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RSS: #barrages_hydroélectriques

#barrages_hydroélectriques

  • @osservatoriobc
    OsservatorioBC @osservatoriobc via RSS 3/05/2022
    1
    @cdb_77
    1

    Trento Film Festival: l’acqua non ha confini
    ▻https://www.balcanicaucaso.org/aree/Italia/Trento-Film-Festival-l-acqua-non-ha-confini-217816

    E’ in corso la settantesima edizione del Trento Film Festival. Il nostro critico cinematografico, ieri, ha visto il georgiano «Water Has No Borders» di Maradia Tsaava

    https://www.balcanicaucaso.org/var/obc/storage/images/aree/italia/trento-film-festival-l-acqua-non-ha-confini-217816/2097731-4-ita-IT/Trento-Film-Festival-l-acqua-non-ha-confini.jpg

    OsservatorioBC @osservatoriobc via RSS
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 3/05/2022
      @visionscarto

      #Maradia_Tsaava : #Water_Has_No_Borders

      Since the end of the civil war in the early 1990s, the region of Abkhazia has been acting independently of Georgia. This has turned a massive dam into a border. But the hydroelectric power station also connects the two political entities: Because over a distance of fifteen kilometres the water flows freely, underground, from one side to the other. When a young journalist gets stranded here, stories of division emerge.

      On the way back from a reportage trip to the dam, director Maradia and her cameraman’s car breaks down. Ika takes care of them. For decades, the joyous engineer has worked – in cooperation with his colleagues on the Abkhazian territory – on the maintenance of the plant. Maradia, representative of a whole generation of Georgians who know this place of longing on the Black Sea only from stories, becomes curious. But while the workers take the bus across the border every morning, the film crew is thwarted by bureaucracy. Time and again they are denied passage. This turns out to be fortunate for the film, because waiting for the permission, in the cafeteria of the dam, in driving around the river, the stories of people emerge whose lives are shaped by the secession. They talk of legal and clandestine border crossings, weddings and funerals and of life in the here and there. (Written by Marie Kloos, taken from the website of DOKLeipzig).

      ▻http://www.filmkommentaren.dk/blog/blogpost/4972
      #barrages_hydroélectriques #électricité #Géorgie #Abkhazie #eau #barrage_hydroélectrique #Mer_Noire #frontières
      #film #film_documentaire #documentaire
      ping @visionscarto

      CDB_77 @cdb_77
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  • @osservatoriobc
    OsservatorioBC @osservatoriobc via RSS 26/11/2021

    Slovenia: stop alla diga sulla Sava, un fiume però già a pezzi
    ▻https://www.balcanicaucaso.org/aree/Slovenia/Slovenia-stop-alla-diga-sulla-Sava-un-fiume-pero-gia-a-pezzi-213987

    Un tribunale amministrativo della Slovenia ha fermato la costruzione della diga di Mokrice, sulla Sava: il danno ambientale supera di gran lunga i benefici energetici della nuova centrale, fortemente voluta dal governo. Ma nel tratto sloveno del grande fiume molte altre nuove centrali sono in progetto o già costruite

    https://www.balcanicaucaso.org/var/obc/storage/images/articoli-da-pubblicare-2/slovenia-stop-alla-diga-sulla-sava-un-fiume-pero-gia-a-pezzi-213987/2068132-3-ita-IT/Slovenia-stop-alla-diga-sulla-Sava-un-fiume-pero-gia-a-pezzi.jpg

    OsservatorioBC @osservatoriobc via RSS
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 26/11/2021

      #Mokrice #Sava #Slovénie #barrages_hydroélectriques #résistance #énergie #justice

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 5/08/2019
    2
    @gastlag
    @la_feuille
    2

    Le numéro 0 de la revue #Nunatak , Revue d’histoires, cultures et #luttes des #montagnes...

    https://i.imgur.com/JmfsqX0.png

    Sommaire :
    https://i.imgur.com/sP2g4NR.png

    La revue est disponible en ligne :
    ▻https://revuenunatak.noblogs.org/files/2016/09/nunatakzero.pdf

    Je mettrai ci-dessous des mots-clés et citations des articles...

    –-----

    métaliste des numéros recensés sur seenthis :
    ►https://seenthis.net/messages/926433

    #revue #montagne #Alpes #montagnes

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 5/08/2019

      Traduction de l’édito du numéro zéro de la revue italienne Nunatak, paru il y a dix ans.

      Nous sommes convaincus que la montagne est une zone de “#frontière” où il est encore possible de trouver #accueil et de développer le #conflit nécessaire pour se libérer de la #domination et du soit-disant “#progrès” qui ont transformé nos vallées, détruit nos cultures, imposé laideur et désastre au nom du #tourisme et des #marchandises

      Ici aussi est imprégnée la mentalité du #travail comme seule fin de l’existence, et bien d’autres caractéristiques négatives de notre société.

      Montagnes comme lieux de #résistance :

      Endroits qui, grâce à leurs aspérités géographiques, ont ralenti et entravé pendant des siècles l’avancée des armées, offrant refuge à des groupes de fugitifs et d’hérétiques.

      Dans un monde désormais dominé par le #profit et le #contrôle, les montagnes témoignent de la #résistance des hommes et des roches. Les #roches qui ont entendu les halètements des #contrebandiers, qui ont protégé les armes des #rebelles, qui ont caché des #bandes de #brigands. Les roches qui ont encore beaucoup à raconter.

      « Notre seul #drapeau est celui de la #révolte de la montagne à la mer ... »

      https://i.imgur.com/8e7KxYZ.png

      CDB_77 @cdb_77
    • @la_feuille
      La Feuille @la_feuille 5/08/2019

      Depuis, les numéros 1, 2, 3, 4 sont parus en français (web ou papier). Beaucoup de choses passionnantes à lire. Une revue à encourager !

      La Feuille @la_feuille
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/08/2019
      @la_feuille

      En effet, @la_feuille. Et je les ai tous, mais... si seulement j’avais le temps de tout lire ce que j’avais envie de lire !
      Des petits résumés/citations vont donc suivre sur seenthis, mais il faut avoir de la patience.
      Entretemps, il y a déjà quelque chose sur le numéro 1 :
      ►https://seenthis.net/messages/784730

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/08/2019

      La parole (ou, à vrai dire, la plume) est aussi donnée à #Christine_Ribailly dans ce numéro de Nunatak.
      Son article :
      "La #transhumance à pied. Quand de jeunes étrangers font revivre le #pastoralisme"

      https://i.imgur.com/ASzTjNf.png

      #herbassier #élevage #bergers #brebis #moréousse #Vallon #liberté #métier

      –-------------

      Pisser dans l’herbe… le blog de Christine Ribailly

      ►https://enfinpisserdanslherbe.noblogs.org

      #emprisonnement #prisons #France #témoignage

      Pour archivage, même si le blog a déjà été signalé sur seenthis :
      ▻https://seenthis.net/messages/556112
      ▻https://seenthis.net/messages/555114

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/08/2019

      https://i.imgur.com/rPwn1Bi.png

      « Vivre dans la montagne ne signifie pas fuir un système nuisible mais s’y opposer. »

      (p.33)

      #fuite #opposition

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/08/2019

      https://i.imgur.com/fZFdUGW.png

      Le Ratanakiri est depuis quelques années une zone d’installation de néo-arrivants : paysans sans terres venus de #Kompong_Cham et autres provinces « du bas », attirés par les offres à bas prix d’un gouvernement spéculant sur la forêt ou sur les terres des communautés autochtones. Comble de l’absurde : il faut parfois les défricher en utilisant la vieille technique agricole de ceux que l’on appelle #phnong (« #sauvages », en #khmer) – ou #Khmer_Loeu (« Khmers d’en haut », à connotation plus paternaliste) selon les situations : le #brûlis. #Coupes_illégales, pression démographique, spéculation foncière : la taille des #forêts du nord-ouest (comme les #Cardamomes, dans l’ouest, ou #Prey_Lang, au centre du pays) diminue chaque jour. Partout s’observent les conséquences tragiques d’un développement « incontrôlé ». La région connut un premier bouleversement des équilibres traditionnels lors de la conquête et de la #colonisation_françaises (1858-1945). Après des décennies d’instabilité (guerre du Vietnam, régime Khmer rouge), elle est aujourd’hui livrée à la voracité des investisseurs et du gouvernement. Les projets sont innombrables : #développement, #tourisme, #centrales_hydroélectriques, #barrages, #exploitations_minières, #plantations etc.

      Si « l’adaptation » est quasi-inévitable, et la perte des anciennes autonomies un fait, les projets extérieurs ne sont pas acceptés ici avec la résignation qui est souvent de mise ailleurs (Laos, Thaïlande). Des villageois #Kachok ou #Jorai refusent toute intrusion des ONG et agences de développement dans la gestion de leurs affaires ; et divers projets d’envergure, comme celui de barrage sur la rivière #Srepok, rencontrent des résistances. Dans la bourgade de #Thmey, des villageois tenaces préfèrent préserver leur mode de #subsistance et se passer d’#électricité plutôt que subir les conséquences de l’installation dudit barrage : inondation des terres cultivables, disparition des ressources poissonnières.

