If you thought African music started and finished with Fela Kuti and Afrobeat, you’re in for a mind-blowing experience of discovery. And if you’re already familiar with this cornucopia of delights stretching from Angola to Niger, but are just missing the odd album, you’ll be happy to learn that on the auspicious occasion of the label’s tenth anniversary, Analog Africa has repressed its entire back catalogue (excluding limited editions) for you to enjoy. And take my word for it—you’ll want to listen to every one!
▻https://analogafrica.bandcamp.com/track/a-min-we-vo-nou-we
▻https://analogafrica.com
#Analog_Africa #afrobeat #Benin #cumbia #bandcamp
Volume 1:
▻https://analogafrica.bandcamp.com/album/african-scream-contest-raw-psychedelic-afro-sounds-from-benin
Volume 2:
▻https://analogafrica.bandcamp.com/album/african-scream-contest-vol-2-benin-1963-1980
Avec le génial Orchestre Poly-Rythmo de Cotonou...
L’Orchestre Poly-Rythmo de Cotonou - Gbeti Ma Djro, 1971 au Bénin :
►https://www.youtube.com/watch?v=aX21YIMBbPI
40 ans plus tard, une version avec Angélique Kidjo :
▻https://www.youtube.com/watch?v=AFU7BHU0Zu4
#Musique #Togo #Afrique #Orchestre_Poly-Rythmo_de_Cotonou #Funk #Soul_africaine
Mise à jour de ma playlist de chansons consacrées aux flics, keufs, condés, poulets, cognes, porcs, cafards et argousins :
Tout le monde déteste la police
Dror, Entre les Oreilles, le 13 juin 2018
▻http://entrelesoreilles.blogspot.com/2018/06/elo330-tout-le-monde-deteste-la-police.html
King Khan - Children of the World (2016)
►https://www.youtube.com/watch?v=D8PulyM1wHY
Miguel et J. Cole - Come Through and Chill (2017)
►https://www.youtube.com/watch?v=u_C4onVrr8U
Miguel - Now (2017)
►https://www.youtube.com/watch?v=6eFL1zzGK8o
Childish Gambino - This Is America (2018)
►https://www.youtube.com/watch?v=VYOjWnS4cMY
La playlist originale est là :
►https://seenthis.net/messages/576637
#Musique #Musique_et_politique #Brutalité_policière #compilation #playlist #Entre_les_oreilles #shameless_autopromo
Speed Jesus - the giant hack
▻https://speedjesus.bandcamp.com/track/bois-in-blue-dead-cops-2
Alain Péters, le clochard céleste | David Commeillas
►https://www.arteradio.com/son/61660068/alain_peters_le_clochard_celeste
Il n’a laissé qu’une vingtaine de chansons, mais elles ont changé à jamais la musique de l’île de La Réunion. En ballade entre les champs de cannes à sucre et les volcans, David Commeillas part sur la piste d’Alain Péters, chanteur et poète maudit mort à 43 ans. Génie torturé, alcoolique et autodestructeur, Alain Péters a magnifiquement transformé le maloya en poésie dans les années 70. Ses chansons sont plus proches de la mélancolie de Nick Drake ou de Leonard Cohen que des clichés d’une musique des îles forcément festive… Durée : 54 min. Source : Arte Radio
▻https://download.www.arte.tv/permanent/arteradio/sites/default/files/sons/24alainpetersleclochardceleste_hq_fr.mp3
▻https://lesdisquesbongojoe.bandcamp.com/track/wa-o-manman
Icône absolue de la musique traditionnelle de l’ile de la réunion, le maloya, Alain Peters est repris par l’ensemble des artistes réunionnais d’aujourd’hui. Il est a l’origine d’une oeuvre personnelle, unique et universelle à la fois pour la premiere fois édité sur vinyle.
Dès l’age de treize ans il commence à jouer dans un orchestre de bal puis se lance dans le bouillonnement des années hippies et disco avec des groupes aux nom évocateurs comme Les Lords, Pop Decadence, Satisfaction. Vers la fin des années 1970 c’est la rencontre décisive avec un poète réunionnais , Jean Albany et l’ adoption du créole comme langue d’écriture et de la musique de l’ile , le maloya. Alain Peters fonde alors un nouveau groupe, Carrousel, au repertoire nourri de rythmes traditionnels et d’influences plus modernes. L’aventure ne durera qu’un an : le déces de son père le précipite un peu plus dans l’alcool . Le groupe se sépare et Alain plonge dans la marginalité.
