• #Loi contre le « #démembrement » d’#EDF : la gauche met un pied dans la porte

    Lors de la niche parlementaire du Parti socialiste, l’Assemblée nationale a adopté à l’unanimité la proposition de loi pour « protéger le groupe EDF d’un démembrement ». Le texte a fait l’objet d’un compromis avec le gouvernement, mais constitue une première victoire symbolique.

    C’est l’épilogue d’un véritable marathon parlementaire : l’#Assemblée_nationale a adopté en troisième lecture à l’unanimité, jeudi 29 février, la proposition de loi défendue par le rapporteur socialiste Philippe Brun pour « protéger le groupe EDF d’un démembrement ». « On est allés à la limite de ce que pouvait faire l’opposition dans la Ve République », se félicitait Philippe Brun, salle des Quatre Colonnes, après le vote.

    Derrière ce résultat apparemment consensuel se cache en effet une longue lutte politique enclenchée il y a plus d’un an. Le Parti socialiste (PS), dans le cadre de sa niche parlementaire (où il décide de l’ordre du jour une fois par an, comme ce jeudi), avait alors fait adopter pour la première fois, contre l’avis du gouvernement, cette proposition de loi comprenant un #bouclier_tarifaire censé profiter aux petites entreprises « afin de faire face à la hausse des prix de l’énergie ».

    Depuis, le texte a navigué plusieurs fois entre l’Assemblée nationale et le Sénat et a obtenu à chaque fois la majorité des voix, contraignant le gouvernement à « plier le genou devant le Parlement », selon la formule du député socialiste Philippe Brun. Mais si le texte a été adopté dans une démarche constructive entre tous les groupes, c’est que les socialistes ont accédé aux compromis proposés par le gouvernement, qui menaçait de saisir le Conseil constitutionnel pour faire tomber des amendements (il n’est ainsi plus question d’actionnariat salarié dans le texte).

    La #privatisation d’EDF rendue impossible

    Ce n’est donc plus une proposition de loi aussi ambitieuse qu’au départ qui a été votée. « Personne n’a souhaité nourrir l’illusion que c’était un texte révolutionnaire pour construire un véritable pôle public de l’#énergie. Cette grande loi de #nationalisation actualisée devra être à l’ordre du jour quand nous serons aux responsabilités », a souligné le communiste Sébastien Jumel, corapporteur du texte, en conclusion des débats.

    Le texte comprend principalement une mesure d’extension des #tarifs_réglementés_de_vente_d’électricité (#TRVE) qui bénéficiera aux entreprises de moins de dix salarié·es (2,5 millions d’entreprises) et aux petites #collectivités_territoriales (10 000 communes). Les agriculteurs et agricultrices ainsi que les boulangers et boulangères qui, jusqu’à présent, ne pouvaient pas en bénéficier en raison de la puissance consommée, vont donc désormais en bénéficier. La droite sénatoriale a toutefois détricoté le texte en excluant notamment de cette extension les #bailleurs_sociaux.

    En outre, le texte inscrit l’incessibilité du capital d’EDF dans la loi, obligeant à l’avenir toute décision en la matière à être soumise au Parlement. La gauche y tenait particulièrement, s’étant battue contre le projet #Hercule qui visait à démanteler l’électricien public et à vendre les parties les plus rentables, notamment #Enedis. « La privatisation d’EDF est désormais impossible », explique #Philippe_Brun.

    Si, à plusieurs reprises, les député·es des groupes de gauche se sont félicité·es d’avoir « gagné une bataille politique », c’est qu’en un peu plus d’un an, la majorité présidentielle s’est rangée à la nécessité d’une régulation du marché de l’électricité. « Nous nous réjouissons que le gouvernement ait finalement trouvé de l’intérêt à notre proposition. Il y a un an, il combattait les tarifs réglementés : c’était la ruine, c’était démagogique, c’était contraire au droit européen. Ils y sont désormais favorables », note Philippe Brun. Une inconstance que sa collègue de La France insoumise (LFI) Alma Dufour a raillée dans l’hémicycle d’une formule imagée : « Vous retournez tellement votre veste sur le sujet que vous êtes sur le point de réinventer le courant alternatif. »

    Le dilemme du marché européen

    Le triomphalisme affiché par le ministre délégué chargé de l’industrie, Roland Lescure, et le député Renaissance Emmanuel Lacresse, qui ont transformé cette loi en « un acquis du groupe Renaissance et de la majorité », a donc fait grincer des dents à gauche.

    Néanmoins, comme le souligne un communiqué du groupe LFI, si cette proposition de loi, que le gouvernement s’est engagé à faire adopter par le Sénat le 3 avril, met un coup d’arrêt à la #libéralisation, « la gauche n’a pas gagné la guerre des prix de l’électricité » pour autant. Sans réforme du marché européen de l’électricité, elle n’est qu’un premier pas. « La réforme européenne va dans le très mauvais sens : elle n’a pas touché à l’indexation sur les cours du gaz du prix de l’électricité, et en 2025, la Commission européenne est même censée demander la fin de tout #tarif_réglementé pour les ménages et les TPE », prévient la députée LFI Alma Dufour.

    Le député socialiste Philippe Brun, qui se dit « favorable à sortir du marché européen de l’électricité », convient bien d’une « loi plus défensive qu’offensive », donc, mais qui permet d’ouvrir un front. Avec le passage de cette proposition de loi, la gauche met un pied dans la porte, ce qui laisse présager d’un débat parlementaire autrement plus houleux lors de la réforme à venir de la loi Nome sur le marché de l’électricité.

    https://www.mediapart.fr/journal/politique/290224/loi-contre-le-demembrement-d-edf-la-gauche-met-un-pied-dans-la-porte

    #agriculture #boulangeries #service_public #tarif #prix

    • Il nous reste des bâtards, des boules, des miches, des divorcés ou de la ficelle et une baguette mais de tradition et quelques flûtes.

  • Électricité « 50 ou 100% » gratuite pour les boulangers : la CGT énergie lance une action de solidarité
    https://www.revolutionpermanente.fr/Electricite-50-ou-100-gratuite-pour-les-boulangers-la-CGT-energ

    Ce lundi, les boulangers manifestent contre les conséquences de la crise énergétique et une hausse du coût de l’énergie qui les étouffe et menace de nombreux établissements de fermetures et des travailleurs de licenciement.

    A cette occasion, la CGT énergie a décidé de lancer une opération de solidarité avec les boulangers. Comme l’explique Renaud Henry, secrétaire général CGT Énergie Marseille, à RMC : « Concrètement, c’est une manipulation sur le compteur pour que les boulangers puissent avoir un tarif soit 50% soit 100% gratuit. »

    #boulangeries #cgt #solidarité #électricité

  • La moustache pour tous ! En 1907, ouvriers boulangers et limonadiers se rebiffent Le Monde Diplomatique - Mathieu Colloghan 
    Des travailleurs luttant contre la grande précarité, des clients « pris en otage », des syndicats dont on conteste la légitimité à parler au nom des travailleurs, des contre-arguments aux « réalités économiques » et des enjeux plus larges que la lutte particulière pour les deux camps... Cette petite musique semble familière ? Peut-être. Sauf qu’en cette année 1907 le conflit porte sur le droit à la moustache.

    Le 17 avril 1907, les troupes françaises ont envahi Oujda, au Maroc, Rudyard Kipling a obtenu le prix Nobel de littérature, et les Parisiens profitent des premiers beaux jours. Ils se ruent sur les terrasses des brasseries des grands boulevards. C’est là, à 18 h 30, que débute par surprise la grève de la moustache. Pile à la demie, les garçons de café arrêtent de saisir les commandes, encaissent les consommations. Ils filent au comptoir prendre leur solde, rendent les tabliers et quittent les brasseries. Ils se retrouvent par petits groupes sur les trottoirs sous les regards incrédules et amusés des consommateurs étonnés de ce mouvement social loin des usines.

    Les patrons replient la terrasse pour fermer boutique au Café de la Paix, baissent le rideau de fer au Café Riche et coupent la lumière à L’International pour faire partir la clientèle qu’on ne peut plus servir. Chaises sur les tables. Plus un verre n’est rempli au Buffet de la gare de Lyon, plus un bouchon n’est tiré au Café Cardinal, plus une table n’est débarrassée à L’Américain. La fête est finie.

