• #Journal du #Regard : Novembre 2023
    https://liminaire.fr/journal/article/journal-du-regard-novembre-2023

    https://www.youtube.com/watch?v=2W-8sR246ZU&ab_channel=PierreMenard

    Chaque mois, un film regroupant l’ensemble des images prises au fil des jours, le mois précédent, et le texte qui s’écrit en creux. « Une sorte de palimpseste, dans lequel doivent transparaître les traces - ténues mais non déchiffrables - de l’écriture “préalable” ». Jorge Luis Borges, Fictions Nous ne faisons qu’apparaître dans un monde soumis comme nous au pouvoir du temps. Dans le silence qui suit la fin du signal de départ. Dans un seul et unique instant. Non pas suites sans principe de (...) #Journal, #Vidéo, #Architecture, #Art, #Écriture, #Voix, #Sons, #Paris, #Mémoire, #Paysage, #Ville, #Journal_du_regard, #Regard, #Dérive, #Paris, #Voyage, #Nice (...)

  • Prijelaz / #The_Passage — dedicated to our fallen comrades

    Od 14. do 21. svibnja 2021. godine u galeriji Živi Atelje DK u Zagrebu predstavljeno je spomen-platno Prijelaz / The Passage. Prijelaz / The Passage je zbirka memorijalnih portreta izrađenih od crvenog i crnog konca na botanički obojanoj tkanini koji su nastali u okviru umjetničkih istraživačkih radionica koje je osmislila i kurirala selma banich u suradnji s Marijanom Hameršak, a na kojima su sudjelovale umjetnice, znanstvenice, prevoditeljice i druge članice kolektiva Žene ženama i znanstveno-istraživačkog projekta ERIM.

    https://erim.ief.hr/en/publikacije/prijelaz-the-passage

    –-

    THE PASSAGE — dedicated to our fallen comrades

    #Selma_Banich and #Marijana_Hameršak in collaboration with Women to Women collective

    Živi Atelje DK, Zagreb, 2021

    https://selmabanich.org/index#/the-passage
    #portraits #art_et_politique #migrations #réfugiés #asile #décès #mourir_aux_frontières #morts_aux_frontières #commémoration #mémoire #textile #Balkans #route_des_Balkans

  • L’agriculture à la loupe
    https://tagrawlaineqqiqi.wordpress.com/2023/11/30/lagriculture-a-la-loupe

    Il y a mille choses qui m’inquiètent concernant l’avenir de notre #Agriculture, et pouvoir observer la manière dont sont structurées les exploitations ajoute des sujets d’inquiétudes supplémentaires. J’vous explique. Il existe plusieurs statuts possibles pour une exploitation agricole : l’exploitation micro-agricole (ça c’est que des bio débarqués de la ville), équivalent de la micro-entreprise, l’exploitation […]

    #Article #chroniques_agricoles #Ruralité #élevage #campagne
    https://0.gravatar.com/avatar/cd5bf583a4f6b14e8793f123f6473b33bb560651f18847079e51b3bcad719755?s=96&d=

  • Fabulations de l’enfance : Anima Sola #25
    Récit poétique à partir d’images créées par procuration.

    https://liminaire.fr/palimpseste/article/fabulations-de-l-enfance

    C’est une image d’enfance, une image qui revient me hanter régulièrement. Je suis seule, égarée en chemin dans un paysage que je ne reconnais plus, un lieu qui me devient étranger, sans doute à cause de la faible lumière. La nuit tombe, il fait froid. Le vent souffle et fait trembler les arbres. Leurs longues branches nues se balancent dans l’air gris du soir, et leurs bruits me glacent d’effroi. J’avance pour ne pas rester sans rien faire, immobile, en danger, exposée dans ce paysage désolé. Il va faire bientôt nuit.

    (...) #Écriture, #Langage, #Poésie, #Lecture, #Photographie, #Littérature, #Art, #AI, #IntelligenceArtificielle, #Dalle-e, #Récit, #Nature, #Nuit, #Corps, #Lumière (...)

    https://liminaire.fr/IMG/mp4/anima_sola_25.mp4

  • A voir : Menin (Belgique) consacre une exposition à Yvonne Serruys, la « Camille Claudel belge »

    La ville de Flandre occidentale qui vit naître le 26 mars 1873 l’artiste belgo-française Yvonne Serruys expose jusqu’au 17 décembre 2023, au centre culturel et au musée municipal, des œuvres de celle qui fut aussi surnommée la sculptrice de la « femme nouvelle ». D’abord peintre puis pionnière en sculpture, à une époque où c’était peu évident pour une femme, Serruys représenta après la Première Guerre mondiale des femmes modernes, actives et en maillot de bain ou nues plutôt que coincées dans un corset. Elle rappelle la sculptrice française réaliste et impressionniste Camille Claudel, de quelques années son ainée.

    Il y a 150 ans exactement, en 1873, naissait Yvonne Serruys dans une famille francophone fortunée dans la ville de Menin, à la frontière française. A l’occasion de cet anniversaire, la ville de Flandre occidentale consacre une exposition à cette artiste d’exception qui réalisa pas moins de 250 statues, ainsi que plus de 300 pièces en verre. Elle honora aussi plusieurs contrats publics, comme un monument en l’honneur de son professeur de peinture et dessin Émile Claus à Gand (1926) et un mémorial de guerre (1921) dans sa ville natale.

    Lorsqu’elle décéda en 1953 à Paris, Yvonne Serruys (photo) léga tout le contenu de son atelier à la ville de Menin. Elle avait pourtant passé la plus grande partie de sa vie dans la capitale française, « où elle résida jusqu’à sa mort, où elle fit carrière, exposa chaque année et bénéficia d’une grande reconnaissance », expliquait tout récemment Marjan Sterckx lors d’une interview accordée à Radio 1. Elle est professeur en Histoire de l’art à l’Université de Gand, auteur d’un livre sur la sculptrice de Menin, et souligne que Serruys semble profiter d’un intérêt croissant - aussi au niveau international - pour les femmes artistes.


