• #6_février_1934 #éphéméride

    Dix années de guerre civile (#Barta, 6 février 1944)

    Quand le 6 février 1934, sous prétexte de lutter contre la « corruption », les #bandes_fascistes faillirent s’emparer du Palais Bourbon, une grande émotion s’empara des ouvriers et des milieux populaires de Paris et de province.

    La veille encore de soi-disant chefs répétaient : « La France n’est pas l’Allemagne ». Mais en Allemagne aussi les ouvriers avaient été bernés par de pareils leaders qui leur disaient, en présence des bandes de Hitler, que « l’Allemagne n’est pas l’Italie ».

    Malgré l’échec en ce qui concerne le but principal, la tentative fasciste du colonel de la Rocque et des différentes ligues paramilitaires ouvrait en France une époque de guerre civile qui ne pouvait se terminer que par la victoire du capitalisme sur les masses réduites à l’impuissance et à un niveau de vie inférieur ("vaincre la crise") ou par la victoire du socialisme, c’est-à-dire l’expropriation des capitalistes par le prolétariat.

    L’entrée en scène des bandes fascistes pour soutenir le capitalisme ouvrit la série des gouvernements extra-parlementaires, les gouvernements des décrets-lois et des mesures anti-démocratiques, qui eurent ce caractère sans exception de Doumergue, en passant par Léon Blum, jusqu’à Daladier et Reynaud.

    Au coup fasciste les masses prolétariennes ripostèrent par la #grève_générale_du_12_février, qu’elles imposèrent à la direction capitularde de la #CGT et de la #SFIO, et au #PC qui avait manifesté seul le 9 février. Par une politique instinctive et par une volonté puissante de combat, les masses prolétariennes réalisaient ainsi l’unité prolétarienne de combat, par dessus la tête des vieilles organisations.

    L’histoire des années qui suivirent peut se résumer ainsi : les masses, et non seulement les masses ouvrières mais l’immense majorité de la population pauvre des villes et des campagnes, voulaient en finir avec un régime qui les vouait à la misère et à l’insécurité. Mais leur poussée se heurta à la politique des organisations ouvrières officielles (CGT, #CGTU, SFIO, #SFIC) qui, elles, s’accrochèrent au cadavre pourrissant du #parlementarisme. Les masses entrèrent en lutte d’une façon décisive en juin 1936. Mais au lieu de pousser la lutte, à travers les étapes nécessaires jusqu’au renversement de la bourgeoisie, le parti « communiste » donna le signal de la retraite sur la base des #accords_Matignon : « il faut savoir finir une grève », tel est le « bolchévisme » qu’enseigne Thorez aux travailleurs de France au moment-même où la révolution espagnole se transformait en LUTTE ARMEE.

    Toute l’histoire de la #classe_ouvrière montre que si l’on n’ose pas aller jusqu’au bout, toute demi-victoire mène à une grande défaite. Juin 1936 fut une demi-victoire que le #Front_Populaire (alliance des partis ouvriers avec les agents « démocratiques » de l’#impérialisme : Daladier, Sarraut, Cot, etc...) transforma en une grande défaite. A juin succédèrent les #fusillades_de_Clichy en 1937, quand le « socialiste » #Dormoy fit tirer sur les manifestants ouvriers. La #grève_générale de novembre 1938 à laquelle les masses participèrent avec dévouement sous le coup des sanctions impitoyables prises par le #gouvernement_Daladier, échoua parce qu’à la tête des organisations se trouvaient les mêmes chefs bons à encaisser les cotisations, mais non à se battre contre la bourgeoisie.

    Mais c’est la guerre impérialiste à l’extérieur qui permit à la bourgeoisie de porter le coup décisif aux masses. De novembre 1939 à juin 1940 #Daladier et Reynaud introduisirent le système des camps de concentration, de la chasse à l’étranger, des emprisonnements, des tortures et de la peine de mort contre les militants de la classe ouvrière adversaires de leur politique, montrant ainsi ce que cachait véritablement l’écran du parlementarisme : l’Etat bourgeois, c’est-à-dire « des hommes armés et des prisons » (Engels).

