#bjp

  • Le Monde selon #Modi, la nouvelle #puissance indienne

    « Aucune puissance au monde ne peut arrêter un pays de 1,3 milliard d’habitants. Le 21e siècle sera le siècle de l’Inde ».
    #Narendra_Modi, nationaliste de droite, à la tête de l’Inde depuis 2014, est le nouvel homme fort de la planète. 3ème personnalité la plus suivie sur Twitter, au centre de « l’Indopacifique », une nouvelle alliance contre la Chine. C’est l’histoire d’un tournant pour l’Inde et pour le monde.

    http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/62159_1

    #film #film_documentaire #documentaire
    #Inde #Savarki #culte_de_la_personnalité #nationalisme #cachemire_indien #purge #militarisation #couvre-feu #RSS #patriotisme #religion #propagande_hindoue #colonialisme #impérialisme #BJP #parti_nationaliste_hindou #pogrom #islamophobie #Amit_Shah #Vibrant_Gujarat #hologramme #réseaux_sociaux #journée_internationale_du_yoga #yoga #soft_power #fierté_nationale #Alliance_indo-pacifique #Indo-Pacifique #armée #Routes_de_la_soie #route_de_la_soie #collier_de_perles #Chine #armes #commerce_d'armes #Ladakh #frontières #zones_disputées #disputes_frontalières #différends_frontaliers #litige_frontalier #zones_frontalières #zone-tampon #Israël #revanche_nationaliste #temple_Ajodhya #hindouisme #déchéance_de_nationalité #citizenship_amendment_act #citoyenneté #primauté_des_Hindous #résistance #milices_privées

  • #Inde. Claque rouge pour le parti hindouiste au #Kerala | L’Humanité
    https://www.humanite.fr/inde-claque-rouge-pour-le-parti-hindouiste-au-kerala-705748

    Fait notable, le Parti du peuple indien (#BJP) ne disposera d’aucun élu dans la nouvelle assemblée.

    La victoire confortable du #LDF [Front démocratique de gauche] est sans doute attribuable à la gestion exemplaire des inondations dévastatrices de 2018 et du #Covid-19, marquée par la distribution de kits alimentaires gratuits et le versement d’une allocation moyenne de 7 300 roupies

    Why One State in India Is Showing Promising Signs of Democracy as the World Goes More Authoritarian - CounterPunch.org
    https://www.counterpunch.org/2021/05/14/why-one-state-in-india-is-showing-promising-signs-of-democracy-as-the-

    The right wing in Kerala has typically claimed that the Left is not equipped to build the state’s infrastructure. But this time, the right wing had no grounds to make its typical complaints. Since 2016, the state government has not only improved the basic transportation infrastructure but has also built up other kinds of infrastructure needed by the working class and the peasantry.

    There is a conventional attitude that suggests infrastructure is built to promote the interests of business alone. But this is not the case in the way Kerala’s LDF government built its public infrastructure, including public housing—the government built 250,000 homes for the poor. There was a major focus on public education and public health care, both of which were enhanced, and a stronger public health care system in the state helped it to stave off the catastrophe that COVID-19 has wrought in the rest of India. For the first time in 25 years, students left private schools to return to the improved public education system. Improvements in facilities in public schools included providing sanitary pads for girls to encourage better attendance in school.

    Roads, bridges, power lines, and a massive public sector internet project(Kerala Fiber Optic Network, or K-FON) to provide internet as a basic right to citizens have been a few of the key elements of the government’s infrastructure work.

    #intérêt_public

  • L’Inde reconduit Modi dans un plébiscite historique
    https://www.mediapart.fr/journal/international/240519/l-inde-reconduit-modi-dans-un-plebiscite-historique

    Narendra Modi a remporté son pari en se faisant confirmer dans son rôle de leader incontesté de l’Inde, lors des élections générales. Sa stratégie combinée de mobilisation sur les réseaux sociaux, d’un parti à la discipline exemplaire, et de domestication des médias et de la Commission électorale s’est révélée ultra-efficace.

