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    ResEAUx @reseaux via RSS 8/11/2022

    Louise Biville – Du mirage à l’oasis : le Do It Yourself dans la restauration des cours d’eau intermittents à Tucson, Arizona
    ▻https://reseaux.parisnanterre.fr/louise-biville-du-mirage-a-loasis-le-do-it-yourself-dans-la-re

     Ce carnet s’inscrit dans le cadre d’un travail de master en Gestion de l’Eau et Développement Local à l’Université Paris Nanterre, sous l’encadrement de David Blanchon et Anne-Lise Boyer. La recherche de terrain a été réalisée dans le cadre … Lire la suite

    #Carnets_de_terrain

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    ResEAUx @reseaux via RSS 29/04/2022

    Brian F. O’Neill : Comprendre la politique du dessalement : une approche par le terrain
    ▻https://reseaux.parisnanterre.fr/brian-f-oneill-comprendre-la-politique-du-dessalement-une-appr

    Ce carnet a été écrit par Brian F. O’Neill, Université Paris-3 Sorbonne-Nouvelle et Université de l’Illinois à Urbana-Champaign. Le dessalement, c’est-à-dire la production industrielle d’eau potable à partir de l’eau de mer, fait l’objet d’un intérêt de plus en … Lire la suite

    #Carnets_de_terrain

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    ResEAUx @reseaux via RSS 11/03/2022

    Julie Gaillet : La restauration écologique des cours d’eau urbains au prisme de la circulation internationale des « modèles » urbains : le projet urbain Vallées de la vie à Istanbul
    ▻https://reseaux.parisnanterre.fr/julie-gaillet-la-restauration-ecologique-des-cours-deau-urbain

    Ce carnet s’inscrit dans le cadre d’un travail de maîtrise en urbanisme à l’Université de Montréal (Faculté de l’aménagement), sous l’encadrement de Franck Scherrer et Jean-François Pérouse. La recherche de terrain est réalisée dans le cadre d’un stage de recherche … Lire la suite

    #Carnets_de_terrain

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    ResEAUx @reseaux via RSS 25/03/2021
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    @02myseenthis01
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    Loren Bidard : Les riverains face à la restauration écologique et à l’entretien des cours d’eau : Exemples dans les vallées de la #Risle et de l’Eure
    ▻https://reseaux.parisnanterre.fr/loren-bidard-les-riverains-face-a-la-restauration-ecologique-e

    Ce carnet est issu d’un travail de master 2 mené au sein de l’UMR LAVUE à l’Université Paris Nanterre entre mars et septembre 2020. Évolution de la réglementation : une affirmation des principes écologiques La notion de continuité écologique a été … Lire la suite

    #Carnets_de_terrain #entretien #eure #restauration_des_cours_d'eau #riverain

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    ResEAUx @reseaux via RSS 28/01/2021

    Nolwen Vouiller : La rivière ‘Khauraha’, médiatrice entre non-humains et villageois (Népal)
    ▻https://reseaux.parisnanterre.fr/nolwen-vouiller-la-riviere-khauraha-mediatrice-entre-non-humai

    Au Népal, les rivières sont indispensables à tout un ensemble d’acteurs : aux humains pour des usages agricoles (irrigation[1]), domestiques, commerciaux (eau en bouteille, rafting touristique), énergétiques (centrales hydroélectriques) et pour la pêche, mais aussi aux animaux qui parfois y vivent … Lire la suite

    #Carnets_de_terrain #Andresy #barrage #Île #Nancy #RCE #Yelena_Barrier

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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 18/12/2020
    @isskein @karine4

    Ouvrir sa porte à l’inconnu. Récit d’une #solidarité_ordinaire

    En 2017, la journaliste #Julia_Montfort et son mari accueillent chez eux Abdelhaq, un jeune migrant Tchadien. De cette rencontre est née un constat : il existe une France accueillante et solidaire, et une envie : celle de la filmer. Julia Montfort est journaliste indépendante. Spécialisée dans les droits humains, elle collabore notamment avec Public Sénat pour la série « Les Dessous de la mondialisation ». Elle a reçu le Prix du jury du festival du film d’environnement (Québec) pour « Poussière d’or au Burkina Faso », une immersion dans les tréfonds de l’orpaillage. Elle réalise actuellement une web-série documentaire, « Carnets de solidarité », sur l’accueil citoyen de migrants et réfugiés en France. Cette série accompagne le lancement de sa chaîne YouTube destinée à diffuser un travail indépendant et financé par les spectateurs. This talk was given at a TEDx event using the TED conference format but independently organized by a local community.