    Après juin 1940, avec l’#Occupation, ce système prit une ampleur exceptionnelle, sa violence décupla, centupla le nombre des victimes. Mais en aurait-il été autrement si #Reynaud était resté au pouvoir derrière des troupes se battant sur le front ?

    L’agonie du #capitalisme arrivé au stade impérialiste, ne laisse pas d’autre issue aux masses qu’une guerre civile menée jusqu’au bout, jusqu’au renversement du capitalisme. Sans cette volonté du prolétariat d’aller jusqu’au bout dans sa guerre civile contre la bourgeoisie c’est la bourgeoisie qui mène jusqu’au bout sa #guerre_impérialiste à l’extérieur et sa #guerre_civile à l’intérieur contre le #prolétariat.

    A BAS LA GUERRE IMPERIALISTE !

    VIVE LA GUERRE CIVILE CONTRE LA BOURGEOISIE !

    #lutte_de_classe #fascisme #extrême_droite #émeutes_fascistes

  • #Deuxième_guerre_mondiale #impérialisme

    Les plans anglo-américains de Casablanca | La Lutte de classe, #Barta, 5 février 1943)

    https://www.marxists.org/francais/barta/1943/02/ldc09_020543.htm#plans

    Pour comprendre la politique des impérialistes anglais et américains dans la présente guerre depuis que l’#Union_Soviétique et l’#Allemagne impérialiste sont aux prises, il faut se rappeler comment les gouvernements alliés se situent eux-mêmes par rapport à l’#URSS. Répondant à la propagande allemande qui agite le péril bolchévique incarné par l’URSS, Radio-Londres, pour rassurer le monde capitaliste fait valoir :

    1) que l’URSS est tellement affaiblie par les destructions occasionnées par la guerre qu’il lui faudra vingt ans pour la reconstruction du pays ;

    2) que les puissances anglo-saxonnes en guerre représentent un contre-poids suffisant pour barrer la route à l’URSS en cas de défaite de l’Allemagne.

    Les impérialismes anglais et américain visent à établir leur domination sur le monde. Si ces visées les contraignent à utiliser la lutte de la Chine contre le Japon et de l’URSS contre l’Allemagne, ils doivent aussi (car il s’agit de leur sort en cas d’échec) empêcher et l’URSS et la Chine de remporter une victoire complète sur leurs adversaires impérialistes.

    Ainsi, l’offensive annoncée par les alliés a-t-elle deux tranchants : elle ne vise à vaincre les puissances de l’Axe que pour établir leur propre domination sur le monde et leur propre barrage devant l’URSS, faute de mieux, c’est-à-dire le rétablissement du capitalisme en URSS et l’exploitation coloniale de la Chine.

    #Roosevelt et #Churchill exigent la capitulation sans conditions des pays de l’Axe. Cette conclusion officielle des dix jours de conversations impérialistes a pour but de faire croire aux masses que le but de guerre des alliés c’est de punir les responsables de la guerre (châtier un criminel c’est poser en justicier) et les mettre dans l’impossibilité de « recommencer ».

    L’Italie et le Japon étaient dans l’autre guerre dans le camp allié. Vingt ans après, ils ont recommencé dans le camp de l’Axe. Quelles garanties les « nations unies » donnent-elles au monde sur leur propre attitude ? En réalité cette phrase ("capitulation sans conditions") veut dire que seuls MM. Roosevelt et Churchill régleraient le sort du monde, c’est-à-dire de tous les peuples. Y a-t-il un seul ouvrier pour oser confier le sort de sa classe, de ses proches et du sien propre aux chiens de garde du capital anglais et américain ? Ne serait-il pas criminel de faire de nouveau crédit aux faillis frauduleux de Versailles qui tous les vingt ans ont besoin d’un carnage mondial pour sauver la paix et la civilisation ?

