• BBC - Culture - The endless influence of the #Bauhaus
    http://www.bbc.com/culture/story/20171109-the-endless-influence-of-the-bauhaus

    #art

    Here in Berlin, Germany’s Bauhaus Archiv is throwing a farewell party. Next year this museum will close for renovation, and until then it’s presenting a display of ‘greatest hits’ from the world’s biggest Bauhaus collection. From furniture and posters to crockery and cutlery, these exquisite objects show how the Bauhaus school shaped our idea of good design.

    For most of us, the word Bauhaus conjures up a certain type of modern architecture – that stark aesthetic that spawned a million tower blocks. But the Bauhaus was much more than an architectural style – it was a new way of thinking, and a century since it was born, at the end of World War One, its ideas still set the pattern for the way we live today.

  • Le MoMA et le Cercle démocratique
    https://cfeditions.com/cercleDemocratique

    Bonjour,

    Vient de s’ouvrir à Paris une grande exposition à la Fondation Louis Vuitton avec des oeuvres majeures extraites des collections du Museum of Modern Art (MoMA) de New York. Une magnifique collection d’œuvres du XXe siècle provenant d’un des musée majeur de la planète.

    Dans son ouvrage « Le Cercle démocratique », publié par C&F éditions en français, Fred Turner consacre une large part de son analyse au rôle démocratique joué par les musées et particulièrement par le MoMA.

    Herbert Bayer, membre éminent du Bauhaus a inventé pour le MoMA des espaces immersifs, des encerclements de textes, d’images, d’objets qui devaient permettre aux visiteurs de se questionner eux-mêmes à partir du « champ étendu de la vision ». Durant la Seconde Guerre mondiale, le MoMA a servir de repaire au Comitee for democratic morale, un groupe d’intellectuels qui voulaient mobiliser les américains contre le nazisme sans recourir aux méthodes de la « propagande » dont on avait mesuré les dégâts en Allemagne.

    L’exposition de 1941 « Road to victory » est ainsi conçue comme un multimédia, avec textes, images et films encerclant les visiteurs. Le livre montre à la fois l’impact et les théories derrière ces conceptions, mais également les usages détournés qui vont suivre. Car ce modèle immersif va, durant la guerre froide, servir la propagande américaine dans le monde. Les expositions universelles et la grande expo-photo « The family of man » sont ainsi de outils pour défendre the american way of life ... qui est surtout une défense et illustration de la société de consommation.

    Ce qui est passionnant dans ce plongeon dans l’histoire du multimédia avant le numérique, c’est de voir comment les techniques, les projets et les usages inventés alors se retrouvent dans le multimédia global d’aujourd’hui. Comment l’idée de permettre à chacun de décider en connaissance de cause se renverse en bulles de filtres et réseaux d’influence. Le multimédia numérique a commencé principalement avec des outils pédagogiques, de l’hypertexte organisant des connaissances... avant de devenir le support d’un « individualisme autoritaire » et la boîte à malice se situant « au delà de la vérité » qui existe aujourd’hui... et qui n’enlève pourtant rien à nos désirs d’utiliser le multimédia pour construire un monde plus démocratique.

    Jamais univoque et directif, le livre de Fred Turner permet de reconsidérer les événements du passés comme les tendances récentes. Ce livre a obtenu une bourse de soutien du College of American Art et de la Terra Foundation for American Art .

    Il fait un complément idéal pour tous les visiteurs de l’exposition des œuvres du MoMA de Paris qui dure jusqu’au mois de mars. Et pour tous, il pose des questions d’une brûlante actualité tout en replongeant dans l’histoire et le rôle de l’art, des intellectuels et des artistes

    Bonne lecture

    Hervé Le Crosnier

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    Le Cercle démocratique : Le design multimédia de la Seconde Guerre mondiale aux années psychédéliques
    par Fred Turner, traduction par Anne Lemoine.
    390 p., 29 €

