#b

  • Late night update
    24 March 2024 23:50 GMT | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/late-night-update-8

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    At least 32,226 Palestinians have been killed, among them 84 in the past 24 hours, and 74,518 injured in Israel’s air and ground assault into the densely populated Gaza Strip, according to the local health ministry.

    Today, Israel informed the United Nations today that it will no longer allow Unrwa food convoys into north Gaza, where 70 percent of people face the highest level of food scarcity.

    UN chief Antonio Guterres denounced “horror & starvation” in Gaza during his humanitarian visit to Egypt, in a series of posts to X.

    Meanwhile, the US announced that it sent an airdrop over north Gaza in cooperation with the Jordanian air force.

    The shipment is the 13th humanitarian aid airdrop to the area, however, the UN and other aid organisations have warned that airdrops cannot provide nearly enough aid to alleviate the catastrophic humanitarian situation in Gaza.

    Other updates from today include:

    In a joint statement, 14 NGOs came together to state that Israel is not in compliance with US President Joe Biden’s national security memorandum that barred recipients of US weapons from obstructing humanitarian aid in conflict zones.

    The US Conference of Catholic Bishops called for a ceasefire in Gaza ahead of the Christian Easter holidays.

    French President Emmanuel Macron warned Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu that forcible population transfer is a war crime that violates international law, condemning “Israeli announcements on settlements” in talks with the Israeli leader.

    Riot police fired tear gas to push back hundreds of Jordanian demonstrators marching to the Israeli embassy in Amman on Sunday in protest at Israel’s latest storming of hospitals in Gaza and mounting civilian deaths.

    #Bilan

  • Bluetooth temperature humidity data logger for refrigeration

    Refrigeration is to provide a suitable and constant temperature environment for temperature-sensitive items, which can ensure the quality and safety of the items. The Bluetooth Temperature Humidity Data Logger can be used to monitor and record the temperature and humidity of the refrigerated environment. It can connect to smart devices through Bluetooth and monitor the real-time temperature and humidity data of the refrigerated environment as well as the historical temperature and humidity change curves on the APP provided for free by Freshliance. It can analyze whether the items have been affected by The influence of ambient temperature and humidity is of great help.

    The BlueTag TH30 series Bluetooth Temperature Humidity Data Logger provided by Freshliance has very powerful functions. It is a model of wireless temperature and humidity data logger. Using gateway technology, it can also transmit data to the cloud. Has the following characteristics:

    1. Supports multi-person collaboration, can connect multiple mobile users, and one mobile APP can connect multiple Bluetooth recorders.
    2. You can set the alarm range, temperature/humidity abnormality, screen display, and APP reminder.
    3. An optional gateway network allows the recorder to wirelessly collect data and then transmit the data to the cloud.
    4. In addition to the built-in sensor, the recorder can also be equipped with one or two external temperature and humidity probes.
    5. The data recorded by each probe is read independently.
    6. The LCD screen can display real-time readings, maximum readings, minimum readings, average data values, battery power, Bluetooth connection status, etc.

    There are many types of refrigerated items, such as food, medicine, biological reagents, etc., which have strict requirements on environmental temperature and humidity standards. The Bluetooth temperature humidity data logger provided by Freshliance has an accuracy of ±0.5℃ F.S., ±3.0%RH (25℃, 20~90%RH) ±5%RH (other), which complies with the temperature and humidity monitoring standards of various items. Moreover, our Bluetooth temperature data logger has the characteristics of good stability and long working time. It can monitor and record the environmental temperature and humidity around the clock during the transportation or storage of sensitive goods to ensure the quality and safety of the goods.
    #refrigeration #temperaturehumidity #bluetooth #datalogger

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    https://www.temperaturehumidityloggers.com/bluetag-th30b-th30r-bluetooth-temperature-humidity-data-

  • Espagne : des jeunes migrants se déclarant mineurs incarcérés pour avoir conduit des canots - InfoMigrants
    https://www.infomigrants.net/fr/post/55997/espagne--des-jeunes-migrants-se-declarant-mineurs-incarceres-pour-avoi

    Espagne : des jeunes migrants se déclarant mineurs incarcérés pour avoir conduit des canots
    Par Leslie Carretero Publié le : 22/03/2024
    En Espagne, les cas de jeunes migrants se disant mineurs enfermés dans les prisons du pays pour avoir piloté des canots se multiplient, à mesure que les arrivées irrégulières augmentent. Les adultes, eux aussi, subissent le même sort. Comme en Grèce et au Royaume-Uni, deux États qui incarcèrent également des exilés vus à la barre d’un canot, les associations et les militants espagnols estiment que le gouvernement se trompe de cible.
    B.C. a quitté la prison de Las Palmas, sur l’île de Grande Canarie, jeudi 14 mars. Le jeune Sénégalais de 17 ans, accusé par la justice d’être un passeur pour avoir conduit un canot de migrants, était incarcéré dans ce centre pour adultes depuis presque trois mois.
    Quelques heures plus tôt, le tribunal avait ordonné sa libération en raison de son âge. « Les conclusions [de l’examen] médico-légal » effectué sur B.C. ne permettent pas d’affirmer avec « certitude que le sujet est majeur », avait estimé le juge. Depuis son incarcération le 21 décembre 2023, le Sénégalais répétait inlassablement qu’il n’avait que 17 ans. Une photocopie de son acte de naissance transmis à l’administration n’avait pas suffi à mettre fin à son emprisonnement. Ni même un test médical qui avait conclu que « l’âge estimé du mineur présumé est compatible avec l’âge qu’il a mentionné ».
    L’ONU s’était emparé du sujet et avait exhorté le 11 mars les autorités espagnoles à libérer l’adolescent et à le traiter conformément à la Convention internationale des droits de l’enfant. L’organisation avait rappelé qu’en cas de doute sur l’âge d’une personne se déclarant mineure, elle doit être prise en charge en tant qu’enfant.Après la décision du tribunal de Las Palmas, B.C. a été transféré dans un centre fermé pour mineurs sur l’île de Ténérife en attendant son procès. Comme ce garçon originaire du Sénégal, d’autres Subsahariens connaissent le même sort : arrivés aux Canaries à bord d’une pirogue surchargée, ils ont été accusés de piloter le canot, et n’ont pas été considérés comme des mineurs. Depuis, ils croupissent dans les prisons canariennes.
    (...) On peut aussi citer l’histoire d’A.G., emprisonné avec B.C. alors qu’il n’avait que 15 ans. Ce Sénégalais a passé un mois et demi derrière les barreaux avant qu’un juge de surveillance pénitentiaire ordonne son transfert vers un centre fermé pour mineurs et que des tests prouvent sa minorité. Alors, les jeunes étrangers seraient-ils de plus en plus nombreux à remplir les prisons espagnoles ? Difficile à affirmer en raison du manque de données sur le sujet, l’enfermement des mineurs étant interdit par la loi. Mais pour Daniel Arencibia, avocat en droit des étrangers, les affaires de ce type se multiplient. Il dit observer ces derniers mois une hausse des cas et regrette « beaucoup d’erreurs pour déterminer l’âge » d’un migrant. Cette recrudescence des emprisonnements s’explique, selon lui, par l’augmentation du nombre de mineurs débarqués en Espagne. « En 2020, il y avait moins de 400 mineurs aux Canaries. Aujourd’hui, ils sont plus de 5 000 », précise l’avocat. Un chiffre qui coïncide avec la hausse des débarquements en Espagne : on comptait en 2023, plus de 56 000 arrivées de migrants dans le pays, soit un bond de 82% par rapport à 2022. Parmi eux, près de 40 000 ont été enregistrés aux Canaries, une hausse de 154% par rapport à l’année précédente.
    Des peines différentes selon les provinces espagnoles Les jeunes ne sont pas les seuls à subir le même sort. Les migrants adultes aussi se voient désigner comme passeurs, pour avoir piloté leur embarcation. Et selon le lieu de leur arrestation, les peines diffèrent de plusieurs années, révèle une étude de Daniel Arencibia. Ce dernier a analysé plus de 200 condamnations portées contre des exilés dans les provinces espagnoles – sur les îles et sur la péninsule – les plus touchées par les arrivées irrégulières, du 1er janvier 2021 à aujourd’hui. Et le constat est sans appel : les migrants jugés aux Canaries écopent de peines plus lourdes pour les mêmes chefs d’accusation que dans les autres régions du pays. « Aux Baléares, ils sont condamnés à deux ans de prison, et aux Canaries à trois voire cinq ans », affirme l’avocat dans une interview accordée au média local Diario de Canarias. Pour avoir conduit une pirogue, et être poursuivi en tant que passeur, les exilés encourent jusqu’à huit ans de prison en Espagne. Une circulaire stipule cependant que dans le cas où la personne cherche également à obtenir une protection, une circonstance atténuante peut être appliquée et permet de réduire la peine. Daniel Arencibia a également découvert que le jugement pouvait être plus clément si le migrant renonce à son procès et se déclare donc coupable : dans ce cas, le Parquet réclame trois années de prison, en vertu de la circulaire évoquée précédemment. Dans le cas inverse, il demande sept ans d’emprisonnement. « Dans la province de Las Palmas [sur l’île de Grande Canarie, ndlr], 91% des accusés ont signé le document et accepte la peine de trois ans », renonçant à faire reconnaitre leur innocence. Rien d’étonnant pour l’avocat car, selon lui, les exilés n’ont d’autres choix : « Le migrant ne comprend pas la langue, a peur et on lui dit : ‘Si vous ne signez pas ce papier, vous ferez sept ans de prison au lieu de trois’ », résume-t-il. Comme en Grèce et au Royaume-Uni, deux États qui incarcèrent aussi des exilés vus à la barre d’un canot, les associations et les militants espagnols estiment que le gouvernement se trompe de cible. Les migrants emprisonnés « n’appartiennent pas à des mafias, ce sont de pauvres pêcheurs pour la plupart. Nous dépensons des millions pour mettre en prison des pêcheurs mais nous n’avons pas le budget nécessaire pour poursuivre ceux qui deviennent réellement millionnaires, au Maroc ou en Mauritanie », déplore l’avocat.