      On dit des sociétés sans État qu’elles n’ont pas d’histoire, puisqu’elles ne l’écrivent pas. De cette #histoire, on sait donc peu de choses, si ce n’est qu’elle fut mouvementée.

      #Zomia #Thaïlande #Cambodge #Laos #Yao #Ban Lung #Banlung #Ratanakiri #déforestation #barrages #barrages_hydroélectriques #résistance #Cha_Ong #Phum_Tun #colonisation #colonialisme #mines #extractivisme #autonomie

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/08/2019

      Les « #communances » alpines, fromes d’#autogestion montagnarde

      https://i.imgur.com/a2Vcckt.png

      La gestion collective et non divisée des terrains et des ressources utiles à la survivance est et reste une constante dans le temps et l’espace chez des cultures humaines différentes et éloignées entre elles, semblables toutefois par l’exigence de bien conserver les environnements peu hospitaliers ou pauvres en certaines #ressources. Elle représente non tant un #système_juridique qu’un système de #valeurs profond enraciné et partagé. Ses marques sont encore bien visibles dans les montagnes, non pas car les caractéristiques environnementales l’imposent (souvent dans les mêmes vallées, on retrouve des formes d’organisations différentes selon l’origine des implantations, qui bien qu’elles soient proches, font référence, par exemple, à des aires linguistiques et culturelles différentes), mais bien plus parce que la #colonisation est devenue plus ardue ou moins attrayante.

      #collectivisme #terres #biens_communs #bien_commun #propriété_privée #principe_d'appropriation #appropriation #Code_Napoléon #histoire #servitudes #autonomie_locale

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/08/2019

      https://i.imgur.com/JlwtxnT.png

      Sous la IIIè République, #Paul_Bert, ministre de l’Instruction Publique en 1881, promoteur de l’#enseignement_gratuit et obligatoire déclarait : « Il n’est pas possible de supporter que des indigènes arrêtent le #progrès.Il n’est pas acceptable que le développement de la #civilisation soit arrêté par des traditions arabes ». Ce qu’ils pensent des ‘‘#indigènes’’ de l’hexagone, qualifiés de tous les noms d’oiseaux, est du même tonneau. Un fonctionnaire des Eaux et Forêts peut affirmer que c’est « la nature perverse des délinquants » qui est cause des délits.

      #montagnards

      Peuples de ceux, de celles qui vont, qui viennent, qui passent. Car on allait, venait beaucoup en ces temps-là, été comme hiver dans tous les coins de la montagne. Les transports se faisaient à pied, à dos d’hommes, de femmes, d’ânes et de mulets. C’est l’arrivée de la #modernité qui a fait des #Pyrénées une chaîne difficilement franchissable

      #mobilité

      Et puis, tout un peuple de l’illégal, et comme poisson dans l’eau. Insoumis à la conscription ou au fisc, #contrebandiers, #désobéissants en tout genre à ce qui venait du véritable étranger : l’#État. Ainsi #Banyuls, république de contrebandiers, pêcheurs et montagnards ; #Mérens, place forte de #brigands ; ou « le peuple de #Seix qui ne respire que par la #fraude ». Tout ce qui se passait et passait par les ‘‘chemins scabreux’’ où il était beaucoup plus risqué d’être douanier que contrebandier. #Subversion, #légitimité_inversée. De toute façon, un peuple aux #valeurs autres que celles de l’#ordre_national existant.

      #Etat-nation

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 6/08/2019

      v. aussi :
      Fées et gestes : #femmes_pyrénéennes, un statut social exceptionnel en Europe
      ▻https://seenthis.net/messages/796103

      CDB_77 @cdb_77
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  • @ant1
    ant1 @ant1 CC BY-NC 25/06/2019
    2
    @simplicissimus
    @kassem
    2

    #Barrages_hydroélectriques : l’obsession de la #privatisation | Entretiens | Là-bas si j’y suis
    ▻https://la-bas.org/la-bas-magazine/entretiens/barrages-hydroelectriques-l-obsession-de-la-privatisation

    ❝Construits au XXe siècle grâce à des fonds publics, les #barrages français sont devenus tout à fait rentables, contrairement au nucléaire qui nécessite beaucoup d’investissements et attire peu les entreprises privées.

    Une rentabilité qui suscite l’intérêt de sociétés multinationales qui se verraient bien gérer certaines concessions : cette menace plane sur les barrages depuis maintenant vingt-cinq ans ans, et a récemment été réactivée par la Commission européenne au nom de la sacro-sainte ouverture à la #concurrence.

    Pourtant, rien ne vient justifier de confier au privé la gestion des barrages, au détriment de l’opérateur public historique, EDF.

    L’hydroélectricité est le deuxième mode de production d’électricité en France après le nucléaire : 12 % de l’électricité produite en France provient des barrages hydroélectriques. Même si leur construction ne s’est pas faite sans difficultés (accidents, destruction des paysages, expulsion des habitants), les barrages présentent aujourd’hui plein d’avantages : pas de déchets radioactifs, peu d’émissions de gaz à effet de serre, c’est la première source d’énergie renouvelable en France. Le stockage de l’eau permet aussi d’adapter facilement la production électrique aux fluctuations de la demande.

    Mais au-delà de l’électricité, les barrages remplissent une mission d’intérêt général en participant à l’aménagement du territoire : irrigation, crues, tourisme, pêche, l’eau est un bien commun qui justifie une gestion collective et publique.

    C’est pourquoi la perspective de privatiser la gestion des barrages suscite une mobilisation transpartisane, d’usagers, de syndicats et d’élus de tous bords. Mais l’appétence du gouvernement actuel pour les privatisations – la Française des Jeux, Aéroports de Paris – doublée de l’obstination de la Commission européenne font craindre pour les barrages le retour d’un schéma devenu classique : la socialisation des pertes et la privatisation des profits.

    Un entretien de Jonathan Duong avec David Garcia, journaliste, auteur de l’article « Les barrages hydroélectriques dans le viseur de Bruxelles » dans Le Monde diplomatique de juin.

    ant1 @ant1 CC BY-NC
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  • @af_sobocinski
    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND 22/06/2019
    2
    @rezo
    @marielle
    2

    Une mobilisation jaune-vert-rouge s’organise contre la privatisation des barrages
    ▻https://reporterre.net/Une-mobilisation-jaune-vert-rouge-s-organise-contre-la-privatisation-des

    https://reporterre.net/local/cache-gd2/5a/aa1ea5bb09bfc7b1d5408543b05f7a.jpg?1561122989

    Jaune, vert et rouge : la manifestation organisée au barrage de Roselend (Savoie) ce samedi 22 juin sera multicolore. Si les syndicats pronucléaires d’EDF et les associations et politiques écolos opposés à l’atome se réunissent dans un même cortège, c’est que l’heure est grave. Gilets jaunes, CGT, Sud, Parti communiste, EELV, socialistes, et d’autres dénoncent en chœur l’intention du gouvernement de « privatiser » les #barrages_hydroélectriques. Ou, plus précisément, d’ouvrir leur gestion à la #concurrence.

    Lire aussi sur le sujet : ▻https://www.monde-diplomatique.fr/2019/06/GARCIA/59948

    AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND
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  • @monolecte
    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA 14/04/2019
    5
    @simplicissimus
    @marielle
    @recriweb
    @kassem
    @af_sobocinski
    5

    Privatisations : la République en marché - #DATAGUEULE 88
    ▻https://www.youtube.com/watch?v=1hYR2o1--8s

    Tout doit disparaître... surtout les limites ! Depuis 30 ans, les privatisations, à défaut d’inverser la spirale de la dette, déséquilibrent le rapport de force entre Etat et grandes entreprises à la table des négociations. Infrastructures, télécoms, BTP, eau ... les géants des marchés voient leur empire s’élargir dans un nombre croissant de secteurs vitaux. Cédant le pas et ses actifs au nom de la performance ou de l’efficacité, sans autre preuve qu’un dogme bien appris, la collectivité publique voit se dissoudre l’intérêt général dans une somme d’intérêts privés ... dont elle s’oblige à payer les pots cassés par des contrats où elle se prive de ses prérogatives. Mais comment donc les agents de l’Etat ont-ils fini par se convaincre qu’il ne servait à rien ?

