#auvergne-rhône-alpes

  • #Wauquiez veut surveiller les #trains et #lycées régionaux avec l’#intelligence_artificielle

    #Laurent_Wauquiez a fait voter le déploiement de la #vidéosurveillance_algorithmique dans tous les lycées et trains d’#Auvergne-Rhône-Alpes, profitant de l’#expérimentation accordée aux #Jeux_olympiques de Paris.

    Laurent Wauquiez savoure. « Nous avions pris position sur la vidéosurveillance pendant la campagne des régionales. Depuis, les esprits ont bougé », sourit le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, en référence à l’expérimentation de la #vidéosurveillance algorithmique (#VSA) accordée dans le cadre des Jeux olympiques de Paris. Surfant sur l’opportunité, il a fait voter jeudi 21 mars en Conseil régional sa propre expérimentation de vidéosurveillance « intelligente » des lycées et des trains d’Auvergne-Rhône-Alpes.

    L’ancien patron des Républicains (LR) justifie cette avancée technosécuritaire par l’assassinat du professeur #Dominique_Bernard dans un lycée d’Arras en octobre. Pour l’élu, cette tragédie « confirme la nécessité de renforcer la #sécurité des lycées ».

    Reste que cette expérimentation n’est pour l’instant pas légale. Laurent Wauquiez va demander au Premier ministre, Gabriel Attal, la permission d’élargir la loi pour couvrir les lycées et les transports régionaux. « L’expérimentation des JO est faite pour tester ce qui sera appliqué. Il faut en profiter », défend Renaud Pfeffer, vice-président délégué à la sécurité de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

    Selon la délibération votée par le Conseil régional, cette #technologie qui combine vidéosurveillance et intelligence artificielle peut détecter huit types d’événements prédéterminés : « le non-respect du sens de circulation, le franchissement d’une zone interdite, la présence ou l’utilisation d’une arme, un départ de feu, un mouvement de foule, une personne au sol, une densité trop importante, un colis abandonné. » Les événements sont ensuite vérifiés par un agent, qui décide des mesures à prendre.

    L’expérimentation doit durer deux ans

    L’exécutif régional promet d’utiliser cette vidéosurveillance algorithmique « sans mettre en œuvre de reconnaissance faciale, ni d’identification de données biométriques [qui permettent d’identifier une personne]. » « On est sur du situationnel, pas sur de l’individu », insiste #Renaud_Pfeffer. Des promesses auxquelles ne croit pas Marne Strazielle, directrice de la communication de l’association de défense des droits et libertés sur internet La Quadrature du net. « En réalité, l’#algorithme identifie des actions qui peuvent être rattachées à son auteur », insiste-t-elle.

    Cette expérimentation est programmée pour durer deux ans dans les trains, #gares, lycées et #cars_scolaires. Les flux vidéos seront examinés au #Centre_régional_de_surveillance_des_transports (#CRST) aménagé en gare de Lyon Part-Dieu. « Les caméras sont prêtes », assure Renaud Pfeffer. Depuis son arrivée à la tête de la Région en 2016, Laurent Wauquiez l’a généreusement équipée en vidéosurveillance : 129 gares sont surveillées par 2 300 caméras, dont les images sont visionnées en temps réel au CRST. 285 lycées, 750 cars et la totalité des rames ferroviaires sont également équipés.

    « L’illusion d’avoir une approche pratique de l’insécurité »

    Pour défendre son projet, l’exécutif régional s’appuie sur la loi du 19 mai 2023, adoptée pour les Jeux olympiques de Paris et qui autorise l’expérimentation à grande échelle de la VSA par la police nationale jusqu’au 31 mars 2025. « On n’a le droit à la sécurité que pendant les Jeux olympiques et que à Paris ? On ne peut pas tester [la VSA] pour nos enfants, contre les problèmes de drogue ? », s’offusque Laurent Wauquiez.