    Nous devons prendre notre sort entre nos propres mains. Nous n’appelons pas l’intervention des #alliés. Nous utiliserons pour la Révolution prolétarienne toutes les circonstances que feront naître les contradictions impérialistes. Dans la lutte que nous menons avec le prolétariat de l’URSS et son #Armée_Rouge contre l’Allemagne impérialiste et ses alliés capitalistes européens, nous profiterons de la nécessité où se trouvera l’Allemagne d’affaiblir les contingents d’occupation en vue de faire face à ses besoins du front, pour renverser le capitalisme et instaurer les Etats-Unis socialistes d’Europe.
    Ainsi nous ferons échec à tous les plans impérialistes et nous mènerons la société humaine à la paix, à la liberté et au bien-être de tous.
    #Hitler ne peut lutter contre l’intervention militaire alliée qu’avec des forces impérialistes, qui succombent à la tâche d’établir la domination du capital financier allemand sur le monde. La révolution prolétarienne en #Europe, c’est-à-dire les Etats-Unis socialistes d’Europe qui tendront la main aux ouvriers de l’URSS, opposeront aux tentatives de l’impérialisme anglo-américain de détruire les Soviets européens et russes une force révolutionnaire qui sapera la base même des impérialismes anglais et américain. La #révolution en Europe soulevera les peuples d’Afrique et d’Asie contre l’impérialisme et les prolétariats anglais et américain contre leur propre bourgeoisie.

    DE CETTE GUERRE SORTIRONT LES ETATS-UNIS SOCIALISTES DU MONDE, OU LE MONDE NE SORTIRA PLUS DE LA GUERRE !

  • La Lutte de Classe n°9, #Barta, 5 février 1943

    Côte à côte avec les hommes, LES FEMMES TRAVAILLEUSES DOIVENT PASSER A L’ACTION CONTRE LES DEPORTATIONS ! L’arme de la grève doit être utilisée contre les rafles d’ouvriers !

    https://www.marxists.org/francais/barta/1943/02/ldc09_020543.htm

    Subitement, la bourgeoisie redécouvre les qualités professionnelles de la femme. La femme que le #régime_de_Vichy a profondément humiliée par des mesures consacrant son « infériorité » sociale (statut de la femme mariée, etc...), figure de nouveau en première page des journaux, non pas au foyer conjugal parmi les casseroles (vides) et la marmaille (affamée), mais derrière la machine, à l’atelier, où elle fait montre d’une habileté toute particulière.

    Après la débâcle de juin 1940, la bourgeoisie entreprit d’empêcher la lutte commune des exploités contre le capitalisme fauteur de guerre et de misère, et de désunir les travailleurs. Disposant de toutes les ressources du pouvoir policier, elle pourchassa les « étrangers », mit au ban de la société les « Juifs » (en détournant la colère des masses contre un supposé « capitalisme juif » la bourgeoisie protégeait ainsi les capitalistes en chair et en os avec ou sans religion) et, pour diviser ouvriers et ouvrières, chassa la femme au foyer.

    D’où viennent ces alternatives de mépris et d’engouement pour la femme de la part des organes capitalistes ? Que se cache-t-il derrière ?

    Toujours un but d’#exploitation économique.

    Engagé dans une lutte à mort pour étendre toujours plus sa domination, le capitalisme impérialiste (c’est-à-dire la domination de l’Etat et de toute la vie sociale par le grand capital) provoque des changements brusques et profonds dans la vie des peuples. #Chômage complet ou #travail_forcé pour toute la population, esclavage familial ("retour au foyer") ou dispersion de toutes les familles, tels sont maintenant les effets de la domination de la bourgeoisie. Vichy déporte les hommes en Allemagne pour y travailler au sauvetage du capitalisme européen contre l’Union Soviétique et veut que la femme les remplace dans les usines en France, pour la même besogne : fabriquer des engins de mort.

    Si les capitalistes sont prodigues de louanges sur l’habileté et même sur la supériorité dans certains cas du travail de la femme, c’est que l’ouvrière continue à être, à travail égal, moins payée que l’ouvrier.

    Les femmes (de même que les jeunes), sont plus que jamais surexploitées par la bourgeoisie. Et dans la situation actuelle, les conséquences de l’insuffisance des salaires sont d’autant plus graves pour la femme, qu’exploitée à l’usine, elle doit continuer son travail de ménagère, terrible esclavage surtout quand il faut soigner enfants et mari. Et, parmi les travailleuses les plus mal payées, la famine appelle la prostitution, suprême exploitation de la femme.