    https://cfeditions.com/cercleDemocratique

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    [Extraits de la première parties concernant le MoMA (il y a de nombreux endroits où l’on retrouve le MoMA dans ce livre)
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    Au cours de ses dix premières années d’existence, le Museum of Modern Art permet aux Américains de découvrir l’impressionnisme, le futurisme et le cubisme, mais aussi l’architecture moderne, la photographie et la typographie. En 1939, après l’invasion de la Pologne par Hitler, son directeur Alfred Barr et sa femme décident de porter immédiatement secours aux artistes avant-gardistes. Grâce au prestige du musée et du nom de la famille Rockefeller qui les soutient, ils réussissent à faire venir plusieurs artistes réputés aux États-Unis, parmi lesquels Marc Chagall, Max Ernst et Jacques Lipschitz. Avant même l’attaque de Pearl Harbor, Barr et les Rockefeller commencent à transformer le musée en une machine de production idéologique qui appuiera les efforts de propagande des États-Unis au cours de la guerre froide.
    Le champ étendu de la vision développé par Herbert Bayer jouera un rôle important dans ce processus.
    [...]
    Pour les critiques d’art américains, le point le plus surprenant de l’exposition n’est pas tant son contenu que la disposition de celui-ci. Puisque le nouveau bâtiment qui doit héberger le Museum of Modern Art est en cours de construction dans la 53e rue Ouest à Manhattan, Bayer installe l’exposition dans l’espace temporaire du musée, alors situé dans le hall du Rockefeller Center. Gropius et Bayer divisent l’exposition en six sections, chacune possédant sa propre galerie : « Le travail sur le cours élémentaire », « Les ateliers », « Typographie », « Architecture », « Peinture » et « Travaux d’écoles influencées par le Bauhaus ». Sous l’impulsion de Bayer, ces zones deviennent ensuite des variations des environnements visuels élargis qu’il a créés à Paris en 1930 et à Berlin en 1935.
    [...]
    Au gré de leurs déplacements de salle en salle, les visiteurs découvrent des empreintes sur le sol et des représentations graphiques de mains sur les murs qui les orientent vers de nouvelles parties de l’exposition. Un œuf géant est accroché à un mur ; il représente l’enseignement de la forme dans le programme de première année. Des photographies orientées vers le bas sont placées au-dessus des têtes des visiteurs ; des cercles chromatiques pendent du plafond. Dans une salle, un œil gigantesque dessiné sur un mur, juste en dessous d’une fente, observe le visiteur.
    [...]
    Selon l’idéologie du premier Bauhaus, la scénographie de Bayer transforme l’exposition en Gesamtkunstwerk (œuvre d’art totale). Conformément à ses théories de vision étendue, elle encercle les visiteurs, les pousse doucement dans l’une ou l’autre direction, les encourage à suivre le mouvement figuré sur les murs et le sol. Comme dans la psychologie gestaltiste qui sous-tend les théories de Bayer, les visiteurs doivent faire la synthèse des éléments qui leur sont présentés pour se les approprier en construisant des images internes cohérentes. L’exposition même peut suggérer, présenter, abriter ou encadrer mais, au final, il revient aux visiteurs d’agencer leurs propres images du Bauhaus pour qu’elles forment un tout.
    [...]
    Quelques années plus tard, le Museum of Modern Art devient une plate-forme de renforcement du moral américain. Associées à un mode environnemental de direction des mouvements des visiteurs, la flexibilité et l’indépendance offertes par Bayer à ses visiteurs deviendront alors aux yeux des critiques un mode de propagande typiquement pro-américain. La vision étendue de Bayer résout le problème posé par la propagande fasciste et les médias de masse. En effet, il accorde au visiteur un degré important d’agentivité par rapport aux éléments visuels qui l’entourent mais, dans le même temps, il contrôle la forme du champ dans lequel le visiteur est susceptible de rencontrer ces éléments. Grâce à cela, la vision étendue peut amener le visiteur américain à rétablir son propre moral dans des termes fixés par le champ qui l’entoure. Cela signifie qu’il peut exercer cette forme d’agentivité psychologique individuelle dont dépend la société démocratique, et qu’il peut ainsi éviter de devenir l’homme apathique de la masse qui caractérise l’Allemagne nazie. Néanmoins, cette agentivité lui est offerte dans des termes définis par les besoins de l’État américain, et articulés selon la diction visuelle du Bauhaus.
    [...]
    Malgré l’échec de For Us the Living, on ne saurait surestimer les liens étroits qui unissent le Museum of Modern Art au gouvernement américain, pas plus que l’intensité de ses efforts de propagande à la veille de la Seconde Guerre mondiale et au cours de celle-ci. Le musée ne se contente pas de préparer des expositions : il sert également de plate-forme intellectuelle et interinstitutionnelle. En son sein, les artistes rencontrent des diplomates, les anthropologues développent des supports de formation culturelle et les soldats viennent panser les blessures psychologiques que la guerre leur a infligées.
    [...]
    De tous les projets menés à bien, une exposition surtout fait la fierté des responsables du musée : le grand succès propagandiste de 1942, Road to Victory. L’exposition « n’est pas seulement un chef- d’œuvre d’art photographique, mais elle est une des expositions les plus émouvantes et les plus fascinantes jamais organisées au musée ».
    [...]
    En septembre 1941, alors que Margaret Mead et le Committee for National Morale s’efforcent de monter leur exposition sur la démocratie au Museum of Modern Art, l’administrateur David McAlpin se met en contact avec le photographe Edward Steichen. Le musée a commencé à accueillir de petites expositions consacrées à la guerre en Europe et aux idéaux américains au sein du pays, et McAlpin espère que Steichen pourrait en monter une autre dans la même veine.
    [...]
    L’exposition qui en résulte fusionne le photoréalisme familier du magazine Life avec les tactiques gestaltistes de la vision étendue développées par Bayer – et les idéaux utopiques du Bauhaus avec les impératifs propagandistes des États-Unis en guerre.
    Bayer conçoit l’exposition comme une route qui serpente à travers tout le premier étage du Museum of Modern Art en passant devant des images et des textes de tailles variables.

    On pourrais citer ainsi des pages entières du livre... mais je vous laisse les découvrir dans le flux même du texte de Fred Turner, avec des détails d’historiens et une visions globale sur l’importance des musées et des expositions dans la conception « multimédia » et son enjeu propagandiste. Et du rôle tout particulier que joue le MoMA et les artistes-théoriciens du Bauhaus dans ce projet.

    #C&Féditions #Fred_Turner #Cercle_démocratique #Bauhaus #MoMA #Propagande

  • #Le_Corbusier : Complete Works in 8 Volumes (1930-70) [French/English/German] — Monoskop Log

    https://monoskop.org/log/?p=11309

    Plus je lis des textes de ce mec plus je le déteste, mais bon, pour ceux qui sont intéressés, il y a ceci :

    Published between 1930 and 1970, in close collaboration with Le Corbusier himself the eight volumes comprise a comprehensive record of the buildings, projects, sketchbooks, manifestos, drawings, and texts of one of the 20th century’s most influential architect.