    Serruys dans son atelier à Paris Yvonne Serruys in haar atelier in Parijs

    Proche de Camille Claudel
    Yvonne Serruys commença par étudier la peinture et le dessin avec Emile Claus, dont elle fut la première élève et suivit le style luministe, utilisant une palette ensoleillée et attachant beaucoup d’attention à la lumière. De 1892 à 1894, la jeune femme d’à peine 20 ans poursuivit ses études à Bruxelles dans l’atelier du peintre Georges Lemmen, chez qui elle expérimenta le pointillisme. « Mais cela ne lui convenait pas entièrement », précisait Marjan Sterckx. Elle reprit alors ses études avec Emile Claus.

    Au terme d’un voyage en Italie et en Grèce, Serruys présenta ses peintures en 1898 au Salon des artistes français à Paris. C’est à cette époque qu’elle décida de se consacrer plutôt à la sculpture qu’à la peinture, et retourna étudier à Bruxelles, auprès du sculpteur Egide Rombaux. En 1904, elle installa son atelier à Paris. « Ses premières sculptures sont inspirées d’Auguste Rodin, le maître de la sculpture française à la fin du 19e siècle ».

    Yvonne Serruys fut aussi proche de Camille Claudel, la jeune élève et maîtresse de Rodin, dont la brillante carrière et la vie se terminèrent tragiquement par un internement de 30 ans dans une institution psychiatrique.

    « Serruys et Claudel se connaissaient. Elles furent brièvement voisines à Paris, sur l’Ile Saint-Louis. Elles ont exposé ensemble et ont été citées plusieurs fois d’un même trait par la presse. Dans certaines œuvres d’Yvonne Serruys on retrouve aussi des références aux sculptures de Claudel », précisait Marjan Sterckx. C’est le cas pour certains groupes de statues exposés actuellement à Menin.

    La sculpture n’était pas considérée comme un métier approprié pour une femme
    Yvonne Serruys exposait et avait son propre atelier, à une époque où il n’était certainement pas évident pour une femme de sculpter. « La sculpture était considérée à l’époque - et même parfois encore de nos jours - comme un métier masculin, associé à un travail physique rude, sale et poussiéreux, pour lequel il fallait beaucoup de force. Beaucoup d’artistes ont travaillé dans l’argile cependant. Mais la sculpture n’était pas considérée comme un métier approprié pour une femme », expliquait Marjan Sterckx.

    Membre active du Salon des artistes français, Serruys y rencontra celui qui allait devenir son mari, l’écrivain et journaliste français Pierre Mille. Leur mariage fut célébré à Menin en 1909. Par la suite, ils organisèrent leurs propres galeries d’arts, pendant plusieurs années.

    Yvonne Serruys était une femme de son temps, tant dans son travail que ses convictions. Après la Première Guerre mondiale, son style changea et elle s’intéressa à la « femme nouvelle », qui devenait de plus en plus visible. « Une femme qui s’émancipait, qui ne portait plus de corset, qui faisait du sport, du vélo, qui conduisait une voiture et fumait. Une femme qui voulait se sentir libre du point de vue physique, qui allait nager en maillot de bain », précisait Marjan Sterckx. C’était les années 1920, « les jupes et les cheveux devenaient plus courts ».

    Serruys représenta ces femmes nouvelles en sculpture : des jeunes femmes nues dans des attitudes spontanées, les cheveux noués en chignon. Parallèlement, l’artiste belgo-française réalisa des centaines d’objets décoratifs en (pâte de) verre. Juste avant la Première Guerre mondiale, elle sculpta deux œuvres monumentales pour l’espace public parisien. Comme le « Faune aux enfants » (1911) installé rue Louis-Blanc.

    Dans les années 1920 et 1930, Serruys reçu d’autres commandes pour des monuments publics, en Belgique, en France et en Tunisie - comme la « Statue d’une cigogne » (1925) pour Ciboure ou les haut-relief en pierre « Monument aux morts » (1921) et « La Tentation » (1926) pour Menin. Elle réalisa aussi certains projets d’intégration artistique, en style art-déco.

    Yvonne Serruys était elle-même une « femme nouvelle »
    « Serruys n’était pas une femme révolutionnaire ou une artiste rebelle, mais bien une artiste progressiste, tant dans son travail que ses nombreux écrits. Elle provenait d’une famille catholique de la riche bourgeoisie, mais ce qu’elle pensait et a écrit dans les mémoires qu’elle voulait publier est surprenant. Ses idées sur le physique et la fidélité conjugale sont réellement progressistes », estime Marjan Sterckx. "Serruys était elle-même une « femme nouvelle », tout d’abord parce qu’elle avait choisi le métier de sculptrice".

    Source : https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2023/08/19/menin-consacre-une-exposition-a-yvonne-serruys-la-camille-clau

    & https://www.ccdesteiger.be/nl/event/yvonne-serruys

    #femmes #art #féminisme #histoire #invisibilisation_des_femmes #sculpture #peinture #camille_claudel #Belgique #Culture #Genre #art_déco

  • Announcing AMD RenderStudio – supporting collaborative 3D creation and rendering in the #OpenUSD and MaterialX ecosystem
    https://gpuopen.com/learn/introducing-amd-renderstudio

    AMD GPUOpen - Graphics and game developer resources Introducing AMD RenderStudio - a set of tools for cross-user collaboration using the OpenUSD and MaterialX ecosystem.

