• ETAT D’URGENCE - CAMERAS - TOUT SECURITAIRE Ça provoque des actes délictueux !
    Sinon, pourquoi cet acte ?

    Une voiture est poussée dans la station Clémenceau à Anderlecht (vidéo)

    Comme le montre cette vidéo, une voiture a dévalé jeudi soir les marches de la station de métro Clémenceau 2-6 (près de la Chaussée de Mons) à Anderlecht.
    L’incident s’est produit à 20H00 et la ligne de métro a été interrompue jusqu’à 20H45 entre la Porte de Hall et la Gare de l’Ouest. La station Clémenceau est restée fermée durant la soirée.
    S’ils ont fait ça c’est uniquement pour se rebeller contre les forces de l’ordre qui juste avant ça ont embarqué sans raison deux de leurs amis. A bon entendeur !" Une version impossible pour l’heure à vérifier.
    La vidéo : https://www.facebook.com/petitepoupeeeee/videos/982963001769290
    Source : http://www.rtbf.be/info/regions/bruxelles/detail_une-voiture-entre-dans-la-station-clemenceau-a-anderlecht-la-ligne-de-me
    NDR : Il va sans dire que s’il n’y avait pas de vidéo sur le web, ce genre d’acte ne se ferait pas

    L’ETAT D’ALERTE SEME LA TERREUR 0 BRUXELLES ! Suite
    Réveillon : poubelles incendiées à Neder, voitures en feu dans le Pentagone, sapin brûlé à Anderlecht (vidéos)

    Les pompiers de Bruxelles et la police de la zone Bruxelles-Ixelles ont été particulièrement sollicités lors de la nuit du réveillon dans la capitale avec plusieurs interventions pour des incendies. Vers minuit, des jeunes ont bouté le feu à des containers à poubelles dans la cité Versailles à Neder-over-Heembeek. Pas de blessé, aucune arrestation mais les hommes du feu ont dû intervenir. Dans cette cité de logements sociaux, c’est du vandalisme classique lors du passage à l’an neuf.

    Des voitures ont également été incendiées rue de la Forêt d’Houthulst (derrière le Petit-Château), chaussée d’Anvers (près de l’hôtel Président) ou encore rue de Soignies. Un fauteuil a aussi été détruit par les flammes rue du Vautour. Boulevard d’Ypres, l’éclairage public a été vandalisé par des inconnus.
    La police a par ailleurs procédé à une dizaine d’arrestations administratives et une dizaine d’arrestations judiciaires dont une personne sous le coup d’une condamnation, communique Ilse Van de Keere, porte-parole de la zone Bruxelles-Ixelles. En outre, une personne a été poignardée vers 3 h du matin rue de la Buanderie.

    Dans la zone Midi, une voiture a été incendiée dans le quartier de la Porte de Hal, sur le territoire de Saint-Gilles. A #Anderlecht, des jeunes ont bouté le feu au sapin de Noël de la place du Conseil, devant la maison communale.

    https://www.youtube.com/watch?v=2J2wyN0jp8o


    http://www.rtbf.be/info/regions/detail_reveillon-des-poubelles-incendiees-a-neder-over-heembeek-des-voiture-en-

    #Bruxelles #Belgique #Etat_d_alerte #camera_de_surveillance #emeutes #Capitale_de_l_union_européenne #RTBF #Chronique_de_la_guerre_sociale_en_Belgique

  • A la SNCF, des logiciels pour détecter les « comportements suspects » par vidéosurveillance
    http://www.lemonde.fr/pixels/article/2015/12/17/a-la-sncf-des-logiciels-pour-detecter-les-comportements-suspects-par-videosu

    La SNCF a annoncé qu’elle expérimentait des technologies de détection des comportements suspects sur ses caméras de vidéosurveillance, tout en appelant à confier de nouvelles prérogatives à ses agents de sécurité, comme le prévoit une proposition de loi en débat à l’Assemblée. Face au « caractère exceptionnel » de la menace terroriste après les attentats de Paris, la SNCF teste un logiciel d’analyse comportementale qui pourrait être intégré à ses 40 000 caméras de surveillance, a dit le secrétaire général de (...) #SNCF #CCTV #vidéo-surveillance #anti-terrorisme #algorithme #surveillance #biométrie

  • Dans le Val-d’Oise, récit d’une perquisition musclée
    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/11/23/dans-le-val-d-oise-recit-d-une-perquisition-musclee_4815543_1653578.html
    Par Paul Barelli (Nice, correspondant), Richard Schittly (Lyon, correspondant) et Laurent Borredon

    Perquisitions au Pepper-Grill à Saint-Ouen-l’Aumône, le 21 novembre. (...)
    A 20 h 31, un homme tente péniblement d’ouvrir la porte intérieure du sas d’entrée, (...) casque, gilet pare-balles, bouclier antiémeute. (...)

    Sous le regard ébahi des clients, des dizaines de policiers en tenue d’intervention déboulent dans la grande salle du restaurant. Une perquisition administrative commence...

    Les clients se figent. Les fonctionnaires ordonnent à la dizaine de salariés présents en salle de se rassembler autour d’une table libre. « Ordre du préfet ! », répondent-ils lorsqu’on les interroge.

    Braqué avec un fusil

    Puis les policiers tentent d’ouvrir les portes avec un bélier. Ils en défoncent une première. Elle donne sur les cuisines, par ailleurs accessibles par une porte battante : il suffisait de s’avancer de quelques mètres dans le couloir.

    Ils partent ensuite à l’#assaut d’une deuxième porte, celle-là bien fermée. Le propriétaire du restaurant leur propose de l’ouvrir avec sa clé. Pas de réponse, la porte est cassée. (...) Une dernière porte est attaquée. Un coup, deux coups, puis le policier qui tient le bélier se rend compte qu’il suffisait en fait de tourner la poignée. Derrière, une salle de douche.

