Sub-allocation of a legacy “class A” network (a /8, in modern parlance). Apparently, DuPont sold a part of its #IPv4 addresses to #Amazon.
▻https://www.reddit.com/r/networking/comments/2tc4ss/looks_like_amazon_just_got_42_million_ips_from
Sub-allocation of a legacy “class A” network (a /8, in modern parlance). Apparently, DuPont sold a part of its #IPv4 addresses to #Amazon.
▻https://www.reddit.com/r/networking/comments/2tc4ss/looks_like_amazon_just_got_42_million_ips_from
ObiWanBaloney:
BGP is very OCD. You can tell because it’s letters are in alphabetical order.
:D:D
’Sold’ ? Wow - I didn’t know about section 8.3 of the NRPM (▻https://www.arin.net/policy/nrpm.html#eight3). Section 8.4 even describes inter-RIR sales. #ARIN
D’après ce que je lis, le prix moyen d’une IP est à peu près de 10 USD.
▻http://www.internetgovernance.org/wordpress/wp-content/uploads/IPv4marketTPRC20121.pdf
Vous avez vu d’autres références sur les prix du « marché » ?
La #NSF (qui gérait le réseau académique états-unien qui formait une bonne partie de l’Internet à cette époque) affirme que les adresses IP allouées à cette époque (le « marais ») appartiennent bien à leurs titulaires et que le #RIR nord-américain, #ARIN, créé bien après, n’a aucun droit de les réclamer.
►http://www.internetgovernance.org/2012/09/22/its-official-legacy-ipv4-address-block-holders-own-their-number-
Voir aussi ►http://seenthis.net/messages/39688
L’#IGP (Internet Governance Project <http://www.internetgovernance.org/>) vient de publier une bonne étude sur les transferts d’adresses #IPv4 entre titulaires. Son principal intérêt est de s’appuyer sur les faits : les auteurs ont pris les données disponibles (note au passage, l’Open Data chez les RIR comme le #RIPE-NCC, c’est pas encore ça, le travail a été compliqué) et mouliné le tout pour en extraire d’intéressantes statistiques.
Par exemple : le #RIR (Regional Internet Registry) avec le plus grand nombre de transferts, de loin, est #ARIN, qui a pourtant encore des adresses IPv4 pour un an. L’analyse des auteurs montre que Microsoft, par exemple, a payé 11 $ pièce des adresses qu’il aurait pu avoir pour 13 cents auprès d’ARIN. Mais les auteurs expliquent bien que l’achat à ARIN aurait obligé Microsoft à documenter son usage, à dévoiler ses plans et, en deux mots, à supporter la bureaucratie ARIN et ses chartes. En outre, il est possible (intéressant sujet d’examen pour des juristes...) que la « propriété » de ces adresses soit mieux garantie par un transfert depuis le marais (<http://www.bortzmeyer.org/nettoyage-marais.html>) que par une « location » légale auprès d’ARIN.
►http://www.internetgovernance.org/2012/08/31/the-first-study-of-the-emerging-market-for-ipv4-numbers
Deux faiblesses à cet article : une est idéologique, les auteurs ont tellement envie de prouver que le marché des adresses IPv4 existe qu’ils qualifient de « marché » le système de transfert actuel. S’il est vrai qu’il ne faut pas se fier à la langue de bois des RIR (qui refuse ce terme de marché), avoir des achats et des ventes ne suffit pas à faire un marché. Il faut aussi une liquidité suffisante pour qu’il y ait formation de prix stables, et que les acteurs sachent à peu près à quoi s’en tenir.
La deuxième faiblesse est technique : les auteurs mélangent systématiquement « non routé sur l’Internet public » avec « inutilisé » et donnent donc des chiffres tendancieux. En réalité, il y a des tas de boîtes qui utilisent leurs adresses IP en interne, sans que cela se reflète dans #BGP...