    #Covid-19#migrant#migration#espagne#canaries#baleares#mineur#prison#CIDE#droit#senegal#sante#grce#royaumeuni#pirogue

  • Manche : 113 migrants secourus dans le détroit du Pas-de-Calais en une nuit - InfoMigrants
    https://www.infomigrants.net/fr/post/55944/manche--113-migrants-secourus-dans-le-detroit-du-pasdecalais-en-une-nu

    Manche : 113 migrants secourus dans le détroit du Pas-de-Calais en une nuit
    Par La rédaction Publié le : 21/03/2024
    Mercredi 20 mars, le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) Gris-Nez est intervenu auprès de plusieurs embarcations d’exilés en difficulté dans la Manche, et a secouru 113 personnes au large des côtes du nord-ouest de la France. Dans la même journée, 450 migrants ont atteint le Royaume-Uni, un nouveau record.
    Nouvelles opérations de sauvetage dans la Manche. Dans la nuit de mardi 19 à mercredi 20 mars, le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) Gris-Nez reçoit des alertes l’informant que plusieurs canots d’exilés, qui tentaient la traversée de la Manche, se trouvent en difficulté dans le détroit du Pas-de-Calais, dans le nord de la France. La préfecture maritime de la Manche et de la mer du Nord (Premar) résume les faits dans un communiqué. D’abord, le CROSS Gris-Nez mobilise le Ridens, un navire de sauvetage affrété par l’État, pour venir en aide à une embarcation dont le moteur est endommagé au large de Gravelines, entre Calais et Dunkerque.
    Dans un premier temps, la Premar indique que « les naufragés refusent d’être secourus », avant que 23 personnes demandent finalement assistance et que le Ridens les prennent à bord. Ces 23 migrants sont ensuite déposés au port de Dunkerque en milieu de journée, mercredi. Les autres exilés qui « refusent l’assistance proposée par les moyens français » finissent par réussir à remettre le moteur en route et reprennent leur traversée. « Le choix est fait de les laisser poursuivre leur route », mais le CROSS Gris-Nez assure « maintenir une surveillance sur l’embarcation », au vu des risques encourus et de l’état du bateau de fortune.
    Dans un second temps, plus tard dans la nuit, le CROSS Gris-Nez engage cette fois-ci un remorqueur d’intervention, d’assistance et de sauvetage (RIAS), nommé Abeille Normandie, pour venir au secours de 64 exilés sur une autre embarcation, cette fois au large de Sangatte. L’Abeille Normandie détecte ensuite un autre canot en difficulté dans la même zone, et porte assistance à 25 personnes, en majorité des femmes et des enfants en bas âge, rapporte la Premar.
    Quelques heures plus tard, l’Abeille Normandie accoste au port de Boulogne-sur-Mer et débarque les 89 migrants secourus. Ces derniers sont ensuite « pris en charge par les services de secours terrestres et la police aux frontières », écrit la préfecture. En parallèle, un autre patrouilleur, le Jeanne Barret, vient à la rescousse d’une personne malade à bord d’un canot de fortune, avant de la déposer au port de Calais. « Son état de santé reste stable », affirme la préfecture. De l’autre côté de la Manche, huit embarcations de migrants ont atteint les côtes britanniques mercredi, transportant au total 450 exilés. Un nouveau record d’arrivées en une seule journée, soulignent les médias britanniques. Parmi ces 450 arrivées, un exilé blessé par arme blanche a été secouru puis transféré à un hôpital après avoir débarqué au port de Douvres.

    #Covid-19#migrant#migration#royaumeuni#france#manche#traversee#calais#boulognesurmer#premar#sante#migrationirreuguliere#routemigratoire

  • Le naufrage de Rohingya en Indonésie révèle une crise humanitaire grandissante
    https://www.lemonde.fr/international/article/2024/03/22/le-naufrage-de-rohingya-en-indonesie-revele-une-crise-humanitaire-grandissan

    Le naufrage de Rohingya en Indonésie révèle une crise humanitaire grandissante
    Par Brice Pedroletti (Bangkok, correspondant en Asie du Sud-Est)
    Le naufrage, mercredi 20 mars, d’un bateau de Rohingya au large des côtes indonésiennes, lors duquel plus d’une cinquantaine de personnes auraient péri, est un nouveau signe de la détresse de cette minorité apatride originaire de Birmanie. Plusieurs milliers de Rohingya ont pris la mer en 2023 sur des embarcations vétustes.
    Or cette crise humanitaire à bas bruit dans les eaux du détroit de Malacca et du golfe du Bengale a tout lieu de s’aggraver : la « révolution birmane » a gagné le nord-est de l’Etat de Rakhine, en Birmanie, où vivent les quelque 650 000 Rohingya restés dans ce pays après le grand exode de 2017.
    Au Bangladesh voisin, où près d’un million de Rohingya vivent dans des camps de réfugiés – dont 750 000 arrivés en 2017 après les atroces massacres perpétrés par l’armée birmane dans l’Arakan (Etat de Rakhine, selon l’appellation officielle), la situation humanitaire n’a cessé de se détériorer. Les Rohingya sont une minorité autochtone de l’Etat de Rakhine, de confession musulmane et ethniquement apparentée aux Bengalis. Mais les dictatures birmanes successives en ont fait des « immigrés illégaux », les privant en 1982 de la citoyenneté birmane.
    Les 75 survivants du 20 mars, en majorité des hommes, entassés sur la coque retournée de leur embarcation au large de Kuala Bubon, sur la côte occidentale d’Aceh (île de Sumatra), ont d’abord été secourus par des pêcheurs, avant que des sauveteurs ne recueillent le lendemain la majorité d’entre eux. Un survivant du nom de Zaned Salim a fait état de cent cinquante personnes embarquées à l’origine, dont beaucoup de femmes et d’enfants, présumés morts noyés. Ils auraient quitté un « centre de réfugiés » malaisien pour tenter de rejoindre l’Australie. Mais ce témoignage reste sujet à caution tant la méfiance règne chez ces damnés de la Terre, rejetés de toute part. La plupart des Rohingya fuient les camps du Bangladesh, mais aussi la Birmanie, pour tenter de gagner la Malaisie, jugée plus tolérante, où 108 500 d’entre eux étaient, en février, enregistrés comme demandeurs d’asile selon l’UNHCR, l’agence des Nations unies pour les réfugiés. Mais la Malaisie ne reconnaît pas ce statut et a durci, ces dernières années, sa politique anti-immigration : beaucoup de Rohingya se retrouvent dans des centres de détention pour migrants illégaux. En février, une centaine d’entre eux s’étaient d’ailleurs évadés d’un de ces centres. L’Australie, elle, envoie les rares réfugiés qui atteignent ses côtes sur l’île de Nauru, dans le Pacifique, dans un centre de traitement des demandes d’asile.
    L’afflux de bateaux de réfugiés rohingya en Indonésie a pris de l’ampleur depuis octobre 2023 : sur les 4 500 qui, selon les estimations de l’UNHCR, ont pris la mer en 2023, 1 500 Rohingya auraient, depuis, accosté sur les rivages de la province d’Aceh. Les morts présumés se comptent par centaines. Or cet afflux suscite une vague de rejet parmi les Acehnais : en novembre, près de 200 Rohingya sinistrés ont été parqués une nuit entière sur une plage de Sabang, sur l’île de Weh, au large de Banda Aceh, la capitale provinciale. Les habitants voulaient les repousser vers la mer.
    Fin décembre, une centaine d’étudiants ont manifesté et pris d’assaut un local où des familles rohingya étaient hébergées à Banda Aceh, poussant l’UNHCR à se déclarer « profondément troublée par l’attaque d’une foule sur un site abritant des familles de réfugiés vulnérables ». Les survivants du 20 mars ont eux aussi vu affluer des villageois avec des pancartes « pas de Rohingya chez nous ».Car depuis novembre, une virulente campagne de haine agrémentée de fake news dépeint sur les réseaux sociaux indonésiens, en particulier TikTok, les Rohingya comme des « voleurs », voire de la « vermine » – reprenant sans aucun recul les stéréotypes racistes et islamophobes diffusés à l’envi par l’armée birmane sur les réseaux sociaux dans les années précédant les massacres de 2016 et 2017. Selon un observateur de l’Internet indonésien consulté par Le Monde en février, certains des messages de haine diffusés à grande échelle remontent à au moins l’un des « influenceurs » de la campagne de Prabowo Subianto, le général qui a gagné l’élection présidentielle indonésienne du 14 février et est vu comme un farouche nationaliste.
    Cruelle ironie : on sait que les Acehnais, de pieux et conservateurs musulmans sunnites comme les Rohingya, ont subi pendant des décennies les exactions de l’armée indonésienne lors de leur combat pour plus d’autonomie, puis furent, après le tsunami dévastateur de 2004, sous perfusion de l’aide internationale durant dix ans. Ce manque d’empathie est dénoncé en Indonésie par des figures progressistes, et des ONG locales viennent en aide aux Rohingya en détresse. Si Djakarta met en avant ses obligations de non-refoulement des réfugiés en perdition, la marine indonésienne a été soupçonnée d’avoir fait la chasse à des bateaux de Rohingya pour qu’ils n’accostent pas.Or les raisons qui poussent les Rohingya à prendre la mer ont tout lieu de se renforcer. Au Bangladesh, les conditions se détériorent dans la trentaine de camps qui les accueille autour de Cox’s Bazar, de l’autre côté de la frontière avec la Birmanie. La criminalité s’y répand, des incendies dévastent des quartiers entiers. Les Nations unies, qui financent les camps, n’ont pu lever en 2023 que la moitié des 876 millions de dollars (809 millions d’euros) nécessaires à leur fonctionnement. Au point que le Programme alimentaire mondial a dû, en mars 2023, réduire progressivement de 12 à 8 dollars mensuels le bon alimentaire attribué à chaque résident du camp, alors même que 40 % des enfants de moins de 5 ans souffrent de malnutrition chronique. Le montant a toutefois pu être réévalué à 10 dollars en janvier.
    En Birmanie, les zones d’habitation des Rohingya, dans le nord-est de l’Etat de Rakhine, comme les villes ghettos de Maungdaw, Buthidaung, et Rathedaung, font l’objet d’intenses combats entre l’armée birmane et l’Armée de l’Arakan. Le groupe rebelle arakanais opposé à la junte a lancé en janvier une offensive massive sur les positions de l’armée, qui recule mais bombarde régulièrement les zones habitées. A Sittwe, la capitale de l’Etat de Rakhine, les combats forcent la population à s’enfuir, mais les Rohingya, pour la plupart parqués dans des camps dans la périphérie, sont à la merci de l’armée birmane. « Il ne reste que des musulmans [rohingya] dans la ville. Ils n’ont nulle part où fuir et n’ont pas de carte d’identité. Le régime les exploite, en a forcé certains à suivre un entraînement militaire », confiait récemment au site birman en exil The Irrawaddy un cadre de l’Armée de l’Arakan. L’armée rebelle s’est dite, le 4 mars, par le truchement d’un porte-parole, prête à accueillir dans les zones libérées les Rohingya qui risquent sinon d’être utilisés comme « boucliers humains » par la junte : celle-ci en aurait recruté de force plusieurs centaines, depuis l’annonce en février de la conscription obligatoire.