    ►https://www.youtube.com/watch?v=oNC4C4OqomI&feature=emb_logo

    #hospitalité #hospitalité_privée #asile #migrations #réfugiés #témoignage #accueil_privé #France #TEDx #vidéo #Paris #conférence #espace #solidarité #entraide #capacité_d'entraide

    ping @isskein @karine4

    CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 18/12/2020

      Face à la haine et aux amalgames : « Redonner ses lettres de noblesse à la solidarité et à l’#hospitalité française »
      ►https://seenthis.net/messages/890230

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 18/12/2020

      #Carnets_de_solidarité : la web-série qui change le regard sur l’hospitalité
      ►https://seenthis.net/messages/839600

      CDB_77 @cdb_77
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 8/12/2020
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    @reka
    1
    @isskein @karine4

    Face à la haine et aux amalgames : « Redonner ses lettres de noblesse à la solidarité et à l’#hospitalité française »

    Elle appelle cela « l’#hospitalité_citoyenne ». #Julia_Montfort, journaliste et réalisatrice, a accueilli, comme beaucoup d’autres Français, un « migrant », Abdelhaq, originaire du Tchad. Elle raconte cette rencontre à Basta !, rencontre dont elle a tiré une web-série, #Carnets_de_solidarité. Son histoire nous rappelle que, loin des scènes indignes de harcèlement policier ou de commentaires racistes, des dizaines de milliers de citoyens font preuve de solidarité.

    https://www.bastamag.net/IMG/png/capture_d_e_cran_2020-11-27_a_18.05.52.png

    Julia Montfort appelle cela « l’hospitalité citoyenne ». Comme beaucoup d’autres personnes en France, elle a ouvert sa porte pour accueillir un « migrant », Abdelhaq. Il avait alors 21 ans et ne devait rester que quelques jours. Il aura finalement vécu un an et demi chez Julia et Cédric, son mari. De cette expérience personnelle est alors née l’envie de raconter ce mouvement de #solidarité qui a gagné de nombreux foyers français – une réalité trop souvent invisibilisée – pendant que les politiques en œuvre choisissent trop souvent de harceler, humilier, reléguer dans la rue les exilés en quête d’accueil, ne serait-ce que temporaire. Réalisatrice, elle en a tiré une web-série passionnante, Carnets de Solidarité, qui offre la meilleure des réponses, en actes, à tous les préjugés, tous les cynismes ou toutes les haines qui s’accumulent sur ce sujet.

    Basta ! : Le point de départ de votre travail, c’est le #récit_intime de l’accueil d’Abdelhaq, chez vous, dans votre appartement. Avec le recul, qu’avez-vous appris de cette expérience d’hospitalité ?

    Julia Montfort [1] : Beaucoup de choses. Nous n’avons pas accueilli un citoyen français avec des références culturelles partagées : Abdelhaq est le fils d’un berger nomade, dans le sud du Tchad, qui parle un dialecte dérivé de l’arabe – le kebet – dont la vie consistait à garder les chèvres de son père ou à aller récolter du miel, autant dire une vie diamétralement opposée à la mienne. Tout nous séparait, et nous avons appris à trouver des #liens, à construire des ponts entre nos deux cultures.

    J’ai réalisé la portée de ce geste dès que j’ai ouvert ma porte devant ce grand gaillard de plus d’1 m 90, et que j’ai compris que le #langage ne nous permettrait pas de communiquer. Il apprenait les rudiments du français, mais il ne faisait pas de phrases, je ne parvenais même pas à savoir s’il aimait les pâtes. De fait, ce genre de situation permet aussi d’en apprendre beaucoup sur soi-même et sur notre rapport à l’autre. Cela m’offre aujourd’hui un ancrage très différent dans le présent.

    Il y a cette anecdote significative, lorsque vous racontez que vous hésitez plusieurs jours avant de lui signaler qu’il ne priait pas dans la bonne direction…

    Il se tournait exactement à l’opposé de la Mecque, nous ne savions pas comment lui annoncer, cela nous pesait, alors qu’au final, Abdelhaq a juste explosé de rire lorsque nous lui avons montré la boussole ! Une partie de notre complicité est née ce jour-là… Abdelhaq a une pratique très ouverte de sa religion, c’est notamment une façon de maintenir un lien avec son pays. Quand il est arrivé à Paris, son premier réflexe a été d’aller dans une mosquée, où il a pu être hébergé. C’est un peu son repère, son cadre. Mais depuis, on a constaté qu’il s’intéressait beaucoup aux autres religions.
    De notre côté, nous sommes parfaitement athées, et c’est probablement la première fois que j’ai côtoyé quelqu’un de religieux aussi longtemps, et aussi intimement. La probabilité que je puisse, à Paris, me retrouver directement confrontée à la réalité de la vie d’Abdelhaq était tout de même très faible, jusqu’à présent. Cela cultive une certaine #ouverture_d’esprit, et cela a généré aussi beaucoup de #respect entre nous.

    Pour autant, vous ne faites pas l’impasse sur les difficultés qui se présentent, aussi, à travers cette expérience. « L’hospitalité n’est pas un geste naturel, c’est une #épreuve », dites-vous.

