-il, un coup de fusil ne fait pas peur. Ce qui fiche la trouille au spectateur, c’est le fait de l’attendre. Et en moins de temps qu’il ne faut pour le lire, Ariane Chemin, en toute objectivité bien sûr, a fait le job : on sait de quel côté de la « table en bois clair » est le côté obscur de la force, on tremble, on s’attend au pire — il viendra.
Cinquième et sixième phrases : « A quelques tasses de café, enfin, la réalisatrice Anaïs Feuillette, compagne de M. Miller, et tout au bout, Sophia Chikirou. « Comment dire tout ça ? » commence la directrice générale de la chaîne, avant de passer la parole au psychanalyste. » Là, plus de doute, on vit la scène comme si on y était et on entrevoit l’incroyable dispositif mis en place, digne des procès en sorcellerie : face à l’innocence persécutée, Savonarole et ses deux assesseurs, et loin sur le côté (à gauche ou à droite, on ne nous le précise pas) deux femmes, dissimulées derrière des « tasses de café », deux femmes dont l’une, « tout au bout » (curieuse indication : derrière elle, il y a quoi ? la porte de l’enfer ?), dont l’une, « tout au bout » ouvre le bal en prononçant une sentence elliptique, quasiment codée : « Comment dire tout ça ? », avant de replonger dans l’ombre et de céder la parole à l’un des trois hommes.
Arrive la septième et dernière phrase de cette introduction si peu orientée : « L’ancien « mao » parle « d’embarras », de « mauvaise ambiance », de « quelque chose qui s’est mal emmanché », avant de lâcher : « Aude, on a en tête de te parler de la possibilité que tu quittes la rédaction ». Ah, c’était donc ça : on cherchait du côté de Florence (Savonarole), on était prêt à regarder vers Moscou (Vychinski), il fallait penser à Pékin (Mao). Un des trois hommes était un « ancien mao », reconverti donc dans les médias — tout un programme ! Bon, même dans la description peu flatteuse qui est faite de lui, le procureur rouge semble plutôt embêté et laisse même entendre qu’il s’agit pour Aude de quitter la rédaction, pas le Média, mais foin des nuances — Ariane Chemin peut être satisfaite, elle a produit son effet : en sept phrases, pas une de plus, son exercice de style atteint son but. Elle a décrit un « procès » (c’est le signifiant qu’elle n’hésitera pas à utiliser quelques lignes plus tard) et tout le reste de son article peut être à l’avenant. Partiel et partial, ne laissant entendre qu’un seul son de cloche et faisant le procès du Média tout en lui reprochant d’avoir fait celui d’Aude.
Allez, je tire ici le rideau. Mais j’ajouterai encore une chose : cette scène mensongère et blessante par laquelle la journaliste-romancière a ouvert son papier, j’y étais — on l’aura deviné, pas elle. Comme Fabrice à Waterloo je n’y ai peut-être pas tout vu, mais je peux en tout cas affirmer que la description d’Ariane Chemin est absolument fausse. Comme elle n’a jamais parlé ni avec Anaïs, Henri, Hervé et Sophia (ont-ils eu tort de se méfier d’elle ?), et que je sais ne lui avoir rien dit qui puisse corroborer ses propos, ou elle a inventé ce qu’elle a décrit, ou elle a repris à son compte, sans recul, sans contre-champ, la description que lui en a faite la sixième personne présente, Aude Rossigneux. C’était tout à fait son droit, bien évidemment, et je ne saurais le lui reprocher. Mais alors, une question : est-ce qu’il n’aurait pas été préférable qu’elle prévienne ses lecteurs de son incroyable parti-pris ? Oh, pas grand chose, juste quelques mots, en petits caractères : « Attention, je vous ai décrit une scène à laquelle je n’ai jamais assisté, mais en faisant comme si j’y étais, et ce pour les besoins de ma démonstration. Je tiens à préciser que cinq sur six des participants présents l’ont vécue tout à fait autrement, mais je m’en fous, car je suis convaincue que j’ai raison et qu’eux ont tort. D’ailleurs, tout mon article est du même acabit. J’enquête, mais au final je juge autrui à mon aune, je n’entends que ce que je veux écouter et je n’écoute que ce qui me convient. Subjectif mon article ? Je l’assume. Honnête ? Je vous laisse juge. »
Gérard Miller
▻https://www.lemediatv.fr/articles/un-troublant-exercice-de-style
]]>Kleinsatellit Venμs soll Folgen des Klimawandels für Pflanzen unter...
