• Justice écologique, sociale et climatique : rassemblement à #Crest samedi 6 novembre
    https://ricochets.cc/Justice-ecologique-sociale-et-climatique-rassemblement-a-Crest-samedi-6-no

    Samedi a lieu une journée mondiale pour la justice climatique (dans le cadre de la COP 26), et il y a des manifestations un peu partout dans le monde. Un rassemblement statique et pacifique prévu samedi à Crest. Voir texte de l’appel international et signataires en français : COP26 : appel à mobilisation le 6 novembre pour la justice climatique Tout le monde sait bien que des manifestations et rassemblements ne peuvent pas inverser la vapeur et faire « plier » les Etats et le système économique (...) #Les_Articles

    / Crest, #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques, #Ecologie

    https://cop26coalition.org/gda
    https://france.attac.org/se-mobiliser/justice-sociale-et-climatique/article/cop26-appel-a-mobilisation-le-6-novembre-pour-la-justice-climatique

  • Abeilles domestiques : #Bruxelles veut éviter la prolifération anarchique de ruchers
    https://www.rtbf.be/info/regions/detail_abeilles-domestiques-bruxelles-veut-eviter-la-proliferation-anarchique-d

    Au printemps, l’administration Bruxelles Environnement enlèvera les quelques ruchers qu’elle a en gestion dans les zones Natura 2000 de la Région. C’est la première mesure, symbolique, d’un plan nettement plus vaste de régulation de l’apiculture dans la capitale. L’étoile de l’abeille domestique aurait-elle pâli ? En tout cas, désormais, l’abeille mellifère n’est plus unanimement considérée comme l’icône de la biodiversité.

    Depuis dix ans, dans le monde entier, la communauté scientifique s’inquiète de la compétition entre abeilles domestiques et sauvages. "Il s’agit d’une concurrence sur les ressources alimentaires", pose Nicolas Vereecken, titulaire d’une chaire d’agroécologie à l’ULB. Une concurrence déloyale à en croire les scientifiques : nettement plus nombreuses et plus mobiles – elles butinent jusqu’à un kilomètre de la ruche - les abeilles domestiques s’approprieraient l’essentiel des ressources alimentaires.

    Voilà pour la théorie. Mais en pratique, cette concurrence s’applique-t-elle à la réalité bruxelloise ? Une bonne partie des apiculteurs bruxellois en doutent. « A Bruxelles, nous sommes 200 ou 300 apiculteurs à avoir une, deux ou trois ruches au fond du jardin ou dans le parc tout proche, affirme Yves Van Parys. Nous ne sommes pas de gros producteurs de miel. »

    Pour cet apiculteur qui exploite un rucher à Jette depuis 39 ans, il n’y a pas lieu de s’alarmer d’une prolifération de ruches, au contraire. « Ces trois dernières années, selon notre recensement, il y a plutôt une diminution du nombre de ruches à Bruxelles, de l’ordre de 30%. »

    Pourtant, selon Bruxelles Environnement et l’équipe de recherche de l’ULB, les premiers résultats d’analyse sur le terrain ne laissent aucun doute sur le fait que l’activité apicole se développe bel et bien à Bruxelles, au détriment de la préservation de la biodiversité et des 200 espèces d’abeilles sauvages recensées à Bruxelles.

    « Dans une ruche, vous avez plusieurs dizaines de milliers d’individus d’abeilles domestiques. A Bruxelles, les populations d’abeilles sauvages sont nettement minoritaires, on parle de quelques dizaines d’individus par espèce. Donc, forcément, celles qui sont surnuméraires ont un effet de dominance », explique Nicolas Vereecken.

    Qui dit vrai ? Bruxelles compte-t-elle trop d’abeilles ou trop peu ? Comment objectiver tout cela ? La Région voudrait réaliser un cadastre du nombre de ruches et de leur localisation par rapport aux espaces verts. Mais la tâche est titanesque.

    « Le milieu apicole est extrêmement opaque. Comme il n’est pas obligatoire de déclarer toutes les ruches installées sur le territoire à Bruxelles, il y a un flou artistique, en raison d’un manque de communication et de transparence », estime Nicolas Vereecken.

    Un premier pas a été franchi dans la bonne direction, mais il est insuffisant selon le scientifique : depuis septembre 2019, les apiculteurs ont l’obligation de se déclarer la commune à partir de trois ruches. Ceux qui en une ou deux, ce qui est fréquent, ont donc la possibilité de passer sous le radar.

    La nouvelle orientation prise par les autorités régionales déplaît à bon nombre d’apiculteurs. « Je suis inquiet pour l’abeille mellifère. Je suis inquiet pour l’apiculteur pédagogue et sensibilisateur », résume Yves Van Parys. L’abeille domestique, qui avait si bonne presse, doit aujourd’hui descendre de son piédestal.

    « Il y a eu un gros phénomène de mode depuis quinze ans, analyse Julien Ruelle, coordinateur de la stratégie pour les pollinisateurs au sein de Bruxelles Environnement. On a installé des ruches partout, y compris sur les toits d’entreprises et d’administrations, parce que c’était une solution facile qui donnait l’impression qu’on sauvait la planète très facilement. Aujourd’hui, on se rend compte que ce n’est pas aussi intuitif. Mettre des ruches ne favorise pas spécialement la biodiversité et peut même lui nuire. Alors, on revient un peu en arrière. Et c’est parfois difficile de revenir sur des certitudes qu’on avait il y a dix ans. »

    Certains apiculteurs abondent dans ce sens-là. "On s’est mis le doigt dans l’œil il y a 10 ans, reconnaît volontiers Marc Wollast. La direction prise est la bonne. Cela va plus loin que le simple principe de précaution", affirme l’apiculteur et coordinateur de l’association Apis Bruoc Sella.

    #abeilles #abeilles_domestiques #abeilles_mellifère #abeilles_sauvages #Ruches #apiculture #biodiversité #environnement #catastrophe #écologie #insectes #apiculture #miel

    • Mettre des ruches en ville ne favorise pas spécialement la biodiversité et peut même lui nuire
      L’abondance des abeilles domestiques diminuent la biodiversité.
      Ne pourrait on laisser ces petites bêtes en paix ?

  • Les conférences pour le climat COP 21, 26... n’échouent pas du tout, en réalité elles réussissent parfaitement à enfumer et ...à ne rien changer
    https://ricochets.cc/Les-conferences-pour-le-climat-COP-21-26-n-echouent-pas-du-tout-en-realite

    Et si l’objectif des conférences COP n’était pas en réalité de changer la donne, mais plutôt d’enfumer avec de la politique spectacle pour permettre à la civilisation industrielle écocidaire de continuer encore un peu ? Le Monde parle de l’ouverture de la COP 26 à Glasgow, quelques citations commentées : Le patron de l’ONU appelle les chefs d’Etat à « sauver l’humanité » Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a appelé les participants à la COP26 à « sauver l’humanité » face au changement climatique, (...) #Les_Articles

    / #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques, #Le_monde_de_L'Economie

    https://www.lemonde.fr/planete/live/2021/11/01/cop26-les-chefs-d-etat-et-de-gouvernement-annoncent-leurs-engagements_610055
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/11/02/a-glasgow-les-dirigeants-de-la-planete-promettent-de-stopper-la-deforestatio
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2021/11/02/le-monde-est-encore-assoiffe-d-huile-fossile_6100670_3234.html
    https://mars-infos.org/c-est-la-nature-qui-se-defend-5990
    https://reporterre.net/Francois-Gemenne-Aucune-COP-n-a-le-pouvoir-d-arreter-le-changement-clima

  • Le blé et le pain augmentent, à cause du dérèglement climatique provoqué par la civilisation industrielle
    https://ricochets.cc/Le-ble-et-le-pain-augmentent-a-cause-du-dereglement-climatique-provoque-pa

    Pendant que les puissants font leur énième show à grand spectacle pour la coûteuse conférence COP 26, des denrées essentielles commencent à manquer ou à devenir chères. La baguette coûte plus cher, la faute au changement climatique - Le prix du pain va augmenter. La faute en partie à une mauvaise récolte de blé. À cause du changement climatique, cela va arriver de plus en plus souvent, nous rappelle l’économiste Christian de Perthuis. Pour lui, il faut sortir du système agricole productiviste, pour (...) #Les_Articles

    / #Agriculture, #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques

    https://reporterre.net/Pourquoi-le-prix-de-la-baguette-augmente-a-cause-du-changement-climatiqu
    https://www.liberation.fr/international/afrique/a-madagascar-un-million-de-victimes-de-la-premiere-famine-climatique-2021

  • Crise climatique : un mur de sept mètres pour protéger les riches propriétés à Sydney
    https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/inegalite-climatique-un-mur-de-sept-metres-pour-proteger-les-plus-riches-a-

    Pour protéger leur propriété en bord de mer des tempêtes, des résidents ont investi des centaines de milliers de dollars pour construire un mur de sept mètres de haut. Quitte à dénaturer et fragiliser la plage publique, dénoncent les opposants au projet. Si les populations les plus riches sont les plus responsables du réchauffement climatique, elles sont aussi celles qui peuvent le plus facilement s’adapter à ses conséquences. 