    Il ne faut pas enjoliver cette expérience par principe, cela n’a rien de simple d’accueillir un étranger chez soi. Il faut s’ouvrir à lui, accepter qu’il entre dans notre #intimité, c’est une relation qui demande beaucoup d’énergie. Faire entrer l’exil à la maison, c’est aussi faire entrer des vies brisées et tous les problèmes qui accompagnent ces parcours du combattant… Et c’est compliqué quand, au petit-déjeuner, vous devez affronter son regard dans le vide, que vous voyez qu’il n’est pas bien. Tout paraît assez futile. J’ai parfois eu l’impression de plonger avec Abdelhaq. C’est le principe même de l’empathie, partager l’#émotion de l’autre. Mais quand c’est sous votre toit, il n’y a pas d’échappatoire, c’est au quotidien face à vous.

    Dans votre récit, vous utilisez très souvent les termes de « #générosité », de « #bienveillance », d’ « #humanité », comme si vous cherchiez à leur redonner une importance qu’ils ne semblent plus vraiment avoir, dans la société. Faut-il travailler à repolitiser ces valeurs, selon vous ?

    On pense toujours que la solidarité, l’#altruisme, l’#entraide, tout ça n’est que l’apanage des faibles. Ce seraient des vertus désuètes, bonnes pour les « bisounours ». Il a en effet fallu que j’assume, à l’écriture, de redonner des lettres de noblesse à ces mots-là. Car on a bien vu que tous ces petits #gestes, cette empathie, ces regards, ce n’était pas anodin pour Abdelhaq. On a vu comment cette solidarité qui s’est organisée avec les voisins l’a porté, lui a permis de se regarder autrement, de retrouver des prises sur le réel. Petit à petit, on l’a vu changer, reprendre pied. Et ça, c’est considérable.
    Et partant de là, on peut aussi se demander ce qui nous empêche d’appliquer cela à toutes nos relations – personnellement, j’essaye désormais d’être plus attentive à cette forme de #bienveillance dans mes échanges avec mes voisins ou mes amis, au travail. Cela semble toujours une évidence un peu simple à rappeler, mais c’est vertueux. C’est même l’un des principaux enseignements que nous avons tiré de notre expérience, à notre échelle : au-delà des difficultés, cela fait du bien de faire du bien. Diverses études documentent les bienfaits pour la santé de ces #émotions positives ressenties, cela porte même un nom – le « #helper’s_high », l’euphorie de celui qui aide. Donc oui, la solidarité fait du bien, et il faut en parler.

    De fait, votre initiative a rapidement fait la preuve de son effet multiplicateur auprès du voisinage, c’est ce que vous appelez la « #contagion_solidaire ».

    C’est à partir de ce moment-là que je me suis dit qu’il y avait quelque chose à raconter de cette expérience personnelle. Il ne faut pas oublier qu’à l’époque, le discours sur « l’invasion » battait son plein. En 2017-2018, on est en plein dans la séquence où l’on entend partout que les migrants sont trop nombreux, qu’ils sont dangereux, qu’ils vont nous voler notre pain, notre travail et notre identité. Or à mon échelle, à Bagnolet, au contact de différentes classes sociales, j’ai vu le regard des gens changer et ce mouvement de solidarité se mettre en place, autour de nous. Et c’était d’autant plus significatif que nous étions officiellement devenus « hors-la-loi » puisque nous n’avions pas le droit d’héberger un sans-papier… De fait, lorsqu’on a reçu une enveloppe avec de l’argent pour payer le pass Navigo d’Abdelhaq, nous avons compris que nous étions plusieurs à accepter de transgresser cette règle absurde. Et à entrer ensemble dans l’absurdité du « #délit_de_solidarité ».

    « La chronique des actions en faveur de l’accueil des migrants montre une évolution au sein des sociétés européennes. Par leur ampleur et l’engagement qui les sous-tend, les formes de solidarité et d’hospitalité que l’on y observe s’apparentent de plus en plus à un mouvement social » affirme l’anthropologue Michel Agier, que vous citez dans votre livre. De fait, à l’échelle de la France, votre enquête tend à montrer que les démarches d’#accueil sont bien plus nombreuses et conséquentes qu’on ne le laisse souvent croire, vous parlez même d’une « #révolution_silencieuse ». Peut-on dresser une sociologie de ce mouvement social émergent ?

    C’est encore un peu tôt, on n’a pas assez de recul, on manque de chiffres. De nombreux chercheurs travaillent là-dessus, mais c’est un mouvement encore difficile à évaluer et à analyser. La plupart des gens restent discrets, par crainte de l’illégalité mais aussi par humilité, souvent. Mais lorsque j’ai présenté la bande-annonce avec l’objet de mon travail, j’ai été submergé de messages en retour, sur internet. Et de toute la France. J’ai réalisé qu’il y avait un défaut de #narration, et un défaut de connexion les uns avec les autres. La plupart agisse, chacun de leur côté, sans s’organiser de manière collective. Des mouvements et des plateformes se sont créés, sur internet, mais cette solidarité reste encore très « électron libre ». Il n’y a pas véritablement de #réseau_citoyen, par exemple.

