• “Libya is a very important county in terms of irregular migration. Our interest, more generally speaking, is to establish partnership with those countries which are either countries of origin of illegal migration or countires of transit. And the philosophy behind that is that border control connot be only carried out at the border. We have to act before the border, where the problems arise. WE have to cooperate and act across the border with our colleagues in third countries and then at the border and behind the border”.
    Interview avec #Ilkka_LAITINEN, director of #Frontex

    Tiré du #film#Come_un_uomo_sulla_terra”, de #Andrea_Segre (2008):
    http://www.zalab.org/progetti-it/9

    #frontière #contrôles_frontaliers #pays_de_transit #pays_tiers #migration #Libye #documentaire

  • Brave Patrie a raison, la façon dont les crypto-communistes du gouvernement persécutent leur opposant politique est digne des plus sombres heures du goulag...

    « Délirant », « un scandale d’Etat », « un acharnement anti-Sarkozy ». De nombreux hommes politiques de droite ont saisi l’information de Valeurs actuelles à bras le corps pour critiquer violemment l’équipe de François Hollande.
    « Ce qui a été publié par Valeurs actuelles est absolument délirant », a affirmé le président de l’UMP Jean-François Copé. Il s’est également étonné des « pratiques d’un gouvernement et d’un président de la République qui nous a expliqué qu’il incarnait la morale. Au-delà de la manière dont notre pays est gouverné, qui indigne la quasi-totalité des français, cette pratique est extrêmement grave, elle est totalement illégale ».

    Heureusement un descendant de Jean Moulin a refusé (sous la torture sans doute ?) de faire une requête google dans les archives de l’Elysée (on imagine que ça a dû contraindre les bolcheviks à se tourner vers la NSA du coup..)

    l’ex-chef du service des télécommunications et de l’informatique de l’Elysée, Bernard Muenkel, qui assure avoir été rétrogradé pour avoir « refusé de se plier à une demande illicite de la part du ’cabinet noir’ de l’Elysée ». Selon lui, le commandant militaire de l’Elysée, le colonel Bio-Farina, aurait exigé de lui qu’il fasse une recherche dans les archives de l’ancien chef de l’Etat avec les mots clés : Claude Guéant, Bernard Tapie, Christine Lagarde, ou encore Maurice Lantourne (l’avocat de Bernard Tapie).

    Heureusement qu’il existe dans ce pays un presse libre et courageuse pour relayer sans nuance ces alertes poignantes, sur des sujets de la plus extrême gravité !

    #cris_d'orfraie
    #en_faire_des_tonnes
    #comédie_du_pouvoir
    #gorafi_encore_plagié
    #chouineurs

    http://www.lexpress.fr/actualite/politique/cabinet-noir-de-l-elysee-la-presidence-s-insurge-la-droite-exulte_1295656.h

  • L’approbation du règlement sur le commerce des #semences par le #COMESA est une catastrophe pour les petits #paysans et la #souverainete_alimentaire en Afrique
    http://www.grain.org/fr/bulletin_board/entries/4800-l-approbation-du-reglement-sur-le-commerce-des-semences-par-le-comesa-es

    1. L’Alliance pour la Souveraineté Alimentaire en Afrique condamne fermement l’approbation durant le mois de septembre 2013, par le marché commun de l’afrique orientale et australe (COMESA) du draft d’harmonisation des règlements de commercialisation des semences du COMESA en 2013 (ci-après dénommé la « Règlementation sur les semences »).

    2. Les règlementations sur les semences du COMESA s’appliquent sur tous les Etats membres du COMESA aux termes de l’article 9 du traité du COMESA. Pourtant, il n’y a aucune preuve pour démontrer l’implication de et la consultation avec les citoyens des pays du COMESA, en particulier les petits paysans, malgré les nombreux appels au COMESA à se consulter avec les petits paysans. Nous sommes d’avis qu’un groupe technique des pays du COMESA en collaboration avec la l’Association africaine du commerce des semences (AFSTA) et le commerce des marchandises de l’Afrique australe et orientale (ACTESA) et bien financé par l’USAID et l’UE, a délibéré sur les questions et élaboré les règlements qui ont été maintenant signés par le Conseil des ministres, prêts pour la domestication dans les États membres du COMESA.

    3. Les présentations faites par les OSC et les représentants des petits agriculteurs, lors d’un atelier COMESA organisé par ACTESA du 27 au 28 Mars 2013 à Lusaka – Zambie, contenant à la fois des préoccupations sur la nature imparfaite du processus et les implications de la réglementation sur les petits agriculteurs et sur la diversité de l’agriculture en Afrique, ont ostensiblement été ignorées.

    #paysannerie #agrobusiness #biodiversité

  • Pas encore vu, mais ça a l’air bien...