    #Article #ProRender #Single_Blog #Blender #introducing_gpu_reshape #Maya

  • Simon&Capucine, Grand Huit | ZV Vorarlberg
    https://topophile.net/rendez-vous/simoncapucine-grand-huit-zv-vorarlberg

    Ce jeudi, à l’invitation du syndicat des architectes du Vorarlberg, j’ai le plaisir de proposer à deux agences françaises pionnières de présenter leurs démarches singulières : écologie, frugalité, savoirfaire, #artisanat, #insertion, culture du bâtir (#Baukultur), #bois, #terre, #paille, #réemploi, #réhabilitation, entre #ruralité et #métropole, autant de sujets sur lesquels croiser les regards français et autrichiens.... Voir l’article

  • Radio Mare Lampedusa
    https://www.meltingpot.org/2023/11/radio-mare-lampedusa

    “Radio Mare Lampedusa” è la prima frase che i pescatori, spesso tunisini, dicono per prendere contatto via radio sul canale 16 VHF delle emergenze marittime con la Guardia Costiera italiana. La maggior parte delle volte chiamano per segnalare barche in difficoltà dirette verso Lampedusa. Lampedusa, che in questi anni abbiamo imparato a conoscere meglio e che viene chiamata in mille modi diversi da chi naviga o vive sulle sponde del Mediterraneo. Giovanni D’Ambrosio di Mediterranean Hope in due puntate racconta un po’ di questa isola e delle parole che si usano quando un lungo e faticoso viaggio si conclude (...)

    #Notizie #Arti_e_cultura #Isola_di_Lampedusa #Mediterraneo_centrale #Podcast_e_musica #Sicilia #Solidarietà_e_attivismo

  • War-related sexual and gender-based violence in Tigray, Northern Ethiopia: a community-based study

    Introduction. #Sexual_and_gender-based_violence (#SGBV) during armed conflicts has serious ramifications with women and girls disproportionally affected. The impact of the conflict that erupted in November 2020 in Tigray on SGBV is not well documented. This study is aimed at assessing war-related SGBV in war-affected Tigray, Ethiopia.

    Methods: A community-based survey was conducted in 52 (out of 84) districts of Tigray, excluding its western zone and some districts bordering Eritrea due to security reasons. Using a two-stage multistage cluster sampling technique, a total of 5171 women of reproductive age (15-49 years) were randomly selected and included in the study. Analysis used weighted descriptive statistics, regression modelling and tests of associations.

    Results: Overall, 43.3% (2241/5171) of women experienced at least one type of gender-based violence. The incidents of sexual, physical and psychological violence, and rape among women of reproductive age were found to be 9.7% (500/5171), 28.6% (1480/5171), 40.4% (2090/5171) and 7.9% (411/5171), respectively. Of the sexual violence survivors, rape accounted for 82.2% (411/500) cases, of which 68.4% (247) reported being gang raped. Young women (aged 15-24 years) were the most affected by sexual violence, 29.2% (146/500). Commonly reported SGBV-related issues were physical trauma, 23.8% (533/2241), sexually transmitted infections, 16.5% (68/411), HIV infection, 2.7% (11/411), unwanted pregnancy, 9.5% (39/411) and depression 19.2% (431/2241). Most survivors (89.7%) did not receive any postviolence medical or psychological support.

    Conclusions: Systemic war-related SGBV was prevalent in Tigray, with gang-rape as the most common form of sexual violence. Immediate medical and psychological care, and long-term rehabilitation and community support for survivors are urgently needed and recommended.

    Keywords: community-based survey; health policy; injury; public health.

    https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/37479499

    #viols #viol_de_guere #Tigray #Ethiopie #guerre #conflit_armé #femmes #filles #genre #article_scientifique #statistiques #chiffres

    Un article du Washington Post sur ce sujet (#paywall):
    https://www.washingtonpost.com/world/2023/11/26/ethiopia-tigray-rape-survivors-stigma

  • “Crocevia Mediterraneo”: il podcast (II stagione)
    https://www.meltingpot.org/2023/11/crocevia-mediterraneo-il-podcast-ii-stagione

    La seconda stagione del podcast «Crocevia Mediterraneo» segue il viaggio dell’equipaggio della nave Tanimar , composto da ricercatrici e ricercatori dell’Università di Genova e Parma, dalle coste siciliane – Messina e Lampedusa – alla volta della Tunisia. Un viaggio che ha messo nuovamente al centro lo spazio del Mar Mediterraneo cambiando la prospettiva, adottando uno sguardo obliquo capace da un lato di osservare l’applicazione e l’effetto delle necropolitiche europee nel governo delle migrazioni dalla sponda sud del Mediterraneo, dall’altro di esaminare l’intreccio tra l’orizzonte della pre-migrazione – cioè vivere il quotidiano con l’idea che si migrerà, come accade per (...)

    #Notizie #Arti_e_cultura #L'equipaggio_della_Tanimar

  • Aux marges coloniales de l’art contemporain
    https://laviedesidees.fr/Larissa-Buchholz-The-global-rules-of-art

    Une riche enquête éclaire la façon dont les artistes non-occidentaux trouvent place dans l’élite mondialisée de l’art contemporain. La valeur de leurs œuvres se construit dans leur interprétation et réappropriation par les intermédiaires qui les promeuvent à l’aide de leurs puissants réseaux. À propos de : Larissa Buchholz, The global rules of art. The emergence and Divisions of a cultural world economy, Princeton University Press

    #Économie #Arts #colonialisme #art_contemporain
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/202311_artcolonial.docx
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/20231124_artcolonial.docx
    https://laviedesidees.fr/IMG/pdf/20231124_artcolonial.pdf

  • Art et politique. En Palestine, ceci n’est pas une pastèque
    https://www.revolutionpermanente.fr/Art-et-politique-En-Palestine-ceci-n-est-pas-une-pasteque

    La première récolte de pastèques dont on a des traces remonte à environ cinq mille ans en Égypte. Ce fruit, largement consommé frais en morceaux dans le monde entier, occupe une place particulière dans la gastronomie palestinienne, où il est utilisé dans les salades, mais aussi grillé au barbecue où sa peau est marinée.