    Pour ma part, ce que j’ai vu, c’est une France particulièrement bigarrée. J’ai vu des gens de tous les milieux, pas nécessairement militants, et beaucoup de #familles. En général, ils racontent avoir eu un déclic fort, comme par exemple avec la photo du petit #Aylan. Ce sont des gens qui ressentent une #urgence de faire quelque chose, qui se disent qu’ils « ne-peuvent-pas-ne-rien-faire ». La certitude, c’est qu’il y a énormément de #femmes. L’impulsion est souvent féminine, ce sont souvent elles qui tendent en premier la main.

    Ce #mouvement_citoyen est aussi, malheureusement, le reflet de l’#inaction_politique sur le sujet. Cette dynamique peut-elle continuer longtemps à se substituer aux institutions ?

    Il y a un #burn-out qui guette, et qui est largement sous-estimé, chez ces citoyens accueillants. Ils s’épuisent à « l’attache ». À l’origine, cette solidarité a vraiment été bricolé, avec les moyens du bord, et dans la précipitation. Et même si elle remplit un rôle fondamental, ça reste du #bricolage. Or ce n’est pas aux citoyens de pallier à ce point les défaillances de l’#État, ce n’est pas normal que nous ayons à héberger un demandeur d’asile qui se retrouve à la rue… La réalité, c’est qu’aujourd’hui, très régulièrement en France, on ne notifie pas leurs droits aux gens qui arrivent. Or toute personne qui pose le pied en France a le droit de demander l’asile, c’est une liberté fondamentale. Commençons donc, déjà, par respecter le #droit_d’asile !

    Je crois qu’on ne se rend pas bien compte de ce qui se passe, parce que cela se joue dans des zones de frontières, loin de Paris, donc cela reste assez discret. Mais on est face à quelque chose d’assez considérable en termes de violations de #droits_humains, en France, actuellement : à la fois dans le fait de bafouer ces droits fondamentaux, mais aussi dans le fait de criminaliser les personnes qui leur viennent en aide… Et pendant ce temps-là, on remet la légion d’honneur à Nathalie Bouchart, la maire de Calais, qui avait interdit les distributions d’eau pour les exilés ? Il y a quand même quelque chose qui cloche, dans ce pays.

    Cela n’a pas toujours été comme ça, rappelez-vous, en évoquant notamment l’exemple des « #Boat_People » (en 1979, l’accueil de 120 000 réfugiés vietnamiens et cambodgiens avaient obtenu un large consensus national, ndlr). Qu’est-il arrivé à cette grande « tradition française d’hospitalité », depuis ?

    Le contexte est très différent, par rapport aux Boat people. À l’époque, cela semblait sûrement circonscrit, tant dans le nombre que dans le temps. Aujourd’hui, la multiplication des conflits, un peu partout dans le monde, alimente cette idée que c’est un puits sans fond, qu’on va être submergé si on commence à accueillir trop largement… Plus fondamentalement, on le sait bien, une certaine #rhétorique s’est imposée dans les discours, sur ces questions : on parle de « flux », de « pompe aspirante », et tout ce vocable n’est plus l’apanage de l’extrême droite, on le retrouve dans la bouche des gouvernants. Tout ça insinue et conforte l’horrible mythe de « l’#appel_d’air ». Je crois qu’on oublie parfois combien les #discours_politiques contribuent à forger un cadre de pensée. Et en face, il y a un véritable défaut de pédagogie, on ne traite jamais de ces sujets à l’école, on ne produit pas de #contre-discours. Donc effectivement, c’est important de le rappeler : on a su accueillir, en France.

    Après l’assassinat terroriste du professeur Samuel Paty, vendredi 16 octobre, le débat public a pris des airs de course aux amalgames, avec une tendance à peine cachée à essentialiser toute une catégorie de population (demandeur d’asile, mineurs isolés...) comme de potentiels terroristes. Qu’est-ce que cela vous inspire, en tant qu’accueillante ?

    La #peur légitime et le #danger, bien réel, du #terrorisme ne doivent pas nous faire plonger dans une grande #confusion, en bonne partie entretenue par ma propre profession. Les journalistes ont une part de #responsabilité en entretenant ce lien dangereux, insufflé par nos gouvernants, qui envisagent la migration sous le spectre uniquement sécuritaire depuis les attentats terroristes de 2015. Nous avons besoin de #recul, et de #nuances, pour ne pas tomber dans la #stigmatisation à tout-va de tout un pan de la population, et éviter les #amalgames simplistes du type "immigration = terrorisme". Ce pur discours d’extrême droite n’est basé sur aucune étude formelle, et pourtant il s’est installé dans les esprits au point que ces femmes et ces hommes sont victimes d’un changement de perception. Hier considérés comme des personnes en détresse, ils sont désormais vus dans leur ensemble comme de potentiels terroristes car un assassin – ayant commis un acte effroyable – a préalablement été demandeur d’asile et a obtenu son statut de réfugié... Il s’agit d’un itinéraire meurtrier individuel. Les demandeurs d’asile, les mineurs isolés, les réfugiés sont les premiers à pâtir de ces amalgames. Les entend-on ? Très rarement. Leur #parole est souvent confisquée, ou bien nous parlons à leur place.