    M😷N😷LECTE 🤬 @monolecte CC BY-NC-SA
    • @af_sobocinski
      AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND 8/05/2019

      #privatisation #État #France #emploi #industrie #entreprises_publiques #Grèce #dette #efficacité #Royaume-Uni #eau #fuite #dividendes #intérêt_général #pont #Gênes #autostrade #cahier_des_charges #autoroutes #inflations #barrages_hydroélectriques #concurrence #union_européenne #tfue #traités_internationaux #SNCF #renationalisation #biens_communs #idéologie #marchés_financiers #pantouflage #haute_fonction_publique #rapport_pebereau #action_publique #henri_de_castrie #carrière_de_bureaucrate #max_weber #élite_administrative #pouvoir #fonds_de_pension #monnaie #planification #Lionel_Jospin

      AF_Sobocinski @af_sobocinski CC BY-NC-ND
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 21/12/2018
    1
    @odilon
    1
    @odilon

    Entre mobilisation et participation : Zones grises et #plantations_sucrières en #Ethiopie

    Les projets de grande hydraulique destinés à la production sucrière représentent un des secteurs clés de la nouvelle stratégie économique mise en place par le gouvernement éthiopien. Sur la base d’une mise en comparaison entre deux enquêtes ethnographiques conduites dans des plantations sucrières situées en périphérique du territoire national, cet article analyse les relations entre les transformations spatiales, la mobilisation des populations et l’exercice autoritaire du #pouvoir conduits par de l’Etat développemental. Par l’usage métaphorique de la zone grise, cet article observe la pluralité et l’ambiguïté des trajectoires individuelles de négociation, collaboration et de désillusion qui se développent dans des ces espaces autoritaires. L’article insiste ainsi sur la plasticité du #pouvoir_autoritaire et observe, au cœur de l’appareil d’Etat, des processus d’extraction et d’accumulation des ressources contradictoires, et dans ses marges l’inégalité et la polarisation sociale.

    ▻https://journals.openedition.org/espacepolitique/4990
    #plantation #sucre #industrie_agro-alimentaire #autoritarisme #inégalités #barrages_hydroélectriques #eau #développementalisme #développement
    ping @odilon

    CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 3/11/2018
    2
    @simplicissimus
    @02myseenthis01
    2

    Brazil new President will open Amazon indigenous reserves to mining and farming

    Indigenous People Bolsonaro has vowed that no more indigenous reserves will be demarcated and existing reserves will be opened up to mining, raising the alarm among indigenous leaders. “We are in a state of alert,” said Beto Marubo, an indigenous leader from the Javari Valley reserve.

    Dinamam Tuxá, the executive coordinator of the Indigenous People of Brazil Liaison, said indigenous people did not want mining and farming on their reserves, which are some of the best protected areas in the Amazon. “He does not respect the indigenous peoples’ traditions” he said.

    The Amazon and the environment Bolsonaro campaigned on a pledge to combine Brazil’s environment ministry with the agriculture ministry – under control of allies from the agribusiness lobby. He has attacked environmental agencies for running a “fines industry” and argued for simplifying environmental licences for development projects. His chief of staff, Onyx Lorenzoni, and other allies have challenged global warming science.

    “He intends that Amazon stays Brazilian and the source of our progress and our riches,” said Ribeiro Souto in an interview. Ferreira has also said Bolsonaro wants to restart discussions over controversial hydroelectric dams in the Amazon, which were stalled over environmental concerns.

    Bolsonaro’s announcement last week that he would no longer seek to withdraw Brazil from the Paris climate agreement has done little to assuage environmentalists’ fears.

    ▻http://www.whitewolfpack.com/2018/10/brazil-new-president-will-open-amazon.html
    #réserves #Amazonie #Brésil #extractivisme #mines #agriculture #forêt #déforestation (probablement pour amener ENFIN la #modernité et le #progrès, n’est-ce pas ?) #aires_protégées #peuples_autochtones #barrages_hydroélectriques

    • #Brazil
    • #Jair Bolsonaro
    • #President
    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 3/11/2018

      Un leader paysan assassiné dans l’Amazonie brésilienne

      Le leader paysan, #Aluisio_Samper, dit #Alenquer, a été assassiné jeudi après-midi 11 octobre 2018 chez lui, à #Castelo_de_Sonhos, une ville située le long de la route BR-163 qui relie le nord de l’État de #Mato_Grosso, la principale région productrice de #soja du Brésil, aux deux fleuves Tapajós et Amazone.

      Il défendait des paysans qui s’accrochaient à des lopins de terre qu’ils cultivaient pour survivre, alors que le gouvernement les avaient inclues dans un projet de #réforme_agraire et allait les attribuer à des associations de gros producteurs.

      https://reporterre.net/local/cache-vignettes/L720xH392/arton15760-beab5.png?1539677019#.jpg

      ▻https://reporterre.net/Un-leader-paysan-assassine-dans-l-Amazonie-bresilienne
      #assassinat #terres #meurtre

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 12/11/2018

      As Brazil’s Far Right Leader Threatens the Amazon, One Tribe Pushes Back

      “Where there is indigenous land,” newly elected President Jair Bolsonaro has said, “there is wealth underneath it.”

      The Times traveled hundreds of miles into the Brazilian Amazon, staying with a tribe in the #Munduruku Indigenous Territory as it struggled with the shrinking rain forest.

      The miners had to go.

      Their bulldozers, dredges and high-pressure hoses tore into miles of land along the river, polluting the water, poisoning the fish and threatening the way life had been lived in this stretch of the Amazon for thousands of years.

      So one morning in March, leaders of the Munduruku tribe readied their bows and arrows, stashed a bit of food into plastic bags and crammed inside four boats to drive the miners away.

      “It has been decided,” said Maria Leusa Kabá, one of the women in the tribe who helped lead the revolt.

      ▻https://www.nytimes.com/2018/11/10/world/americas/brazil-indigenous-mining-bolsonaro.html

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 11/01/2019

      Indigenous People, the First Victims of Brazil’s New Far-Right Government

      “We have already been decimated and subjected, and we have been victims of the integrationist policy of governments and the national state,” said indigenous leaders, as they rejected the new Brazilian government’s proposals and measures focusing on indigenous peoples.

      In an open letter to President Jair Bolsonaro, leaders of the Aruak, Baniwa and Apurinã peoples, who live in the watersheds of the Negro and Purus rivers in Brazil’s northwestern Amazon jungle region, protested against the decree that now puts indigenous lands under the Ministry of Agriculture, which manages interests that run counter to those of native peoples.

      Indigenous people are likely to present the strongest resistance to the offensive of Brazil’s new far-right government, which took office on Jan. 1 and whose first measures roll back progress made over the past three decades in favor of the 305 indigenous peoples registered in this country.

      Native peoples are protected by article 231 of the Brazilian constitution, in force since 1988, which guarantees them “original rights over the lands they traditionally occupy,” in addition to recognising their “social organisation, customs, languages, beliefs and traditions.”

      To this are added international regulations ratified by the country, such as Convention 169 on Indigenous and Tribal Peoples of the International Labor Organisation, which defends indigenous rights, such as the right to prior, free and informed consultation in relation to mining or other projects that affect their communities.

      It was indigenous people who mounted the stiffest resistance to the construction of hydroelectric dams on large rivers in the Amazon rainforest, especially Belo Monte, built on the Xingu River between 2011 and 2016 and whose turbines are expected to be completed this year.

      Transferring the responsibility of identifying and demarcating indigenous reservations from the National Indigenous Foundation (Funai) to the Ministry of Agriculture will hinder the demarcation of new areas and endanger existing ones.

      There will be a review of the demarcations of Indigenous Lands carried out over the past 10 years, announced Luiz Nabhan García, the ministry’s new secretary of land affairs, who is now responsible for the issue.

      García is the leader of the Democratic Ruralist Union, a collective of landowners, especially cattle ranchers, involved in frequent and violent conflicts over land.

      Bolsonaro himself has already announced the intention to review Raposa Serra do Sol, an Indigenous Land legalised in 2005, amid legal battles brought to an end by a 2009 Supreme Court ruling, which recognised the validity of the demarcation.

      http://www.ipsnews.net/Library/2019/01/aa-3.jpg

      This indigenous territory covers 17,474 square kilometers and is home to some 20,000 members of five different native groups in the northern state of Roraima, on the border with Guyana and Venezuela.

      In Brazil there are currently 486 Indigenous Lands whose demarcation process is complete, and 235 awaiting demarcation, including 118 in the identification phase, 43 already identified and 74 “declared”.

      “The political leaders talk, but revising the Indigenous Lands would require a constitutional amendment or proof that there has been fraud or wrongdoing in the identification and demarcation process, which is not apparently frequent,” said Adriana Ramos, director of the Socio-environmental Institute, a highly respected non-governmental organisation involved in indigenous and environmental issues.

      “The first decisions taken by the government have already brought setbacks, with the weakening of the indigenous affairs office and its responsibilities. The Ministry of Health also announced changes in the policy toward the indigenous population, without presenting proposals, threatening to worsen an already bad situation,” she told IPS from Brasilia.

      “The process of land demarcation, which was already very slow in previous governments, is going to be even slower now,” and the worst thing is that the declarations against rights “operate as a trigger for violations that aggravate conflicts, generating insecurity among indigenous peoples,” warned Ramos.

      In the first few days of the new year, and of the Bolsonaro administration, loggers already invaded the Indigenous Land of the Arara people, near Belo Monte, posing a risk of armed clashes, she said.

      The indigenous Guaraní people, the second largest indigenous group in the country, after the Tikuna, who live in the north, are the most vulnerable to the situation, especially their communities in the central-eastern state of Mato Grosso do Sul.

