• Inside Search: I’m Feeling Yucky :( Searching for symptoms on Google
    https://search.googleblog.com/2016/06/im-feeling-yucky-searching-for-symptoms.html

    Roughly 1 percent of searches on Google (think: millions!) are symptom-related. But health content on the web can be difficult to navigate, and tends to lead people from mild symptoms to scary and unlikely conditions, which can cause unnecessary anxiety and stress.

    So starting in the coming days, when you ask Google about symptoms like “headache on one side,” we’ll show you a list of related conditions (“headache,” “migraine,” “tension headache,”cluster headache,” “sinusitis,” and “common cold”). For individual symptoms like “headache,” we’ll also give you an overview description along with information on self-treatment options and what might warrant a doctor’s visit. By doing this, our goal is to help you to navigate and explore health conditions related to your symptoms, and quickly get to the point where you can do more in-depth research on the web or talk to a health professional.

    We create the list of symptoms by looking for health conditions mentioned in web results, and then checking them against high-quality medical information we’ve collected from doctors for our Knowledge Graph. We worked with a team of medical doctors to carefully review the individual symptom information, and experts at Harvard Medical School and Mayo Clinic evaluated related conditions for a representative sample of searches to help improve the lists we show.

    #Docteur_Google : ça vous chatouille ou ça vous gratouille ?
    #autodiagnostic #automédication

  • Un médecin pour l’automédication, qui fustige, en sous-entendu, le lobbying des pharmaciens, qui ne font pas des masses pour la santé de leurs clients, malgré ce qu’ils disent.

    « Le retard de la France en automédication est regrettable » | Actualité | LeFigaro.fr - Santé
    http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/12/03/24368-retard-france-automedication-est-regrettable

    #lobbying #santé #automédication #OnPrefereQuandMemeLesMedecinsDouces

  • L’automédication chez les chimpanzés - France Info
    http://www.franceinfo.fr/sciences-sante/info-sciences/l-automedication-chez-les-chimpanzes-1389817-2014-04-18

    Pour découvrir de nouveaux médicaments, des chercheurs observent comment des chimpanzés sauvages se soignent en sélectionnant certaines plantes dans leur environnement naturel. Aussi surprenant que cela puisse paraître, les chimpanzés pratiquent l’automédication. Ils sont capables de surmonter certaines maladies en sélectionnant des plantes pharmacologiques efficaces pour eux.

    http://www.franceinfo.fr/sites/default/files/imagecache/462_ressource/2012/05/07/608427/images/ressource/Banane.jpg

    Sabrina Krief, vétérinaire et chercheuse au Museum national d’Histoire naturelle, étudie ce comportement. Elle cherche à comprendre comment ces grands singes savent choisir les plantes qui les soignent. Elle s’intéresse aussi à la composition chimique de ces plantes. Celles-ci renferment peut-être des molécules qui pourraient également nous soigner étant donné notre lien de parenté avec les chimpanzés.

    Ces chimpanzés vivent en Ouganda, dans le parc national de Kibale, au cœur de la forêt équatoriale. Dans ce parc de 800 km², vivent en totale liberté entre 500 et 1.000 chimpanzés sauvages. Avec l’aide d’une petite équipe Sabrina Krief suit, depuis plus de quinze ans un groupe d’une cinquantaine d’individus dans le but de découvrir comment ils se soignent.
    Des observations très compliquées

    Une entreprise particulièrement délicate. Imaginez-vous en pleine forêt, à une distance respectable d’un groupe de chimpanzés avec lesquels vous n’avez pas le droit d’entrer en contact direct. Ce sont des animaux protégés. Pas évident à l’œil nu d’identifier les animaux malades, infectés par un parasite quelconque. Pas facile non plus de faire la différence entre un chimpanzé qui mange une plante pour se nourrir et un chimpanzé qui mange une plante pour se soigner.

    Les chercheurs observent durant de longues heures consécutives les primates. Ils photographient, notent et font des herbiers pour identifier toutes les plantes dont-ils se nourrissent. Les scientifiques essaient aussi de déceler les changements dans le régime alimentaire d’un individu par rapport à celui de ses congénères. Parallèlement ils prélèvent les excréments et les urines des animaux pour les analyser en laboratoire et y détecter la présence d’éventuels parasites. Une sorte de suivi médical à distance.
    Les chimpanzés connaissent bien leur herbier

    C’est comme cela qu’un jour, ils ont vu une jeune femelle infectée par un parasite, s’éloigner du groupe pour aller manger l’écorce d’un arbre particulier (un Albizia). Un arbre qui ne fait pas partie du régime alimentaire habituel des chimpanzés. Deux jours plus tard le parasite avait disparu des selles de l’animal. Les chercheurs ont, par la suite, appris que ces écorces étaient utilisées par les médecins traditionnels comme un traitement vermifuge au Congo et pour les problèmes de ballonnement en Ouganda. Des études plus approfondies en laboratoire ont montré que ces écorces avaient bel et bien des propriétés antiparasitaires et que de surcroit elles contenaient des molécules toxiques pour des cellules cancéreuses.

    Les chercheurs ont découvert notamment que les chimpanzés consommaient plusieurs plantes capables de limiter la prolifération du plasmodium, le parasite responsable du paludisme. Détail encore plus étonnant, les scientifiques ont remarqué que ces primates ingèrent parfois de la terre juste après ou juste avant la consommation des feuilles de certaines de ces plantes ce qui a pour effet d’en augmenter l’efficacité......

    #chimpanzés
    #médicaments
    #automédication
    #plantes-pharmacologiques

  • L’automédication recule en France
    http://www.lemonde.fr/sante/article/2014/01/22/l-automedication-recule-en-france_4352200_1651302.html

    Pour la première fois en cinq ans, les ventes de médicaments d’automédication ont baissé en France en 2013. Le recul est de 3 %, à 2,1 milliards d’euros.