Usant et abusant de zamal ( l’herbe locale ) et d’alcool, il vit en demi-clochard chantant sa misère et sa profonde tristesse aux hasard des rencontres. Une voix mélancolique, un jeu de guitare très rythmique sur une takamba , petite guitare sahélienne, des textes doux amers chantés en créole caractérisent ses chansons. Quelques enregistrements de cette époque subsistent. On les doit à Jean Marie Pirot,un enseignant passionné qui, en 1981, s’improvise directeur de studio d’enregistrement. Pendant un an, dans son appartement, il a la patience ( les séances ne duraient jamais très longtemps) de capturer une dizaine de merveilles – piste après piste, car Péters y joue de tous les instruments. Ce sont ces enregistrements remasterisés avec quelques autres capturés ça et la que l’on retrouve pour la premiere fois en vinyle.
Il décedera d’une crise cardiaque en 1995 à l’age de 43 ans. "Alain, il est immortel " confie avec simplicité Danyel Waro. « Il a laissé beaucoup de belles choses. C’est une valeur poétique et musicale. C’est quelqu’un que je respecte grandement. C’est un rebelle qui ne pouvait pas s’inscrire dans la réalité. C’était quelqu’un de très commun et hors du commun à la fois. Il chantait sa réalité, son abîme. C’était un vagabond. Il n’a pas d’âge. Je le sais mort depuis longtemps, mais il continue d’être en nous ».
Le disque contient une sélection de 12 morceaux tiré du répertoire d’Alain Peters inséré dans une pochette épaisse (réplika). Les notes et textes ont été rédigé par Mazzoleni.
►http://www.bongojoe.ch/lesdisquesbongojoe
#bandcamp #bongojoe_rds
▻https://midinetterecords.bandcamp.com/track/mon-patch
Les concerts des Binamé, des Slugs, de La Marmite, de Crête et Pâquerette et d’autres avec des petits ou des gros bouts d’Aredje dedans.
Don Aman affamé de liberté - Rictus.info
▻http://rictus.info/don-aman-affame-de-liberte.html
#Culture #Musique #Rock #Scène_locale #rictus.info #bandcamp #chronique #ambient #blues #folk #noise #pop #post-rock #progressive #Dijon
Nurse, rock fébrile - Rictus.info
▻http://rictus.info/nurse-rock-febrile.html
#culture #musique #rock #scène_locale #emorock #rictus.info #bandcamp
Quelques liens vers bandcamp, extrait de critiques de disques signé Sylvain Coulon dans l’excellent Dig It ! n°71...octobre 2017.
▻http://redeyeball.bandcamp.com
▻https://skepticsss.bandcamp.com/track/mole-people-3
Des bouquins aussi comme cette autobiographie de Steve Jones :
Steve Jones s’autobiote enfin. « Maintenant, c’est mon tour ! » s’exclame-t-il dans Lonely Boy . Les autres Sex Pistols se sont déjà longuement épanchés : John Lydon, deux fois, et Glen Matlock, une fois. Ne manquent plus que les souvenirs d’égotisme de Paul Cook. En attendant Godot, Steve Jones balance sa purée et là, les gars, on en prend plein la vue.
...la suite dans le n°71 de Dig It !
source : ►http://digitfanzine.chez.com/digit.html
présentation par Chrissie Hynde sur le site de l’éditeur :
Without the Sex Pistols there would be no Punk. And without Steve Jones there would be no Sex Pistols. It was Steve who formed Kutie Jones and his Sex Pistols, the band that eventually went on to become the Sex Pistols, with his schoolmate Paul Cook and who was its original leader. As the world celebrates the 40th anniversary of Punk – the influence and cultural significance of which is felt in music, fashion and the visual arts to this day – Steve tells his story for the very first time.