    « Cette technologie permet aux décideurs politiques d’offrir l’illusion d’avoir une approche pratique de l’insécurité car ils mettent en place un dispositif, dénonce Marne Strazielle. Mais ce n’est pas parce qu’on enregistre et détecte une action dans l’espace public qu’elle va moins se produire. Souvent, cela ne fait que déplacer le problème. Il faut faire le travail de comprendre pourquoi elle s’est produite et comment la réduire. »

    La #Commission_nationale_de_l’informatique_et_des_libertés (#Cnil), qui n’a pas été consultée par l’équipe de Laurent Wauquiez, rappelle à Reporterre sa position de principe, qui « considère que la mise en œuvre de caméras augmentées conduit fréquemment à limiter les droits des personnes filmées ». Pour l’autorité administrative indépendante, « le déploiement de ces dispositifs dans les espaces publics, où s’exercent de nombreuses libertés individuelles (liberté d’aller et venir, d’expression, de réunion, droit de manifester, liberté de culte, etc.), présente incontestablement des risques pour les droits et libertés fondamentaux des personnes et la préservation de leur anonymat ».

    https://reporterre.net/Wauquiez-veut-surveiller-les-trains-et-lycees-regionaux-avec-l-intellige
    #surveillance #IA #AI #France #JO #JO_2024

    • La région #AURA vote le déploiement de la VSA dans les gares et les lycées

      Il en rêvait, il l’a fait. Un article de Reporterre nous apprend que Laurent Wauquiez a fait voter jeudi 21 mars en Conseil régional, le déploiement de la vidéosurveillance algorithmique dans tous les lycées et trains d’Auvergne-Rhône-Alpes, profitant de l’expérimentation accordée aux Jeux olympiques de Paris.

      Actuellement 129 gares seraient surveillées par 2 300 caméras, dont les images sont visionnées en temps réel au CRST. 285 lycées, 750 cars et la totalité des rames ferroviaires seraient également équipés.

      Selon la délibération votée par le Conseil régional, l’équipement de ces caméras avec la vidéosurveillance automatisée pourra détecter huit types d’événements prédéterminés : « le non-respect du sens de circulation, le franchissement d’une zone interdite, la présence ou l’utilisation d’une arme, un départ de feu, un mouvement de foule, une personne au sol, une densité trop importante, un colis abandonné. ». Les événements seront ensuite vérifiés par un agent, qui décidera des mesures à prendre.

      L’exécutif régional promet d’utiliser cette vidéosurveillance algorithmique « sans mettre en œuvre de reconnaissance faciale, ni d’identification de données biométriques [qui permettent d’identifier une personne]. » Cependant, comme l’a très bien démontré la Quadrature du Net, la VSA implique nécessairement une identification biométrique.

      La VSA et la reconnaissance faciale reposent sur les mêmes algorithmes d’analyse d’images, la seule différence est que la première isole et reconnaît des corps, des mouvements ou des objets, lorsque la seconde détecte un visage.

      La VSA est capable de s’intéresser à des « événements » (déplacements rapides, altercations, immobilité prolongée) ou aux traits distinctifs des personnes : une silhouette, un habillement, une démarche, grâce à quoi ils peuvent isoler une personne au sein d’une foule et la suivre tout le long de son déplacement dans la ville. La VSA identifie et analyse donc en permanence des données biométriques.

      « En réalité, l’algorithme identifie des actions qui peuvent être rattachées à son auteur » (Marne Strazielle, directrice de la communication de La Quadrature du net.)

      Ce sont généralement les mêmes entreprises qui développent ces deux technologies. Par exemple, la start-up française Two-I s’est d’abord lancé dans la détection d’émotion, a voulu la tester dans les tramways niçois, avant d’expérimenter la reconnaissance faciale sur des supporters de football à Metz. Finalement, l’entreprise semble se concentrer sur la VSA et en vendre à plusieurs communes de France. La VSA est une technologie biométrique intrinsèquement dangereuse, l’accepter c’est ouvrir la voie aux pires outils de surveillance.
      "Loi J.O. : refusons la surveillance biométrique", La Quadrature du Net

      Cela fait longtemps que M. Wauquiez projette d’équiper massivement cars scolaires et inter-urbains, gares et TER d’Auvergne-Rhône-Alpes en caméras et de connecter le tout à la reconnaissance faciale.

      En juin 2023, nous avions déjà sorti un article sur le sujet, au moment de la signature d’une convention entre la région Auvergne Rhône Alpes, le préfet et la SNCF, autorisant le transfert aux forces de sécurité, des images des caméras de vidéosurveillance de 129 gares sur les quelque 350 que compte la région AURA.

      Depuis fin 2023, il demande également d’utiliser à titre expérimental des "logiciels de reconnaissance faciale" aux abords des lycées pour pouvoir identifier des personnes "suivies pour radicalisation terroriste".

      Une mesure qui a déjà été reconnue comme illégale par la justice, comme l’a rappelé le media Reporterre. En 2019 un projet de mise en place de portiques de reconnaissance faciale à l’entrée de lycées à Nice et Marseille avait été contesté par La Quadrature du net et la LDH. La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), qui avait déjà formulé des recommandations, a rendu à l’époque un avis qui jugeait le dispositif pas nécessaire et disproportionné.

