• The contemporary zoo in Switzerland:a postcolonial critique
    https://visionscarto.net/switzerland-zoo-postcolonial-critique

    Taking the zoo as an object of postcolonial critique in Switzerland may seem surprising, as the zoo is generally perceived as a place of entertainment. However, the presence of a zoological garden often implies that a city has a history of (international) trade and prosperity, and therefore has been in contact with issues of coloniality and its representation for a long period of time. Zurich’s zoo serves as an example of how the history of the zoo and its entanglement with the “Völkerschau” (...) #Articles

  • Sans titre
    https://mamot.fr/@Rx3/110102157998631364

    MACHINE HEAD – Unto The LocustJe me rappelle encore des mots d’un type en 2006 : « MACHINE HEAD c’est terminé, ils se sont sabordés depuis « The Burning Red » ». Et deux ans plus tard, j’ai repensé à ce mec là….« The Blackening » était une tuerie. Point barre. L’album de Thrash des années 2000 à 2010 ; c’est simple. Mais les connaisseurs doutaient… La bande à Robb Flynn allait-elle nous refaire le coup de 99…https://www.real-rebel-radio.net/2023/03/28/machine-head-unto-the-locust/#Articles #BLOG #Chroniques

    ##Articles

  • Sans titre
    https://mamot.fr/@Rx3/110062117781441641

    CANDLEMASS – King Of The Grey IslandsCANDLEMASS, un nom qui résonne encore un fond de la nuit. L’un des rares groupes parvenu à canaliser la quintessence du Doom.Lorsque Messiah Marcolin quitte le groupe au terme d’un énième épisode de son grand soap-opéra, le véritable maître du groupe, le bassiste Leif Edling, annonce que le remplaçant n’est autre que Robert Lowe de SOLITUDE AETERNUS. Chanteur au style radicalement différent...https://www.real-rebel-radio.net/2023/03/21/candlemass-king-of-the-grey-islands/#Articles #BLOG #Chroniques

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  • Sans titre
    https://mamot.fr/@Rx3/109977718723667666

    TURBONEGRO – Apocalypse DudesDu cul, du bruit, du fun. Ah et de la bière aussi. Voilà les ingrédients d’un concert/festival/soirée (rayez les mentions inutiles) entre hardos réussie. Finalement, le hardos est un animal facile à combler.Mais TURBONEGRO n’est pas comme ça, non. TURBONEGRO est fin, subtil et délicat.https://www.real-rebel-radio.net/2023/03/06/turbonegro-apocalypse-dudes/#Articles #BLOG #Chroniques #hardrock #punk #turbonegro

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  • Sans titre
    https://mamot.fr/@Rx3/110000117329082628

    SLAYER – Reign In Bloodhttps://www.real-rebel-radio.net/2023/03/10/slayer-reign-in-blood/L’album culte… Non, même au-delà, la légende, le mythe, l’intouchable. Le saint des saints, le truc que si on en dit du mal, on va tout de suite se faire piétiner par des hordes de fans incontrôlables.#Articles #BLOG #Chroniques

    ##Articles

  • Maps on the Move
    https://visionscarto.net/maps-on-the-move

    In an age determined by global mobility and multilocality, everyday life and livelihoods are increasingly determined by the possibility, and impossibility, of being on the move. Translocal people, goods, as well as ideas, are transforming urban areas, landscapes and territories. In order to facilitate analysis and visualisation of a vectorised space-time, the approaches of mapping need to be adjusted. What could we learn from the maps of people-on-the-move? by Elisa T. Bertuzzo The (...) #Articles

  • Parution : Les articles du New-York Daily Tribune (volume 1, 1851-1852). Volume 1 (1851-1852) , de #Friedrich_Engels / #Karl_Marx
    https://editionssociales.fr/catalogue/les-articles-du-new-york-daily-tribune-volume-1-1851-1852

    Entre  1851 et 1862, Marx et Engels contribuent régulièrement au journal étatsunien The New-York Daily Tribune. Ils produisent au cours de ces années près de cinq cents #articles, proposant des analyses concrètes et riches de l’actualité économique, politique et géopolitique du milieu du XIXe siècle, sur la « #révolution et #contre-révolution » en Allemagne, le #mouvement_chartiste anglais, la #guerre_de_Crimée, les #guerres_de_l’opium en #Chine, la révolte des Cipayes en Inde, ou encore la guerre de Sécession aux États-Unis. Ces écrits, composés dans une période de relative inactivité politique marquée par l’échec des révolutions européennes de #1848, et avant que ne s’organise la Première Internationale, prolongent les textes historiques de Marx sur les luttes de classes en France. Ils constituent en même temps un laboratoire pour certains éléments théoriques des #Grundrisse et du Capital, jouant ainsi un rôle déterminant dans le développement de la conception matérialiste de l’histoire.
    Le présent volume, le premier d’un vaste ensemble devant comprendre l’intégralité des articles publiés par #Marx et #Engels dans le #New-York_Daily_Tribune, rassemble les articles écrits en 1851-1852. Il contient en particulier la série d’articles publiés sous le titre Révolution et contre-révolution en Allemagne, ainsi qu’une #chronique minutieuse de la vie économique et des luttes politiques en Angleterre, alors la pointe avancée du #capitalisme mondial.

