• Christopher Wylie : « #Cambridge_Analytica a fermé, mais ses #tactiques n’ont pas disparu »
    https://www.lemonde.fr/pixels/article/2020/03/11/christopher-wylie-cambridge-analytica-a-ferme-mais-ses-tactiques-n-ont-pas-d

    ENTRETIEN
    L’ancien salarié de l’entreprise avait révélé le vol massif de données personnelles à des fins politiques par l’ancienne société britannique. Il publie aujourd’hui en français son livre, « Mindfuck ».

    Sa coiffure colorée s’est affichée sur les télévisions du monde entier il y a deux ans. Christopher Wylie, ancien salarié de l’entreprise Cambridge Analytica, est le lanceur d’alerte qui a révélé l’existence du gigantesque #vol_de_données_personnelles issues de #Facebook à des fins politiques mené par cette entreprise britannique, au profit notamment de la campagne de Donald #Trump et du #Brexit.

    Lire : tous nos articles sur l’affaire Cambridge Analytica

    Son livre, Mindfuck, est publié mercredi 11 mars en français aux éditions Grasset (512 pages, 24 euros). Un essai dense, qui parle davantage de politique que de technologie, et un outil précieux pour comprendre les mécanismes de l’ascension au pouvoir de Donald Trump.

    A la fin de votre livre, vous êtes au chômage, et un peu dépassé par votre nouvelle célébrité. Que faites-vous aujourd’hui ?
    Christopher Wylie : Ma vie est redevenue plus ou moins normale. Je travaille pour H&M. J’ai eu mon dernier rendez-vous avec des enquêteurs il y a deux semaines. Je suis encore très occupé, mais ma vie est un peu moins frénétique. Vivre sous la surveillance constante du public, ça devient épuisant au bout d’un moment.

    Que retenez-vous de toutes ces enquêtes dans lesquelles vous avez témoigné ?
    J’ai appris que, parfois, les preuves ne suffisent pas. Ça a été le cas dans l’enquête sur la campagne du Brexit. J’ai fourni aux autorités les preuves que Vote Leave, la campagne officielle, avait consacré 40 % de ses dépenses à une filiale de Cambridge Analytica au Canada. Ces dépenses étaient illégales, comme l’ont reconnu les autorités. Donc nous savons que Vote Leave a triché. C’était la plus importante violation de la loi électorale dans toute l’histoire de l’Angleterre.

    Pourtant, malgré toutes ces preuves, rien ou presque n’a été fait. Personne n’a dit « peut-être que nous devrions mettre tout ce processus en pause, en attendant la fin de l’enquête, parce qu’il est possible que cette triche ait eu un impact sur le vote ».

    Il y a pourtant eu des commissions parlementaires (liées à Cambridge Analytica) dans de nombreux pays, des sanctions, des amendes…
    Oui. Mais les régulateurs et les élus, pour la plupart, ne comprennent pas vraiment ce à quoi ils ont affaire. Ils reprennent à leur compte les éléments de langage de Facebook, qui dit « nous sommes un service, nous sommes gratuits, personne n’est obligé d’utiliser notre plate-forme ». C’est comme dire que l’électricité est un service et que si vous ne voulez pas être électrocuté, vous n’avez qu’à vous passer de courant ! Les données, comme l’électricité, sont partout, et peuvent être dangereuses.

    Beaucoup d’élus m’ont dit : « Vous savez, je suis un député, je n’y connais rien en technologies. » Peut-être, mais ça ne vous empêche pas de réguler les compagnies aériennes, les entreprises pharmaceutiques ou du nucléaire !

    Nous avons aujourd’hui un secteur de la technologie à qui on laisse le droit d’expérimenter en direct sur nos sociétés et nos démocraties, sans conséquences pour lui lorsque ça se passe mal. Or, quand vous laissez une bande d’ingénieurs californiens, majoritairement des hommes blancs, créer un produit et l’appliquer à un pays qui a un passé de violences ethniques et religieuses, il se passe ce qui s’est passé en Birmanie. Même après avoir été alerté que son service était utilisé par l’armée comme un catalyseur de nettoyage ethnique, Facebook n’a quasi rien fait.

    Pensez-vous que Cambridge Analytica a eu un impact sur le résultat final dans le référendum sur le Brexit ?
    C’est probable. Si ça n’avait pas produit de résultats, Vote Leave n’aurait probablement pas dépensé 40 % de son budget dans ces services. Mais si on parlait de dopage, on ne se poserait même pas la question : quand un athlète est pris sur le fait, on ne se demande pas si les produits qu’il ou elle a pris ont vraiment fait une différence.

    Mike Bloomberg a dépensé des centaines de millions de dollars en publicités ciblées et en analyses de données pour remporter l’investiture démocrate. Mais sa campagne pour les primaires a échoué. Est-ce que ça ne montre pas les limites de ce que faisait Cambridge Analytica ?
    Je ne peux pas me prononcer sur la campagne de Mike Bloomberg en particulier, mais il faut garder à l’esprit que le but initial de Steve Bannon [l’ancien conseiller politique de Donald Trump, chargé de sa campagne électorale en 2016] était de changer la perception du public, pas de faire élire un candidat en particulier. Il a su catalyser le mouvement alt-right, ce qui a ensuite permis à Donald Trump de réussir.