    Kick Off
    Shawkat Amin Korki – Iraq – 2009

    Des #réfugiés occupent le stade de #Kirkouk, n’ayant toujours pas trouvé de lieu où vivre. Deux amis passionnés de #football veulent monter, après la victoire de l’#Irak à la coupe asiatique, un #tournoi entre Turcs, Arabes, Kurdes et Assyriens. Mais rien n’est simple en Irak. Dans un style enlevé, Shawkat Amin Korki livre une #comédie dont la fraîcheur et l’humour soulignent d’autant plus le destin tragique de ces réfugiés dans leur pays.

    La joie de jouer
    En réalisant Kick Off, le jeune cinéaste kurde Shawkat Amin Korki réussit, avec peu de moyens et, surtout – car leur présence crève l’écran –, des acteurs nonprofessionnels, à exprimer la réalité d’une situation où la nécessité de la #survie n’empêche pas de vouloir vivre. C’est-à-dire aussi #aimer et #jouer. Et ces
    acteurs le démontrent eux-mêmes, laissant voir leur propre joie de jouer, en faisant parfois des tonnes, pour notre plus grand plaisir. Aucun artifice pourtant, pour nous faire oublier la #guerre et l’#occupation : le bruit récurrent d’un rotor d’hélicoptère, le son des #bombes, au loin, le petit frère d’Asu qui se traîne sur une jambe, une #mine lui ayant enlevé l’autre, la situation précaire de ces réfugiés dans le #stade. C’est ce stade qui sera d’ailleurs le lieu unique de l’action, dont les tribunes sont les remparts, protection hypothétique contre les agressions du monde extérieur. Le réalisateur nous en fera découvrir quasiment tous les recoins, montrant l’ingéniosité de leurs occupants à les utiliser.

    http://www.trigon-film.org/fr/movies/Kickoff

    #film

  • Le #comestible et le non comestible

    Dans les confrontations de cultures culinaires, il y a toujours la question de ce qui fait qu’un aliment est considéré comme comestible ou non.
    Et vous, avez-vous vécu une expérience de non-comestibilité comme décrite ci-dessous ?

    Car si les Français mangent des escargots, du lapin ou du cheval, ainsi que les Italiens, ce n’est pas le cas des Anglais ou des Américains du Nord. La grenouille, dont la chair est appréciée en France comme en Chine, est refusée dans la plupart des pays européens et en Amérique du Nord. Les insectes, considérés comme comestibles en Amérique latine, en Asie, en Afrique, sont jugés impropres à la consommation en Europe de l’Ouest et en Amérique du Nord. Les termites, par exemple, avec 38% de protéines, constituent en fait un aliment de choix du point de vue diététique. La viande de chien, plus riche en protéines que le bœuf, n’est jugée mangeable qu’en Corée, en Chine et en Océanie. Dans le Nord-est brésilien, les rats, riches en protéines, et les cactus, apportant eau et glucides, suffisent à apaiser la faim et la soif des plus démunis, sans préjudice pour leur santé, ben au contraire. Beaucoup d’habitudes alimentaires des Français semblent répugnantes aux étrangers : la consommation de tripes de divers animaux, de cervelle, de rognons, de ris de veau ; ou encore de pattes et de queue de cochon. Il en va de même de nombreux fromages dont la puanteur est repoussante, et les venaisons ou viandes “faisandées” auxquels les Asiatiques trouvent une odeur fécale.

    Gérard Apfeldorfer, Traité de l’alimentation et du corps, Flammarion, Paris, mars 1994, pp 15-16.

    Dans le cadre de notre discussion sur les #cultures #européennes https://plus.google.com/b/115068483876310576404/communities/112863510233318537981

    • Pas testé mais le Fugu est toxique et je croie que la consommation de son foie est particulièrement dangereuse.
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Fugu
      Il y a le Casu marzu, une fromage sarde qui pourrait tourné dans un film d’horreur. J’ai pas gouter non plus ^^
      http://fr.wikipedia.org/wiki/Casu_marzu

      Sinon je pense à l’alcool et autres psychotropes, si on peu les considéré de ce point de vue. J’aurais tendance à les inclure dans la catégorie comestibles/non-comestibles. Un de mes chats aimait bien le pastis et il y a certaines herbes qui ont l’air de modifier sérieusement les félins
      http://seenthis.net/messages/155092
      Mais il est notoire que les chats sont des débauchés
      http://www.youtube.com/watch?v=XkOYGrZQqmU

      Il y a en Indes des éléphants alcooliques qui causent beaucoup de dégâts.
      http://www.dailymail.co.uk/news/article-2229334/Fifty-drunken-elephants-ransack-village-gulping-500-litres-alcohol.html

      Dans L’école des Chimpanzés de Roger Fouts, le cas d’une femelle chimpanzé (Lucy il me semble) qui prenait un verre de bourbon à 17h en lisant play girl et fumant la pipe.
      http://vegane.blogspot.fr/2008/06/l-ecole-des-chimpanzes-ce-qu-ils-nous.html
      Lucy était très humanisé par son éducation mais les chimpanzés sauvage ne dédaignent pas les fruits fermentés et semblent aimer aussi l’alcool.