    #chartisme #lutte_de_classe #Le_Capital

    • Les articles de #Karl_Marx et #Friedrich_Engels dans le New-York Daily Tribune
      https://mensuel.lutte-ouvriere.org//2023/02/25/les-articles-de-karl-marx-et-friedrich-engels-dans-le-new-yo

      Friedrich Engels et Karl Marx, Les articles du New-York Daily Tribune. Volume I (1851-1852), édition et traduction d’Alexia Blin, Yohann Douet, Juliette Farjat, Alexandre Feron et Marion Leclair. Paris, les Éditions sociales, 2022. Prix  : 26 €.

      En 1849, la révolution reflue en Europe, et Marx et Engels doivent quitter l’Allemagne pour la Grande-Bretagne. Comme des milliers d’autres exilés, Marx et sa famille se réfugient à Londres. Une période de recul politique s’ouvre, les possibilités d’intervention disparaissent, et Marx et Engels échouent à relancer la Nouvelle Gazette rhénane, le journal que Marx dirigea à Cologne en 1848-1849, et la Ligue des communistes, l’organisation pour laquelle ils avaient rédigé le Manifeste du parti communiste. Pour la famille Marx, c’est aussi une période difficile matériellement  : elle mène une existence précaire dans le quartier de Soho, et deux enfants meurent en bas âge, en 1850 et 1852. Pendant des années, Karl et Jenny Marx dépendent de l’ami Engels qui, afin de subvenir à ses besoins et aux leurs, renoue avec son fabricant de père et occupe un poste à la gestion de la fabrique Ermen & Engels à Manchester. Quand, en août 1851, Karl Marx reçoit la proposition d’écrire pour le journal New-York Daily Tribune du rédacteur Charles Dana, qu’il a rencontré à Cologne en 1848, il accepte. Moyennant une rémunération qui améliore la situation familiale, il devient le correspondant du journal. Malgré le fait que le New-York Daily Tribune s’approprie certains articles de Marx, ou en caviarde d’autres, la collaboration durera onze ans.

      Le New-York Daily Tribune n’est pas un journal socialiste. C’est le principal quotidien de la côte est des États-Unis. Propriété d’Horace Greeley, c’est un périodique «  progressiste  », opposé à l’esclavage, favorable aux droits des femmes et à l’abolition de la peine de mort, en sympathie avec les mouvements ouvriers, mais qui défend aussi le capitalisme industriel. L’audience du journal intéresse Marx, qui y voit non seulement un revenu mais aussi un moyen de s’adresser à un vaste lectorat, à une époque où les États-Unis attirent de nombreux émigrants européens et où l’actualité américaine intéresse de plus en plus Marx.

      Entre 1851 et 1862, Marx publie ainsi 487 articles, un ensemble de textes dont le volume dépasse les trois livres du Capital. En réalité, comme l’a révélé sa correspondance, tous ne sont pas de sa plume  : Engels rédige 125 des articles, en co-écrit 12 autres, et en traduit un certain nombre d’autres de l’allemand vers l’anglais. «  Je rentre directement chez moi pour terminer l’article pour le Tribune, afin qu’il parte avec la deuxième levée et que tu puisses l’envoyer par le vapeur de demain  », écrit par exemple Engels à Marx le 23 septembre 1852. Entre les deux amis, le courrier Londres-Manchester et des rencontres fréquentes constituent plus qu’un lien personnel, une étroite collaboration politique. Leurs articles abordent de nombreux aspects de la politique européenne, britannique en particulier, mais aussi allemande, espagnole, française, etc. Au fil des années, Marx s’intéresse de plus en plus à l’Asie et aux questions coloniales, notamment à la révolte des Taiping, à la seconde guerre de l’Opium en Chine et à la révolte indienne de 1857. Il s’intéresse également à la Russie, notamment aux troubles résultant de la guerre de Crimée et à l’agitation contre le servage, aboli en 1861. Pour Marx, cette écriture régulière, en prise avec l’actualité, est aussi une façon d’affirmer ses idées et de discuter avec d’autres penseurs et militants de son temps. Les articles font donc partie du capital politique marxiste, même si le terme n’existe pas, à une époque où Marx est certes reconnu, notamment parmi les exilés allemands, mais où il n’a que peu de partisans convaincus.

      Le volume des articles du #New-York_Daily_Tribune, récemment paru et concernant les années 1851 et 1852, est le premier d’une série, les #Éditions_sociales ayant entrepris de traduire et d’éditer l’intégralité des articles de Marx et Engels parus dans ce journal. Ce projet s’inscrit dans la #GEME (#Grande_édition_Marx_et_Engels), qui propose de nouvelles traductions de leurs œuvres, à partir de l’édition des œuvres complètes en langue originale, la #MEGA. Ce volume I contient d’abord une série de 19 articles, connue sous le titre #Révolution et #contre-révolution en Allemagne, articles rédigés par Engels, traduits et édités par le passé. Il y analyse les forces à l’œuvre dans les #États_allemands et en #Autriche en 1848-1849, le jeu des #classes_sociales, les aspirations réformatrices de la bourgeoisie et sa crainte du rôle du prolétariat. Ce volume contient également 13 «  dépêches d’Angleterre  », sur la situation et les pratiques politiques britanniques, après plus d’une décennie de mobilisation du #mouvement_chartiste. L’introduction détaillée, utile pour mettre en contexte l’ensemble des articles, insiste néanmoins sur les «  erreurs de pronostic  » de Marx et d’Engels, alors que ceux-ci, forts de leur #optimisme_révolutionnaire, font en réalité des paris militants qui n’ont pas de valeur prédictive. Des notes et des annexes aident à comprendre les nombreuses références à des personnalités et à des événements aujourd’hui oubliés.