    Cambridge Analytica a commencé en travaillant sur la contre-propagande, et notamment sur les jeunes hommes musulmans célibataires et en difficulté, qui pouvaient être tentés de rejoindre l’organisation Etat islamique. Bannon a ciblé des profils semblables aux Etats-Unis, sauf qu’au lieu de viser les jeunes musulmans pour les « déradicaliser », ils ont visé les jeunes blancs pour les radicaliser.

    Steve Bannon a très vite compris qu’il pouvait s’appuyer sur des mouvements comme le GamerGate, trouver des groupes de personnes extrêmement en colère et qui étaient prêtes à devenir des trolls extrémistes dévoués.

    C’est une différence majeure avec la campagne de Mike Bloomberg. Trump, en 2016, a pu exploiter ces cellules, dans tout le pays, qui étaient nourries de propagande et de conneries, jusqu’à ce qu’elles ne soient plus que des boules de rage pure.

    Steve Bannon, l’éminence brune de Donald Trump
    A la lecture de votre livre, on a l’impression que Steve Bannon a créé l’alt-right de toutes pièces, seul. Ne lui accordez-vous pas trop de crédit ?
    Je ne pense pas qu’il a tout créé lui-même. Steve Bannon n’est pas un magicien venu de l’hyperespace qui a lavé le cerveau de millions de personnes juste parce qu’il avait accès à des données Facebook.

    Mais il a été un catalyseur. Il a compris, avant tout le monde, un certain nombre de choses qui se passaient sur Internet en 2013-2014. Vous en connaissez beaucoup des politiques qui lisaient Reddit et 4Chan à l’époque ? Moi, non.

    Les démocrates ont-ils compris ce qui s’était passé ?
    Pour comprendre l’élection de Trump, il faut réfléchir en matière d’insurrection. Une erreur que font beaucoup de démocrates est qu’ils continuent de considérer Donald Trump comme un candidat politique. Ceci alors que l’alt-right fonctionne littéralement comme une secte, avec des milliers d’adeptes complètement cinglés. Personne n’ose le dire, parce que ce sont les Etats-Unis, mais si Trump était président du Zimbabwe, on ne parlerait certainement pas de « l’administration Trump », mais du « régime Trump ».

    D’autres « Cambridge Analytica » sont-ils possibles ?
    Oui. L’entreprise a fermé, mais ses technologies et ses tactiques n’ont pas disparu. Je ne sais pas ce que font les autres anciens employés. Nous savons désormais pour Cambridge Analytica, pour la Russie, mais que se passera-t-il la prochaine fois, quand la Corée du Nord aura créé son propre Cambridge Analytica ? Ou l’Iran, la Chine, ou même un pays « ami » ?

    Si un bombardier russe survole la France pour larguer des tracts à la veille d’une élection, il y a de fortes chances que l’armée française lui tire dessus. Mais si exactement la même chose se produit dans le cyberespace, subitement plus personne ne sait comment réagir.

    Ma grande crainte est que ces opérations d’influence deviennent la norme dans tous les pays. La désinformation, de gauche comme de droite, est toujours la forme la plus aisément accessible d’information. L’information de qualité est en général derrière un paywall, et la propagande est toujours gratuite.

    Finalement, la seule entité qui semble agir très directement pour limiter la désinformation reste Facebook. L’entreprise a démantelé plusieurs réseaux de désinformation ces dernières années…
    C’est vrai. Mais est-ce que vous, Français, vous voulez vraiment déléguer la gestion de votre vie politique en ligne à une entreprise californienne gérée par une bande de mecs de la Silicon Valley ? Je ne leur fais pas confiance.

    Et depuis quand est-ce que ce rôle peut être délégué à une entreprise privée, qui a un point de vue incroyablement américain sur la plupart des choses ?

    Facebook a recruté un Européen, l’ancien leader du Parti des démocrates libéraux Nick Clegg, à l’un de ses principaux postes. Dans votre livre, vous racontez avoir croisé M. Clegg dans ses anciennes fonctions. Est-ce qu’il ne peut pas apporter justement une vision plus « européenne » ?
    Pensez-vous vraiment que Sheryl [Sandberg] et Mark [Zuckerberg] en ont vraiment quelque chose à faire ? Que diraient les Français si, après son mandat, Emmanuel Macron vous disait que le changement climatique est un sujet extrêmement important et qu’il a donc décidé d’aller travailler pour une compagnie pétrolière pour « changer les choses de l’intérieur » ? Tout ça, ce sont des beaux discours, mais le résultat, c’est que vous travaillez pour une entreprise qui pose de gigantesques problèmes.

    Pourquoi avez-vous travaillé aussi longtemps pour Cambridge Analytica ? Vous expliquez dans votre livre à quel point vous étiez politiquement en désaccord avec sa direction…
    Lorsque vous êtes dans une relation toxique, la situation n’est pas toujours aussi simple. Et je reconnais que j’ai été un peu absorbé par le côté « cool » du projet original.

    Avec le recul, je me rends bien compte que ce n’est pas parce qu’un projet est passionnant qu’il ne peut pas être utilisé pour de mauvaises choses. Le couteau que vous fabriquez peut être utilisé par un chef étoilé au Michelin ou pour agresser quelqu’un. J’ai ignoré beaucoup de signaux qui auraient dû m’alerter.