      Désolé pour le semi-hors sujet, certains de ces exemples ne sont pas #européens mais j’ai pas résisté à les poster ici.

      #nourriture #bouffe #alimentation

    • La nourriture industrielle est aussi souvent composé de produits non-comestibles et les europeenEs en mangent en quantités importantes.
      Par exemple le nugget

      white boneless chicken, water, food starch-modified, salt, chicken flavor (autolyzed yeast extract, salt, wheat starch, natural flavoring (botanical source), safflower oil, dextrose, citric acid, rosemary), sodium phosphates, seasoning (canola oil, mono- and diglycerides, natural extractives of rosemary). Battered and breaded with : water, enriched flour (bleached wheat flour, niacin, reduced iron, thiamin mononitrate, riboflavin, folic acid), yellow corn flour, food starch-modified, salt, leavening (baking soda, sodium acid pyrophosphate, sodium aluminum phosphate, monocalcium phosphate, calcium lactate), spices, wheat starch, whey, corn starch.

      http://www.le-tigre.net/Mc-Donald-s-a-nugget-of-truth.html?var_recherche=chicken%20mac%20donalds

      Ici le brevet de fabrication du fromage de synthèse
      http://www.google.com/patents/US4197322

      A synthetic mozzarella cheese was produced by the following procedure: One thousand grams of water was heated to between 95 To the heated water was added 0.85 gram of calcium hydroxide and 30 grams of acid casein. The suspension was maintained between 95 97 reaction between these two materials was complete. At this point, 1.9 grams of a 20% calcium chloride solution was added, the pH was adjusted to about 6.15 by the addition of phosphoric acid, and 0.4 ml of single strength rennet added. The mixture was then stirred for an additional period of one-half hour at 95 time a semi-solid, calcium caseinate curd had formed which was dewatered to separate the curd solids. Sixty-seven grams of the dewatered curd (27 grams of calcium caseinate and 40 grams of water) was placed in a jacketed laboratory blender/cooker and blended with 18.8 grams of emulsified vegetable oil (a blend of soybean oil, cottonseed oil and coconut oil), 1.5 grams of salt and 1.5 grams of sodium aluminum phosphate, and 5 grams of water to allow for evaporation during process. The mixture was heated with agitation and blending to 165 admixture was achieved, 1.2 grams of adipic acid was added to the heated, blended product to adjust the pH to 5.2 and the material stirred under homogenizing conditions until a totally homogeneous product was obtained (approximately 2 minutes). The hot product was then placed in a container and refrigerated.

      Ca me fait pensé à un #hoax sur les œufs de synthèse chinois mais comme c’est un #hoax personne n’a vraiment mangé ce truc
      http://www.youtube.com/watch?v=T55tz4qwFMo

    • La comestibilité est culturelle chez l’humain et le Fugu est remarquable comme contre exemple, puisqu’il suffit qu’il soit mal préparé pour que le poison de la bile se répande sur la chair et le rende mortel. Autrement dit, le fugu est assez souvent non comestible d’un point de vue biologique, mais cela en renchérit la valeur culturelle.

      Votre apport sur la comestibilité des produits industriels est terriblement pertinente et aborde la question de la comestibilité sous un angle nouveau. Cela ouvre la question des fameuses listes d’ingrédients où les industriels doivent user de divers stratagèmes pour que des produits considérés légalement comme compatible avec l’alimentation humaine puissent le rester culturellement. D’où le processus de méfiance et de rejet montant de la nourriture élaborée dans les circuits industriels...

    • Merci @myeurop ^^
      Je colle ici la composition de la Marmite trouvé sur la fiche wikipédia anglaise de cette recette.
      http://en.wikipedia.org/wiki/Marmite

      Today, the main ingredients of Marmite manufactured in the UK are glutamic acid-rich yeast extract, with lesser quantities of sodium chloride (table salt), vegetable extract, niacin, thiamine, spice extracts, riboflavin, folic acid, and celery extracts, although the precise composition is a trade secret.[14] By 1912, the discovery of vitamins was a boost for Marmite, as the spread is a rich source of the vitamin B complex; vitamin B12 is not naturally found in yeast extract, but is added to Marmite during manufacture. With the vitamin B1 deficiency beri-beri being common during the First World War, the spread became more popular