    Le propriétaire, Ivan Agac, 28 ans, (...) découvre qu’« il existe des raisons sérieuses de penser que se trouvent des personnes, armes ou objets liés à des activités à caractère terroriste » dans le restaurant qu’il a lancé il y a deux ans. Il est estomaqué. Pendant la discussion, un policier en uniforme farfouille sans conviction dans les armoires, jetant les dossiers à terre sans même faire mine d’en examiner le contenu.

    Pas un seul contrôle d’identité

    « Vous avez de la chance, on n’a rien trouvé, vous n’allez pas partir en garde à vue », conclut l’officier. Puis la troupe s’en va. Il est 21 h 01. Les policiers n’ont découvert ni « armes » ni « objets liés à des activités à caractère terroriste ». Quant aux « personnes », en trente minutes de perquisition, ils n’ont pas procédé à un seul contrôle d’identité, ni d’employés, ni de clients, donc ils ne risquaient pas d’en trouver… (...)

    Pourquoi, alors ? Le maire PS, Alain Richard, ancien ministre de la défense de Lionel Jospin (1997-2002), ne souhaite pas commenter une perquisition « qui pourrait avoir des suites judiciaires ». Une source policière explique qu’une « #salle_de_prière_clandestine » était recherchée. Sauf qu’une salle de prière, il y en a bien une, mais elle n’est pas particulièrement clandestine, il s’agit d’une petite pièce indiquée par un pictogramme, située à côté du bureau de M. Agac, et destinée aux clients qui le souhaitent.

    « On ne fait pas mouche à tous les coups, loin de là. Le principe de ces perquisitions, c’est de taper large, justifie le préfet, Yannick Blanc. (...)

    « C’est de la communication »

    Dans la région lyonnaise, les responsables policiers évoquent ainsi un bilan des saisies « plutôt positif » : lance-roquettes, fusil d’assaut AK47, fusil-mitrailleur MAT49, 1 kg d’héroïne, 1,2 kg de cannabis… « On a bénéficié d’un effet de surprise, ces perquisitions nous ont donné une #liberté_d’action efficace, estime le patron d’un service d’enquête spécialisé. Nous avons ciblé des gens que nous n’avions pas réussi à accrocher dans nos investigations, nous en entendions parler en marge de nos enquêtes sans avoir de billes, notre intuition était bonne ! »

    (...) « C’est de la communication », commente un haut responsable policier à Paris. Et le risque de dommages collatéraux n’est jamais très loin. A Nice, vendredi 20 novembre, une fillette de 6 ans a été légèrement blessée lors d’une perquisition administrative menée dans le centre. (...)

    Lundi 23 novembre, la police avait procédé à 1 072 perquisitions en application de l’article 11 de la loi de 1955 sur l’état d’urgence. Elles ont donné lieu à 139 #interpellations, qui ont débouché sur 117 #gardes_à_vue. Ce qui signifie que, dans environ 90 % des cas, les policiers ont fait chou blanc. Comme au Pepper-Grill.

    Au niveau national, le ministère de l’intérieur affiche la saisie de 201 armes. Dans 77 cas, de la drogue a été découverte.

    #perquisitions_administratives #état_d'urgence

  • Allez vous faire connecter !

    Extraits :
    " Le visage, c’est votre fond de commerce. Car vous êtes le fondateur et patron d’une start-up spécialisée dans l’« analyse faciale en temps réel ». Son petit nom, c’est Smart me up, qu’on pourrait traduire par « rends-moi plus intelligent » ou « fais de moi un génie ». Vaste programme, surtout quand on apprend la façon dont vous vous y prenez. En gros, votre but est de rendre la vidéosurveillance « intelligente » , comme vous l’expliquez dans une interview : « La reconnaissance faciale, c’est une technologie qui permet, à partir de n’importe quel flux vidéo, de n’importe quel système, d’extraire toutes les informations de manière similaire à un humain, c’est-à-dire le nombre de personnes dans une pièce, comprendre le genre des personnes, leur âge, analyser leurs émotions »."

    " Je ne trouve pas ça « plutôt sympa », bien au contraire : complètement abject. Vous n’avez pas la tête de Big Brother (d’ailleurs a-t-il vraiment une tête ?) : votre visage est « cool », cheveux en bataille, barbe pas tout à fait rasée, style un peu hipster assez classique pour vos trente-quatre ans. Mais vos actes vont faciliter la tâche de tous les petits Big Brother du monde. À votre décharge, il est vrai que vous vous inscrivez dans l’air du temps. Où les réfractaires à la surveillance de masse passent pour des illuminés, où chaque jour se multiplient les « objets connectés » collectant toute une série de données, où la ville entière est en passe de devenir « intelligente », c’est-à-dire ubiquitaire, scrutant tous les faits et gestes des habitants."

    " Quand j’ai découvert votre start-up, j’ai tiré une sale gueule. Genre pas du tout aux « normes internationales » de Photomaton. Ce qui me rend le plus triste, ce n’est pas l’horreur de vos « innovations », mais la faiblesse de la contestation. Vous et vos clones développez vos atrocités dans la plus grande impunité. Quelquefois des voix discordantes se font heureusement entendre : en octobre dernier, un groupe de personnes a fait annuler une soutenance de thèse de l’INPG (Institut national polytechnique de Grenoble) autour – justement – de la vidéosurveillance intelligente. Leur motivation : contester les recherches scientifiques qui « développent et perfectionnent au contraire les outils technologiques qui permettront de contrôler, surveiller et contraindre demain la population ».
    Je rêve du jour où vous serez contestés jusque vos locaux de la zone Innovallée, jusque dans votre résidence cossue du haut-Meylan, où vous entendrez le dégoût que nous inspirent vos recherches.
    En attendant, je vous prierai, cher monsieur, d’aller vous faire connecter."

    https://www.lepostillon.org/Allez-vous-faire-connecter-474.html

    #vidéosurveillance #innovation #bigbrother #camérasintelligentes

  • Paris : A propos d’un dispositif de surveillance trouvé, documenté et détruit - Non Fides - Base de données anarchistes
    http://www.non-fides.fr/?Paris-A-propos-d-un-dispositif-de

    Fin septembre nous avons mis fin à des doutes sur la présence d’un dispositif de #surveillance visant la bibliothèque anarchiste La Discordia dans le Nord-Est de Paris. Un dispositif qui se trouvait dans l’école Montessori « Plaisir d’enfance » située juste en face de la bibliothèque au premier étage dans un cagibi, donnant sur la fenêtre (le dispositif avait la forme d’un « dossier en carton »). (...)