    Alors, il faut le rappeler : ces personnes exilées et arrivées en France aspirent simplement à s’intégrer et à mener une vie « normale », si tant est qu’elle puisse vraiment l’être après tout ce qu’elles ont traversé, et avec la douleur du #déracinement. Et ces étrangers, nous les côtoyons au quotidien sans même le savoir : ils livrent nos repas à domicile, se forment à des métiers dans des secteurs en tension où la main d’œuvre manque, ils changent les draps dans les hôtels. Nombre de médecins réfugiés furent en première ligne pendant le confinement... Ce qui me préoccupe aujourd’hui, c’est justement de ramener de la mesure dans ce débat toxique et dangereux en humanisant ces destins individuels.

    ▻https://www.bastamag.net/Redonner-ses-lettres-de-noblesse-a-la-solidarite-et-a-l-hospitalite-franca

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      CDB_77 @cdb_77 8/12/2020

      sur la websérie Carnets de solidarité :
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  • @vivre
    Vivre_Ensemble @vivre 6/04/2020
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    Guiti News | Carnets de solidarité : la web-série qui change le regard sur l’hospitalité
    ▻https://asile.ch/2020/04/06/guiti-news-carnets-de-solidarite-la-web-serie-qui-change-le-regard-sur-lhospit

    ▻https://asile.ch/wp-content/uploads/2020/04/Capture-d’ecran-2020-04-06-a-10.59.51.png

    Dans une web-série de six épisodes intitulée “Carnets de solidarité”, Julia Montfort filme, décrit et analyse la relation entre les Français et les personnes migrantes. Elle y parle des préjugés comme des initiatives solidaires mises en place. L’idée de ce documentaire filmé est née en 2017, lorsqu’elle a accueilli chez elle Abdelhaq Adam, un jeune […]

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    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 7/04/2020
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      Guiti News | Carnets de solidarité : la web-série qui change le regard sur l’#hospitalité

      Dans une #web-série de six épisodes intitulée “#Carnets_de_solidarité”, #Julia_Montfort filme, décrit et analyse la relation entre les Français et les personnes migrantes. Elle y parle des #préjugés comme des initiatives solidaires mises en place. L’idée de ce #documentaire filmé est née en 2017, lorsqu’elle a accueilli chez elle Abdelhaq Adam, un jeune Tchadien, et qu’ensemble, ils ont échangé sur son parcours de migration.

      En six épisodes qui s’articulent entre reportages, entretiens et récits d’expériences, Julia Montfort interroge les idées reçues sur le rapport des Français à l’immigration et met en valeur toute la solidarité dont l’Hexagone est capable. Un livre qui viendra compléter ces récits est prévu pour la rentrée prochaine et la campagne de financement pour le tournage de la saison deux, vient de débuter.

      Juin 2017, Julia Montfort, journaliste, décide d’ouvrir sa porte à Abdelhaq Adam, un jeune Tchadien, quelques jours pour aider. Abdelhaq est arrivé en France quelques mois plus tôt, il suit des cours de français à l’école Thot, la seule école diplômante pour les demandeurs d’asile qui ne sont pas statutaires. C’est par ce biais qu’ils sont mis en contact.

      Quand Abdelhaq arrive chez Julia, son mari Cédric est en déplacement. L’accueillir à la maison, revient pour elle à héberger un inconnu croisé trois minutes plus tôt dans la rue. Ses interrogations et ses peurs sont nombreuses.

      « Qui est-il ? Et s’il s’en prenait à moi ? Et si c’était un terroriste ? ». Il s’avère que la cohabitation est facile, le quotidien pas si compliqué non plus. Bientôt, les quelques jours deviennent des semaines, puis des mois.

      « La solidarité bouillonnait autour de moi »

      « L’idée de filmer est arrivée quelques mois après, quand j’ai voulu comprendre son histoire », explique Julia. « En général, je vais chercher des histoires loin de chez moi. Cette fois-ci, elle se passait sous mon toit. Je pensais connaître ce que signifie l’exil, mais il lui a donné corps, face à moi, tous les matins à la table du petit-déjeuner ».

      La première fois qu’elle sort son téléphone pour filmer, elle est très loin de se douter que c’est le début d’un grand projet. « J’avais lancé un appel pour collecter des vêtements, beaucoup de gens ont répondu présent, Cette pulsion solidaire m’a émue et j’ai eu envie de filmer le moment où Abdelhaq essayait les vêtements. C’était hyper touchant ».

      Ils ont tous les deux beaucoup échangé autour de cette idée. Savoir comment être pudique sur ce qu’il a pu subir et en même temps faire en sorte que les spectateurs se rendent compte de ce que peut endurer un adolescent comme lui. D’abord forcé de fuir son pays, pour une fois arrivé au pays des droits de l’homme, se prendre un mur. « Une fois que j’ai pris conscience de tout ce qu’il avait traversé, je me suis dit mais en fait je loge un super héros ! »

      De son côté, Abdelhaq confie : « Au début j’étais un peu gêné par l’idée de la caméra, j’avais peur et en même temps j’avais vraiment envie de le faire ». Ils se mettent d’accord sur la manière de filmer. S’ajoutent une réflexion et un travail sur la forme que peut prendre ce récit et la façon de raconter.