      Au Japon ils ont beaucoup d’aliments industriels non comestibles je pense par exemple à cette collection de parfums de glace improbables


      http://madmegblog.blogspot.fr/2008/08/glaces-et-sorbets-nippon.html

      Et aussi comme j’ai manger beaucoup de Tang quant j’était gamine
      (liste des ingrédients http://dailyingredients.com/beverage/tang-orange-drink-powder )

      Sugar, Acid (citric acid). Thickeners. (Xanthan gum, Gum Arabic, Sodium Carboxy-methylcellulose), Acidity regulator (Tri sodium citrate), flavors (orange), Anticaking agent (Tricalcium phosphate), Maltodextrin, Salt, colors (Titanium dioxide, Sunset yellow FCF, Tartrazine), Vitamin C.

      Il y a au Japon des « bonbons » très chimiques qui me fascine totalement mais qui doivent être l’équivalent sanitaire d’un weekend à Fukushima.
      https://www.youtube.com/watch?v=j1f1u_XUlxA


      https://www.youtube.com/watch?v=AZdtunydWdQ

      Dans les aliments non comestibles que j’ai gouter il y a la morille qui est toxique lorsqu’elle est cru. Je ne sais pas si il y a beaucoup d’aliments qui sont rendus comestibles par la cuisson. Je croie que la pomme de terre est dans ce cas. Voire les crudivores ici http://seenthis.net/messages/149004
      Par rapport à la carotte par exemple, ils expliquent que la manger cru permet d’avoir les vitamine mais qu’on ne peut pas digéré la fibre végétale (il nous manque 2 ou 3 estomacs pour y parvenir) et lorsqu’on cuit les carottes, on perd les vitamines mais on peut assimilé la cellulose. Dans le film des crudivores ils parlent aussi du #lait, quant on est adulte on ne digère plus le lait.

      Dans un autre registre il y a les #detritivores. Une de mes tantes, grand-mère et arrière grand-mère l’étaient plus ou moins sévèrement. Elles mangeaient parfois des aliments qui rendrait malade la plus part des gens. Ca leur venait de la guerre, pendant laquelle le manque de nourriture a provoqué chez elles une manie à stocker la nourriture en quantité trop importante. De fait il fallait finir les stocks et venir manger chez elles était un bon entrainement pour le système immunitaire. Ma tante mangeait aussi les yeux des poulets roti. Manger les yeux c’est pas vraiment du non comestible mais en général les gens ou les peuples qui les mangent ont vécu le manque de nourriture et mangent toutes les parties des animaux. Voire par exemple la cuisine en #Alaska
      https://www.youtube.com/watch?v=f3QGAKe-Jb4


      Un copain m’avait raconté avoir manger un œil de yack en #mongolie et que c’était une expérience aussi cauchemardesque qu’on l’imagine :O
      Certains anthropologues disent que nos ancêtres étaient une espèce opportuniste, on mangeait à l’occasion des charognes quant on en trouvait. Du coup mes tantes et grand-mères sont typiques cro-magnonnes. On gaspille pas la nourriture est un précepte très ancien à mon avis.

      Je pense aussi aux galettes de boue Haïtiennes.
      http://www.courrierinternational.com/article/2008/02/01/des-galettes-de-boue-pour-tout-repas


      #famine

      Manger des aliments non-comestibles peut être fait pour des motivations très variés. En Chine il me semble qu’il y a beaucoup de raisons médicinales. Dans un resto ou j’étais à Shanghaï il y avait une page au menu dite d’espèces rares. Y était proposé l’hippocampe, le nid d’hirondelle, des ormeaux et de l’aileron de requin. Détail surprenant, ce resto était au cœur du Zoo de Shanghaï qui était parsemé de messages incitant à la protection des animaux. L’hippocampe je ne savait pas que ca se mangeait. Pour les ormeaux, les requins et les hirondelles, certaines espèces sont très menacées mais d’autres sont élevées en captivité et j’imagine/espère que dans le zoo c’était pas des espèces braconnés... Le cas du Nid d’hirondelle est surprenant, c’est de la bave d’hirondelle et en principe ca n’a aucun gout ou ca doit ne pas en avoir. Manger un aliment pour son absence de saveur c’est très étrange pour moi.
      le Limule est consommer aussi en Chine et en Asie du sud-est.
      http://www.alainbernardenthailande.com/article-a66-le-limule-un-philtre-d-amour-en-thailande-10606
      Le #limule est pas toxique, mais il n’y a pratiquement pas de chaire, à part un bouillon je ne voie pas trop quoi manger la dedans.