    Cependant, son importance culturelle ne se limite pas à son rôle dans la cuisine palestinienne. En raison de ses couleurs blanche, verte, rouge et noire, il est devenu un symbole pour représenter le drapeau de la Palestine, après qu’Israël a interdit son affichage public à Gaza et en Cisjordanie.

    Dans les années 1980, les forces d’occupation ont confisqué les œuvres d’art de la Galerie 79 de la ville de Ramallah, un centre d’activités culturelles fermé par les autorités israéliennes. À ce moment-là, ils ont arrêté trois artistes plasticiens palestiniens renommés. Les soldats israéliens ont averti Silman Mansour, Nabil Anani et Isam Badr qu’ils devaient supprimer les références politiques dans leurs œuvres d’art. Silman Mansour a rapporté lui-même ce que le chef des forces de répression israéliennes leur a dit : « Pourquoi faites-vous de l’art politique ? Pourquoi ne peignez-vous pas de belles fleurs ou des nus ? », avant de leur ordonner de montrer leurs tableaux afin de déterminer s’ils étaient acceptables ou s’ils seraient censurés pour l’exposition. L’ordre était de ne pas utiliser les couleurs rouge, verte, blanche et noire, car ce sont les couleurs du drapeau palestinien. Isam Badr a alors dit : « Eh bien, si je peins une fleur avec ces couleurs, que ferez-vous ? » Et l’officier a répondu : « Elle serait confisquée. Même si vous peignez une pastèque, elle vous sera confisquée. »

    #palestine #artpolitique

  • Sur le visage comme un oubli : Anima Sola #24
    Récit poétique à partir d’images créées par procuration.

    https://liminaire.fr/palimpseste/article/sur-le-visage-comme-un-oubli

    La nuit est tombée. J’admets que ce doit être bien difficile de tout prévoir à l’avance. La pluie continue à tomber, les gouttes d’eau ricochent sur la surface translucide de mon parapluie. Je vois leurs ondes se former au sol, tandis que les lumières de la rue sont éclaboussées dans les flaques par leurs reflets. J’arrive à un carrefour, je cherche ma direction. Et soudain, un son tremblotant m’interrompt. C’est une voix frêle que j’entends dans le tumulte de la circulation nocturne. Une voix privée de toute signification qui prononce des paroles incompréhensibles. Une voix sans âge ni sexe qui vient de loin.

    (...) #Écriture, #Langage, #Poésie, #Lecture, #Photographie, #Littérature, #Art, #AI, #IntelligenceArtificielle, #Dalle-e, #Récit, #Portrait, #Corps, #Lumière, #Pluie (...)

    https://liminaire.fr/IMG/mp4/anima_sola_24.mp4

  • « Sortilèges & Syndicats », un #Framabook quitte le nid
    https://framablog.org/2023/11/23/sortileges-syndicats-un-framabook-quitte-le-nid

    En janvier 2018, le dessinateur #Gee, bien connu du Framablog, sortait de son domaine habituel pour nous proposer un roman… Une aventure fantastique transposée dans un monde moderne, où les elfes et orques s’affrontent désormais dans une lutte des classes … Lire la suite­­

    #Communs_culturels #Des_Livres_en_Communs #art_libre #des_livres_en_communs #édition #Livre #LivreLibre #PVH

  • Aux frontières de la forteresse européenne

    Les arrivées de personnes exilées sont régulières en Europe, notamment par voie maritime. Pour toute réponse, les pays de l’Union européenne barricadent toujours plus leurs frontières avec des murs, des patrouilles constantes, des constructions de camps fermés. La journaliste #Elisa_Perrigueur en tient le récit en peintures.

    https://www.mediapart.fr/studio/portfolios/aux-frontieres-de-la-forteresse-europeenne
    http://perrigueur.eu/elisaperrigueur/dessins
    #dessin #frontières #peinture #art_et_politique #migrations #asile #réfugiés

    ping @isskein

  • How do I become a graphics programmer? A small guide from the AMD Game Engineering team
    https://gpuopen.com/learn/how_do_you_become_a_graphics_programmer

    AMD GPUOpen - Graphics and game developer resources It is often difficult to know where to start when taking your first in the world of graphics. This guide is here to help with a discussion of first steps and a list of useful websites.

    #Article #Single_Blog #beginner #DirectX #GPU #how_do_you_become_a_graphics_programmer? #OpenGL #Vulkan

  • Série I [Sémiologie géométrie] - six études
    https://visionscarto.net/serie-vi-semiologie-geometrie

    Titre : Série I [Sémiologie géométrie] - six études Mots-clés : #graphisme #art #couleurs #sémiologie #géométrie #formes #étude_graphique #série Matériel : Crayons de couleur, pastels gras, papier Canson. Apparition(s) : - Auteur : Philippe Rekacewicz Date de création : 2018, 2015 Série VI [sémiologie géométrie] - étude 01. Ph. R., 2018. Série VI [sémiologie géométrie] - étude 02. Ph. R., 2018. Série VI [sémiologie géométrie] - étude 03. Ph. R., 2018. Série #Inspirations

    / #Exercices_préliminaires

  • Gert Wunderlich: »Wenn die Sonne tief steht, werfen selbst Zwerge lange Schatten.«
    https://www.jungewelt.de/artikel/463451.ddr-grafik-meister-der-form.html

    18.11.2023 von Peter Michel - Eine Erinnerung an den Plakatkünstler, Typographen, Buch- und Schriftgestalter Gert Wunderlich anlässlich seines 90. Geburtstages

    »Die Meisterung der Form, wenn sie keine leere Virtuosität, sondern eine wahre ­Meisterschaft sein soll, kommt aus einer ­Disziplin, die den ganzen Menschen ergreift.«, Johannes R. Becher

    Am 15. August 2023 verstarb Gert Wunderlich. Er war international geachtet und anerkannt. Gemeinsam mit seiner Frau Sonja sorgte er bis in die Gegenwart dafür, dass Maßstäbe einer anspruchsvollen Gebrauchsgrafik nicht aus dem Gedächtnis verschwinden. Seinen 90. Geburtstag erlebte er nicht mehr. Am 8. September 2023 wurde er auf dem Leipziger Südfriedhof beigesetzt.