    Volumes 1-2, 4-7 edited by Willy Boesiger; Volume 1 co-edited by Oscar Stonorov, Volume 3 edited by Max Bill
    Publisher: Les Éditions d’Architecture, Zurich

    #architecture #réactionnaires

    • Mon premier est un gratte-ciel. Mon deuxieme est un grand ensemble. Mon troisieme est une banque, ou une ecole, ou un bureau de poste. Mon tout se trouve a New York, Sarcelles, Rotterdam ou la Defense. C’est...le style international, a qui nous devons cubes de beton, facades en verre fume et ces interieurs beige-noir-blanc casse a quoi semble se reduire l’architecture moderne. Comment en est-on arrive la ? Pour #Tom_Wolfe, tout commence en Allemagne, aux lendemains de la Premiere guerre mondiale, avec le #Bauhaus, qui regroupe les jeunes Turcs de la nouvelle architecture sous la direction de Walter Gropius. Leur devise : aneantir l’architecture bourgeoise. Marxistes, ils revent de balayer les decombres de la vieille Europe decadente, baroque et neo-classique, pour y edifier un monde rigoureux et abstrait, celebrant les noces de l’Art et de la Technologie. Chasses par la montee du nazisme, ils se refugient aux Etats-Unis. Et c’est alors que se produit le miracle : subjuguee, la classe dirigeante americaine confia a un groupe de theoriciens le soin de definir son art officiel. Entre-temps, #Le_Corbusier en France et le groupe de Stijl en Hollande occupaient le terrain, propageant des idees analogues qui, formant un nouvel academisme, devaient inspirer le travail de trois generations d’architectes, d’un bout a l’autre de la planete. Oui, il court, il court le Bauhaus. Et nul ne sait ou s’arretera l’invasion de ce style international, abstrait et incolore. Parce que la beaute est inseparable d’un certain art de vivre, Tom Wolfe s’attaque avec une ferocite tonique a cette nouvelle scolastique, denoncant ses devots, ses clercs et ses dieux.

    • Intéressante approche pour le Bauhaus, je ne voyais pas le mouvement sous cet angle, et les textes critique que j’ai pu lire ne défendaient pas cette thèse... Mais je prends acte et je continue les lectures...

  • The World Geo-Graphical #Atlas

    #Herbert_Bayer (5 Apr 1900 – 30 Sep 1985) began his career studying archirecture under Georg Schmidthammer and later painting at the Darmstadt Artists’ Colony. Inspired by Walter #Gropius’ #Bauhaus manifesto, he enrolled in the Weimar Bauhaus and studied painting under Wassily Kandinsky, Paul Klee and László Moholy-Nagy. After passing his journeymans exam Gropius appointed him as the junior master of the newly-created typography workshop. Bayer spent three years on faculity at Dessau before starting his own design firm in Berlin.


    http://www.codex99.com/design/the-world-geographical-atlas.html
    #cartographie #cartographie_historique #visualisation
    cc @reka @fil

  • FIlmstadt Berlin
    http://www.tagesspiegel.de/berlin/stadtleben/drehort-berlin-die-chamaeleon-stadt/1016852.html

    Bregna im Jahr 2415, Handlungsort des Thrillers „Aeon Flux“. Ein Virus hat die Menschheit bis auf wenige Millionen dezimiert, die in der Retortenstadt inmitten des Urwalds überlebten, kontrolliert von einem totalitären Regime. Der Gedanke an Brasilia, noch so eine tropische Reißbrettinsel, liegt nicht fern, und tatsächlich wollte Regisseurin Karyn Kusama ihre Version der alten Trickfilmserie zunächst dort drehen. „Aus praktischen Gründen“, so Produzent David Gale, war es nicht möglich, überall habe man nun nach einem alternativen Drehort für Bregna gesucht, das in der Ur-Serie noch eine geteilte Stadt gewesen sei. Dass die Wahl aufs wiedervereinte Berlin fiel, „erschien uns sinnvoll“.

    Zwei Wochen war das „Aeon Flux“Team in der Stadt, die Location Scouts vom Studio Babelsberg zeigten rund 70 mögliche Orte, dann war entschieden: Berlin ist Bregna. Der Film, gedreht von August bis Dezember 2004, wurde keine Sternstunde der Filmgeschichte, auch kein Kassenerfolg, trotz Oscar-Preisträgerin Charlize Theron als Killergirl der Rebellen. Überraschend ist aber das Geschick, mit dem hier jüngste und historische Architektur zur homogenen Kunstwelt der Zukunft verschmolzen wurde. Immer wieder hat der berlinkundige Zuschauer Déjà-vu-Erlebnisse – und wähnt sich dennoch in Bregna. Die Freitreppe von #Schloss_Sanssouci findet sich harmonisch neben den Gärten der #Bundesgartenschau in #Potsdam-Bornstedt. Die #Kongresshalle im #Tiergarten wurde zur utopischen Überwachungszentrale, das Anatomische Theater in der #Charité, spätes 18. Jahrhundert, zu dem Ort, an dem die Titelheldin ihre mörderischen Aufträge erhält. Das #Bauhausarchiv mutierte zum Wohnhaus ihrer Schwester, sogar Axel Schultes’ #Krematorium debütierte als Drehort. Actionszenen spielten in den Gewölben der Wasserwerke wie auch im gigantischen Adlershofer Windkanal, wo die Nazis ihre Flugzeuge testeten. Und der finale Kugelhagel fand im neuen #Tierheim in #Falkenberg statt, das man zum Regierungsviertel umgemodelt hatte.

    Steht „Aeon Flux“ für das futuristische Extrem von Berlins Fähigkeit, sich chamäleongleich in fast jede beliebige Kinostadt jeglicher Epoche zu verwandeln, so bildet die Jules-Verne-Verfilmung „In 80 Tagen um die Welt“ das historische Gegenstück; sie spielt rund ein halbes Jahrtausend früher. In der Regel bleiben von Dreharbeiten keine Spuren im Stadtbild zurück, in Potsdam aber erinnert am Eingang zum Gelände der Babelsberger Studiotour ein riesiger Löwe an den Berlinbesuch von Jackie Chan als Passepartout, den schlagfertigen Diener des reiselustigen Phileas Fogg (Steve Coogan). Im Sommer 2003 zierte das Raubtier wochenlang den #Gendarmenmarkt, der einer der zentralen Drehorte war – als Platz im London des späten 19. Jahrhunderts, mit dem Deutschen Dom als „Bank of England“ und dem #Schauspielhaus als „Royal Academy of Science“. Auch die ersten Reisestationen wurden hier gedreht, so wandelte sich der Schlosspark #Charlottenburg zur Pariser Szenerie und die Orangerie von #Sanssouci zum Türkenschloss, mit Arnold Schwarzenegger als liebestollem Prinzen.