▻https://diasp.eu/p/5843926
Kleinsatellit Venμs soll Folgen des Klimawandels für Pflanzen untersuchen ▻https://www.heise.de/newsticker/meldung/Kleinsatellit-Ven-s-soll-Folgen-des-Klimawandels-fuer-Pflanzen-untersuchen-379 #Arianespace #Erdbeobachtung #Frankreich #Israel #Klimawandel #Vegetation
]]>Le #théâtre du Soleil chambre avec panache les oppresseurs de tout poil
▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/271116/le-theatre-du-soleil-chambre-avec-panache-les-oppresseurs-de-tout-poil
© Michèle Laurent #Ariane_Mnouchkine et le #Théâtre_du_Soleil, dans leur nouvelle création collective revigorante, Une chambre en Inde, chassent la détresse à coups de dérision. Et prônent l’ouverture au monde contre les enfermements territorialisés. Un régal…
]]>Avec #Ariane_6, l’Europe répond enfin à SpaceX
▻http://fr.myeurop.info/2016/09/14/avec-ariane-6-l-europe-r-pond-enfin-spacex-14738
P margin-bottom : 0.21cm ; Le nouveau lanceur, qui devrait s’arracher de l’attraction terrestre en 2020, entend répondre aux défis technologiques et commerciaux posés par la concurrence de SpaceX.
P margin-bottom : 0.21cm ; lire la suite
]]>La politique de recrutement clanique de #Jean-Pierre_Jouyet
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/130616/la-politique-de-recrutement-clanique-de-jean-pierre-jouyet
Jean-Pierre Jouyet embauche #Ariane_Amson comme conseillère pour la justice à l’Elysée. C’est la compagne de #Pierre_Heilbronn, un ancien du cabinet de François Fillon, que le même Jean-Pierre Jouyet a installé comme directeur adjoint de cabinet de Michel Sapin. Des promotions révélatrices.
]]>Le naufrage du journalisme politique
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/130316/le-naufrage-du-journalisme-politique
Alain Minc a reçu samedi le #prix_du_Livre_politique 2016. Cette récompense attribuée par une trentaine de hiérarques de la presse vient confirmer le triste naufrage du journalisme politique, tel qu’il est conçu dans les grands médias.
#France #Alain_Minc #Ariane_Chemin #livres #Vanessa_Schneider
]]>Quand le journalisme politique fait naufrage
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/130316/quand-le-journalisme-politique-fait-naufrage
Alain Minc a reçu samedi le #prix_du_Livre_politique 2016. Si l’information est microscopique, elle en cache une autre, plus importante : cette récompense attribuée par une trentaine de hiérarques de la presse vient confirmer le triste naufrage du journalisme politique, du moins tel qu’il est conçu dans les grands médias.
#France #Alain_Minc #Ariane_Chemin #livres #Vanessa_Schneider
]]>Fidelio, l’odyssée d’Alice : un homme à bord, un homme à terre
Passé sous les écrans radar de la critique à sa sortie, ce Fidelio-là est un petit bijou cinématographique. Filmé en mer et en Scope, c’est aussi la révélation d’une actrice extraordinaire, Ariane Labed.
D’abord, il y a le clin d’œil à Titanic. La salle des machines qui grince, qui souffle et qui mugit, la mer qui défile à toute vitesse le long de la coque, la proue sur laquelle se perche une jeune femme les bras en croix, et un homme qui lui demande : « tu te prends pour Kate Winslet ? » Elle lui répond, du tac au tac : « plutôt pour DiCaprio ». Fidelio n’est pas Titanic, c’est juste un navire marchand comme il y en a des dizaines de milliers qui sillonnent les océans.
]]>Destination #Checkpoints
#Photographies, #vidéos et #installations de #Ariane_Arlotti
Destination Checkpoints, est une invitation à un voyage inhabituel en #Cisjordanie, redessinée par le tracé du #Mur de séparation, les #colonies et les nombreux checkpoints qui rythment le quotidien des #Palestiniens et limitent leur horizon. Le projet s’est construit sur plusieurs voyages que j’ai effectués sur le terrain. Ils m’ont permis de mûrir une réflexion sur la déambulation touristique dans un contexte ultra-sécuritaire, et sur la capacité du voyageur à se positionner face aux #images que le #pouvoir met en valeur pour se montrer accueillant.
Je prends le parti de provoquer une sensation #esthétique à partir de l’expérience des outils du #contrôle et de la #répression.
Construire un fil d’Ariane efficace - romy.tetue.net
►http://romy.tetue.net/accessible-location-breadcrumbs
Le fil d’#Ariane, ou « #breadcrumb trail » en anglais, est une aide à la #navigation qui permet de mieux se repérer dans le site. […] Pour bien faire, il doit refléter l’architecture du site. Il est par conséquent indépendant du chemin emprunté par l’internaute, contrairement à ce que son nom indique. […] Pour valoir comme repère, il doit mentionner la racine du site et la page courante et reprendre les mêmes dénominations que les pages parcourues pour les relier.
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