    La plage de Collaroy, à Sydney en Australie se fracture. Un mur de sept mètres de haut est actuellement en cours de construction sur le rivage australien. D’un côté, 49 riches propriétés menacées par les tempêtes et l’érosion de la côte. De l’autre, la plage, et les autres résidents, dont certains s’offusquent de voir le rivage dénaturé alors que les premières pierres du rempart de 1,3 kilomètre de long ont été posées en décembre 2020.

    Pour engager la construction du chantier, chacun des propriétaires a déboursé 300 000 dollars, rapporte le quotidien britannique Guardian qui a chroniqué l’affaire. De quoi assurer 80% du coût total. Le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud et le Conseil des plages du Nord se sont engagés à compléter la facture. . . . . .

    #Australie #riches #plages #climat #effondrement #catastrophe #it_has_begun #collapsologie #changement_climatique #capitalocène #fin_du_monde #écologie #environnement #capitalisme

  • Derrière les fables des autorités, les émissions de CO2, méthane et NO2 accélèrent leur augmentation
    https://ricochets.cc/Derriere-les-fables-des-autorites-les-emissions-de-CO2-methane-et-NO2-acce

    La dure réalité des chiffres est tellement énorme et décalée par rapport aux mensonges et promesses des Etats et des techno-capitalistes que ça en devient risible et ridicule. Gaz à effet de serre : la croissance folle - « Nous sommes loin d’être sur la bonne voie. » Le constat du bulletin annuel de l’Organisation météorologique mondiale est sans appel : le taux de gaz à effet de serre dans l’atmosphère progresse de façon alarmante. Résultats : de fortes températures et plus de phénomènes extrêmes sont à (...) #Les_Articles

    / #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques, La civilisation, la civilisation (...)

    #La_civilisation,_la_civilisation_industrielle
    https://reporterre.net/Gaz-a-effet-de-serre-la-croissance-folle
    https://reporterre.net/Petrole-gaz-et-charbon-les-Etats-explosent-l-Accord-de-Paris
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/10/26/climat-les-nouvelles-promesses-des-etats-menent-toujours-le-monde-vers-une-c
    https://reporterre.net/Cadeau-du-gouvernement-aux-secteurs-polluants-25-milliards-d-euros
    https://reporterre.net/L-Amazonie-pourrait-atteindre-un-point-de-non-retour
    https://mediascitoyens-diois.info/2021/10/futurs-energetiques-2050-quelle-est-cette-grande-etude-que-pu
    https://reporterre.net/Le-role-de-l-extreme-droite-faire-oublier-la-crise-ecologique

  • #Espèces_envahissantes : une #catastrophe_écologique et économique | CNRS Le journal
    https://lejournal.cnrs.fr/articles/especes-envahissantes-une-catastrophe-ecologique-et-economique

    Pour prendre toute la mesure du problème et inciter les décideurs à passer à l’action, Franck Courchamp et son équipe ont décidé de chiffrer le #coût _financier des espèces invasives à l’échelle mondiale. Une grande première. Pendant cinq ans, les chercheurs ont collecté des milliers de coûts reportés dans des études scientifiques au sein de leur base de données #Invacost. Après un travail d’analyse et de standardisation des données réalisé main dans la main entre écologues et économistes, ils ont abouti à une somme globale : entre 1970 et 2017, les invasions biologiques ont coûté à nos sociétés 1 288 milliards de dollars !

    […] Qui plus est, l’analyse ne dévoile que la partie émergée de l’iceberg, car ces coûts ont été considérablement sous-estimés. En effet, très peu d’espèces ont été étudiées et très peu de dégâts répertoriés. En France par exemple, pour laquelle l’équipe a estimé récemment le coût – entre 1,2 et 11,5 milliards d’euros en seulement 25 ans –, moins d’une centaine d’espèces envahissantes ont fait l’objet d’étude alors que près d’un millier y sont présentes.

    […] « Il y a parfois des surprises quand on étudie sous toutes les facettes les interactions de ces nouveaux arrivants avec les autres espèces et leur écosystème, confie Jonathan Lenoir. Dans certains cas, il peut même y avoir des effets bénéfiques ». C’est le cas du cerisier tardif, un arbre originaire d’Amérique du Nord qui a envahi les forêts d’Europe, où il entre en compétition avec les espèces natives, notamment les hêtres et les chênes. Des observations en forêt de Compiègne suggèrent que cette espèce protégerait ces mêmes arbres contre le hanneton forestier. Les larves de cet insecte envahissant consomment les racines des hêtres et des chênes mais pas celles du cerisier tardif. En présence de ce dernier, les semis de hêtres et de chênes semblent ainsi moins impactés.

    Autre exemple : la crépidule, un mollusque originaire de la côte Est des États-Unis qui a envahi l’Atlantique et la Manche. Sa prolifération peut conduire à une eutrophisation des eaux marines et menacer ainsi les autres espèces. « Mais sa présence permet aussi l’arrivée de nouvelles espèces – sa coquille servant de support à ces dernières – au point même d’augmenter localement la biodiversité », note Frédérique Viard. Qu’on le veuille ou non, ces nouveaux intrus sont devenus des acteurs à part entière de nos écosystèmes. Pour le meilleur et pour le pire.

    #écologie

  • Die Linke wählen für Klimagerechtigkeit (neues deutschland)
    https://www.nd-aktuell.de/artikel/1156912.klimastreik-die-linke-waehlen-fuer-klimagerechtigkeit.html


    Carola Rackete s’est faite connaĩtre quand elle a forcé l’entrée dans un port italien avec son bateau de sauvetage transportant plus de cent rescapés en piètre état de santé. La justice italienne disculpa la jeune capitaine. Dans ce texte elle explique qu’il faut en finir avec le système capitaliste si on veut rendre possible une politique efficace contre la catastrophe climatique. Pour elle c’est exclusivement le parti Die Linke qui propose des changements allant dans ce sens. Die Grünen par contre n’utilisent les positions écologistes que comme appât électoral et n’agissent pas vraiment pour les changements nécessaires. Elle appelle donc à voter ce dimanche pour le parti de gauche allemand.

    23.09.2021, von Carola Rackete - Als Teil der von Klimagerechtigkeitsbewegung ist Wählen für mich eher Nebensache. Viel wichtiger erscheint mir, was wir zwischen den Wahljahren als Zivilgesellschaft durch unser politisches Engagement erreichen. Es ist notwendig, dass wir ständig Druck auf die Parteipolitik ausüben, indem wir etwa einerseits die Einhaltung bereits lang beschlossener Verträge einfordern, als auch neue Themen in die Diskussion bringen, so wie letztes Jahr die Verkehrswende durch die Proteste im Dannenröder Wald. Trotzdem, Wählen ist für mich ein Privileg, das viele von deutscher Politik betroffene Menschen nicht wahrnehmen können und es kostet mich alle paar Jahre nur wenige Minuten Zeit. Für viele Menschen in Deutschland scheint klar, wer sich für Klima- und Umweltschutz interessiert, der müsse die Grünen wählen. Das ist für mich keine Option.