      Mais cela qui n’arrêtera Laurent Wauquiez, celui-ci a déclaré qu’il allait demander au Premier ministre, Gabriel Attal, la permission d’élargir la loi pour couvrir les lycées et les transports régionaux...

      La CNIL, qui n’a pas été consultée par l’équipe de Laurent Wauquiez, a rappelé à Reporterre sa position de principe, qui « considère que la mise en œuvre de caméras augmentées conduit fréquemment à limiter les droits des personnes filmées ».

      Pour elle, « le déploiement de ces dispositifs dans les espaces publics, où s’exercent de nombreuses libertés individuelles (liberté d’aller et venir, d’expression, de réunion, droit de manifester, liberté de culte, etc.), présente incontestablement des risques pour les droits et libertés fondamentaux des personnes et la préservation de leur anonymat ».

      Des dizaines d’organisations, parmi lesquelles Human Rights Watch, ont adressé une lettre publique aux députés, les alertant sur le fait que les nouvelles dispositions créent un précédent inquiétant de surveillance injustifiée et disproportionnée dans les espaces publics, et menacent les droits fondamentaux, tels que le droit à la vie privée, la liberté de réunion et d’association, et le droit à la non-discrimination.

      Résistons à la #VSA et à la technopolice !


      https://halteaucontrolenumerique.fr/?p=5351

    • La guerre se fabrique près de chez nous

      L’Observatoire des armements publie un nouveau rapport sur l’impact des entreprises d’armement de la #Région_Auvergne-Rhône-Alpes sur les #conflits. Il documente notamment 11 sociétés qui alimentent les guerres et répressions actuelles : Palestine, Yémen, Égypte, République démocratique du Congo... À chacun·e de nous de se mobiliser et à nos décideurs d’agir pour éliminer l’empreinte de la région sur les violations de droits humains.

      Cette étude rédigée par Tony Fortin avec Patrice Bouveret est téléchargeable gratuitement ou disponible en version papier (www.obsarm.org/IMG/pdf/fabrique_de_la_guerre_aura_mai_2022_web.pdf).

      La guerre en Ukraine est venue raviver la crainte d’une guerre généralisée en Europe, une crainte sur laquelle capitalise le secteur de l’armement pour développer et vendre de nouveaux équipements. Déjà, la guerre au Yémen avait replacé au premier plan ces dernières années la responsabilité de la France par rapport à l’utilisation des armes qu’elle vend. Les multiples enquêtes d’ONG et de journalistes ont pointé le rôle des majors du secteur (Thales, Safran, Dassault…). Peu d’informations existent en revanche sur les myriades de petites et moyennes entreprises réparties sur l’ensemble du territoire. Or, à partir du moment où une entreprise « habite » un lieu, son rôle — si les conséquences de son activité posent de graves problèmes humains — ne doit-il pas être connu de tous et débattu par les habitants ? Où et à qui leurs armes sont-elles vendues ? Sont-elles si inodores et incolores sur le plan de la préservation de la paix et du respect des droits humains ?

      Notre nouveau rapport apporte une première pierre à ce projet en documentant le rôle d’un panel d’entreprises d’armement et de maintien de l’ordre établies dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Onze sociétés, parmi les plus significatives, ont ainsi été identifiées. La conclusion de cette étude l’établit sans fard : certaines entreprises du terroir local sont bel et bien associées aux guerres et répressions actuelles.

      Entre autres exemples :

      - des hélicoptères modernisés ont été cédés au Togo qui réprime sa propre population (#Ares basée dans la Drôme) :
      - des blindés fabriqués pour partie en région lyonnaise sont en guerre contre les mouvements sociaux au Chili, Liban, Sénégal, Égypte (#Arquus en région lyonnaise) ;
      – des drones ont été livrés à des compagnies minières décriées en Australie, Ghana, Afrique du Sud (#Delta_Drone en région lyonnaise) ;
      - des fusils de précision sont utilisés en Égypte et Israël (#PGM_Précision en Savoie) ;
      - des flash-ball stéphanois ont servi contre l’opposition sociale en République démocratique du Congo et en France (#Verney-Carron à Saint-Étienne), etc.