    Très peu de gens se lancent dans une carrière d’ingénieur en se disant qu’ils veulent détruire la société. Il y a des problèmes de sexisme et de racisme dans la Silicon Valley, mais la plupart des gens qui y travaillent ne cherchent pas à faire du mal. C’est juste qu’ils sont dans un secteur qui ne leur impose pas un code de conduite professionnel strict, qui n’a pas assez d’agences de régulation et de règles.

    Quelles devraient, selon vous, être ces règles ?
    Les codes de conduite pour les architectes ne se contentent pas de regarder à quel point un design est brillant : il leur impose de regarder des choses comme les flux d’air en cas d’incendie. C’est pareil quand vous êtes médecin ou avocat. L’une des raisons qui font que la société vous octroie un prestige lié à votre profession, c’est que vous devez vous conformer à des standards éthiques.

    L’ingénierie informatique n’est plus une niche depuis longtemps. La science des données non plus. Il est grand temps que ces professions évoluent, et adoptent des codes de conduite qui les engagent à titre personnel.

    Aujourd’hui, les entreprises sont confrontées aux régulateurs seulement lorsqu’elles ont fait quelque chose de mal. Dans le secteur de l’aérospatiale ou du médicament, lorsque vous avez une idée pour un nouveau produit, vous devez d’abord demander une autorisation en amont, avant de le lancer. Je ne vois pas pourquoi ça ne pourrait pas s’appliquer aux #réseaux_sociaux.

  • Israël demande à l’Angleterre d’intégrer la Cisjordanie dans leur accord bilatéral de commerce
    TRT, le 15 février 2020
    https://www.trt.net.tr/francais/moyen-orient/2020/02/15/israel-demande-a-l-angleterre-d-integrer-la-cisjordanie-dans-leur-accord-bil

    L’administration israélienne a demandé à l’Angleterre d’intégrer les terres sous occupation en Cisjordanie, dans le Golan et à Jérusalem dans leur accord bilatéral de commerce conclu l’année dernière.

    Le journal israélien Hayom a écrit que le Premier ministre Benjamin Netanyahu est à l’origine de cette requête.

    Dans ce sens, le ministre israélien de l’Economie et de l’Industrie Eli Cohen s’est entretenu avec son homologue britannique Conor Burns pour lui demander une révision de l’accord. Netanyahu et le Premier ministre britannique Boris Johnson ont également discuté à ce sujet, selon le journal.

    L’accord qui avait été signé en février 2019 entrera en vigueur en 2021.

    Israël avait également cherché à faire intégrer les terres sous occupation dans ses accords de libre-échange avec l’UE, mais n’était pas arrivé à ses fins.

    #Palestine #UK #Brexit #Colonisation #Territoires_occupés #Territoires_67

  • How Militant Irish Republican Slogans went Viral
    https://www.vice.com/en_uk/article/yw84vw/how-militant-irish-republican-slogans-went-viral

    Something peculiar happened in Ireland during the two decades following the Good Friday Agreement. In the absence of conflict, slogans, songs and iconography associated with militant Irish Republicanism have become detached from their original meaning. Once explicit expressions of support for the IRA, phrases like “Up the RA”, “Tiocfaidh ár lá” (Irish for “our day will come”) and “Brits out” have been appropriated by young people, the majority of whom came of age after The Troubles. References to the legacy of Republicanism have become suffused with irony, meme-fodder for Irish Twitter, Leftbook and Ireland Simpsons Fans (ISF), a Facebook group with around 80,000 members that has gradually become a significant player in Irish political commentary.

    The descent of Irish Republican slogans into absurdity is rooted in a folklore that romanticised the IRA as exemplars of a hyper-masculine heroism to which young, disenfranchised Irish men could aspire, post-peace process.

    Up the Ra - Rubberbandits
    https://genius.com/Rubberbandits-up-the-ra-lyrics

    https://www.youtube.com/watch?v=JGaeL22Pkps

    Monty?
    Yeah?

    It’s like this now
    I want you to go up the North next Saturday night
    And I want you to take to of your best mates with you
    Car and all now is on the dock waiting for you
    There’s three guns in the boot of the car
    And I want no messing
    And I want you to blow away two Paratroopers

    Yeah, we’re gonna give you a lesson now in Irish history
    For over three hundred years
    The British Army have oppressed the Irish people

    It all started with the Great Potato Famine of 1916
    When the British took all of our food
    And when we were took weak and too starving to fight
    They stole the seven counties in Ulster
    So Éamon de Valera rode to London on the back of a horse
    To punch the Queen into the jaw
    As a symbol
    She locked him in jail for a hundred years
    And he smeared his own shit on the wall and starved to death

    Ooh, aah! Up the Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!

    Paul McGrath, take off your bra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Cantona, you’re a spa!

    Fast forward to 1974, when Sean South From Garryowen starved a dog out his back garden for seventeen years

    Him and that dog sailed over to England on a ship made out of coffins
    He trained the dog to make shit of the Queen
    And to punch her into the jaw
    As a symbol
    But he was caught in the car park of Buckingham Palace
    And jailed for a hundred years

    But he smeared his own shit on the wall, and he starved to death
    Like so many before him

    Ooh, aah! Up the Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Paul McGrath, take off your bra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Cantona, you’re a spa!