    Natürlich sind Umwelt- und Klimaschutz die klassischen Kernthemen der Grünen. Allerdings sind die ökologischen Krisen – das schließt das Artensterben ein – das Resultat ungleicher sozialer Machtverhältnisse. Ökologische Schäden können überhaupt nur entstehen, weil die Betroffenen, etwa Menschen in Bangladesch oder am Garzweiler, gar nicht oder nicht mit dem gleichen Einfluss mitentscheiden können wie etwa Kohlekonzerne. Ohne die Entscheidungsprozesse zu verändern und soziale Gerechtigkeit als Kern von Umweltschutz anzustreben, gehen wir nur Symptome an, nicht aber die Ursachen. Bei Klimaschutz geht es nicht primär um Erfindungsgeist und grüne Technologien, sondern darum, Macht gerechter zu teilen.

    Klima- und Umweltschutz müssen zudem nicht einmal Themen politisch linker oder progressiver Parteien sein. In Finnland oder Frankreich etwa gibt es auch rechte Parteien, die das Thema Klimakrise ernst nehmen, doch die Lösungen, die sie vorschlagen, sind rassistisch und spalten unsere Gesellschaften noch weiter. Für gerechtere Lösungen müssen wir Inklusion von marginalisierten Gruppen stärken und dafür sorgen, dass alle Menschen in Deutschland so gleichberechtigt wie möglich bei allen politischen Themen mitreden und mit entscheiden dürfen. Die Linke etwa fordert die weitreichendsten Wahlrechte für Menschen, die ohne deutschen Pass in Deutschland leben. Andererseits haben einzelne Politiker*innen der Linken marginalisierte Gruppen, wie etwa geflüchtete Menschen, wiederholt durch ihre Aussagen aus der Gesellschaft ausgeschlossen. Das führt etwa dazu, dass migrantische Kandidaten in NRW nicht für die Linke kandidieren wollen, sondern bei den Grünen eingetreten sind. Ich kann das gut nachvollziehen.

    Der Kernunterschied zwischen den Linken und den Grünen bezüglich Umweltschutz liegt in der Notwendigkeit, die Parteien einer tiefgehenden Transformation unserer Gesellschaft und Wirtschaftsweise zuschreiben. Die Grünen setzen auf grünes Wirtschaftswachstum, welches allerdings ein Märchen ist. Das Europäische Umweltbüro (EEB) und das Umweltprogramm der Vereinten Nationen (UNEP) stellen fest, dass das BIP nicht vom Ressourcenverbrauch abgekoppelt werden kann. Aufgrund des »Rebound effects« führte die Erfindung der Kettensäge nicht dazu, dass Holzfäller kürzere Arbeitsstunden bekamen, sondern es wurde mehr gefällt, mehr Marketing betrieben und es wurden mehr Holzprodukte verkauft. Der UN-Weltbiodiversitätsrat fordert daher ebenso eine Abkehr vom Paradigma des Wirtschaftswachstums. Natürlich müssen wir sofort auf grüne Technologien umstellen, doch um unsere Lebensgrundlagen zu schützen, müssen wir ein Wirtschaftssystem schaffen, das vom Wachstum unabhängig ist und stattdessen gerecht verteilt, was wir haben. Wenn die Linke eine Abkehr von Wirtschaftswachstum fordert, dann steht sie auf dem Boden der wissenschaftlichen Tatsachen, denn wir können Wachstum und Kapitalismus nicht begrünen.

    Ich möchte Menschen ermutigen, die noch zweifeln, ob sie überhaupt zur Wahl gehen sollen, ihr Wahlrecht im Sinne der Menschen auszuüben, die nicht wählen dürfen, aber von den Entscheidungen der Bundesregierung betroffen sind. Vielmehr aber noch müssen wir alle – zu jedem Zeitpunkt – Teil von gesellschaftlichem Wandel außerhalb von Parteipolitik sein.

    #Allemagne #politique #élections #catastrophe_climatique

  • Éco-anxiété : les jeunes face à la réalités des catastrophes climatiques : entre attentisme et révolte ?
    https://ricochets.cc/Eco-anxiete-les-jeunes-face-a-la-realites-des-catastrophes-climatiques-ent

    Même si les désastres climatiques, écologiques et sociaux fabriqués par la civilisation industrielle ont commencé depuis lontemps, on voit depuis quelques années que les jeunes occidentaux s’en inquiètent davantage. Car les catastrophes se précisent et commencent à les toucher eux directement, et plus seulement des pays lointains ou des classes sociales « inférieures ». Ils savent aussi que si rien ne change ils seront davantage concernés que les actuels retraités, les jeunes seront en plein dedans. Leurs (...) #Les_Articles

    / #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques, #Ecologie

    https://reporterre.net/Les-jeunes-sont-terrifies-par-la-crise-climatique-Et-l-inaction-des-gouv
    https://www.bastamag.net/eco-anxiete-adolescents-et-enfant-face-au-rechauffement-climatique-angoiss
    https://mediascitoyens-diois.info/2021/09/leco-anxiete-un-moteur-de-mobilisation-pour-sauver-la-planete
    https://www.lemonde.fr/climat/video/2021/08/22/bientot-des-villes-fournaises-pourquoi-tout-n-est-pas-perdu_6092048_1652612.

  • #Belgique : Des cadeaux pour les assurances, de l’eau pour les sinistrés Claude Semal
    https://www.asymptomatique.be/des-cadeaux-aux-assurances-de-leau-aux-sinistres/?shared=email&msg=fail

    _ Les inondations de la mi-juillet dans la région liégeoise et la vallée de la Vesdre ont mobilisé des milliers de bénévoles pour porter secours aux sinistrés. Parmi eux, des centaines de membres et de sympathisants du PTB. Un échevin du P.S. verviétois vient de lancer une sombre polémique dans la presse sur ce “délit de solidarité”.

    Alors que les responsabilités de cette catastrophe seront bientôt discutées en commission au Parlement, rencontre avec Raoul Hedebouw, un des porte-paroles nationaux du PTB.
     
Entre deux séances parlementaires, j’ai rendez-vous avec lui “entre l’heure du midi”, Place de la Liberté, à deux pas du Parlement. J’ai deux minutes de retard, car dans cette capitale en perpétuels travaux, “ma” ligne 92 a été provisoirement interrompue. Mais j’étais en avance, donc je suis presqu’à l’heure ;-).
    
Grand, souriant, cordial, Raoul Hedebouw a le tutoiement facile des Liégeois, la répartie directe des militants rodés à la polémique, et l’humour de ceux qui savent qu’on ne combat pas nécessairement la misère en se vautrant dans la morosité.


    Cet éco-biologiste de formation, dont le travail de fin d’étude portait sur le pourrissement des feuilles de sept espèces d’arbres en Wallonie, en connait aussi un brin en matière de décomposition / recomposition du champ politique.
Comme il revenait tout juste de l’Université d’Été de la France Insoumise, alias la nouvelle Union Populaire, j’en ai profité pour conclure l’interview sur le devenir de la “gauche de la gauche” européenne.
Scoop : je peux déjà vous dire que Raoul boit du café au lait, qu’il transmet bien le bonjour à Irène, et qu’il a une autre réunion dans une demi-heure. Vous pouvez également saupoudrer son interview d’un léger fond d’accent herstalien, cela fera plus vrai que nature.

    Claude  : Six semaines après les inondations, as-tu une idée du nombre de gens qui ont été touchés par la catastrophe, et de ceux qui restent encore sans logis aujourd’hui ?

    Raoul  : Les chiffres vont encore certainement beaucoup fluctuer, parce qu’on ne sait toujours pas combien de maisons seront définitivement déclassées. Il y a au moins quinze mille ménages qui sont en très grande précarité.
Mais comme les gens logent toujours dans leur famille, il est impossible à l’heure actuelle de faire un décompte précis. Ce qui fait aussi partie du problème.
    
J’ai reçu des témoignages de gens qui sont “officiellement” encore dans leur maison, mais comme la “déshumidification” ne se passe pas bien, ils ne peuvent pas retourner y loger. Tous les problèmes liés à cette “déshumidification” sont d’ailleurs un des gros enjeux actuels pour les sinistrés. Et là, je parle uniquement de la détresse immobilière.

    Claude  : Il a y aussi toute la question des assurances, puisque la plupart des contrats “habitation” ont un volet “incendie” et “inondation”. A ce sujet, on a appris qu’Elio Di Rupo avait conclu un “accord” avec les compagnies d’assurances. A quel titre, avec quelle casquette et quel était son mandat pour faire cela ?