    »Überklebt – Plakate aus der DDR« war der Titel einer Ausstellung, die 2008 in der Galerie der Gesellschaft zum Schutz von Bürgerrecht und Menschenwürde (GBM) stattfand, kuratiert von der Kunsthistorikerin Sylke Wunderlich. Auch ihr Vater, Gert Wunderlich, war zur Eröffnung am 22. Oktober erschienen. So sahen wir uns nach vielen Jahren wieder. Er gehörte zu den Lesern und Unterstützern unserer Zeitschrift Icarus.¹ Wir erinnerten uns an die gemeinsame Arbeit im Künstlerverband und an die jährlichen Ausstellungen der besten Plakate. Wir waren uns darin einig, dass die Plakatkunst in der DDR eigenständig war, dass sich – wie Friedrich Dieckmann in einem Katalogtext schrieb – an der Spitze der Zunft ein künstlerischer Eigensinn behauptet hatte, »der wusste, was in der Welt an relevanter Plakatgrafik produziert wurde, in Polen und in Japan, in Frankreich, Westdeutschland oder den USA, und ihr eine Kunst humaner Differenzierung, des intrikaten Effekts, der malerischen Figur, auch der vehementen Collage entgegensetzte, fast verträumt manchmal, dann wieder scharfzüngig oder auf ernsthafteste Weise verspielt«.²

    Der Leipziger Verlag Faber & Faber hatte im selben Jahr in seiner Reihe »Die Graphischen Bücher« einen Band mit einem Text des Wuppertaler Ästhetikprofessors Bazon Brock herausgegeben. Dieses Buch trug den Titel »Kotflügel. Sprechmaschine nackt im Damenjournal«. Brock war als Provokateur bekannt, er hielt auf dem Kopf stehend Vorträge, warf seine Schuhe in den Ätna und gründete ein Institut für Gerüchteverbreitung. Er war an Happenings mit Joseph Beuys beteiligt, bemühte sich, der öffentlich verbreiteten Ideologie entgegenzusteuern und hatte auf die Künstlergeneration der »Neuen Wilden« entscheidenden Einfluss. Gert Wunderlich gestaltete dieses Buch, legte jedem Exemplar acht schon 2006 geschaffene Originaltypographiken auf Transparentfolie bei und schrieb in eine der Ausgaben: »Wenn die Sonne tief steht, werfen selbst Zwerge lange Schatten.« Hier übertraf wohl eine Ironie die andere. Als die Weimarer Ausstellung »Aufstieg und Fall der Moderne«, in der es 1999 um die Diskriminierung in der DDR entstandener Kunst ging, von allen Seiten heftig kritisiert wurde, hatte sich auch Bazon Brock eingemischt. Im Deutschlandradio Berlin äußerte er, angesichts dessen, was Ausstellungen und Kunstmarkt den Künstlern im Westen zugemutet hätten, sei die Kritik an der Weimarer Ausstellung lachhaft.³ Er war es also gewöhnt, dass man Kunst wie Müll behandelt.

    Die transparenten Originaltypographiken von Gert Wunderlich verstehe ich demgegenüber als Zeugnisse des Bestehens auf einer künstlerischen Leistung, die unwiederholbar ist und die man achten muss. Wunderlich spielte mit Schriften, farbigen und schwarzen, winzigen und großen Typen, mit geometrischen Formen, die die Funktion von Schriftzeichen übernehmen, mit spannungsvoll komponierten Flächen, mit herausfordernden Verrätselungen – und wenn man die Grafiken gegen das Licht hält, entstehen Assoziationen zu den Sprachblättern von Carlfriedrich Claus. Das sind Werke eines Künstlers, der sein typographisches Handwerk perfekt beherrschte und der solche Spiele – die natürlich ihren Eigenwert haben – braucht, um klare Botschaften ebenso meisterhaft unter die Leute zu bringen.
    »affiche directe«

    Sein Plakat »Hemmungsloser Maximalprofit tötet Moral« aus der Serie »affiche directe«, das 2008 entstand, ist ein Beispiel dafür. Der Begriff »Maximalprofit« steht schwer, schwarz und blockhaft im Zentrum. Die roten Schriftzüge bilden die weitergehende Aussage: »Profitgier tötet«, wobei die kalligrafisch scheinbar schnell hingeworfene und die massige Blockschriftzeile in ihrer Gegensätzlichkeit jeweils nach oben oder unten weisen und nach links einen Keil bilden. Es werden Bezüge zur frühen nachrevolutionären russischen Kunst deutlich. Die Serie »affiche directe« entstand seit den 1970er Jahren zu gesellschaftspolitischen Themen, die national und international von entscheidender Bedeutung waren – und noch sind. Hier stellten Gert und Sonja Wunderlich ihre eindeutige Haltung in einer breiten Öffentlichkeit aus. Sie stießen die Betrachter mit ihren Plakaten und Postkarten sehr direkt auf aktuell brennende Probleme, provozierten ein Weiterdenken und forderten zum Handeln auf. Sie nutzten dafür typographische, schriftgrafische und fotografische Mittel. Auf einem Plakat aus dem Jahr 1999 sind auf schwarzem Grund das NATO-Symbol und das Hakenkreuz miteinander verzahnt; darüber in Gelb das Wort »Aggressoren« und oben die Jahreszahlen 1939 und 1999 mit schlagwortartigen Schriftzügen: »Überfall deutscher Truppen auf Polen: 1.9.1939« und »Bombenkrieg der NATO gegen Serbien. Ohne UN-Mandat: 24.3.1999«.
    thema2.jpg