      They are fighting for the demarcation of several lands and the expansion of too-small areas that are already demarcated, and dozens of their leaders have been murdered in that struggle, while they endure increasingly precarious living conditions that threaten their very survival.

      http://www.ipsnews.net/Library/2019/01/aaa-3.jpg

      “The grave situation is getting worse under the new government. They are strangling us by dividing Funai and handing the demarcation process to the Ministry of Agriculture, led by ruralists – the number one enemies of indigenous people,” said Inaye Gomes Lopes, a young indigenous teacher who lives in the village of Ñanderu Marangatu in Mato Grosso do Sul, near the Paraguayan border.

      Funai has kept its welfare and rights defence functions but is now subordinate to the new Ministry of Women, Family and Human Rights, led by Damares Alves, a controversial lawyer and evangelical pastor.

      “We only have eight Indigenous Lands demarcated in the state and one was annulled (in December). What we have is due to the many people who have died, whose murderers have never been put in prison,” said Lopes, who teaches at a school that pays tribute in indigenous language to Marçal de Souza, a Guarani leader murdered in 1982.

      “We look for ways to resist and we look for ‘supporters’, at an international level as well. I’m worried, I don’t sleep at night,” she told IPS in a dialogue from her village, referring to the new government, whose expressions regarding indigenous people she called “an injustice to us.”

      Bolsonaro advocates “integration” of indigenous people, referring to assimilation into the mainstream “white” society – an outdated idea of the white elites.

      He complained that indigenous people continue to live “like in zoos,” occupying “15 percent of the national territory,” when, according to his data, they number less than a million people in a country of 209 million inhabitants.

      “It’s not us who have a large part of Brazil’s territory, but the big landowners, the ruralists, agribusiness and others who own more than 60 percent of the national territory,” countered the public letter from the the Aruak, Baniwa and Apurinã peoples.

      Actually, Indigenous Lands make up 13 percent of Brazilian territory, and 90 percent are located in the Amazon rainforest, the signatories of the open letter said.

      “We are not manipulated by NGOs,” they replied to another accusation which they said arose from the president’s “prejudices.”

      A worry shared by some military leaders, like the minister of the Institutional Security Cabinet, retired General Augusto Heleno Pereira, is that the inhabitants of Indigenous Lands under the influence of NGOs will declare the independence of their territories, to separate from Brazil.

      They are mainly worried about border areas and, especially, those occupied by people living on both sides of the border, such as the Yanomami, who live in Brazil and Venezuela.

      But in Ramos’ view, it is not the members of the military forming part of the Bolsonaro government, like the generals occupying five ministries, the vice presidency, and other important posts, who pose the greatest threat to indigenous rights.

      Many military officers have indigenous people among their troops and recognise that they share in the task of defending the borders, she argued.

      It is the ruralists, who want to get their hands on indigenous lands, and the leaders of evangelical churches, with their aggressive preaching, who represent the most violent threats, she said.

      The new government spells trouble for other sectors as well, such as the quilombolas (Afro-descendant communities), landless rural workers and NGOs.

      Bolsonaro announced that his administration would not give “a centimeter of land” to either indigenous communities or quilombolas, and said it would those who invade estates or other properties as “terrorists.”

      And the government has threatened to “supervise and monitor” NGOs. But “the laws are clear about their rights to organise,” as well as about the autonomy of those who do not receive financial support from the state, Ramos said.

      ▻http://www.ipsnews.net/2019/01/indigenous-people-first-victims-brazils-new-far-right-government

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 5/10/2018
    @simplicissimus @reka

    #Euphrate : la #Turquie coupe le robinet

    Depuis décembre 2015, la Turquie, qui a la haute main sur le cours de l’Euphrate, a rompu l’accord qui la liait à la #Syrie voisine. En réduisant le débit du #fleuve, elle y provoque #sécheresse et #pénurie d’#électricité. Dans le viseur ? Le projet d’émancipation porté par la #Fédération_démocratique_de_Syrie_du_Nord.

    http://cqfd-journal.org/local/cache-vignettes/L500xH333/-838-89709.jpg

    ►http://cqfd-journal.org/Euphrate-la-Turquie-coupe-le
    #eau #énergie #barrages_hydroélectriques #barrage_hydroélectrique #Tishrin #Tabqa #Sawadiyah #agriculture #modèle_agricole #PKK
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    CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 3/09/2018
    @albertocampiphoto

    Threatening wilderness, dams fuel protests in the Balkans

    For almost a year, a clutch of Bosnian women has kept watch over a wooden bridge to disrupt the march of hydropower - part of a Balkan-wide protest against the damming of Europe’s wild rivers.

    From Albania to Slovenia, critics fear the proposed run of dams will destroy their majestic landscape, steal their water and extinguish species unique to the Balkans.

    So the village women stake out the bridge around the clock, listening out for the telltale sounds of diggers on the move.

    “We are always here, during the day, at night, always,” said Hata Hurem, a 31-year-old housewife, in the shadow of the towering mountains that dominate the Balkan landscape.

    Clustered by a creek on the edge of the village of Kruscica, about 40 miles north west of Sarajevo, the local women have taken turns to stand firm, blocking trucks and scrapers from accessing the construction sites of two small plants.

    Investment in renewable energy is growing worldwide as countries rush to meet goals set by the Paris Agreement on climate change. But from China to South America, dams cause controversy for flooding fragile ecosystems and displacing local communities.

    Plans to build almost 3,000 hydropower plants were underway across the Balkans in 2017, about 10 percent of them in Bosnia, according to a study by consultancy Fluvius.

    Authorities and investors say boosting hydropower is key to reducing regional dependency on coal and to falling in line with European Union energy policies as Western Balkan states move toward integration with the bloc.

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    The energy ministry of the Federation of Bosnia and Herzegovina, one of Bosnia’s two autonomous regions, where Kruscica is located, did not respond to a request for comment.

    The government of Bosnia’s other region, Republika Srpska, said building dams was easier and cheaper than shifting toward other power sources.

    “The Republic of Srpska has comparative advantages in its unused hydro potential and considers it quite justified to achieve the goals set by the EU by exploiting its unused hydropower,” said energy ministry spokeswoman Zorana Kisic.
    DAMS AND PICKETS

    Yet, critics say the “dam tsunami” - a term coined by anti-hydropower activists - endangers Europe’s last wild rivers, which flow free.

    If rivers stop running freely, they say dozens of species, from the Danube Salmon to the Balkan Lynx, are at risk.

    About a third of the planned dam projects are in protected areas, including some in national parks, according to the 2017 study, commissioned by campaign groups RiverWatch and Euronatur.

    Most plants are small, producing as little as up to 1 MW each - roughly enough to power about 750 homes - but their combined impact is large as activists say they would cut fish migration routes and damage their habitat.

    “Three thousand hydropower plants ... will destroy these rivers,” said Viktor Bjelić, of the Center for Environment (CZZS), a Bosnian environmental group.

    “Many of the species depending on these ecosystem will disappear or will be extremely endangered.”

    Some local communities fear displacement and lost access to water they’ve long used for drinking, fishing and farming.

    In Kruscica, protesters say water would be diverted through pipelines, leaving the creek empty and sinking hopes for a revival of nature tourism that attracted hikers, hunters and fishing enthusiasts before war intervened in the 1990s.

    “(The river) means everything to us, it’s the life of the community,” said Kruscica’s mayor Tahira Tibold, speaking outside the barren wooden hut used as base by demonstrators.

    Locals first heard about the plants when construction workers showed up last year, added the 65-year-old.

    Women have led protests since fronting a picket to shield men during a confrontation with police last year, said Tibold.

    Campaigners have taken their plight to court, alleging irregularities in the approval process, and works have stalled. But demonstrators keep patrolling around the clock, said Bjelić of CZZS, as it is not known when or how the case will end.
    SHADES OF GREEN

    The protest was backed by U.S. clothing company Patagonia as part of a wider campaign to preserve Balkan rivers and dissuade international banks from investing in hydropower.

    Banks and multilateral investors including the European Investment Bank (EIB), the European Bank for Reconstruction and Development (EBRD) and the World Bank’s International Finance Corporation (IFC), fund hundreds of projects, according to a 2018 study by Bankwatch, a financial watchdog.

    “It’s a waste of money and a moral travesty that some of the world’s largest financial institutions have embraced this out-dated and exploitative technology,” Patagonia founder Yvon Chouinard said in a statement in April.

    The World Bank, EBRD and EIB said their investments have to comply with environmental and social standards, which EBRD and EIB said they were strengthening.

    EBRD said it also improved its assessment process and pulled out of some projects near protected areas.

    “Hydropower is an important source of renewable energy for Western Balkans,” said EBRD’s spokeswoman Svitlana Pyrkalo.

    Bosnia gets 40 percent of its electricity from hydropower, the rest from coal-fired power plants. It plans to increase the share of renewables to 43 percent by 2020, under a target agreed with the EU.