    And so

    Paddy Irishman went over to London to box the Queen into the mouth

    He had a load of condoms filled with petrol
    And a sword made out of hash
    That he sellotaped to the steering wheel of his mother’s face
    He met the Queen in the car park of Buckingham Palace

    And he cleverly locked her into the boot of an Opel Corsa
    In that boot
    She smeared the walls with shit
    And the Queen starved to death
    And that’s how the Irish Republic was wan!

    (break it down)
    Ooh, aah! Up the Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Paul McGrath, take off your bra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Cantona, you’re a spa!

    Be proud to be Irish
    Don’t ever let no-one tell not to be proud to be Irish
    The British Mon-arky insists… wants to keep us not knowing about our fucking heritage. But it’s all over the place
    They celebrate fucking St. Patrick’s Day in Maaalta, like, you know what I mean?
    If the Queen ever came to this country
    I’d chase her around a field with dog shit on the end of a golf club
    I swear to God
    And to all the patriots who have died before in the Irish wars?
    I know you’re up in heaven smoking a joint with 2Pac and Bob Marley
    Chalk it down! Yah!

    Ooh, aah! Up the Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Paul McGrath, take off your bra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Ooh, aah! Up The Ra!
    Cantona, you’re a spa!

    Yeah, kicking it straight, 2008, Limerick G-Funk style!
    Lash this one out, now, caaaaar?
    Smoking a joint, have you got any pins spots now, boys, have ya?
    Yah, you know what I’m talking about!
    Now, we’re gonna list out some of the boys that are in the IRA
    You ready for this shit?

    Marty Whelan! HE’S IN THE RA!

    Colin Farrell! HE’S IN THE RA!

    George Lucas! HE’S IN THE RA!

    Tony Cascarino! HE’S IN THE RA!

    Mick Jagger! HE’S IN THE RA!

    Robert De Niro! HE’S IN THE RA!

    Quentin Tarantino! HE’S IN THE RA!

    Terry Phelan! HE’S IN THE RA!

    Dr. Dre! HE’S IN THE RA!
    Your man in the Da Vinci Code! HE’S IN THE RA!
    Winona Ryder! HE’S IN THE RA!
    Kofi Annan! HE’S IN THE RA!
    Michelle Pfeiffer! HE’S IN THE RA!
    The Rubberbandits! WE’RE IN THE RA!
    The Rubberbandits! WE’RE IN THE RA!
    The Rubberbandits! WE’RE IN THE RA!
    The Rubberbandits! WE’RE IN THE RA!
    The Rubberbandits! WE’RE IN THE RA!
    The Rubberbandits! WE’RE IN THE RA!
    The Rubberbandits! WE’RE IN THE RA!

    The Rubberbandits are in the IRA
    I’m telling you now, we are in the IRA, we are the IRA, you know what I mean, yeah?
    Do you know the IRA like? That’s us!
    We’re in the Ra, don’t ever not forget it, like?

    #Irlande #musique #culture #brexit #good_friday#sinn_fein #brits_out

  • Le #Brexit et les deux Irlandes

    En 1998, l’Accord du Vendredi Saint a mis fin à trente ans de guerre civile en Irlande du Nord. Pierre angulaire du traité, l’ouverture de la frontière avec l’Irlande du Sud a facilité l’application du #processus_de_paix. Mais le Brexit menace de la rétablir.


    https://laviedesidees.fr/Le-Brexit-et-les-deux-Irlandes.html
    #Irlande #UK #Angleterre #frontières #paix

  • Si, comme la plupart des soc-dem, vous ne comprenez rien au Brexit, lisez l’historien David Edgerton, qui le remet en contexte :
    Le Brexit est le produit de la désindustrialisation
    https://www.ledevoir.com/monde/europe/568795/le-brexit-est-le-produit-de-la-desindustrialisation

    Depuis 30 ans, on vend le Royaume-Uni au plus offrant ...

    À la veille d’une élection qui devrait reporter au pouvoir celui qui avait dirigé la campagne du Leave en 2016, en sait-on plus sur les origines profondes de cette révolte historique qui secoue le Royaume-Uni depuis trois ans ? À droite, on a accusé les partisans du Remain de vouloir continuer à dépouiller le Royaume-Uni de sa souveraineté. À gauche, on a répondu aux partisans du Leave qu’ils n’étaient que des nostalgiques de la grandeur perdue de l’Empire.

    Dans cette cacophonie, la voix de l’historien David Edgerton émet un son différent. Pour l’historien du King’s College de Londres, auteur de The Rise and Fall of the British Nation (Penguin), les racines du Brexit se trouvent moins dans les frictions historiques entre Londres et Bruxelles que dans les choix économiques faits par le Royaume-Uni depuis 40 ans. Le sentiment de dépossession ressenti par toute une partie de la population britannique, dit-il, n’a rien à voir avec la nostalgie de l’Empire, comme l’affirme une partie de la gauche, mais tout à voir avec la véritable disparition du capitalisme national, qui avait fait la prospérité de l’après-guerre.