Steve’s modern Dickensian tale begins in the streets of Hammersmith and Shepherd’s Bush, West London, where as a lonely, neglected boy living off his wits and petty thievery he is given purpose by the glam art rock of David Bowie and Roxy Music and becomes one of the first generation of ragamuffin punks taken under the wings of Malcolm McLaren and Vivienne Westwood. For the very first time Steve describes the sadness of never having known his dad, the neglect and abuse he suffered at the hands of his step father, and how his interest in music and fashion saved him from a potential life of crime spent in remand centres and prison. From the Kings Road of the early seventies, through the years of the Sex Pistols, Punk Rock and the recording of Never Mind the Bollocks (ranked number 41 in Rolling Stone magazine’s Best Albums of All Time), to his self-imposed exile in New York and Los Angeles where he battled with alcohol, heroin and sex addiction – caught in a cycle of rehab and relapse – Lonely Boy, written with music journalist and author Ben Thompson, is the story of an unlikely guitar hero who, with the Sex Pistols, changed history
▻https://www.penguin.co.uk/books/1109633/lonely-boy
#musique #fanzine #Steve_Jones #Sex_Pistols #Bandcamp #King_Khan
▻https://umen.bandcamp.com/track/they
The Sub Pop reissues cover everything in the U-Men catalogue: two EPs, two singles, one full-length record, and five previously unreleased studio cuts. The recordings still hold up: though they belonged to no specific scene, and none of them had taken any formal music lessons, the members artfully drew on influences like The Birthday Party, Pere Ubu, Gang of Four, Captain Beefheart, Public Image Ltd, and Iggy Pop to assemble a sound unlike anything happening in Seattle at the time.
“Most important, they rocked,” says Mudhoney singer/guitarist Mark Arm, who first saw the band in the early ‘80s. “You didn’t think of them as being an arty band. If you listen to the music, their arrangements are really weird. The lyrics are odd. It doesn’t seem like, on paper, it would be something that would get a whole bunch of kids just rolling around on the floor. But it did. They were a band that everyone could agree on.”
▻https://umen.bandcamp.com/track/bad-little-woman
▻https://daily.bandcamp.com/2017/11/14/u-men-feature
#U-Men #Sub_Pop #punk #bandcamp
Dans l’imaginaire collectif, c’est l’image du voyou abreuvé de bière, bagarreur, raciste, néo-nazi, qui demeure. Et pourtant, à Londres comme à Paris, l’histoire des #skinheads est plus complexe.
un documentaire de en 2 épisodes :
►https://www.franceculture.fr/emissions/une-histoire-particuliere-un-recit-documentaire-en-deux-parties/skinheads-histoires-de-jeunesse-12-farid-premier-skinhead-de-france
Ah c’est marrant ça, hier j’ai re-regardé ce documentaire sensible de 1995 sur Farid, l’ancien chef d’une des premières bandes des skins des Halles, devenu séropo, et Pierrot le fou, futur PierPolJak, pas encore connu à l’époque.
Il n’était pas encore référencé ici je crois, donc je l’ai mis :
►https://seenthis.net/messages/682091
Reggaemotion : Skinhead Reggae - Y’a pas que la oi ! dans la vie… Cheribibi n°5
▻https://seenthis.net/messages/119842#message119849
et causerie avec Roy Ellis dans le n°8
« Je crois à l’égalité des droits. Je ne crois pas que les blancs soient meilleurs que les noirs ni que les noirs soient meilleurs que les blancs... L’aile gauche du mouvement skinhead considère que nous devrions nous unir, nous sommes identiques, nous portons les mêmes jeans !!! »
Cheribibi en connais un rayon sur le sujet (rien de disponible en ligne) abonnez-vous.
Joe The Boss - Skinhead Revolt
▻https://www.youtube.com/watch?v=u1-13cfa-fE
Quelques liens en plus des nombreux proposés par France-Culture - Skinheads : histoires de jeunesses
Je me rappelle d’un concert de #Laurel_Aitken auquel j’ai assisté à Hambourg au début des années 2000, probablement celui-ci :
Ein heißer Tanz
Der als Erfinder des Ska gefeierte Laurel Aitken holt am 5. 3. in der Fabrik sein ausgefallenes Konzert nach
▻https://www.abendblatt.de/kultur-live/konzerte/article106663116/Ein-heisser-Tanz.html
Laurel Aitken, ce mythe du ska :
Un beau souvenir du concert, mais également un souvenir des bagarres à la fin du concert des skins anti-fa contre les skins néo-nazis...
C’est là que, justement, je me suis rendue compte que les skins n’étaient pas tous des « voyou abreuvé de bière, bagarreur, raciste, néo-nazi », comme l’a si bien dit @vanderling. Et que, pour les reconnaître, il faut regarder la couleur des lacets des chaussures, le tatouages, les logos sur les vestons, etc.