    #Covid-19#migrant#migration#birmanie#australie#malaisie#bangladesh#rohinhya#indonesie#refugie#conflit#sante

    • https://www.youtube.com/watch?v=L5-uwXOhshU

      Per chi danza nella via
      per baciarsi quando è ora
      le tue sorelle che sono la mia
      per le tue sorelle che sono la mia
      per le teste da cambiare ancora
      per chi non ha una lira
      per chi si perde e ne aha vergogna
      per i sogni del bambino nella spazzatura
      per l’arroganza che dell’aria fa una fogna
      per gli alberi malati e spenti
      per gli esseri in via d’estinzione
      per la violenza sugli innocenti
      per un pianto senza consolazione
      per la voglia di esserci ancora
      per la gioia di sorridere
      per sperare nel futuro
      per chi ci possa ancora credere
      per un paradiso senza catene
      per chi le idee le sa far volare
      per le bambine afghane
      per tutto quel che c’è da fare
      per il canto e le voci ch lo fanno cantare
      per chi è sotto le macerie e cerca un riparo
      dopo la notte ci sia il sole e il suo tepore
      per ogni rifugiato, che possa riposare
      per un uomo, uno solo che ha bisogno
      per lei che è un fiore di ragazzo
      per le donne e il loro sogno
      per la libertà
      per la libertà
      per la libertà
      per la libertà

      #Baraye #chanson #Iran #musique #musique_et_politique #liberté #révolution #femme_vie_liberté #révolution

    • https://www.youtube.com/watch?v=93arJxoN0js&t=80s

      Ti conosco troppo poco
      questa è solo per te
      vorrei dirti che è sbagliato
      ma ogni volta sento che
      la nottata è troppo torva
      le risorse inconsistenti
      la violenza è ad ogni curva
      e alla fine dei conti
      la paura vince sempre

      Non sarei quello che speri
      Non sarei quello che vuoi

      Non sarei il tuo sostegno
      non risponderei al bisogno
      non potrei darti la calma
      come deve fare mamma
      Non sarei la tua colonna
      il supporto che ti spetta
      perché io sono imperfetta
      perché io vacillo ancora
      la paura mi divora
      Non sarei quello che cerchi
      Non sarei quello che vuoi

      Ho paura di sbagliare
      ho paura di impazzire
      di impedirti di volare
      di non darti da mangiare
      di dimenticare tutto
      di lavarti di abbracciarti
      di cambiare le lenzuola
      di lasciarti la merenda
      di dimenticarti a scuola

      Non sarei quello che speri
      Non sarei quello che vuoi

      Ho paura di punirti
      e poi di voler lasciarti
      perché lo ha detto che
      io dovrei per forza amarti
      tutto questo mi impedisce
      mi trattiene mi allontana
      ed ormai è poco il tempo
      che a me è stato donato
      e tu non sei mai esistito

      Non sarei quello che speri
      Non sarei quello che vuoi

      #maternité #choix #peur #berceuse #chanson #musique

  • La Ronde des hirondelles

    La Ronde des hirondelles dépeint le quotidien d’hommes exilés au cœur des Hautes-Alpes. Ils y sont dans un état latent — après des semaines de longues marches. L’interaction avec le paysage, l’immersion et la contemplation ont rythmé ces temps. La #marche est ici perçue comme un exutoire, un état réflexif ; une échappatoire au quotidien parfois morose.

    La #tapisserie que Florence souhaite réaliser a pour ambition de symboliser les voyages de ceux qui ont été contraints de fuir. Confectionné dans le style des tapis Azilal de la région du Tadla-Azilal dans le Haut Atlas, cette pièce décrit les chemins empruntés par les exilés sous la forme de lignes vives, dynamiques et colorées. Chaque tapisserie berbère a une signification profonde et multiforme, englobant des croyances, rituels et modes de pensée intrinsèques à cette culture. La tisserande incorpore son propre choix de motifs, inspirés par la résonance émotionnelle des histoires d’exil du peuple nomade Azilal.

    L’artiste installe son atelier dans les locaux du CADA afin de le rendre accessible à toustes. Il accueille des séances de portrait au cyanotype. Des séances de prise de parole et des ateliers d’écriture se tiennent également à cet endroit.

    L’objectif central est de faciliter le processus de reconstruction de la confiance en soi et de réévaluation de la perception de soi pour les personnes en situation d’exil. Ce projet vise à donner aux individus les moyens de se réapproprier leur corps, leur histoire et leur identité et de leur rendre leur droit à l’image.

    https://www.ateliersmedicis.fr/le-reseau/projet/la-ronde-des-hirondelles-31761
    #photographie #Hautes-Alpes #migrations #errance #montagne #Florence_Cuschieri #Gap #art #art_et_politique
    via @karine4

  • Veilleurs de nuit

    À #Montgenèvre, station de ski idyllique, une immense « chasse aux migrants » se déploie la nuit tombée. Nuit et jour, des bénévoles se relaient pour leur porter secours. Le documentaire propose une immersion dans la maraude le temps d’une nuit.

    « Derrière les pistes de ski de Montgenèvre se cache un tout autre paysage : celui de la périlleuse traversée nocturne empruntée par de nombreux·ses migrant·e·s pour entrer sur le territoire français. Bien que la loi permette aux réfugié·e·s de demander l’asile dès leur arrivée dans le pays, en réalité, beaucoup sont renvoyé·e·s en Italie par les autorités sans même avoir eu la possibilité de déposer une demande. Afin d’exercer leurs droits fondamentaux, ils·elles empruntent des chemins de plus en plus haut dans la montagne, mettant leur vie en danger. Au sommet, des veilleur·euse·s de nuit se tiennent prêt·e·s à leur venir en aide et à les guider vers un lieu de refuge. La réalisatrice Juliette de Marcillac réalise un premier long métrage admirable qui suit le travail des bénévoles et des secouristes qu’elle accompagne lors de maraudes, de patrouilles dans la neige et de rondes en voiture. Grâce à une approche en cinéma direct, elle offre un regard subtil au plus proche de l’engagement d’un précieux réseau solidaire. »

    https://vimeo.com/814187896


    https://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/68075_0
    #frontière_sud-alpine #film #documentaire #film_documentaire #Alpes #maraudes #solidarité #maraudeurs #frontières #migrations #réfugiés #Hautes-Alpes #Briançonnais #France #Italie #maraudes_solidaires

  • Antwort auf Uber & Co.
    Taxi-Preise in Berlin sinken ab 1. Mai um zehn Prozent!
    Die Taxipreise in Berlin sinken um 10 Prozent
    https://www.bz-berlin.de/berlin/taxi-preise-in-berlin-sinken-ab-1-mai-um-zehn-prozent

    Der Titel ist ein Beispiel für die skrupellose Verfälschung der Realität zur Erzeugung von Aufmerksamkeit. Im Text wir der Preiskorridor richtig beschrieben.

    22.03.2024 von Stefan Peter - Mit Dumpingpreisen machen Uber & Co. den Taxifahrern seit Jahren das Leben schwer. Jetzt reagiert der Berliner Senat und genehmigt ihnen neue Tarife: Ab 1. Mai wird Taxifahren in der Hauptstadt zehn Prozent günstiger!

    In Berlin gibt es 5600 Taxen mit Konzession – ihnen stehen 4400 Fahrzeuge gegenüber, die über Vermittlungsdienste wie Uber und Bolt gebucht werden können. Hinzu kommen mindestens 1000 Autos ohne Konzession – dort sind Fahrgäste im Falle eines Unfalls nicht versichert. Das Landesamt für Bürger- und Ordnungsangelegenheiten will bis Ende April sämtliche Wagen überprüfen.

    Außerdem zum Herbst geplant: Mindestpreise für Uber & Co.

    Denn die soziale Situation vieler Fahrer bei den Vermittlungsdiensten ist prekär. Sie sind Scheinselbständige ohne soziale Absicherung. Doch die Einführung von Mindestpreisen könnte rechtlich schwierig werden, Ausgang daher offen. Klar hingegen ist: Ab 1. Mai sollen die Taxi-Fahrten in Berlin billiger werden – um zehn Prozent!

    Und so funktioniert es: Wer sein Taxi per Telefon oder App bestellt, bekommt künftig einen Festpreis genannt. Der ist zehn Prozent günstiger ist als beim Heranwinken des Taxis am Straßenrand oder am Taxistand. Der Preis ändert sich auch dann nicht, wenn das Taxi in einen Stau gerät oder wegen Sperrungen eine Umleitung fahren muss. So sollen Fahrgäste die Sicherheit haben, zu einem vorab genannten Preis ans Ziel zu kommen. Das lohnt sich vor allem bei längeren Fahrten.

    Eine entsprechende Vorlage will Verkehrssenatorin Manja Schreiner (45, CDU) in den Senat einbringen. Nach einer Veröffentlichung im Amtsblatt tritt die Regelung dann in Kraft. Darin auch enthalten: Taxis dürfen zu Zeiten mit besonders hoher Nachfrage (zum Beispiel an Silvester) bei Vorbestellungen 20 Prozent auf den Fahrpreis aufschlagen! Im Vergleich zu Uber & Co., die zu Spitzenzeiten deutlich mehr fordern, ein moderater Betrag.

    Nicht vorgesehen sind Pauschalen für Fahrten vom Flughafen, wie sie zum Beispiel in Paris oder New York gelten.

    Im Abgeordnetenhaus gibt es aus nahezu allen Fraktionen Unterstützung für Schreiners Pläne, vor allem bei Schwarz-Rot. „Es wird Zeit, dass etwas passiert“, heißt es unisono von CDU und SPD. Leszek Nadolski, Chef der Berliner Taxi-Innung: „Uber & Co. betreiben mit ihrem Preis-Dumping Raubtier-Kapitalismus!“

    Die Taxameter müssen für das neue Konzept nicht neu geeicht, nur neu programmiert werden. Ähnliche Regeln gelten seit September vergangenen Jahres auch in München (Nachlass aber nur fünf Prozent). Dort werden mittlerweile 15 Prozent der Fahrten mit Pauschalpreis vermittelt.

    #Berlin #Taxi €Taxitarif

  • Er fuhr Kunden durch Berlin
    UBERmäßig ausgebeutet! Ein Fahrer packt aus
    https://www.bz-berlin.de/archiv-artikel/ubermaessig-ausgebeutet-ein-fahrer-packt-aus

    22.7.2019 - Ein Berliner kutschierte im Uber-Wagen drei Monate lang Kunden durch die Hauptstadt. Doch dann reichte es ihm ...

    „Ich bin nicht gegen den freien Markt, aber das ist krank“, sagt Ex-Uber-Fahrer Przemyszlaw Woscieszek (45). „Man zerstört Taxis und kann nicht mal davon leben.“

    Der Pole zog im Januar aus der Heimat nach Berlin, als linksliberaler Regisseur hatte er im streng konservativen Polen keine Aufträge mehr bekommen. Den Personenbeförderungs-Schein bekam er nach einem Besuch beim Arzt vom Bürgeramt. „Es gibt kein Training, keine Instruktionen, außer – sei so nah dran wie die Taxis. Uber nimmt jeden mit. P-Schein und Führerschein und los geht’s.“

    Nach jahrelangem Rechtsstreit drängt „Uber X“ seit 2016 auf den Berliner Markt. Hybrid-Autos, meist brandneue Toyota Auris, die über Mietwagenfirmen vermittelt für das Unternehmen fahren. Die Passagiere bestellen den Wagen per App. Auch die Fahrer werden per Smartphone, das an der Frontscheibe hängt, durch die Stadt navigiert.

    Woscieszek glaubt, das finale Ziel des Start-Ups sei, den Markt zu monopolisieren. „Es ist günstiger und schneller, sie fahren die ganze Zeit, haben keine Parkplätze wie Taxis. Um Geld zu machen, sind zwölf Stunden Fahrt Minimum.“ Dadurch, dass man nicht direkt für das Unternehmen fahre, sondern über zwischengeschaltete Partner, könne man keinen Betriebsrat gründen, keine Rechte einfordern. Besonders Menschen wie er, die neu in Deutschland leben, würden ausgebeutet werden.

    Tobias Fröhlich, Pressesprecher von Uber-Deutschland: „Wenn ein Mietwagenunternehmer jemanden einstellt, gilt der gesetzliche Mindestlohn. Wir sind günstiger, weil unsere Autos mehr als 50 Prozent der Zeit auf der Straße mit Kunden unterwegs sind, Taxis nur zu 25 bis 30 Prozent”.