  • [RussEurope-en Exil] La restructuration de l’industrie automobile russe – analyse d’un article publié dans l’hebdomadaire EKSPERT par Jacques Sapir
    https://www.les-crises.fr/russeurope-en-exil-la-restructuration-de-l-industrie-automobile-russe-ana

    La restructuration de l’industrie automobile russe : analyse d’un article publié dans l’hebdomadaire EKSPERT Jacques Sapir Directeur du CEMI L’industrie automobile russe a été très sérieusement affectée par les sanctions prises par les États-Unis et l’Union européenne. C’est en fait l’un des seuls secteurs où l’on peut voir un effet fortement négatif. Pourtant, des signes […]

    #Articles #Russie #Articles,_Russie

  • Quelle situation économique en #Russie ? – Séminaire Franco-Russe #64 – Jacques Sapir
    https://www.les-crises.fr/quelle-situation-economique-en-russie-seminaire-franco-russe-64-jacques-s

    La 64ème session du séminaire franco-russe s’est tenu à Moscou, en partie en présentiel et en partie par vidéo conférence, les 21, 22 et 23 novembre 2022. Ce séminaire était coorganisé par l’Institut de Prévision Économique de l’Académie des Sciences de Russie (INP ASR, Moscou), l’Institut d’économie et d’organisation de la production industrielle SB ASR […]

    #Articles #Articles,_Russie

  • Gérard Wertheimer en tête des plus grandes fortunes de Suisse Théo Jeannet/furr/ats
    https://www.rts.ch/info/economie/13572304-gerard-wertheimer-en-tete-des-plus-grandes-fortunes-de-suisse.html

    Il reste beaucoup de milliardaires en Suisse. Le magazine Bilan sort vendredi son classement des 300 plus grandes fortunes du pays. Les milliardaires ont vu leur fortune varier au gré de la pandémie et de l’invasion russe de l’Ukraine.

    Derrière les murs d’une villa de Cologny, à Genève, la nouvelle plus grosse fortune de Suisse, celle du Français Gérard Wertheimer, propriétaire avec son frère Alain de la maison Chanel, s’élève à 38 milliards de francs, en hausse de pas moins de 9 milliards, selon les estimations du magazine Bilan. https://interactif.bilan.ch/300-plus-riches


    Le luxe ne connaît ainsi pas la crise et vole la première place aux familles Hoffmann-Oeri-Duschmalé, à la tête de l’empire pharmaceutique Roche, avec ses plus de 30 milliards de francs. Sur la troisième marche du podium, on retrouve Klaus-Michael Kühne, du groupe de logistique du même nom, avec plus de 23 milliards de francs (-6 milliards sur un an).

    Domiciliée à Bâle et Genève et active dans la banque, l’immobilier et l’agroalimentaire, la famille Safra conserve son 4e rang, sa fortune restant stable à environ 22 à 23 milliards de francs.

    Santé « insolente » du luxe
    D’après Andrea Machalova, rédactrice en chef adjointe de Bilan, responsable du département « Bilan luxe », le secteur affiche une santé « insolente ». Dans le luxe, il y a en effet beaucoup de « valeurs refuges », explique-t-elle.

    « Il y a aussi de plus en plus de personnes fortunées autour du monde, donc des nouveaux marchés qui s’ouvrent, notamment pour l’horlogerie, comme aux Etats-Unis, au Moyen-Orient et en Inde. Avec le développement du marché de deuxième main, ce sont en plus des objets qu’on peut revendre », développe encore la rédactrice en chef adjointe.

    Classement bouleversé par le Covid-19
    Plusieurs mois d’enquête des journalistes de Bilan ont abouti à un classement bouleversé par la crise du Covid-19. Un exemple frappant est la famille d’armateurs italiens Aponte, géant du fret maritime et des croisières, propriétaire du géant maritime Mediterranean Shipping Company (MSC).

    Elle a gagné 14 places et entre à la cinquième place du top des plus fortunés du pays, à la faveur d’un bond de son patrimoine de 10 milliards à quelque 20 milliards de francs.

    Selon Julien de Weck, rédacteur en chef de Bilan, le Covid a perturbé toutes les chaînes d’approvisionnement et a eu pour conséquence une explosion du prix du transport de marchandises.

    « Les propriétaires du secteur et les armateurs en ont bénéficié avec deux exercices exceptionnels (...) On estime que ces deux dernières années, les Aponte ont gagné autant que sur la dernière décennie », détaille encore Julien de Weck.

    Entre 16 et 17 milliards pour les Bertarelli
    Domicilié depuis vingt ans à Rapperswil, sur la rive saint-galloise du lac de Zurich, Jorge Lemann, binational brésilien et suisse, reste solidement installé au 6e rang de la hiérarchie des fortunes les mieux dotées de Suisse, son patrimoine pesant 16 à 17 milliards de francs.

    Agé de 82 ans, l’homme d’affaires, qui a aussi joué pour la Suisse en Coupe Davis de tennis, détient notamment des participations dans Burger King et le numéro un mondial de la bière AB inBev.