    Le dispositif était sous la forme d’un boîtier rectangulaire, bruyant (ventilateurs) d’environ 40 x25x25 cm en plastique dur, branché sur secteur (sans batteries). Le boîtier présente un trou d’environ 4 cm de diamètre pour la #caméra, trois câbles en sortaient au bout desquels se trouvaient deux antennes à pointe (probablement des #capteurs_sonores) et un troisième capteur petit et carré. A l’ouverture du boîtier, nous découvrons du matériel technologique de pointe :
    • Un routeur wifi avec deux cartes SIM (Bouygues), un GPS, trois entrées cellulaires, une entrée stéréo.
    • Un processeur.
    • Un dispositif téléphonique avec une carte SIM Orange (ce qui signifie que les données n’étaient pas stockées mais transmises en direct).
    • Une camera avec deux niveaux de zoom, commandable à distance.
    • Et d’autres types de matériels que nous ne sommes pas parvenus à identifier (mais que vous trouverez sur les photos téléchargeables ci-après).

    Nous mettons à disposition une certaine quantité de photos en invitant les personnes capables, à partager leurs connaissances techniques sur le sujet : 1 et 2.

  • Des dizaines de milliers de spectateurs « scannés » par la police durant un festival
    http://www.20min.ch/ro/news/insolite/story/10576215

    Grâce à des #caméras espionnes, les #visages de 90’000 fans ont été comparés aux photos contenues dans les fichiers d’#Europol. Une première qui fait grand bruit.
    Big Brother s’invite même dans les concerts de hard rock. La police du Leicestershire (centre de l’Angleterre) a provoqué une polémique, le week-end dernier en marge du festival Download. Elle a admis avoir installé des caméras reliées à un dispositif de #reconnaissance_faciale à certains « endroits stratégiques » du site.

  • La « police des polices » favorable au Taser, pas au Flash-Ball
    http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2015/05/21/la-police-des-polices-favorable-au-taser-pas-au-flash-ball_4638108_1653578.h

    Lors de la présentation jeudi 21 mai de son rapport d’activité pour l’année 2014, l’Inspection générale de la #police (IGPN) a observé un recours « de plus en plus fréquent » aux #armes non étales [sic] de la part des policiers.

    Concrètement, les agents ont utilisé à 567 reprises le pistolet à impulsion électrique, plus connu sous le nom de #Taser. Dans 20 % des cas, il suffit de pointer le faisceau laser de visée sur le corps de l’individu ciblé pour mettre fin à la menace, sans avoir besoin de tirer.

    « Cette arme est très intéressante à distance, résume Marie-France Moneger-Guyomarc’h, la patronne de l’IGPN. Elle a un effet dissuasif. Son bilan est positif, nous recommandons de la garder dans la panoplie des policiers. »

    « Obsolète »

    En revanche, le #Flash-Ball n’a pas les faveurs de l’IGPN. Trop « obsolète », selon la police des polices qui souligne que cette arme, à courte portée de tir, a été mise en service en 1995 et a provoqué parfois de graves blessures. L’IGPN milite pour des armes défensives à longue distance, aujourd’hui beaucoup plus précises. [ici, pas de chiffres sur l’utilisation, et implicitement la recommandation du #LBD40 ?].

    Concernant les armes létales, sur 2014, le rapport de l’IGPN recense 228 usages du Sig Sauer, le pistolet de dotation des policiers. Pour la moitié des tirs comptabilisés, ce sont des véhicules qui ont été pris pour cible, principalement lorsque des personnes en infraction tentaient de prendre la fuite en fonçant sur les policiers qui cherchaient à les interpeller. Plus insolite : un quart des 228 tirs visait des animaux. « Des chiens enragés, des nouveaux animaux de compagnie comme les singes, mais aussi des sangliers ou des renards qui viennent en ville… », précise Mme Moneger-Guyomarc’h.

  • Nord : Mairie, Pôle emploi, CPAM, CAF, les agents d’accueil des services publics sont à bout - 20minutes.fr
    http://www.20minutes.fr/lille/1582831-20150409-nord-agents-accueil-services-publics-bout

    « Beaucoup de procédures ont migré vers le web et on n’a pas attendu que les allocataires s’habituent à ce nouvel outil ». A la #CAF, Isabelle Lerat regrette que les choses soient faites à l’envers : « Les rendez-vous, la #dématérialisation... Tout cela est fait pour des raisons économiques et non pour l’usager. Celui qui attend son #RSA pour vivre ne peut pas se contenter d’une date fixée à plusieurs semaines. Il vient à l’#accueil et veut une réponse immédiate ». Il faut de l’humain, mais aujourd’hui, les humains n’en peuvent plus.

    Des #vigiles, des bipeurs d’urgence et des #caméras à la Caf du Nord
    http://www.francebleu.fr/infos/des-vigiles-des-bipeurs-d-urgence-et-des-cameras-la-caf-du-nord-2270437

    Pour apaiser les esprits, la direction propose de généraliser la prise de #rendez-vous sur internet. (...) les agents d’accueil sont maintenant équipés d’un bipeur provisoire. (...) 70% des usagers disposent d’un ordinateur.

