Burn-out : les douze signes qui doivent vous alerter
▻http://www.francetvinfo.fr/sante/burn-out-les-douze-signes-qui-doivent-vous-alerter_572561.html
#santé #burnout
Burn-out : les douze signes qui doivent vous alerter
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#santé #burnout
Suite et fin du débat sur le BurnOut.
Le Sénat a tranché, ce ne sera pas une maladie professionnelle.
Le Sénat a retiré, mercredi 24 juin, le burn-out de la liste des maladies professionnelles. A l’occasion du débat en première lecture, l’Assemblée nationale avait inscrit dans le projet de loi sur le dialogue social que les maladies psychiques pouvaient être reconnues comme maladies professionnelles.
Ça laisse perplexe. On apercevait une avancée, certes hypocrite, dans ce domaine. Reconnaître un état mental généré par le travail, comme maladie professionnelle. Quoi de plus logique ?
Mais non, pas de progrès cette fois-ci. Vous repasserez.
Alors d’ici à reconnaître le BoredOut, laissez tomber.
Dingue que les sénateurs osent se prononcer sur un sujet dont ils sont par définition les plus éloignés parmi la population..
Le burn-out est au travail ce que la mortalité routière est à l’automobile : une conséquence tragique et logique dans la mesure où l’air du temps nous inculque que la vitesse est une vertu... et qu’aller toujours plus vite, faire toujours plus, plus, plus est une nécessité..
« Burnoutte », de l’anglo-américain burn-out, subst. masc., lecture provisoire | Condroz belge
▻http://condrozbelge.com/?p=3648
Pour que les #salariés en arrivent au #burnoutte, qui signifie que l’effort porté contre soi-même a dépassé une limite très haute de dangerosité, il faut aussi que les enrichisseurs d’employeurs estiment ne pas pouvoir se soustraire à l’exigence qui leur est faite. Il faut qu’ils soient dévoués ou perfectionnistes, serviles, aliénés, je dirais qu’ils doivent être domestiqués comme le cheval prêt à obéir à la cravache jusqu’à l’épuisement mortel. L’on sait que tous les animaux n’acceptent pas le dressage jusqu’à cette extrémité, et de même tous les salariés mis dans des conditions identiques n’iront pas jusqu’au burnoutte. Certains feront des oublis, des gaffes, des endormissements, une simple chute de tension, ils craqueront, lâcheront, démissionneront avant le burnoutte. Ou ils se révolteront, un peu, beaucoup, passionnément, ils se fâcheront sur un supérieur, ils saboteront la chaîne de fabrication ou l’informatique de l’entreprise qui les maltraite. D’une manière ou d’une autre ils feront un pas de côté et « sortiront du cadre », consciemment ou pas. Selon les options de l’observateur, il sera dit que leur inconscient, leur conscience, leur tempérament, leur ange gardien, les protégera.
Il faut être un peu con pour faire un burnoutte, je le dis malgré ma compassion pour ceux qui ne peuvent l’éviter.
L’auteur a certainement raison : c’est aussi qu’il faut tout de même être « un peu con » pour se contenter de (sur)vivre dans cette société.
Ne nous ferait-il pas un petit accès de fétichisme idéaliste et très libéral de la Révolte , sur le dos de certain-e-s qui ont le tort assez peu pardonnable de ne pas s’empresser assez à son goût de tout tout foutre en l’air alors qu’ellils morflent peut-être plus que lui.
Je suppose que ce garçon se rassure comme il peut. Même quand on est persuadé d’être soi-même assez rebelle ou malin pour avoir (sans blague !) échappé à la domestication que subissent... les autres, et éviter le « burnoutte », on ne vit quand même pas une époque confortable. La malice et la rebelle attitude sont bien mal récompensées !
(je suis enclin à penser que la domsetication n’est jamais aussi sûre qu’accompagnée des illusions libérales adéquates : celles qui, devant telle ou telle de ses spectaculaires manifestations, permet à tout un chacun de s’imaginer ne devoir qu’à ellui-même d’y avoir échappé - ou de supposer que, quand même, les domestiqués doivent être « un peu con(ne)s »).
Je pense aussi qu’il est un peu con dans sa dernière réflexion, alors qu’il vient de parler du processus d’aliénation.
Après réflexion, je me suis dit que c’était dommage que la fin gâche toute la diatribe.
Mais je suis assez d’accord avec toi, @martin5.