    Auf Berlins nächsten Kinoauftritt als fremde Stadt muss man nicht lange warten. Anfang September startet „Das Bourne-Ultimatum“, worin Matt Damon als Profikiller mit Gedächtnisverlust erneut seine Vergangenheit sucht, unter anderem in Moskau. Schon in „Die Bourne- Verschwörung“ von 2004 hatte sich Berlin vor allem als Selbstdarsteller, aber auch als russische Hauptstadt bewährt, mit den Plattenbauten der #Fischerinsel und dem #Tiergartentunnel als Drehorten. Anfang dieses Jahres durfte Berlin wieder Moskau sein, diesmal mit dem #Bahnhof_Lichtenberg, einem Supermarkt am #Platz_der_Vereinten Nationen und dem Tunnel am Alexanderplatz.Und wieder gab es Probleme mit dem erhofften Schnee. Berlin ist eben nicht Moskau.

    „Walking-Dead“-Produzentin im Interview: „Schwerer Fehler – und du bist weg als Frau“ - Medien - Tagesspiegel
    http://www.tagesspiegel.de/medien/walking-dead-produzentin-im-interview-schwerer-fehler-und-du-bist-weg-als-frau/10906552.html

    Frau Hurd, was verbinden Sie mit Berlin?

    Ich liebe diese Stadt, seit hier 2004 „Aeon Flux“ gedreht wurde. Damals wurde ich ein großer Fußballfan während der EM. In meiner Straße in Charlottenburg gab es zwei Restaurants: ein deutsches und ein griechisches. Griechenland wurde Europameister.

    https://en.wikipedia.org/wiki/Gale_Anne_Hurd

    Weltpremiere „Atomic Blonde“ in Berlin: Charlize Theron spielt Spionin im Kalten Krieg - Berlin - Tagesspiegel
    http://www.tagesspiegel.de/berlin/weltpremiere-atomic-blonde-in-berlin-charlize-theron-spielt-spionin-im-kalten-krieg/20071754.html

    Charlize Theron liebt Berlin. Das hat sie der „Vogue“ ebenfalls versichert, dabei an ihre häufigen Berlinale-Auftritte erinnert und an die Sommermonate in Berlin anlässlich der Dreharbeiten zu „Aeon Flux“, der 2005 ins Kino kam.

    #Berlin #Film

  • The History of the Bauhaus Reconsidered | Architect Magazine | Exhibitions, Arts and Culture, History, bauhaus, Paris, France, Walter Gropius, Musée du Louvre

    http://www.architectmagazine.com/Design/the-history-of-the-bauhaus-reconsidered_o

    Vous trouverez ici une excellente et longue recension sur l’exposition « l’esprit du #Bauhaus » visible au musée des arts décoratifs jusqu’en février 2017.

    #art #design #sémiologie #sémantique

    The prevailing message that followed Bauhaus survivors into their diaspora after Hitler came to power was as clear, simple, and distilled as a tubular steel chair cantilevered into thin air: modernity meant industrialization, which demanded the simplification of form for easy industrial fabrication. The mass production of functional, inexpensive, “purified” objects would elevate the standard of living for the masses.

    But the densely documented show “The Spirit of the Bauhaus,” which runs through Feb. 26 at Paris’ Musée des Arts Décoratifs, located in a wing of the Louvre Palace, reveals a much more complex story behind the Bauhaus’ short but incandescent 14-year existence, from 1919 to 1933. Originally inspired by the medieval guild system and the integration of arts within construction, as in Gothic churches, the school drew from turn-of-the-century movements such as the Vienna Werkstätte and the British Arts & Crafts, with their emphasis on handmade objects and the absence of ornamentation. Another precedent was Germany’s own Deutscher Werkbund, which integrated art and industrial production.

    The ideology of the school evolved through often messy, contested transitions involving the rise, fall, and absorption of different design movements and disciplines: Expressionism, mysticism, de Stijl, folklore, and Constructivism, plus, as Tom Wolfe wickedly pointed out in From Bauhaus to Our House (Farrar, Straus Giroux, 1981), garlic: the school promoted diet and exercise programs for healthy living.

  • Découvert ans l’expo « l’esprit du Bauhaus » : Le cours préliminaire...

    Tous les élèves qui souhaitaient suivre les cours au Bauhaus devaient obligatoirement passer par une année de préparation avant de commencer les choses sérieuses. C’était le "cours préliminaire".

    Cela dit, en fait de "choses sérieuses", qui n’aurait pas rêvé de suivre ces enseignements. Visez un peu : Johannes Itten pour les principes généraux de la construction d’une image, Laszllo Moholy-Nagy pour perception visuelle et l’utilisation des trois fondamentaux (surface, ligne, point), Wassily Kandinsky et Paul Klee pour les formes et les couleurs, enfin Josef Albers pour les volumes, les matériaux et les petits objets.

    On a vu pire équipe pédagogique, non ?