    Gert Wunderlich/Stiftung Plakat OST (2)

    Gert Wunderlich: Nie wieder Faschismus, Plakat (2006)

    Einige Postkarten dieser Serie schickte Gert Wunderlich an uns. Meist sind sie mit persönlichen Widmungen versehen. Wir bewahren sie als Zeugnisse unserer Freundschaft. »Kriege sind vom Aussterben nicht bedroht … Megaprofite, imperiale Gewalt und religiöser Fanatismus sind gegenwärtig«, steht auf einer dieser Postkarten aus dem Jahr 2014. Auf einer anderen wird davor gewarnt, Russland permanent als »Reich des Bösen« zu diffamieren. Auf der Rückseite einer Postkarte zur anhaltenden inneren Spaltung der Deutschen zitiert Gert Wunderlich eine Äußerung Stefan Zweigs aus dem Jahr 1938 über den Hass zwischen Systemen, Parteien, Klassen, »Rassen« und Ideologien. Anlässlich der V. Internationalen Plakatausstellung in Leipzig 2022 entstand sein Plakat mit dem Text des Gedichtes »Das große Karthago …« von Bertolt Brecht. Im selben Jahr beteiligten sich Sonja und Gert Wunderlich an einem japanischen Plakatwettbewerb gegen den Krieg und nutzten dafür die Nationalfarben der Ukraine.

    Das schöpferische Spiel mit der Schrift ist typisch für Gert Wunderlichs Plakatkunst. Als er das Plakat für die Internationale Buchkunstausstellung in Leipzig schuf, ordnete er die vierfach wiederholten Schriftzeichen der Abkürzung »iba« spiegelbildlich um eine senkrechte Mittelachse. Für die Thomas-Mann-Ehrung 1975 sind auf einer dunkelblauen Fläche drei Schriftzeilen an den oberen und unteren Rand sowie in die Mitte gestellt, so dass unter dem Wort »Mann« die Fliege genügt – die der Schriftsteller gern anstelle einer Krawatte trug –, um den Betrachter darauf zu stoßen, worum es geht. Beinahe monumental ist auf einem Plakat für eine Aufführung des »Rings des Nibelungen« die blockhafte Masse der schweren Typen auf einen Bühnenboden gestellt – als ein Zeichen für die Gewalt der Wagnerschen Musik. Ebenso symbolisiert ein kräftiger Punkt mit auf- und abschwellenden Linien die Kunst der Grafik auf einem Plakat für die Ausstellung »100 ausgewählte Grafiken 1977«. Solche Klarheit des Aufbaus bestimmte auch ein Schriftplakat zur Abrüstung 1983 und ein Plakat mit kyrillischer Schrift für eine Ausstellung grafischer Arbeiten der Leipziger Hochschule für Grafik und Buchkunst 1989 in Moskau. Fast alle diese Arbeiten sind Kulturplakate. Der Blickfang ist auf weite Sicht konzipiert, die notwendigen weiterführenden Informationen sind klein gedruckt. Wer neugierig geworden ist, tritt an das Plakat heran.
    Konsequenter Lebensweg

    Gert Wunderlich wurde am 18. November 1933 in Leipzig geboren. Er erlernte in den Deutschen Grafischen Werkstätten den Beruf des Schriftsetzers und studierte anschließend an der Hochschule für Grafik und Buchkunst Leipzig (HGB) bei Irmgard Horlbeck-Kappler, Wolfgang Mattheuer und Elisabeth Altmann im Grundstudium. Sein Fachstudium absolvierte er bei den Designern, Kalligraphen und Typographen Albert Kapr, Oskar Zech und Otto Erler. Nach dem Diplom arbeitete er bis 1960 als Buchgestalter in der Druckerei »Fortschritt« Erfurt. 1959 wurde Wunderlich in den Verband Bildender Künstler aufgenommen. Seine erste große internationale Aufgabe war die Tätigkeit als Sekretär der Internationalen Buchkunstausstellung in Leipzig. Das dafür geschaffene Plakat machte ihn über die Grenzen der DDR hinaus bekannt. 1966 wurde er Aspirant bei Albert Kapr, 1967 Assistent, 1968 Oberassistent und 1971 Dozent. Der Bund Deutscher Buchkünstler, der seinen Sitz in Offenbach am Main hat, nahm ihn im selben Jahr als Mitglied auf. 1979 übertrug man ihm eine Professur mit künstlerischer Lehrtätigkeit sowie die Leitung der Abteilung Buchgestaltung/Gebrauchsgrafik an der HGB. 1982 wurde Wunderlich zum Vorsitzenden des DDR-Zweigs des International Council of Graphic Design Associations (Weltdachverband für Grafikdesign und visuelle Kommunikation, Icograda) gewählt. Eine erste Gastdozentur im Ausland führte ihn 1988 an die Akademie für Kunst und Design nach Beijing. Von 1991 bis 1999 bildete er Meisterschüler aus. 1992 erfolgte die Berufung als Professor neuen Rechts an der Leipziger Hochschule, bis 1999 leitete er dort die Fachklasse für Typographie, Buch- und Plakatgestaltung. Nach seiner Emeritierung ging Wunderlich 1999 noch einmal als Gastdozent für praktisch-künstlerischen Unterricht nach Beijing und hielt Vorträge an der Universität Xiamen und an der Kunsthochschule Suzhou. Er arbeitete in zahlreichen nationalen und internationalen Jurys mit und war von 1992 bis 2011 Mitglied des Kuratoriums zur Verleihung des Gutenberg-Preises der Städte Leipzig und Mainz.