    CAF : Débrayage massif dans une agence de Vendée
    http://www.20minutes.fr/societe/1582311-20150409-caf-debrayage-massif-agence-vendee

    Selon le quotidien, c’est un récent #licenciement qui a fait descendre le personnel dans la rue. Celui-ci déplore, aujourd’hui, la dégradation de ses #conditions_de_travail, l’impossibilité pour lui de répondre au mieux aux attentes des #allocataires, et enfin la suppression de 16 postes à l’horizon 2017, imposée par les directives nationales.

    #austérité

  • Je surveille le monde entier depuis mon salon - OAI13 : Culture Photo et société
    http://www.ourageis13.com/revue-web/je-surveille-le-monde-entier-depuis-mon-salon

    À quoi servent les caméras de surveillance ? Est-ce qu’il y a vraiment quelqu’un pour regarder toute cette matière vidéo passionnante ?
    On a trouvé au moins une personne, et elle s’appelle Kurt Caviezel. Cet artiste passe son temps à faire toutes sorte de typologies d’images à partir de ce qu’il observe au travers de ces milliards d’yeux : les travailleurs en bâtiment, des paysages, des arrêts de bus, des insectes.

    #surveillance #caméras #vie_privée

  • Camera obscura by Marja Pirila

    Since 1996, photographer Marja Pirila has been working on her “Interior/Exterior” project, using an old technique that is the basis of all photography to create complex, layered works.

    Pirila puts her subjects in a dark space, covering the windows while leaving a small hole for the outside light to feed in.

    An inverted landscape — with colors and depth preserved — fills the room.

    This is the camera obscura technique, and it uses a naturally occurring phenomenon that led to the modern-day camera. Most cameras, however, have an internal mirror that flips the image back to the position it appears in real life.

    Pirila has used the technique for almost 20 years, taking photos of people in Finland, Norway, Italy and France.

    Marja Pirila
    Marja Pirila

    “They all have a documentary basis, i.e. they show how/where people live, how their interiors look and what they see from their windows,” Pirila said. “But besides this ... because of the two worlds merging down to each other, a third ’reality’ is created and made visible. That reflects perhaps mostly my mental landscape, but I feel, at least a bit, (it reflects) also the landscape of the model’s mind.”

    Before working with the technique, Pirila had worked with pinhole cameras, which are essentially camera obscura on a smaller scale. Light and color slide through a small hole to create an inverted image that is absorbed by light-sensitive paper.

    “Both techniques are slow and unpredictable and compel one to slow down and stop amid the daily routine,” Pirila said. “Moreover, the actual process is crucial in both. They present a challenge to experiment and extend conventional photography.”

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    Pirila decided to explore camera obscura after seeing black-and-white images by Abelardo Morell in a magazine. She couldn’t find much information on this technique, and she had many trials before success. Pirila now has about 70 images in her project.

    Pirila chose models she knew — students, friends, neighbors or random acquaintances — though always “they are people who touch me in one way or other,” she said.

    Pirila sets up a room alone, then invites the model into the space. Together they find a place for the subject to pose that is comfortable for the model and aesthetically satisfying for Pirila.

    “It is a big pleasure for me to show and share this light phenomena with my model,” she said.

    Pirila used color film when she first started the project and has since switched to digital. Film exposures vary from minutes to hours, and digital exposures last anywhere from seconds to minutes, she said. Regardless, models must hold a pose for a relatively long time for a picture to be taken in this space with low light.

    “Darkness and long exposures create the contemplative atmosphere and let us enjoy and be inside the magic world which appears in an ordinary room for a while,” Pirila said.

    Light is the most important factor in photography, Pirila said, and camera obscura attracted her because of its play with light.

    “I feel that the light is my home,” she said. “That is why I am a photographer.”

    Marja Pirila is a photographer based in Finland


    http://edition.cnn.com/2015/01/04/world/cnnphotos-interior-exterior-camera-obscura

    https://www.lensculture.com/marja-pirila

    http://www.photolucida.org/artist-detail/?user_event_id=6965&year_dir=cm14

    #photographie #landscape #paysage #finland #InteriorEsterior #fenetre #cameraObscura

  • Amazon, mode d’emploi | LE JURA LIBERTAIRE
    https://juralib.noblogs.org/2014/12/18/amazon-mode-demploi

    Dans le secret des entrepôts d’Amazon

    Derrière l’image présentée aux médias par le géant de la vente en ligne, la réalité vécue par les salariés est tout autre (...)

    Noël est une période faste pour Amazon, géant de la vente sur Internet. Le choix est vaste et les délais de livraison réduits au minimum. Certains produits sont disponibles en vingt-quatre heures. Pour satisfaire ces acheteurs pressés, le groupe américain a installé plusieurs entrepôts en France.

    Après des semaines de négociation, des journalistes d’« En quête d’actualité » ont obtenu l’autorisation de filmer la collecte et la confection des colis dans un de ces centres, situé dans la banlieue lilloise. C’est une atmosphère festive qui semble régner à chaque début de service. Le patron, comme un GO de club de vacances, fait bouger et chanter ses équipes. Un moyen de motiver et d’apporter de la bonne humeur, mais aussi un nécessaire échauffement des pieds et des mains.

    Chaque employé est chronométré

    Travailler chez Amazon demande en effet d’être en parfaite condition physique. Munis d’un pistolet scanner, les employés partent à la chasse aux produits commandés. Poussant un petit chariot, ils parcourent les allées de l’immense entrepôt pour composer leurs colis. La course est chronométrée. Car chaque salarié doit récupérer un maximum d’articles en un minimum de #temps. La direction assure qu’il n’y a pas de sanction s’il ne respecte pas cette #cadence. Une affirmation que les journalistes d’« En quête d’actualité » ont voulu vérifier en toute liberté.