    #art #bauhaus #graphisme

  • Frühes Beispiel des Neuen Bauens: Eine „Zigarrenkiste“ macht Karriere - Bezirke - Berlin - Tagesspiegel
    http://www.tagesspiegel.de/berlin/bezirke/steglitz-zehlendorf/fruehes-beispiel-des-neuen-bauens-eine-zigarrenkiste-macht-karriere/14665708.html

    Wer hat „Sommerfelds Aue“ entwickelt, wer war der Architekt, wer führte den Bau aus? Das Ensemble aus vier Häusern liegt verschwiegen an der Onkel-Tom-Straße unweit des U-Bahnhofes und erregte doch zu seiner Entstehungszeit, um 1923, Aufsehen – unliebsames Aufsehen. Heute kommen mehr und mehr Details zum Vorschein und ergeben ein rundes Bild, das sich nur noch nicht herumgesprochen hat: Sommerfelds Aue ist ein Juwel der Moderne. Als damals schon bemerkenswert galten die Drehbühnen in zwei der vier Häuser, und als Urheber des Ensembles treten, im übertragenen Sinn, drei Figuren auf die Bühne: Richard Neutra, Erich Mendelsohn und Adolf Sommerfeld.

    Die zweigeschossigen Häuser muten mit ihren Flachdächern kubisch an, obwohl die Grundrisse rechteckig sind. Horizontale Mauer- und Fensterbänder sind asymmetrisch gegeneinander versetzt. Durch zurückspringende Ecken und vorspringende Balkone bei glatt verputzten Fassaden wirken die Häuser wie aus übereinander gelagerten Flächensegmenten zusammengesetzt. Aus den Flächen ergibt sich ein Raumbild. Prägend sind die ochsenblutfarbenen Putzbänder aus Riffelputz. Von zwölf vorgesehenen Häusern sind vier gebaut worden.

    Der Autor
    wohnt in Zehlendorf und ist Dozent an der Beuth Hochschule Berlin
    Die Häuser tragen die Handschrift Erich Mendelsohns. Das mag dazu verleitet haben, ihm die Entwürfe zuzuschreiben. Aber mit der Architektur ist es wie mit alten Maler-Werkstätten. Die Autorenschaft ist bei größeren Projekten nicht immer eindeutig. Mendelsohn holte 1921 Richard Neutra aus Luckenwalde in sein Berliner Büro. Beide waren mit Werken in Luckenwalde vertreten, darunter Mendelsohns epochemachender Bau der Hutfabrik. In Berlin ging der jüngere Richard Neutra bei mehreren Vorhaben seinem Mentor zur Hand, so beim Umbau des Mosse-Hauses. Für Mendelsohn kam in Berlin der Durchbruch, wovon heute noch - oder wieder - der Komplex am Lehniner Platz zeugt, der die „Schaubühne“ beherbergt, oder der expressionistische Einstein-Turm in Potsdam. Hier war Neutra an der Gestaltung des Gartens beteiligt.

    In Zehlendorf zeichnet Mendelsohn noch für das Landhaus Bejach in Steinstücken verantwortlich. Die Planungen für Sommerfelds Aue gab er jedoch an seinen gelehrigen Mitarbeiter ab. In einer demnächst erscheinenden Veröffentlichung untermauert die Kunsthistorikerin Harriet Roth die „Autorenschaft“ Neutras. Dazu studierte sie gründlich die Bauakten und grub bisher unbekannte Briefe des Architekten aus. Neutra selbst war sehr wortgewandt und fasste sein bewegtes Leben in unterhaltsamen Memoiren („Auftrag für morgen“) zusammen.

    Straßenansicht von Sommerfelds AueFOTO: WOLFGANG BITTNER
    1892 in Wien geboren, führten ihn seine Lehrjahre über die Schweiz und Deutschland in die USA, wo er 1924 freundschaftlich vom großartigen Frank Lloyd Wright aufgenommen wurde, der – im zeitlichen Vergleich mit Europa – Prinzipien der Moderne vorweggenommen hatte. Flachdächer blieben Neutras Markenzeichen, das er an vielen Villen im Umkreis von Los Angeles realisierte. Er mauserte sich zum Vertreter des „International Style“, der auch auf Größeres wie Kirchenbauten und Universitäten anwendbar war. Offene Grundrisse und große Glasflächen gaben die Sicht auf Garten und Landschaft frei, die bei Privathäusern zur Wohnraumerweiterung wurden.

    Gerne legte Neutra geometrische Wasserbassins an den Einfamilienhäusern an, die das Drinnen nach draußen spiegelten und vice versa („reflecting pool“). Darin ähnelte er Mies van der Rohe. Aber er trat auch aus dem Schatten des Bauhaus heraus mit seinem Programm eines „Biorealismus“, einer organischen Einbindung in die umgebende Landschaft. Dass er einer der Großen des 20. Jahrhunderts war, erkannte auch die Bundesregierung, die ihn nach dem Krieg einlud, seine Bautypologie für den Wiederaufbau einzusetzen. Neben Siedlungen im Stil von Gartenstädten waren das vor allem Bungalows. Die Moderne wurde dank Richard Neutra re-importiert. Er starb 1970 in Wuppertal.

    Kambara House (Neutra 1960) bei Los Angeles. Die Inneneinrichtung ist so wie von den Erstbeziehern hinterlassenFOTO: MICHAEL J. LOCKE
    Das Flachdach war, nachdem die Nazis es für den Wohnungsbau untersagt hatten, an seinen Ausgangspunkt zurückgekehrt und „salonfähig“ geworden.

    Aber schon in den Zwanzigern war es höchst umstritten, und der Schauplatz der Auseinandersetzung war Zehlendorf gewesen. Das traf zunächst Sommerfelds Aue. Im Lauf der Planungen wurden die Häuser wegen ihrer Dächer von konservativer Seite als „Zigarrenkisten“ gebrandmarkt. Die Auseinandersetzung kulminierte 1928 im „Dächerkrieg“: Die von Bruno Taut konzipierte „Onkel-Tom-Siedlung“ schloss mit dem Fischtalpark ab. Die Konservativen fühlten sich von den Flachdächern dermaßen provoziert, dass sie auf einen Schlag einen ganzen Riegel aus Steildach-Häusern davor setzten.