    Von neun Euro bleiben nur 2,40 Euro für den Fahrer

    Wenn er am Wochenende von 18 Uhr abends bis sechs Uhr morgens durchgehend fuhr, habe er in einer guten Nacht gerade mal 80 Euro gehabt, über 1000 Euro in den Monaten Februar, März und April sei er nie gekommen, sagt Woscieszek. Seine Kontoauszüge bestätigen das: „Uber nimmt 30 Prozent, vom Rest nahm meine Firma, die mit Uber kooperiert, 60 Prozent. Zwischen 40 und 60 Prozent nehmen die alle.“ Von neun Euro, die der Gast für eine Fahrt bezahlte, blieben ihm so 2,40 Euro.

    Uber teilt B.Z. mit, man nehme 25 Prozent von Mietwagenfirmen plus Mehrwertsteuer. Der größte Kooperationspartner zahle Stundenlöhne von zwölf bis 15 Euro. Fröhlich: „Die Fahrzeit liegt in der Verantwortung der Unternehmer. Natürlich müssen die rechtlich vorgeschriebenen Pausenzeiten eingehalten werden. Nach 12 Stunden schaltet sich die App ab.“

    Woscieszek erzählt weiter. In einer schlechten Nacht, wenn partout keine Fahrgäste „anbissen“, habe er gerade mal 30 Euro gemacht, manchmal drei Stunden Leerlauf. Hungerlohn, findet er. „Die einzige Möglichkeit für viele Fahrer, über die Runden zu kommen, ist dann, die App auszumachen und ,schwarz‘ zu fahren. Besonders nachts mit Prostituierten, die zu Freiern wollen. Wenn du nicht betrügst, überlebst Du nicht.“

    „Um zu überleben, muss man die Regeln brechen“

    In seinem einseitigen „Vertrag“ verpflichtete Woscieszek sich, nach jeder Kunden-Fahrt zur Firmenzentrale („Return to Garage“) zurückzukehren. Das sind die gesetzlichen Bestimmungen für Uber in Berlin. Nur: Laut dem Ex-Fahrer hält sich daran so gut wie niemand.

    „Um zu überleben, muss man die Regeln brechen, ansonsten müsste man 15 Stunden fahren. Und das lange fahren ist gefährlich, man fährt keine Steine, sondern Menschen.“ Berliner Taxifahrer ächzen unter der günstigeren Konkurrenz. Bülent (39), seit 18 Jahren am Flughafen Tegel: „Seitdem die fahren dürfen, haben wir 40 Prozent weniger Einnahmen. Besonders Gäste aus dem Ausland haben die Uber-App auf dem Handy und nutzen die.“

    Wie viele Uber-Wagen es in Berlin gibt, verrät das Unternehmen nicht. Der Taxi-Markt ist eh schon hart umkämpft. Gerade erst hat die Verkehrsverwaltung angekündigt, die Taxipreise anzuheben (von 1,50 Euro auf 1,65 Euro pro Kilometer). Uber ist in jedem Fall billiger.

    Der polnische Regisseur Woscieszek fährt mittlerweile keine Menschen mehr, sondern Pakete aus. Er hat seine Erfahrungen in einem Theaterstück verarbeitet. Ein Mann namens „P“ sagt da über „Über“, wie hier die Firma genannt wird: „Über ist das Endziel, auf das der Kapitalismus hinausläuft. Zero-Hour-Verträge in England, Minijobs in Deutschland, Drecksverträge in Polen. Der Kapitalismus verschlingt langsam die Demokratie, und wenn das Mahl vorbei ist, rülpst er den Faschismus hervor. In Berlin lebend, habe ich einen Platz in der ersten Reihe, um das zu beobachten. Tagsüber fuhr ich fröhliche Hipster, nachts traurige Gestalten aus Berliner Bordellen.“

    Pressesprecher Fröhlich wehrt sich gegen den Vorwurf der Ausbeutung: „Zu sagen, dass Mietwagen-Unternehmer ihre Mitarbeiter schlechter behandeln, ist ein Mythos, der gerne von interessierten Kreisen verbreitet wird. Nach unseren Erhebungen ist die Zufriedenheit der Fahrer sehr hoch.“

    #Berlin #Uber #Ausbeutung

  • Kooperation mit Mietwagen- und Taxifirmen
    Konkurrenz für Uber – Bolt startet mit Fahrdienst-Vermittlung in Berlin
    https://www.bz-berlin.de/archiv-artikel/konkurrenz-fuer-uber-bolt-startet-mit-fahrdienst-vermittlung-in-berlin

    9.6.2021 - Uber bekommt einen weiteren Konkurrenten in Deutschland. Der Mobilitätsdienst Bolt baut sein Angebot aus und bietet neben E-Scootern auch Fahrdienst-Vermittlung in Berlin an.

    Das Angebot über die App sei im gesamten Stadtgebiet verfügbar, teilte das Unternehmen am Mittwoch mit. Genauso wie Uber arbeitet Bolt dabei mit lizenzierten Mietwagen- und Taxifirmen zusammen, deren Fahrer einen Personenbeförderungsschein haben. Seine Elektro-Tretroller hatte Bolt im Mai in 15 deutsche Städte gebracht.

    Uber liegt in Deutschland im Clinch mit der Taxi-Branche, die der US-Firma unfairen Wettbewerb vorwirft.

    Aktuell gibt es unter anderem Streit darüber, ob das aktuelle Vermittlungsmodell von Uber einer Entscheidung des Frankfurter Landgerichts entspricht, die jüngst vom Oberlandesgericht bestätigt wurde.

    #Berlin #Taxi #Uber

  • Migranti, nei centri italiani in Albania un rotolo di carta igienica a persona a settimana

    I paradossi del #bando da 34 milioni di euro pubblicato dal Viminale per la gestione delle strutture. Applicata la procedura di estrema urgenza, negoziazione tra tre soli operatori economici, una sola settimana di tempo per la manifestazione d’interesse.

    Un appalto da 34 milioni di euro e un rotolo di carta igienica a settimana per migrante. Basterebbe questo paradosso a bollare come frettoloso e sommario il bando per l’affidamento dei servizi per i centri di accoglienza e trattenimento dei richiedenti asilo che il governo Meloni prevede di aprire in Albania entro il 20 maggio. Una improbabile corsa contro il tempo per un’operazione che ancora manca del requisito di legittimità giuridico fondamentale ma che la premier intende giocarsi in vista della campagna elettorale per le Europee del 9 giugno.

    Misteriose ragioni di estrema urgenza

    E dunque ecco il ricorso a «#ragioni_di_estrema_urgenza» ( che non si sa quali siano visto che gli sbarchi sono nettamente diminuiti) per giustificare la procedura negoziale riservata a tre soli concorrenti che, nel giro di soli sette giorni, dovrà aggiudicare l’affidamento dei servizi di accoglienza e di gestione dei tre centri previsti dove i lavori non sono neanche cominciati: quello nel porto di Shengjin, adibito allo screening sanitario, all’identificazione e alla raccolta delle richieste di asilo, e i due di Gjader, la struttura di accoglienza da 880 posti dove i migranti resteranno (teoricamente) per un mese in attesa di conoscere l’esito della procedura accelerata di frontiera, e il Cpr da 144 posti dove verranno trasferiti quelli destinati al rimpatrio.

    Si risparmia sull’igiene dei migranti

    Il bando è stato pubblicato il 21 marzo, con avviso di manifestazione di interesse che si concluderà nel tempo record di una settimana. Un appalto da 34 milioni di euro a cui si aggiungono i rimborsi ( non quantificabili) di servizi di trasporto, utenze, raccolta dei rifiuti, manutenzione ordinaria e straordinaria, e dell’assistenza sanitaria. Non proprio quattro spiccioli, a fronte dei quali, però, spulciando il bando si trovano vere e proprie “perle”. Sull’igiene personale dei migranti, tanto per cominciare, chi si aggiudicherà l’appalto, potrà risparmiare: un solo rotolo di carta igienica a settimana a testa dove i richiedenti asilo attenderanno ( in detenzione amministrativa) l’esito della richiesta di asilo. Rotoli che, chissà poi perchè, diventeranno sei a settimana per gli sfortunati che, a fronte del diniego, verranno trasferiti nell’ala destinata a Cpr.

    Solo un cambio di abiti a stagione

    Nel kit di primo ingresso nei centri solo un paio di mutande e un paio di calze e, più in generale, un solo cambio di abiti a stagione.E dunque, a differenza dei centri di accoglienza italiani dove i migranti sono liberi e possono procurarsi altri abiti, i richiedenti asilo portati in Albania saranno detenuti e costretti ad indossare sempre gli stessi. Avranno il detersivo per lavarli due volte a settimana, nel frattempo evidentemente staranno in pigiama. Almeno si consoleranno con il cibo che prevede persino la pizza e il dolce due volte a settimana.

    Per raccontare la loro storia alla commissione d’asilo che deciderà il loro destino o per comparire davanti ai giudici di Roma, competenti sui ricorsi, dovranno accontentarsi di un collegamento da remoto, con tutte le limitazioni in tema di diritti che nascono dalle difficoltà di espressione e comprensione.

    Magi: “Un gigantesco spot elettorale”

    «Una bella photo-opportunity elettorale - commenta Riccardo Magi di Più Europa - Giorgia Meloni vuole allestire questi centri in fretta e furia e usarli come un gigantesco spot a pochi giorni dal voto a spese degli italiani».

    https://www.repubblica.it/cronaca/2024/03/23/news/migranti_centri_albania_bando_viminale-422362144

    #Albanie #Italie #asile #migrations #réfugiés #coût #urgence #gestion #appel_d'offre #externalisation

    –-

    ajouté à la métaliste sur l’#accord entre #Italie et #Albanie pour la construction de #centres d’accueil (sic) et identification des migrants/#réfugiés sur le territoire albanais...
    https://seenthis.net/messages/1043873

    • Protocollo Italia-Albania: il Viminale avvia la gara milionaria per la gestione dei centri

      Dal bando pubblicato il 21 marzo dalla prefettura di Roma emergono i primi dettagli dell’accordo contro i migranti: solo per le spese vive e il personale delle strutture, due hotspot e un Centro di permanenza per il rimpatrio, sono assicurati al gestore privato quasi 40 milioni di euro all’anno. I tempi sono strettissimi, le europee incombono

      Il ministero dell’Interno ha pubblicato i bandi di gara per la gestione delle nuove strutture per i migranti in Albania che diventeranno operative, documenti alla mano, entro il 20 maggio 2024. Un primo passo concreto verso la messa in pratica del protocollo annunciato dal Governo Meloni con Tirana lo scorso 6 novembre 2023 -poi ratificato dal Parlamento a fine febbraio 2024- e che prevede di dislocare i naufraghi soccorsi in operazioni di salvataggio in mare sul territorio albanese. Più precisamente in tre strutture con una capienza totale che supera i mille posti disponibili: due hotspot, ovvero i centri di identificazione, che in Italia troviamo nei cosiddetti “punti di crisi”, principali punti di sbarco (Lampedusa, Pozzallo e Taranto tra gli altri), più un Centro di permanenza per il rimpatrio (Cpr) dove trattenere coloro che sono in attesa di essere espulsi nel proprio Paese d’origine. La spesa annuale stimata è pari a quasi 40 milioni di euro, calcolando esclusivamente il costo a persona (pro-capite pro-die), che però esclude diverse spese vive (dal trasporto all’assistenza sanitaria fino alle utenze).