    Alors que le voyage dans le Nord avait été strictement encadré par les attachées de presse zélées d’Amazon, c’est en #caméra_cachée qu’a été tourné un autre reportage dans un centre situé près d’Orléans. Et là, les choses se sont révélées moins idylliques que ce que la direction d’Amazon veut bien présenter.

    Un rythme infernal

    Pour le « coup de feu » des fêtes de fin d’année, l’entreprise américaine recrute des #intérimaires. Après une batterie de tests, ceux qui sont jugés aptes intègrent l’équipe sous le contrôle étroit de leurs responsables. Il est fortement recommandé de suivre le rythme infernal qui leur est imposé moyennant 30 cents de plus par heure que le smic. Pour ceux qui sont en deçà des objectifs, leur « mission » est interrompue.

    D’autres marchands en ligne tentent des systèmes pour auto­­matiser la préparation des commandes. Mais, en bout de course, ce sont toujours des salariés sous-payés qui emplissent les cartons.

    « Achats de Noël : plongée au cœur d’Amazon, le plus grand magasin de France », présenté par Guy Lagache (France, 2014, 100 min.) Mercredi 17 décembre à 20 h 50 sur D8.

    Leur presse (Joël Morio , LeMonde.fr, 17 décembre 2014)

     

    Chez Amazon, une caméra sème la panique : « Cache les tableaux de productivité ! »

    En pleine période de Noël, Amazon, le géant du commerce électronique, se serait certainement bien passé de cette très mauvaise publicité.

    Des journalistes du magazine « En quête d’actualité », diffusé mercredi soir sur D8 (à la 49e minute de la #vidéo : http://rue89.nouvelobs.com/zapnet/2014/12/18/chez-amazon-camera-seme-panique-cache-les-tableaux-productivite-256), ont pu infiltrer un entrepôt de l’entreprise et révéler la stratégie des dirigeants. Leur considération pour leurs salariés ou pour le droit du travail apparaît très faible.

    Un « check » pour se dire bonjour

    Côté pile, Amazon est une entreprise cool, moderne et soucieuse de protéger « sa famille » d’employés. Les salariés s’échauffent chaque matin en musique pour « avoir un esprit famille ».

    Face caméra, le patron d’un entrepôt situé dans le Nord, près de Lille, nous fait même croire qu’il « checke » avec le poing tous ses employés chaque matin. Le manager (qui dirigeait auparavant une entreprise en Chine) explique :

    « En fait, on s’est mis à faire ça il y a un an pour se dire bonjour. Et puis les employés ont trouvé ça sympa, les Amazoniens ont trouvé ça sympa et l’ont gardé. C’est devenu un peu le signe distinctif et maintenant on se “checke”. »

    Les employés épiés par leur scanner

    Côté face, Amazon apparaît surtout obsédé par son image. On découvre des salariés sans cesse mis sous pression, des outils (scanners, caméras, vigiles) déployés pour les inciter à être toujours plus productifs, même si officiellement, les « Amazoniens » n’ont pas d’objectif journalier.

    En réalité, les scanners qu’ils utilisent servent aussi à mesurer leur productivité et à fixer des objectifs très précis. Un employé doit être au minimum à 75% des objectifs attendus par Amazon, sous peine d’être remercié.

    « Les journalistes sont très regardants »

    Mais ça, les dirigeants ne l’admettront pas. Lorsque les journalistes de D8 souhaitent regarder les scans de salariés, le manager est pris en flagrant délit. Oubliant la présence des micros, il demande à sa collègue :

    « Tu vas aller voir tout le monde de la “outbound” et tu leur demandes de cacher leurs tableaux de productivité. Tous ! Parce que les journalistes sont très regardants. »

    Un journaliste de la chaîne s’est ensuite fait embaucher comme intérimaire pour vérifier les coulisses de cette « success story ». Il constate « le flicage permanent » de l’#entreprise, une partie du temps de pause des ouvriers grignoté sans scrupule et l’existence de quotas de productivité.

    Un employé tout juste embauché doit ainsi atteindre au bout de quatre jours un objectif chiffré. En cas d’échec, il est licencié.

    Leur presse (David Perrotin, Rue89.nouvelobs.com, 18 décembre 2014)

     

    Une employée d’Amazon raconte « la peur organisée »

    TÉMOIGNAGE Une intérimaire du géant de la vente en ligne raconte les conditions de travail dans le site de Montélimar.

    La plateforme d’Amazon de Châlon-sur-Saone, en décembre 2012.

    Amélie [Le prénom a été modifié], 30 ans, a travaillé quelques semaines au sein de la plateforme d’Amazon à Montélimar (Drôme). Alors que des grèves pour des hausses de #salaires se poursuivent en Allemagne, nous avons décidé de publier son témoignage, saisissant, sur les conditions de #travail au sein du numéro 1 mondial de la vente en ligne.

    « Les agences d’intérim de Montélimar recrutent en fin d’année des hordes de salariés sur les quatre postes de travail de la plateforme Amazon, implantée il y a trois ans. Vous pouvez y être admis comme “eacher”, pour réceptionner les marchandises et les enregistrer informatiquement ; “stower”, pour les ranger dans les kilomètres d’étagères de l’entrepôt ; “picker”, pour arpenter les allées et rassembler les produits commandés ; ou “packer”, pour les emballer avant expédition.

