Un élément peu commenté en France, c’est l’embauche par le New York Times d’un éditorialiste climato-sceptique. C’est très remarquable : l’un des plus grands fleurons de la presse libre du monde libre, qui se présentait comme un indispensable bastion de la résistance aux élucubrations fake-news de Trump, dès lors que la nouvelle administration américaine est ouvertement climato-sceptique, s’empresse d’embaucher un éditorialiste climat-sceptique (dans le but prétendu de présenter à ses lecteurs une plus grande diversité de point de vue).
Juan Cole, d’ailleurs, est un des rares à clairement faire le lien entre cette soudaine complaisance avec un précédent épisode de compromission qui allaient dans le sens (dangereux) de l’administration en place :
▻https://www.juancole.com/2017/04/millions-march-climate.html
Bret Stephens at the NYT is the essence of fake news.
The New York Times gave us the Iraq War with phony stories about aluminum tubes and Iraqi nuclear bomb projects, and biological weapons on bumpy Winnebagos on Iraq’s potholed roads. The paper has a lot of great and honest reporters, but a little bit of arsenic can ruin an otherwise fine meal.