De toute manière, je suis assez exaspérée par la #condescendance imbécile et auto-aveuglante de mes contemporains.
“le burnout est un état d’esprit négatif persistant lié au travail, chez des individus“normaux”, qui est caractérisé par de l’épuisement, un sentiment d’inefficacité, une démotivation et des comportements dysfonctionnels au travail. Cet état d’esprit
n’est souvent pas remarqué par le travailleur pendant un long moment. Il résulte
d’une différence entre les intentions et la réalité du travail. Souvent, les travailleurs
entretiennent cet état d’esprit par des stratégies d’adaptation qui sont inefficaces”.
(Schaufeli & Enzmann, 1998, p.36 cités dans Schaufeli & Buunk, 2003).
▻http://www.emploi.belgique.be/WorkArea/DownloadAsset.aspx?id=33628
J’ai surtout le sentiment que l’auteur adapte une définition à un discours, ce qui rend caduc tout développement sur un postulat faux, incomplet, simplificateur. A fortiori si le but du discours se résume à les travailleurs sont des veaux.
Il doit falloir être plus que con pour s’immoler devant son lieux de travail ou sa CAF.
Burnout
▻http://la-cascade.ghost.io/burnout
le #burnout “n’est pas un état qui s’améliore lorsqu’on décide de ne pas lui donner d’importance. Ce n’est pas non plus une honte. C’est au contraire un problème né des meilleures intentions”
Hé bin voilà.
le médecin suicidaire « type » est une femme âgée de 48 ans, psychiatre, généraliste ou anesthésiste #burnout
▻http://sante.lefigaro.fr/actualite/2014/10/17/22941-medecins-ont-blues
The Joys and Sorrows of Late-Night #Email - The Atlantic
▻http://www.theatlantic.com/business/archive/2014/08/email-is-killing-us/378666
There’s also the social signal sent by a late-night email. After a certain hour, I’m not just sending a message; I’m also sending a message. Responding to somebody 24 hours late suggests a lack of diligence. Responding to that person around midnight takes the same amount of procrastination, but disguises it as industriousness: “Oh, hey, see that 1:04 AM timestamp? I guess I’m just that busy! (yet dedicated!).”
j’en envoie, mais quand j’en reçois ça ne me donne pas le sentiment que mon correspondant est industrious, plutôt qu’il ne sait pas (mieux) vivre (que moi)
Comme je suis indépendante, je m’interdis de poster des mails pros aux heures de fermeture légales des salariés. Ça me laisse croire que ma ou mon client·e ne se permettra pas de m’appeler n’importe quand en croyant que je suis à sa disposition 24h/24.
Parce qu’évidemment, je fais partie de ce·lleux qui bossent après dîner, mais chuttt
The young and childless, meanwhile, continue working, creating a guilt that forces parents to log back on after dinner.
Au delà de la culpabilité, ça peut aussi être parce qu’on veut profiter de nos enfants, de notre moitié, etc. Et que du coup, on fait des horaires raisonnables, et donc qu’on se remet au travail une fois tout le monde couché :)
Avant d’avoir un enfant, quand je travaillais, sous contrat intermittent, c’était près de 14h par jour, l’ordi restait au bureau et je refusais d’avoir un micro parce que j’anticipais l’impossibilité de m’en détacher et les informaticiens pur jus me déprimaient avec leurs incapacités humaines.
J’ai choisi d’avoir un enfant et de m’en occuper, contrairement aux copines exerçant le même taf que j’avais vu désespérer de ne pas voir les leurs grandir, mais je n’ai pas retrouvé de salariat compatible avec ce que je voulais que soit ma parentalité.
Une des raisons est que s’occuper d’un enfant est juste épuisant, et mener les deux plein temps de front, ou bien se retrouver à travailler la nuit, même après le dîner et chez toi, te mène assez directement au burnout.
Donc là, finalement ce n’est pas qu’une histoire de culpabilité quant tu dois travailler pour te payer une vie qui ne soit pas non plus complètement aliénée à l’ordinateur.
du coup, on fait des horaires raisonnables
raisonnables, vraiment ? le problème c’est que je ne connais aucun codeur ou codeuse à qui ce terme puisse coller ;)
Comment j’ai fait un burnout - Warrior du Dimanche
▻http://www.warriordudimanche.net/article223/comment-j-ai-fait-un-burnout
J’avais atteint et dépassé ma limite et c’était très difficile à vivre pour moi qui m’étais toujours senti comme un roc auquel les autres se raccrochaient.