      Une web-série accessible à tous, tout le temps

      Mon but est simple explique Julia « On veut nous faire croire que les français se renferment, moi je montre une autre réalité citoyenne. Les initiatives qui construisent l’accueil, l’hospitalité qui se bricole en réseau. Je veux mettre en avant une France chaleureuse et consciente de l’urgence sociale en cours. Faire changer le discours général crispé sur la question migratoire. »

      Pour ça, elle fait le choix de ne pas proposer son documentaire à des chaines de télévision. Chaque épisode doit être accessible au plus grand nombre sans limitation de durée. « J’ai voulu que ça soit une ressource, un outil pour que les personnes puissent réfléchir, découvrir un parcours d’asile singulier, nuancer ce qu’ils entendent sur les réseaux sociaux ».

      Sortie de la première saison : une onde se propage

      « Après la sortie du premier épisode, j’ai reçu entre 400 et 500 messages. Des témoignages de joie énorme, de craintes aussi, des récits d’expérience. J’ai réalisé que mon histoire n’était pas du tout isolée ».

      La web-série devient un point de ralliement, une communauté s’établit autour des carnets. Julia et Abdelhaq sont sollicités pour intervenir dans des écoles, des mairies, des événements culturels. Des professeurs en zone rurale la contactent pour intervenir dans des endroits isolés, parfois synonymes de repli sur soi.

      « Mon job , c’est de faire réfléchir, ensuite chacun décide des actions qu’il veut faire ». Le chemin n’est pas toujours évident. Elle se heurte à des attaques en ligne de groupes d’extrême droite. Mais le plus important ne se trouve pas là.

      « Il y a peu d’occasions dans la vie d’élargir sa famille comme ça. Tout le monde a gagné et a ressenti les bénéfices de l’entraide. On a tous un petit peu changé depuis qu’on connaît Abdelhaq, ça nous a ancré les pieds dans le sol et on a conscience de beaucoup plus de choses ».

      Une deuxième saison prévue en 2020

      La saison deux est envisagée comme un tour de France des pratiques de l’hospitalité. « J’ai découvert différents angles d’accroches que je n’aurais jamais imaginés. Des parrainages citoyens et même des adoptions ! ».

      Le but est aussi d’aller rencontrer ceux qui ne sont pas d’accord avec ce qui se raconte dans cette série. Comme ceux qui s’interrogent sur les motivations des municipalités et des agglomérations qui s’engagent et s’organisent pour accueillir, « C’est un mouvement complet que j’ai envie de raconter ».

      Ce travail sur la saison deux est en cours, puisque totalement financé par des spectateurs qui s’emparent du projet pour le soutenir.

      La crise du COVID-19 replace au centre la question de la solidarité, comme celle du rejet. Rejet de la “menace qui vient d’ailleurs”, de la figure de l’étranger. Mais elle fait aussi la part belle à la solidarité : des familles qui se sont organisées par réseau de connaissance pour accueillir quatre ou cinq migrants. Ou encore de personnes qui mettent leur logement à disposition, comme d’associations qui s’organisent pour limiter la casse.

      « Il y a une vraie galaxie de la solidarité sur internet. Et cette situation pose la question de la responsabilité, du devoir d’humanité : c’est à nous de réinventer la fraternité, même si l’Etat doit prendre sa part aussi ! »

      https://asile.ch/wp-content/uploads/2020/04/Capture-d%E2%80%99ecran-2020-04-06-a-10.59.51.png

      #série #contre-récit #asile #migrations #réfugiés #France #film

      ping @isskein @karine4

      CDB_77 @cdb_77
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 8/12/2020

      Face à la haine et aux amalgames : « Redonner ses lettres de noblesse à la solidarité et à l’#hospitalité française »
      –-> interview de Julia Montfort
      ►https://seenthis.net/messages/890230

      CDB_77 @cdb_77
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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 31/12/2019

    Dernière surprise avant de refermer nos #Carnets de voyage
    ▻https://framablog.org/2019/12/31/derniere-surprise-avant-de-refermer-nos-carnets-de-voyage

    Plus de 15 articles en deux mois et demi pour vous décrire nos actions, et nous avons encore une petite surprise pour vous ! Cet article fait partie des « Carnets de voyage de #Contributopia ». D’octobre à décembre 2019, nous y ferons … Lire la suite­­

    #Communaute #contributopia #Culture #DavidRevoy #Internet #Wikipédia

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  • @tintin
    gwyneth bison @tintin 28/12/2019
    1
    @supergeante
    1

    « Ce que la tête n’a pas retenu, le corps l’a fait » : dans l’affaire du chirurgien pédophile, le vertige des victimes
    ►https://www.lemonde.fr/societe/article/2019/11/27/affaire-du-chirurgien-pedophile-le-vertige-des-victimes_6020728_3224.html

    Mais l’affaire a pris une dimension nouvelle avec la découverte, en 2017, des carnets intimes du médecin, 69 ans aujourd’hui, dans sa maison de Jonzac (Charente-Maritime), débouchant sur une seconde enquête. Dans ces écrits, il détaille par le menu des abus sexuels sur de jeunes patients dans les hôpitaux où il a exercé entre 1992 et 2017. Depuis, 184 d’entre eux ont porté plainte pour viols et agressions sexuelles, selon le parquet de La Rochelle.