    Dams are generally considered more reliable than wind and solar plants as they are less dependent on weather conditions.

    But that could change with global warming if droughts and floods grow more common, said Doug Vine, a senior fellow at the Center for Climate and Energy Solutions, a U.S.-based think tank.

    Last year a long drought lowered water levels across the Western Balkans, hitting hydropower output and driving up prices.

    Campaigners say Balkan states should focus on solar and wind power as they involve less building works and cost less.

    “Just because it doesn’t emit CO2 it doesn’t mean it’s good,” said Ulrich Eichelmann, head of RiverWatch.

    “Is like saying (that) … smoking is healthy because it doesn’t affect the liver”.

    ▻https://www.reuters.com/article/us-bosnia-environment-dams/threatening-wilderness-dams-fuel-protests-in-the-balkans-idUSKCN1J0007
    #barrages_hydroélectriques #eau #énergie #Balkans #Bosnie #résistance #manifestations #faune #wildlife

    Je commence ici une compilation avec des articles d’archive pour l’instant...
    cc @albertocampiphoto

    • #Europe
    • #European Union
    • #Balkans
    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 3/09/2018

      Dans les Balkans, un « tsunami de barrages » déferle sur les écosystèmes

      Portée par une image verte et des financements européens, l’énergie hydroélectrique connaît de multiples projets dans les Balkans. Au grand dam des populations locales concernées et au détriment d’écosystèmes encore préservés.

      « Ne touchez pas à la #Valbona ! » « Laissez les fleuves libres ! » Le soleil automnal à peine levé, les cris et les slogans d’une trentaine de manifestants résonnent jusqu’aux plus hauts sommets des « Alpes albanaises ». Coincée entre les montagnes du #Monténégro et du #Kosovo, la vallée de la Valbona a longtemps été l’une des régions les plus isolées d’Europe. Les eaux cristallines de sa rivière et le fragile écosystème qui l’entoure attirent depuis quelques années des milliers de personnes en quête de nature sauvage.

      « Les barrages vont détruire les rares sources de revenus des habitants. Sans le tourisme, comment peut-on gagner sa vie dans une région si délaissée ? » Après avoir travaillé une quinzaine d’années à l’étranger, Ardian Selimaj est revenu investir dans le pays de ses ancêtres. Ses petits chalets en bois se fondent dans la végétation alpine. Mais, à quelques dizaines de mètres seulement, les bétonnières sont à l’œuvre. Malgré l’opposition bruyante des habitants et des militants écologistes, le lit de la rivière est déjà défiguré. « Si la Valbona est bétonnée, ce ne sera plus un parc national mais une zone industrielle », se désole Ardian Selimaj, la larme à l’œil.

      Les barrages qui se construisent aux confins albanais sont loin d’être des cas uniques. « Les Balkans sont l’un des points chauds de la construction des centrales hydroélectriques. Près de 3.000 y sont prévus ou déjà en construction ! » Militant écologiste viennois, Ulrich Eichelmann se bat depuis près de trente ans pour la protection des rivières d’Europe. Son ONG, RiverWatch, est en première ligne contre les 2.796 centrales qu’elle a recensées dans le sud-est du continent. De la Slovénie à la Grèce, rares sont les rivières épargnées par ce « tsunami de barrages ».
      Un désastre environnemental qui se fait souvent avec le soutien du contribuable européen

      « Les raisons de l’explosion du nombre de ces projets sont multiples, commente Ulrich. La corruption, la mauvaise compréhension des enjeux climatiques, les intérêts financiers qu’y trouvent les banques et les institutions financières, l’extrême faiblesse de l’application des lois... » Dans des sociétés malmenées par la corruption, les investisseurs ont peu de mal à faire valoir leurs intérêts auprès des dirigeants. Ceux-ci s’empressent de leur dérouler le tapis rouge. Et sont peu enclins à appliquer leur propre législation environnementale : 37 % des barrages envisagés le sont au cœur de zones protégées.

      Parc national ou zone Natura 2000, des points chauds de la biodiversité mondiale sont ainsi menacés. Un désastre environnemental qui se fait souvent avec le soutien du contribuable européen. « En 2015, nous avons constaté que la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (Berd) avait financé 21 projets dans des zones protégées ou valorisées au niveau international », commente Igor Vejnovic, de l’ONG Bankwatch-CEE. Alors que l’Union européenne (UE) promeut officiellement les normes environnementales dans la région, on retrouve ses deux grandes banques de développement derrière plusieurs constructions de centrales. Igor Vejnovic dénonce « un soutien à des projets qui ne seraient pas autorisés par la législation européenne en vigueur ».

      Un soutien financier qui est d’ailleurs difficile à établir. « Leur nombre est probablement encore plus élevé, assure Igor Vejnovic, car la Banque européenne d’investissement (BEI) et la Berd financent ces centrales par des intermédiaires régionaux et les deux banques refusent systématiquement d’identifier les porteurs des projets en invoquant la confidentialité du client. » Des clients qui font souvent peu de cas des obligations légales. Selon Bankwatch-CEE, de nombreuses études d’impact environnemental ont été bâclées ou falsifiées. Des irrégularités parfois si caricaturales qu’elles ont conduit les deux banques européennes à suspendre, quand même, leurs prêts à d’importants projets dans le parc national de Mavrovo, en Macédoine. Ses forêts abritent l’une des espèces les plus menacées au monde, le lynx des Balkans.

      Grâce à une géographie montagneuse et à une histoire récente relativement épargnée par les phases destructrices de l’industrialisation, les rivières des Balkans offrent encore des paysages spectaculaires et une nature sauvage. Leurs eaux cristallines et préservées abritent près de 69 espèces de poissons endémiques de la région, dont le fameux saumon du Danube, en danger d’extinction. Une expédition de quelques jours sur la Vjosa, le « cœur bleu de l’Europe », a ainsi permis la découverte d’une espèce de plécoptères et d’un poisson encore inconnus de la science. Un trésor biologique méconnu dont les jours sont pourtant comptés. Malgré leurs conséquences catastrophiques, les petits barrages de moins de 1 MW se multiplient : ceux-ci ne nécessitent généralement aucune étude d’impact environnemental.
      La détermination des populations locales a fait reculer plusieurs barrages

      Louée pour son caractère « renouvelable », l’hydraulique représente 10 % du parc électrique français et près de 17 % de l’électricité produite sur la planète. Bénéficiant de la relative conversion du secteur énergétique au développement dit « durable », les barrages sont en pleine expansion à travers le globe. Les industriels de l’eau n’hésitent pas à le répéter : l’énergie hydraulique, « solution d’avenir », n’émet ni gaz à effet de serre ni pollution. Ces affirmations sont pourtant contredites par de récentes études. Peu relayées dans les grands médias, celles-ci démontrent que les pollutions causées par l’énergie hydraulique auraient été largement sous-estimées. Dans certaines régions du monde, les grandes retenues d’eau artificielles généreraient d’importantes productions de méthane (CH4), dont le pouvoir de réchauffement est 25 fois supérieur à celui du dioxyde de carbone (CO2).

      « L’hydroélectricité est l’une des pires formes de production d’énergie pour la nature, s’emporte Ulrich. Ce n’est pas parce qu’il n’émet pas de CO2 que c’est une énergie renouvelable. » Le militant écologiste s’indigne des conséquences de ces constructions qui transforment des fleuves libres en lacs artificiels. « La nature et les espèces détruites ne sont pas renouvelables. Quand une rivière est bétonnée, la qualité de l’eau baisse, le niveau des eaux souterraines en aval du barrage chute alors que la côte, elle, est menacée par l’érosion en raison de la diminution de l’apport en sédiments. »

      Les discours positifs des industriels tombent en tout cas à pic pour les dirigeants des Balkans, qui espèrent ainsi tempérer les oppositions à ces centaines de constructions. La diversification énergétique recherchée a pourtant peu de chances de profiter à des populations locales qui verront leur environnement quotidien transformé à jamais. « Si les promoteurs investissent parfois dans les infrastructures locales, cela a une valeur marginale par rapport aux dommages causés au patrimoine naturel et à la qualité de l’eau, explique Igor Vejnovic. L’hydroélectricité est d’ailleurs vulnérable aux périodes de sécheresse, qui sont de plus en plus fréquentes. » Les centrales dites « au fil de l’eau » prévues dans les Balkans risquent de laisser bien souvent les rivières à sec.