  • Border line : a journey through the Irish heart of the Brexit crisis – video | UK news | The Guardian

    https://www.theguardian.com/uk-news/video/2019/dec/09/the-irish-border-line-a-journey-along-edge-of-brexit-crisis-video

    Un joli reportage de 15 minutes sur la frontière entre l’Ulster et l’Irlande au prisme du Brexit

    In the weeks leading up to the general election triggered by the Brexit crisis, Phoebe Greenwood and Ekaterina Ochagavia have driven the length of the border that has proved one of the most contentious issues in the Brexit debate. We hear from the people living along it, and what they think is at stake in the election

    Phoebe Greenwood Ekaterina Ochagavia , Mick Browne, James Armstrong, Marina Costa and Katie Lamborn, Source: The Guardian

    Mon 9 Dec 2019

    #irlande #irlande_du_nord #royaume-uni #brexit #frontières

    • Irlande du Nord : les accords de paix d’avril 1998
      https://journal.lutte-ouvriere.org/2023/04/12/irlande-du-nord-les-accords-de-paix-davril-1998_609602.html

      L’accord fut signé au terme de trente ans d’une guerre, appelée par euphémisme « Troubles », qui ravagea l’Irlande du Nord de 1968 à 1998. Aux origines du conflit se trouvait la volonté de la puissance coloniale britannique, au lendemain de la Première Guerre mondiale, de garder la main sur une partie de cette Irlande insurgée. En effet, pour mettre fin au soulèvement armé des nationalistes irlandais (1919-1921), les dirigeants de ce qui était alors le plus grand empire colonial au monde avaient scindé l’île en deux, concédant l’#indépendance à la plus grande part du territoire mais gardant le nord-est, plus industriel et plus riche que le reste de l’île. Londres pouvait garder sous tutelle cette « Irlande du Nord » grâce à une majorité protestante unioniste, c’est-à-dire favorable à l’union avec la Grande-Bretagne, contre les aspirations des nationalistes, largement majoritaires dans l’île mais en minorité au nord-est.

      À la fin des années 1960, une part croissante de la classe ouvrière catholique d’Irlande du Nord n’acceptait plus la pauvreté, le chômage, les inégalités criantes et les discriminations dont elle faisait l’objet. Les protestations, d’abord pacifiques au sein d’un mouvement pour les droits civiques et le droit au logement, furent brutalement réprimées par la police, puis par l’armée britannique d’occupation, comme lors du « #Bloody_Sunday », le « dimanche sanglant », de 1972. L’#État\britannique était ainsi responsable de l’escalade violente qui s’engageait. Parmi les unionistes, des milices se constituaient, suppléant les forces britanniques et ciblant souvent des catholiques de façon aveugle. Du côté des nationalistes, les organisations paramilitaires comme l’IRA s’érigeaient en bras armé des catholiques, frappant l’armée, les paramilitaires unionistes, ainsi que de nombreux civils lors d’attentats dans des centres commerciaux, des centres-villes, etc. Les Troubles allaient faire quelque 3 500 morts et 38 000 blessés, un bilan considérable à l’échelle d’une province de 1,5 million d’habitants. Aujourd’hui encore, de nombreuses familles gardent des séquelles de cette guerre. Et c’est d’abord au sein de la population que l’aspiration à la cessation des violences s’est exprimée.

      En 1998, l’accord de paix fut négocié sous la houlette du Premier ministre britannique #Tony Blair et, derrière lui, des États-Unis. Il était censé mettre un terme aux trente années de guerre civile. Pour cela, les dirigeants britanniques ont confié des prérogatives aux différents protagonistes du conflit. Les anciens paramilitaires ont enfilé le costume et obtenu des postes de pouvoir. Les partis nationalistes et unionistes ont obtenu un droit de veto dans les institutions locales, par conséquent souvent paralysées, comme c’est le cas aujourd’hui où le principal parti unioniste (#DUP) refuse de reconnaître sa défaite aux dernières élections. L’accord de 1998 prévoyait également l’ouverture de la frontière avec la #République_d’Irlande, une ouverture dont les unionistes se sont accommodés… jusqu’au #Brexit, qui s’est traduit, à leur grand dam, par la mise en place d’une frontière douanière entre l’Irlande du Nord et la Grande-Bretagne.

      L’#accord_de_1998 a figé les Nord-Irlandais dans deux « communautés » confessionnelles, #protestants et #catholiques, en créant des institutions partagées où leurs partis respectifs, unionistes et nationalistes, doivent siéger ensemble. Le poids de ces partis ainsi que celui des Églises font que la plupart des écoles restent ségréguées et que, encore aujourd’hui, des dizaines de « #murs_de_la_paix » séparent quartiers catholiques et protestants. La politique coloniale de « diviser pour régner » a éloigné ainsi les travailleurs les uns des autres pendant longtemps, mais n’a pas pu les empêcher d’entretenir d’innombrables liens de solidarité. Une partie des #Nord-Irlandais, qui côtoient dans leurs relations de travail, amicales voire familiales, des membres de « l’autre » #communauté, refusent désormais de s’inscrire dans ce #clivage_confessionnel gravé dans le marbre par les accords de 1998.