    Jorge Lemann précède la famille Bertarelli, dont le patrimoine se monte à 16-17 milliards de francs, puis l’entrepreneur genevois domicilié à Dubaï, Guillaume Pousaz et sa société de paiements Checkout.com. En l’espace d’un an, sa fortune s’est envolée de 4 milliards, l’une des dix plus fortes croissances, à 15-16 milliards.

    Rôle de la géopolitique
    Ce classement n’est d’ailleurs pas hermétique à la géopolitique mondiale. La guerre en Ukraine et la flambée des matières premières ont fait entrer de nouveaux acteurs dans le classement.

    « On voit que le patrimoine des négociants en matières premières a vraiment explosé. Ils ont eu des résultats astronomiques », conclut Julien de Weck.

    Ce contexte inédit redistribue aussi les cartes pour les proches du Kremlin, comme l’homme d’affaires Andrey Melnickenko, ou l’oligarque arméno-russo-finlandais Guennadi Timtchenko, patron de la société de négoce de pétrole Gunvor. Habitués du haut du classement, ils font aujourd’hui les frais des sanctions économiques envers la Russie.

    Guennadi Timtchenko, 5e en 2021, rétrograde en effet au 9e rang. Estimée à 15-16 milliards et en partie bloquée, sa fortune a fondu de 4 milliards.

    #luxe #fortune #richesse #pauvreté #capitalisme #dividendes #argent #guerre_aux_pauvres #fric #artiche le #flouz le #jonc #la #fraiche #bénéfices #marge #capitalisme #spéculations #Suisse

  • Sanctions : Une 8ème vague catastrophique pour l’UE ? – Jacques Sapir
    https://www.les-crises.fr/sanctions-une-8eme-vague-catastrophique-pour-l-ue-jacques-sapir

    Le Conseil de l’Union européenne a donc adopté un 8ème « paquet » de sanctions contre la #Russie en rétorsion aux referenda sur le rattachement des 4 provinces ex-ukrainiennes[1]. Les mesures qui ont été prises sont dans la continuité des sept autres « paquets ». Mais, parmi elles, certaines pourraient avoir un effet pervers sur […]

    #Articles #Union_européenne #Articles,_Russie,_Union_européenne

    • Mais, l’essentiel de ce 8ème paquet n’est probablement pas là. Il concerne aussi la mise en œuvre du plafond des prix du pétrole qui avait été décidée lors du récent G7.
      (...)

      L’OPEP+, autrement dit la coordination entre l’Arabie Saoudite et la Russie, a décidé le 5 octobre une forte réduction de la production journalière qui va rendre la limitation du prix du pétrole impraticable[3]. Dans sa réponse aux critiques occidentales suscitées par cette décision, l’Arabie saoudite a stigmatisé une arrogance occidentale[4]. Les analystes de la banque suisse MIGROS parlent même d’une gifle pour les occidentaux[5].

      (...)

      Les mesures concernant la limitation des prix du pétrole risquent donc d’avoir des conséquences désastreuses pour les pays de l’UE. Non seulement les prix ne vont pas baisser, l’OPEP+ veille au grain, mais encore le trafic du pétrole risque d’échapper complètement aux compagnies maritimes européennes. En effet, de très nombreux pays vont chercher à échapper à de possibles sanctions en évitant autant que possible de recourir à leurs compagnies. Ainsi, non seulement les européens paieront leur pétrole plus cher mais encore verront-ils le chiffre d’affaires de leurs compagnies maritimes se réduire comme peau de chagrin.

  • Climat, Covid-19, IA : le casse-tête de la recherche photos | la revue des médias
    http://larevuedesmedias.ina.fr/photos-images-intelligence-artificielle-covid-climat-presse-jou
    http://larevuedesmedias.ina.fr/sites/default/files/2022-09/Capture+Creative%20commons_0.JPG

    Comment illustrer un article en photo sans tomber à côté, ni dans le cliché ? La question se pose d’autant plus pour des sujets nouveaux ou abstraits, sur lesquels chacun peine à se faire une idée. Il faut du temps pour élaborer collectivement une image juste de la réalité.

    #EMI #Images #Photo #Journalisme #Article

  • La « guerre économique » contre la #Russie va-t-elle se retourner contre ses auteurs (3/3) ? par Jacques Sapir
    https://www.les-crises.fr/la-guerre-economique-contre-la-russie-va-t-elle-se-retourner-contre-ses-a

    Troisième Partie : L’efficacité des sanctions contre la Russie : un échec de la « guerre économique » ? Les sanctions contre la Russie, et on l’oublie fréquemment, n’ont pas commencé en 2022 avec la guerre mais dès 2014, à la suite des événements de Crimée. Les Etats-Unis ont alors décidé des sanctions. Cependant, ils […]

    #Articles #Articles,_Russie

  • La « guerre économique » contre la Russie va-t-elle se retourner contre ses auteurs (1/3) ? par Jacques Sapir
    https://www.les-crises.fr/la-guerre-economique-contre-la-russie-va-t-elle-se-retourner-contre-ses-a

    I. Histoire de sanctions De l’émergence de la notion moderne de « guerre économique » à la politique des sanctions Les notions de guerre économique et de sanctions économiques ont une longue histoire, une histoire dépasse largement les événements actuels et la guerre menée par la Russie en Ukraine. Pour tenter de comprendre les évolutions […]

    #Articles

  • Où va l’économie russe avec la guerre et les sanctions ? par Jacques Sapir
    https://www.les-crises.fr/ou-va-l-economie-russe-avec-la-guerre-et-les-sanctions-jacques-sapir