▻https://www.youtube.com/watch?v=whzdWK0oJVM
Vous avez dit #skinhead ?
Olivier Pironet, Manière de voir, Juin 2020
►https://www.monde-diplomatique.fr/mav/171/PIRONET/61830
Laurel Aitken - Skinhead Train (Jamaïque, 1969)
▻https://www.youtube.com/watch?v=nzbEofolsUQ
#ska
Cockney Rejects - Oi ! Oi ! Oi ! (UK, 1980)
Coups Et Blessures’ (2015) est le premier EP 7" du nouveau groupe RIXE de Paris Oi ! Ce maxi quatre titres évoque les années de gloire du meilleur NABAT de Bologne, mélangé au son classique de Paris Oi ! des années 80 via RAS ou L’INFANTERIE SAUVAGE, le tout dans une ambiance très BLITZ. Le son est rugueux, direct et colérique, et il est animé par une basse déformée et un chanteur qui mâche du verre pour s’amuser. Comme le défunt CRIMINAL DAMAGE et les nouveaux venus NO TIME de Pittsburgh et SYNDROME 81 de Brest, RIXE est la nouvelle voix d’une génération.
▻https://lavidaesunmus.bandcamp.com/album/coups-blessures-7
▻https://seenthis.net/messages/818126
►https://seenthis.net/messages/631158
▻https://www.youtube.com/watch?v=56YDKhFR5fg
Nabat - Banda Randagia (2018)
▻https://www.discogs.com/fr/Nabat-Banda-Randagia/release
/12328544
Tim Wells, poète skin et ex-journaliste au NME, il anime le blog
▻https://standupandspit.wordpress.com/tag/skinhead
Sociologue, ex-enseignant, conférencier spécialiste des sous-culture anglaises, Gildas Lescop est également skinhead et il est dans le dernier Gonzaï. Interview par #Astrid_Karoual, j’ai pas encore lu mais ça ne va pas tarder, le crew #gonzaï promet une livraison avant Noël.
À signaler que Astrid Karoual est une des rares pigiste à écrire dans ce trimestriel. Loin d’être misogyne, l’ours du magazine compte un nombre ridicule de plumes féminines comme le dit si bien son rédac-chef Bester dans son édito du précédent numéro (n°35, le bien nommé les Wonder Women).
▻https://twitter.com/astrid_penny/status/1340977962036973568
After recording seven albums with the major label imprint Asylum, Waits spent the following decade with #Island_Records before eventually signing with the noted indie Anti- in 1999, where he remains to this day. Earlier this month, Anti- reissued the seven albums that comprise Waits’s ‘70s Asylum Records catalog, which is now available on #Bandcamp in addition to the entirety of his Anti- catalog.
A Tom Waits Listening Primer « Bandcamp Daily
Here are 10 of Waits’s greatest albums now available on Bandcamp.
▻https://daily.bandcamp.com/2018/03/26/a-tom-waits-listening-primer
▻https://tomwaits.bandcamp.com/track/virginia-avenue
Je suis en train de découvrir Orphans , c’est un peu comme si on avait découvert un nouveau tintin ! Les déchets de Tom Waits, c’est quelque chose, il y a tant de tant de musiciens qui se damneraient pour avoir écrit et chanté des trucs pareils.
Quel bonheur de se replonger là dedans, et beaucoup de chansons sont détaillées, avec les paroles, et parfois les musiciens...
Vous connaissiez celle là ?
Road To Peace
Tom Waits, Orphans : Brawlers, Bawlers & Bastards, 2006
▻https://tomwaits.bandcamp.com/track/road-to-peace
@sinehebdo Je l’ai découverte, comme toi, dimanche, je n’en reviens pas. Et de se dire que c’est ses déchets, nom de nom !
Oh, non, j’avais acheté ce coffret dès sa sortie, et j’avais remarqué ce rare texte explicitement politique chez Tom Waits (pas son meilleur d’ailleurs, mais c’est l’intention qui compte !). Mais je n’avais rien emporté au Canada, donc ça me donne l’occasion de tout réécouter... c’est vrai qu’il n’y a pas grand chose à jeter chez le grand Tom, et le récent est aussi bon que l’ancien, ce qui n’est pas le cas chez grand monde...