    #Asie #BJP,_parti_du_Congrès,_Narendra_Modi,_Inde,_élections_générales_indiennes

  • En Inde, l’escalade du prix du carburant touche les plus pauvres Avec Ucanews, New Delhi - 28 Juin 2018 - Eglises d’Asie
    http://eglasie.mepasie.org/asie-du-sud/inde/2018-06-28-en-inde-lescalade-des-prix-du-carburant-touche-les-plus-

    En Inde, le prix du carburant a grimpé d’environ 30 % cette année, entraînant l’envolée des factures des sociétés de transports de marchandises. Les premiers touchés sont les plus démunis du pays, qui subissent de plein fouet la situation. La situation est particulièrement difficile pour les petits commerçants, qui se voient obligés d’augmenter les prix des produits de base comme les fruits et les légumes. Une tendance qui pourrait se retourner contre le BJP au pouvoir, en amont des élections de 2019. En 2014, le parti avait en effet assuré que s’ouvrait une période de croissance économique. 

    Sarjot Singh Das, qui vend ses légumes en périphérie de New Delhi, a du mal à joindre les deux bouts depuis que la société de transports qui lui fournit ses produits a augmenté ses factures de plus de 50 % en douze mois. Sarjot fait venir ses légumes par camion tous les jours, depuis l’État voisin de l’Uttar Pradesh. Il s’inquiète face à la montée des prix du pétrole. Si ça continue, ses charges finiront par atteindre un niveau intenable. « Avant, je devais payer 600 roupies (8,83 dollars) par mois pour le transport, mais aujourd’hui, cela me coûte 900 roupies », confie-t-il. « Que deviendront mes revenus si cela continue ainsi ? »

    
En Inde, les prix du carburant ont grimpé de près de 30 % cette année, atteignant des records. Les gens comme Sarjot subissent de plein fouet les conséquences de la politique du gouvernement indien, qui a décidé plusieurs augmentations des taxes d’accise sur l’essence. Cela a eu un effet direct sur le coût des fruits, des légumes et autres produits de bases, les vendeurs étant forcés de monter les prix en conséquence. Beaucoup de vendeurs en ville se fournissent en effet dans les fermes et les villages alentour, et les coûts de livraison représentent pour eux une dépense significative.

    Un niveau de prix historique
    Le Bharatiya Janata Party (BJP), le parti au pouvoir du premier ministre Narendra Modi, avait promis, en arrivant au pouvoir en 2014, la croissance économique et l’« achhe din » (ou les beaux jours à venir). Mais pour l’instant, cela ne s’est pas reflété sur les prix du carburant. Le 14 juin à Bombay, la capitale financière du pays, l’essence a en effet atteint le niveau historique de 84,74 roupies (1,20 dollar) le litre. Une hausse de 70 roupies par rapport à son niveau d’il y a quatre ans. Arshad Khan, un commerçant d’un centre commercial dans le nord de l’État de l’Uttar Pradesh, explique que ses allers et retours à moto pour venir travailler font fondre ses économies d’une façon inquiétante. « Je parcours environ 50 kilomètres tous les jours », ajoute-t-il. « L’essence a augmentée, donc mes dépenses aussi… Avant, l’aller-retour me coûtait 60 roupies, et aujourd’hui, cela me coûte 100 roupies. »

    Le gouvernement a déclaré que les hausses des prix suivent les fluctuations du cours du pétrole brut sur le marché international, mais selon les économistes et l’opposition, cela n’explique pas la hausse considérable des taxes imposées sur l’essence en Inde. L’ancien premier ministre Manmohan Sinh, un économiste, a confirmé le mois dernier auprès des médias locaux que « les prix de l’essence sont à un niveau historique parce que le gouvernement de Modi a choisi de prélever des taxes d’accise excessives ». Le gouvernement fédéral comme les gouvernements des États imposent des taxes sur l’essence, et le gouvernement fédéral a vu ses revenus liés à l’essence et au diesel plus que tripler en quatre ans. En 2013-2014, ces revenus étaient de 12 millions de dollars ; ils avaient atteint 36,11 millions de dollars en 2016-2017. « Le gouvernement ne peut pas rejeter la faute sur les prix du pétrole brut à l’international », pour Vijay Kumar, un activiste de l’Uttar Pradesh. « Si le gouvernement baisse les taxes d’accise, les prix du carburant cesseront d’augmenter. »