    Mes collègues de l’Institut de Prévision de l’Économie de l’Académie des Sciences (en russe INP-RAN) avec qui le CEMI organise depuis 1991 le séminaire Franco-Russe sur le développement de la #Russie, viennent de publier simultanément un très gros document (296 pages) sur le potentiel de croissance de la Russie[1], document qui a mobilisé la quasi-totalité […]

    #Articles #Articles,_Russie

  • Comprendre les dilemmes de l’économie russe aujourd’hui – Jacques Sapir
    https://www.les-crises.fr/comprendre-les-dilemmes-de-l-economie-russe-aujourd-hui-jacques-sapir

    Quelles sont les perspectives pour l’économie russe aujourd’hui ? Deux textes, l’un publié dans l’hebdomadaire russe EKSPERT par des collègues de l’Institut de Prévisions de l’Économie de l’Académie des Sciences (IPE-ASR)[1] et l’autre sur le site de ce même institut, co-écrit par Alexandre Shirov et son équipe[2], permettent de se faire un début d’opinion. Quelle […]

    #Articles #Russeurope_en_Exil #Russie #Articles,_Russeurope_en_Exil,_Russie

  • Voila un sujet qui me tient à coeur et qui m’effraye tout autant !

    La société sans cash => asservissement de la population en route,

    Le covid aura été une opportunité formidable pour éliminer le cash

    La Suède y était déjà passé mais faute d’avoir préparé ses citoyens le pays a du faire marche arrière et les banques ont du renflouer un minimum de cash.

    Fort de ces expériences l’Australie prépare le terrain, habitue ses citoyens tranquillement pour ne pas avoir à faire de marche arrière et instaurer une société sans cash
    L’Australie avait elle aussi mis en place des interdictions de dépenser son argent aux personnes recevant une pension de l’Etat. Le système était simple, on verse la pension sur un compte et on peut les dépenser que par carte ou sur internet. La censure avait été mise en place sur l’alcool, les cigarettes, les jeux... mais jusqu’où peut aller cette censure ?
    Censure de race( cétait le cas les pensions concernées visaient les aborigènes de certaines communautés) ? de genre ? de religion ? de classe sociale ?
    (je n’ai plus l’article sous la main mais je le retrouverai)

    Je ne vois pas tant d’artcile circuler la dessus en France mais on nous y prépare gentillement, tout est fait pour payer en ligne ou par carte et peu d’entre nous on encore du cash pour leur dépenses.

    https://www.abc.net.au/news/2021-12-26/cashless-society-economy-australia-covid/100725728

    https://www.abc.net.au/news/2020-06-09/australia-can-learn-from-swedens-move-to-a-cashless-society/12282764

    #economie #cashless #articles #Analyses

  • La fabrication de chaussures relocalisée en #France, dans l’#usine « la plus moderne au monde » en #Ardèche

    C’est le retour de la production de chaussures à grande échelle en France, et ça se passe en Ardèche ! L’usine ASF 4.0 du groupe textile #Chamatex a été inaugurée à #Ardoix, « l’usine de chaussures de #sport la plus moderne au monde » selon ses dirigeants.

    Après un an de travaux et 10 millions d’euros d’investissement, l’usine ultramoderne ASF 4.0 - pour ’#Advanced_Shoe_Factory' - a été inaugurée ce jeudi en Ardèche, à Ardoix. Le groupe Chamatex a réussi son pari : relocaliser la fabrication de chaussures de sport en France, et ainsi concurrencer l’Asie.

    Dès la semaine prochaine, des premières #chaussures_de_sport de la marque #Salomon seront produites. Il s’agit des modèles Captiv, qui devraient être commercialisées au plus tard en janvier 2022. Pour le moment, une vingtaine de salariés ont été embauchés. Ils seront une quarantaine à la fin de l’année.

    Deux conditions pour permettre la #relocalisation : automatiser le plus possible la production pour réduire les coûts, et fabriquer en quantité pour amortir les investissements. Là encore, pari tenu annonce le président du groupe Chamatex Gilles Réguillon : « de la découpe en automatique, une ligne d’assemblage en automatique, une ligne de collage en automatique, une ligne de packaging automatique, et le tout géré en industrie 4.0. C’est unique, et c’est ici, en Ardèche ».

    Encore quelques réglages, et avant la fin de l’année, une paire de chaussures sera fabriquée toutes les deux minutes sur le site. Des améliorations techniques permettront de réduire ce temps par deux l’an prochain. Objectif affiché : produire 500 000 paires de chaussures par an, d’ici 2024. Et Gilles Réguillon annonce d’ores et déjà travailler sur l’extension de son usine, afin d’ajouter de nouvelles lignes de production, les « commandes étant remplies pour les trois prochaines années » a-t-il indiqué ce jeudi. Trois marques ont d’ores et déjà signé avec l’usine pour fabriquer certains de leurs modèles : Salomon, Babolat et Millet.