J’aurais même tendance à dire que c’est de meilleur en meilleur (les Mules variations, c’est quelque chose !). J’ai entendu une fois quelqu’un dire, je ne sais plus qui, qu’il était admirable de voir que des deux cool guys de Down by law , Tom Waits n’avait cessé d’aller dans le sens d’une recherche imaginative de plus en plus aventice alors qu’il avait démarrré comme chanteur de blues et que John Lurrie c’était un peu le contraire, venu du jazz expérimental (No Pain For Cakes, Lounge Lizards), il avait rejoint un jazz nettement plus main stream (en tout cas il est passé très en dessous de mes radars, ce qui ne prouve rien), c’est assez juste je trouve.
Petite déception en ce qui concerne le site web : pour Orphans, non seulement on n’a pas l’année d’enregistrement, ni les musiciens, mais on n’a pas non plus les auteurs, ce qui est gênant quand on sait que c’est l’un des rares disque où Tom Waits reprend des musiciens ou des auteurs à qui il rend hommage : Leadbelly, les Ramones, Johnny Cash, Kerouac, Burroughs, Bukowski. etc.
▻https://en.wikipedia.org/wiki/Orphans:_Brawlers,_Bawlers_%26_Bastards
Son Orphans : Brawlers, Bawlers & Bastards (triple album)
▻https://www.discogs.com/fr/Tom-Waits-Orphans-Brawlers-Bawlers-Bastards/master/14152
triple album - pas si fréquent dans l’industrie du disque, tout du moins à ce niveau de qualité. Quelle chance vous avez d’être bilingue. Je l’ai beaucoup écouté surtout Rain Dogs sur une cassette Island-rds. Une réelle bonne surprise de découvrir 10 de ses albums sur Bandcamp.
Sur discogs son impressionnante #discographie réalisé en majeure partie avec sa complice #Katleen_Brennan.
▻https://www.discogs.com/fr/artist/82294-Tom-Waits?page=1
il y a aussi une biographie que je n’ai jamais pris le temps de lire de Barney Hoskyns chez rivages rouge. ( 656 pages pour 11€ ) vraiment généreux ce bawlers.
▻http://www.payot-rivages.fr/rivages/livre/tom-waits-une-biographie-9782743624675
Pour les anglophones, toutes ses interviews sont des chefs d’oeuvre d’intelligence et d’humour :
▻http://www.tomwaits.com/press
J’aime ce qu’il fait « récemment » (la révolution Kathleen Brennan commence avec son changement de maison de disque et l’album Swordfishtrombone en 1983, période qui n’est pas sur Bandcamp), mais j’aime aussi les années 1970 où c’est plus piano-bar, jazz, blues...
Impossible à classer, même par les grammys : Alternative Music, Contemporary Folk, Americana, Rock...
▻https://www.grammy.com/grammys/artists/tom-waits
Ah, et il y en a un peu plus que 10, il y en a 14 si on va là:
▻https://tomwaits.bandcamp.com
Moi c’est Bad As Me que je ne connaissais pas, avec cette réponse au Satisfaction des Stones (avec Keith Richards à la guitare !) :
▻https://tomwaits.bandcamp.com/track/satisfied
Mais quel bonheur de réécouter les Mules Variations. Il n’y a que lui qui peut chanter :
Without love, it ain’t nothin but a house,
a house where nobody lives.
ou
I love you baby, and I always will,
ever since I put your picture in a frame
Sans sonner complètement ridicule...
The Devil don’t exit
It’s only God when he’s drunk
oops, je corrige, les interviews c’est là, ce n’est pas le site officiel, mais c’est un fan et il y a presque tout, de 1973 à 2009 (après 2009, il faut aller sur le site officiel) :
▻http://www.tomwaitslibrary.info/interviews.html
+ qu’un fan @sinehebdo ce site est aussi riche que l’officiel
une des chansons les plus populaires de Waits, « Christmas Card from A Hooker in Minneapolis ».
▻https://www.youtube.com/watch?v=mxVo5mjK4eg
This album is one of THOSE albums, ie the ones that make you feel a deep pity for those who don’t dig them or haven’t yet discovered them. Tom Waits gives ’West Side Story’ a make-over with a broken whiskey bottle and a flick-knife. He explores that dark world that surrounds all of us, many of us not noticing it’s there; the world of poverty and the dispossessed, the world of the black market and the addict, the world of the predator and the tough-guy-dying-young, the world of broken dreams and crushed souls. And he does it with the utmost, heart rending sincerity. The concept of this work of art could so easily have led to schmaltzy, sentimental cartoonery, but in Waits’ hands we get the sublime rather than the ridiculous. His musicians are perfect for the job, and the production is near-perfect and does not call attention to itself, (admittedly, on the first track there are thick waves of gushing strings, but this serves to set up the dark mood for the rest of the album perfectly) . The songs are...simply brilliant!