      Malgré les problèmes politiques et sociaux qui frappent les pays de la région, les mobilisations s’amplifient. La détermination des populations locales à défendre leurs rivières a même fait reculer plusieurs barrages. En Bosnie, où les habitants ont occupé le chantier de la Fojnička pendant près de 325 jours, plusieurs constructions ont été arrêtées. À Tirana, le tribunal administratif a donné raison aux militants et interrompu les travaux de l’un des plus importants barrages prévus sur la Vjosa. Après s’être retirée du projet sur la Ombla, en Croatie, la Berd a suspendu le versement des 65 millions d’euros promis pour les gros barrages du parc Mavrovo, en Macédoine, et a récemment commencé à privilégier des projets liés à l’énergie solaire. Cette vague de succès suffira-t-elle à contrer le tsunami annoncé ?

      https://reporterre.net/local/cache-vignettes/L720xH479/arton13951-f4104.jpg?1516965394#.jpg https://reporterre.net/IMG/jpg/le_chantier_sur_la_valbona_2_ls.jpg https://reporterre.net/IMG/jpg/manifestation_devant_le_chantier_de_la_valbona_ls.jpg

      ▻https://reporterre.net/Dans-les-Balkans-un-tsunami-de-barrages-deferle-sur-les-ecosystemes
      #hydroélectricité #extractivisme

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 3/09/2018

      #Bosnie-Herzégovine : barrage contre les barrages - Suisse : pour quelques GWh/a de plus ?
      ▻https://www.rts.ch/play/radio/prise-de-terre/audio/allo-la-terre--bosnie-herzegovine-barrage-contre-les-barrages-suisse--pour-quelq

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 3/09/2018
      @odilon

      Balkan hydropower projects soar by 300% putting wildlife at risk, research shows
      More than a third of about 2,800 planned new dams are in protected areas, threatening rivers and biodiversity.

      Hydropower constructions have rocketed by 300% across the western Balkans in the last two years, according to a new analysis, sparking fears of disappearing mountain rivers and biodiversity loss.

      About 2,800 new dams are now in the pipeline across a zone stretching from Slovenia to Greece, 37% of which are set to be built in protected areas such as national parks or Natura 2000 sites.

      Heavy machinery is already channelling new water flows at 187 construction sites, compared to just 61 in 2015, according to the research by Fluvius, a consultancy for UN and EU-backed projects.

      Ulrich Eichelmann, the director of the RiverWatch NGO, which commissioned the paper, said that the small-scale nature of most projects – often in mountainous terrain – was, counterintuitively, having a disastrous impact on nature.

      “They divert water through pipelines away from the river and leave behind empty channels where rivers had been,” he told the Guardian. “It is a catastrophe for local people and for the environment. For many species of fish and insects like dragonflies and stoneflies, it is the end.”

      One stonefly species, Isoperla vjosae, was only discovered on Albania’s iconic Vjosa river this year, during an expedition by 25 scientists which also found an unnamed fish previously unknown to science. Like the Danube salmon and the Prespa trout, it is already thought to be at risk from what Eichelmann calls “a dam tsunami”.

      The scientists’ report described the Vjosa as a remarkably unique and dynamic eco-haven for scores of aquatic species that have disappeared across Europe. “The majority of these viable communities are expected to irrecoverably go extinct as a result of the projected hydropower dams,” it said.

      However, Damian Gjiknuri, Albania’s energy minister, told the Guardian that two planned megadams on the Vjosa would allow “the passage of fish via fish bypass or fish lanes”.

      “These designs have been based on the best environmental practices that are being applied today for minimising the effects of high dams on the circulation of aquatic faunas,” he said.

      Gjiknuri disputed the new report’s findings on the basis that only two “high dams” were being built in Albania, while most others were “run-of-the-river hydropower”.

      These generate less than 10MW of energy and so require no environmental impact assessments, conservationists say. But their small scale often precludes budgets for mitigation measures and allows arrays of turbines to be placed at intervals along waterways, causing what WWF calls “severe cumulative impacts”.

      Beyond aquatic life, the dam boom may also be threatening humans too.

      Since 2012, property conflicts between big energy companies and small farmers have led to one murder and an attempted murder, according to an EU-funded study. The paper logged three work-related deaths, and dozens of arrests linked to Albania’s wave of hydropower projects.

      Albania is a regional hotspot with 81 dams under construction but Serbia, Macedonia, and Bosnia and Herzegovina are also installing 71 hydro plants, and Serbia has a further 800 projects on the drawing board.

      Gjiknuri said the Albanian government was committed to declaring a national park on a portion of the Vjosa upstream from the planned 50m-high Kalivaçi dam, preventing further hydro construction there.

      https://i.guim.co.uk/img/media/1c3076cab4dafa9f8aa075d950a7b18ddf174c2f/0_0_1196_894/master/1196.jpg?width=620&quality=85&auto=format&usm=12&fit=max&s=9cb50d0aafdd3e1f86caca4742adf7f2#.jpg https://i.guim.co.uk/img/media/0355b27c95e099a6938053d52cee7c13e4e7b736/0_0_2500_1743/master/2500.jpg?width=620&quality=85&auto=format&usm=12&fit=max&s=ee5f897d7292f1f5d22929920ccbdfe7#.jpg

      ►https://www.theguardian.com/environment/2017/nov/27/balkan-hydropower-projects-soar-by-300-putting-wildlife-at-risk-researc
      ►https://www.theguardian.com/environment/2017/nov/27/balkan-hydropower-projects-soar-by-300-putting-wildlife-at-risk-researc
      signalé par @odilon il y a quelques temps:
      ▻https://seenthis.net/messages/648548

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 16/01/2019

      Menace sur le « cœur bleu de l’Europe »

      La région verdoyante de #Përmet, en Albanie, qui tente de développer un #tourisme_doux, est visé par un grand projet hydroélectrique. Une aberration écologique et économique, selon des habitants.

      https://lecourrier.ch/app/uploads/2019/01/menace-sur-le-coeur-bleu-de-leurope-936x546.jpg

      ►https://lecourrier.ch/2019/01/14/menace-sur-le-coeur-bleu-de-leurope

      #Albanie #Vjosa #grands_projets

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 28/01/2019

      Serbie : mobilisation citoyenne contre les centrales hydroélectriques dans la #Stara_planina

      L’État serbe a donné le feu vert aux investisseurs pour la construction de 58 centrales hydroélectriques sur plusieurs rivières dans la Stara planina. S’étalant à l’est de la Serbie, ce massif montagneux constitue la frontière naturelle entre la Serbie et la Bulgarie et continue jusqu’à la mer Noire. Cette zone protégée est l’une des plus grandes réserves naturelles de Serbie.

      https://pbs.twimg.com/media/Dx6oUTEXQAADWS-.jpg

      ▻https://www.courrierdesbalkans.fr/Serbie-mobilisation-citoyenne-contre-les-centrales-hydroelectriqu

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 29/01/2019

      Yesterday around 6,000 people took to the streets in Belgrade to protest against the sell-off of the rivers in #Serbia, particularly against the planned construction of hundreds of hydropower projects (photo Radomir Duvnjak)

      https://i.imgur.com/u8Bk3uc.jpg

      ▻https://twitter.com/BalkansCaucasus/status/1089907712299880449
      #résistance #manifestation

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 21/05/2019

      Le #Monténégro se mobilise contre les mini-centrales hydroélectriques

      Quand les directives européennes sur les énergies renouvelables servent les intérêts des mafieux locaux... Après l’Albanie, la Bosnie-Herzégovine, la Croatie ou la Serbie, c’est maintenant le Monténégro qui entre en résistance contre les constructions de mini-centrales hydroélectriques. 80 projets sont prévus dans le pays, avec de très lourdes conséquences pour l’environnement et les communautés rurales.

      ▻https://www.courrierdesbalkans.fr/Centrales-hydroelectrique-au-Montenegro

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 9/11/2021

      Idrocentrali in Montenegro: benefici per pochi, minaccia per tutti

      ▻https://seenthis.net/messages/935895

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 29/08/2018
    11
    @reka
    @biggrizzly
    @bce_106_6
    @marielle
    @odilon
    @ericw
    @7h36
    @fredlm
    @colporteur
    @02myseenthis01
    11
    @albertocampiphoto @daphne @marty

    La #privatisation des barrages menace la gestion de l’#eau

    Sous l’impulsion de l’Union européenne, le gouvernement français prépare la mise en concurrence des #concessions des #barrages_hydroélectriques. Ce projet inquiète l’auteur de cette tribune, qui rappelle le rôle joué par les barrages dans la régulation des eaux, dans la transition énergétique et dans l’indépendance du pays.

    https://reporterre.net/local/cache-vignettes/L720xH481/arton15233-30ee9.jpg?1531745101#.jpg

    ▻https://reporterre.net/La-privatisation-des-barrages-menace-la-gestion-de-l-eau
    #France #énergie #électricité

    ping @albertocampiphoto @daphne @marty

    CDB_77 @cdb_77
    • @ericw
      EricW @ericw CC BY-SA 29/08/2018

      À rapprocher de cet article :
      ►https://seenthis.net/messages/704136

      EricW @ericw CC BY-SA
    • @grommeleur
      grommeleur @grommeleur 29/08/2018

      #what_could_go_wrong_ ?

      grommeleur @grommeleur
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  • @bastamag
    Basta ! @bastamag CC BY-NC 17/07/2018
    4
    @biggrizzly
    @tastybud
    @bce_106_6
    @cela
    4

    Des experts du secteur hydroélectrique appellent à ne pas privatiser les barrages
    ►https://www.bastamag.net/Des-experts-du-secteur-hydroelectriaque-appellent-a-ne-pas-privatiser-les

    La mise en concurrence des barrages hydroélectriques français est « dangereuse » et « antinomique de l’intérêt général ». C’est la conclusion d’un récent rapport du syndicat Sud énergie rédigé à la demande de la députée socialiste Marie-Noëlle Battistel, très impliquée sur le sujet de par l’important nombre de barrages sur sa circonscription, située en Isère. Présenté à la mi-mai aux députés, ce rapport entend peser sur la possible décision estivale d’en finir définitivement avec la gestion publique des barrages, (...)