    Ainsi commence la grève des ouvriers limonadiers restaurateurs. . . . . . .
    Source : https://www.monde-diplomatique.fr/2022/08/COLLOGHAN/64948
    #gréve #greve #luttes_sociales #lutte_sociale #bistrots #restaurants #cafés #boulangeries #sabotage #inégalités #clemenceau

  • La Troisième révolution industrielle des Mulliez artificialise la vie (la vraie) Chez Renard - Tomjo
    https://chez.renart.info/?La-Troisieme-revolution-industrielle-des-Mulliez-artificialise-la-vie

    Après le textile et la grande distribution, la famille roubaisienne réunie autour de Gérard Mulliez investit fort dans le photovoltaïque. Sa multinationale Voltalia transforme déjà, dans vingt pays, la terre des paysans en champs de panneaux solaires. Partout où elle s’implante, du Brésil à l’Aveyron, des voix s’élèvent contre cette « transition énergétique » qui dévore et défigure forêts, bocages et pâturages. A l’artificialisation des terres par ses centres commerciaux et usines renouvelables, la Famille répond par des protéines de laboratoire et des serres automatisées. A chaque problème, sa fuite en avant, pilotée par le fonds d’investissements familial Creadev. Voilà la « Troisième révolution industrielle » initiée dans la région par les Verts il y a dix ans, amplifiée par Xavier Bertrand et Gérard Mulliez à leur suite.


    Centrale agrivoltaïque de Voltalia à Cabanon, France.

    Parmi les méfaits de l’Association familiale Mulliez (Auchan, Decathlon, Norauto, Leroy Merlin, etc), si on ne regarde que le climat, et pour celui-ci uniquement le carbone, le groupe émet trois millions de fois plus de CO2 qu’un ménage moyen [1]. Devant cette mauvaise presse, Auchan et Decathlon multiplient à la hâte les montages techniques et financiers pour ne consommer à terme que des énergies renouvelables, qu’ils font produire par la boîte de leur groupe familial, Voltalia.

    La grande famille de la Transition
    Née en 2005 en Guyanne française, rachetée en 2009 par Mulliez, Voltalia est aujourd’hui présidée par Laurence Mulliez et l’habile André-Paul Leclercq, membre de la Famille. Ce dernier, après trente années au service d’Auchan et Decathlon, est élu en 2015 au Conseil régional des Hauts-de-France près Xavier Bertrand. Il siège en son nom à « Picardie Énergie et Développement durable », un fonds d’investissements pour « l’émergence et le renforcement de filières régionales liées au secteur énergétique » ; il vote pendant six ans les budgets de la Troisième révolution industrielle, dont ceux pour le solaire [2] ; puis il quitte ses fonctions en 2021 pour rejoindre, dans une démarche « people and planet [3] », le conseil d’administration de Voltalia. Une affaire rondement menée.

    Avec la Troisième révolution industrielle, on vous parle d’un temps que les Jeunes pour le climat ne peuvent pas connaître. En ce temps-là, circa 2012, Jean-François Caron et les autres élus Verts de la Région invitent le prophète américain Jeremy Rifkin à élaborer un Plan de transition économique fondé sur le renouvelable et les réseaux électriques intelligents. Libération le présente alors comme le « trait d’union entre les écolos chevelus et les patrons », et le dégarni Caron, toujours maire de Loos-en-Gohelle (62), ajoute que « Ce n’est pas un écolo avec du persil dans les oreilles. Il y a avec lui un effet de séduction et d’efficacité. Il crée du désir. Quand Bouygues fait de l’écoconstruction et EDF des énergies renouvelables, ça me va [4]. »

    Dix ans plus tard, si désir il y a, ce n’est pas dans les campagnes et les forêts où Voltalia pose ses panneaux solaires. En France ou au Brésil, les populations s’élèvent systématiquement contre leurs destructions. En Angleterre, Voltalia parvient presque à se mettre la reine à dos.

    Vendre et partir


    Centrale photovoltaïque Voltalia de Sierra Branca, Brésil

    Voltalia vient d’annoncer la construction de la plus grande usine photovoltaïque et éolienne du monde, dans l’État de Rio Grande do Norte, au Brésil. Cet État au bord de l’océan Atlantique, couvert de 530 000 hectares de forêt primaire, et peuplé de ces communautés autochtones qui font sa richesse, est depuis cinq siècles la proie des colonisateurs. D’abord les Portugais, puis les Français, puis les Hollandais, puis encore les Portugais. C’est pourquoi les paysans dénoncent le « racisme écologique », quand ils voient débarquer Voltalia [5]. L’entreprise arrive d’abord en missionnaire du développement durable. Son cinéma solaire et itinérant trimballe dans les villages sa promotion des énergies renouvelables, et projette Le Roi lion aux gamins. Plus tard, les machines écrasent les champs, éventrent les forets, menacent les oiseaux déjà menacés, en dépit des protestations. « Un homme a parlé à mes frères et m’a demandé si nous voulions vendre. Nous ne pouvons pas vendre parce que c’est là que nous vivons. Si nous vendons, où irions-nous ? », demande une habitante de l’État de Bahia, confrontée à un autre projet de Voltalia [6]. Plusieurs associations tentent aujourd’hui de suspendre les travaux, « indignés par l’attitude et le manque de respect de l’entreprise et de l’agence environnementale de l’État [7]. »

    Autre hémisphère, mêmes pratiques. Voltalia vient d’obtenir en Angleterre un marché des plus symboliques : alimenter en énergie solaire la « City », le quartier d’affaires de Londres, avec ses banques, ses salles de marché, sa bourse, ses compagnies d’assurance. Pour ce faire, 200 km plus au sud, Voltalia s’apprête à défigurer la région paisible et bocagère du Dorset avec 150 000 panneaux solaires étalés sur l’équivalent de 140 terrains de foot. Tant pis pour les cultivateurs. « Les agriculteurs récoltaient autrefois la lumière pour faire pousser des céréales, maintenant ils récoltent la lumière pour produire de l’électricité », analyse un conseiller municipal de Spetisbury [8]. C’est qu’il faut se mettre au niveau des exigences de la #COP26 qui vient de se clôturer à Glasgow ! Le Conseil régional du Dorset a reçu des centaines de lettres pour sauver cette « vallée des petites laiteries », comme on la surnomme depuis le XIX° siècle. Parmi elles, celle de l’honorable Campaign to protect rural England, association de défense des campagnes patronnée par Sa Majesté la Reine elle-même. Elle dénonce le « paysage industriel » qui remplacera la bucolique Blackmore Vale, la privatisation et la destruction des chemins, et la fin de l’agriculture sur la zone. Sans doute n’a-t-elle pas intégré les intérêts supérieurs de la « Transition énergétique ».

    En Aveyron, sur le très calcaire causse Comtal, Voltalia est parvenu à se mettre à dos une quarantaine d’associations, des amis de la Terre et des oiseaux, des défenseurs des paysages et monuments, des paysans, des écolos, des opposants aux nuisances renouvelables. Auchan et Decathlon ont promis d’alimenter leurs magasins depuis des centrales du sud-est de la France. Ils ont déjà trouvé 80 hectares sur ce causse, en partie cultivés par un paysan en fermage, prêt à se faire exploitant agro-électrique. Loïc Santiago, opposant au projet et membre de la Confédération paysanne, nous résume la situation des agriculteurs :
    Un fermage agricole se négocie entre 100 et 150 € l’hectare. Les terres louées pour de l’agrivoltaïsme se négocient jusqu’à 2 500 €, vingt-cinq fois plus. L’ ADEME avance qu’il faudra 120 000 hectares de photovoltaïque en France, ce qui correspond à peu près aux annonces de Macron d’installer 100 Gw. Vu le taux d’endettement général des agriculteurs d’un côté, et la rentabilité des installations électriques de l’autre, ils n’auront pas de difficultés à trouver les terres nécessaires. Sachant que cette solution est plus rentable que d’installer les panneaux sur des toits.

    Le syndicat agricole majoritaire, la productiviste #FNSEA, a donné sa bénédiction au modèle « agrivoltaïque », qui prétend faire paître des ruminants sous des panneaux. Reste a savoir si l’herbe y sera aussi verte, ensoleillée et hydratée. Voltalia prétend que l’ombre des panneaux limite l’évapotranspiration et améliore le bien-être des animaux – ce qu’un arbre fait tout aussi bien. D’autres études démontrent plutôt la perte d’un tiers de la biomasse sous les panneaux [9]. Quoi qu’il en soit, la question demeure du genre de travail agricole, de terres, de paysage, de vie, que l’on souhaite.