    #journal_intime #carnets #humbert_humbert #matzneff #typo_des_pédos #archétype

    gwyneth bison @tintin
    • @tintin
      gwyneth bison @tintin 28/12/2019

      ▻https://seenthis.net/messages/811706

      gwyneth bison @tintin
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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 27/12/2019

    Les Contribateliers : #Contributopia quand on n’y connaît rien
    ▻https://framablog.org/2019/12/27/les-contribateliers-contributopia-quand-on-ny-connait-rien

    Expérience lancée en mode « on verra bien », les Contribateliers, émanations concrètes et participatives de Contributopia, fonctionnent et se répandent pour apporter leur pierre dans l’esprit du Libre. Lors de ces moments conviviaux tout le monde peut se retrouver avec son … Lire la suite­­

    #Carnets #Communs #Communaute

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 24/12/2019

    Framasoft veut briser la barrière de la langue, pour mieux se faire copier
    ▻https://framablog.org/2019/12/24/framasoft-veut-briser-la-barriere-de-la-langue-pour-mieux-se-faire-copier

    Voilà deux ans que nous travaillons à l’internationalisation des actions de Framasoft, afin que notre expérience puisse dépasser la francophonie. Si on part de (vraiment) loin, on sait où l’on va ! Cet article fait partie des « Carnets de voyage de … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #Communaute #contributopia #Degooglisons #GAFAM #Mobilizon #PeerTube #Traduction

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 18/12/2019

    #Mobilizon Fédéré : un pas de plus vers la dé-facebookisation de nos #événements
    ▻https://framablog.org/2019/12/18/mobilizon-federe-un-pas-de-plus-vers-la-de-facebookisation-de-nos-eveneme

    Le développement de notre future alternative aux événements #Facebook vient de franchir une nouvelle étape : la possibilité de fédérer différentes installations de Mobilizon. En quoi est-ce important ? Pourquoi est-ce un élément-clé ? Comment cela peut faire de Mobilizon un outil fondamentalement … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #ActivityPub #Bêta #Communaute #contributopia #Degooglisons #Event #framameet #Framasoft #GAFAM #Innovation #Internet #MeetUp #Planet #RezoTIC

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 18/12/2019

    Federating #Mobilizon : one more step towards de-facebooked events
    ▻https://framablog.org/2019/12/18/federating-mobilizon-one-more-step-towards-de-facebooked-events

    There is a new development to our future alternative to #Facebook : different Mobilizon installs can now federate with each other. Why is that important ? Why is this a key element ? How can this make Mobilizon a fundamentally emancipatory tool ? We … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #ActivityPub #Bêta #Communaute #contributopia #Degooglisons #English #événements #Event #framameet #Framasoft #GAFAM #Innovation #Internet #MeetUp #Planet #RezoTIC

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 14/12/2019

    Les Métacartes Numérique Éthique : un outil qui fait envie !
    ▻https://framablog.org/2019/12/14/les-metacartes-numerique-ethique-un-outil-qui-fait-envie

    Les médiatrices du numérique, les animateurs d’ateliers-découverte du libre et les pros de la formation le savent : nous manquons d’outils pour décrire l’intérêt, les notions et les pratiques qui permettent de mettre plus d’éthique dans nos vies numériques. Cet article … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #Communaute #contributopia #Degooglisons #Éducation #éthique #GAFAM #Hygiene_numerique #Internet #médiation #Metacartes #numerique

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 30/11/2019

    #Mon_Parcours_Collaboratif : présenter des outils numériques éthiques à l’ESSE
    ▻https://framablog.org/2019/11/30/mon-parcours-collaboratif-presenter-des-outils-numeriques-ethiques-a-less

    Les valeurs de l’Économie Sociale, Solidaire et Environnementale (l’ESSE) sont compatibles avec la culture du Logiciel Libre. Dès qu’on parle de nos outils libres, communautaires et collaboratifs à de petites structures de l’ESSE, on voit chez elles une véritable envie … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #ESSE #LaFabrique_à_liens #Locaux_Motiv #mon-parcours-collaboratif.fr #outils_collaboratifs #Tadaa

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 26/11/2019

    Ce que #Framasoft pourrait faire en 2020 grâce à vos dons
    ▻https://framablog.org/2019/11/26/ce-que-framasoft-pourrait-faire-en-2020-grace-a-vos-dons