▻https://www.discogs.com/fr/Tom-Waits-Blue-Valentine/master/14059
Quelle putain de chanson de #Noël... (et quel disque !)
oui, c’est en visitant Fip.fr que je suis retourné écouter Tom Waits
Les fêtes en musique avec quelques pépites tirées des bandes originales de film autour de Noël.
▻https://www.fip.fr/emissions/certains-l-aiment-fip/2018/la-bo-de-noel-au-cinema-12-23-2018-20-00
J’ai beaucoup écouté ce disque (comme quoi tout n’était pas si mauvais dans les années 80) et tiens je vais me l’offrir pour Noël.
@vanderling Je dois pouvoir te le mettre en téléchargement quelque part et sinon il est là :
Merci @philippe_de_jonckheere mais je n’écoute rien en téléchargement ou plutôt je ne conserve aucun téléchargement. J’écoute beaucoup de musique en streaming pour découvrir ou redécouvrir et pour cela #Bandcamp me comble au-delà de ce qu’il me faut. Ouille-Tube aussi mais j’y reste beaucoup moins longtemps et les suggestions de Google sont toujours merdique. J’étais abonné à Spotify il y a 2 ou 3 ans mais cette plate forme était trop chronophage pour moi et en plus je ne possède pas de smartphone. Je résiste, je résiste mais je crois que je ne vais pas y couper. Si cela arrive alors il sera temps pour moi de m’en aller en espérant ne pas me faire incinérer avec une de ces saloperie.
Quand j’aime vraiment un disque, j’essaye de me le procurer physiquement au format CD. Je n’écoute pas de vinyle. Je passe régulièrement chez OCD qui a encore un beau stock de CD d’occasion. A Rennes, j’ai vu le magasin se faire envahir par les DVD et les jeux. Mais ils ont conservé une douzaine de mètres de bacs CD. Je trouve parfois des cadeaux de Noël revendu ou échangé après les fêtes et je suis à peu près sur d’y trouver Blue Valentine pour moins de 10 euros.
Merci de m’avoir donné une chance de le ré-écouter, quel bonheur, et juste pour 29$...
(c’est le disque par lequel j’ai découvert Tom Waits, le seul qui lui ressemble étant Heartattack And Vine, mais j’aime aussi ce qu’il a fait avant et après !)
cette photo extraite du desordre.net/bloc/ursula de @philippe_de_jonckheere
Merci, j’y ai trouvé aussi No pain for cakes des Lounge Lizards
▻http://www.desordre.net/bloc/ursula/2014/sons/lounge_lizards.mp3
Vulpes (musika taldea) - Wikipedia, entziklopedia askea.
▻https://eu.wikipedia.org/wiki/Vulpes_(musika_taldea)
Vulpes edo Vulpess 1980. urtean Bilbon (Bizkaia) sortutako euskal musika taldea da.
Vulpes neskez osatutako lehen punk taldea izan zen estatu mailan. Taldearen izena latinezko hitz bat da, bere esanahia azeri-emea delarik (zorra gazteleraz). Abesti guztiak gazteleraz dira, famatuena “Me gusta ser una zorra” (emagaldu izatea gustoko dut) izanik. Azken kantu hau Iggy Pop and the Stooges taldearen bertsio bat da.
Les Ramonesses basques
Loles Vázquez « Anarkoma Zorrita » - guitarra
Mamen « Evelyn Zorrita » - voz
Begoña « Ruth Zorrita » - bajo
Lupe Vázquez « Pigüy Zorrita » - batería
Joli exemple de l’esprit Tanz den Adolf Hitler on y retrouve sa révolté omnidirectionnelle avantgardiste et provocatcrice à tout prix.
▻https://es.wikipedia.org/wiki/Vulpes_(banda)
Vulpes (o Vulpess, aunque esta última grafía es incorrecta1) fue un grupo español de punk rock femenino de Bilbao (Vizcaya, País Vasco) formado durante el verano de 1982 en el barrio de Irala.