    Les partenaires sont nombreux, les dirigeants évoquent une « hybridation des talents ». #ASF_4.0 est co-fondée par Bertrand Barre, président du Groupe Zebra, et Gilles Réguillon, président du #Groupe_Chamatex, qui a misé sur son matériau textile unique #Matryx comme principal composant de sa chaussure ; la marque Salomon a amené son savoir-faire et le process industriel ; la partie machinerie a été menée par Siemens.

    https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/la-fabrication-de-chaussures-relocalisee-en-france-dans-l-usine-la-plus-m

    #chaussures #made_in_France

  • Gwendolyn Warren, Detroit and the Geography
    https://visionscarto.net/gwendolyn-warren-in-detroit

    The name of the legendary Detroit Geographical Expedition and Institute (DGEI) is usually associated with its director, geographer William Bunge (1928-2013), rarely with its co-director, Gwendolyn C. Warren. The books of the former, Fitzgerald. Geography of a Revolution (1971) and Nuclear War Atlas (1988), however, include some of the information — and, in the case of the latter, the graphics — found in the Field Notes, the proceedings of the small institute, published from 1969 to 1971. (...) #Articles

  • Sciences : le déclin français s’accentue

    La #géopolitique de la science annonce souvent la géopolitique de demain. Il est donc utile de se plonger dans le dernier #rapport de l’#Observatoire_des_sciences_et_des_techniques. Il nous dit vers quoi le monde tend. Et permet aussi de dresser un bilan en un seul mot des politiques menées par Jacques #Chirac, Nicolas #Sarkozy et François #Hollande en (dé)faveur de la #recherche_scientifique publique : catastrophique.

    L’OST a donc publié, avant-hier, un rapport sur « La position scientifique de la France », fondé sur des chiffres couvrant la période 2005 à 2018. En quelques graphiques, commentés, il permet d’aller à l’essentiel.

    Un, le rouleau compresseur chinois (aidé par la Corée du Sud, l’Inde, le Brésil et l’Iran) fait reculer fortement la domination américano-européenne (plus le Japon) qui a marqué la #science_mondiale de la seconde moitié du 20ème siècle. Deux : les trois pays qui reculent le plus dans cette compétition sont le #Japon, la France et les #Etats-Unis. Trois : dans le cas de la France, le déclin annoncé par les contestataires des #réformes de la recherche scientifique publique des trois derniers quinquennats (pour Macron, il a continué dans la même ligne, mais les chiffres en seront connus plus tard) s’est produit.

    En 2018, les États-Unis, avec 19%, sont devancés par la Chine dont la part mondiale atteint 20 %. Suivent le Royaume-Uni (4,5 %), l’Allemagne (4,3 %), le Japon (3,9 %), l’Inde (3,8 %), l’Italie (3,0 %), la Corée du Sud (2,9 %) et la France (2,8 %).

    En 2018, j’avais souligné la vigoureuse « remontada » de la Chine, partie des tréfonds du classement mondial à la fin des années 1980. Et Le Monde avait fait sa Une avec mon article. Le mouvement ne s’est pas ralenti, et la Chine a dépassé les Etats-Unis en nombre d’#articles publiés bien avant ce qui avait été anticipé par les observateurs de la géopolitique de la science.

    pas jusqu’au ciel

    Mais, ronchonnerait un sceptique… et la qualité ? De la science. Eh bien, elle monte, elle monte. Pas jusqu’au ciel, mais…. au dessus de celle de la France. C’est ce qu’indique le graphique suivant qui montre les parts mondiales du top du top, les articles faisant partie du club très sélect du 1% des plus cités par les autres chercheurs après leur parution. Et dans ce 1%, si les Etats-Unis sont toujours en première place, ils sont désormais talonnés par une Chine qui augmente sa part à une vitesse sidérante.

    D’ailleurs, si l’on mesure cette qualité non par les articles les plus cités mais par le nombre de citations de l’ensemble des publications, la Chine est désormais au niveau de la moyenne mondiale, après une remontée aussi spectaculaire que celle de la quantité de sa production. Et si les Etats-Unis ont un impact supérieur de 25% à la moyenne mondiale, celui des publications chinoises était en 2017 au même niveau que celui de l’Allemagne, et un peu supérieur à celui de la France.

    Le déclin de la France

    La France recule. C’est incontestable. Les chiffres sont là. On peut toujours pinailler, contester la mesure, souligner qu’elle ne dit pas tout. Après tout, le champion toutes catégories du nombre d’articles publiés… c’est Didier Raoult, l’homme aux milliers d’articles la plupart publiés dans des revues qu’il contrôle et d’un intérêt scientifique médiocre.

    Les critiques de l’analyse bibliométrique comme mesure de la qualité de la science produite tant au plan individuel que collectif sont nombreuses et tout à fait bienvenues. La montée en puissance des pays émergents et surtout de la Chine va dans le sens de l’histoire et la fin de l’hégémonie de la triade USA/Europe/Japon sur la production de sciences est tout à la fois inéluctable et un moyen de rééquilibrer les puissances technologiques au niveau des démographies.

    Mais l’ironie de l’affaire est que c’est justement au nom d’une mesure de l’efficacité d’un système de recherche par une #bibliométrie simpliste, voire bête et méchante (si bête qu’elle calcule que Didier Raoult vaut deux fois Albert Einstein… ), que les pouvoirs politiques de droite et socialiste ont imposé les réformes des 15 dernières années. Du coup, au nom de quoi pourraient-ils maintenant prétendre à l’erreur de mesure, lorsqu’elle leur dit « vous avez eu tout faux ! »

    #Démissions massives

    Ce constat ne peut éluder les responsabilités de tous les gouvernements qui, depuis l’élection de Jacques Chirac en 2002, ont prétendu agir de manière vigoureuse pour réformer le système public de recherche au nom de l’#efficacité. Vigoureuse au point de susciter des contestations parfois spectaculaires – rappelez-vous la démissions massive des directeurs de laboratoires en 2004, ou les manifestations et grèves des universitaires en 2009 pour protester contre les réformes de Nicolas Sarkozy. Quant à François Hollande, après avoir beaucoup promis en 2012, il a beaucoup déçu de 2012 à 2017.