    Ce modèle est une attaque de l’agriculture paysanne et de notre autonomie. Avec ces panneaux, tu ajoutes à ta dépendance envers les centrales d’achat une autre envers des industriels de l’énergie. L’ironie est qu’ici, ce sont les mêmes ! », note encore Loïc.

    La Foodtech, ou la malbouffe artificielle


    Piscines de protéines de l’entreprise Kingfish, Pays-Bas

    En résumé de la Troisième révolution industrielle des Mulliez : pour sauver la Terre, il faut détruire des terres. La grande distribution sait mieux que quiconque les tensions qui pèsent sur celles-ci, entre stérilisation chimique, canicules, sécheresses, et artificialisation, sous l’effet de ses zones commerciales et parkings. Mais elle a sa solution aux pénuries qu’elle provoque. La société d’investissements Creadev, propriété des Mulliez, multiplie les prises d’intérêts dans les industries de l’alimentation artificielle - et les Hauts-de-France, grâce aux investissements conjoints du groupe régional #Roquette et aux subventions du Plan « France Relance », dominent déjà le marché des substituts protéiniques [10]. La start-up lilloise NxtFood commercialise des steaks saignants à base de légumineuses ultra-transformées. Ynsect, rachetée en 2018 par Mulliez, bâtit près d’Amiens la plus grande ferme verticale du monde, entièrement automatisée, pour y élever des scarabées communs destinés à devenir des croquettes de protéines pour animaux d’élevage. La boîte vient de racheter le néerlandais Protifarm qui propose des recettes aux humains. A quelques kilomètres de là, leur principal « concurrent » est lui aussi une émanation de Creadev : Innovafeed, à Nesle dans la Somme, produit avec l’américain #Cargill des protéines d’insectes pour poissons d’élevage.

    Cette malbouffe s’accompagne d’investissements dans l’agriculture automatisée, urbaine, hors-sol et sous serre. Mulliez a investi, en 2018, 29 millions de dollars dans la firme new-yorkaise Gotham_Greens. Celle-ci avait posé sa première serre hydroponique sur un toit de Brooklyn en 2011, puis dans le Queens, puis à Chicago, Providence, San Francisco, etc. Ces serres urbaines sont « pilotées par les données et climatisées », toujours plus productives grâce aux progrès de « l’apprentissage automatique et de l’analyse des données » pour offrir au consommateur « un produit plus frais et plus délicieux » [11]. Mulliez investit comme ça dans une dizaine d’entreprises de « Foodtech », la malbouffe high tech, que ce soit pour des steaks végétaux ( Growthwell à Singapour, Jackfruit dans le Colorado), ou les usines de poissons et crevettes ( Kingfish aux Pays-Bas, Noray_Seafood en Espagne), nourris aux farines d’insectes qu’il produit par ailleurs.

    Que ce soit avec des centrales renouvelables ou des entreprises de techno-bouffe, la Troisième révolution industrielle des Mulliez leur permet toujours de s’accaparer les terres et détruire les savoir-faire. Qu’en disent les écologistes ? Rien.

    L’enfer vert des Mulliez
    Il est fréquent d’entendre des leaders écologistes déplorer le manque de « prise de conscience » des élus et patrons, et leur « inaction » face aux enjeux climatiques – scénarios et plans de transition à l’appui. L’action de la famille Mulliez, sixième fortune française, prouve pourtant qu’elle agit en conscience.
La Lettre que Voltalia envoie à ses actionnaires deux fois par an leur rappelle le leitmotiv de l’entreprise : « Améliorer l’environnement mondial en favorisant le développement local ». Puis le démontre, chiffres à l’appui : +10 % de gigawatts renouvelables installés au premier semestre 2021 dans le monde, et +78 % de revenus à se partager.

    Le virage écologique ne sera pas le fait d’une opposition très minoritaire, dépourvue de moyens, mais de la bourgeoisie dirigeante, le jour où elle ne pourra faire autrement. Ce seront les divers responsables de la ruine de la terre qui organiseront le sauvetage du peu qui en restera, et qui après l’abondance géreront la pénurie et la survie. Car ceux-là n’ont aucun préjugé, ils ne croient pas plus au développement qu’à l’écologie ; ils ne croient qu’au pouvoir, qui est celui de faire ce qui ne peut être fait autrement.

    Ce constat de Bernard Charbonneau fut maintes fois cité et réédité depuis 1980 [12]. L’inconscience des leaders écologistes devant la Troisième révolution industrielle du Conseil régional et de la famille Mulliez indique que l’on pourra continuer à rééditer Le Feu vert encore quelques années.

    Tomjo
    Notes
    [1] Selon le rapport de Greenpeace et Oxfam « Les milliardaires font flamber la planète et l’État regarde ailleurs », février 2022.
    [2] 27 millions en 2018, par exemple, dont 12 pour les énergies renouvelables. En 2022, le budget de la « T.R.I. » s’élève à 21 millions. Cf. délibérations « FRATRI » du Conseil régional.
    [3] Eco121, 30 avril 2021.
    [4] Libération, 24 décembre 2012. Cf. L’Enfer vert, Tomjo, L’échappée, 2013.
    [5] Rota de Colisão, racismoambiental.net, 30 mars 2022.
    [6] Idem.
    [7] Ibid.
    [8] The Telegraph, 31 décembre 2021.
    [9] « Combiner panneaux solaire photovoltaïque et cultures pour optimiser les surfaces disponibles : vers des systèmes agrivoltaïques », INRA Montpellier, 2011.
    [10] « Le marché des protéines en Hauts-de-France », Nord France Invest, non daté, vérifié le 7 juillet 2022.
    [11] Voir le site de Gotham Greens.
    [12] Le Feu vert, réédité par L’Échappée, 2022.

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  • La chaîne Pimkie licencie abruptement ses vendeuses de Crissier et Genève avant Noël ats/kkub
    https://www.rts.ch/info/economie/12744532-la-chaine-pimkie-licencie-abruptement-ses-vendeuses-de-crissier-et-gene

    Neuf vendeuses de la chaîne Pimkie ont reçu un cadeau de Noël d’un genre particulier, rapporte jeudi le syndicat Syna. La filiale suisse de l’enseigne, Mode Diffusion System (MDS) basée à Bâle, leur a annoncé par réunion téléphonique la faillite et la fermeture immédiate des deux succursales de Genève et Crissier (VD) sans même leur verser leurs salaires de décembre, dénonce-t-il.

    Mardi, soit quatre jours avant Noël, Pimkie a annoncé à l’ensemble des vendeuses qu’elle a fait faillite le 17 décembre dernier. Les responsables de MDS qui avaient cessé d’approvisionner les magasins depuis quelques semaines n’avaient donné aucune information à leur personnel, relate Syna.

    Les vendeuses ont continué à travailler après le prononcé de la faillite. Elles ont ensuite été jetées dehors sans salaire, sans lettre de résiliation, ni d’attestation d’employeur. Or non seulement les employées ont droit à leur salaire, mais elles ont besoin de ces documents pour pouvoir s’inscrire rapidement au chômage, poursuit le syndicat.

    Mépris dénoncé
    Il s’agit là d’un mépris et d’une déconsidération totale envers ces vendeuses qui méritent que les choses soient faites de manière digne. Ne comprenant pas comment elles ont pu être traitées ainsi, elles « exigent le versement immédiat du salaire du mois de décembre à la famille Mulliez, propriétaire de la marque Pimkie qui se proclame soucieuse des droits humains », a déclaré Fabrice Chaperon, responsable Syna Genève, cité dans un communiqué.

    Le syndicat mettra toute son énergie pour combattre « cette voyoutocratie patronale transfrontalière », qui laisse l’ardoise sociale à la collectivité. Car Pimkie, marque française appartenant à la famille Mulliez - dont la fortune s’élève à 26 milliards d’euros - n’en est pas à son premier fait d’armes, selon Syna.

    L’enseigne a sévi en Allemagne, en Autriche, en Espagne, en France, puis récemment en Belgique où elle a mis sur le carreau des centaines d’employés avec la même violence et la même stratégie, relève le syndicat.