      La gara è stata pubblicata il 21 marzo e individua nella prefettura di Roma la stazione appaltante, la quale ha scelto di attivare una procedura negoziata con cui consulterà un “numero congruo di operatori economici” per aggiudicare i servizi all’ente gestore. Un bando di questo genere può essere giustificato solo in casi di estrema urgenza. E secondo il ministero l’affidamento in oggetto, essendo un presupposto fondamentale per “l’attuazione del Protocollo tra Italia e Albania in conformità ai tempi ed agli adempimenti che risultano necessari per rispettare, alle scadenze previste, gli impegni assunti dal Governo della Repubblica Italiana”, rientra tra quelle procedure basate proprio su “ragioni di estrema urgenza”.

      La prima struttura è sita nella città portuale di Shenjin e sarà a tutti gli effetti un hotspot. “Una struttura dimensionata per l’accoglienza, senza pernottamento, dei migranti condotti in porto e destinati alle procedure di screening sanitario, identificazione e raccolta delle eventuali domande di asilo, all’esito delle quali i migranti saranno trasferiti presso le strutture di Gjader”. Gjader è la seconda località coinvolta dove saranno costruite le altre due strutture: un centro destinato “all’accertamento dei presupposti per il riconoscimento della protezione internazionale” con un’accoglienza massima a regime di 880 migranti, e un altro, sempre nella stessa città albanese che sarà invece un Centro di permanenza per il rimpatrio, che ricalca quelli presenti sul territorio italiano, con una capienza fino a 144 persone. A Gjader saranno disponibili poi 168 posti per alloggi di servizio, di cui 60 riservati al personale dell’ente gestore.

      Come detto, i corrispettivi riconosciuti pro-capite pro-die, secondo la tipologia di centro ed il relativo numero degli ospiti presenti, ammontano “presuntivamente a complessivi 33.950.139 euro annui”. La gara d’appalto ha una durata di due anni, prorogabili fino ad un massimo di altri due. Sono esclusi dai quasi 40 milioni di euro, invece, i costi di trasporto, le utenze idriche, elettriche, del servizio di raccolta rifiuti, la connessione wifi e la manutenzione ordinaria e straordinaria. Così come quelli per la “predisposizione e manutenzione dei presidi antincendio” e quelli “relativi all’assistenza sanitaria”.

      Proprio questo è uno degli aspetti paradossali affrontati dal bando. Per la struttura sita nel porto di Shenjin si prevede “un ambulatorio medico dedicato per assistenza sanitaria, inclusa la stabilizzazione di condizioni cliniche ai fini del trasferimento” con “una sala per visite ambulatoriali, una stanza per osservazioni brevi con tre posti letto e una stanza di isolamento con due posti”.

      Invece nel sito di Gjader verrà di fatto allestito un vero e proprio “mini ospedale”. Vengono previste “tre sale per visite ambulatoriali, due stanze per osservazioni brevi (ognuna dotata di tre posti letto), una medicheria, una sala operatoria e una recovery room, un laboratorio analisi, una stanza per diagnostica per immagini (rx ed ecografia), una per visite psicologiche/psichiatriche all’uopo utilizzabile anche per consulenze in telemedicina e due stanze di isolamento”. Una struttura in cui opererà un elevatissimo numero di personale sanitario. Oltre a medici e infermieri per l’attività standard, viene prevista una équipe operativa 24 ore al giorno formata rispettivamente da: “medico specialista in anestesia-rianimazione, medico specialista in chirurgia generale, medico specialista in ortopedia con competenze chirurgiche, personale medico specialista in psichiatria, un infermiere strumentista, un operatore socio-sanitario (in caso di attivazione della sala operatoria), un tecnico di laboratorio, un tecnico di radiologia, un personale medico specialista in radiologia”.

      L’ente gestore, oltre a fornire kit di primo ingresso, sia igienici sia vestiari e a garantire la fornitura dei pasti e l’informativa legale, dovrà garantire la predisposizione di “appositi locali e strumenti tecnici che assicurino la connessione alla rete e il collegamento audio-visivo nel rispetto della privacy e della libertà di autodeterminazione del beneficiario per l’eventuale audizione da remoto davanti alle Commissioni territoriali, nonché davanti al Tribunale ordinario e ad altri uffici amministrativi”. In altri termini: saranno implementate delle stanze per svolgere le audizioni di chi, una volta richiesto asilo, dovrà affrontare l’iter per vedersi o meno riconosciuto il permesso di soggiorno. Tutto inevitabilmente online. Dovrà esserci anche un locale “al fine di tutelare la riservatezza della persona nei colloqui con il proprio legale” o favorire l’incontro con “eventuali visitatori ammessi”. La prefettura di Roma, dovrà essere messa a conoscenza “di ogni notizia di rilievo inerente la regolare conduzione della convivenza e le condizioni del centro e tenuta di un registro con gli eventuali episodi che hanno causato lesioni a ospiti od operatori”, nonché la consegna della certificazione di idoneità al trattenimento.

      La gara è aperta fino al 28 marzo. La prefettura valuterà le offerte pervenute da imprese o cooperative già attive nel settore con un fatturato complessivo, negli ultimi tre esercizi disponibili, non inferiore a cinque milioni di euro. Non certo piccole realtà dell’accoglienza. L’avvio dell’operatività dei centri è prevista non oltre il 20 maggio 2024. Quindici giorni prima di quella data, il ministero dell’Interno potrà confermare o meno l’effettivo avvio a pieno regime oppure anche con “una ricettività progressiva rispetto a quella massima prevista nelle more del completamento degli eventuali lavori di allestimento”. L’importante è partire: le elezioni europee di inizio giugno incombono.

      https://altreconomia.it/protocollo-italia-albania-il-viminale-avvia-la-gara-milionaria-per-la-g

    • Albania-Italy migrant deal moves ahead as Rome publishes tender for processing centre

      As of 20 May 2024, camps in Albania that will process the asylum applications of individuals rescued by the Italian authorities will be up and running, as a recently published tender document reveals more details about the deal and how the site will function.

      In November 2023, Albanian Prime Minister Edi Rama and Italian Prime Minister Giorgia Meloni signed a deal that would see migrants rescued in Italian territorial waters or by Italian authorities sent to Albania for their asylum applications to be processed. The deal has divided opinion on both sides of the Adriatic from the outset, but both governments remain adamant about it going ahead.

      The tender notifications, published by the Rome prefect’s department, invite bidders to submit their offers before 28 March with the deadline of 20 May as the start of operations.

      According to the tender details, worth €34 million, the site will consist of three structures able to accommodate a total of around 3000 people.

      One structure will be built at the port of Shengjin, where landing and identification procedures will be carried out.

      The other two sites will be located in Gjader. One will be dedicated to ascertaining the prerequisites for the recognition of international protection, while the other will serve as a repatriation detention centre.

      According to the Italian government, the site will process individuals rescued by the Italian authorities involved in maritime rescue, such as the coast guard, financial police, or navy, and explicitly exclude those rescued by NGOs. It will also not include disabled people, women, children, or other vulnerable individuals.

      The tender states that the facility in Shengjin will have a medical clinic, including a room for outpatient visits, an isolation room, and a three-bed ward. In Gjader, there will be three outpatient rooms, two wards, an operating theatre, a laboratory, an x-ray and ultrasound room, and a space for psychological and psychiatric visits.

      Medical specialists on site will include a doctor specialising in anaesthesia and resuscitation, a doctor specialising in general surgery, a doctor specialising in orthopaedics with surgical skills, medical staff specialising in psychiatry, an instrumental nurse, a social doctor, a health worker, a laboratory technician, a radiology technician, and a health worker specialising in radiology.

      Upon arrival, welcome kits will also be presented to each individual, including an undershirt, T-shirt, pair of pyjamas, three pairs of shorts, and three pairs of socks. They will also be given one roll of toilet paper a week, one toothbrush and 100ml tube of toothpaste per week, and one bottle of shampoo and liquid soap per week.

      The Italian Interior Ministry will conduct spot checks on the site to ensure compliance with the tender.

      During their stay in Albania, estimated at around three months for each person, individuals will not be able to leave the centre, which is to be guarded by Italian and Albanian authorities. If they do, the Albanian police will return them. Once their application has been processed, whatever the outcome, they will be removed from Albania’s territory.

      While on-site, individuals can access legal assistance from representatives of international organisations, including the EU, which aims to provide legal aid to all asylum seekers as required by Italian, Albanian and EU law.

      The agreement caused controversy in Italy and Albania, with the Constitutional Court in Tirana narrowly ruling that it did not violate the laws of the land earlier this year. Meanwhile, despite claims from international law experts that it is not compliant with EU law, European Commissioner for Home Affairs Ylva Johansson said it did not break the law as it is “outside of it”.

      Work has not yet begun at the sites in Shengjin and Gjader, leading to questions about whether they can be operational by spring.

      Shengjin was also home to hundreds of Afghan refugees that Albania took in after the US withdrawal from Afghanistan led to the takeover of the Taliban. While the US promised to take responsibility for them, asking Albania to keep them while it processed their visas, a number still remain with no news or idea if they will ever leave.

      As for the migrant deal, several other EU countries have hinted they may look at similar deals to deal with their immigration issues, a move likely to score votes from the conservative parts of society, ahead of EU elections.

      https://www.euractiv.com/section/politics/news/albania-italy-migrant-deal-moves-ahead-as-rome-publishes-tender-for-proces

    • #Medihospes, #Consorzio_Hera, #Officine_sociali: chi gestirà i centri per migranti in Albania

      La prefettura di Roma ha reso noti i tre partecipanti selezionati tra le trenta proposte pervenute per gestire i due hotspot e il Cpr previsti dall’accordo tra Roma e Tirana. Entro il 20 maggio la gara verrà aggiudicata per un importo che supera i 150 milioni di euro. Ma i lavori di adeguamento alle strutture non sono ancora completati

      Medihospes, Consorzio Hera e Officine sociali. Sono le tre cooperative in corsa per la gestione dei centri italiani in Albania selezionate per le “esperienze contrattuali pregresse afferenti a questi servizi” tra le trenta che hanno manifestato alla prefettura di Roma la propria volontà di partecipare alla gara. Un appalto da oltre 151 milioni di euro (per quattro anni) che verrà aggiudicato, nelle prossime settimane, all’operatore economico che ha presentato l’offerta economicamente più vantaggiosa.

      Alle tre cooperative in corsa una certa “esperienza” non manca. Officine sociali, con sede legale a Siracusa, gestisce attualmente il Centro di permanenza per il rimpatrio (Cpr) di Palazzo San Gervasio a Potenza e l’hotspot di Taranto in Puglia. Attualmente è in gara anche per l’aggiudicazione della gestione del Cpr di Gradisca d’Isonzo, dove sta correndo al fianco di Martinina Srl, finita sotto indagine della Procura di Milano per le condizioni disumane in cui versavano i trattenuti al Cpr di via Corelli di Milano. Il legame tra le due società, come già raccontato su Altreconomia, perdura da tempo: insieme hanno partecipato anche alla gara pubblica per la gestione del Cpr di Torino.