      Un tel impact doit interpeller nos décideurs locaux qui attribuent des aides publiques au secteur de l’armement : n’est-il pas temps de réajuster le plan de développement économique de nos collectivités à l’aune des droits humains ? Ou d’engager a minima un audit mesurant l’empreinte de nos entreprises régionales sur les conflits internationaux et les violations de droits humains ?

      Ce dossier contient également différentes pistes d’initiatives pour chacun·e d’entre nous, habitant·e·s, citoyen·ne·s, élu·e·s, journalistes, membres d’associations, etc., pour en faire un sujet politique. Pourquoi ne pas organiser une discussion publique ? Engager le débat sur les pistes de reconversion possible de ces entreprises vers d’autres secteurs socialement utiles ?

      http://www.obsarm.org/spip.php?article383

      #armes #armement #industrie_de_l'armement #France #rapport #Auvergne-Rhône-Alpes

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  • La crise met nombre d’associations en difficulté pour payer leur loyer. A #Grenoble le bailleur social choisit la voie judiciaire pour en expulser une | ESS, Emploi, Formation, Insertion et bien d’autres choses. | Michel Abhervé | Les blogs d’Alternatives Économiques
    https://blogs.alternatives-economiques.fr/abherve/2021/02/01/la-crise-met-nombre-d-associations-en-difficulte-pour

    L’association la Papothèque à Grenoble conduit des activités intergénérationnelles de solidarité au cœur des quartiers Lys Rouge et Mistral. Elle vit …

    #Auvergne-Rhône-Alpes #Isère #Société #Solidarité

  • Mise à l’abri des personnes sans domicile à #Grenoble dans les places d’internat restées vacantes

    Notre association est préoccupée de l’état de #santé des personnes sans abri ou dans des logements de fortune particulièrement exposées au virus. Le #confinement généralisé suppose d’avoir la capacité d’héberger ou de loger toute personne vivant à la rue. Or si l’Etat a décidé de prolonger de deux mois la #trêve_hivernale, permettant ainsi le maintien ouvert des #hébergements_hivernaux et la #suspension des #expulsions locatives, le parc d’#hébergement_d’urgence reste structurellement sous- dimensionné au regard des besoins. Il en va de même de l’hébergement pour demandeurs d’asile dans le #dispositif_national_d’accueil géré par l’#OFII. Si le Ministère de l’Intérieur a suspendu l’enregistrement des nouvelles demandes, les personnes n’auront pas accès à l’hébergement via l’OFII. Nous notons, par ailleurs, que les entrées dans les dispositifs dédiés se trouvent entravées par les difficultés liées au pilotage particulièrement en cette période de #crise_sanitaire. Des places sont disponibles mais les #demandeurs_d’asile n’y ont pas accès en raison de l’approche catégorielle de l’hébergement et de la lourdeur du pilotage de l’orientation. Les conséquences à ces entraves à un #accueil digne et humain sont perçues et subies très directement à l’échelle du territoire grenoblois par l’ensemble des acteurs. Les demandeurs d’asile, finiront pour certains à renoncer à leur droit à l’hébergement, ce qui peut avoir des conséquences particulièrement graves en termes de #santé_publique. Ces personnes sans domicile qui sont parmi les plus vulnérables au virus sont aussi les moins protégées, confrontées aux défaillances chroniques d’un système de l’hébergement structurellement sous doté. L’annonce des mesures de confinement a provoqué la fermeture de notre accueil au public et un fonctionnement dégradé de nos services, mais nous tentons de garder le lien avec les personnes que nous accompagnons.
    Nous nous sentons néanmoins démunis et en appelons à la #réquisition des places dans les internats restées vacantes pour éviter une catastrophe humanitaire. Aussi, nous vous invitons à vous rapprocher de la Direction Départementale de la Cohésion Sociale afin d’organiser des orientations permettant de mettre à l’abri ces populations vulnérables et de fournir au personnel bénévole des protections dans cet accompagnement.
    Nous nous tenons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
    Jacqueline Leininger,
    Présidente de l’ADA – #Accueil_Demandeurs_d’Asile

    –-> #Lettre de l’ADA à #Laurent_Wauquiez, président de la région #Auvergne-Rhône-Alpes du 30.03.2020, reçue via mail le 07.04.2020

    #mise_à_l'abri #SDF #sans-abri #coronavirus #France #covid-19 #hébergement #asile #migrations #réfugiés

  • Asile : de la #rétention à l’implosion

    Depuis l’allongement à 90 jours de la durée maximale d’enfermement en France, voté en 2018, les centres de rétention administrative se retrouvent saturés. Reportage à #Lyon, où les tensions s’exacerbent.