    #travail #exploitation #mulliez #voyoutocratie #Pimkie #MDS #mépris #violence #Femmes #Kiloutou #Loxam #décathlon #auchan #decathlon #kiabi #capitalisme #norauto #cultura #jules #oosterdam-pimkie #acadie #maison-familiale #happychic #brice #boulanger #agapes #flunch #mobivia #droits_humains #Suisse

  • Leroy Merlin : au bout de deux semaines la grève finit par payer
    https://rapportsdeforce.fr/breves/leroy-merlin-au-bout-de-deux-semaines-la-greve-finit-par-payer-12011

    La grève des salariés de Leroy Merlin a fini par payer. Combien ? 65€/mois pour les premiers niveaux de salaire, soit une augmentation salariale mensuelle de 4%. C’est 25€ de plus que ce que la direction de cette enseigne de bricolage avait proposé lors des négociations annuelles obligatoires (NAO) du 9 novembre. A l’époque, celle-ci ne souhaitait rehausser les salaires que de 2% soit (+40€), un niveau inférieur au taux d’inflation de 2,6% mesuré fin octobre par l’Insee.


    Inconcevable pour l’intersyndicale (CFDT-CFTC-CGT-FO) et pour les salariés qui ont entamé une grève de haute intensité le 17 novembre. Au plus fort de la lutte, 37 magasins se sont mobilisés sur les 142 présents sur le territoire, indique la direction. Trois entrepôts de l’entreprise, en région parisienne et à Dourges dans le Nord, ont été durement touchés par le mouvement de grève chez Leroy Merlin, allant parfois jusqu’au blocage des sites, comme à Valence. Sur le piquet de cet entrepôt, un magasinier a même tenté par deux fois de s’immoler, raconte Médiapart.

    Le 30 novembre un accord a finalement été trouvé avec la direction. Fort de leur victoire, les 23 000 salariés bénéficieront de leur augmentation de salaire dès le 1er janvier 2022. L’enseigne (propriété de la famille Mulliez, qui possède aussi Decathlon, Auchan, Boulanger et Flunch) s’engage également à doubler la prime de 100 euros versée par l’Etat et destinée aux Français touchant moins de 2 000 euros nets mensuels. Enfin, la lutte pour les salaires continue : « un rendez-vous intermédiaire aura lieu mi-avril entre les syndicats et la direction si l’inflation dépasse 3% » , a déclaré l’intersyndicale dans un communiqué de fin de conflit.

     #leroy_merlin #grève #Salaires #mulliez #auchan #boulanger #flunch #Decathlon, #france #travail #travail_dominical #leroy-merlin #gilets_jaunes #centre_commercial

  • Les dessous de la renaissance du château de Dampierre, racheté par le riche homme d’affaires Franky Mulliez
    https://www.lefigaro.fr/culture/les-dessous-de-la-renaissance-du-chateau-de-dampierre-rachete-par-le-millia

    EXCLUSIF - L’entrepreneur Franky Mulliez se confie sur son combat pour faire revivre l’ancien fief des Luynes. Il raconte comment il a acquis le château et son projet pour lui donner une seconde vie.

    Il a fallu montrer patte blanche et s’armer de patience pour rencontrer Franky Mulliez, nouveau propriétaire du château de Dampierre-en-Yvelines. « Il est toujours par monts et par vaux, moi-même je le vois peu », nous indiquait régulièrement le directeur du domaine, Pascal Thévard. Mais, un jour d’octobre, rendez-vous fut fixé au cœur de la forêt, dans le petit pavillon que les Mulliez ont arrangé, signe qu’ils commencent à prendre racine sur place. « Vous verrez, il peut parfois être taiseux », avait prévenu le directeur.

    Après deux heures d’entretien, force est de constater qu’il ne l’est pas toujours. À l’image de ces hommes qui ont très bien réussi dans les affaires, Franky Mulliez sait se livrer s’il est en confiance. Son épouse, Marine, a beau essayer de le corriger, de temps à autre il parle avec une liberté de ton réjouissante.


    Le château de Dampierre-en-Yvelines

    Il n’est pas si facile de comprendre pourquoi cet homme de 74 ans, immense fortune française, issu d’une famille du Nord, a acquis Dampierre, en 2018. Tous ceux . . . . . .

    La suite payante, mais est ce bien nécessaire ?
    #mulliez #Kiloutou #Loxam #décathlon #auchan #decathlon #kiabi #capitalisme #norauto #cultura #jules #oosterdam-pimkie #acadie #maison-familiale #happychic #brice #boulanger #agapes #flunch #mobivia #travail #salaire #salaires #france #économie #exploitation #austérité #château

  • Grève pour l’augmentation des salaires chez Décathlon Logistique mardi 26 octobre 2021 de 11h00 à 15h00 sur le site de Lompret, rue Pasteur 59840 Lompret.

    Décathlon Logistique, dont le résultat prévisionnel 2021 se portera à 780 millions d’euros, et dont les actionnaires principaux se sont partagés 350 millions d’euros au titre de l’année 2020, refuse de répercuter la hausse automatique du SMIC de 2,2% à sa grille salariale.

    C’est encore une fois le serrage de ceinture pour les travailleurs qui créent la richesse de l’entreprise, à cause du gavage permanent des détenteurs de ses capitaux.

    Le syndicat CGT Décathlon Logistique 59/62 appelle les salariés de l’ensemble des sites à se mobiliser devant les entrepôts, ce mardi 26 octobre 2021 de 11h00 à 15h00, pour exiger des hausses de salaire en rapport avec l’implication professionnelle des salariés et l’excellente santé financière de l’entreprise.

    #mulliez #décathlon #auchan #decathlon #kiabi #capitalisme #norauto #cultura #jules #oosterdam-pimkie #acadie #maison-familiale #happychic #brice #boulanger #agapes #flunch #mobivia #innovation #travail #salaire #salaires #france #économie #exploitation #grève #austérité

  • Décathlon refuse de rattraper la hausse du Smic à ses salariés, mais 350 millions d’euros sont reversés aux actionnaires
    https://www.midilibre.fr/2021/10/19/decathlon-refuse-de-rattraper-la-hausse-du-smic-a-ses-salaries-mais-350-mi

    Les salariés se sont mis en grève ce samedi 16 octobre pour protester mais le mouvement n’a pas été trop suivi. 

    Une grève présentée comme la première chez Décathlon à l’échelle française, à l’appel du syndicat minoritaire CFDT pour une hausse des salaires et contre la baisse de leur pouvoir d’achat, a mobilisé, ce samedi 16 octobre, une faible proportion de salariés mais perturbé certains magasins, a-t-on appris auprès du syndicat et de la direction.


    Il faut dire que Décathlon a bien revalorisé le salaire minimum des salariés au Smic, une obligation légale, mais a refusé d’appliquer cette augmentation aux autres salariés.

    La répercussion ne s’est pas faite pour l’ensemble des salariés
    Et comme l’explique Sébastien Chauvin, délégué syndical CFDT, à France 3 : "Ils n’ont pas décalé l’échelle des salaires, ce qui fait que les salariés qui touchaient légèrement au-dessus du SMIC touchent en fait le nouveau SMIC. Or, cette hausse a été calée sur l’inflation. Donc, c’est une perte de pouvoir d’achat."

    Bénéfices records et dividendes reversés
    Mais ce qui a mis le feu aux poudres c’est selon la CFDT que non seulement « Décathlon, qui a bénéficié d’aides de l’État pendant la pandémie, a baissé ses effectifs et réalisé des bénéfices records en 2021 », mais en plus « la société va reverser 350 millions d’euros de dividendes aux actionnaires familiaux ».

    #mulliez #décathlon #auchan #decathlon #kiabi #capitalisme #norauto #cultura #jules #oosterdam-pimkie #acadie #maison-familiale #happychic #brice #boulanger #agapes #flunch #mobivia #innovation #travail #salaire #salaires #france #économie #en_vedette #exploitation #grève #austérité

  • Salaire unique ou « salaire au besoin » : une coopérative boulangère repense la notion de rémunération - Basta !
    https://www.bastamag.net/salaire-au-besoin-egalite-salariale-alternative-cooperative-Scop-boulanger

    Une boulangerie en coopérative a imaginé une façon inédite de concevoir sa grille salariale, en expérimentant le « salaire au besoin » Après six mois de fonctionnement, les salariés livrent un premier bilan contrasté, étonnant et riche d’enseignements.