      Consorzio Hera, invece, con sede legale a Castelvetrano, in provincia di Trapani, gestisce attualmente il Cara e il Cpr di Brindisi e quello di Trapani, in cordata con la cooperativa Vivere Con. Inoltre la cooperativa ha “vinto” anche l’hotspot di Pozzallo e Ragusa di cui è l’attuale ente gestore.

      Poi c’è Medihospes, è un colosso da 126 milioni di euro di fatturato nel 2022 che si occupa di assistenza ad anziani, alle persone con disabilità, servizi alberghieri e accoglienza ai migranti. Gestisce attualmente l’ex caserma Cavarzerani di Udine -di cui abbiamo già raccontato in precedenza- ma è attiva in diverse province italiane nell’accoglienza dei richiedenti asilo. Basti pensare che nel 2022 ha incassato, in totale, oltre 34 milioni di euro in tutta Italia per la gestione dei centri.

      Briciole rispetto agli oltre 151 milioni di euro preventivati dalla prefettura di Roma per la “gara” relativa alla gestione delle strutture previste dal protocollo Italia-Albania: un centro nella città portuale albanese Shengjin (hotspot) e due strutture (un altro hotspot e un Cpr) a Gjader (ne abbiamo parlato in questo approfondimento).

      La fornitura di servizi è preventivata con una base d’asta di 130 milioni di euro, con l’aggiunta di quasi sei milioni per il pocket-money e la tessera telefonica. La durata è di 24 mesi, prorogabili per altri 24 a partire dal 20 maggio 2024. Data entro la quale la prefettura di Roma dovrebbe aggiudicare la gara alla cooperativa che avrà presentato l’offerta economicamente più vantaggiosa. Nei nuovi documenti di gara si sottolinea che i lavori di adeguamento delle strutture non sono ancora stati conclusi. Una corsa contro il tempo. Obiettivo: non certo la tutela dei diritti delle persone ma le elezioni europee.

      https://altreconomia.it/medihospes-consorzio-hera-officine-sociali-chi-gestira-i-centri-per-mig
      #externalisation #Italie #accord #Albanie #migrations #réfugiés #coopérative #sous-traitance #Engel #Engel_Italia #business #Shengjin #Gjader

  • A leading publication in New York, this Times Union article dissects and unpacks 18 of the best websites to use if you want to buy TikTok followers. First exploring the reason to buy followers and the impact that a high follower count can have, this article goes on to share the best and most reputable sites to buy followers - starting with TokMatik which is ranked the #1 site for buying followers and is renowned for only ever selling authentic followers and interactions to its customers. Other sites referenced in the article include Buzzoid, Twicsy, and Rushmax.
    Address: 645 Albany Shaker Road, Albany, NY 12211
    Phone: 518-454-5454
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    https://about.me/timesunion

  • Neue Uber-Arena in Berlin: Tschüss, Mercedes-Benz Arena!
    https://www.bz-berlin.de/berlin/friedrichshain-kreuzberg/neue-uber-arena-in-berlin-tschuess-mercedes-benz


    Der neue Schriftzug am Freitagmittag Foto: Sven Meissner

    22.3.2024 von Johannes Malinowski - Die Mercedes-Benz Arena in Friedrichshain ist seit Freitagvormittag Geschichte!

    Am frühen Morgen rückte ein Kran an, um den großen Schriftzug des Stuttgarter Autobauers an der Fassade zu demontieren. Gegen 8.30 Uhr war die Arena dann namenlos. Am Vorabend hatte Rapper Bushido das letzte ausverkaufte Konzert in der Merceds-Benz Arena gegeben.


    Mit einem Kran wurde der Mercedes-Benz-Schriftzug am Freitagmorgen entfernt
    Mit einem Kran wurde der Mercedes-Benz-Schriftzug am Freitagmorgen entfernt Foto: Stefanie Herbst

    Ab sofort ist der Fahrdienstleister Uber Namenspate der größten Konzerthalle der Hauptstadt. Eigentümer Anschutz hatte im Januar eine langfristige Partnerschaft bekannt gegeben. Die benachbarte Verti Music Hall heißt seit Freitag Uber Eats Music Hall. Und auch der Bereich zwischen den Hallen wird von Mercedes-Platz in Uber-Platz umbenannt.


    Auch der Schriftzug an der ehemaligen Verti Music Hall wurde entfernt. Sie heißt seit Freitag Uber Eats Music Hall
    Auch der Schriftzug an der ehemaligen Verti Music Hall wurde entfernt. Sie heißt seit Freitag Uber Eats Music Hall Foto: Stefanie Herbst

    Am Freitagabend weihen die Eisbären dann die alte Halle unter neuem Namen Uber Arena mit dem Spiel gegen die Adler Mannheim ein.

    Zur Eröffnung 2006 hieß die Halle o2-, seit 2015 Mercedes-Benz Arena.

    Berlins Taxifahrer kritisieren das Geschäftsmodell von Uber und anderen Fahrdienstleistern. Am Freitagabend planen sie einen Protest mit 50 Fahrzeugen vor der umbenannten Konzerthalle.

    #Berlin #Friedrichshain.#Mercedes-Platz #Taxi #Uber

  • Have you ever thought about buying magic mushrooms? It is a popular choice for those looking to experience a different kind of journey. Magic mushrooms, also known as psychedelic mushrooms, contain psilocybin and can provide users with hallucinogenic effects that can be both enlightening and introspective.

    When considering buying magic mushrooms, it is essential to do so from a reputable source. Look for suppliers who offer high-quality products that have been properly cultivated and harvested. This ensures a consistent and safe experience for the user.

    Before purchasing magic mushrooms, it is crucial to educate yourself on the potential effects and risks associated with their consumption. Research the dos and don’ts of using magic mushrooms, as well as any potential interactions with other substances or medications. It is always best to start with a low dose and gradually increase to determine your tolerance.

    Many people who buy magic mushrooms do so for their therapeutic properties. Studies have shown that psilocybin, the active compound in magic mushrooms, can have positive effects on mental health issues such as anxiety, depression, and PTSD. Some users report a sense of connectedness, inner peace, and increased creativity after using magic mushrooms for therapeutic purposes.

    In addition to their therapeutic benefits, magic mushrooms can also be a fun and enjoyable recreational activity. Many users enjoy the unique sensory experiences and altered perception of reality that magic mushrooms offer. Whether used alone or with friends, magic mushrooms can provide a memorable and mind-expanding experience.

    When buying magic mushrooms, it is essential to practice responsible use. Make sure you are in a safe and comfortable environment, with people you trust, and have a clear mindset before consuming them. Respect the power of magic mushrooms and use them consciously and with intention.

    In conclusion, buying magic mushrooms can be an enriching and enlightening experience for those looking to explore altered states of consciousness. Whether used for therapeutic purposes or recreational enjoyment, magic mushrooms can offer unique insights and perspectives that can enhance your life in profound ways. Remember to educate yourself, buy from a reputable source, and use them responsibly for a safe and rewarding experience.

    Website: https://www.onlymyhealth.com/how-to-buy-magic-mushrooms-online-1709896921
    Address: 20th Floor - WTT, Tower - B, Block C-1, Sector - 16, Noida - 201301, U.P. India
    Phone: +0120-4716000
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    Buy Magic Mushrooms for a Mind-Altering Experience

    Are you looking to enhance your spirituality, creativity, or self-awareness? Look no further than magic mushrooms. These naturally occurring psychedelic fungi have been used for centuries by various cultures around the world for their mind-altering properties. Whether you are a seasoned tripper or a curious beginner, buying magic mushrooms can open up a world of new experiences and insights.

    When it comes to purchasing magic mushrooms, there are a few important things to consider. First and foremost, safety should always be a top priority. Make sure to buy from a reputable source to ensure you are getting a high-quality product that is free from contaminants. Additionally, be sure to educate yourself on the possible effects and risks of consuming magic mushrooms to ensure a positive and enjoyable experience.

    One of the best things about magic mushrooms is the wide range of experiences they can offer. From profound spiritual insights to visuals that can only be described as otherworldly, each trip is a unique and personal journey. By buying magic mushrooms, you are opening yourself up to a world of possibilities and experiences that can help you unlock new perspectives and ways of thinking.

    In addition to their mind-altering effects, magic mushrooms have also shown promise in treating various mental health conditions such as depression, anxiety, and PTSD. Studies have shown that psilocybin, the active compound in magic mushrooms, can help to rewire the brain and break negative thought patterns, leading to long-lasting positive effects. By buying magic mushrooms, you are not only investing in your own personal growth but also potentially improving your mental well-being.

    Overall, buying magic mushrooms can be a transformative experience that opens up new pathways in your mind and soul. With their profound effects and potential benefits, magic mushrooms have the power to expand your consciousness and help you see the world in a new light. So if you are looking for a truly mind-altering experience, consider buying magic mushrooms and embarking on a journey of self-discovery and enlightenment. Open your mind, expand your horizons, and let the magic happen.

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    https://buymagicmushroomsonline.teamapp.com/articles/8271044-buy-magic-mushrooms-online

    https://searchtech.fogbugz.com/default.asp?Suggestions.1.285031.0

  • Evening recap
    22 March 2024 23:38 GMT | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/evening-recap-82

    The number of Palestinians killed in Gaza by Israeli forces since 7 October has risen to 32,070, the Palestinian health ministry said on Friday.

    Hundreds of healthcare workers, patients, and displaced civilians - including two critically ill children- are trapped inside Gaza’s al-Shifa hospital due to the Israeli military’s invasion and five-day blockade.

    In other developments:

    Martin Griffiths, the United Nations’ humanitarian chief, demanded an immediate ceasefire and urged Israel to remove all barriers to the distribution of aid to the people of Gaza.
    Prime Minister Benjamin Netanyahu has said that Israel will launch a ground operation in Rafah without US backing, if necessary.
    The UN Security Council has failed to pass a US resolution calling for an immediate ceasefire in Gaza as part of a deal to release captives held in Gaza. Russia and China voted against the resolution.
    Israel has seized 800 hectares of land in the occupied West Bank, Israeli media said on Friday.
    Israeli forces blocked hundreds of Palestinian worshippers from reaching al-Aqsa Mosque for the second Friday prayer during the month of Ramadan.

    Israel-Palestine live: Hundreds of Palestinians still trapped in al-Shifa hospital
    23 March 2024 09:15 GMT | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/live/gaza-israel-hamas-palestine-war-conflict

    It’s just after 11:00 am (9:00 GMT) in Palestine and Israel. Here are the latest developments on day 169 of Israel’s war on Gaza:

    Israeli shelling across the Gaza Strip on Saturday morning has killed several people, including in Rafah and Deir al-Balah as the raid on al-Shifa hospital in Gaza City continues for the sixth day.

    Local media say patients are dying in some of the hospital buildings that are under Israeli blockage, due to the lack of food and medical care.

    UN Secretary-General Antonio Guterres is set to visit Egypt’s border with Gaza on Saturday to reiterate his call for a humanitarian ceasefire.

    A vote in the UN Security Council on a new ceasefire resolution, initially planned for Saturday, has been postponed until Monday, according to media reports.

    The US Central Command (CENTCOM) said on Friday in a statement that its forces had conducted strikes against three Houthi underground storage facilities in Yemen.