    https://www.liberation.fr/france/2019/05/13/asile-de-la-retention-a-l-implosion_1726767

    Reportage de Maïté Darnault de @wereport

    #asile #migrations #CRA #France #détention_administrative #rétention #cocotte-minute #Lyon-Saint-Exupéry #Auvergne-Rhône-Alpes
    ping @karine4 @isskein

  • #Auvergne-Rhône-Alpes : la #Culture asphyxiée par la #Politique (Libération)
    https://www.wereport.fr/politique-2/auvergne-rhone-alpes-la-culture-asphyxiee-par-la-politique-liberation

    Les instituts culturels de la région ont vu leurs #subventions baisser drastiquement en 2016. Une situation concomitante à la fusion des régions et à l’arrivée du nouveau président, Laurent Wauquiez. Et qui varie selon l’orientation partisane des villes. Mais que se passe-t-il dans les #institutions_culturelles de la région Auvergne-Rhône-Alpes ? Le musée des Tissus de Lyon est au bord de la noyade,...

    #Economie #financement

  • Réunion de nouvel an de l’UEF-Rhône-Alpes
    https://www.uef.fr/reunion-de-nouvel-an-de-l-uef-rhone-alpes

    La section Rhône-Alpes de notre mouvement a ténu le 24 janvier dernier une réunion de nouvel an sous la forme d’un « pot de reprise de carte » suivi d’une réunion de son Comité directeur. La soirée a commencé par le traditionnel pot de « Nouvel An » auquel ont participé près de 20 personnes. Jean-Francis Billion, président de la section, a commenté l’actualité en ce début d’année et les points importants à venir dont la célébration du 60e anniversaire du Traité de Rome le 25 mars prochain. En outre, les (...)

    #Régions

    / #Auvergne-Rhône-Alpes

    https://www.uef.fr/IMG/pdf/24.01.17-cr-codir-uef-ra.pdf?410/78df2b3f0dcfbba73bf1292c8206ff245e8666e0
    https://www.uef.fr/IMG/pdf/240117-rapport-uef-ra-2016.pdf?411/4291a14cbfc5197551e8594c4cc587fb684dc192

  • La campagne #présidentielle vue d’Auvergne-Rhône-Alpes
    https://www.wereport.fr/politique-2/la-campagne-presidentielle-vu-dauvergne-rhone-alpes

    Tout au long de la campagne pour l’élection présidentielle, retrouvez des articles d’actualité, des analyses et la chronique « La France invisible » pour Libération. Le week-end du 4-5 février, #Lyon fut capitale de campagne… L’affaire Penelope Fillon et ce qu’en pensent les gens… Durant plusieurs mois, Libération va sonder, chaque semaine, cinq lieux différents de...

    #Politique #Société #2017 #Auvergne-Rhône-Alpes #élection #vote

  • Laurent #Wauquiez, ravi de sa #crèche (Libération)
    https://www.wereport.fr/politique-2/laurent-wauquiez-ravi-de-sa-creche-liberation

    Le président de la région Auvergne – Rhône-Alpes a décidé d’installer dans le hall du siège du conseil régional une colonie de santons de la Drôme qui a déclenché l’ire de certains. A Lyon, le président de la région Auvergne – Rhône-Alpes a décidé d’installer dans le hall du siège du conseil régional une colonie...

    #Politique #« Wauquiez_président » #Auvergne-Rhône-Alpes

  • Laurent #Wauquiez, ravi de sa #crèche (Libération)
    http://www.wereport.fr/politique-2/laurent-wauquiez-ravi-de-sa-creche-liberation

    Le président de la région Auvergne – Rhône-Alpes a décidé d’installer dans le hall du siège du conseil régional une colonie de santons de la Drôme qui a déclenché l’ire de certains. A Lyon, le président de la région Auvergne – Rhône-Alpes a décidé d’installer dans le hall du siège du conseil régional une colonie...

    #Politique #« Wauquiez_président » #Auvergne-Rhône-Alpes

  • Séminaire « Champignons et fédéralisme »
    http://www.uef.fr/seminaire-champignons-et-federalisme

    La section RHONE-ALPES de l’UEF France a tenu les 15 et 16 octobre, à Chalmazel (Loire), un séminaire « Champignons et Fédéralisme ». Une dizaine de membres de l’organisation ont été reçus par Pierre-Yves Maurice pour le weekend. Il s’agissait de mettre à profit un agréable dépaysement pour des activités entre amis et des échanges informels sur les manques et les améliorations à apporter à l’action de l’UEF, à tous les niveaux. Quelques points forts du programme de travail ont également été abordés. Une (...)