    Que doit rémunérer le salaire ? La stricte part de l’effort productif ? Ou bien doit-il intégrer les conditions sociales d’existence du travailleur ? C’est à ces questions, pour le moins fondamentales, auxquelles des boulangers grenoblois se sont frottés. Ils ont eux-mêmes tenté une expérimentation inédite : le « salaire au besoin ».

    Jusqu’alors, la boulangerie Le Pain des Cairns – une coopérative ouvrière – fonctionnait sur un principe simple : le salaire unique. Tous les salariés y travaillent à la fois comme boulanger et comme vendeur, chacun étant appelé à effectuer les mêmes tâches – en proportions égales, autant que possible – assurant ici le service au comptoir, là différentes missions administratives, quand les mains ne sont évidemment pas occupées à préparer le levain ou à surveiller la cuisson. Chacun des boulangers coopérateurs touchait donc le même salaire, 1600 euros net, auquel s’ajoutent diverses primes au cours de l’année.

    #boulangerie #coopérative #SCOP #autogestion #revenu #salaire

    • À sa façon, la coopérative boulangère rejoue les grands débats sur la valeur du travail, mais se refuse à les trancher. « Dès lors qu’on essayait de « factualiser » tout ça dans une grille, ça bloquait. C’était trop contradictoire avec notre approche des choses » abonde Myriam, 32 ans. C’est ainsi que surgit l’idée de renverser la perspective, en dissociant les tâches accomplies de la rémunération obtenue. Autrement dit, décorréler le salaire du travail, en ne se focalisant plus sur la production et l’activité exercée, mais plutôt sur les besoins revendiqués du salarié. Le nom en découle naturellement – le « salaire au besoin » – sans qu’il ne soit inspiré d’aucune théorie ou expérience particulière. Le collectif établit pour cela son propre mode d’emploi et ses propres règles, le temps d’une expérimentation fixée à six mois à partir d’octobre 2020.

    • Si le principe du salaire unique apparaît bel et bien séduisant pour ce qu’il incarne comme valeur d’égalité, le vécu commun de cette boulangerie raconte aussi qu’il ne permet pas certaines solidarités – en l’occurrence, à l’égard de l’âge et d’une situation familiale, mais il pourrait en être de même vis-à-vis de problématiques de santé ou de handicap. Alors, salaire unique versus salaire au besoin, et si la « vérité » était entre les deux ?

      Il y a une autre question qui n’est pas abordée : et si ce n’était PAS à l’activité précise de la personne qui a ces besoins de le prendre en charge ?

      En effet, là illes font des expérimentations légitimes, car la société générale dans laquelle illes vivent ne prend pas en charge, ou mal, ces besoins. Du coup illes se rabattent sur l’entreprise où illes travaillent pour cela. C’est légitime sur le cours terme, car c’est uniquement sur ça qu’illes ont la main !

      Mais… c’est le principe de la sécu à la base : ça ne devrait surtout pas être propre à telle entreprise, mais mutualisé (et donc lissé) sur beaucoup plus de monde. Pas forcément un pays entier d’ailleurs, on peut très bien imaginer des expériences de sécu à échelle communale, régionale…

      À partir du moment où ces besoins courants et qui peuvent toucher tout le monde (enfants, maladie, chômage, etc), sont pris en charge « par la communauté » plus généralement (pays ou région ou commune, ce sont des choix très différents mais en tout cas : pas dans chaque entreprise !), et bien à l’intérieur même de telle entreprise (ou service public), le salaire peut bien rester au salaire égal.

  • Duo de douceurs au haricot tarbais
    https://www.cuisine-libre.org/duo-de-douceurs-au-haricot-tarbais

    Le mi-cuit La veille, mettre à tremper les haricots tarbais durant 12h. Les blanchir puis les cuire à l’eau pour qu’ils soient fondants. Égoutter et mixer. Faire fondre le #Chocolat au bain-marie, ajouter le beurre puis le sucre, la purée de haricots tarbais et l’œuf en dernier. Verser dans un petit moule à cake beurré et enfourner dans un four préchauffé à 170°C. Faire cuire 25 min à 150°C, laisser refroidir 10 min puis démouler en retournant sur un plat. La mousse Zester l’orange et le citron à… Chocolat, #Boulangerie_et pâtisserie, #Haricot_blanc / #Sans viande

  • « Notre pain est politique » | Du poil sous les bras
    http://www.radiosaintfe.com/emissions/societe/335-du-poil-sous-les-bras#pain

    A propos de paysannes-boulangères… Où l’on apprend que dans le pain, tout est politique, que les blés Hérisson ou Gentile rosso font de la résistance, et que notre ennemi c’est pas le gluten, c’est l’industrie ! Autour du livre « Notre Pain est politique, les blés paysans face à l’industrie boulangère » (La Dernière lettre/ARDEAR - 2019). Durée : 55 min. Source : Radio Saint Féréol

    http://www.radiosaintfe.com/media/com_podcastmanager/ACTU/PAD_ACTU_POILSOUSBRAS/PAD_POILSOUSBRAS_2021_02_01_Notrepainest.mp3

  • Arrêté pour vol par des vigiles chez Auchan La Trinité, il décède le soir même Gregory Leclerc - 20 Octobre 2018 - Nice Matin
    https://www.nicematin.com/faits-divers/arrete-pour-vol-par-des-vigiles-chez-auchan-la-trinite-il-decede-le-soir-

    Le procureur de la République de Nice, Jean-Michel Prêtre, a tenu une conférence de presse ce samedi midi au palais de justice de Nice. Un jeune homme de 21 ans est décédé vendredi soir à l’hôpital Pasteur 2 après avoir été arrêté pour vol par des vigiles privés du supermarché Auchan de la Trinité dans l’après-midi.

    Vendredi, un jeune homme de 21 ans originaire de Drap a été interpellé au supermarché Auchan La Trinité. Il venait de transvaser de l’alcool d’une bouteille dans une autre. Les vigiles, qui ont aperçu la scène sur la vidéo surveillance l’interpellent à 16h46.

    A l’arrivée des gendarmes, quinze minutes plus tard, le jeune homme est à terre, entouré de quatre vigiles, "dans un état de santé très dégradé" selon le procureur de la République. Les gendarmes appelleront les pompiers.

    Il décédera le soir même vers 21 heures aux urgences de l’hôpital Pasteur 2 de Nice. Une enquête a été ouverte pour "crime flagrant, homicide flagrant permettant de mettre en oeuvre tous les moyens possibles et imaginables", selon le procureur de la République de Nice.

    Il laisse ouverte toutes les hypothèses, mais « exige toute la vérité sur cette affaire ».

    "Une fois les faits de vol observés, la sécurité du magasin a été alertée. L’individu a été appréhendé par deux vigiles au passage des caisses dans des circonstances absolument normales", indique le procureur, se référant aux images de vidéo surveillance analysées depuis.

    Via les caméras, également installées dans les locaux de sécurité de l’hypermarché, les enquêteurs ont constaté que le jeune homme a soudain eu "un comportement particulièrement violent dont il sera recherché s’il résulte d’une crise d’épilepsie ou des circonstances liées à l’interpellation".

    Selon le procureur de la République, le jeune homme avait connu des précédents épileptiques.

    Le décès
    Après avoir été admis, le jeune homme a fait un premier arrêt cardio respiratoire à son arrivée aux urgences.

    Il a pu être réanimé mais un deuxième arrêt lui a été fatal vers 21 heures. Sa famille était présente hier soir à l’hôpital.

    La victime
    Selon le procureur de la République, il s’agit d’un jeune de 21 ans originaire de Drap, mais ayant déménagé à Saint-André-de-la-Roche. Il est "défavorablement connu des services de gendarmerie pour des faits de vol, de violences et de consommation de stupéfiants".

    Les premiers examens
    Selon le procureur de la République, le corps de la victime a été examiné ce matin mais sera autopsié dans les jours qui viennent. "Ce que j’ai de la part du médecin légiste, c’est que le corps présente des traces d’appréhension, peut-être même de fractures et sans doute un oedème cérébral."

    Toujours selon le procureur qui a interrogé les médecins, l’oedème pourrait résulter d’une crise d’épilepsie. Pas plus d’explications en revanche pour l’instant sur les fractures. Seul un examen plus approfondi - l’autopsie - permettra d’en connaître les causes.