    L’éducation populaire au numérique, #PeerTube, #Mobilizon, un service « tout-en-un »… Pour l’année 2020, nous avons encore de nombreuses envies… nous espérons que vous nous donnerez les moyens de les réaliser en rejoignant les donateurs et donatrices, et en tout cas nous … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #cloud #Communaute #contributopia #Degooglisons #Nextcloud #Services #soutenir

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 12/11/2019

    #PeerTube met les bouchées doubles pour émanciper vos vidéos de #YouTube
    ▻https://framablog.org/2019/11/12/peertube-met-les-bouchees-doubles-pour-emanciper-vos-videos-de-youtube

    Voilà un an que nous poursuivons, grâce à vos dons, le développement logiciel qui permet de se libérer de YouTube et compagnie. Si nous sommes allé·es bien au delà de la version 1 financée par la collecte du printemps 2018, … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #contributopia #Degooglisons #Framasoft #GAFAM #pair_à_pair #Peer2peer #Video

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 12/11/2019

    #PeerTube has worked twice as hard to free your videos from #YouTube !
    ▻https://framablog.org/2019/11/12/peertube-has-worked-twice-as-hard-to-free-your-videos-from-youtube

    Thanks to your donations, we have been developing a software to free us all from YouTube & Co for a year. Why have we gone much further than the first release, (crowdfunded in the spring of 2018), you might ask ? … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #contributopia #Degooglisons #English #Framasoft #GAFAM #Peer2peer #Video

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 5/11/2019
    1
    @reka
    1

    Quand on explore, parfois, on s’égare !
    ▻https://framablog.org/2019/11/05/quand-on-explore-parfois-on-segare

    Il paraît que l’on n’apprend que de ses erreurs… Nous avons donc voulu compiler nos plantages, errements et autres découragements récents, afin d’en tirer quelques enseignements. Cet article fait partie des « Carnets de voyage de #Contributopia ». D’octobre à décembre 2019, … Lire la suite­­

    #Carnets #Framasoft #Association #Communaute #contributopia #GAFAM #Internet #reseaux_sociaux

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 31/10/2019
    2
    @rezo
    @ericw
    2

    Bénévalibre : libérez vos bénévoles de la #StartupNation
    ▻https://framablog.org/2019/10/31/benevalibre-liberez-vos-benevoles-de-la-startupnation

    Vous êtes #bénévole dans une #Association ? Alors sachez qu’un tout nouveau #Logiciel libre peut vous aider à mieux valoriser votre engagement bénévole. Cet article fait partie des « Carnets de voyage de #Contributopia ». D’octobre à décembre 2019, nous y ferons le … Lire la suite­­

    #Carnets #Communs #Interview #Libres_Logiciels #April #BiensCommuns #Commun #Communaute #contributopia #Partenariat

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 25/10/2019

    Framapétitions est mort, vive #pytition !
    ▻https://framablog.org/2019/10/25/framapetitions-est-mort-vive-pytition

    Dans le cadre de notre campagne « Dégooglisons Internet », nous nous étions engagés à produire, parmi 30 autres services, une alternative aux plateformes de #pétition telles que Change ou Avaaz. Cet engagement n’a pas été tenu. Pourquoi ? Cet article fait partie … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #Antipub #Change.org #Communaute #contributopia #Degooglisons #framapetitions #GAFAM #Planet #RAP #RezoTIC

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 15/10/2019
    2
    @jeanmarie
    @val_k
    2

    #Mobilizon : on lève le voile sur la #Bêta
    ▻https://framablog.org/2019/10/15/mobilizon-on-leve-le-voile-sur-la-beta

    Mobilizon sera une alternative aux #événements et groupes #Facebook. Suite au succès de son financement participatif, il est temps de vous donner un avant-goût de ce logiciel et de faire le point sur l’avancement du projet. Cet article fait partie … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #ActivityPub #Communaute #contributopia #Degooglisons #Event #framameet #Framasoft #GAFAM #Innovation #Internet #MeetUp #Planet #RezoTIC

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  • @framasoft
    Framasoft.org @framasoft CC BY 15/10/2019

    #Mobilizon : lifting the veil on the beta release
    ▻https://framablog.org/2019/10/15/mobilizon-lifting-the-veil-on-the-beta-release

    Mobilizon is an alternative to #Facebook groups and events. After a successful crowdfunding, it is time we gave you a taste of this software and updated you on its progress. This article is a part of « Contributopia’s travel journals ». From … Lire la suite­­

    #Carnets #Contributopia #Fédération #ActivityPub #Bêta #Communaute #contributopia #Degooglisons #English #événements #Event #framameet #Framasoft #GAFAM #Innovation #Internet #MeetUp #Planet #RezoTIC

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  • @laurent3
    Laurent Margantin @laurent3 CC BY-NC-SA 12/07/2019

    Jérôme Orsoni | J’ai abandonné tous les carnets pour celui-ci
    ▻http://www.oeuvresouvertes.net/spip.php?article4125

    ... #Carnets_d'écriture

    Laurent Margantin @laurent3 CC BY-NC-SA
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