    Raoul  : C’est assez grave, en fait, et assez illustratif de la proximité entre le monde de la politique et celui de la finance. D’une part, il s’agit ici d’un accord “secret”, selon les dires mêmes de Di Rupo, dont nous ne pouvons donc pas connaître le contenu. Dans les grandes lignes, il s’agit d’une “approbation” de la loi de 2014 qui “limite” la responsabilité des assureurs à 590 millions d’euros pour des coûts estimés, jusqu’à présent, à 1,7 milliard. Je parle uniquement ici de ceux couverts par une assurance. Ceux qui sont “non assurés” dépendent d’un autre budget, le “fonds des calamités”.
Donc, il y a une sorte de “ristourne” d’un milliard d’euros rétrocédée au secteur de la finance. On va me dire : “c’est en vertu des accords conclus en 2014 et 2007”. C’est vrai que le problème date de là. Mais on retrouvait déjà les mêmes aux postes de commande. Car qui dirigeait le gouvernement fédéral à cette époque ? Elio Di Rupo !
Donc, c’est un peu facile. Nous, on paye tous nos primes d’assurance “volle pot”, comme on dit, et puis après, on se retrouve avec des assurances qui ne prennent en charge qu’un tiers des coûts. Alors que selon le propre bilan d’Assuralia, qui représente le secteur des assureurs, ces sociétés ont fait quinze milliards de bénéfices cumulés ces huit dernières années !
Donc c’est à nouveau nous qui allons devoir payer, alors que ce milliard aurait pu être investi dans le logement public. Les quartiers détruits de Pepinster, Angleur, Trooz, Verviers, … ne vont pas pouvoir être reconstruits par la loi du marché. Or ce milliard va filer dans la poche des actionnaires. On a donc un très gros problème autour de ce “deal” secret avec des entreprises de la finance. Et je suis étonné à quel point, dans les médias, on parle assez peu de cette affaire-là.

    Claude  : Je suppose que c’est une des raisons pour laquelle vous demandez une Commission Parlementaire à ce sujet. Une autre raison étant évidemment les causes mêmes de ces catastrophes, comme les permis de bâtir en zones inondables.

    Raoul  : Tout ce qui concerne l’aménagement du territoire sera débattu au niveau wallon, ça c’est déjà acquis. Toute la question des barrages, des bassins d’orage, des logements. Et il y aura probablement une autre commission d’enquête au niveau fédéral.
Là, on parlera des conséquences de la réforme de la protection civile, imposée par le MR et la NVa, qui je le rappelle, ont quand même supprimé 800 des 1200 postes de la protection civile. C’est pas de l’austérité, c’est carrément du rouleau compresseur anti services publics. On a amputé les deux tiers de notre force de frappe en cas de catastrophe !
L’autre problème fédéral, c’est la réforme des zones de pompiers et leur manque criant de moyens. On a beaucoup de témoignages de pompiers qui nous disent : “Nos petits bateaux ne résistaient pas au courant”, etc, etc….
Et puis les problèmes qu’on a rencontré en Belgique au niveau de la coordination et de la gestion de la crise. On a déjà vécu la même chose avec le COVID.
On ne sait pas qui décide quoi. Régional, fédéral, communal, provincial, international,… il n’y a pas eu un centre de coordination unifié. A notre avis c’est au niveau fédéral qu’on aurait dû le faire, alors que tout le volet fédéral du plan a été stoppé dès le 26 juillet. Ce qui a conduit à une cacophonie totale sur le terrain.
Enfin, il y a évidemment le débat autour de la question climatique. Sur la responsabilité de ces sociétés consuméristes qui produisent tout ce CO2, tout ce carbone. Car une de ses conséquences statistique, c’est l’augmentation des phénomènes extrêmes. Comme les sécheresses et les incendies, d’un côté, comme on le voit en Grèce, aux Etats-Unis et au Canada, et puis dans d’autres pays, les inondations. On n’échappera pas à ce débat-là aussi.

    Claude  : Sur la question du relogement des sinistrés, un certain nombre d’entre eux étaient relogés à l’hôtel, et avec toute cette tartufferie autour des 24 heures de Francorchamps, ils ont été mis dehors pour loger les spectateurs qui, eux mêmes se sont fait avoir, parce qu’ils ont payé 150 boules pour voir les voitures faire trois petits tours dans l’eau. Tu es au courant de ce dossier-là ?

    Raoul  : Il y a deux choses. La principale raison pour laquelle beaucoup de sinistrés ont été éjectés des hôtels, c’est parce les assureurs commencent à refuser de payer. En gros, la plupart des assurances comptaient quelque chose comme 21 jours de relogement.
On a reçu plusieurs témoignages comme quoi les assureurs ne communiquent même pas avec les sinistrés, mais s’adressent directement à la direction des hôtels pour les prévenir de l’interruption de leur intervention. C’est la première des raisons, et à mon avis la plus grave. Vient se greffer là-dessus effectivement l’événement de Francorchamps, qui est assez ironique, puisqu’il a été annulé à nouveau à cause de pluies particulièrement fortes. Et là, on a effectivement fait passer le commercial avant la gestion des sinistrés.

    Claude  : Puisque Di Rupo veut absolument payer les deux tiers de la dette des assurances, est-ce qu’on ne peut pas lui demander de prendre le relais ? Ce serait assez logique, non.

    Raoul  : Bien sûr. C’est tout le débat sur la façon dont le politique se désarme lui-même et laisse tout le pouvoir, sur plein de dossiers, au monde du privé. Ce n’est pas une maxime marxiste, c’est quelque chose qu’on peut constater tous les jours.
Ici, quatre compagnies d’assurances contrôlent presque l’ensemble du marché. Le logement, par exemple, est complètement laissé aux mains du marché. Le pourcentage de logements sociaux diminue d’année en année, même s’il doit en principe atteindre 10% par commune. Dans une commune comme Liège, qui se dit pourtant socialiste, de gauche et tout et tout, on doit flirter avec du 7,5 %.
Ce qui est grave pour les sinistrés, et cela montre combien le capital est cynique, c’est qu’actuellement le prix des loyers flambe – puisqu’il y a soudain une forte demande que le marché ne peut assurer ! Ca c’est le capitalisme : plus tu as besoin de quelque chose, plus tu payes ! Plus tu as de la misère, plus les loyers augmentent !
La seule manière de contrer cela, c’est d’une part de bloquer les loyers, pour maîtriser un peu le secteur, mais aussi de développer un secteur de logement public. Or je constate, au delà du blabla, qu’on n’investi pas dans la construction de nouveaux logements sociaux. Or ici, certainement dans la vallée de la Vesdre, et à Liège, il va pourtant falloir un plan ambitieux de construction massive de nouveaux logements. Et cela, il n’y a que le secteur public qui peut le faire.
Utilisons le fameux milliard qui est donné aujourd’hui aux assurances pour financer des logements sociaux de qualité. Une ville comme Vienne, “Vienne-la-rouge”, comme on l’appelait à l’époque, elle le fait massivement. En Belgique, c’est plutôt la tradition “libérale” et “privée” qui prévaut partout.

    Claude  : Cela dépend quand même où. La social-démocratie a parfois eu une politique de logement. Dans ma commune de Saint-Gilles, par exemple, il y a une régie foncière communale assez développée, qui gère un millier de logements.

    Raoul  : Tout à fait, il y a quelques communes qui font ici et là exception.

    Claude  : Face aux manque de moyens des services publics, face à l’incurie locale de certaines autorités politiques, il y a eu par contre très rapidement une énorme mobilisation citoyenne, et de très nombreux actes de solidarité. Des militants et sympathisants du PTB y ont notamment participé. Un échevin PS de Verviers a lancé une sombre polémique dans la presse en parlant de “récupération politique sur la détresse des sinistrés”.

    Raoul  : C’est dégoûtant à plusieurs niveaux. D’abord, c’est un peu ironique d’avoir un échevin d’une Ville qui était aux abonnés absents pour gérer la crise à Verviers (je ne parle pas des fonctionnaires, mais des autorités politiques). Notamment, de ne pas avoir assez rapidement donné l’alerte d’évacuation, et d’avoir par contre très rapidement arrêté la récolte des déchets. Je trouve ça dingue, plutôt que d’aller regarder dans sa propre assiette, d’aller pointer du doigt un parti qui, justement, a essayé d’organiser la solidarité concrète.
    