      Si la fin des affrontements a fait le bonheur des capitalistes qui font des affaires en Irlande du Nord, elle n’a mis fin ni aux inégalités, ni à la pauvreté, aujourd’hui plus importante qu’en #Grande-Bretagne. Le NHS, le système national de santé, est dans un état catastrophique dans la province d’Irlande du Nord où, par exemple, 6 000 patients attendent une opération depuis plus de cinq ans.

      Il y a donc quelque chose d’indécent à voir les dirigeants du monde impérialiste célébrer aujourd’hui l’accord sordide qu’ils négocièrent pour mettre fin à une guerre civile dont ils étaient largement responsables.

  • EU net migration continues to decline as UK heads towards the general election, but impact of manifesto promises on migration can’t be predicted

    Today’s data from the Office for National Statistics (ONS) (https://www.ons.gov.uk/peoplepopulationandcommunity/populationandmigration/internationalmigration/bulletins/migrationstatisticsquarterlyreport/november2019) show that EU net migration had continued to decline, reaching the lowest level since before EU enlargement, as the UK heads towards the general election, the Migration Observatory at the University of Oxford said today.

    Today’s data suggest that net migration of EU citizens in the year ending June 2019 was 48,000, 78% below the pre-referendum peak of 218,000 in 2015. In separate population estimates also published today, Poland lost its place as the top country of birth for migrants living in the UK (although the difference between Poland, at 827,000 residents in YE June 2019, was not statistically different for figures from India, at 837,000).

    Non-EU net migration was broadly stable at 229,000 in the year ending June 2019, after steady increases since 2013. This makes non-EU considerably higher than EU net migration, although the precise contribution of EU vs. non-EU to the total remains uncertain due to problems identified in the data (see editor’s notes, below).

    Madeleine Sumption, Director of the Migration Observatory at the University of Oxford said: “EU net migration has fallen dramatically since before the referendum, and is now at its lowest level since before EU enlargement. The reasons for this will include things like the lower value of the pound making the UK less attractive, improving economic prospects in EU countries of origin, and potentially the political uncertainty of the prolonged Brexit process.”

    There has been much discussion of migration policies outlined by the main political parties as the general election approaches. The Conservatives and the Brexit party have committed to ending free movement and introducing an “Australian style” points based system, the features of which are yet to be announced; Labour has signalled that it would consider free movement as part of a negotiations on the future UK-EU relationship, while the Liberal Democrats have promised to end the Brexit process and maintain free movement.

    Sumption added: “What will happen to migration in the coming years is highly uncertain, regardless of which party is power. It’s easy to imagine that migration policies are the only things that affect migration, but in reality, policies act more like a filter than a tap. The state of the economy, demand for workers by UK employers, conditions in countries of origin can have a big impact on migration, in some cases even more than changes in policy. That’s one reason why we’ve seen such a big drop in EU migration since 2016, despite the fact that policy has not yet changed at all.”

    Currently, the relatively low levels of EU net migration mean that restricting free movement now would be expected to have a much smaller impact on overall migration levels than it would have done in the past. However, this will not always be the case. EU migration has fluctuated up and down over time, and there is no reason to assume this would not continue to happen if the UK were to maintain free movement in the future. Recently revised ONS figures suggest that EU net migration made up a majority of the total from YE June 2013 to YE June 2016.

    https://migrationobservatory.ox.ac.uk/press/eu-net-migration-continues-to-decline-as-uk-heads-towards
    #migrations #Brexit #UK #Angleterre #statistiques #chiffres #citoyens_européens #migrants_européens

  • #Brexit : la #Lettonie n’est pas pressée - REGARD SUR L’EST
    http://regard-est.com/brexit-la-lettonie-nest-pas-pressee

    Le ministre letton des Affaires étrangères, Edgars Rinkēvičs, a déclaré à la télévision que l’approche de Riga au regard du Brexit restait flexible : la Lettonie est prête à donner du temps au Royaume-Uni pour que celui-ci adopte tous les accords nécessaires en vue de sa sortie de l’Union européenne, qu’il s’agisse du 30 novembre 2019, du 31 décembre, voire du 31 janvier 2020. Pour le Ministre en revanche, un « no deal » n’est pas envisageable.

    E. Rinkēvičs n’a pas exclu d’autres options, notamment des élections anticipées et un nouveau référendum dont l’issue, a-t-il précisé, ne serait pas prévisible.

  • Brexit : L’Union européenne survivra-t-elle au départ du Royaume-Uni ?
    https://usbeketrica.com/article/brexit-union-europeenne-survie-depart-royaume-uni

    « Amputée de l’Union Jack, l’Union européenne se verra privée de 16 % de son PIB et d’un important contributeur. Aura-t-elle perdu de son sens voire de sa raison d’être ? L’avenir de l’Union dépendra aussi de la relation à terme établie avec son ancien État-membre. À moins que le Royaume ne paie de sa propre désunion le prix de ce départ. »

    #UE #économie #géopolitique #brexit

  • Le #gorafi encore plagié : Brexit, Bruxelles : “Ce n’est pas fini !”, crient les partisans du maintien dans l’UE au rond-point Schuman 17 octobre 2019 - 17 Octobre 2019 - Belga - BX1
    https://bx1.be/bruxelles-ville/ce-nest-pas-fini-crient-les-partisans-du-maintien-dans-lue-au-rond-point-schuman/?theme=classic

    Quelques dizaines de partisans du maintien du Royaume-Uni dans l’Union européenne se sont rassemblés jeudi en début d’après-midi au rond-point Schuman à Bruxelles, au pied de la Commission européenne, pour affirmer leur conviction que l’accord engrangé ce midi entre l’exécutif européen et le gouvernement britannique ne signifiait pas la fin de leurs espoirs.

