L’homme, « débouté de l’asile », a été jugé en comparution immédiate, ce vendredi pour menace de mort. Il a finalement été condamné pour port d’arme prohibée et usage de stupéfiants.
Mercredi, un homme de 27 ans a été interpellé agitant des couteaux à longue lame, devant l’Office français de l’immigration (Ofii) et de l’intégration à Montrouge, dans les Hauts-de-Seine.
Jugé en comparution immédiate ce vendredi, il a été relaxé pour les faits de menace de mort, mais reconnu coupable d’usage illicite de stupéfiants et de port d’arme prohibé de catégorie D. Il a été condamné de trois mois d’emprisonnement avec sursis par le tribunal de Nanterre.
L’homme, « débouté de l’asile, de nationalité bangladaise » selon Didier Leschi, [ex gauchiste, ex chevenenementiste] directeur de l’Ofii a été filmé et diffusé sur les réseaux sociaux, dans la matinée de mercredi, devant les locaux de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii), à Montrouge, tournant en rond et armé.
« Il est venu sans rendez-vous et demandait un logement », précise une source policière. Sa demande refusée, l’homme, détenteur d’une attestation de demandeur d’asile est revenu armé devant les locaux de l’Ofii et a alpagué un agent de sécurité.
« On a quelqu’un devant nos portes avec deux couteaux, énormes »
Les employés de l’office ont alerté la #police en ces termes : « On a quelqu’un devant nos portes avec deux couteaux, énormes. Il a l’air un peu énervé. » Le Bangladais faisait en effet les cent pas sur le trottoir, dans une sorte de carré délimité par des lignes de sécurité.
Quand les forces de l’ordre sont arrivées sur place, le Bangladais a levé la main droite, le couteau toujours en main. Il pointait le second couteau sur son ventre, menaçant de se tuer si les forces de l’ordre approchaient. Les trois policiers ont dégainé leur Taser.
L’un d’eux a crié au moins deux fois « Lâche ton couteau ». Sans succès. Alors un des membres de l’équipage a appuyé sur la détente. Effet immédiat : l’homme s’est effondré au sol, lâchant les couteaux.
je comprends pas pourquoi le ministre ne communique pas pour dénoncer le laxisme de ces policiers, lui qui par ailleurs ose twitet à l’occasion du centenaire de la naissance de Brassens un bout de la seule chanson d’icelui qui exonère un policier et un seul.