• Merkel et la pathologie des élites mondialistes
    https://www.dedefensa.org/article/merkel-et-la-pathologie-des-elites-mondialistes

    Merkel et la pathologie des élites mondialistes

    Zerohedge.com nous apprenait récemment qu’un général allemand trois étoiles, Joachim Wundrak, reprochait à Merkel de ne plus évoquer le peuple allemand. Elle est trop politiquement correcte pour cela, ajoutait ce provocant militaire, qui se lance dans la politique.

    Voyons Merkel : pour ce vieil hippopotame de la pensée inique,il n’y a en effet qu’une population destinée à être triquée, taxée et remplacée. Au nom du nouvel ordre et de ses paradigmes.

    Et pourtant elle est toujours là, en hystérésis, gardant son colossal pouvoir de nuisance, un peu comme les USA à l’échelle mondiale – ou occidentale. Rappelons ce que nous écrivions sur cette déconcertante brandebourgeoise il y a deux ans :

    « Qui veut comprendre Merkel doit lire sa lettre au très néocon Washington (...)

  • Comment l’égalitarisme LGBTQ va nous liquider
    https://www.dedefensa.org/article/comment-legalitarisme-lgbtq-va-nous-liquider

    Comment l’égalitarisme LGBTQ va nous liquider

    C’est Merkel qui refuse de parler de peuple allemand, rappelle un général cité par Zerohedge.com. Il n’y a pour la chancelière trois fois réélue qu’une population ou des résidents. Macron refuse de parler de culture française, d’autres veulent interdire les concerts de musique classique (trop blanche). Et si le sexe devient interdit aux classes dites moyennes dans l’univers satanique-orwellien, il est très permis aux ultra-riches, on le sait avec Epstein. On jetait des morceaux de jeunes filles aux requins dans cette île de James bande, et les invités jubilaient.

    Mais voyons la question du genre avec notre philosophe libertarien préféré (l’autre c’est Hoppe).

    Il y a presque cinquante ans, Murray Rothbard voit poindre le danger, au moment de la candidature (...)

  • Comment l’État moderne a détruit notre civilisation
    https://www.dedefensa.org/article/comment-letat-moderne-a-detruit-notre-civilisation

    Comment l’État moderne a détruit notre civilisation

    L’État en France, la bureaucratie à Bruxelles, l’administration Trump deviennent fous, liquidant/ruinant leur population, menaçant le reste du monde.

    Un rappel…

    Hans-Hermann Hoppe, philosophe allemand, disciple de Murray Rothbard, est un libertarien guénonien. Autant dire qu’il ne plaira pas à tout le monde : pour lui le système produit un phénomène de dé-civilisation dont on voit les effets terminaux en Europe comme en Amérique (effondrement moral, démographique, culturel, spirituel, et même socio-économique). Le phénomène se mondialise : voyez l’Asie et son déclin culturel et démographique (-30% de chinois en 2100, disparition de la Corée et du Japon, etc.).

    Le monde moderne nous a fait dégénérer en vertu de la perversion étatique qui a fabriqué le (...)

  • Le féminisme US par-delà le rien et le mâle
    http://www.dedefensa.org/article/le-feminisme-us-par-dela-le-rien-et-le-male

    Le féminisme US par-delà le rien et le mâle

    Les médias expliquent qu’on demande, qu’on exige une présidente féministe en Amérique… Ah, ces élues du congrès en blanc, comme elles les auront émus, ces médias…

    Je n’étonnerai personne en écrivant que 90% des antisystèmes sont des hommes, et que lorsqu’on trouve des femmes dans les rangs antisystèmes, c’est essentiellement par islamophobie. Ceci concédé, notre monde aux affaires repose sur les valeurs féminines : « pleurnicherie humanitaire » (Muray), hystérie belliciste, autoritarisme tortueux (Merkel, Clinton…). Sans oublier la haine du sexe et de la reproduction, qui sont devenues des valeurs féministes. Dans l’Espagne féministe-socialiste de Sanchez, le sexe doit se faire avec notaire.

    Le Deep State et l’empire nous préparent un après-Trump (je laisse de côté le (...)

  • 1920 : Chesterton et le féminisme guerrier
    http://www.dedefensa.org/article/1920-chesterton-et-le-feminisme-guerrier

    1920 : Chesterton et le féminisme guerrier

    En 1920 Chesterton visite l’Amérique et y voit poindre nos désastres : le crépuscule des libertés, le contrôle de notre santé, la dictature humanitaire et féministe, la tartuferie paritairement correcte, le contrôle technoscientifique. On ne craint pas encore l’antisémite ou l’intégriste, on craint alors le communiste (pourtant installé à Moscou par l’argent des banques US) ou le buveur d’alcool. Et on le contrôle, parce que dans le paradis des libertés dont se moquent alors d’autres génies comme Kafka (Amerika) ou Céline (le Voyage), on ne lésine jamais sur les moyens.

    Avant nos fouilles humiliantes dans les aéroports, Chesterton décrit le passage aux douanes de la nouvelle inquisition. Et je laisse tel quel son bel anglais limpide :

    It would be easy enough to (...)

    • Par ailleurs, l’auteur ne met pas la référence de ses extraits. Il s’agit de What I saw in America de G. K. Chesterton.

      Les extraits sont, ça saute aux yeux, soigneusement découpés au scalpel. Ainsi la première phrase citée It would be easy enough… est extraite de l’introduction What is America ? où il explique qu’il est légitime de se moquer de ce qui nous parait étranger mais totalement infondé de se baser sur ce qui nous fait rire pour en tirer quelque jugement et notamment en déduire une quelconque infériorité de ce qui nous est étranger.

      Suit l’exemple, toujours d’actualité un siècle après, du questionnaire de demande de visa pour les États-Unis d’Amérique avec ses célèbres questions dont, à l’époque :

      Are you an anarchist?
      Are you in favour of subverting the government of the United States by force?
      Are you a polygamist?

      auxquelles il suggère, avec son ironie coutumière diverses réponses possibles…

      Et c’est là qu’arrive la phase de rire…

      It would be easy enough to suggest that in this America has introduced a quite abnormal spirit of inquisition; an interference with liberty unknown among all the ancient despotisms and aristocracies.

      … à laquelle le #crétin_abyssal s’arrête, justement.

    • La pensée de Chesterton ne peut pas se résumer à des phrases simples. Juste pour rire, je mets la phrase qui suit immédiatement la dernière citation de l’article…
      (ce qui me donne l’occasion de fournir un lien vers le texte intégral de What I saw in America, 1922)

      What I Saw in America - Christian Classics Ethereal Library
      http://www.ccel.org/ccel/chesterton/america.xi.html

      Now a man must be very blind nowadays not to see that there is a danger of a sort of amateur science or pseudo-science being made the excuse for every trick of tyranny and interference. Anybody who is not an anarchist agrees with having a policeman at the corner of the street; but the danger at present is that of finding the policeman half-way down the chimney or even under the bed. In other words, it is a danger of turning the policeman into a sort of benevolent burglar. Against this protests are already being made, and will increasingly be made, if men retain any instinct of independence or dignity at all.

      Et, pour être franc, ce qui entoure tout ça est en effet de teneur assez « anti-féministe », mais tout le chapitre Fads and Public Opinion agite des montagnes de réflexions stimulantes et qui, je me répète, ne se laissent pas résumer par les extraits exfiltrés du texte…