    #Bilan

  • Protest-Performance im Knast-Look: Taxifahrer demonstrieren in Berlin-Friedrichshain gegen die Uber-Konkurrenz
    https://www.tagesspiegel.de/berlin/protest-performance-im-knast-look-taxifahrer-demonstrieren-in-berlin-fr


    Taxifahrer wurden am Freitagabend zu Schauspielern: Sie protestierten gegen die Umbenennung des Mercedes-Platzes und der beiden Veranstaltungsorte in Berlin-Friedrichshain.

    22.3.2024 von Alexander Conrad

    Die wohl skurrilste Demonstration der vergangenen Woche bot am Freitagabend das Berliner Taxigewerbe anlässlich der an diesem Tag vollzogenen Umbenennung der Friedrichshainer Mercedes-Benz-Arena in Uber-Arena. In Kostümen führten dabei Taxifahrer eine kurze Theaterperformance auf, die Message war klar: „Uber raus!“

    So tönte es immer wieder per Lautsprecher aus dem ersten Wagen einer Reihe von etwa 20 Taxis, die in der Mühlenstraße aufgefahren waren. Ursprünglich waren 50 Fahrzeuge auf dem Mercedes-Platz angekündigt worden, der an diesem Tag ebenfalls in Uber-Platz umbenannt wurde. Auch heißt die Verti-Music-Hall jetzt Uber-Eats-Music-Hall. Die Umbenennungen hatte eine Woche zuvor der Eigentümer der Arena, die Anschutz Entertainment Group, zusammen mit Uber angekündigt.

    Trotz Regenschauern war der Platz vor der Arena gut gefüllt. Johlende Jugendliche, die in der Schlange auf ein Konzert eines Rappers warteten, und Fans der Berliner Eisbären, die am Abend in der Arena spielten, bekamen jedoch wenig von dem Trubel mit, der sich einige Meter weiter an der Straße abspielte.

    Klaus Meier, der federführende Mann hinter der Performance, setzte seine Ziele für den Abend hoch: „Ich will die Welt vor der Uber-nisierung retten.“ Nachdem einige Powerpoint-Slides, die mit dramatischen Übergangseffekten über eine im Wind wehende Leinwand geflimmert waren, garniert mit Sprüchen wie „Wer muss sich da nicht Uber-geben“ oder durchgestrichenen Logos von Weltkonzernen, kam es zum Höhepunkt der Veranstaltung.

    Als Sträflinge verkleidete Taxifahrer zogen an einem Tau ein mit Uber-Eats-Tüten zugekleistertes Fahrzeug über den Bürgersteig, aus der Menge kam eine ältere Frau zu rockiger Musik in einem kurzen schwarzen Lederoutfit mit Batmansymbol, schmiss einen Hammer auf den Boden und machte sich daran, das Fahrzeug von dem grünen Verpackungsmaterial zu befreien. Gestalten in Regenbogenanzügen oder mit Fellkostümen samt Mäuseohren kamen ihr zu Hilfe.

    Die bunten Klamotten sollten wohl für Vielfalt stehen, die Schriftzüge „Taxi Lobby“,„IHK“ oder „LABO“, die improvisiert mit Tape auf den Rücken geklebt wurden, für die Verbände, die das Taxigewerbe unterstützen – so deutete es ein beteiligter Mitarbeiter des Unternehmens Taxi Berlin.

    Als der letzte Uber-Schriftzug entfernt worden war, kam darunter ein Taxi zum Vorschein. Auf dem Fahrersitz hatte wohl seit Stunden ein Mann in Handschellen ausharren müssen, der nun unter Beifall von der als Heldin agierenden Frau befreit wurde und mit dem Taxi davonfuhr. „Taxi ist Kultur“ zierte die Seite des in die Freiheit fahrenden Vehikels.

    Das sah auch der SPD-Abgeordnete Tino Schopf so, der vor Ort seine Solidarität mit dem Berliner Taxigewerbe ausdrücken wollte. „Wenn’s nach mir ginge, hätte ich den Platz nach Marlene Dietrich benannt“, sagte er. „Das ist ein Platz mit zwei großen kulturellen Veranstaltungsorten, der nun nach einem Konzern benannt wurde.“ Dessen Geschäftsmodell beruhe auf Sozialdumping, das sei eine Schande. „Wir müssen die Berliner Kultur beschützen.“ Ob das gebotene Taxi-Theaterstück auch unter seinen Kulturbegriff fällt, blieb offen.

    #Berlin #Friedrichshain #Mühlenstraße #Uber #Taxi #Theater #Kultur

  • Adé, Mercedes-Benz: Berlin hat jetzt eine Uber Arena
    https://www.morgenpost.de/bezirke/friedrichshain-kreuzberg/article241950290/Ade-Mercedes-Benz-Berlin-hat-jetzt-eine-Uber-Arena.html
    https://img.sparknews.funkemedien.de/241950288/241950288_1711123464_v16_9_1200.webp
    Der neue Schriftzug ist angebracht: Seit Freitag gibt es in Berlin die Uber Arena.

    22.3.2024 von Patrick Goldstein, Jessica Hanack - Berlin. Die Mercedes-Benz Arena in Berlin ist Geschichte. Am Freitag wurden neue Schilder montiert. Taxifahrer protestieren gegen neuen Namen.

    Nach rund achteinhalb Jahren ist die Zeit der Mercedes-Benz Arena in Berlin zu Ende gegangen. Seit Freitag heißt die größte Veranstaltungshalle der Hauptstadt offiziell Uber Arena. Das Heimspiel der Eisbären Berlin gegen die Adler Mannheim war das erste Event, das in der Halle mit neuem Namen stattfand. Dass der amerikanische Fahrtenvermittler die Namensrechte erworben hat, hatte Uber-Deutschland-Chef Christoph Weigler im Januar in der Berliner Morgenpost bekanntgegeben. Umbenannt wurden in dem Zusammenhang auch die bisherige Verti Music Hall in Uber Eats Music Hall sowie der Mercedes-Benz Platz in Uber Platz. Uber Eats ist der Essenslieferdienst des Unternehmens.

    Die Umbauarbeiten hatten bereits in den vergangenen Tagen begonnen, der neue Uber-Schriftzug wurde am Freitag an der Veranstaltungshalle montiert. Knapp 34 Meter breit, fünf Meter hoch und 5,7 Tonnen schwer ist dieser dem Unternehmen zufolge. Auch der gesamte Internetauftritt der Arena samt Adresse der Website ist bereits an den neuen Namensgeber angepasst. Am Freitagnachmittag war die Stimmung auf dem Platz geprägt von Baulärm. Zwei Kräne und ein Mann in einer Hubarbeitsbühne waren für die Installationsarbeiten am neuen Schriftzug im Einsatz. Neben dem Eingangsbereich war indes ein Handwerker lautstärk und Funken sprühend mit der Flexsäge am Werk. Es galt, einen passenden Rahmen für einen Geldautomaten zu schneiden – der noch vor der Veranstaltung am Abend fertig werden sollte.

    https://img.sparknews.funkemedien.de/241950286/241950286_1711123464_v16_9_1200.webp
    Die Buchstaben für den neuen Namen „Uber Arena“ wurden am Freitag zur Veranstaltungshalle gebracht und montiert. © Uber

    Passantin in Berlin: „Mercedes-Benz Arena gefiel mir besser“

    Die 30-jährige Lisa eilte am Freitag mit einer englischsprachigen Begleiterin vorbei, auf dem Weg zurück zum Arbeitsplatz in einer der Zalando-Niederlassungen in der Nähe des Uber Platz. Kurz blieb sie stehen, um ein Bild vom neuen Schriftzug zu machen. Was sie mit der Halle verbindet? „Hier habe ich die Backstreet Boys, Shirin David und Kendrik Lamar gesehen“, so die Frau aus Tiergarten. Sie hängt dem alten Namen des Veranstaltungsorts nach. „Dieser Uber-Schriftzug ist irgendwie hässlich“, findet sie. „Mercedes-Benz Arena gefiel mir besser.“

    Die bisherige Verti Music Hall trägt bislang noch keinen neuen Schriftzug. Dafür ist aber die alte Bezeichnung noch auf einem Betonpfahl installiert. Drei Dutzend Fans standen am Freitagnachmittag vor dem Eingang, um die ersten zu sein, die ins abendliche Konzert des kasachischen Rappers Scriptonit kommen. An den Türen hinter stand da bereits der neue Name des Veranstaltungsorts: Uber Eats Music Hall.

    Uber kündigte auch ein neues Mobilitätskonzept für die Arena an

    Uber-Deutschland-Chef Christoph Weigler hatte zur Motivation, weshalb die Namensrechte erworben wurden, gesagt, dass man in der Hauptstadt weiter wachsen und bekannter werden wolle. Gleichzeitig soll auch ein neues Mobilitätskonzept entwickelt werden, um den Verkehr rund um die Arena besser zu lenken. Am Freitag sagte Weigler: „Wir sind überzeugt, dass wir mit unseren Services das Eventerlebnis in der Hauptstadt über viele Jahre bereichern werden.“

    Dass die Arena einen neuen Namen bekommt, hat seit dem Bekanntwerden der „langfristigen Partnerschaft“ zwischen Uber und der Anschutz Entertainment Group (AEG) als Eigentümerin der Veranstaltungshalle für Kritik gesorgt. Aus dem Bezirk Friedrichshain-Kreuzberg gab es schnell ablehnende Äußerungen. Der verkehrspolitische Sprecher der Berliner SPD-Fraktion, Tino Schopf, hat diese anlässlich der erfolgten Umbenennung erneuert.

    Er verweist auf „Lohndumping, Sozial- und Steuerbetrug im Mietwagengewerbe“ und dass sich das Geschäft für Mietwagenunternehmen auf der Vermittlungsplattform kaum wirtschaftlich betreiben lasse. Fahrerinnen und Fahrer seien so, trotz Vollzeit-Arbeit, auf staatliche Leistungen angewiesen. „Dass sich nun sowohl die Arena als auch die Music Hall, also zwei große Event-Aushängeschilder der Stadt, ausgerechnet mit dem Namen eines solchen Unternehmens schmücken, sollte sowohl beim Eigentümer der Locations als auch bei den Berlinerinnen und Berlinern kein Grund zur Freude sein“, so Schopf.

    Taxifahrer protestieren in Häftlingskleidung gegen „Uberisierung Berlins“

    Am Freitagabend haben auch Berliner Taxifahrer gegen die Umbenennung der Halle protestiert. Für Taxifahrer ist die Umbenennung der Mercedes-Benz-Arena in Uber-Arena ein Affront gegen ihre Branche. Kriminelle Machenschaften und Lohndumping sind die Hauptvorwürfe, die sie dem Fahrtenvermittler Uber machen. Ihren Frust demonstrierten sie am Freitagabend mit einer Art Theater-Performance. In Häftlingskleidung und mit Eisenkugel am Fußgelenk zogen Protestierende ein Taxi-Auto über den Gehweg an der Mühlenstraße vor der Konzerthalle. Das Fahrzeug war über und über mit Müllsäcken bedeckt und wurde erst von den Demonstranten mit theatralischen Gesten davon befreit. „Taxi ist Kultur“ war auf den Autotüren zu lesen.
    Berliner Taxifahrer protestierten in Häftlingskleidung vor der Uber-Arena.