    “Ce n’est pas fini, continuons à nous battre“, haranguait un orateur sur un podium aux couleurs du “Stop Brexit”. D’aucuns rappelaient que la situation n’était pas si différente d’il y a quelques mois, lorsque la Première ministre Theresa May avait engrangé un accord de retrait avec le reste de l’UE, mais n’avait pu lui faire passer l’obstacle de la Chambre des Communes. C’est l’heure maintenant de “mobiliser le Parlement”, soulignaient les “remainers” présents.

    #brexit #europe #royaume-uni #international #union_européenne #ue #grande-bretagne #angleterre #uk #référendum

  • CARTES. #Brexit : on vous explique pourquoi les négociations patinent toujours à cause du « backstop » irlandais
    https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/la-grande-bretagne-et-l-ue/cartes-brexit-on-vous-explique-pourquoi-les-negociations-patinent-a-cau

    Afin de comprendre pourquoi et comment le Brexit pourrait précipiter toute l’Europe dans l’inconnu, il faut se plonger dans le cauchemar du « backstop ». C’est quoi ? Comment ça marche ? Franceinfo relève le défi.

    Encore un jour crucial sur le front du Brexit. Alors qu’un sommet européen se tiendra les 17 et 18 octobre à Bruxelles afin de valider un tant attendu accord permettant d’encadrer la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne, prévue le 31 octobre, les deux parties continuent de s’arracher les cheveux sur le sort de la frontière irlandaise. Les îles britanniques étant entourées par la mer, la seule frontière terrestre entre l’Union européenne et le #Royaume-Uni se trouvera sur l’île irlandaise, entre l’#Irlande_du_Nord, qui fait partie du Royaume-Uni, et la République d’#Irlande, indépendante.

    #frontière #union_européenne #UE

  • The Irish border is a matter of life and death, not technology | Fintan O’Toole | Opinion | The Guardian
    https://www.theguardian.com/commentisfree/2019/oct/08/brexit-irish-border-technology
    https://i.guim.co.uk/img/media/f5fca6e3685824d8b9bba53fab53c341781ad774/0_224_6720_4032/master/6720.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    “Spaff some money on some geeks.” According to Chris Cook’s excellent account of Theresa May’s Brexit negotiations with Brussels, that was the instruction issued to the civil service by May’s enforcer Fiona Hill in late 2016.

    It had finally dawned on the British government that it had committed itself to two incompatible things. One was that under no circumstances would there be a return to a hard border between the UK and the Republic of Ireland. The other was that all of the UK was going to leave the EU’s customs union. May faced exactly the same problem that her successor Boris Johnson is struggling with: you can do one or other of these things but you cannot do both. If Northern Ireland leaves the customs union, there will be border controls.

    #frontières #irlande_du_nord #royaume_uni #ulster #brexit

  • Brexit: border talk stirs up bad memories in Northern Ireland | UK news | The Guardian
    https://www.theguardian.com/uk-news/2019/oct/06/boris-johnson-brexit-proposals-border-northern-ireland-fermanagh

    Two very different storms barrelled into Gortmullan last week, one from the west, the other from the east.

    Remnants of Hurricane Lorenzo unleashed wind and rain from the Atlantic across the area, a rural pocket of County Fermanagh that marks Northern Ireland’s border with the Republic. “Stay back, stay high, stay dry,” advised the authorities, and residents duly hunkered down. Lorenzo passed without major damage.

    Brexit secretary hints UK could rethink DUP veto on deal | Politics | The Guardian
    https://www.theguardian.com/politics/2019/oct/06/brexit-secretary-stephen-barclay-hints-uk-rethink-dup-veto-deal

    The Brexit secretary has hinted that the government could amend its proposal to give the Democratic Unionist party an effective veto over its plan for an alternative to the Irish backstop

    #brexit #irlande #royaume-uni #irlande_du_nord #ulster #frontières #murs

  • Arrival of new customs cars in #Dundalk alarms Border group

    Community group urges Government to be open about future of Border in no-deal Brexit.

    A campaign group representing communities along the Border opposed to Brexit have reacted with concern at the arrival of a fleet of new Revenue customs cars in Dundalk, Co Louth.

    Border Communities Against Brexit posted two photographs online of seven brand new customs patrol cars arriving at a Revenue Commissioners yard in the Border town.

    The publication of the images online triggered alarm among Border residents and criticism of the Government’s response to Brexit on social media.

    The group called on the Government to be more open with communities along the Border about how it intends to manage the new EU border should the UK exit at the end of this month without a deal.

    “This is another example of how the Irish Government are preparing for Brexit,” said a spokesman for the group, referring to the photographs that were posted on its Facebook page on Tuesday afternoon.

    “Border communities need to be told now in clear and uncertain terms what the Border will look like following a no deal,” he said.

    “It’s certain that the Irish Government will be bound to follow EU rules pertaining to managing a Border with a third country,” he said, referring to the UK’s post-Brexit status.