Se hicieron famosas a partir del 23 de abril de 1983 por aparecer interpretando la canción «Me gusta ser una zorra» en el programa de TVE Caja de ritmos, dirigido por Carlos Tena, que servía de escaparate de la actualidad musical del momento y se emitía en horario infantil.
Después de la polémica se disolvieron, con el único y ya mencionado sencillo en su haber.
En 2005 se reunieron puntualmente y volvieron al estudio para grabar el álbum Me Gusta Ser. Una vez editado éste, un año después, volvieron a separarse.
En 2012 se publicó el álbum en directo Barbarela 83.
VULPESS 1982-1987 (FULL ALBUM)
▻https://www.youtube.com/watch?v=9t92rI8NR1A
Los temas que componen este video son los siguientes:
1-Deja tu sitio
2-Nuklear Ez,eskerrik asko
3-Sexo por la cara
4-Yo les mando a la mierda
5-Maria dulce Maria
6-Me gusta ser una Zorra
7-Inkisizión
8-Andy es un Punk
9-Anarkia en TV
10-Punks de Plastico
11-Pasa de mí
E.P. ME GUSTA SER UNA ZORRA (83)
12-Me gusta ser una Zorra
13-Inkisizión
DIRECTO EN GARAGE,BILBAO (85)
14-Nuklear ez,Eskerrik asko
15-Sexo por la cara
16-AnarKia en TV
17-Punks de Plástico
18-Warhead (UK SUBS)
19-Me gusta ser una Zorra
20-El fraude
21-Felipe es un Punk
22-Anti-Policía
23-ZAS...Patada en los huevos
24-Warhead (UK SUBS)
DIRECTO EN LAS RIAS
25-Deja tu sitio
26-Sexo por la cara
27-Yo les mando a la mierda
28-Me gusta ser una Zorra
29-Maria dulce Maria
30-Inkisizión
RECUERDOS DEL ROCK-OLA (87)
31-Me gusta ser una Zorra
Biografía de Vulpess - La Fonoteca
▻http://lafonoteca.net/grupos/vulpess
LAS VULPESS | Queens of Steel
▻http://www.queensofsteel.com/2009/08/las-vulpess
#Las_Vulpess sont dans les listes de Dror @sinehebdo
►https://seenthis.net/messages/623944
dans celle-ci ►https://seenthis.net/messages/576637 et plus précisément ici avec leur titre Policia Asesina
▻https://seenthis.net/messages/576637#message585476
▻https://bandcamp.com/tag/ramones-core?artist=2380402906
▻https://ratbones.bandcamp.com/track/lost-in-east-berlin-2
Il faudra que je rajoute celle ci à ma liste de chansons anti-flics :
LAS VULPESS - Anti policía (1985)
▻https://www.youtube.com/watch?v=yYeJawn8kXg
Vulpess (latin name for fox, and this a slang name for “whore”) was the first punk female band in the Basque Country (Spain), formed in 1982 by four girls between 17 and 21 years old:
Loles Vázquez «Anarkoma Zorrita» - guitar
Mamen «Evelyn Zorrita» - vocals
Begoña «Ruth Zorrita» - bass
Lupe Vázquez «Pigüy Zorrita» - drums
Ah bah non, si j’avais déjà Policia Asesina, ça suffit, je ne met qu’une chanson par groupe !
▻https://pissedjeans.bandcamp.com/track/people-person
Following on the heels of their monumental Don’t Need Smoke to Make Myself Disappear 7”, Pissed Jeans drop album number 2 and their Sub Pop debut: Hope for Men (we like to think of it in the “mankind” sense). For those who found a glimmer of the stuff on the aforementioned single (two pressings of which have sold out), the album delivers more, and in abundance. That is to say, if classic, thick-as-glue punk bombast and Aussie sludge stoke the coals of your existence, you have found, not only your new favorite band, but a reason to get up in the morning.
Since 2004 the Jeans have spent many a night playing in their hometown, no-rules hellhole, Allentown’s legendary Jeff the Pigeon (RIP). Their first single, “Throbbing Organ” and album, Shallow (both on Parts Unknown) set many self-styled punk scholars’ hearts a-flutter. Songs like “Ugly Twin” sent jaws floor-ward by including a plaintive piano part in a bruiser of a song. Such touches abound on Hope for Men. The album is diverse, but the Jeans ain’t no dilettantes. Mixing volatility with humor is a damned hard thing to master in music. Pissed Jeans do it with smarts and poignancy. Consider the bar raised.