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    Berliner Taxifahrer protestierten in Häftlingskleidung vor der Uber-Arena. © Julia Lehmann

    „Wir finden es unzulässig, dass sich ein Konzern mit organisierter Kriminalität derart im öffentlichen Raum verankern darf“, sagte Taxifahrer und Sprecher für die Aktion Klaus Meier. „Und dabei wollen wir uns aber gleichzeitig blendend amüsieren.“ Unterstützt wurde er von etwa 40 Teilnehmern aus der Taxi-Branche. Die Demonstration war angemeldet und wurde von der Polizei begleitet.
    Klaus Meier erläuterte vor Ort, dass die günstigen Preise, die Uber für seine Fahrten anbiete, nur auf illegalem Wege möglich seien. „Die Fahrer verdienen schwarz dazu und Uber schafft dafür die Voraussetzungen“, so Meier. So sei es auch möglich, dass viele weiterhin Sozialleistungen bekämen.

    Unterstützung kam vom Taxi- und Mietwagenverband Deutschland (TMV). „Die Uberisierung Berlins muss gestoppt werden. Es ist höchste Zeit, dass der Senat dem regellosen Treiben von Uber und Co. in der Hauptstadt Einhalt gebietet und ein Mindestbeförderungsentgelt beschließt“, erklärte Thomas Kroker, Präsident des TMV in einer Mitteilung.

    Verkehrssenatorin Manja Schreiner (CDU) kündigte vor einigen Wochen an, dass solche Mindestpreise für den Mietwagen-Verkehr geprüft werden. Gemeint sind damit also Fahrten, die etwa über Uber vermittelt werden. Das Festlegen von Mindestpreisen wurde durch eine Novelle des Personenbeförderungsgesetzes möglich, Berlin hat – wie die meisten Kommunen in Deutschland – bislang aber keinen Gebrauch davon gemacht.

    #Berlin #Friedrichshain #Mühlenstraße #Uber #Taxi #Theater #Kultur

  • #GDC_2024: We reveal incredible Work Graphs perf, #AMD_FSR 3.1, GI with #Brixelizer, and so much more
    https://gpuopen.com/events/amd-at-gdc-2024

    AMD GPUOpen - Graphics and game developer resources Learn about our GDC 2024 activities, including #AMD_FSR_3.1, AMD FidelityFX Brixelizer, work graphs, #Mesh_shaders, #Tools, CPU, and more.

    #DirectX® #Event #Events #GPU_Reshape #Optimization #RGD #DirectSR #event #FSR_3 #FSR_3.1 #GDC2024 #global_illumination #news #Performance #presentation #ray_tracing #Ryzen

  • Des cerveaux humains de 12 000 ans découverts dans un état de conservation exceptionnel - Ça m’intéresse
    https://www.caminteresse.fr/histoire/des-cerveaux-humains-de-12-000-ans-decouverts-dans-un-etat-de-conservat

    Lors d’une vaste opération de recensement des cerveaux humains les mieux préservés naturellement, des chercheurs ont découvert qu’il existait des organes fossilisés vieux de 1 000 à 12 000 ans. Depuis, ils enquêtent sur leurs mystérieuses conditions de conservation.

    On dirait une vieille noix desséchée. Il s’agit en réalité d’un cerveau humain qui a survécu aux affres du temps, pendant un millénaire. Cette incroyable découverte n’est pas la seule réalisée par Alexandra Morton-Hayward et son équipe de l’Université d’Oxford, qui a même découvert des organes encore plus anciens, datant de 12 000 ans maximum, conservés dans les archives archéologiques mondiales !
    Une gigantesque archive cérébrale

    Ces taphonomistes, des spécialistes de la fossilisation d’un organisme humain, animal, ou végétal après sa mort, se sont lancés dans le projet de répertorier tous les cerveaux humains gardés dans les musées et les universités pour étudier leur état de conservation. Comme ils l’expliquent dans leur étude publiée dans Proceedings of the Royal Society B, ils ont identifié dans la littérature scientifique mondiale plus de 4 400 cerveaux préservés dans différents environnements, sur tous les continents. Ces archives, qui remontent jusqu’au milieu du XVIIe siècle, remettent en question l’idée communément admise selon laquelle le cerveau est toujours l’un des premiers organes à se décomposer après la mort.

    En effet, un corps en décomposition qui n’a pas été embaumé, momifié, congelé, va perdre ses tissus mous, qui vont se liquéfier, ne laissant visible que son squelette. Que ces tissus mous aient été préservés est rare, et il est encore plus rare qu’il s’agisse d’un cerveau. Pourtant, parmi les cerveaux préservés qui ont été retrouvés, près d’un tiers (1 300) était la seule trace de tissu mou ayant survécu sur le squelette. Et cela a aussi été le cas sur certains des plus vieux organes retrouvés.
    Un mystérieux mécanisme de conservation

    Pourquoi ces cerveaux, qui étaient censés être réduits en poussière, se sont-ils fossilisés ? Cela ne peut pas être lié aux seules conditions naturelles de conservation, car ils ont été retrouvés dans des endroits très divers : fosse commune de la guerre civile espagnole, tombe préhistorique, épave, tumulus néolithique, désert, rives d’un lac, volcan endormi... Il y avait même des têtes décapitées. Ils appartenaient à toutes catégories de population (moines, guerriers, famille royale, explorateurs, enfants etc.). Les chercheurs pensent donc qu’il pourrait exister un mécanisme de préservation spécifique au système nerveux central, qui se déclencherait parfois lors d’un contact avec quelque chose de présent dans l’environnement, et qui permettrait au cerveau de se durcir.

    Les scientifiques tâtonnent encore, mais poursuivent leurs recherches, car ces immenses archives démontrent clairement qu’il existe certaines circonstances dans lesquelles le cerveau peut survivre pendant un nombre exceptionnel d’années. "Que ces circonstances soient environnementales ou liées à la biochimie unique du cerveau, c’est au centre de nos travaux en cours et futurs, explique Alexandra Morton-Hayward à Newsweek. Leur étude s’intéresse notamment à l’analyse moléculaire de ces vestiges exceptionnels, aux restes de lipides, de protéines ou de glucides qui pourraient subsister dans ces cerveaux et nous donner des réponses. « Nous découvrons un incroyable nombre d’anciennes biomolécules de toutes sortes préservées dans ces cerveaux archéologiques, et c’est passionnant d’explorer tout ce qu’elles contiennent, et à quel point elles peuvent nous parler de la vie et de la mort de nos ancêtres. »

    Human #brains preserve in diverse environments for at least 12 000 years #ProcB #OpenAccess https://t.co/S581ZlPFL3 #Palaeontology #Evolution @MortonHayward @ErinSaupe pic.twitter.com/1JJlRMAvsS
    — Royal Society Publishing (@RSocPublishing) March 20, 2024

    Mais il existe un obstacle dans l’accès à ces cerveaux, considérés à juste titre comme des découvertes exceptionnelles, déplore la chercheuse à Oxford. Moins d’1% d’entre eux seraient étudiés de près, rapporte Newsweek, ce qui limite beaucoup les découvertes scientifiques qu’ils pourraient permettre.

  • Loose Rocker Switch Cap Injures 50 ! Latam #800 B-787 - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=cRF1YTVJ1Q4

    Loose Switch Confirmed!
    Malfunctioning Seat

    #B787
    ou, comment en s’appuyant sur le dossier du siège du pilote, on peut faire avancer le siège vers le tableau de bord, envoyer l’avion dans un piqué brutal, expédier une cinquantaine de passager au plafond… et à l’hôpital après redescente. La vidéo est assez convaincante…

    (dans une autre vidéo, le commentateur (pilote de ligne) bave littéralement devant l’espace dégagé devant le pilote sur Airbus pour qu’il puisse prendre son plateau repas, alors que le manche à balai est déporté sur le côté, contrairement à Boeing… – et aussi devant la qualité du repas :-)

    #Latam_800 Sydney-Auckland

    LATAM Airlines Flight 800 - Wikipedia
    https://en.wikipedia.org/wiki/LATAM_Airlines_Flight_800

    In response to the report of an issue with a seat switch being the likely cause of the accident, Boeing issued a memo recommending that airlines inspect the cockpit chairs of 787 aircraft for loose switches. Boeing warned that closing a seat back switch cover onto a loose rocker switch could “potentially jam the rocker switch, resulting in unintended seat movement

  • (Vidéo) François Bégaudeau et Nicolas Framont – La bourgeoisie démasquée
    https://www.frustrationmagazine.fr/video-francois-begaudeau-et-nicolas-framont-la-bourgeoisie-demas

    À l’occasion de sa contribution au numéro annuel de Frustration Magazine, François Bégaudeau mettait la bourgeoisie à nue lors d’une discussion à Paris, le 14 mars dernier, en compagnie de Nicolas Framont, notre rédacteur en chef. Le numéro annuel de Frustration Magazine est à retrouver dans toutes les bonnes librairies au prix de 17.90€, ainsi […]

  • Gaza death toll rises to 31,988
    21 March 2024 09:20 GMT
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/gaza-death-toll-rises-31988?nid=350241&topic=Israel-Palestine%2520war

    More than 31,988 Palestinians have been killed and 74,188 wounded by Israeli forces since 7 October, the Palestinian health ministry said on Thursday.

    At least 65 Palestinians were killed and 92 wounded over the past 24 hours, it added in a statement.

    Morning update
    21 March 2024 05:43 GMT | Middle East Eye
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/morning-update-31

    Israeli forces are still conducting operations in Gaza City’s al-Shifa hospital
    Two Palestinians were killed by an Israeli drone strike on the Nur Shams refugee camp in the occupied West Bank
    Israeli authorities reportedly ordered 25 patients who had been receiving treatment in occupied East Jerusalem and Israel to be returned to Gaza, but were blocked by the country’s High Court of Justice
    US Secretary of State Antony Blinken said the “gaps are narrowing” between Israel and Hamas, and that a truce agreement is “very much possible.”

    20 March 2024 23:56 GMT
    https://www.middleeasteye.net/live-blog/live-blog-update/evening-recap-80?nid=350241&topic=Israel-Palestine%2520war&fid=507266

    Gaza’s health ministry said the Palestinian death toll from Israel’s war on Gaza has reached 31,923 with over 104 Palestinians killed in the last 24 hours.

    The Israeli army said it killed dozens of “terrorists” and apprehended around 300 people in its latest raid on al-Shifa Hospital in Gaza City.

    In other developments:

    US Secretary of State Anthony Blinken is due to make another trip to the Middle East in a new push to secure a ceasefire between Israel and Hamas.
    The World Health Organisation said it has recorded 410 attacks on healthcare facilities in the Gaza Strip since 7 October.
    The Gaza government’s media office said that over 100 aid workers and seekers were killed by Israeli forces over the course of one week.
    Nine women shaved their heads outside the UK’s parliament on Tuesday, as an act of protest against Britain’s role in the war on Gaza.
    Israeli air strikes have targeted two vehicles in the occupied West Bank city of Jenin, Palestinian media reported on Wednesday.
    Israel’s Prime Minister Benjamin Netanyahu said that efforts are in progress for an incursion into Rafah in the southern part of the Gaza Strip, but noted that this operation “will take some time”.
    Arab foreign ministers and a senior Palestinian official are set to meet with US Secretary of State Antony Blinken in Cairo on Thursday.

    #Bilan