Stéphanie est-elle possiblement coupable d’autres « malversations » ? De l’aveu de la direction elle-même (à France 3) mais surtout à la lecture de la lettre de licenciement : NON
Stéphanie sait-elle qu’elle se trouve sous la surveillance à la fois de la vidéo, et de la sécurité humaine ? OUI
Dans ce cas, quel intérêt suprême lui ferait commettre des « malversations » ? Un partage du butin avec la cliente, soit (à supposer que ce partage soit équitable) : 3 petites bouteilles d’eau pétillante, 1 paquet de nouilles Auchan, une demi-boîte de sauce tomate. L’enjeu valait-il tant de risques ? NON
Une source sûre, employée à la sécurité du magasin, peut-elle confirmer que Stéphanie a été placée sous surveillance (comme cela se fait régulièrement envers d’autres collègues en particulier liées à la CGT), et que cette surveillance a démontré qu’elle était parfaitement innocente de toute « malversation » ? OUI
La CGT dispose-t-elle d’éléments probants mettant gravement en cause certains personnels de direction du magasin, quant à leur volonté de « faire le ménage » ? OUI
L’inspection du travail est-elle en charge d’une enquête, depuis plus d’un an, sur de possibles discriminations syndicales et raciales dans ce magasin ? OUI
L’avocat de notre Union Locale et de sa section syndicale, est-il déjà en charge de toutes les affaires concernant ce magasin et ses pratiques à notre encontre ? OUI
La direction du magasin a-t-elle tenté à plusieurs reprises de contacter Stéphanie pour « arranger l’affaire » ? OUI
Un rassemblement aura-t-il lieu devant le magasin, après une campagne auprès de la population et dans le cadre d’un mouvement de grève des salariés du magasin, si Stéphanie n’est pas réintégrée ? OUI