    Gert Wunderlich gehörte zu den Typographen, die bis heute Maßstäbe setzen. Die klassische Ausbildung, die er nach dem Zweiten Weltkrieg in Leipzig erhielt, ist heute nicht mehr allgemein üblich. Sie schloss Offenheit gegenüber anderen Kunstbereichen ein. Schon in den 1950er Jahren – als das noch nicht selbstverständlich war – beschäftigte er sich mit dem Erbe des Expressionismus und des Bauhauses. Bewährtes und Neues zusammenzuführen, war Wunderlich wichtig. Stets war er der Auffassung, dass die typographische Form dem Inhalt entsprechen müsse; er wählte Formen, die es ermöglichen, einen Text dauerhaft erlebbar zu machen und zugleich die Lesbarkeit zu sichern. Das ist ohne gestalterische Disziplin nicht möglich; visuelles Marktgeschrei verbietet sich.

    Wunderlich entwickelte neue Schriften, darunter die »Antiqua 58«. Die von ihm geschaffene Linear-Antiqua »Maxima« gehörte wegen ihrer guten Lesbarkeit, ihrer Formschönheit und Ausdruckskraft in den 1980er Jahren zu den meistgenutzten Groteskschriften in der DDR und wurde für alle Buchgenres, aber auch zum Beispiel im Berliner Nahverkehr genutzt.
    Eigene Buchkunsttradition

    Die von Wunderlich gestalteten Bücher sind kaum zählbar. Wolfgang Hütts Bücher über Lea Grundig und Willi Sitte gehören dazu, der Sammelband »Weggefährten. 25 Künstler der DDR«, die vom Künstlerverband herausgegebene Publikation »Gebrauchsgrafik in der DDR«, Günter Meißners Buch über Werner Tübke, das Gert Wunderlich und seine Frau Sonja gestalteten, und andere. Gemeinsam mit den beiden älteren Buchgestaltern Albert Kapr und Walter Schiller gilt Gert Wunderlich als Vertreter einer Buchkunsttradition, die sich seit den 1950er Jahren in der DDR herausbildete – oft unter materiellen Schwierigkeiten und begleitet von kulturpolitischen Auseinandersetzungen. Die Zusammenarbeit mit Grafikern und Illustratoren war ihm stets wichtig, um ein ganzheitliches buchkünstlerisches Werk zu schaffen. Zwischen 1991 und 2011 schuf er zum Beispiel für den Leipziger Bibliophilen-Abend vorbildhaft gestaltete Bücher und Buchkassetten mit Holzstichen von Karl-Georg Hirsch, Lithographien und Steindrucken von Jiří Šalamoun und Rolf Münzner, Holzschnitten, Kupferstichen und Radierungen von Baldwin Zettl, Hans Ticha, Joachim John, Rolf Kuhrt und anderen. Seine Arbeiten zu Texten von Edgar Allan Poe, Bertolt Brecht, Volker Braun, Hermann Kant, Rolf Hochhuth, Lothar Lang und anderen sind Meisterwerke, die ihresgleichen suchen. Viele Verlage schätzten Gert Wunderlich als einfühlsamen, maßstabsetzenden Gestalter. Wenn man solche Bücher in die Hand nimmt und sieht, wie alle Teile zusammenspielen, wie komplizierte Texte und unterschiedliche grafische Elemente ein Ganzes geworden sind, wird einem die ästhetische Verarmung der Gegenwart bewusst. Aus dem Kulturgut Buch ist in vielen Fällen ein Wegwerfartikel geworden, eine Ware wie jede andere.
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    Gert Wunderlich/Stiftung Plakat OST

    Gert Wunderlich: Plakat für den Wettbewerb »100 Ausgewählte Grafiken« 1977 (1977)

    Bis kurz vor seinem Tod bestritt Wunderlich unzählige Einzel- und Gruppenausstellungen und wurde vielfach ausgezeichnet. Seine Arbeiten sind in Sammlungen auf der ganzen Welt zu finden. Der 1933 Geborene konnte auf das Erreichte stolz sein. Es machte ihn sympathisch, dass er bei alledem bescheiden auftrat und nicht vergaß, woher er kam. Wir trafen uns im Sommer 2013 zum letzten Mal. Der Anlass war traurig und unser Treffen war zufällig. In der Menschenmenge vor der Feierhalle auf dem Gertraudenfriedhof in Halle sahen wir uns, als wir von Willi Sitte Abschied nahmen.

    Der Grafikdesigner Kurt Weidemann schrieb: »Wer Typographie macht, dem muss es völlig wurscht sein, ob er im Trend liegt, up to date ist oder nicht. Wer dauernd neuen Idolen dient oder sie nur abkupfert, verliert seine Identität. Wer Angst davor hat, als altmodisch bezeichnet zu werden, darf seinen Kontrahenten Ahnungslosigkeit und Unkenntnis der Geschichte vorwerfen.«⁴ Gert Wunderlich besaß dieses Selbstbewusstsein. Und die Anmerkung Kurt Weidemanns betrifft wohl nicht nur die Typographie.

    Anmerkungen

    1 Icarus, Zeitschrift für soziale Theorie, Menschenrechte und Kultur, herausgegeben von der Gesellschaft zum Schutz von Bürgerrecht und Menschenwürde

    2 Friedrich Dieckmann: Eigensinn und Eigenart. Plakate aus der Deutschen Demokratischen Republik. In: Überklebt – Plakate aus der DDR, Schwerin 2007, S. 9

    3 Gespräch mit Bazon Brock, Deutschlandradio Berlin, Mai 1999. Siehe auch: Peter Michel: Ankunft in der Freiheit. Essays gegen den Werteverlust der Zeit, Berlin 2011, S. 42

    4 Kurt Weidemann: Typografen sind Dienstleute. In: Sonja und Gert Wunderlich: Graphik-Design, herausgegeben von der Stiftung Plakat Ost, Leipzig 2013, S. 94

    #art #DDR

  • Violences

    Dans sa nouvelle création qui prend le titre de « Violences », Léa Drouet s’attache surtout à nous faire passer de l’autre côté des gros intitulés. Le long d’une écriture sensible qui se compose au croisement du corps, du son et de la scénographie, elle nous conduit sur le bord des images de la violence telles qu’elles sont agencées pour nous choquer et, nous sidérant, nous empêcher non seulement d’agir mais déjà de sentir.