    Effet de la crise ? Les Français ont en tout cas reporté une partie de leur consommation sur les produits obtenus par le biais d’une ordonnance et remboursables, décrypte l’Afipa, l’association qui regroupe les industriels du secteur.

    Une baisse de 10 % des ventes d’automédication se traduirait par un coût additionnel de 622 millions d’euros pour l’Assurance-maladie, estime l’association.

    A l’inverse, si davantage de médicaments étaient en vente libre, la collectivité pourrait économiser 520 millions d’euros, calcule l’Afipa.

    34,50 EUROS PAR PERSONNE

    En moyenne, les Français dépensent chaque année 34,50 euros par personne en automédication, contre 57 euros pour les Allemands ou 46 euros pour les Britanniques.

    Si le marché de l’automédication pèse un peu plus de 2 milliards d’euros dans l’Hexagone, celui des médicaments remboursables vendus dans les officines représente, lui, 26 milliards d’euros.

    #santé
    #industrie-pharmaceutique

    #automédication :
    #France ( 34,50 euros par personne )
    #Allemagne ( 57 euros par personne )
    #Royaume-unis ( 46 euros par personne )

  •  » Automédication : les chiffres 2012 du marché français MyPharma Editions | L’Info Industrie & Politique de Santé
    http://www.mypharma-editions.com/automedication-les-chiffres-2012-du-marche-francais

    Selon IMS Health, l’automédication représente aujourd’hui 6 % du chiffre d’affaires des officines en France. Ce segment des médicaments achetés sans ordonnance (produits remboursables ou non) connaît une forte dynamique avec une progression de 4,7 % en 2012. En termes de classes thérapeutiques, la plus forte hausse est enregistrée sur les antalgiques avec 9,2%, suivis par les produits destinés aux voies respiratoires, en hausse de +6 %.
    Si le marché officinal global reste relativement stable, en légère régression sur l’année 2012 avec une valeur en cumul annuel de 35 milliards d’euros, « cette involution est avant tout due aux médicaments de prescription médicale obligatoire », note Pascal Voisin, Directeur OTC chez IMS Health.
    Heureusement, d’autres segments de l’économie officinale sont plus dynamiques. Le marché du « sans-AMM » connaît ainsi une forte dynamique depuis deux ou trois ans. Avec une progression de 4 % en 2012, ce segment représente aujourd’hui 16 % de l’ensemble du chiffre d’affaires des officines (contre 14 % en 2009).
    Le marché de l’OTC, composé de médicaments non remboursables (OTC stricts) ou remboursables (semi-éthique : prescription médicale facultative), a progressé de 1,5 % en 2012 et représente aujourd’hui 15 % du marché de l’officine, soit le même poids global que le sans-AMM.
    Le cumul du sans-AMM et de l’OTC représente donc un tiers du marché officinal, avec une dynamique de croissance cumulée de 2,5 %.
    Le marché français de l’OTC : plus élevé que celui des pays voisins
    Si l’on compare le marché français de l’OTC avec nos voisins italiens, allemands et belges, on observe que le prix public moyen français est le plus faible, mais la dépense par an et per capita est plus élevée qu’en Italie et en Allemagne : 76 euros per capita en France, contre 62 euros en Allemagne et 35 euros en Italie. Mais l’offre aux patients, en nombre de références, est plus importante en France qu’en Italie (2 600 références en Italie, contre 3 400 en France et 12 000 en Allemagne).
    Les progressions les plus fortes sont observées sur les produits destinés aux voies respiratoires (+6 %) et les antalgiques (+9,2 %). Ces deux classes concentrent 45 % du marché. « Mais l’évolution est portée par l’ensemble des domaines thérapeutiques, car neuf sont en progression sur les dix premiers », souligne Pascal Voisin, qui ajoute que « les déremboursements sont un des éléments de la dynamique, mais pas l’unique moteur, car même les marchés dans lesquels il n’y a pas de déremboursements progressent. »
    Les entreprises françaises : leaders dans l’automédication
    Au niveau des acteurs, peu de changements au cours des dernières années. Plusieurs entreprises françaises conservent leur leadership dans l’automédication. Sanofi contrôle près de 12 % de ce marché, devant BMS-Upsa, Boiron, Johnson&Johnson, Bayer, Pierre Fabre. « Les stratégies restent globalement grand public », observe Pascal Voisin. « Elles misent à la fois sur la force du circuit de distribution officinal et sur la communication auprès du grand public. »
    En termes de marques, Doliprane (Sanofi) conserve une part de marché de 4,3 %. Puis viennent des marques autorisées à communiquer auprès du grand public : Humex, Nurofen, Efferalgan, Oscillococcinum, Strepsils. « Les cinq marques qui viennent après Doliprane ont des stratégies mixtes de communication vers le grand public et/ou de marque ombrelle », relève Pascal Voisin.
    L’automédication : plus forte dans les zones de passage et touristiques
    ...
    Source  : IMS Health - Analyse et perspectives du marché français de l’automédication

    #Santé
    #Automédication
    #Sanofi

  • #GOOGLE FAIT DE L’ #E-SANTE

    http://goo.gl/UmEhj

    L’ #automédication aidée sur #Internet

    Certainement l’automédication ne représente pas au mieux la #chaire savante de la #médecine. Tel un bricolage d’amateur, un tâtonnement de curieux ou une tentative hasardeuse de venir à bout d’un malaise, se #soigner soi-même date de la nuit des temps. Tenant sa source de l’expérience transmise des aïeuls et des gestes de la médecine traditionnelle, elle se base à notre époque sur la recherche sur Google…