    « C’est en tant que pickeuse que j’ai découvert l’univers d’Amazon. L’univers du code-barres. Tout a un code-barres chez Amazon : les articles, les 350’000 emplacements sur les étagères, les chariots qui servent à déplacer les produits commandés, les gens qui poussent ces chariots, les imprimantes, les voitures. Les scannettes portatives dont chacun est équipé pour lire les codes-barres ont aussi un code-barres. Elles sont reliées au réseau wi-fi, qui peut les localiser dans l’entrepôt. Tout a une réalité physique doublée d’une existence informatique. Les #managers qui sont derrière leur ordinateur savent en temps réel, grâce à ces outils, où se trouve un livre, sur quel chariot il a été enregistré, quel intérimaire pousse le chariot, où il se déplace dans l’entrepôt, à quelle heure il s’est mis au travail en scannant son code-barres personnel, quelle a été la durée exacte de sa pause, et combien d’articles il “picke” par heure. Cette #productivité personnalisée est évaluée en permanence, et des managers viennent trouver individuellement chaque picker pour lui donner sa performance et le conseiller si celle-ci n’est pas satisfaisante. “Il faut être plus dynamique, tu perds trop de temps en ramenant les articles à ton chariot, tu es à 85 articles par heure”, m’a lancé un jour un manager au détour d’un rayon, alors que je n’avais jamais vu cette personne auparavant. Mais les remontrances peuvent aussi prendre une forme numérique. Si vous garez par exemple votre chariot sur un emplacement gênant, le code-barres qui y figure permet de savoir que c’est le vôtre, et vous recevez un message sur l’écran de votre scan : “Merci de garer ton chariot sur les emplacements autorisés.”

    À Sevrey, près de Châlon-sur-Saône, les entrepôts d’Amazon s’étendent à perte de vue. 40’000 mètres carrés et des rayons qui n’en finissent pas.

    « Il est temps de picker »

    « Aux outils de surveillance, il faut ajouter des centaines de caméras, des agents de sécurité qui arpentent les allées toute la journée, et qui peuvent fouiller les salariés au détecteur de métal à la sortie de l’entrepôt. Enfin, plus diffus, la peur de la délation et le fantasme d’une surveillance sans limites comptent pour beaucoup dans la docilité générale. On ne sait pas de qui exactement il faut se méfier, qui est ami avec les managers ou veut le devenir, on ignore jusqu’où exactement va le pistage informatique… Et, dans le doute, pour aborder la moindre question un tant soit peu polémique, le réflexe est toujours de parler discrètement, et à voix basse.

    « “Les salariés qui sont aujourd’hui embauchés en CDI ont commencé comme vous, en intérim. Si vous vous montrez productifs, et que vous avez un bon comportement, vous avez peut-être un avenir chez Amazon.” C’est par ces mots que nous accueille un responsable le premier jour. La productivité est à partir de ce moment-là une obsession, qui ressort dans toutes les conversations. En tant que picker, nous devons rassembler plus d’une centaine d’articles par heure, en arpentant les rayons sur une distance cumulée de 15 à 25 kilomètres selon notre rapidité et selon la dispersion des articles qui défilent sur l’écran de notre scan. Cet objet nous guide parmi les étagères, nous indiquant les coordonnés du prochain article à attraper : l’entrepôt est divisé en zones, subdivisées en allées, elles-mêmes subdivisées en profondeurs d’allée, puis en hauteurs d’étagère. Le parcours est programmé automatiquement de façon rationnelle pour minimiser les distances d’un point à un autre, et aussitôt que les coordonnées d’un livre s’affichent un compte à rebours de quelques secondes défile avec cette phrase : “Il est temps de picker.” Le nombre total d’articles restant à picker, et le temps imparti pour les rassembler tous, apparaît en dessous. Dans l’empressement général, la mise en concurrence joue à plein, sinon parce que le CDI est un sésame à décrocher, au moins parce que le non-renouvellement du contrat d’intérim est une épée de Damoclès au-dessus de chaque tête. Certains, pourtant, à qui j’ai demandé la raison de leur zèle n’invoquent pas toujours d’emblée l’angoisse d’être “éjectés” (même si cette peur est invariablement mentionnée dans ces termes). Ils veulent battre des records, “comme ça, pour la performance”, et la reconnaissance qui va avec. Un bon salarié peut être porté aux nues comme étant élu “associate de la semaine” par les managers qui l’applaudissent tous en chœur. Aller aux toilettes qui se situent à l’extrémité de l’entrepôt fait dégringoler votre “prod”. Pousser son collègue pour se saisir en premier d’un chariot la fait grimper. L’idéal (et c’est d’ailleurs la norme) étant d’arriver à l’avance le matin pour préparer scan et chariot et gagner de précieuses minutes qui feront peut-être la différence. C’est aussi cela, “avoir un bon comportement”. À l’embauche, le mail de l’agence d’intérim précisait noir sur blanc : “Il faut arriver un quart d’heure à l’avance, ils aiment bien .”

    « Ne vous couchez pas trop tard »

    « Avoir un bon comportement, c’est par ailleurs accepter les heures supplémentaires. Au matin du 2 décembre, lorsque nous arrivons à l’entrepôt vers 5h30, l’équipe de nuit, qui finit habituellement bien avant, est encore là. Le discours d’accueil, qu’une manageuse fait quotidiennement pour commencer la journée, nous invite aujourd’hui à rester une demi-heure de plus pour faire face à une augmentation inattendue des commandes : “L’équipe de nuit a fait l’effort, comme vous l’avez vu. Nous vous demandons de le faire aussi, pour que l’équipe suivante n’ait pas une charge de travail insurmontable !” Dans cette ambiance d’hyperindividualisation, elle évoque soudain l’esprit d’équipe et la solidarité. Ce n’est pourtant pas cela qui fait mouche : les gens restent parce qu’ils tiennent à leur emploi.