    Résister à l’assignation à la passivité commence peut-être ici : pouvoir éprouver et expérimenter. Reprendre l’expérience de la violence non plus seulement en tant qu’elle est subie par les uns et exercée par les autres, mais en tant qu’elle nous traverse tous et chacun. La violence n’est pas que le lot d’un pouvoir qui nous rend impuissants. Elle est aussi une puissance que nous pouvons déployer pour reprendre des capacités de voir, d’agir et de vivre autrement. Seule en scène, Léa Drouet commence par suivre le parcours de sa grand-mère Mado qui, petite fille, dut traverser des champs et des routes pour échapper à la rafle du Vél d’Hiv’. À partir de là, la metteuse en scène retrace la traversée des frontières qui conduit aujourd’hui d’autres enfants à perdre la vie. Dans les interstices qui séparent les morts que l’on compte de toutes les morts qui ne comptent pas, elle tente de recomposer des mémoires ainsi que des histoires pour l’avenir. L’artiste agit sur un espace principalement composé de sables, évoquant des territoires fracturés, séparés par des frontières ou abîmés par des tours. Si le sable sait parfaitement recouvrir les traces et effacer les marques de violence, il est aussi porteur d’empreintes. Léa Drouet façonne ce paysage où le corps engagé passe du témoin à l’actrice et de l’actrice à la narratrice, comme si les lignes de rupture permettaient surtout des rencontres nouvelles. Alors émergent peu à peu d’autres positionnements, d’autres possibilités d’action et d’autres attentions au détail et au petit. Car c’est peut-être dans la fragilité des grains de sable que se distinguent les fondements, friables et solides à la fois, d’un monde capable d’assumer ses conflits autrement que sous la forme du champ de bataille et de l’État de guerre généralisé.

    -- Camille Louis, Dramaturge

    https://vimeo.com/504326442

    https://vaisseau-leadrouet.com/projet/violences

    #frontières #morts_aux_frontières #mourir_aux_frontières #asile #migrations #réfugiés #violence #art_et_politique #art #théâtre #impuissance #puissance #Léa_Drouet #mémoire #traces #sable #empreintes #conflits

  • Combien faut-il de smartphones pour faire une vie humaine ?
    https://tagrawlaineqqiqi.wordpress.com/2023/11/18/combien-faut-il-de-smartphone-pour-faire-une-vie-humaine

    Pour environ la quarante-deux millionième fois, on m’a expliqué que ne pas avoir et ne pas vouloir de smartphone, c’est être un individu archaïque réfractaire au progrès. Parce que depuis le début du XIXe siècle, on nous présente tout nouvel objet, et désormais toute nouvelle automatisation comme un progrès inéluctable, insistant sur le fait qu’il […]

    #Article #autonomie #chroniques_agricoles #Société #contrôle_social
    https://0.gravatar.com/avatar/cd5bf583a4f6b14e8793f123f6473b33bb560651f18847079e51b3bcad719755?s=96&d=

  • « The yellow queen – a road movie »
    https://www.meltingpot.org/2023/11/the-yellow-queen-a-road-movie

    Un viaggio in autobus di sola andata da Colonia a Bamako (Mali): 7.200 km, 21 giorni. Un viaggio i cui protagonisti sono il bus e il suo autista, Christian, appassionato di meccanica e viaggi. Dal 2012 porta in #Mali solo Mercedes O 303 che come dice lui: “E’ il miglior bus che sia mai stato costruito: un telaio indistruttibile, un motore immortale che può fare facilmente fino a 2 milioni di km, meccanica semplice e facilità nel montare i pezzi di ricambio”. Questi bus non possono più circolare in Europa, ma a Bamako, per le ragioni appena citate, sono molto

    #Notizie #Arti_e_cultura #Film_e_documentari #Germania

  • Des coïncidences visibles : Anima Sola #23
    Récit poétique à partir d’images créées par procuration.

    https://liminaire.fr/palimpseste/article/des-coincidences-visibles

    Les formes se confondent avec les signes. Je cherche les liaisons, comment les rétablir. Une sensation ancienne, le souvenir d’une caresse pressante sur mon bras. La pression de ses doigts. Les traces blanches à la surface de ma peau qui s’effacent très vite après avoir desserré leur étreinte. Leur bref surgissement rappellent ces corps célestes qui traversent le ciel la nuit et qui, malgré la brièveté de leur passage, sont d’une nature éternelle, car ils forment le tissu du monde.

    (...) #Écriture, #Langage, #Poésie, #Lecture, #Photographie, #Littérature, #Art, #AI, #IntelligenceArtificielle, #Dalle-e, #Récit, #Portrait, #Corps, #Lumière, #Paysage (...)

    https://liminaire.fr/IMG/mp4/anima_sola_23.mp4

  • «Onde». Donne e migrazioni: il progetto FreeFemmes
    https://www.meltingpot.org/2023/11/onde-donne-e-migrazioni-il-progetto-freefemmes

    Nell’11° episodio del podcast «Onde. Tra diritti e narrazioni» si parla di FreeFemmes, artigiane per la libertà di movimento, con parti dell’intervento di Bintou Toure, una delle fondatrici del progetto, al Festival delle migrazioni di Torino del settembre scorso. Questo gruppo di migranti sub-sahariane, autoctone tunisine e donne che vivono a Medenine, nel sud della Tunisia al confine libico, ha costruito insieme uno spazio di lavoro e di solidarietà all’interno del contesto violento della frontiera dove le persone migranti che arrivano dalla Libia – per mare o per deserto – vivono gravi forme di razzismo, discriminazione, violazione di diritti, (...)

    #Incontri_informativi_e_formativi #Arti_e_cultura #Albertina_Sanchioni