      Dans le genre assez non-comestible il y a les foetus. On mangeait des fœtus de porc en France jusqu’a la seconde guerre. Je ne retrouve pas de liens a ce sujet mais j’étais tombé sur une recette et j’avais trouvé quelques mentions de cette pratique. En Chine il y a l’œuf couvé, on m’a raconté que c’était vraiment pas bon. J’avais vu aussi des décoctions de foetus de rats dans l’alcool de riz comme produit médicinale au museum d’histoire naturelle de Shanghaï. Ca me fait pensé à un super film cannibale « Nouvelle cuisine »
      https://www.youtube.com/watch?v=4lEuAMIUepA

      Bon il fallait bien que je parle de #cannibalisme à un moment
      sorry ^^
      Nous sommes un aliment comestible et probablement riches en protéines facile à digérer pour nous. Après il ne vaux mieu pas manger n’importe qui. Les gens qui mangent beaucoup de nourriture industriel doivent être mauvais pour la santé à cause des conservateurs et des métaux lourds, je conseil plutôt les végétariens et les gens qui mangent bio. ^^

      J’aime bien ce sujet comestible/non-comestible ca ferait un bon #TM #thème_mercredi

    • désolé @Myeurop je me suis emballée sur le sujet. Je vais me concentré sur des exemples européens.
      Pour me rattrapé, voici une pratique Suisse, le ragout de #chat et/ou de #chien.
      http://www.swissinfo.ch/fre/societe/Les_mangeurs_de_chats_refont_parler_deux.html?cid=34842428

      @monolecte
      Pour la carotte, il y a des chances que ca soit un bon compromis, mais je connait pas trop la nutrition. Les crudivores conseil utilisent le citron pour « cuire » certaines recettes. Mais il y a certaines vitamines qui s’altèrent très vite et je sais pas pour la carotte et le citron.

  • La comète C/2013-A1 en collision frntale avec Mars ? frappera ou frappera pas ?

    Cet article essaye de décrire les conséquences d’une collision de la comète avec la planète rouge : 75 milliards de fois la puissance d’Hiroshima, un cratère de 500 km de diamètre et de 2 kilomètres de profondeur selon un chercheur américain, mais 20 fois plus que ça selon un chercheur russe. Quand au chercheur norvégien, il pense que la collision n’aura pas lieu... On nous annonce que la Nasa étudie de près ces comètes mais ne mais pas en oeuvre de système pour essayer de dévier leur route !

    Kan gi Mars en skikkelig blåveis - Vitenskap-og-teknologi - NRK
    http://www.nrk.no/vitenskap-og-teknologi/1.10952337

    I januar ble kometen C/2013-A1 oppdaget. Den er nå på vei mot Mars i rekordfart og den kan treffe planeten. I så fall blir det tidenes krasj i verdensrommet.

    Hallvard Sandberg hallvard.sandberg@nrk.no

    Publisert 17.03.2013 23:56.

    Skriv ut

    Kometen befinner seg nå i det mørke rommet utenfor Jupiters bane, men den er på vei mot det indre solsystemet i stor hastighet.

    19. oktober 2014 vil den enten bomme, eller slå inn i overflaten av Mars.

    Akkurat hvor stor kometen er, vet ikke ekspertene nå. Mellom 15 og 50 kilometer er det beste de kan komme med.

  • – Je vais en Norvège, le pays où tout le monde est heureux !

    – Mais qui t’attend là bas ?!

    Merci à Johan Schimanski d’avoir signalé ce projet

    Une petite comédie musicale sur le thème de la frontière russo-norvégienne simple et charmante réalisée et soutenue par des groupes artistiques du nord de la fennoscandie - Région Barents (Finmark et Péninsule de Kola) dont le groupe génial “Pikene på Broen” (littéralement “les filles sur le pont”).

    Voici le trailer de 4 minutes mais le film fait 48 minutes

    http://vimeo.com/58962390

    Un film de Chto Delat, voilà ce qu’on en dit :

    Ola from Finnmark meets Tanja from Kola. They fall in love, Tanja abandons her past and moves with her son to her new husband. Through joys and challenges of their mixed marriage we get a glimpse into today’s Russia-Norwegian borderland across cultural and social norms and values. How our behaviour and worldview are influenced by culturally laden relations between individual, family and society? To what degree we are responsible for our actions and to what degree we leave it to the state? Who defines areas of responsibility? The Norwegian state and Ola’s best friend help the couple to build up a family based on thesound Norwegian values.

    BORDER MUSICAL is not a description of the reality; it is a reality served in a spicy manner: through polished language and sharp definitions, exaggerated images and multifaceted characters, bizarre movements and eccentric scenes. Why cheer a mutual understanding when we learn from our differences?