J’ai été obligé de ralentir ma vie, de renoncer à certaines casquettes devenues trop lourdes à porter. J’ai également du rééduquer mon entourage en apprenant à dire non.
Confession post #burnout d’un papa/employé/mari/bénévole surmené. D’autant plus touchante qu’elle détonne carrément du ton habituel de ce blog, généralement assez léger. Moralité : personne n’est à l’abri ; prenez soin de vous et, comme il le dit lui même, soyez égoïstes, personne ne le sera pour vous.
Il faudrait que je me grave ce billet dans la tête... :-/
Ma femme s’inquiète parce que je ne travaille pas tous les soirs à la maison.
Et elle me compare à son beau frère qui rentre tard et n’est pas disponible, mais c’est parce qu’il a des ambitions très fortes.
On n’est pas toujours aidé... :-D
Ce sont de vieux schémas qui ont la peau dure. C’est pour cela qu’en entreprise, il y a autant de bras cassés qui font du présentéisme pour faire croire qu’ils bossent comme des tarés.
@monolecte : ça fait partie du sujet ; le #présentéisme n’est pas l’apanage des bras cassés, hélas Cf. ▻http://www.sciencesetavenir.fr/insolite/20121011.OBS5440/travail-les-ravages-du-presenteisme.html
@monolecte : il ne s’agit pas seulement de bras cassés, voir de gens cassés ou malades. C’est surtout le résultat de différentes formes de #terreurs - dont notamment l’#évaluation :
Le présentéisme est essentiellement nourri par la peur de perdre son emploi, d’être mal vu, de rater des informations sur l’entreprise (notamment lors de tensions sociales).
J’ai été expéditive. Dans la boiboite, il y a avait deux types de personnes qui restaient tard dans la boite : les bras cassés qui passaient l’essentiel de leur journée à brasser de l’air et à se montrer partout en soufflant des bœufs pour bien montrer qu’ils étaient débordés de travail et qui consacraient leurs heures du soir à cirer les pompes de la hiérarchie et les grouillots des bras cassés, des gens tristement reconnaissables par le manque de considération total dont ils jouissaient dans l’entreprise, leur invisibilité (soigneusement organisée par leur bras cassé N+1), leur terrible amour du travail bien fait (exploité jusqu’à la moelle par leur N+1 branleur) et totalement surchargés de boulot, parce que devant se cogner celui du N+1 en plus du leur.
Les harceleurs et les harcelés, les exploiteurs et les exploités.
Quand la direction était trop hiérarchisée et éloigné des salariés, ces comportements bénéficiaient grandement aux bras cassés qui se faisaient mousser en permanence sur le dos du travail de leurs grouillots et obtenaient ainsi avancement et bon salaire.
Avec une direction moins verticale et un encadrement attentif, ce genre de comportement ne devrait pas payer autant qu’il paye. Il faut vraiment des cadres avertis pour détecter les brasseurs d’air et plutôt valoriser les bosseurs de fond, ceux qui font leur taff en temps et en heure et qui sont généralement ceux qui ont appris à dire non et à se casser à l’heure.
Depression Era
▻http://behance.vo.llnwd.net/profiles19/3057655/projects/9771007/5c71df34e6f91d54851dedef5e35af6c.jpg
The Depression Era project is a #collective of photographers, artists, researchers, writers, architects, journalists and curators formed in 2012, recording the Greek crisis through images and texts. It was originally inspired by the photographic program of the Farm Security Administration, which was designed to capture the impact of the Great Depression on the American people (1935-1944)[1].
▻http://behance.vo.llnwd.net/profiles19/3057655/projects/10115443/e6f432c4e775a1340ae4c7e1685b8a2e.JPG
The Depression Era project aspires to portray a historical turning point; to reflect characteristic events and situations pertaining not only to the economic but also to the political, social, ideological, moral and aesthetic crisis: to depict the emerging #landscape of the #recession and its consequent, rapid, unraveling transformations of Greek society. It is an artistic #archive in-progress, a collective work experiment and redefines the terms and conditions of the artistic production and free expression of public discourse.
▻http://behance.vo.llnwd.net/profiles19/3057655/projects/9976299/5984ef807c314832e36d6e1be9e5c382.jpg
In this complex and charged political and social context, we are compelled to take a stance. The Depression Era is not a news project, nor a photographic #documentary of #poverty – as the FSA was to a great extent - but gives to each photographer the freedom to create according to her own personal style and determine his own perspective of things so that the collective work may comprise a multifaceted image of the situation.