    L’épreuve des élections
    Les slogans qu’employait le BJP durant les élections générales de 2014 contre l’opposition du Congrès du peuple indien, en annonçant le développement et la croissance économique, deviennent aujourd’hui contre-productifs à l’approche des élections de 2019, estime le journaliste politique Owais Ahmad. Le BJP a remporté les élections contre le parti du Congrès, qui était au pouvoir depuis 1947, à cause de l’inflation, de la pauvreté et du chômage. « Mais maintenant que la situation a empiré sur tous ces fronts, qu’est-ce que le gouvernement va pouvoir dire ? » , demande Owais Ahmad. Le 10 juin, les membres de la Fédération démocratique des jeunes Indiens (Democratic Youth Federation of India) ont organisé des manifestations dans tout le pays contre la montée des prix du carburant. Aakash Kumar, qui a participé à plusieurs manifestations, explique que les jeunes n’acceptent plus le discours avancé par les groupes politiques et par le gouvernement, « parce que ce sont les gens ordinaires qui paient le prix de leurs mauvaises politiques ».

    Une étude de l’Institut de la croissance économique (Institute of Economic Growth) de l’université de Delhi montre que la croissance économique rapide a entraîné une hausse des demandes en essence et en énergie, faisant de l’Inde le quatrième consommateur mondial de pétrole brut. L’étude affirme que durant la période de 2011 à 2025, les demandes de pétrole brut devraient grimper de 90 %, tandis que les demandes en diesel devraient augmenter de 110 %, et les demandes en essence de 165 %. L’étude suggère au pays de prendre des mesures en améliorant son utilisation des produits pétroliers, et en développant l’offre grâce des accords de production partagée entre les compagnies pétrolières locales et d’autres pays. L’Inde devrait également, selon l’étude, développer les énergies nucléaire, hydraulique et solaire, ainsi que les énergies alternatives. Elle devrait également prévoir ses besoins pétroliers afin de pouvoir « soutenir une croissance économique rapide dans le futur », confie Pradeep Agrawal, directeur des recherches conduites en 2012.

    #Inde #pétrole #énergie #BJP #Narendra_Modi #transports #croissance #pauvreté

  • Inde : #Rahul_Gandhi devient le dernier espoir de la gauche
    https://www.mediapart.fr/journal/international/121217/inde-rahul-gandhi-devient-le-dernier-espoir-de-la-gauche

    Dans un pays toujours sous le charme de #Narendra_Modi, l’héritier de la dynastie fondée par #Nehru prend la présidence du #parti_du_Congrès, samedi 16 décembre. Sa mission : remettre en ordre de marche une formation laminée par les nationalistes hindous, à un an des élections générales.

    #International #BJP

  • Il est toujours difficile d’être homosexuel en #Inde en 2015
    https://www.mediapart.fr/journal/international/201215/il-est-toujours-difficile-detre-homosexuel-en-inde-en-2015

    Le 11 décembre 2013, la Cour suprême de Delhi a réintroduit dans le Code pénal le délit de rapport sexuel « contre nature ». Deux ans après, les associations LGBT témoignent : les agressions contre les homosexuels se multiplient et la prévention contre le sida est devenue un enfer.

    #International #Asie #BJP #discrimination #gays #homosexualité

  • #INDE • Les extrémistes #hindous veulent annuler #Noël | Courrier international
    http://www.courrierinternational.com/revue-de-presse/2014/12/24/les-extremistes-hindous-veulent-annuler-noel

    Depuis l’arrivée au pouvoir des national-hindouistes du Bharatiya Janata Party (#BJP, littéralement Parti du peuple indien) en mai, le gouvernement indien fait tout pour promouvoir une idéologie extrémiste hindoue. De nombreux responsables politiques multiplient depuis des mois, et sans jamais être contredits, les provocations pour mettre à l’honneur l’#hindouisme tout en rognant des droits aux #minorités religieuses du pays. Si 82 % des Indiens sont hindouistes, le pays compte également 14,2 % de #musulmans – soit 172 millions de personnes – et 2,3 % de #chrétiens. Par ailleurs, la Constitution garantit la #laïcité ou plus exactement le « #sécularisme », c’est-à-dire l’équidistance de l’Etat avec toutes les communautés religieuses.