    “The Taoiseach cannot allow communities to be left behind,” he added, warning that the 1998 Belfast Agreement and the Northern Ireland peace process were “under attack by Brexit.”
    ‘Getting real now’

    The Revenue said it was acquiring 16 new vehicles for its customs fleet, some to replace older vehicle and that the overall size of the fleet would increase to 242 from 229 at the start of last month.

    “These vehicles will be distributed at various locations nationwide based on operational requirements,” said the spokeswoman, who sidestepped a question on whether the additional vehicles in Dundalk were required to deal with changes as a result of Brexit.

    Images of the new cars arriving in Revenue appeared amid heightened concern about the uncertain future of the Border following Brexit after British prime minister Boris Johnson publicly distanced himself from reports that he was proposing new customs clearance centres on either side of the Border.

    Seamus Leheny, policy manager of the Freight Transport Association Northern Ireland, responded to the photos on social media, saying that the “reality of Border checks” were “getting real now.”

    The Government has said that there would have to be checks on goods crossing the Border in the event of a no-deal Brexit but has also said it is still in discussion with the EU on where those checks would take place.

    The Revenue has hired more than 450 people, including some 370 this year, to prepare for Brexit, as part of a phased recruitment of an additional 600 people to deal with the extra work resulting from the UK’s exit.

    Minister for Finance Paschal Donohoe provided Revenue with an additional €10 million in last year’s budget for the recruitment of the staff. The uncertainty around the manner and timing of the UK’s departure from the EU and the possibility of a disorderly exit resulted in Revenue accelerating its recruitment plan.

    https://www.irishtimes.com/news/ireland/irish-news/arrival-of-new-customs-cars-in-dundalk-alarms-border-group-1.4036534
    #frontières #fermeture_des_frontières #Brexit #Irlande #Irlande_du_Nord #UK #Angleterre

    ping @mobileborders

  • Articles signalés par @reka


    Les autorités irlandaises rejettent l’offre Brexit de Boris Johnson comme étant « inacceptable »
    https://www.theguardian.com/politics/2019/oct/02/irish-officials-dismiss-boris-johnson-brexit-offer-as-unacceptable
    Deux frontières pour quatre ans : quelle est l’offre Brexit de Boris Johnson ?
    https://www.theguardian.com/politics/2019/oct/02/two-borders-four-years-what-boris-johnson-brexit-offer
    Voici la frontière irlandaise (carte en temps réel des passages)
    https://www.theguardian.com/politics/ng-interactive/2019/sep/02/a-typical-hour-in-the-life-of-the-irish-border
    Brexit : Le plan de Boris Johnson pour une alternative au filet de sécurité (backstop) reçoit un premier accueil glacial de la part de l’UE
    https://www.theguardian.com/politics/live/2019/oct/02/brexit-latest-news-conservative-conference-boris-johnsons-plan-for-alte
    #brexit #irlande #frontière #royaume-uni #ulster #irlande-du-nord

  • Signalé par @reka :
    Les plans secrets de Boris Johnson pour la frontière irlandaise…

    Boris Johnson’s ’secret Irish border plans’ dismissed as non-starter. Report cites leaked proposals for clearance areas 5-10 miles from border and real-time tracking of goods

    Boris Johnson’s secret plans to solve the Irish border Brexit challenge involve customs sites on both sides of the border and real-time tracking devices on lorries, it has been reported.
    The ideas, which mark a departure from his promise not to put infrastructure on the border, are part of four unofficial papers submitted by the UK to Brussels by Johnson’s team.
    The broadcaster RTÉ, which has had sight of the the tightly guarded proposals, is reporting that customs clearance sites would be sited five to 10 miles from the border to the north and the south to deal with imports and exports.
    Traders would have the choice of lodging their papers at these sites, similar to the ones that existed before the single market came into existence, or electing to be tracked electronically in an online “transit” arrangement.
    […]

    https://www.theguardian.com/politics/2019/sep/30/hardline-conservative-brexiters-open-door-to-support-for-deal
    #irlande #frontières #brexit #royaume-uni #ulster

  • Royaume-Uni: John McDonnell, l’éminence rouge de Jeremy Corbyn
    https://www.mediapart.fr/journal/international/200919/royaume-uni-john-mcdonnell-l-eminence-rouge-de-jeremy-corbyn

    Le député londonien sera l’une des vedettes de la conférence annuelle du parti travailliste, qui s’ouvre samedi 21 septembre à Brighton dans un contexte politique très tendu. Ce tenant de l’aile gauche du parti travailliste, qui cite Marx et rêve de devenir ministre de l’économie, défend sur l’Europe une position plus pragmatique que Corbyn.

    #EUROPE #Brexit,_Royaume-Uni,_Jeremy_Corbyn,_Grande-Bretagne,_gauches,_John_McDonnell

  • Grande-Bretagne : Hausse des salaires de 4%, du jamais vu depuis 2008 - Challenges
    https://www.challenges.fr/finance-et-marche/grande-bretagne-hausse-des-salaires-de-4-du-jamais-vu-depuis-2008_673705

    Les salaires ont connu cet été leur hausse la plus forte depuis la mi-2008 avec un taux de chômage revenu au plus bas depuis le milieu des années 70.

    #brexit