C’est stratégique pour nous. On veut s’inspirer de ce qui avait été fait à l’époque en France avec le Secours Populaire (1). Cela fait deux ou trois ans qu’on réfléchit à de telles formes concrètes de solidarité. Pour les inondations, ce sont finalement plus de 2.000 bénévoles qui sont venus à l’appel du PTB, à côté des milliers d’autres qui ont spontanément donné un coup de main. Cette auto-organisation de la population, c’est aussi un fait politique très important. A Liège, des milliers de bénévoles sont venus des quatre coins du pays, dont de nombreux flamands, il y en a même qui ont pris trois ou quatre semaines de congés, et cela montre que la Belgique de la solidarité, cela existe vraiment.

    Pour revenir aux déclarations de cet échevin PS, politiquement, c’est donc complètement à côté de la plaque. Nous avons voulu poser des actes concrets de solidarité, et pas lancer des paroles en l’air.
Il nous a accusé d’avoir pris les coordonnées des gens. Mais c’est absurde. Comment veux-tu coordonner et dispatcher les équipes, et savoir où les envoyer, où vider les caves et charger les détritus, si tu n’as pas les contacts des volontaires et des sinistrés ? C’est pas en trois heures qu’on nettoie ces affaires-là. A l’Ecole Don Bosco, on a envoyé des dizaines de personnes pendant des dizaines de jours pour vider et nettoyer les locaux.
    
Je peux même ici te donner un scoop.
Pendant deux jours, le centre de crise de Verviers a même renvoyé les bénévoles qui arrivaient vers le centre de bénévoles du PTB, parce qu’on était les seuls à avoir mis sur pied ces outils de coordination. Je le dis ici : les 21 et 22 juillet, on était sur le terrain, et on a envoyé 350 bénévoles à Verviers. L’autorité publique était complètement dépassée.

    Claude  : Je te crois, et ce n’est pas moi qu’il faut convaincre (rires).
Tu as gentiment pris sur ton temps de midi pour participer à cette interview, entre deux séances au Parlement, et le temps nous est donc un peu compté. Mais j’ai vu que tu avais participé comme orateur invité à l’Université d’Été de la France Insoumise, à Valence. Tu peux nous dire un mot à ce sujet ?

    Raoul  : C’était très sympa. J’ai été étonné de voir combien les militants français étaient informés de ce qu’on faisait, via les réseaux sociaux. Cela me faisait du bien de me plonger un peu dans la réalité compliquée française, avec les présidentielles qui arrivent, un vrai danger avec une extrême-droite qui est aussi forte que chez nous en Flandre, mais à l’échelle de toute la nation française. C’était chouette d’aller faire un clin d’oeil là-bas, mais j’irai aussi à la fête de l’Huma la semaine prochaine, parce que la “gauche de gauche” française est ce qu’elle est, elle est plurielle, et ce n’est pas à nous d’aller nous mêler des “affaires intérieures” françaises (rire de Claude).
    
J’ai rencontré beaucoup de jeunes de la France Insoumise, avec beaucoup de questions stratégiques assez pareilles aux nôtres. Comme créer une hégémonie culturelle à gauche ? C’est quoi le marxisme au XXIème siècle ? Les liens entre les luttes sociales et la politique. Plein de questions passionnantes, et on se pose les mêmes en France, en Grèce, en Espagne et en Belgique. Trop longtemps, au PTB, on a cru qu’on allait régler ça à l’échelle belge, avec notre vérité à nous, et on n’avait pas trop de contacts avec les autres gauches plurielles, qui sont très différentes en Europe. Mais là, on a décidé de prendre plus de contacts, et c’était vraiment chouette d’être là.

    Claude  : Justement, par rapport à ces questions stratégiques, la France Insoumise vient de se transformer en “Union Populaire”, qui semble moins spécifiquement marquée “à gauche” que le Parti de Gauche ou la France Insoumise elle-même. Tu as pu discuter de ce tournant politique, ou tu as toi-même une opinion à ce sujet ?

    Raoul  : Je vais parler pour nous. Nous, on reste dans des marqueurs “de classe”. Je sais qu’il y a des débats qui traversent “la gauche de gauche” mais moi, je crois en une analyse marxiste de la société, dans l’existence des classes sociales, même si elles se diversifient et si le prolétariat d’aujourd’hui n’est pas forcément le même que celui d’hier. Mais que le monde du travail, en tant que classe, se retrouve opposé à une grande bourgeoisie nationale et internationale financière, cela reste pour moi un fait, et je reste dans cette grille d’analyse là. Donc, personnellement, je ne me revendique pas du “populisme de gauche”, qui met plutôt en avant une opposition entre “peuple” et “élite”.
    
C’est un débat que nous avons aussi avec nos camarades de la France Insoumise, mais ce qui compte, c’est aussi la pratique de terrain, et c’est important de pouvoir mener ce type de débats sans anathèmes et dans le respect l’un de l’autre et de nos réalités spécifiques. Nous on reste plutôt sur cette alliance ouvriers, employés, petits indépendants, paysans, ce “front de classe” anti-monopolistique, et cette analyse-là nous semble toujours pertinente.

    Claude  : En plus de ça, on ne sait pas encore vraiment quel sera le contenu précis de cette Union Populaire. Là, on est plutôt dans “l’effet d’annonce”.

    Raoul  : Exactement . Nous n’en dirons donc pas plus (rires).

    Claude  : Pour conclure peut-être,… (Raoul regarde sa montre, mais il reste très disponible : on est “dans les temps”) …les inondations et la crise climatique sont entrées chez nous en collision avec une autre crise nationale majeure, celle du COVID. Comment as-tu le sentiment que l’État fédéral et les régions gèrent ce problème chez nous, et le PTB a-t-il une position sur le sujet ?

    Raoul  : Moi, ce qui m’inquiète, c’est la stratégie du “tout au vaccin”, qui a complètement zappé la première ligne de soins, toute cette médecine de proximité qui existe trop peu en Belgique, avec un renvoi systématique vers les spécialistes et les hôpitaux. Je crois qu’on risque de se mettre le doigt dans l’oeil. Même chose pour la vaccination. Je ne crois pas qu’avec l’obligation vaccinale, la répression, on va y arriver. Il y a une vrai méfiance d’une partie de la population vis-à-vis des autorités publiques, mais aussi vis-à-vis des multinationales pharmaceutiques, qui se cristallise peut-être malheureusement autour de la question du vaccin, mais la seule façon de combler ce fossé, c’est de construire un réseau médical proche de la population, et tu sais que nous mettons en avant le modèle coopératif des “maisons médicales”, qui sont une alternative concrète à la “médecine libérale” et du chacun pour soi.
    
Et l’autre versant du débat, ce sont les conséquences économiques de cette crise. Pour le moment, on a maintenu, et tant mieux, un certain nombre d’aides pour maintenir un certain nombre d’acteurs économiques en activité. Mais on parle bientôt de retirer la prise, et cela va provoquer des dégâts terribles d’un point vue social. Et là, va se poser à nouveau la question : qui va payer les conséquences de la crise ? Or toujours sous le capitalisme, et Noémie Klein l’a bien expliqué dans son livre “la Stratégie du Choc”, au moment du “choc”, et la crise du COVID en est un fameux, les gros et puissants vont en profiter pour s’accaparer à nouveau des pans entiers de notre société. Ces grand groupes industriels, qui ont les reins très solides, sont déjà en train de relancer leur production, comme Ryanair qui vient de renouveler sa flotte de Boeing, et ce sont les petits, qui ont des fonds propres beaucoup plus faibles, qui vont mourir.

    Claude  : L’année passée, en France, les principale entreprises du CAC40 ont très sensiblement augmenté leurs bénéfices…

    Raoul  : Là, il y a aussi un vrai enjeu socio-économique : qui va payer les pots cassés de cette crise ? Et on revient alors sur des débats fiscaux comme un impôt sur la fortune, un impôt exceptionnel sur les bénéfices bancaires, sur la grande distribution qui a réalisé des surprofits,… Ce n’est pas qu’une question philosophique. C’est une question très pratique pour le budget 2022. Car on va voir qu’on va à nouveau nous proposer de serrer la ceinture, au nom des dogmes de l’austérité, au lieu d’aller chercher l’argent là où il se trouve.