    Quant à la ministre d’Emmanuel Macron, Frédérique Vidal, elle fait autre chose que des provocations sur l’islamo-gauchisme qui ravagerait nos Universités. Elle poursuit la même politique. Médiocrement lorsqu’elle ment à nos parlementaires en prétendant que nos biologistes disposent des cryo-microscopes avec lesquels on peu élucider la structure en 3D du Sars-Cov-2 alors qu’ils les réclament en vain depuis des années. Et plus encore avec la loi sur la recherche dont on peut lire ici la colère qu’elle a soulevée.

    Le rapport de l’OST ne dit rien des causes de ce déclin. Dommage. Il agite le moindre insuccès des publications sortant des laboratoires… qui ont gagné les compétitions incessantes pour l’accès aux crédits. Constater que ceux qui sont mieux financés que d’autres produisent plus est pour le moins trivial. Il est certain qu’un athlète bien nourri court plus vite qu’un affamé. Ce rapport sonnera t-il le tocsin, alors que la biologie française a très peu contribuée à l’analyse du coronavirus et échoué à produire un vaccin ?

    https://www.lemonde.fr/blog/huet/2021/02/25/sciences-le-declin-francais
    #science #France #déclin #recherche #université #facs #Chine #chiffres #statistiques #publications #publications_scientifiques

    • #StartUp_Nation : le modèle qui prédomine chez est le modèle américain. Former des chercheurs coute cher en effort de formation. Donc, l’idée est de garder le pognon pour débaucher les chercheurs déjà opérationnels formés à la charge des autres pays.

      Quant au modèle éducatif interne : en avoir selon ses moyens et obtenir une classe éduquée endettée, donc moins encline à faire chier et plus prompte à obéir.

      Est-ce que c’est tenable au long terme ? Non. Surtout si les pays pourvoyeurs se mettent à faire la même chose.

  • Research ethics: a profile of retractions from world class universities

    This study aims to profile the scientific retractions published in journals indexed in the Web of Science database from 2010 to 2019, from researchers at the top 20 World Class Universities according to the Times Higher Education global ranking of 2020. Descriptive statistics, Pearson’s correlation coefficient, and simple linear regression were used to analyze the data. Of the 330 analyzed retractions, #Harvard_University had the highest number of retractions and the main reason for retraction was data results. We conclude that the universities with a higher ranking tend to have a lower rate of retraction.

    https://link.springer.com/article/10.1007/s11192-021-03987-y

    #rétraction #invalidation #articles #édition_scientifique #publications #recherche #université #science #ranking #rétractions_scientifiques #articles_scientifiques #universités_classées #statistiques #chiffres #Harvard #honnêteté #excellence #classement

    ping @_kg_

    • Retracted Science and the Retraction Index

      Articles may be retracted when their findings are no longer considered trustworthy due to scientific misconduct or error, they plagiarize previously published work, or they are found to violate ethical guidelines. Using a novel measure that we call the “retraction index,” we found that the frequency of retraction varies among journals and shows a strong correlation with the journal impact factor. Although retractions are relatively rare, the retraction process is essential for correcting the literature and maintaining trust in the scientific process.

      https://journals.asm.org/doi/full/10.1128/IAI.05661-11

    • Knowledge, Normativity and Power in Academia
      Critical Interventions

      Despite its capacity to produce knowledge that can directly influence policy and affect social change, academia is still often viewed as a stereotypical ivory tower, detached from the tumult of daily life. Knowledge, Normativity, and Power in Academia argues that, in our current moment of historic global unrest, the fruits of the academy need to be examined more closely than ever. This collection pinpoints the connections among researchers, activists, and artists, arguing that—despite what we might think—the knowledge produced in universities and the processes that ignite social transformation are inextricably intertwined. Knowledge, Normativity, and Power in Academia provides analysis from both inside and outside the academy to show how this seemingly staid locale can still provide space for critique and resistance.

      https://press.uchicago.edu/ucp/books/book/distributed/K/bo33910160.html

      ...written by Cluster of Excellence employees on Academic Excellence —> Based on: Conference “The Power of/in Academia: Critical Interventions in Knowledge Production and Society”, Cluster of Excellence, The Formation of Normative Orders, Goethe University Frankfurt

    • Rank hypocrisy – how universities betray their promises on responsible research assessment

      It is time for universities to stop the nonsense of participating in flawed university rankings exercises, argue Paul Ashwin and Derek Heim

      Scientific integrity and ethical conduct are prerequisites for ensuring society’s faith in institutions entrusted with the pursuit of knowledge. As trust in science and scientists is under scrutiny, it is imperative that universities work together to strengthen trust in higher education.

      It is therefore welcome that, across the globe, universities are collectively taking steps to stamp out questionable practices that undermine their trustworthiness. For example, the sector is making rapid progress in developing better ways of assessing the quality of research. These changes were sparked by a long-established body of evidence about the significant flaws in metrics such as journal impact factors. Now over 24,000 individuals and organisations from 166 countries are signatories of the Declaration on Research Assessment (DORA), in explicit recognition of the pernicious impacts of the irresponsible use of research metrics.