    #frontières #russie #norvège #comédie-musicale #musique

  • Robert Dehoux, Enseignement-abrutissement : aliénation obligatoire
    http://www.lejournalmural.be/la-friclande/enseignement.html

    Ainsi moi, par exemple, « #je » m’interdit de me mettre les doigts dans le nez devant tout le monde. Et comme sans « je » mon #moi le ferait quand ça me gratouille, ça signifie effectivement que mon « je » n’est pas vraiment moi-même. Et si ce n’est moi, c’est que « Je est un #autre » comme le disait déjà Rimbaud.

    Mais cela dit, tant que mon « moi » prenait le sein, mon « je », bien que déjà inscrit dans les registres d’état civil avec le nom qu’ON lui fera porter plus tard, ne s’est jamais manifesté.

    Et il en fut ainsi jusqu’à mes six-sept #kilos. C’est-à-dire aussi longtemps que personne ne s’inquiéta de me voir les doigts dans le nez. D’ailleurs, en ma présence, personne ne se gênait alors pour se les mettre dans le sien.

    En fait, il m’a fallu atteindre huit kilos cinq pour que quelqu’un se montre mécontent de "moi"et fasse surgir mon « je ».

    Tout commença le jour où mon attention fut attirée par un pot de confiture dans lequel j’ai mis les doigts pour m’en mettre plein la bouche. Et au lieu de ça j’ai reçu une baffe pendant qu’une voix me gueulait dessus « ON ne met pas ses doigts dans le pot ! ».

    Du coup, mon « moi » fut pris d’un doute.

    Surtout que la scène se répéta les jours suivants.

    Et il en fut ainsi jusqu’au jour où, lorsque ma main s’avança vers le pot de confiture, une grosse voix INTÉRIEURE l’arrêta brusquement : c’était « je » qui « me » parlait pour la toute première fois. Et grâce à lui j’ai reçu une grande cuillère de confiture et des bisous partout. J’avais alors huit kilos neuf. Mon « autre » venait de naître. Il n’allait plus me quitter. C’est qu’en effet, à mesure où je grandissais l’envie me prenait de toucher à tout. Ce qui m’a valu de recevoir un parc. Ainsi, chaque fois que je « dérangeais » - comme, par exemple, en m’emparant du téléphone ou d’un pot de fleur - ON m’empoignait et m’encubait dans le parc. Si bien que j’étais tout perdu en me demandant ce qui raccordait le pot de fleurs et le téléphone aux autres au point de les faire se jeter sur moi comme si c’était de la confiture ?

    Rien de flagrant ni de palpable ne permettait de le comprendre. Mais comme c’était ainsi, lorsque mon « moi » en eut ras-le-bol se retrouver à tous les coups dans le parc, mon « je » m’a conseillé de ne plus toucher à rien qui ne me soit offert. Et de me comporter hors de mon parc comme si j’étais dedans. Et c’est ainsi que sous sa direction, mon « moi » s’est engagé dans une carrière de #comédien, jouant le jeu de l’#obéissance jusqu’à le faire croire devenu « sage ». En échange de quoi il recevra ses tout premières imitations de pots de fleur, de téléphones, bagnoles et autres objets de ma curiosité réelle.

    Mais, cela fait, la plupart desdits cadeaux étaient d’une origine étrange. Aussi étrange d’ailleurs que celle des baffes que je recevais. C’est en tous cas ce qu’ON a voulu me faire croire en faisant appel à de mystérieux intermédiaires chargés de me les procurer ou de me les refuser. Il s’agissait en fait d’un couple de deux Pères : un #Père Noël et un Fouettard, les deux préfigurant somme toute la #Société qui m’attendait. Une Société pleine de Mystères comme je n’allais pas tarder de l’apprendre en faisant connaissance avec la Maternelle.

    C’est en effet là où j’ai été emmené quand je ne dérangeais plus trop et pouvais faire pipi dans le pot.

    En fait, c’était la première fois que j’allais être associé à une vingtaine d’autres de mon poids, tous aussi curieux l’un que l’autre de se rencontrer, de se toucher, de se palper, bref, de s’étudier mutuellement et physiquement afin de faire plus ample connaissance. Or il se fait que ce genre d’étude sur le terrain ne convenait pas aux surveillantes, lesquelles passaient leur temps à occuper le nôtre et à nous empêcher de connaître ainsi les joies d’une existence authentiquement sociale. Et à cette fin, elles nous mettaient en main des craies, des crayons, du papier, des ardoises, des blocs dont elles nous faisaient faire des cocottes, des gribouillis, n’importe quoi du moment que ça nous occupait et nous faisait taire. Et c’est ainsi que nous nous sommes tous mis à faire séparément des choses qu’aucun de nous n’aurait jamais songé à faire ensemble.

    Somme toute, alors que le parc m’avait appris à « respecter » les choses en me détournant d’elles, la maternelle allait m’apprendre à « respecter » les autres en me détournant d’eux.