    Claude  : … sans parler du secteur pharmaceutique, qui a lui-même fait des profits incroyables !

    Raoul  : C’est scandaleux. Ca, c’est un hold-up des Pfizer et Cie, quand on parle de 4 ou 5 milliards de bénéfices en plus. Et en plus, #Pfizer et #Moderna viennent encore d’augmenter le prix des vaccins, alors que le prix de revient est le même !
C’est pour ça qu’on vient de lancer une campagne européenne, avec d’ailleurs tous nos camarades de la gauche radicale européenne, “Pas de Profits sur la Pandémie”, qui est un appel à la signature d’une initiative citoyenne pour exiger de la Commission Européenne une transparence totale et une remise en cause de ces contrats.

    Claude  : Sans compter que de nombreux pays pauvres n’ont pas accès à ces vaccins, à cause de ce coût prohibitif protégé par des brevets, alors qu’une épidémie mondiale, par définition, doit se traiter mondialement. Car les virus ne connaissent pas de frontières, et il est impossible de s’en débarrasser dans un seul pays sans le faire aussi dans tous les autres.

    Raoul  : Cela, il faut le faire comprendre aussi au monde du travail : tant que les trois-quarts de l’humanité n’auront pas accès à ces soins, les virus continueront à muter, et on ne sera jamais tranquille. Donc réclamer la levée de ces brevets, ce n’est pas qu’une attitude altruiste internationale, c’est aussi pour nous-mêmes. Brevets dont je rappelle quand même qu’ils utilisent des technologies qui, dans leur grande majorité, ont été conçues dans des universités publiques ou avec l’aide massive de fonds publics. Le livre “L’État Entrepreneurial” démontre cela très bien. Beaucoup de ces innovations technologiques viennent de nos universités, viennent du travail de chercheurs altruistes, qui n’en ont tiré aucun profit. Moi je suis biologiste de formation, j’ai vu des gens passionnés bosser pour des salaires très modestes. Il faut arrêter de croire que ce qui fait marcher l’humanité, c’est la recherche du profit. Ce n’est pas vrai. Il est d’autant plus immoral que la privatisation de ces techniques et découvertes mettent aujourd’hui notre santé collective en danger.

    Propos recueillis par Claude Semal le 1er septembre 2021.
    (1) NDLR : Héritier du “Secours Rouge” proche du PCF (1923-1943), le Secours Populaire a été créé en 1945 par fusion avec l’Association Nationale des victimes du Nazisme. C’est aujourd’hui la troisième association française de solidarité, en terme de budget, derrière la #Croix-Rouge et le #Secours_Catholique, mais c’est la première en terme de réseau militant. En 2018, elle est venue en aide à plus de trois millions de personnes grâce à plus de 80.000 #bénévoles.

    #Raoul_Hedebouw #PTB #Marxisme #Claude_Semal #union_Populaire #Inondations #Catastrophe #Précarité #ps #Di_Rupo #Secours_Populaire #vaccins #luttes_sociales #inondations #crise_climatique #maisons_médicales #médecine #Santé #Ryanair #surprofits #austérité

  • La #Technologie n’est pas du tout neutre, et les technologies complexes appellent mécaniquement des systèmes autoritaires
    https://ricochets.cc/La-technologie-n-est-pas-du-tout-neutre-et-les-technologies-complexes-appe

    Partout les autorités et leurs médias nous répètent que la « technologie est neutre », que « la recherche techno-scientifique est neutre », et que « le problème se limite à encadrer les innovations technologiques et leurs applications ». Voici quelques articles pour démonter ces mensonges qui nous enferment dramatiquement dans la civilisation industrielle et ses ravages. LES EXIGENCES DES CHOSES PLUTÔT QUE LES INTENTIONS DES HOMMES Limite au complotisme & non-neutralité de la technologie Dans un (...) #Les_Articles

    / #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques, Technologie, #La_civilisation,_la_civilisation_industrielle, Autoritarisme, régime policier, (...)

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=1535

  • Le monde vivant est détruit partout, mais tout va bien on a gagné de belles médailles d’or aux JO de Tokyo
    https://ricochets.cc/Le-monde-vivant-est-detruit-partout-mais-tout-va-bien-on-a-gagne-de-belles

    Deux exemples parmi des dizaines d’autres. Ce n’est pas un film à grand spectacle, on n’est pas des acteurs et on ne va pas se réveiller à la fin du cauchemar, c’est la réalité, et elle est fabriqué par la civilisation techno-industrielle, par le capitalisme, les Etats et tous les médias et dirigeants qui promeuvent et défendent ce système suicidaire, ...mais tellement fun et si lucratif, ...pour quelques uns. 🔥🔥TOUT BRÛLE DÉJÀ🔥🔥 La plus grande décharge du monde de pneu est actuellement en feu au (...) #Les_Articles

    / #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques, #La_civilisation,_la_civilisation_industrielle

    https://www.facebook.com/watch/?v=4077702205660716

  • « Brûler » le capitalisme, ou le laisser brûler la planète ?! L’équation est simple
    https://ricochets.cc/Bruler-le-capitalisme-ou-le-laisser-bruler-la-planete-L-equation-est-simpl

    🔥🔥La Grèce brûle toujours. 🔥🔥 Mais aussi l’Angola, la Zambie, le Malawi, la Tanzanie, le Zimbabwe, Madagascar, l’Afrique du Sud sont actuellement en feu. Ils n’ont pas juste de fronts de feu, les pays entiers brûlent. C’est le résultat des politiques climatiques du capitalisme, des politiques neolibérales et de la guerre contre la nature. Renversons le capitalisme et sauvons la planète, nous-mêmes, nos enfants et les enfants de nos enfants de l’offensive capitaliste et de ses représentants." Yannis (...) #Les_Articles

    / #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques, Résistances au capitalisme et à la civilisation (...)

    #Résistances_au_capitalisme_et_à_la_civilisation_industrielle
    https://fb.watch/7eE6U5aN_x

  • Pierre Abi-Saab sur Twitter : « في الرابع من آب كشر المسخ الانعزالي عن انيابه وها هو يحاول ان يختطف الغضب الشعبي ترغيبا وترهيبا وتضليلا وعنفا، مكررا الخطأ القديم نفسه، ومستدرجا لبنان الى هاوية بلا قرار. فيديو عن ادبيات الحوار الوطني حسب #القوات_اللبنانية https://t.co/3o2a79jfym » / Twitter

    Vidéo d’un militant communiste libanais harcelé par les Forces libanaises qui l’obligent sous la menace à retirer son keffieh, à le piétiner et à maudire « la cause » [palestinienne]. Pour échapper à ses bourreaux, le malheureux s’écrit : Par la Vierge, je suis chrétien, je vous montre ma carte d’identité..."

    Terribles échos des événements qui marquèrent les premières années du début de la guerre civile au Liban en 1975. Le fait que cela se déroule le 4 août, un an après l’explosion du port, ne fait qu’accroître les interrogations...

    #liban #catastrophe_annoncée (mille fois)

    Pour les « amateurs », autre vidéo d’intimidations terrifiantes : https://twitter.com/i/status/1423281754681397260

    Là, on l’oblige à maudire le communisme et à répéter le mot d’ordre des Forces « libanaises » : Dieu et les Forces !

    L’article de Pierre Abi Saab : https://al-akhbar.com/Politics/313334/%D9%88%D9%83%D8%B4-%D8%B1-%D8%A7%D9%84%D9%85%D8%B3%D8%AE-%D8%A7%D9%84%D8% (la traduction automatique est à peu près compréhensible).