    La femme travailleuse ne doit pas accepter avec résignation la double exploitation que lui impose le capitalisme, en tant qu’ouvrière et en tant que ménagère. Les ouvrières entreront également dans la lutte pour mettre fin à la situation de plus en plus intolérable que leur crée le régime bourgeois pourrissant.

    Il faut faire le premier pas en commençant une action résolue basée sur la grève, pour l’amélioration des salaires et pour la revendication du salaire égal à travail égal pour tous les ouvriers sans distinction d’âge et de sexe. Lier cette lutte à celle des ouvriers contre la #déportation pour la guerre contre l’URSS, voilà le premier moyen d’unifier tous les exploités contre les exploiteurs et faire échec aux plans de guerre impérialistes.

    Autrefois la lutte de la femme pour l’égalité juridique et politique rencontrait l’incompréhension ou même l’hostilité des ouvriers les plus arriérés. Mais le régime policier de Vichy a réalisé la plus complète égalité politique de l’homme et de la femme, en les écrasant tous les deux. Ensemble, ils doivent lutter pour la reconquête des droits de la classe ouvrière (liberté de réunion, de presse, droit de grève, etc.) y compris le droit de vote pour les deux sexes à partir de 18 ans (peut-être à partir de 17 ou même de 16 ans puisque la bourgeoisie considère qu’à cet âge-là un jeune homme peut devenir chair à canon et qu’une jeune fille peut se marier et avoir des enfants).

    Pour lutter avec succès pour ces revendications la classe ouvrière doit s’organiser. Les organisations de lutte (économiques et politiques) du prolétariat doivent être basées sur la plus complète égalité de devoirs et de droits entre l’homme et la femme dans tous les domaines et pour toutes les tâches quelles qu’elles soient.

    Sous le régime capitaliste, qui a pour base la famille en tant que petite entreprise économique individuelle, l’égalité réelle et complète de la femme dans la société (égalité de charges et de droits) n’est pas possible. Libérer la femme, seule le peut la société socialiste qui libère la famille de l’esclavage économique en transformant les charges individuelles en charges sociales : maternités, crèches, jardins d’enfants, restaurants, blanchisseries, dispensaires, hôpitaux, sanatoria, organisations sportives, cinés, théâtres, etc..., la société bourgeoise connaît tout cela, mais dans quelle mesure et dans quel but ? Hôpitaux, maternités, restaurants, etc... doivent seulement entretenir, dans la mesure strictement indispensable à la production capitaliste, l’efficacité de la main-d’œuvre (assurances sociales, etc...). Théâtres, cinés, organisations sportives, etc... tout cela n’est pas destiné à rendre la vie heureuse et à instruire, mais à abrutir et à maintenir les masses sous la domination de l’idéologie bourgeoise. Quelles que soient les améliorations conquises, la grande majorité des femmes croupira toujours tant que les moyens de production appartiendront à la bourgeoisie. Ce n’est que quand la #classe_ouvrière sera la maîtresse de ses instruments de production et de répartition et quand la femme prendra part à leur administration et au travail dans les mêmes conditions que tous les membres de la société travailleuse, que ses qualités pourront s’épanouir librement et harmonieusement.

    La Quatrième Internationale attire tout particulièrement l’attention des femmes travailleuses sur le fait que le seul pays où la femme ait réalisé le maximum d’égalité c’est l’URSS, c’est-à-dire le pays qui s’est développé par la révolution prolétarienne d’Octobre 17. Elle attire également l’attention des ouvriers sur le fait que sans l’entrée en lutte à ses côtés des ouvrières le prolétariat ne pourra jamais vaincre la bourgeoisie.

