Omar Slaouti [conseiller municipal d’Argenteuil, prof de lycée, coauteur de Racismes de France - éd. La Découverte] promet plus d’émeutes qu’au précédent quinquennat ; ça sera ptet plutôt « same player shoot again »
▻https://www.mediapart.fr/journal/france/240422/soiree-speciale-second-tour-de-l-election-presidentielle
Cerveaux non disponibles sur Twitter : « #Macron #macrondemission #presidentielles2022 #lepen #Presidentielle2022 #Presidentielles #GiletsJaunes #Elections2022 ▻https://t.co/fHcHDusy83 » / Twitter
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C’est la danse des connards 🎶
#Macron #presidentielles2022
Le regard de C. Beaune en dit plus qu’un long discours
▻https://video.twimg.com/ext_tw_video/1518890560844701699/pu/vid/720x1280/870Q-NUdsSmXXqT1.mp4?tag=12
pendant ce temps là @marielle place de la république à Paris.
Reportage place de la République à Paris, le soir du résultat de l’élection présidentielle.
Près de 500 personnes se sont rassemblées sur une place cernée par la police.
Quelques jets de bouteilles sur les policiers ont entrainé une première charge lors de laquelle plusieurs policiers ont désobéi et matraqué à tout va sur quelques dizaines de mètres, laissant notamment un manifestant touché à la tête au sol. Par la suite, la réponse policière fut constitué de quelques jets de grenade de gaz lacrymogène et d’une grenade de désencerclement.
Chef ! oui Chef !
▻https://www.youtube.com/watch?v=RKxjnX9zm8c
Trump on Syria attack: ’very soon or not so soon at all!’ | AFP.com
▻https://www.afp.com/en/news/205/trump-syria-attack-very-soon-or-not-so-soon-all-doc-13y57v4
President Donald Trump was evasive Thursday about when the United States might attack Syria in retaliation for an alleged chemical weapons assault, saying it could be “very soon or not so soon at all!”
A day after warning starkly that “missiles will be coming,” Trump in another early morning tweet storm wrote: “Never said when an attack on Syria would take place. Could be very soon or not so soon at all!”
Bon ! et notre grand homme à nous ? il va y aller tout seul ?
Décidément, question #ligne_rouge, #bis_repetita …
Les fossoyeurs de l’antiracisme
"A la fin des années ’70, une victoire majeure a été obtenue sur le champ des idées. Elle n’a pas été saluée à sa juste valeur. Comme le monde est oublieux. Elle concerne le racisme et son invention. Et c’est à la Nouvelle Droite (et tout particulièrement au GRECE) qu’on la doit.
Une Nouvelle Droite allée à l’Ecole de Lévi-Strauss. Une victoire lourde de sens et de conséquence. Mais en quoi consistait-elle ? En une « transmutation » et en un art consommé du détournement et de l’inversion. Alain de Benoist et ses amis avaient réalisé un coup de maître en remplaçant habilement le racisme biologique et inégalitaire (grevé par l’aventure génocidaire nazie) par un racisme culturel et se voulant non-hiérarchique (appelé aussi racisme différentialiste ou racisme sans race).
Cela nécessitait pour ce faire de s’accaparer et de retourner deux notions clé : le « droit à la différence » et le « relativisme culturel ». Notions qui, malgré leur ambiguïté, avaient été à l’origine des conquêtes remportées de haute lutte sur le discours de la « mission civilisatrice » du temps béni des colonies. Et cette trouvaille avait de l’avenir. Puisqu’elle devint la doxa d’aujourd’hui.
Le génie de la démarche, à l’évidente ironie, résidait dans le fait qu’elle singeait au plus près l’antiracisme (traditionnel) qui se voulait une réponse au racisme biologique. Et par un jeu de renversement et de symétrie, elle y instalait la confusion.
Depuis Lévi-Strauss, on distingue un racisme de type universaliste, fondé sur un déni d’identité, et un (néo)racisme de type différentialiste, fondé sur un déni d’humanité ; le premier est dit « hétérophobe » tandis que le second est défini comme « hétérophile »(1).
L’ironie pouvait se poursuivre, puisque la réplique qu’on trouva à ce nouveau racisme différentialiste n’était autre que l’universalisme, dans sa version nationale républicaine. C’est-à-dire l’autre forme de racisme, celui par le déni d’identité.
Trois ouvrages ont ponctué et popularisé les « moments » clé de ce passage paradoxal. « La force du préjugé. Essai sur le racisme et ses doubles. » de Pierre-André Taguieff (le péri-situationniste passé à l’ennemi et aficionado des notes de bas de page), « La défaite de la pensée » d’Alain Finkielkraut (le philosophe contrarié et mentor de Breivik) et enfin « La France de l’intégration. Sociologie de la nation en 1990. » de Dominique Schnapper (la fille à papa qui continue la boutique).
Trois Moments qu’on peut résumer par trois formules lapidaires : 1. la crise de l’antiracisme (Taguieff) , 2. l’antiracisme est un racisme (Finkielkraut) et 3. le salut par la République universelle (Schnapper etc.). "
▻http://bougnoulosophe.blogspot.be/2011/10/les-fossoyeurs-de-lantiracisme.html
Un exemple : ▻http://www.polemia.com/antiracisme-identitaire-versus-antiracisme-egalitaire
J’ai pas tout compris, mais je sens que demain, ça va être plus clair. #bis_repetita
Un éclairage par Césaire : "Il y a deux manières de se perdre : par ségrégation murée dans le particulier ou par dilution dans l’ « universel »...." Il existe une logique circulaire entre ces deux manières de se perdre.