▻http://depression_era.prosite.com/183823/i-m-a-g-e-s #photography #Greece #depression #crisis #grece #crise #Dream #images #athens #Acharnon #Burnout #poverty #documentary @reka
Burnout chez les enseignants. Recherches actuelles. (Anne Andrist)
▻http://innovatices.wordpress.com/2013/07/28/burnout-chez-les-enseignants-recherches-actuelles
Trois dimensions caractérisent le #burnout :
1) le sentiment d’épuisement professionnel : l’enseignant a le sentiment d’avoir épuisé toute son énergie et de ne plus pouvoir « donner » sur le plan relationnel
2) une tendance à la déshumanisation de la relation : l’enseignant se représente l’élève de manière dépersonnalisée, a une vision négative de l’élève, des parents et collègues. Froideur, cynisme mise à distance conduisent la relation.
3) une diminution de l’accomplissement personnel : l‘enseignant n’exerce plus avec un sentiment de réussite, le principal ressenti est l’échec d’un point de vue professionnel.
[…]
Ces chercheurs proposent une approche qui porte sur la prévention des violences institutionnelles relativement au burnout des professionnels par le développement de compétences #métaémotionnelles.
La capacité à réfléchir sur ses émotions et celles d’autrui en contexte professionnel afin de les réguler leur semble la meilleure voie.
Cette réflexion permettrait le maintien d’une attitude éthique chez les professionnels de l’institution.
La solution serait alors la mise en place de « groupes d’analyse de la pratique : la mise en place de séances de supervision régulières, et/ou d’intervisions cadrées, animées par une personne extérieure à l’institution est primordiale, et ce afin d’éviter le contrôle institutionnel ». Des groupes de paroles et d’analyses, fondés sur « la coopération, la co-construction entre professionnels » permettraient la mise en œuvre effective d’un « soutien social, c’est-à-dire le réseau d’aide qu’une personne peut solliciter lorsqu’elle est confrontée à des situations professionnelles problématiques » dispensant « soutien émotionnel » et « soutien instrumental ».
Le Touilleur Express » Blog Archive » A celui qui a fait Twitter Bootstrap
►http://www.touilleur-express.fr/2012/12/08/a-celui-qui-a-fait-twitter-bootstrap/comment-page-1/#comment-3303
Au début, tout a commencé par une idée que tu as eu un matin. Tu commences à coder quelques lignes dans un coin, puis ensuite tu en parles avec un collègue ou un ami. En quelques jours, tu as l’impression que ton idée pourrait intéresser d’autres développeurs. […] Coté code, tu t’arraches chaque jour difficilement du clavier. C’est génial, tu sens que tu vis quelque chose d’énorme.
[…]
C’est dingue. Ton projet est devenu un parti politique ou un groupe de musique. Les fans ne sont pas forcément objectifs. Tu le sais bien, toi, qui commence à douter de certaines parties de ton projet. Mais eux, ils sont fous. Tu apprends un jour qu’un gars fait la tournée des JUG en présentant ton projet. Tu reçois un matin un communiqué de Presse car un livre va sortir sur ton projet. C’est dingue mais tu sais que cela va s’arrêter.
[…]
Jusqu’au jour où cela s’arrêtera, les gens arrêteront d’envoyer des emails sur la liste. Plus personne ne téléchargera ta nouvelle-nouvelle version. Tu devras gérer toutes les personnes furieuses. En fait, tu n’entendras plus que les […] Voilà ça s’arrête comme ça.
[…]
Bref votre projet open-source n’a qu’une durée de vie limitée. Profitez de la vie, ne faîtes pas que cela, demandez ce qu’en pense vos amis.
#projet #opensource #open_source #free #libre #programmation #développement #partage #burnout
Pourquoi j’ai appelé le Samu hier soir ou l’histoire banale d’un #burnout #burnoutmaternel #maternite #mamantravaille
►http://undeuxiemepourlaroute.wordpress.com/2012/07/25/pourquoi-jai-appele-le-samu-hier-soir-ou-lhistoire-
Il y a vraiment des maladies vicieuses. En voici une :
Syndrome d’épuisement professionnel (burnout)
►http://fr.wikipedia.org/wiki/Syndrome_d'épuisement_professionnel
Le syndrome d’épuisement professionnel est une maladie caractérisée par un ensemble de signes, de symptômes et de modifications du comportement en milieu professionnel.