    En bref

    / #Syndicalisme, #Energies_renouvelables, #L'enjeu_de_la_transition_énergétique

    Basta ! @bastamag CC BY-NC
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 28/07/2018
      @albertocampiphoto

      #privatisation #barrages_hydroélectriques #France #énergie #électricité
      cc @albertocampiphoto

      CDB_77 @cdb_77
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  • @biggrizzly
    BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA 23/06/2018
    10
    @mad_meg
    @sombre
    @bce_106_6
    @biggrizzly
    @marielle
    @7h36
    @colporteur
    @monolecte
    @rezo
    @fabxtra
    10

    Privatisation des barrages français : un acte de haute trahison | Le Club de Mediapart
    ►https://blogs.mediapart.fr/bertrand-rouzies/blog/160618/privatisation-des-barrages-francais-un-acte-de-haute-trahison

    Le gouvernement Philippe, naufrageur de l’intérêt général, a capitulé sans combattre devant une vieille exigence de la Commission européenne. La France sera le seul pays européen à affaiblir un secteur vital en pleine phase de transition vers un nouveau modèle énergétique. Un crime irrémissible contre l’avenir.

    BigGrizzly @biggrizzly CC BY-NC-SA
    • @mad_meg
      mad meg @mad_meg CC BY 24/06/2018

      On imagine fort bien à quels types de chantage les nouveaux propriétaires de barrages pourraient se livrer pour augmenter leurs gains au détriment des communs et de la sécurité : rétention jusqu’au seuil de la pénurie pendant les pics de consommation pour faire monter les prix (rien ne l’empêche juridiquement), fin des lâchers d’eau gratuits en fonction des besoins des vallées (loisirs, agriculture), entre autres exemples signalés par Pierre Gilbert. Un opérateur privé va-t-il anticiper les sécheresses en réfléchissant à des plans de stockage sur le long terme ? Et quid de la maintenance ? EDF investit 400 millions d’euros par an dans l’entretien et le renforcement de ses barrages, dont certains ne sont plus tout jeunes et risqueraient, en cas d’économies de bouts de chandelle, de provoquer des catastrophes. Jean-Bernard Lévy, PDG d’EDF, a déjà prévenu que certains investissements étaient obérés par l’incertitude pesant sur le destin des barrages français. Hors de question pour l’entreprise de lancer des travaux qui profiteraient à de futurs acquéreurs privés. Sauf que certains travaux sont, pour le dire sèchement, urgents. Voilà le genre de petit jeu malsain qu’alimente la concurrence « libre et non faussée ». Le témoignage de Jean-Louis Chauz, président du Conseil économique, social et environnemental d’Occitanie, illustre bien l’appréhension qui gagne peu à peu les collectivités : « En 2035, le déficit de stockage d’eau pour la nouvelle démographie de la région et les besoins de l’agriculture, des écosystèmes, de la préservation de la biodiversité, sera de 1 milliard de m3. EDF et Engie ont provisionné les budgets nécessaires pour engager les travaux pour le stockage d’eau. À l’heure où l’Occitanie est confrontée à un problème majeur de ressources en eau dans les années à venir, à même de compromettre son développement, voire sa sécurité sanitaire, il est incompréhensible et dangereux de chercher à complexifier une organisation de la gestion de l’eau… »

      Et s’il ne fallait retenir de cette privatisation que le gain pour les caisses de l’État, là encore les comptables qui nous gouvernent seraient bien en peine de lui trouver quelque avantage. La Cour des comptes a calculé que si l’État en retirait 520 millions d’euros par an de redevances, ce serait Byzance. 520 millions d’euros, ce n’est jamais que cinq fois moins que l’excédent brut actuel…

      Instruire le procès en haute trahison

      Dans l’article 68 (révisé en 2007) de la Constitution, il est dit que « le président de la République ne peut être destitué qu’en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ». Pour un président de la République, la haute trahison, au sens de l’article 68 avant révision, se définit comme l’action volontaire d’aller contre les principes que la Constitution le charge de défendre ès qualités. Parmi ces principes, l’article 5 par exemple : « Le président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’État. Il est le garant de l’indépendance nationale et de l’intégrité du territoire. » Il me semble que cet article 5 englobe la question de l’approvisionnement énergétique. Le président Macron est donc coupable, sur ce dossier, de « manquement », conjointement avec le premier ministre. Le 6 décembre 2017, des députés et élus territoriaux de La France insoumise publiaient une tribune de protestation sur le site Reporterre. Il fallait aller plus loin, frapper plus fort, car un tel « manquement » déchire notre horizon et foule ostensiblement aux pieds la Constitution.

      mad meg @mad_meg CC BY
    • @sombre
      Sombre @sombre CC BY-SA 24/06/2018

      #damnatio_memoriae

      Sombre @sombre CC BY-SA
    • @bce_106_6
      Renée Pélagy @bce_106_6 24/06/2018

      http://img.over-blog-kiwi.com/0/95/84/34/20180127/ob_7fe21d_duip36ww4aa6vj7.jpg

      Renée Pélagy @bce_106_6
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 30/08/2018

      #France #énergie #électricité #privatisation #barrages_hydroélectriques

      v. aussi :
      ►https://seenthis.net/messages/718191

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 21/05/2018
    2
    @02myseenthis01
    @fil
    2

    A Balkan Dam Boom Imperils Europe’s Wildest Rivers

    The Balkan Peninsula faces a wave of thousands of hydroelectric projects that would block pristine, free-flowing rivers and cause major environmental damage altering the regional ecosystems.

    https://www.europeandatajournalism.eu/var/ezdemo_site/storage/images/news/our-pick/a-balkan-dam-boom-imperils-europe-s-wildest-rivers/30124-1-eng-GB/A-Balkan-Dam-Boom-Imperils-Europe-s-Wildest-Rivers_imagefullwide.jpg

    ▻https://www.europeandatajournalism.eu/eng/News/Our-pick/A-Balkan-Dam-Boom-Imperils-Europe-s-Wildest-Rivers
    #eau #rivières #fleuves #Balkans #barrages_hydroélectriques #énergie #énergie_hydroélectrique #cartographie #visualisation

    CDB_77 @cdb_77
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 19/04/2018

    #privatisations : une rente perpétuelle et sans risque pour le privé
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/190418/privatisations-une-rente-perpetuelle-et-sans-risque-pour-le-prive

    C’est un programme de privatisation calqué sur celui imposé par la Troïka à l’Europe du Sud que prépare le gouvernement. Aéroports Le port du Havre. © Dr régionaux, ports, barrages, tout ce qui constitue des actifs stratégiques, des monopoles naturels, des #biens_communs est appelé à être dilapidé. Sous couvert de modernité, le gouvernement rétablit la rente perpétuelle pour le privé.

    #France #Economie #Adam_Smith #Aéroports_de_Paris #Agence_française_des_participations #Autoroutes #Française_des_jeux #Vinci

    Mediapart @mediapart
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 20/04/2018

      #privatisation #Europe_du_sud #transport_maritime #barrages_hydroélectriques #ports #aéroports #transport_aérien

      CDB_77 @cdb_77
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 9/03/2018
    1
    @02myseenthis01
    1

    Brazil: natural disasters and large-scale construction forced millions from homes | World news | The Guardian
    ▻https://www.theguardian.com/world/2018/mar/07/at-least-77m-brazilians-forced-to-leave-homes-since-2000-natural-disast

    At least 7.7 million Brazilians, or one every minute, have been forced to leave their homes since 2000, a pioneering study has found.

    Of those, 6.4 million moved after large-scale flooding, droughts and other natural disasters, while 1.2 million were forced out by large-scale construction projects such as dams.

    The analysis was conducted by Forced Migration Observatory (FMO), a digital platform launched on Wednesday that uses georeferencing data.

    Significant attention has been paid recently to the fact that Brazil, a large country with a population of 209 million, has taken in only 10,000 refugees from countries such as Syria.

    But little is known about people affected by forced migrations within Brazil, whom the government has no legal framework to protect, said researchers from the Igarapé Institute, an independent thinktank based in Rio de Janeiro.

    Brésil #déplacement #déplacements_forcés #intempéries #développement

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 9/03/2018
      @franz42

      #Brésil #IDPs #déplacés_internes #catastrophes_naturelles #barrages_hydroélectriques #énergie
      cc @franz42

      CDB_77 @cdb_77
    • @franz42
      Franz42 @franz42 CC BY-NC 10/03/2018

      Le Brésil tourne le dos aux grands barrages hydroélectriques
      O Globo - Rio de Janeiro
      Publié le 05/01/2018 - 16:30

      Les grands projets hydroélectriques ne sont plus une priorité, annonce le gouvernement. Le Brésil infléchit ainsi une politique énergétique qui a soulevé d’intenses polémiques en raison des dégâts environnementaux et de la spoliation des communautés indigènes qu’elle entraîne.