      Even so, universities continue to be complicit in the pervasive and reckless use of much more questionable metrics in the form of commercial university rankings. These increasingly shape not only how universities market themselves but also how they operate: some institutions appear to spend more time thinking about how best to “game” rankings than about improving how they fulfil their core functions. Many use institutional and subject rankings as key performance indicators and exhort departments and academics to be more “competitive”.
      Unnecessary evil

      Commercial university rankings are often positioned as a necessary evil in the life of universities. This is despite a substantial body of international literature demonstrating unequivocally their flawed nature, which is as least as strong as the evidence undermining journal impact factors. Most institutional leaders react with an embarrassed shrug; after all they must play the hand they are dealt.

      Under the explanation that rankings are not going to go away, and often pushed hard by lay governors ignorant of the meaninglessness of rankings as measures of institutional quality, they do their best to maximise their institution’s performance. They even dedicate senior posts solely to this purpose. They then cover their websites and their buildings in loud proclamations about their “world leading” performance in these rankings. This is all at the expense of the long-term health of the sector and higher education’s reputation for scientific integrity.

      There is something soul destroying about institutions, whose role is dedicated to the pursuit and sharing of knowledge, appearing to take seriously measures that involve combining incomparable measures into aggregated scores and the use of rank ordering, which disproportionately exaggerates very small differences in the scores of institutions.

      Very few, if any, of the measures used are valid or reliable indicators of the quality of education or research but instead simply mirror the wealth and prestige of universities. Even worse, a primary purpose served by these rankings is – perversely – for those who produce them to sell advertising and consultancy services to the universities they are ranking.

      Despite their misleading nature being widely known and understood, the performance of universities in these rankings is still used to recruit students, and governments around the world use them to determine funding for students and initiatives. All are being deceived. Any form of university education that claims its quality is demonstrated through commercial university rankings has been mis-sold.

      There are signs of change. The University of Utrecht in the Netherlands has recently announced it will no longer provide data for commercial rankings, following the example of others, including Rhodes University in South Africa which has refused to do so for many years. Universities who have signed up to More than Our Rank also emphasise other ways of measuring their quality, although in this case, there is more than a slight sense that these universities want to exploit their ranking whilst keeping their integrity. This is simply not possible.
      Cognitive dissonance

      It is time for this nonsense to end. We are currently in the crazy position where, as part of their DORA commitments, ancient universities make strong promises not to use any metric without being explicit about its limitations on one part of their website, while on another, they unreservedly boast about their performance in commercial rankings to prospective students. This rank hypocrisy must stop if universities are not to undermine their position as institutions dedicated to the pursuit and sharing of trustworthy knowledge in society.

      This may feel like a forlorn hope given the severe financial pressures that so many universities are under. However, these pressures make it even more timely for universities to stop dedicating resources to rankings whether this is through providing data to commercial rankings or paying for the “services” of commercial ranking companies, and committing institutional effort, to promote their position in rankings.

      It is important to remember that DORA developed into a global phenomenon from an annual meeting of the American Society for Cell Biology. With the institutions who have withdrawn from commercial rankings and the organisations already signed up to More than Our Rank, there are the makings of a significant movement against commercial rankings. However, this movement needs to be focused on promoting “quality Not rankings”, making it clear that the latter provides no meaningful measure of the former.

      To strengthen this growing movement academics need to stop completing hollow reputation surveys. University leadership teams and governing bodies need to urgently reflect on the grave harm that continuing to play the zero-sum rankings game is doing – both to themselves and the long-term credibility of the sector.

      Once the spell of commercial rankings is broken, we will wonder why universities ever participated so greedily in this deceitful practice that misleads prospective students, funding bodies, governments, and employers. Higher education institutions face enough challenges from an increasingly sceptical society without engaging in divisive and meaningless competition, which undermines their integrity and trustworthiness, and is solely for the benefit of those who produce commercial university rankings.

      https://wonkhe.com/blogs/rank-hypocrisy-how-universities-betray-their-promises-on-responsible-researc

  • Rx3 : “Hello les gens, …” (sensitive)
    https://masthead.social/@Rx3/106340484591109217

    Hello les gens, Aujourd’hui, une nouvelle chronique en ligne dès maintenant par la Pocahontas de Real Rebel Radio j’ai nommé...... Gus 😮 S.WARDRUNA – KvitravnLe monde du metal est absolument fascinant. A la fois microcosme extrêmement fermé et d’une bêtise absolue dès qu’il s’agit de défendre un groupe, une étiquette ou un album...https://www.real-rebel-radio.net/2021/06/02/wardruna-kvitravn/#Articles #chronique #folkmetal

    ##Articles

  • «How speculative design can enable thinking beyond the status quo» by Bernice Liu, 22.02.2020
    https://uxdesign.cc/how-speculative-design-can-enable-thinking-beyond-the-status-quo-1fca81ee1a

    « […] Speculative design embodies characteristics that are well equipped for our future. Today, it is no surprise that we are living in an era of convergence (of new and old) technologies, where the only constant is change, and this pace of change is accelerating faster than ever. Designers and producers, at work both inside and outside the profession, are contributing to a vast new commons, often using shared tools and technologies.

    To speculate means to respond to this convergence by constant interaction between various practices, fields and disciplines. By combining these interactions one can create new tools, instruments, methods, for different needs. […] »

    #speculative #design #article