    كان متوقّعاً أن تتعرّض ذكرى الرابع من آب لشتّى أشكال الاحتواء والتوظيف السياسي. بدأت أجهزة الدعاية والترويج مهمّتها مبكراً، وتصاعدت حملات التعبئة المركّزة، وعمليّات التجييش والتحريض على المنصات والمنابر السياسيّة والإعلاميّة. هكذا تعرّض جزء من الجمهور لعمليّة «تهييج» وغسل دماغ منهجيّة، وشُنّفت آذانه بشتّى الشعارات الاختزالية، الجوفاء، المخادعة التي تدعو «الشعب» للنزول إلى الشارع من أجل «العدالة» و«الحقيقة»، ومن أجل «التغيير» و«إسقاط النظام». بشّرتنا أبواق «الثورة» بـ«مجتمع 4 آب» الذي سيهبّ ضد «منظومة الفساد». فإذا بنا - وبذوي الشهداء قبل الجميع - نشارك في «ثورة» قائدها البطرك بشارة الراعي، وملهمها سمير جعجع، ومهرّجها مارسيل غانم. وإذا بنا رهائن الفئوية والطائفية والتعصّب والعنف الأهلي... وضحايا التخلّف والعمالة والتضليل والخناجر الفاشيّة...
    كان متوقّعاً أن تتعرّض المناسبة للاختطاف السياسي، في بلد اكفهرّ أفقه، وجفّت آماله، وضاعت نقاط ارتكازه، وتعطلت بصيرته، ونفدت طاقاته الحيوية، وسدّت بوجه أهله سبل النجاة... لكن ليس إلى هذه الدرجة. لم يتوقّع أحد أن تنقلب ذكرى الكارثة الوطنيّة العظمى التي ضربت في الصميم، مدينة وبلداً وشعباً، من لحظة جامعة توحّدنا في المأساة، حول مشروع تأسيسي لبلدنا، إلى نذير شؤم بعودة زمن قاتم كان المواطنون فيه يموتون على الهويّة. «وحياة العدرا أنا مسيحي. بفرجيك هويتي!»، يقول المناضل اليساري الشاب الطري العود، المدمّى الوجه، دامعاً مرتجفاً متوسّلاً جلاده الفاشي الذي استفرد به في الجميزة. إذا كنت (مولوداً) «مسيحياً» وضد الفاشية يا رفيقي المسكين، فإن عقابك أكبر. كيف فاتك ذلك؟ وبعد الإهانة والترهيب والإذلال، كان عليه أن ينزع الكوفيّة عن كتفيه يرميها أرضاً ويدوسها وهو يشتم «القضية»!
    رفيق آخر له تحت الرنجر القواتي أُرغم على شتم الشيوعية، وعلى تلاوة «القسَم الفاشي»: «الله قوات». المجموعة الشيوعيّة التي صدّقت أنّها «تلبّى دعوة أهل الشهداء» وتتظاهر من أجل العدالة، وقعت في كمين قوّاتي في الجمّيزة، فانهالت على الرفاق العصيّ والخناجر. وقد اخترق أحد هذه الخناجر صدر مازن أبو زيد، ومزق رئته، وهو الآن في المستشفى يكافح متشبثاً بالحياة. ماذا تنفع الهتافات «صهيوني صهيوني، سمير جعجع صهيوني» يا رفاق؟ «الصهاينة» هم أسياد هذا الرابع من آب. كنا نظن أن «عملاء إسرائيل» بيننا، أقليّة خجولة يمكن استئصالها أو تركها تتخثّر مع الزمن، لكن لم نكن نتوقّع أن يخرجوا الى العلن بهذه الثقة، ويصادروا ذكرى الرابع من آب! هذه هي «الثورة» التي وعدتمونا بها يا فرسان العدالة والحوكمة الرشيدة والتغيير على الطريقة الشنكريّة؟
    لم يتوقّع أحد أن تكون الذكرى الأولى للكارثة الوطنيّة نذير شؤم بكارثة أخرى، أكبر وأعظم من انفجار المرفأ، رغم أهواله التي دخلت السجل الأسود للذاكرة البشريّة... كارثة حرب أهلية تتمناها إسرائيل ويشتغل عليها سفراء الوصاية والانحطاط. الناس المحتشدون بالآلاف أمام مسرح الجريمة، جاؤوا يطالبون بدولة تشبه أحلامهم، بوطن لا يموت فيه الناس بعبثية ومجانيّة، كما حدث هنا قبل عام. لكن فئة سياسيّة أبت إلا أن تغتصب بيد آثمة هذا اليوم المقدّس، وتفرض وصايتها على المناسبة. وحين احتج أحد المشاركين على مجموعة مهتاجة، وطلب إليها عدم رفع علم القوات، فاليوم نرفع العلم اللبناني فقط، كان نصيبه أيضاً الضرب المبرّح، حتى سال دمه. «سمير جعجع هو أوّل قاتل في الطبقة السياسية»، راح يصرخ مضرجاً بدمه، أمام الكاميرات! غير صحيح! هذه «افتراءات إيرانية»! الحكيم هو مانديلا «ثورة الأرز». ألم يدسّ الكومبارس السعيد فارس سعيد بين الحشود، من دون أن يسألهم رأيهم، لافتة كتب عليها IRAN OUT؟ ألم يتحفنا بطل الرابع من آب بامتياز، بطرك التطبيع، في عظته، بإدانة «الوصاية والاحتلال»؟ لقد نسي غبطته عند أقدام الأهراءات المتصدّعة، أنّه بدأ عهده بالسفر لملاقاة عملاء الاحتلال، وأنه أوّل الداعين إلى الوصاية.
    سيبقى 4 آب 2021 في التاريخ بصفته يوم انبعاث «الانعزالية اللبنانيّة» بأبهى حللها. مخطط منهجي لسرقة المناسبة من قبل قوى سياسية هي أصل بلاء البلد ونكبة أهله، وتحويلها كرنفالاً دمويّاً يأخذ لبنان إلى الموقع النقيض لكل ما نحتاج إليه اليوم. من بطرك الموارنة الذي كاد يطوّب نفسه قدّيساً في مرفأ بيروت وهو يتقدّم على وقع إنشاد الكورس البوليفوني: «مجد لبنان أعطي لكم، مجد لبنان أعطي لكم»، إلى مارسيل غانم الذي اختتم هذا النهار الطويل، بحفلة تزوير على المحطّة «السياديّة» إيّاها. لقد اهتدى هذا الصحافي الاستقصائي الخطير إلى الشهود الذين سيحسمون القضية. سائق الشاحنة يقول إنّه هرّب موادّ خطيرة لا يعرف ما هي، من العنبر المشؤوم إلى الجنوب (تصفيق في الاستوديو). إن حزب الله هو الذي يقف وراء تخزين هذه المواد الخطيرة في مرفأ بيروت. صدقوا مارسيل غانم ومحطّته.
    في الرابع من آب كشّر المسخ الانعزالي عن أنيابه، واختطف الغضب الشعبي ترغيباً وترهيباً وتضليلاً وعنفاً، مكرراً الخطأ القديم نفسه، ومستدرجاً لبنان إلى هاوية بلا قرار. صدّقتم أيّها السذّج، أننا هنا لكفكفة دموعكم وتضميد جراحكم والمطالبة بحقوقكم؟ أنتم المطيّة التي نستعملها لنتلاعب بالغضب الشعبي، ونؤبلس المقاومة، ونطلق حملتنا الانتخابية كما فعل البطرك في درّته الفريدة، خلال القداس الذي أحياه فوق أنقاض المرفأ، بعيد توقيت الانفجار. من أعطاه الحق بأن يصادر تلك اللحظة الفظيعة التي هي ملك الشعب اللبناني؟ وأن يستبيح الجراح والعذابات وينصّب نفسه وصيّاً عليها؟ إذا كان غضب أهالي الشهداء عارماً قبل 4 آب ضد السلطة وأباطرة النظام، وكل من يقف حائلاً دون معرفة الحقيقة ومحاسبة الشركاء في الجريمة، والمسؤولين عن جرحهم المفتوح... فيجب أن يكونوا أكثر غضباً بعد تلك الهمروجة: لقد تاجر محور شيا - بخاري بوجعهم وحدادهم، واستهلكتهم المنابر والكاميرات، وسُرقت منهم المناسبة...