    L’enquête
    Elle est confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Nice. "Une dizaine d’enquêteurs sont engagés, avec une montée en puissance si nécessaire. La police technique et scientifique est mise à contribution. Aucune hypothèse n’est écartée de façon à ce que la lumière soit faite", commente le colonel Boualam, de la compagnie de gendarmerie des Alpes-Maritimes.

    Il dit être en contact "étroit et transparent" avec la famille depuis vendredi soir. Le procureur insiste sur le fait que toutes les pistes sont étudiées.

    La vidéo surveillance est toujours en cours d’exploitation et les vigiles sont actuellement entendus.

    Le procureur rappelle que le jeune homme n’est pas mort dans le supermarché mais à l’hôpital et indique donc que tout son parcours sera étudié depuis l’hypermarché jusqu’à son admission.

    "Cela va être une enquête très difficile", prévient le procureur de la République.

    #auchan #décès #violence #mort #Nice #Décathlon, #Oosterdam-Pimkie, #Acadie #Maison-Familiale #Kiabi #Happychic ( #Jules, #Brice ), HTM Group ( #Boulanger etc ...), #Agapes ( #Flunch ...), #Cultura , #Mobivia ( #Norauto ), #Mulliez 

  • Une adolescente handicapée privée de cabine d’essayage dans un magasin Pimkie Guillaume Poingt - 27 Septembre 2018 - le figaro
    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2018/09/27/20002-20180927ARTFIG00053-une-adolescente-handicapee-privee-de-cabine-d-ess

    La cabine d’essayage normalement réservée aux personnes handicapées n’était pas disponible car des vêtements y étaient stockés. Face au refus du magasin de libérer la cabine, l’adolescente et sa mère ont finalement dû partir.

    33.000 « like », près de 60.000 partages et une avalanche de messages de soutien. Le post Facebook d’une mère de famille a suscité une vive polémique, et une grande indignation, sur les réseaux sociaux. Le week-end dernier, Sandrine se rend au centre commercial de Parly 2 (Yvelines) avec ses deux filles, Zoé et Camille. Âgée de 17 ans, Camille est handicapée et se déplace en fauteuil roulant, comme Sandrine l’explique dans son message sur Facebook.


    Tout se déroule pour le mieux jusqu’au moment où elles rentrent dans la boutique Pimkie pour choisir puis essayer des vêtements. La cabine d’essayage normalement réservée aux personnes handicapées n’est en effet pas disponible car les vendeuses y stockent des vêtements. Une vendeuse puis la responsable du magasin expliquent alors à Sandrine qu’elle peut installer sa fille dans la cabine « normale ». Un lieu pourtant totalement inadapté aux personnes à mobilité réduite..... Sandrine insiste pour installer sa fille dans la cabine réservée aux personnes handicapées mais la responsable finit par lui dire que « les cartons ne bougeraient pas ». En colère et se sentant profondément humiliée, Sandrine se résout à quitter le magasin avec ses deux filles. Dans la foulée, elle lance un appel au boycott de la marque.

    Pimkie présente ses excuses
    Face à l’ampleur de la polémique, Pimkie a réagi dans un communiqué publié lundi. « Samedi 22 septembre, un regrettable évènement est survenu dans l’un de nos magasins », explique l’enseigne. Avant de poursuivre : « Nous tenions à nous excuser auprès d’elle (NLDR : de Camille), cette situation ne reflète en aucun cas l’attention que nous souhaitons porter à nos clientes ». La marque explique également qu’elle fera « son maximum » pour que « cela reste un incident isolé ».
    D’autres précédents
    Au cours des dernières semaines, plusieurs cas de discrimination à l’encontre de personnes handicapées ont suscité des polémiques. Au mois d’août, un jeune homme handicapé avait notamment été privé de son chien d’assistance dans un supermarché Carrefour au motif que l’animal risquait de « lécher les légumes » et de « renifler les saucissons ». La loi autorise pourtant les chiens d’assistance à entrer dans les lieux publics.
    La mésaventure vécue par Camille et sa mère pose également la question de l’accessibilité des lieux publics aux personnes à mobilité réduite. Des handicapés manifestaient d’ailleurs mercredi à Paris pour dénoncer l’inaccessibilité du métro parisien : sur 303 stations, seulement 9 sont équipées pour les personnes à mobilité réduite.

    LE POST facebook Sandrine Zcs à Parly 2
    https://www.facebook.com/jesandrine/posts/10212601242046385
    Petit message d’appel à Boycott et surtout à faire passer de façon virale les amis svp# aujourd’hui comme toutes les mamans je décide d’aller faire du shopping avec mes filles, zoé et Camille. Camille est une ado de 17 ans et Camille est en fauteuil. Jusqu’ici rien d’anormal ... nous rentrons dans la boutique PIMKIE à Parly 2 (78150 Le Chesnay) mes ados choisissent des vêtements et au moment de vouloir aller en cabine. Celle réservée aux handicapés n’est pas disponible.

    Non pas car une personne valide est dedans... non !!! Mais car c’est là où les vendeuses stockent leurs vêtements.

    https://scontent-cdt1-1.xx.fbcdn.net/v/t1.0-0/p526x296/42351436_10212601241806379_5454150755550232576_n.jpg_nc_ca

    Je demande où ma fille peut aller et on m’indique une cabine normale. Je demande à voir la responsable qui arrive et me dit que la cabine PMR n’est pas libre et que je peux m’installer dans la cabine normale. Je lui répond qu’elle peut prendre ma place et y installer ma fille !!!

    Cette dernière n’a rien trouvé de mieux que de me répondre que les cartons ne bougeraient pas.

    Je n’ai eu le choix de quitter le magasin avec le sentiment que ma fille n’a eu aucun droit au respect, ni même qu’elle fait partie de la société. JAMAIS on l’a traitée aussi mal dans un

    commerce ! HONTEUX !
    @PIMKIE#DISCRIMINATION

    Vous pouvez également aller poster des commentaires via ce lien sur leur site directement : https://fr.custplace.com/pimkie

    Un grand merci pour Camille !

    #Mulliez #discrimination #handicap #accessibilité #Auchan, #Adeo, #Décathlon, #Oosterdam-Pimkie, #Acadie #Maison-Familiale ) #Kiabi #Happychic ( #Jules, #Brice ), HTM Group ( #Boulanger etc ...), #Agapes ( #Flunch ...), #Cultura , #Mobivia ( #Norauto )

  • Roubaix : les salariés d’Happychic (Brice, Bizzbee, Jules) mécontents après la présentation du plan social Q.V avec AFP - 11 Septembre 2018 - France « Régions
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/roubaix/roubaix-salaries-happychic-brice-bizzbee-jules-meconten

    88 fermetures de magasins sont prévues, avec 460 suppressions de postes.

    Les organisations syndicales ont affiché mardi leur mécontentement après la présentation à Roubaix du plan social par la direction d’Happychic, qui doit conduire à la suppression de 466 emplois, https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/roubaix/plus-460-suppressions-postes-dont-centaine-roubaix-grou principalement dans les enseignes Jules et Brice.

    « On demande qu’on respecte les personnes qui sont dans ce PSE (plan de sauvegarde de l’emploi, ndlr) et qu’il y ait des indemnités correctes », a déclaré Laurent Petit, délégué syndical CGT à l’issue du Comité d’entreprise (CE). 

     ?
    « On discute de la mendicité, j’ai honte, 700 euros par année d’ancienneté ! Et 17.000 euros pour des gens qui ont 20 ans dans la même boite, ce n’est même pas une année de salaire... », a renchéri Patrick Digon, délégué syndical CFDT, en larmes.

    Véronique Carnin (FO) s’est interrogée sur la mise en place d’un PSE « alors qu’il y a eu depuis trois ans près de 1.200 démissions », signe « que l’entreprise s’épure toute seule ».
    https://www.youtube.com/watch?v=j4XTyr0b_PA

    La direction d’Happychic, qui appartient à la galaxie Mulliez et qui a annoncé ce PSE mi-juillet, a rétorqué que les négociations n’étaient « qu’au démarrage » et a évoqué « un marché de la mode en pleine transformation » pour justifier la fermeture des 88 magasins. 