    Et voici donc que Noël, jour férié en Inde, est dans la ligne de mire des nationalistes hindous. Premier point, des groupes proches du pouvoir veulent organiser des cérémonies de ghar vaspi ("retour à la maison") le 25 décembre. Il s’agit de convertir – ou de reconvertir – des musulmans et des chrétiens, parfois de force, à l’hindouisme. (...)

    Autre nouvelle, le Premier ministre Narendra Modi a expliqué que le jour de Noël serait désormais célébré comme « Jour de la gouvernance », tandis que la ministre de l’Education a momentanément envisagé d’ouvrir les écoles ce jour-là. Sur le site Scroll.in, le journaliste Sidharth Bhatia se souvient d’avoir fêté Noël quand il était enfant à Bombay ; cela était tout à fait normal pour un petit garçon hindou. (...)

    What Atal Bihari Vajpayee would do | The Indian Express
    http://indianexpress.com/article/opinion/columns/what-vajpayee-would-do

    “Good Governance Day” brings a sense of farce and foreboding. It is a farce because it smacks more of a Hallmark marketing gimmick than serious governance.

    (...)

    The sheer mendacity and clumsiness of the attempt could not detract from the ominous context that surrounded it. The RSS and the Sangh Parivar are vitiating the atmosphere against Christians. We wanted to make religion less relevant to politics; the RSS wants to make it the only thing relevant to politics. Many will, of course, have a sense of schadenfreude. What else did you expect from the Modi government? Was it not a delusion to think that the BJP could transcend its RSS roots?

    Des groupes hindouistes soupçonnés de conversions forcées en Inde - Asie-Pacifique - RFI
    http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20141225-inde-conversions-forcees-hindouisme-modi-religion

    Familles, écoliers, hommes et femmes membres de diverses organisations hindouistes, ils étaient plusieurs milliers à venir assister au rassemblement de l’Arya Samaj dans le centre de New Delhi ce jeudi 25 décembre.

    Cette organisation hindouiste commémorait l’anniversaire de la mort d’un de ses leaders historiques. Il était à l’origine d’une vague de conversions de chrétiens et de musulmans dans les années 20. La tenue de cette cérémonie, qui s’est déroulée sans heurts, avait été critiquée dans les médias indiens qui ont fait état de plusieurs cas de conversions forcées ces dernières semaines dans le pays.

    Amit Sharma, membre de l’Arya Samaj et présent au rassemblement, nie cependant toute volonté de prosélytisme : « On ne force personne. N’importe qui, qu’il soit musulman ou chrétien, peut se convertir à l’hindouisme s’il le souhaite. Ça dépend simplement d’eux, et ils sont les bienvenus. »

    Plusieurs autres organisations hindouistes sont toutefois soupçonnées d’avoir récemment converti des dizaines de personnes de manière frauduleuse. Dans la ville d’Agra, une centaine de musulmans estiment avoir été dupés, le 8 décembre dernier. La polémique est remontée jusqu’au Parlement. Les députés de l’opposition accusent le Premier ministre Narendra #Modi de laisser le champ libre à la droite hindouiste, la famille politique dont il est issu.

  • #India’s ‘Africa’ policy
    http://africasacountry.com/indias-africa-policy

    In a speech last October, #Narendra_Modi argued, “I believe a strong economy is the driver of an effective foreign policy…we have to put our own house in order so that the world is attracted to us.” The need for a robust economy is paramount for Modi’s India. The economy will drive Modi’s government in […]

    #General #OPINION #POLITICS #Africa #BJP