    #Régions

    / #Auvergne-Rhône-Alpes

  • Compte-rendu du séminaire « Champignons et fédéralisme »
    http://www.uef.fr/compte-rendu-du-seminaire-champignons-et-federalisme

    La section RHONE-ALPES de l’UEF France a tenu les 15 et 16 octobre, à Chalmazel (Loire), un séminaire « Champignons et Fédéralisme ». Il s’agissait de mettre à profit un agréable dépaysement pour des activités entre amis et des échanges informels sur les manques et les améliorations à apporter à l’action de l’UEF, à tous les niveaux. Quelques points forts du programme de travail ont également été (...)

    #Régions

    / #Auvergne-Rhône-Alpes

    http://www.uef.fr/IMG/pdf/compte-rendu_seminaire_uef_rhone-alpes.pdf?378/591e1a8ba19cb72d880bd816f15400fbfde27fab

  • Conférence : « Un fédéralisme à la française est-il possible ? »
    http://www.uef.fr/conference-un-federalisme-a-la-francaise-est-il-possible

    François Coutin, secrétaire de la section Rhône-Alpes de l’UEF-France, interviendra mercredi 9 novembre 2016 à Annecy à l’invitation de l’association « Humanisme et sociétés » et du MRS. Conférence : « Un fédéralisme à la française est-il possible ? » Mercredi 9 novembre 2016 à 19h Salle des eaux et forêts 113 bd. du fier - Annecy Organisé par Humanisme et sociétés et MRS. En présence de : • CHRISTIAN TROADEC, Candidat aux présidentielles • FRANÇOIS COUTIN, de l’Union des Fédéralistes Européens • YVAN (...)

    #Régions

    / #Auvergne-Rhône-Alpes

    http://www.uef.fr/IMG/pdf/annecy-9nov2016.pdf?374/37e65543644f7e70e814a9550a26ef86db7b76e7

  • Portiques dans les lycées et aberrations de #Wauquiez

    La semaine a été marquée en France par une menace d’un nouveau genre : des alertes à la bombe signalées par des appels anonymes à huit prestigieux lycées parisiens. La question de la sécurité des écoles se pose de manière accrue. Laurent Wauquiez, numéro 2 de Les Républicains et nouveau président d’#Auvergne-Rhône-Alpes, n’a pas attendu cette semonce pour dégainer sa solution : en visite au lycée de Moirans (Isère) le 21 janvier, il a annoncé vouloir équiper les 322 établissements de la grande région de #portiques_de_sécurité. Et a désigné #Moirans comme lycée pilote, où le dispositif sera opérationnel à la rentrée de Pâques. Objectif affiché : lutter contre le #terrorisme, l’intrusion d’armes à feu et le trafic de drogue. La mesure faisait partie des promesses de sa campagne régionale. Elle n’en demeure pas moins ridicule. D’abord, il s’agit d’un gouffre financier : la facture à Moirans, réglée par le conseil régional, s’élèverait à 100 000 euros, selon l’élu. D’après ses calculs, cela devrait coûter pour l’ensemble du territoire 20 millions d’euros. Or, 322 (lycées) multiplié par 100 000, ça fait 32,2 millions d’euros… Et Laurent Wauquiez s’est bien gardé d’évoquer la question des frais de fonctionnement. Qui surveillera le portique ? Certainement pas un agent scolaire qui, en cas de doute, n’a pas le droit de mettre la main dans le sac d’un élève sans son accord. Seul un officier de police judiciaire peut se livrer à une fouille non consentie. Par ailleurs, l’installation d’un tel équipement devra être soumise au vote du conseil d’administration de chaque lycée, composé d’enseignants, d’administratifs et de parents d’élèves. On peut raisonnablement douter de l’unanimité que recueillera cette saillie sécuritaire. Car de fait, le temps requis pour une entrée au compte-gouttes des lycéens favorisera les attroupements. A Moirans, avec 976 élèves, à raison de trois secondes chacun, cela prendrait près de quarante-neuf minutes. Imaginez un ado peu enclin à déballer ses affaires, une machine au réglage trop sensible, et la moyenne explose.

    http://www.liberation.fr/france/2016/01/29/portiques-dans-les-lycees-et-aberrations-de-wauquiez_1429955
    #sécurité #écoles #France #surveillance
    L’auteure, Maïté Darnault, fait partie du collectif @wereport