    « On a une structure de coûts disproportionnée par rapport au chiffre d’affaires. Il va y avoir une mutualisation des entreprises, des équipes, des organisations Jules et Brice sous un seul et même maillot », a expliqué le directeur d’Happychic, Jean-Christophe Garbino, lors d’une conférence de presse. La troisième marque d’Happychic, Bizzbe, qualifiée, elle, de « pépite », doit « prendre son autonomie », a-t-il ajouté. 

    « L’industrie de la mode ne s’est pas réinventée depuis une quarantaine d’années, on est probablement la dernière industrie à produire consciemment et volontairement plus d’offre que de demande. Ce modèle là est en train de craquer et notre objectif, humblement, est de contribuer à inventer un nouveau modèle », a-t-il dit. 

    Payer pour les erreurs de gestion

    Pour Laurent Petit, les employés « payent » aujourd’hui des erreurs de gestion des précédentes directions : « aux CE, on disait qu’il fallait stabiliser le parc de magasins » alors que les ouvertures se multipliaient. 

    Les négociations entre les syndicats et la direction entreront dans le vif du sujet le 18 septembre pour se terminer au plus tard le 17 janvier. Les premiers licenciements pourraient avoir lieu mi-février. 

    Happychic compte 734 magasins, dont 629 en France, et 3.191 employés dans l’Hexagone. Le chiffre d’affaire mondial est d’environ 673 millions d’euros TTC (chiffres de fin 2017), d’après la direction.

    #licenciements #Roubaix #Auchan, #Adeo, #Décathlon, #Oosterdam-Pimkie, #Acadie #Maison-Familiale ) #Kiabi #Happychic ( #Jules, #Brice ), HTM Group ( #Boulanger etc ...), #Agapes ( #Flunch ...), #Cultura , #Mobivia ( #Norauto ), #Mulliez 

    • Mercredi matin, alors que trois salariés sont déjà au travail et que la boutique est ouverte (comme d’habitude depuis 81 ans), le directeur du groupe Louise, la responsable des ressources humaines et une assistante juridique débarquent. « Ils nous ont demandé de nous réunir pour une annonce. Ils nous ont dit : « On va fermer. » » Les employés, surpris, posent alors la question du délai. Et la réponse les laisse sous le choc (tout comme le reste de la ville). « C’est immédiat. »

    • 1/ https://www.boulangerielouise.com/contact

      2/ La Voix du Nord | 21/06/2018
      http://www.lavoixdunord.fr/401540/article/2018-06-21/les-boulangeries-louise-condamnees-par-le-tribunal-d-avesnes

      Les boulangeries Louise condamnées par le tribunal d’Avesnes

      Bien que ses dirigeants se défendaient de toute volonté de « tromper le consommateur », la holding Louise (à la tête des boulangeries du même nom) a été reconnue coupable de pratique commerciale trompeuse par le tribunal d’Avesnes-sur-Helpe.

      3/ http://www.lavoixdunord.fr/401510/article/2018-06-21/les-explications-du-groupe-louise-sur-la-fermeture-de-la-patisserie-cha
      Florent Brelivet, directeur général de Boulangerie Louise, évoque notamment des conditions de travail qui n’étaient plus acceptables. (Pour justifier une autre fermeture de boulangerie du groupe seulement un an et demi après son rachat)

      #Boulangerie_Louise

    • http://fr.viadeo.com/fr/search/rcl/fr/BOULANGERIE+LOUISE/fr

      Jean-Baptiste Dubois
      Directeur Régional, Boulangerie Louise
      Houdain | France

      Poste actuel :Directeur RégionalBoulangerie Louise
      Poste précédent :Directeur de région - Grand NordSymphonyIRI Group

      Ecole : Lycée Gaston Berger
      Hélène Garez
      Responsable Marketing opérationnel, Boulangerie Louise
      Lille | France

      Poste actuel :Responsable Marketing opérationnelBoulangerie Louise
      Poste précédent :Responsable de magasinBoulangerie Louise

      Ecole : Ecole De Commerce Européenne

      128 contacts
      Nils De Rocca Serra
      Directeur Opérationnel grand Ouest, Boulangerie Louise
      Développe son réseau professio…
      Saint Leger Des Bois | France

      Poste actuel :Directeur Opérationnel OuestBoulangerie Louise
      Poste précédent :Directeur régional Normandie et Pays de la LoireBoulangerie Louise

      Ecole : I2M - Institut De Management France Quick
      Frédéric Le Roux
      Directeur Régional, Boulangerie Louise
      A l’écoute d’opportunités
      Brest | France

      Poste actuel :Directeur RégionalBoulangerie Louise
      Poste précédent :Animateur de zoneNOZ

      Ecole : TECOMAH

      Après des études en commerce et agro-alimentaire, je me suis tout naturellement tourné vers des emplois regroupant ces deux spécialités. C’est ainsi que le poste de chef de secteur m’a permis de découvrir le monde du travail et celui des GMS, milieu difficile et exigeant. Soucieux de management,...

      171 contacts
      Julien Sagnot
      moniteur produit , boulangerie louise
      A l’écoute d’opportunités
      Halluin | France

      Poste actuel :moniteur produit boulangerie louise
      Poste précédent :moniteur produitsboulangerie louise

      Ecole : Cfa Rouxmesnil Bouteille

      34 contacts
      Anthony Hamdi
      Boulanger,
      Wattrelos | France

      Poste actuel :BoulangerSemi industriel belge
      Poste précédent :Responsable de fabricationBoulangerie louise

      Ecole : CFA TOURCOING

      Dynamique, Rigoureux, Organisé, Gestion du personnel, Travail et Esprit d’équipe, Polyvalence ,Ambitieux , Ponctuel et Perseverant Veille au bon fonctionnement de la production et de l’équipe

      12 contacts
      Cyrille Grard
      Chef de secteur, Boulangerie Louise
      Reims | France

      Poste actuel :Chef de secteurBoulangerie Louise
      Poste précédent :FormateurCentre de formation SAINT MICHEL

      Ecole : Faculté Des Sciences

      Nouvellement embauché chef de secteur pour les boulangeries Louise. La gestion de point de vente dans le respect des proces instaurés par LOUISE fait partie de mon quotidien.
      Florent Brelivet
      DIRECTEUR GENERAL, BOULANGERIE LOUISE
      Guenroc | France

      Poste actuel :DIRECTEUR GENERALBoulangerie Louise
      Poste précédent :DIRECTION MARKETING BRIOCHE DOREEGroupe Le Duff

      Ecole : Ecole Supérieure De Gestion (ESG) - Groupe PSB (Paris School Of Business)

      279 contacts
      Nicolas Bourlon
      chargé de developpement, buffalo-grill
      A l’écoute d’opportunités
      Saint Pierre Les Elbeuf | France

      Poste actuel :chargé de developpementbuffalo-grill
      Poste précédent :Chargé d’expansion Boulangerie Louise

      Ecole : Université Evry Val D’Essonne

      Aujourd’hui en recherche de nouvelles implantations pour KFC sur la Picardie et le Nord pas de Calais.

      314 contacts
      Gilles Thierri
      Boulanger, Boulangerie Louise
      Reims | France

      Poste actuel :BoulangerBoulangerie Louise
      Poste précédent :Si2web, conception et développementSi2web

      Ecole : CFA

      Une nouvelle page est tournée et s’ouvre vers de nouvelles collaborations. (en recherche active) Armé pour accomplir mes missions, j’arbore un management qui ne pose aucune limite culturelle ou sociale. Ainsi, la subtilité de nos réussites quotidiennes, réside en notre capacité à concurrencer...

      363 contacts
      Blondel Jean-françois
      Responsable de secteur, Boulangerie Louise
      Foëcy | France

      Poste actuel :Responsable de secteurBoulangerie Louise
      Poste précédent :Directeur de restaurantFlunch

      Ecole : Lycée Hôtelier

      40 contacts
      Elodie Roullois
      Responsable des ventes, BOULANGERIE LOUISE
      Saint Malo | France

      Poste actuel :Responsable des ventesBOULANGERIE LOUISE

      Ecole : Lycée Les Vergers
      Julie Gueguen
      Monitrice des ventes, Boulangerie Louise
      Quimper | France

      Poste actuel :Monitrice des ventesBoulangerie Louise
      Poste précédent :responsable de magasinBoulangerie Louise

      Ecole : Université Rennes 1

      De nombreuses expériences en restauration, dans l’artisanat et dans l’agroalimentaire ont confirmé une réelle passion pour le secteur alimentaire. Celles-ci m’ont permis de développer mes compétences dans ce secteur : une vaste connaissance du marché, des compétences techniques, une aisance relat...