    Pour améliorer les #salaires et les conditions de vie, vive l’union de lutte de l’ouvrier et de l’ouvrière ! A travail égal, salaire égal ! Egalité juridique pour la femme : à bas les statuts de la femme mariée ! En s’opposant par la #grève à ce que les ouvriers soient déportés pour la relève impérialiste contre l’#URSS, les ouvriers et les ouvrières commenceront la lutte qui mettra fin à la guerre impérialiste, au régime de misère et d’oppression, la lutte qui nous mènera au gouvernement ouvrier et paysan, le gouvernement des travailleuses et des travailleurs !

    #collaboration #impérialisme #révolution_russe #lutte_de_classe #droits_des_femmes #lutte_des_femmes

  • #Géographie_féministe

    GeoAgenda 2019/1 est dédié à la géographie
    féministe. Les Guest Editors Sara Landolt
    et Marina Richter proposent en introduction
    un état de l’art de la géographie féministe
    en Suisse.

    Jasmine Truong et Carolin Schurr présentent ensuite le nouveau groupe de recherche « Geographies of the global intimate » de l’institut de géographie de l’Université de Berne. Isabella Stingl offre une contribution sur la production de connaissances scientifiques féministes au sein de la recherche sur les #migrations. Jennifer Steiner, Karin Schwiter et Anahi Villalba introduisent le projet de « Live-in care », liant le travail de #soins à domicile et la #migration_internationale. Susan Thieme et Marina Richter proposent, quant à elles, une analyse intersectionnelle des compétences du #personnel_médical dans les #hôpitaux au prisme du #genre et du #parcours_migratoire. Kathrin Naegeli et Marlene Kronenberger présentent le programme « #Girls_on_Ice ». Enfin, Karine Duplan et Elisabeth Militz font un résumé du workshop « Bodies, space and difference in the global intimate » qui s’est tenu lors du Swissgeosciences Meeting 2018.
    Dans la rubrique « Autres Contributions », Suzy Blondin nous emmène dans la vallée du #Bartang au #Tadjikistan. Juliane Krenz présente un guide pratique de l’étude du sol, en tant qu’expérience d’enseignement de la géographie. La contribution de Itta Bauer propose de penser au-delà des frontières disciplinaires de la géographie et de la didactique. Finalement, Stephanie Summermatter et Peter Stucki discutent des enjeux liés aux inondations en Suisse, à partir d’une perspective historique remontant à 1868.


    https://sciencesnaturelles.ch/uuid/dfabd5da-19c7-5496-b075-6a3cbad19e0c?r=20190205110021_1557134729_

  • LETTRE OUVERTE À BARTABAS | Passeurs d’hospitalités

    http://passeursdhospitalites.wordpress.com/2014/08/10/lettre-ouverte-a-bartabas

    Le cirque Zingaro et Bartabas installent leur chapiteau quai Fournier à Calais. Les environs ont été nettoyés de la présence indésirable des exilés.

    Monsieur Bartabas,
    Mesdames et messieurs de l’équipe de Zingaro,

    Vous avez bien sûr entendu parler des « migrants » ou « réfugiés » de Calais. Mais vous ne savez probablement pas comment leur situation s’est trouvée liée à votre venue.

    En octobre 2013, un campement s’est installé à l’angle de la rue Lamy et du boulevard des Alliés, à deux pas du quai Fournier où votre chapiteau est en cour de montage (voir https://goo.gl/maps/xXOSn), suite à une série d’expulsions. Le 28 mai dernier, il a été détruit en même temps que deux autres campements situés à proximité.

    Le préfet ayant cru bon d’annoncer à l’avance ces expulsions, une partie des personnes ont occupé le lieu aménagé pour la distribution des repas, dont les entrées donnent sur la rue Lamy et la rue de Moscou, et dont les grilles donnent sur le quai Fournier.

    #réfugiés #asile #calais #bartabas

  • BarTab : : Modules pour Firefox
    https://addons.mozilla.org/fr/firefox/addon/67651

    « BarTab peut gérer les onglets chargés en arrière-plan ou restaurés après un redémarrage du navigateur et il ne chargera le contenu que lorsque cet onglet sera visité. Il sert également à libérer la mémoire de la gestion des onglets actifs, manuellement ou automatiquement. »

    #BarTab #extension #Firefox #mémoire #onglet #logiciel #iusethis