    Sie denunzierten die Flachdächer als „nach Palästina oder Arabien“ gehörig. An dieser Stelle kommen antisemitische Ressentiments ins Spiel, die auch Neutra, Mendelsohn und Sommerfeld betrafen. Alle drei waren jüdischer Herkunft. Adolf Sommerfeld war Terrainentwickler und Bauunternehmer und als solcher maßgeblich an der Entstehung der Onkel-Tom- bzw. Waldsiedlung beteiligt und hatte sogar die Verlängerung der U-Bahn-Linie finanziert. Sein Engagement war sowohl sozialreformerisch als auch finanziell motiviert. Er war engstens dem Bauhaus verbunden. Sein eigenes Haus in der Lichterfelder Limonenstraße bestand aus dem Holz eines alten Kriegsschiffes. Es war von Walter Gropius und Adolf Meyer 1920 im Blockhausstil konzipiert worden, mit prächtiger, expressionistisch anmutender Inneneinrichtung – ein Beispiel für die Anfänge des Bauhaus.

    Drehbühne im ErdgeschossFOTO: AUS BAUWELT 14, 1924
    Der Bauunternehmer nahm in der nach ihm benannten Sommerfelds Aue auch persönlich Einfluss auf die farbige Gestaltung der Innenräume, ebenfalls vom ’Bauhaus’ inspiriert. Sommerfeld war von Anfang an bei den Planungen dabei. Wer aber war für die Drehbühnen verantwortlich? Harriet Roth hat Indizien gesammelt: Richard Neutra war technikaffin und theaterbegeistert. Er betätigte sich als Komparse am Theater am Nollendorfplatz. Was liegt näher, als beides zur Bühnentechnik zusammenzuziehen und zur Inszenierung von Räumen im Haus einzusetzen?

    Die im Durchmesser 4,75m großen und elektrisch betriebenen Drehbühnen waren in drei voneinander abgeschirmte Segmente eingeteilt, durch welche dem Wohnzimmer Erkerräume mit unterschiedlichen Funktionen zugeschaltet werden konnten. Welche Funktionen dies waren, darüber gehen die Interpretationen bis heute auseinander. Die einen vermuten nur die erweiterte Form einer Anrichte. Während des Gastmahls können in einem abgewendeten Kompartiment die jeweils nächsten Gänge angerichtet und das Geschirr abgefahren werden. Eine Fachzeitschrift kolportierte den Gedanken, das „nicht immer repräsentative Hauspersonal von jeder Begegnung mit den Gästen fernzuhalten.“

    Ein Schauspieler als Bewohner hätte die Drehbühne auch „berufsmäßig verwenden“ können

    Andere Interpreten haben vor ihrem geistigen Auge ein Klavier oder einen Flügel, der nach der Mahlzeit aufgefahren wird. Da noch ein drittes Segment frei ist, sehen sie neben der Hausmusik als Wahlmöglichkeit einen Raum für Radio und Grammophon. Neutra selbst schlägt als drittes Supplement eine „gemütliche Ecke mit einer großen Bibliothek“ vor. Aber warum nicht, fragt wieder die Fachzeitschrift, das Haus an einen Schauspieler oder Filmstar vergeben, der die Drehbühne „berufsmäßig verwendet“? Die Idee als solche ist tragfähig bis in unsere an Raum knappen Zeiten: Muss der Nutzer stets zum Raum kommen, oder kann nicht je nach Bedarf der Raum zum Nutzer kommen? Entsprechende Dreh-Modelle hat etwa der Designer Luigi Colani entwickelt.

    Die Berliner Tagespresse von 1924 sah noch andere Verwendungsmöglichkeiten voraus. Sie beschrieb einen Hausherrn, der stolz seinem Gast den Drehmechanismus vorführt, aber aus Versehen den falschen Knopf drückt. Schon rollt seine Frau in der Badewanne herein. Eine Karikatur illustrierte den Fauxpas. In der Realität lief es anders. Die Frauen der 20er Jahre ließen sich solche Herrenwitze nicht gefallen. Die Drehbühnen wurden 1928 ausgebaut.

    #Berlin #Zehlendorf #Onkel-Tom-Straße #Architektur #Geschichte #Bauhaus #international_style

  • Plus de 30.000 oeuvres du Bauhaus numérisées par l’université Harvard
    https://www.actualitte.com/article/patrimoine-education/plus-de-30-000-oeuvres-du-bauhaus-numerisees-par-l-universite-harvard/66469

    C’est en 1919 que le Bauhaus voit le jour, lorsque Walter Gropius ouvre l’Institut des arts décoratifs et industriels dans la ville de Weimar : l’architecte espère alors accomplir la synthèse des arts en réunissant leur apprentissage dans un gigantesque bâtiment. Si son ultime objectif a été atteint par le design, les productions du Bauhaus ont largement dépassé son cadre théorique pour influencer l’art moderne tout entier. Une immense collection d’œuvres a été numérisée par l’université Harvard, pour une large rétrospective...