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      Caroline Budynek
      commerciale
      Lille | France

      Poste actuel :Vendeuse et remplacement ponctuel de la responsable de magasinBoulangerie louise
      Poste précédent :Hôtesse d’accueil/hôtesse de caisseE.Leclerc

      Ecole : TERTIA 3000

      74 contacts
      Michael Ferjani
      Directeur Opérationnel, Boulangerie Louise
      Développe son réseau professio…
      Abbeville | France

      Poste actuel :Directeur OpérationnelBoulangerie Louise
      Poste précédent :Directeur régionalZEEMAN

      Ecole : ESIG

      Parcours trés complet et opérationnel en magasin au sein de diverses enseignes de distribution spécialisée et alimentaire......de responsable de rayon à directeur Opérationnel.

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      Seguin Romain
      Moniteur Produit, Boulangerie Louise
      Bretagne | France

      Poste actuel :Moniteur Produit BretagneBoulangerie Louise
      Poste précédent :Responsable de productionBoulangerie Louise

      Toujours à la recherche de nouveau challenge et passionné des métiers de bouche en particulier par la Boulangerie j’ai tout d’abord commencé par l’apprentissage pour ensuite travaillé dans plusieurs boulangerie en France et à l’étranger pour optimiser mes méthodes et mon organisation de travail.

      11 contacts
      BOULANGERIE Louise
      Appel à Candidature_BOULANGERIE LOUISE
      Développe son activité
      Feignies | France

      Poste actuel :RESPONSABLE DES RESSOURCES HUMAINESBOULANGERIE LOUISE

      La société Boulangerie Louise développe un concept de fabrication de baguettes et pains spéciaux maison dans les règles de l’art. Les boulangeries Louise se multiplient sur les régions suivantes : Hauts de France, Grand Est, Grand Ouest et Parisienne. Véritable artisan, nous recherchons des p...

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      Marine Diette
      Responsable des Ventes, Boulangerie Louise
      En recherche active
      Armentières | France

      Poste actuel :Responsable des VentesBoulangerie Louise
      Poste précédent :VendeuseBoulangerie Louise

      Ecole : Lycée Paul Hazard

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      Anne-Lorine Munier
      responsable magasin, Boulangerie Louise
      A l’écoute d’opportunités
      Quimper | France

      Poste actuel :responsable magasinBoulangerie Louise
      Poste précédent :chef de magasinLidl

      Ecole : Ecole De Management De Normandie

      Responsable magasin 2 ans d’expérience en grande distribution Management d’équipes de 10 personnes

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      Emmanuel Galopin
      Moniteur Vente, Boulangerie Louise
      Rouen | France

      Poste actuel :Moniteur VenteBoulangerie Louise
      Poste précédent :ManagerBoulangerie Louise

      Ecole : GRETA Rouen

  • Article 259 - Pimkie : après Noël 2009 et ses licenciements, Noël 2018 et ses licenciements

    Bonjour
    Pour une famille très catholique, #Noël est une fête emblématique.
    Cette période est propice aux licenciements ... Mais chuttttt ... Ce ne sont pas des licenciements. Ce sont des départs type « Macron ». Vous êtes viré(e)s ... mais volontairement. Si nécessaire, un vote va même être organisé !!! La démocratie, il n’y a que ça de vrai pour les dictateurs de la modernité en marche ... en marché capitaliste, on devrait dire.

    En 2016, six sociétés consolidées (Groupes #Auchan, #Adeo, #Décathlon, #Oosterdam-Pimkie, #Acadie et Groupe #Maison-Familiale ) et la société #Kiabi Europe (comptes sociaux, la consolidation n’est pas publiée) avaient réalisé 82 208 M€ de chiffre d’affaires, 5 434 M€ d’Ebitda, 2 133 M€ de résultat net, et disposaient de 22 010 M€ de fonds propres. Une misère !!! Et pour quelques millions de pertes non encore officialisés (comptes 2017 non publiés, par définition, ils ne seront officiels qu’après le visa des commissaires aux comptes vers mai 2018), immédiatement un plan de licenciements. Où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir.

    Et encore, le groupe n’a publié aucun compte sur : #Happychic ( #Jules, #Brice ), HTM Group ( #Boulanger etc ...), #Agapes ( #Flunch ...), #Cultura , #Mobivia ( #Norauto ), et les bénéfices devraient être encore plus importants. Discrétion toujours cautionnée par le Tribunal de Commerce et le Procureur de la République. Tout ceci ne regarde pas les mécréants. La transparence, c’est pour les autres ... Ceux qui n’ont pas les moyens de bénéficier de conseillers fiscaux, et qui peuvent se délocaliser vers des paradis - proches ou lointains.

    En août 2016, le cumul de valeur des 5 titres « groupe #Mulliez » (Acanthe, Cimofat, Valorest, SC Soderec et Claris NV) était de 168,48 € ; en août 2017, ce cumul valait 181,59 € ; soit une hausse « modeste » de 7,78 % en un an. Probablement le même niveau de hausse de salaires dont ont bénéficié les salariés du groupe !
    Joyeux Noël ; les petits enfants Mulliez ont encore pu bénéficier de l’exploitation de dizaines de milliers de salariés. Et ce n’est pas encore suffisant pour la hotte, il faut les licencier en plus ... pour avoir toujours plus, toujours plus .... Telle est la dure loi du capitalisme, avec Mulliez à la manoeuvre et #Macron en prophète de l’argent roi.

    B. Boussemart

    Source : http://richessem.eklablog.com/article-259-pimkie-apres-noel-2009-et-ses-licenciements-noel-201

    Benoit-Boussemart #bénéfices #actionnaires #transparence #finance

  • Panik sur la Terre
    http://www.radiopanik.org/emissions/panik-sur-la-ville/panik-sur-la-terre-

    Franck Perrault est #paysan-boulanger près d’Angers, en Pays de la Loire, dans l’Ouest de la France. Il s’intéresse à tout le processus de fabrication du #pain : de la graine sélectionnée et plantée, au blé récolté et moulu en #farine, en passant par le #levain et le pétrissage du pain, la cuisson au four, et la vente dans les circuits courts. S’il utilise des méthodes et procédés d’antan pour ses activités de paysan et de #boulanger, il demeure très actuel, à l’heure où le respect de la Terre est plus qu’une nécessité, sûrement un devoir.

    #alimentation2017 #semence #blé_ancien #bio #levain,pain,farine,alimentation2017,boulanger,semence,blé_ancien,paysan,bio
    http://www.radiopanik.org/media/sounds/panik-sur-la-ville/panik-sur-la-terre-_03735__1.mp3

  • 25 avril 1916 : du pain gris dans les boulangeries - France Info
    http://www.franceinfo.fr/loisirs/france-info-y-etait/25-avril-1916-du-pain-gris-dans-les-boulangeries-1276569-2014-01-12

    Dès le début de la guerre, le gouvernement s’est soucié de la production de pain, pour contrôler les importations de blé. Progressivement, les mesures successives lui font perdre sa qualité. Les résidus sont de plus en plus incorporés dans la farine. En 1916, les boulangers ne peuvent plus cuire qu’un « pain national ». La guerre perturbe en effet la production à tous les niveaux. Notre chroniqueur culinaire, Laurent Mariotte, revient de la boulangerie...

    http://www.franceinfo.fr/sites/default/files/imagecache/462_ressource/2014/01/10/1276567/images/ressource/f1%5B1%5D.jpg

    C’est l’image souvent utilisée pour planter le décors : les champs de blés sont devenus des champs de bataille. Une partie de la production française a en effet été engloutie, effacée par la ligne de front, ou part pour l’Allemagne. Et pour renforcer cette image, la presse de l’époque raconte que des soldats allemands détruisent les champs de blés en arrière du front : « Ce fer primitif des jours heureux, innocent et pur, qui ne pénétrait dans la glèbe que pour y préparer la place tiède et le lit des grains, ils s’en servent, eux, pour pratiquer l’avortement des entrailles maternelles », écrit l’Illustration du 12 juin 1915. ...

    #Première-guerre-mondiale
    #14-18
    #grande-guerre
    #histoire
    #boulangerie
    #pain