#punk #rock #hardcore #noise #sub_pop
#Pissed_Jeans are:
Bradley Fry—guitar
Dave Rosenstraus—bass
Matt Korvette—vocals
Sean McGuinness—drums
@unagi @scripta21 @riff @cela ... l’écurie Sub Pop au complet sur #Bandcamp
l’album se clôture avec « my bed » dixième morceau le plus long et peut-être le plus lourd/stoner, magnifique ! j’en veux d’autre.
▻https://pissedjeans.bandcamp.com/track/my-bed
La semaine prochaine, à Rennes, festival de #labels_indépendants
au parc des gayeulles, un peu reuch mais y’a peut-être moyen de gratter l’entrée, le parc est immense.
Les Disques Anonymes sur #Bandcamp Alléluia !
▻https://lesdisquesanonymes.bandcamp.com
Lesa Aldridge - 01 Til The End Of The Day
▻https://www.youtube.com/watch?v=-Nk4C9Z-7pc
▻https://seenthis.net/messages/620406#message670944
▻https://www.memphisflyer.com/memphis/return-of-the-klitz/Content?oid=1138138
▻https://www.discogs.com/artist/1890666-Lesa-Aldridge
#The_Klitz #Lesa_Alridge #Jim_Dickinson
Take me home and make me like it - Alex Chilton est disponible sur #bandcamp depuis le 23/5/2019
En 1975 Alex Chilton entró en los estudios Ardent junto al productor Jon Tiven y de aquellas tumultuosas sesiones de grabación salieron una cantidad de joyas sin pulir que posteriormente conformarían el EP “Singer Not The Song” y el álbum “Bach’s Bottom”. “Take Me Home And Make Me Like It” es un documento crudo de uno de los momentos cruciales de la carrera de Alex Chilton. Contiene ensayos y tomas alternativas inéditas que cuentan la historia de un proceso de grabación lleno de problemas que sin embargo produjo música intensamente única.
in spanish because #munster_rds, oyé
▻https://www.discogs.com/Alex-Chilton-Take-Me-Home-And-Make-Me-Like-It/release/10386980
#rock'n'roll
▻https://karlrecords.bandcamp.com/track/parish-of-tama-ossuary-dub
When PAINKILLER started in 1991, their first two albums “Guts Of A Virgin” and “Buried Secrets” (both released on extreme metal label Earache) were heavy attacks blending #grindcore and #free_jazz that brought together the musical backgrounds of the three protagonists: drummer Mick Harris had just left grindcore legend Napalm death, John Zorn explored new extremities with his NAKED CITY project while Bill Laswell had as a member of roaring free jazz quartet Last exit (Peter Brotzmann, Sonny Sharrock, Ronald Shannon Jackson) proven that he was not only a visionary producer but also an accomplished bassist. But it is their 1994 double album “Execution Ground” that remains the opus magnum of the brilliant trio: ZORN’s unmistakable shrieking saxophone, HARRIS’ pounding drums and LASWELL’s growling sub-bass lines were given heavy mixing desk treatment, resulting in extended tracks that are no less intense than their early works but display the full range of the musicians’ skills. Soaked with reverb and delay, avant-jazz, grindcore, dub and ambient melt into eerie tracks of haunting atmospheres.
#Painkiller #Bandcamp
source : ▻https://daily.bandcamp.com/2018/03/12/new-grindcore-list
▻https://guyone.bandcamp.com/track/sella-nde-hu-dene
In 2013, Guy One left #Ghana for the first ever time. A redirected flight found him in Frankfurt with no English skills and just a few scribbled notes to help with translation. Despite the setback he soon made it to Berlin and was almost immediately in the studio With no verbal communication possible due to language barriers, they simply played, the groove and the rhythms dictating the flow of the sessions. A record born from a deep sense of musical intuition, something beyond words and beyond description.
#Frafra_soul #musique #kologo #Guy_one #Second_jésus
Frafra ? Le terme désigne la population à cheval entre le nord du Ghana et le sud du Burkina, mais aussi une langue et un style musical basé sur une gamme pentatonique (celle du blues) et des rythmes traditionnels comme le kpanlogo (proche de celui du highlife). Au-delà des termes techniques, Guy One s’impose par un #groove imparable et des tourneries hypnotiques.
▻http://www.jeuneafrique.com/mag/538578/culture/musiques-ghana-guy-one-le-berger-du-son-au-groove-imparable