    « Ce discours d’accueil servi chaque matin à 5h50, au moment de la prise de poste, vise à motiver les troupes, à annoncer le nombre de commandes qu’il faudra préparer pour la journée, à prévenir les erreurs constatées la veille… ou à donner des conseils sur le #rythme_de_vie à avoir lorsqu’on travaille chez Amazon : ne vous couchez pas trop tard, n’hésitez pas à faire une sieste, mettez une lumière forte au réveil pour aider l’organisme à se mettre en route, mangez bien à la pause… Cette dernière injonction est tout à fait paradoxale. Les deux pauses de vingt minutes qui nous sont accordées ne laissent en aucun cas le temps de bien manger. Si vous en avez l’intention, il faut traverser tout l’entrepôt (trois à quatre minutes), passer par le poste de sécurité, rejoindre votre casier pour prendre votre pique-nique et atteindre la salle de pause. Là, il faut en fait choisir entre avaler une bouchée de sandwich et aller aux toilettes, faire les deux étant assez ambitieux puisque vous devez avoir fait le chemin en sens inverse et retrouvé votre chariot lorsque retentit la sonnerie qui annonce la reprise du travail. Une remarque laconique accueille les retardataires : “Jeune fille, en retard !”

    « La pression est énorme, la fatigue difficile à gérer. L’ambiance est à la méfiance. Tout est verrouillé. Avant de signer un contrat de travail, il faut parapher trois pages qui nous engagent à la confidentialité la plus totale. Rien ne doit sortir de l’entrepôt, et raconter quoi que ce soit à des concurrents, bien sûr, mais aussi à vos amis et à votre famille peut vous être reproché. La peur organisée, la surveillance de nos moindres faits et gestes, et la contestation réduite au silence, c’est ce qui se joue chaque jour sous les néons de l’entrepôt d’Amazon, avec, pour principale arme de persuasion, la promesse d’un emploi. »

    • Les salariés d’Amazon sont appelés par la CGT à faire #grève lundi, à trois jours de Noël, sur l’ensemble des sites logistique du géant de la vente en ligne, pour les #salaires et les #conditions_de_travail, a-t-on appris vendredi auprès du syndicat.
      L’appel vise les sites de Lauwin-Planque (Nord), Saran (Loiret), Sevrey (Saône-et-Loire) et Montélimar (Drôme), précise la CGT dans un communiqué.

      « Nous avons appelé à la grève d’une part sur les salaires et d’autre part sur la durée de la pause »

      (...) il suffit à Amazon d’appuyer « sur un clic pour que les colis partent ailleurs », ce qui s’est traduit, dit-il par exemple, par un surcroit d’activité en France lorsqu’il y a eu grève en Allemagne.

      « C’est vrai que ça prend un peu plus de temps pour la livraison » dans ce cas, dit le responsable CGT, précisant que les grévistes ne sont « pas là pour embêter le client » et « bloquer les camions », mais « faire entendre les revendications des salariés ».

      Selon la CGT, les employés réclament « des salaires décents et de bonnes conditions de travail », ce qui passe notamment par une augmentation générale, une « prime d’équipe mensuelle de 100 euros brut » ou encore « une négociation sur la durée de la pause, pour le respect de la santé des salariés ».

      http://www.liberation.fr/economie/2014/12/19/amazon-les-sites-logistiques-appeles-a-la-greve-3-jours-avant-noel-par-la

  • Faits Divers, #Besançon : une caméra de vidéosurveillance sciée et volée aux 408
    http://www.macommune.info/article/besancon-une-camera-de-videosurveillance-sciee-et-volee-aux-408-112289

    La police a constaté les faits dans la nuit du mardi 16 au mercredi 17 décembre 2014 : le poteau soutenant l’une des caméras de vidéosurveillance du quartier des 408 a été scié, probablement à la disqueuse.

    #mouahahaha #cadeaux_de_noël #disqueuse #caméra #surveillance #vidéosurveillance

  • "Camera obscura "
    by Marja Pirila (Leuku’s member)


    The camera obscura phenomenon, at once simple and magical, never ceases to fascinate me. I have worked with it intensely ever since 1996. For me camera obscura is a method by which to survey the living environment and #mental_landscapes, summoning #subconscious feelings into the light of day.

    In camera obscura darkness, silence and slowness compel one to contemplate the world in a novel way, from new angles. When the space transforms into a ”dark room” it conjures up the core and magic of photography again and again. That is when I feel most acutely that I am working with light.

    The idea in embarking on the #Interior/Exterior project was a nocturnal inspiration after seeing some black-and-white images of Abelardo Morell in a photo magazine. In the room converted into a camera obscura I could capture an image of a person and at the same time that person’s room and the view from the #window – what an all-encompassing method by which to photograph a person’s living environment!

    The originally documentary idea soon expanded in a new direction. The pictures began to form not only a person’s living environment but also to constitute an excursion into the mental landscape: reflections of memories, reveries, fears and dreams.

    Working on this series was for me like taking photographs for a family album: visitations to #people and also to myself. To take the pictures I transform people’s rooms into camera obscura by covering the windows of the room with blackout plastic and placing on top of the hole cut in it a simple #convex_lens. Then the view outside the window is reflected upside down into the room forming a dreamy layered space. This and the occupant of the room I then photographed with a conventional camera.


    At first I used roll film cameras, nowadays a digital camera. The printing techniques also changed in the course of the project: from the chromogenic color prints of the early years to the present prints on rag and fibre paper with permanent pigments.

    Interior/Exterior is the most extensive and long-lasting project accomplished with the #camera_obscura method. So far I have photographed this series in #Finland, Norway, Italy and France, and the work continues.

    — Marja Pirilä
    https://www.lensculture.com/marja-pirila?modal=true&modal_type=project&modal_project_id=25376
    #leuku #photograpy #photo #photographie #Marja_Pirilä #leuku_photo_agency

  • Suivre les piétons via les caméras, entre opportunités et interrogations
    http://www.atelier.net/trends/articles/suivre-pietons-cameras-entre-opportunites-interrogations_432359

    La caméra de surveillance voyait et enregistrait les mouvements des piétons, désormais elle est capable de les suivre automatiquement. Une équipe d’ingénieurs de l’université de Washington a mis au point un algorithme permettant aux caméras d’attribuer une couleur et un chiffre précis à chaque individu enregistré puis de le suivre. Mais la traque du mouvement des piétons ne s’arrête pas au champ de vision de la caméra puisque, avec le programme développé, les appareils sont en mesure de communiquer entre eux et de se transmettre les données liées à un individu. Dans un espace entièrement couvert par les caméras, on pourrait donc reconstituer précisément le parcours de toute une série de personnes. Mais, entre vie privée et sécurité des données, le programme pose de nombreuses questions.