    #numérisation # Bauhaus

  • XIII. Internationales Bauhaus-Kolloquium — Dust and Data

    http://www.bauhaus-kolloquium.de

    Bauhaus Colloquium

    The International Bauhaus Colloquium is one of the oldest and renowned conferences on questions of theory and history of architecture. The Colloquium was first held in Weimar in 1976 to celebrate the restoration of the derelict Bauhaus building in Dessau and discuss the legacy of the school, and was staged every three or four years thereafter. The invitation of international guests to the GDR (East Germany) marked not only the relative openness of the start of the meltdown years of the Soviet bloc but also an important shift in the reception of Bauhaus history, a legacy previously ignored in East Germany as too individualistic. Each of the meetings in Weimar brought together scholars, theorists, artists, architects and former students from both the East and the West. Given the political climate, presentations necessarily tested the limits of political speech and laid the foundation for an imagined, and indeed fragmented, collection constrained by geopolitical and ideological divisions. The discussion was conditioned by the different ideological positions and offered divergent readings of the school in a conference room that has become one of the heated, if tamed, arenas for Cold-War encounter. It was only when the Iron Curtain was fully drawn aside that a set of historical black boxes, locked up in state and private archives, was opened, allowing for new light to be shed on the period and the ideological colouring of the divergent stories. The conference has become one of the most important institutional events in the international academic landscape – an important site of academic experimentation and reflection upon not only the history of the Bauhaus but also that of modernism, within which it is situated.

    #colloque #bauhaus #architecture #design #information_design

  • Download Original Bauhaus Books & Journals for Free: Gropius, Klee, Kandinsky, Moholy-Nagy & More | Open Culture

    http://www.openculture.com/2015/10/download-original-bauhaus-books-journals-for-free.html

    In 1919, German architect Walter Gropius founded Bauhaus, the most influential art school of the 20th century. Bauhaus defined modernist design and radically changed our relationship with everyday objects. Gropius wrote in his manifesto Programm des Staatlichen Bauhauses Weimar that “There is no essential difference between the artist and the artisan.” His new school, which featured faculty that included the likes of Paul Klee, László Moholy-Nagy, Josef Albers and Wassily Kandinsky, did indeed erase the centuries-old line between applied arts and fine arts.

    #art #bauhaus #gropius

  • The Nazi’s Philistine Grudge Against Abstract Art and The “Degenerate Art Exhibition” of 1937 | Open Culture

    http://www.openculture.com/2013/11/nazis-degenerate-art-exhibition-of-1937.html

    Has any political party in Western history had as vexed a relationship with art as the German National Socialists? We’ve long known, of course, that their uses of and opinions on art constituted the least of the Nazi party’s problems. Still, the artistic proclivities of Hitler and company compel us, perhaps because they seem to promise a window into the mindset that resulted in such ultimate inhumanity. We can learn about the Nazis from the art they liked, but we can learn just as much (or more) from the art they disliked — or even that which they suppressed outright.

    #art #bauhaus #art_dégénégé #nazis #nazisme

  • Bauhaus, Modernism & Other Design Movements Explained by New Animated Video Series | Open Culture

    http://www.openculture.com/2013/06/bauhaus_modernism_other_design_movements_explained_by_new_animated_vide

    K’s Open University has developed a fun way to market their design courses: a series of six short animations called “Design in a Nutshell” that briefly survey important movements in the arts and architecture—from the late-nineteenth century Gothic Revival to late-twentieth century Postmodermism. While the former looked far into the past, seeking to preserve tradition, the latter looked everywhere, gleefully dismantling, recycling, and recombining fragmented and irrecoverable histories.

    #art #bauhaus

  • Time Travel Back to 1926 and Watch Wassily Kandinsky Create an Abstract Composition | Open Culture

    http://www.openculture.com/2012/06/wassily_kandinsky_captured_in_the_act_of_creation_1926.html

    Have you ever wondered what it would be like to travel back in time and look over the shoulder of one of the early 20th century’s greatest artists to watch him work? In this brief film from 1926, we get to see the Russian painter Wassily Kandinsky as he turns a blank canvas into one of his distinctive abstract compositions.

    #art #bauhaus #kandinsky

  • Un camouflage New Bauhaus - Editions B2

    http://editions-b2.com/les-livres/33-un-camouflage-new-bauhaus.html

    À partir de 1933, de nombreux intellectuels allemands débarquent aux États-Unis. Créateur du Bauhaus (qu’il dirige jusqu’en 1928), Walter Gropius émigre en 1937, rejoint l’année suivante par Mies van der Rohe, lui aussi directeur de l’école jusqu’à sa dissolution (1930-1933). Le premier arrive à la Graduate School of Design à Harvard, le second à l’Armour Institute of Technology de Chicago. Débarqué dans cette ville en 1937, leur ancien professeur László Moholy Nagy y prend, sur proposition de Gropius, la direction du New Bauhaus... qui ferme brièvement l’année suivante ! Face à d’importantes difficultés, l’établissement n’aura alors de cesse, aux lendemains de Pearl Harbor, d’offrir à György Kepes l’opportunité de former des « camoufleurs industriels »...

    #architecture #histoire #bauhaus

  • Bauhaus - Monoskop
    http://monoskop.org/Bauhaus#Books

    The #Bauhaus was founded in 1919 in the city of Weimar by German architect Walter Gropius. Its core objective was a radical concept: to reimagine the material world to reflect the unity of all the arts. Gropius explained this vision for a union of crafts, art and technology in the Programm des Staatlichen Bauhauses Weimar (1919), which described a utopian craft guild combining #architecture, #sculpture, and painting into a single creative expression [Gesamtkunstwerk]. #Gropius developed a curriculum that would turn out artisans and designers capable of creating useful and beautiful objects appropriate to this new system of living.

    ...