    Mais, cela dit, le fait d’avoir constaté ça ne me permettait pas de comprendre pourquoi les #Grands s’opposaient si farouchement à la libre expression de nos désirs physiques. Qu’avaient-ils donc à redouter de nous qui étions beaucoup moins forts qu’eux ?

    Je me suis donc mis à mieux les observer. Et je me suis rendu compte que vis-à-vis de tout ce qui se trouvait hors de chez nous, que ce soit en rue, dans les boutiques ou chez l’#Autrui, ils ne touchaient à rien ni à personne qui ne leur soit offert ou présenté.

    J’observais ainsi que, comme moi, ils respectaient des clôtures invisibles - mais comme je n’imaginais pas que le Grands puissent ne pas être libres de tout faire à leur guise, j’en ai conclu que des comportements que je n’adoptais que par contrainte étaient sûrement tout naturels pour eux.

    Somme toute, je me disais — ou plutôt, « Je » disait à « moi » : tu comprendras plus tard, en attendant t’as qu’à les imiter. Ce qui ne fut pas pour « moi » une mince affaire. Tout en effet était réglé entre les Grands dans les moindres détails, jusque dans la manière de s’aborder, de se donner ou non la main, de se saluer du chapeau ou de la tête, de se parler en se tutoyant ou en se vouvoyant et de répéter tout le temps les mêmes banalités qu’on me chargeait d’ailleurs moi-même de répéter sans cesse. Et ce qui m’horripilait bien sûr c’était toujours de ne rien y comprendre. Tous ces regards sur ma personne me mettaient au supplice. Et ce qui ajoutait à mon malaise, c’était que les Grands taxaient de timidité ce qui n’était en fait chez moi que la manifestation visible de la honte mêlée de rage que j’éprouvais de me sentir amoindri et de toujours devoir mentir pour ne pas être rejeté.

    Certes, pendant tout un temps, je fus récompensé de jouer le jeu. ON me félicitait. ON me donnait de caramels. Mais le jour vint où ON me déclara trop grand pour avoir besoin de récompenses pour être « comme il faut ». De ce jour, ON préféra me punir pour ne l’avoir pas été plutôt que me récompenser de l’avoir été.

    Bref, rien de ce que je m’attendais à fréquenter en venant au monde n’était ici présent et je savais de moins en moins où j’en étais. Si bien qu’ON me reprochait souvent de ne pas savoir ce que je voulais. Et que je ne me sentais vraiment bien qu’en compagnie d’une chienne qui partageait mon sort, que je sentais toujours prête à faire comme moi les quatre cents coups, mais qui, obligée de respecter les mêmes interdits que moi pour obtenir un sucre, n’avait elle non plus guère l’occasion d’être expansive.

    Cela pour dire que parmi l’ensemble des objets dont j’avais physiquement besoin se trouvaient ceux qui, comme mes ours en peluche, me faisaient rêver d’une autre vie. Ce sont ces leurres qui ont peut-être le mieux contribué à mon éducation. En effet, les Grands se servaient d’eux pour m’appâter et pour m’amener à employer « volontairement » des choses dont je ne saisissais pas le sens, comme par exemple des fourchettes ou des godasses vernies.

    Et c’est ainsi que mes #désirs m’ont sans arrêt créé de nouvelles #obligations. Il m’était impossible de faire quoi que ce soit de plaisant sans une contrepartie. C’était systématique. Je devais payer pour tout. Chaque chose qui m’attirait servait à me faire faire autre chose qui me repoussait, chacune avec son propre mode d’emploi. Et comme leur mode d’emploi dictait le mien, et que, de toute évidence je ne pouvais rien y faire, j’ai fini par accepter le fait, et je me suis dit qu’ainsi j’allais finir par me comprendre moi-même.

    Autrement dit, « je » et « moi » en étaient venus à se confondre au point de ne plus se distinguer l’un de l’autre. Et la confusion sera d’ailleurs telle que j’ai commencé à croire que je faisais instinctivement des choses qui m’étaient ordonnées. Et que pour tout comprendre, il allait seulement falloir que j’en sache plus. Bref, j’avais atteint « l’âge de raison ». Et ON en profita pour m’injecter dans une École Primaire. C’est à dire là où j’allais enfin pouvoir apprendre comment perdre ma vie à la gagner. Et empêcher les petits de toucher à tout.