    #Algorithme #Caméra_de_sécurité #Liberté_individuelle #Marketing #Surveillance_vidéo #Sécurité #Université_de_Washington #Vidéo_surveillance #Vie_privée

  • #Gaza : « Les #enfants paient un #prix terrible », dénonce l’#Unicef
    http://www.rfi.fr/afrique/20140721-gaza-enfants-paient-prix-terrible-denonce-unicef

    Parmi ces #civils, les enfants payent un lourd #tribut. Les #images des quatre enfants tués par des tirs d’#obus israéliens, sous l’œil des #caméras, mercredi dernier, ont eu un fort retentissement. Ce lundi matin, encore, sept enfants ont été tués dans un raid israélien mené à #Rafah. Les #ONG War Child et Defence for children soulignent qu’il y a eu plus d’enfants tués à Gaza que de combattants palestiniens . Anthony Lake, directeur général de l’Unicef, le Fonds des Nations unies pour l’#enfance, a également alerté sur le fait que « la #violence sur les enfants atteint des proportions dramatiques, tant sur le plan #physique que sur le plan #psychologique, mettant gravement en péril les #espoirs de #paix ».

    « A l’heure actuelle, Unicef a comptabilisé 80 enfants qui sont morts à Gaza depuis le début de l’opération israélienne, alors que les combats se poursuivent dans l’un des quartiers de Gaza –City. Il semble que d’autres enfants ont été tués, mais en raison de la situation sur le terrain nous n’avons pu encore confirmer les chiffres. Il y a également 650 enfants qui ont été blessés à Gaza », rapportait Catherine Weibel, la porte-parole de l’UNICEF pour la Palestine, jointe par RFI dans la soirée de dimanche.

    La violence, « nouvelle réalité »

    Soulignant que la moitié de la population de Gaza est constituée d’enfants, Catherine Weibel insiste sur le fait que « c’est la troisième fois, en à peine plus de cinq ans, qu’il y a une énorme escalade de violence à Gaza et dans le sud d’Israël ». Une répétition préjudiciable pour l’avenir de ces enfants. « Les enfants, de manière générale, s’ils traversent un épisode de violence, arrivent à se reconstruire. Mais lorsque les épisodes de violence se succèdent, c’est très dommageable. Parce que pour ces enfants, cette violence devient une espèce de nouvelle réalité », explique-t-elle. « On a une génération d’enfants qui va avoir, malheureusement, de très gros problèmes psychologiques », dénonce la porte-parole d’Unicef pour la #Palestine.

    #Israel #Israël #assassins

  • J’ai pris le contrôle de votre caméra et je vous ai retrouvés - Le nouvel Observateur
    http://rue89.nouvelobs.com/2014/06/09/jai-pris-les-commandes-camera-ai-retrouves-252793

    Webcams, imprimantes, portes de garage... Vous n’avez pas protégé vos objets connectés ? Dommage. Le moteur de recherche Shodan nous a permis d’en prendre les commandes. Nous avons pu prévenir certains d’entre vous.

    #caméra #surveillance #sécurité #vie_privée #shodan #objets_connectés

  • Les caméras publicitaires, pur fantasme ?
    http://antipub.org/spip.php?article357

    Ainsi en théorie, l’annonceur peut savoir en temps réel si les passants voient bien le logo en haut à droite de l’écran après avoir vu le décolleté plongeant que le publicitaire présuppose désirable au centre, afin que l’idée du plaisir puisse bien être associée au logo de la marque. Et si jamais les analyses montrent que personne ne voit le logo mais seulement le décolleté, il est possible, du jour au lendemain, de déplacer le logo afin qu’il soit plus proche du décolleté (...) Source : Résistance à l’agression publicitaire

  • De nouvelles caméras de surveillance - 30/04/2014 - leParisien.fr
    http://www.leparisien.fr/espace-premium/val-de-marne-94/de-nouvelles-cameras-de-surveillance-30-04-2014-3805221.php

    Une enveloppe de 180 000 EUR a été programmée dans les dépenses de la ville pour la pose de deux caméras notamment près de l’arrêt de bus.

    A ce prix là, et avec une telle vélocité pour trouver les fonds, je suppose que le trou de la sécu sera bientôt rebouché avec des caméras, que les pauvres mangeront des caméras matin midi et soir, bien bouillies, et que l’emploi va repartir, car entre ceux qui les fabriquent, ceux qui les installent et ceux qui les regardent, il faudra même embaucher des gens pour se faire filmer.
    Au final, et comme d’habitude il n’y aura aucune caméra au-dessus des caisses publiques pour filmer ceux qui s’en remplissent les poches.

    #délinquance_financière #Créteil

  • Cette voiture voit tout
    http://www.leparisien.fr/faits-divers/video-cette-voiture-voit-tout-14-04-2014-3766867.php

    La police municipale d’Evry teste un véhicule équipé de caméras capables de lire les plaques d’immatriculation en un temps record. Aucun angle de vue ne lui échappe. [...]
    La PM n’a pas eu besoin de verser un centime à la société franco-suisse qui l’a créé. Elle versera en revanche un pourcentage des amendes dressées. [...]
    Car, pour sanctionner les infractions comme le stationnement gênant, il suffit de programmer la verbalisation via l’ordinateur. « Si je dis par exemple que toutes les voitures stationnées à gauche sont mal garées, les plaques vont être lues et un PV électronique est dressé, détaille le patron de la PM.

    Tout va bien...

    #Big_Brother #Police_municipale_(France) #Évry #Caméra #Verbalisation #Vidéosurveillance