    The following nine PDFs are linked from the Bibliothèque Kandinsky which published them online on an unknown date (follow this link to explore the respective entries on its website). This is an important milestone in the digitalization of essential but hard-to-get art publications for the public use and we would like to express our gratitude and appreciation. <3 ! The whole set of these high-quality digital facsimiles is about 1 GB large, if anyone feels like starting a torrent to relieve bandwidth of the library let us know and we’ll include your link here. (17 Aug 2014). Update: you can now download the whole set in a single ZIP file from here. Thanks to Gabriel Benderski. (29 Aug 2014)

    #art

  • Bauhaus Edition 1: Medienkunst
    (Bibliothek)

    http://absolutmedien.de/film-1352
    Filmische Praxis war am Bauhaus ein Teil des Lehrkonzeptes einer „Wissenschaft des Sehens“. Kunst und Technik sollten eine neue Einheit bilden. Film, als technisches Medium par excellence, war wichtiges Element dieser Programmatik. Die erstmals in dieser Edition zusammengestellten filmischen Arbeiten des Bauhauses zur Medienkunst eröffnen einen Einblick in das Spektrum der verschiedenen Kunstgattungen, die am Bauhaus gelehrt und praktiziert wurden und sich gegenseitig be-einflussten. In den ausgewählten Arbeiten von Heinrich Brocksieper, Werner Graeff, Kurt Kranz und Kurt Schwerdtfeger werden Malerei, Zeichnung, Grafik und Installation durch das Medium Film zusätzlich dynamisiert. Inspiriert durch die abstrakten Filme von Hans Richter und Viking Eggeling entwickelten Bauhäusler die moderne Formensprache in medienkünstlerischen Experimenten weiter.

    Mit Filmen von Heinrich Brocksieper, Viking Eggeling, Werner Graeff, Kurt Kranz, Hans Richter und Kurt Schwerdtfeger.

    Werner Graeff (* 24. August 1901 in Sonnborn; † 29. August 1978 in Blacksburg, Virginia) war ein deutscher Bildhauer, Maler, Grafiker, Fotograf und Erfinder.
    (http://de.wikipedia.org/wiki/Werner_Graeff)

    1. KOMPOSITION I /1922, D 1922 /1977, 2’, stumm, 16mm [ursprünglich 35mm], Farbe, Regie, Kamera, Schnitt, Produktion: Werner Graeff
    2. KOMPOSITION II /1922, D 1922 /1959, 2’, stumm, 16mm [ursprünglich 35mm], s /w, Regie, Kamera, Schnitt, Produktion: Werner Graeff

    REFLEKTORISCHE FARBLICHTSPIELE
    D 1922 /1967, 24’ (Ausschnitt von 17’), Ton, 16mm, Farbe, Konzept und Rekonstruktion: Kurt Schwerdtfeger, Regie, Kamera, Produktion: Rudolf Jüdes
    (5 Sätze, lebendige Interpretation, konstruktivisitsche Elemente)

    FLÄCHEN, PERPELLERISTISCH
    ENTE
    NÄHERIN
    D ca. 1927-1930, 6’, stumm, 35mm, s /w
    Regie, Kamera, Schnitt, Produktion: Heinrich Brocksieper

    ZWANZIG BILDER AUS DEM LEBEN EINER KOMPOSITION
    D 1927-28 /1972, 2’, stumm, 35mm, Farbe
    Regie, Schnitt, Produktion: Kurt Kranz
    Trickkamera: Robert Darroll

    SCHWARZ : WEISS / WEISS : SCHWARZ
    D 1928-29 /1972, 2’, stumm, 35mm, s /w
    Regie, Schnitt, Produktion: Kurt Kranz
    Trickkamera: Robert Darroll

    DER HEROISCHE PFEIL
    D 1930 /1972, 8’, stumm, 35mm, s /w
    Regie, Schnitt, Produktion: Kurt Kranz
    Trickkamera: Robert Darroll

    LEPORELLO – ENTWURF FÜR EINEN FARBFILM
    D 1930-31 /1972, 5’, stumm, 35mm, Farbe
    Regie, Schnitt, Produktion: Kurt Kranz
    Trickkamera: Robert Darroll

    VARIATIONEN ÜBER EIN GEOMETRISCHES THEMA
    D 1944 /1972, 22’, stumm, 35mm, s /w
    Regie, Schnitt, Produktion: Kurt Kranz
    Trickkamera: Robert Darroll

    RHYTHMUS 21
    D 1921 /1923, 4’, stumm, 35mm
    Regie, Schnitt, Produktion: Hans Richter
    Trickkamera: Svend Noldan

    RHYTHMUS 23
    D 1923 /1925, 4’, stumm, 35mm
    Regie, Schnitt, Produktion: Hans Richter
    Trickkamera: Svend Noldan

    SYMPHONIE DIAGONALE
    (DIAGONAL SINFONIE)
    D 1921-1924 / 25, 3’, stumm, 35mm
    Regie, Schnitt, Produktion: Viking Eggeling. Zeichnungen: u. a. Erna Niemeyer. Trickkamera: Svend Noldan

    Filmische Praxis war für Bauhauslehrer und -schüler ein wichtiges Element des Lehrkonzeptes einer »Wissenschaft des Sehens«. Kunst und Technik sollten eine neue Einheit bilden und da durfte der Film, das technische Medium par excellence, nicht fehlen. Die erstmals in dieser Edition zusammengestellten filmischen Arbeiten des Bauhauses zur Medienkunst eröffnen einen Einblick in das umfassende Spektrum der verschiedenen Kunstgattungen, die am Bauhaus gelehrt undpraktiziert wurden und die sich gegenseitig beeinflussten.Neben den Bauhausmeistern inspirierten die abstrakten Filme von Hans Richter und Viking Eggeling die Filmexperimente der Bauhausschüler. In den ausgewählten Arbeiten von Kurt Kranz, Werner Graeff und Heinrich Brocksieper werden Malereien, Zeichnung und Grafiken durch das Medium Film eine zeitliche Dimension hinzugefügt und die moderne Formensprache zusätzlich dynamisiert.

    https://www.youtube.com/watch?v=NURJTXCJoxE

    #dvd #film #experiment #wahrnehmung #videoart #history