    • Robert Dehoux, je me présente :

      1. né au Congo en 1926 (Lubumbashi)
      2. découvre, en 1932, l’Europe et ses écoles primaires sur fond de crise économique et de père au chômage
      3. sort de polytechnique (Université Libre de Bruxelles) en 1949
      4. retour au Congo en 1951 : 3 ans de Brousse avec l’Institut Géographique, suivis de 6 années de Socony-Mobil avec découverte de la Générale, ses mécanos, ses diesels et ses caterpillars à soutirer le cuivres de Kipushi, le diamant de Bakwanga, le manganèse du BCK et autres matières premières à faire rouler urbi et orbi des mécaniques sophistiquées. Découverte, par la même occasion, des USA via le staff de Mobiloil NY à l’angle de la 6ème avenue et de la 42ème rue
      5. 4 janvier 1959, Kinshasa se soulève. Kasavubu et Lumumba, surtout Lumumba, me font percevoir d’un coup le négatif de mes ingénieuries. Un déclic se fait en moi. Mai 59, je démissionne, rentre à Bruxelles et fais une croix sur la technologie au nom et au service de quoi je m’étais jusqu’alors investi.
      6. reconverti dans la restauration, délivré du contrôle des Sociétés dites Anonymes, dès 1960 le hasard m’acoquine avec Attila Kotanyi, un situationniste à part entière qui me présente Debord, Vaneigem, Bernstein, Wijckaert, Viénet et autres membres de l’Internationale Situ. Et du même coup je me retrouve dévorant leur Revue ainsi que les Marx, Hegel, Stirner, Nietzsche, Lefèvre, Freud, Reich au autres référence psycho-, socio- polito-logistes, faisant la connaissance d’un monde complètement étranger à mon passé récent – et tout heureux de me croire ainsi en train de participer à la critique radicale de cette situation qui exigeait des machines, du pétrole et du cuivre, en même temps que des colonisateurs et du prolétariat
      7. 1963-1964, problème : mes Situs voient la solution de tous les maux dans l’avancée technologique en train de nous expédier, le bulldozer sous la pédale, aux quatre coins de la planète – "à condition toutefois, m’enseignent-ils, de gérer collectivement plutôt que privativement le tout". Autrement dit, je me rends compte qu’ils veulent du beurre mais n’aimeraient pas devoir traire les vaches. Ou encore, comme Vaneigem le dit, qu’ils ont la cybernéticienne et fourriériste idée de construire "un monde de maîtres sans esclaves". Bref, j’ai devant moi des révoltés ignorant tout de la technique et de ses implications logiques, et qui conjuguent allègrement la robotique avec Messie. De sorte qu’après avoir dû fuir l’industrie par raison subjective, je me retrouve là semblablement contraint de fuir l’avant-garde par raison objective.
      8. trois ans passent. Soixante-huit survient et le bla-bla contestataire généralisé, tenant lieu d’autogestion, révèle son impuissance à permettre de manger sur des nappes sans devoir ensuite faire la lessive. Tandis que, pour ma part, je profite de l’implosion pour prendre définitivement conscience de ma qualité de non-être politique – et pour prendre une décision : celle, désormais, de tout penser et de tout faire pour insérer DADA dans la philosophie et dans le monde de l’Histoire, ce monde dont les robots d’une part et les Situs de l’autre venaient de m’apparaître comme le recto et le verso d’une même réalité – une réflexion dont je vous livre ici la somme et qui m’a effectivement permis de conclure :
      Merde alors, quelle Histoire !

      http://www.lejournalmural.be/robert-dehoux.html

  • #Algérie : #lerepenti primé à #Cannes #2012

    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1292

    #FILM de #MerzakAllouache chantre de la #comédie #sociale de son pays

    Dans cette section parallèle du 65è #Festival de Cannes, le couronnement qui a été prononcé le 26 mai a récompensé trois films : No, du Chilien Pablo Larrain , une histoire de publicitaire décidé à faire chuter la dictature d’Augusto Pinochet ; la comédie Camille redouble, de Noémie Lvovsky ; et Le Repenti de l’Algérien Merzak Allouache sur un terroriste retournant dans son village.

  • #Algérie : #lerepenti primé à #Cannes

    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article1292

    #FILM de : #MerzakAllouache chantre de la #comédie sociale de son pays

    Quand « Omar Gatlatou Erradjla » révéla le talent de Merzak Allouach, où la #fiction cinématographique parodie la réalité, on avait cru que l’école italienne était bien passée en Algérie. Un #cinéma subtil, faisant #tribune à l’humain, d’ailleurs qui reste le propre de celui qui réalisa " L’Homme qui regardait les fenêtres ".

  • Human Nature (2001) - Michel Gondry
    http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=28830.html

    Synopsis : Lila (Patricia Arquette), une naturaliste à la pilosité abondante, et Nathan (Tim Robbins), un scientifique obsédé par les bonnes manières, ont perdu foi en la race humaine. Elle a trouvé le repos en allant vivre dans la jungle et en s’entourant d’animaux. Lui mène des expériences sur des souris en espérant rendre les hommes meilleurs.

    #film #comédie