      Ce n’est pas une nouvelle annoncée tambour battant par le gouvernement de Michel Temer, mais plutôt un discours prudent distillé par Paulo Pedrosa, le numéro deux du ministère brésilien des Mines et de l’Énergie, dans les colonnes d’O Globo.

      En somme, ce discours ministériel indique que “l’ère des grands ouvrages hydroélectriques touche à sa fin”, titre le quotidien de Rio de Janeiro. À la fois pour des raisons d’impopularité grandissante de ces barrages et pour des impératifs économiques.
      ▻https://www.courrierinternational.com/article/le-bresil-tourne-le-dos-aux-grands-barrages-hydroelectriques

      Franz42 @franz42 CC BY-NC
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 10/03/2018
      @franz42

      voir ici @franz42 ▻https://seenthis.net/messages/656904

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 29/11/2017
    2
    @02myseenthis01
    @cdb_77
    2

    Balkan hydropower projects soar by 300% putting wildlife at risk, research shows | Environment | The Guardian
    ►https://www.theguardian.com/environment/2017/nov/27/balkan-hydropower-projects-soar-by-300-putting-wildlife-at-risk-researc

    Since 2012, property conflicts between big energy companies and small farmers have led to one murder and an attempted murder, according to an EU-funded study. The paper logged three work-related deaths, and dozens of arrests linked to Albania’s wave of hydropower projects.

    https://i.guim.co.uk/img/media/0355b27c95e099a6938053d52cee7c13e4e7b736/0_0_2500_1743/master/2500.jpg?w=620&q=55&auto=format&usm=12&fit=max&s=2fc6a3ccd20fb87357d48b73194a18ad

    #Balkans #barrages #énergie

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 3/09/2018

      #Barrages_hydroélectriques #faune #wildlife #Albanie #eau

      CDB_77 @cdb_77
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  • @reka
    Reka @reka CC BY-NC-SA 20/10/2017
    1
    @cdb_77
    1

    How Big Water Projects Helped Trigger Africa’s Migrant Crisis - Yale E360
    ▻http://e360.yale.edu/features/how-africas-big-water-projects-helped-trigger-the-migrant-crisis

    http://e360.yale.edu/assets/site/GettyImages-629283638_web.jpg

    Major dam and irrigation projects are drying up the wetlands that sustain life in the arid Sahel region of Africa. The result has been a wave of environmental refugees, as thousands of people flee, many on boats to Europe.

    By Fred Pearce • October 17, 2017

    The Hadejia-Nguru wetland was once a large green smudge on the edge of the Sahara in northeast Nigeria. More than 1.5 million people lived by fishing its waters, grazing their cattle on its wet pastures, and irrigating their crops from its complex network of natural channels and lakes. Then, in the 1990s, the Nigerian government completed two dams that together captured 80 percent of the water that flowed into the wetland.

    #afrique #nigeria #eau #développement #aménagement

    Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 20/10/2017

      #Sahel #barrages #barrages_hydroélectriques #Hadejia-Nguru #migrations #réfugiés_environnementaux #sécheresse #migrations #asile #réfugiés

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 29/09/2017
    1
    @odilon
    1
    @odilon

    Numéro de la #revue EchoGéo dédié au #Brésil :

    Jean-Louis Chaléard
    Brésil : un écho géographique sur l’émergence [Texte intégral]

    Sur le Champ

    Un état des lieux du Brésil en 2017
    Hervé Théry
    Un état des lieux du Brésil en 2017 [Texte intégral]
    Cathy Chatel, François Moriconi-Ebrard et Maria Encarnação Beltrão Sposito
    La #croissance_urbaine au Brésil : concentration dans les métropoles ou rééquilibrage du #système_urbain ? [Texte intégral]
    Cláudio Zanotelli
    L’espace du politique ou la politique de l’espace : l’#éviction des quartiers populaires et les #Jeux_olympiques de Rio de Janeiro [Texte intégral]
    Cássio Arruda Boechat, Ana Carolina Gonçalves Leite et Carlos de Almeida Toledo
    Archéologie de la question agraire au Brésil : du labor grabbing au #land_grabbing [Texte intégral]
    Neli Aparecida de Mello-Théry
    Politiques environnementales brésiliennes : intentions et réalités [Texte intégral]
    Vincent Dubreuil, Karime Pechutti Fante, Olivier Planchon et João Lima Sant’anna Neto
    Les types de #climats annuels au Brésil : une application de la classification de Köppen de 1961 à 2015 [Texte intégral]
    François-Michel Le Tourneau
    Le Brésil et ses Indiens : une réconciliation impossible ? [Texte intégral]
    Céline Broggio et Martine Droulers
    Les effets des équipements hydroélectriques en Amazonie [Texte intégral]
    Un exemple de #résilience_territoriale
    François Laurent, Damien Arvor, Marion Daugeard, Reinis Osis, Isabelle Tritsch, Emilie Coudel, Marie-Gabrielle Piketty, Marc Piraux, Cecilia Viana, Vincent Dubreuil, Ali F. Hasan et François Messner
    Le tournant environnemental en Amazonie : ampleur et limites du découplage entre production et #déforestation [Texte intégral]
    Tatiana Schor et Gustavo S. Azenha
    Ribeirinho Food Regimes, Socioeconomic Inclusion and Unsustainable Development of the Amazonian Floodplain [Texte intégral]
    Simone Affonso da Silva
    Regional Inequalities in Brazil : Divergent Readings on Their Origin and Public Policy Design [Texte intégral]
    Renata Callaça Gadioli dos Santos, Luiz Fernando de Macedo Bessa et Magda de Lima Lúcio
    The Brazilian National Policy for Regional Development and the RIDE-DF Management opposite the Governance vs Brasília’s Metropolitan Area [Texte intégral]

    ►https://echogeo.revues.org/14998
    #villes #urban_matter #géographie_urbaine #JO #terres #accaparement_de_terres #peuples_autochtones #Amazonie #barrages_hydroélectriques #inégalités

    Pour toi, @odilon :
    Archéologie de la question agraire au Brésil : du labor grabbing au land grabbing
    ►https://echogeo.revues.org/15112

    • #Brésil
    CDB_77 @cdb_77
    • @odilon
      odilon @odilon CC BY-NC-ND 29/09/2017

      Merci !

      odilon @odilon CC BY-NC-ND
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 15/02/2017

    Quand les grands #barrages posent problème

    Le déversoir du barrage d’#Oroville, à 200 kilomètres au nord de San Francisco, pourrait s’effondrer après de fortes pluies. Les autorités californiennes ont décidé de faire évacuer la population qui vit en aval de l’ouvrage.

    ▻http://ht.ly/dUxS308Zrmt
    #barrages_hydroélectriques #énergie #électricité

    CDB_77 @cdb_77
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  • @observatoiremultinat
    ObservatoireMultinationales @observatoiremultinat CC BY-ND 14/04/2015
    1
    @reka
    1

    Le barrage Nam Theun 2 d’EDF, l’exemple de ce qu’il ne faut pas faire sur le Mékong ?
    ▻http://multinationales.org/Le-barrage-Nam-Theun-2-d-EDF-l-exemple-de-ce-qu-il-ne-faut-pas-fair

    Il y a exactement dix ans, la Banque mondiale, l’Agence française de développement et d’autres institutions financières débloquaient des millions d’euros pour financer un grand barrage au #Laos, sur un affluent du Mékong. L’entreprise majoritaire dans le consortium n’était autre qu’EDF, laquelle n’a cessé de présenter ce projet comme un modèle de « durabilité ». Pour les associations internationales et locales qui l’ont examiné, il s’agit bien plutôt d’un exemple de barrage destructeur, conçu pour exporter de (...)

    Actualités

    / Laos, #EDF, #Énergie, #Grands_barrages, #impact_social, #impact_sur_l'environnement, #institutions_financières_internationales, #Greenwashing, #communautés_locales, durabilité, International (...)

    #durabilité #International_Rivers
    « ▻http://www.internationalrivers.org/resources/8694 »
    « ►http://www.climatecentral.org/news/tropical-dams-methane-18019 »
    « ▻https://www.flickr.com/photos/axelrd/7593745298

    Flickr
     »

    ObservatoireMultinationales @observatoiremultinat CC BY-ND
    • @reka
      Reka @reka CC BY-NC-SA 14/04/2015

      #eau

      Reka @reka CC BY-NC-SA
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 26/07/2018

      #barrages_hydroélectriques #barrage #Nam_Theun_2 #EDF #France #Mékong #Banque_mondiale #Agence_française_de_développement #AFD #développement #aide_au_développement #coopération_au_développement #Xe_Bang_Fai

      CDB_77 @cdb_77
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