  • Demande de soutien de l’éco-village de Baumela suite aux derniers incendies en Sardaigne
    https://ricochets.cc/Demande-de-soutien-de-l-eco-village-de-Baumela-suite-aux-derniers-incendie

    Des jours de terreur ont commencés le Vendredi 24 juillet, quand un feu a démarré a Bonarcado, en Sardaigne occidentale, dans la province d’ Oristano. Les forts vents et la chaleur ont aidé a diffusé les flammes sur 25000 hectares de brousse et forêt. La faune et beaucoup d’animaux d’élevage n’ont pas été épargnés. Les communautés locales commencent a conter les dégâts, encore difficile d’estimer précisément. Malheureusement en Italie les incendies sont fréquents, les dernières semaine plusieurs régions ont (...) #Les_Articles

    / #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques

    https://casadeisemi.noblogs.org/collecte-de-fonds-incendie-baumela

  • L’opposition à la société de contrôle symbolisée et amplifiée par le passe sanitaire s’affermit - Administrer mieux les désastres ou y mettre un terme ?
    https://ricochets.cc/L-opposition-a-la-societe-de-controle-symbolisee-par-le-passe-sanitaire-s-

    Entretien — Libertés : Barbara Stiegler : « Les autorités détournent les questions sanitaires pour instaurer une société de contrôle » - « Société de contrôle », démocratie « suspendue »... Pour la philosophe Barbara Stiegler, les décisions du gouvernement contre le Covid-19 nous plongent dans une « impasse politique et sanitaire » inquiétante. Et elle interroge la façon dont est menée la politique de vaccination. (...) Depuis le début de l’épidémie, le gouvernement n’a cessé de brandir des solutions miracles : le (...) #Les_Articles

    / #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques, #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, Révoltes, insurrections, débordements..., #Fichage_et_surveillance, Autoritarisme, régime policier, (...)

    #Révoltes,_insurrections,_débordements... #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...
    https://reporterre.net/Barbara-Stiegler-Les-autorites-detournent-les-questions-sanitaires-pour-
    https://floraisons.blog/catastrophisme

  • Water supply systems on the verge of collapse in Lebanon: over 71 per cent of people risk losing access to water
    https://www.unicef.org/press-releases/water-supply-systems-verge-collapse-lebanon-over-71-cent-people-risk-losing-

    UNICEF estimates that most water pumping will gradually cease across the country in the next four to six weeks.

    #Liban #catastrophe

  • Inondations en #Wallonie : environ 50.000 véhicules hors d’usage et 10.000 tonnes de déchets électroniques
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_inondations-en-wallonie-environ-50-000-vehicules-hors-d-usage-et-10-000-

    Selon les estimations du groupe Comet, actif dans quatre filières de traitement de déchets (appareils électriques et électroniques, véhicules, pneus et métaux), 50.000 véhicules (voitures, motos, mobylettes...) et 10.000 tonnes de déchets électroniques sont bons pour la casse ; après les inondations, rapporte L’Echo jeudi.

    Dans ses calculs, le groupe est parti de l’hypothèse que quelque 300.000 personnes ont été fortement touchées en Wallonie (plus d’un mètre de hauteur d’eau), soit un Wallon sur douze. Sur la base d’extrapolations au départ de quelques cas comme Esneux, chaque personne sinistrée aurait généré pour environ 10 mètres cubes de déchets. Cela signifierait 3 millions de m3 de déchets produits par les inondations avec une densité moyenne de 0,5 par m3, soit quelque 1.500.000 tonnes de déchets.

    Si ces estimations sont proches de la réalité, cela voudrait dire qu’en deux jours, les inondations auront généré l’équivalent de trois quarts des déchets ménagers annuels en Wallonie, selon les données du Plan déchets wallon qui chiffrent ceux-ci à 1,9 million de tonnes par an.

    Si assimilés à des déchets « communaux » et non pas « ménagers »  qui représentent un peu moins de 100.000 tonnes en Région wallonne, il s’agirait alors de l’équivalent de quinze fois les déchets communaux annuels produits en deux jours.
     #déchets #environnement #recyclage #écologie #pollution #catastrophe

  • Enquête sur la pollution sous-marine en trois épisodes - Basta !

    1er article : « Sous la mer, la pollution d’hier est bien là, et elle attend » : les épaves, des bombes à retardement ?
    https://www.bastamag.net/pollutions-sous-marines-bombes-a-retardement-epaves-seconde-guerre-mondial

    2ème article : Déchets radioactifs immergés : l’équivalent de trois catastrophes de Fukushima rejeté dans l’Atlantique
    https://www.bastamag.net/dechets-radioactifs-immerges-Atlantique-fosse-des-Casquets-Golfe-de-Gascog
    (cf https://seenthis.net/messages/922861)

    3ème article : Des milliers de conteneurs perdus en mer : une pollution souvent invisible dans l’indifférence des autorités
    https://www.bastamag.net/conteneurs-perdus-en-mer-transport-maritime-tempete-pollution-toxique

    #pollution_marine #cartographie_des_épaves #immobilisme #catastrophe_majeure #porte-conteneurs #règlementation_mers

  • ” Le complotisme est d’abord une cosmogonie, une parole mythique sur la naissance du monde”, entretien avec Sylvie Taussig - Lignes de crêtes
    https://www.lignes-de-cretes.org/le-complotisme-est-dabord-une-cosmogonie-une-parole-mythique-sur-l

    Nadia Meziane : L’une des marques du conspirationnisme, héritée d’une sorte de marxisme revisité par le soupçon permanent consiste à toujours supposer une position coupable à celui qui s’exprime contre leurs thèses. Le contradicteur n’est jamais Personne mais toujours Quelqu’un qui se cache. Il n’est jamais là où il dit qu’il est mais dans un quelconque repaire où s’élaborent les complots. Commençons donc par te situer et situer l’endroit du monde où tu as écrit ton essai. Tu es chercheuse , pas spécialement experte en conspirationnisme et, au cœur de la pandémie, tu étais au Pérou, où tu as vécu au quotidien avec le voisinage d’une communauté pratiquant la médecine spirituelle et fortement complotiste.

    Peux-tu nous raconter cette aventure pandémique et comment elle s’est mêlée à tes sujets de recherche pour aboutir à ton essai  ?

    Sylvie Taussig : l’aventure n’en a pas été une. Ne pas avoir le droit de sortir de chez soi sauf strictement pour faire les courses en laissant seuls, car interdits de mettre le nez dehors, deux enfants de 5 et 7 ans pendant plus d’une heure tous les deux jours… donc marcher vite malgré le poids des courses et surtout ne parler à personne et fuir l’aventure en espérant que de leur côté ils n’en tenteraient aucune, surtout pas sur la petite montagne qui finit par un abîme. Le contraire même de l’aventure, puisqu’une aventure a toujours un goût de la matière de Bretagne et la forme d’une initiation. Qu’en reste-t-il quand il n’y a plus temps ni espace ? Il restait à travailler, installée en partie dans ce curieux lieu d’observation – pour moi qui ai été un pilier de bistrot, c’est au bistrot que cela ressemble le plus – qu’est le réseau social. Évidemment cela n’aurait sans doute pas fonctionné si je ne connaissais pas les gens – mes voisins – en chair et en os, précisément comme adeptes de toutes les formes de néo-chamanisme et libertariens. Ils étaient déjà au nombre de mes sujets de recherche1, et au début cela a été un jeu : prévoir leur réactions.

    Mais, comme la prévision devenait dans ce cas une science exacte, ce n’était plus du jeu, mais l’occasion de faire un article, que j’ai terminé quand il a pris les proportions d’un petit livre. Le complotisme m’a paru comme un cas particulier de cette récidive gnostique que j’explore par tous les bouts depuis un paquet d’années, dans l’idée de faire un petit livre, très simple, élémentaire en fait. L’hypothèse de la récidive gnostique, qui constitue le point culminant de l’essai qui, pour moi, a quelque chose du roman policier, m’a aussi forcée à lire des quantités astronomiques de sites internet. Cette fréquentation assidue m’a permis de sentir le radical désir de la peur des adeptes de ces théories et d’entrevoir l’impressionnante cohérence de leur pensée.

    N.M. : Un philosophe est omniprésent dans ta réflexion sur le conspirationnisme contemporain. Descartes et son dévoiement . Le portrait que tu dresses des conspirationnistes est original, car il n’en fait pas des « anti-Lumières  » et des « contre-révolutionnaires  » par essence, pas forcément les héritiers de Barruel ou de Joseph de Maistre, à te lire, on a le sentiment qu’en partie les conspirationnistes seraient les Lumières qui auraient perdu le Nord, en jetant la boussole. En quoi l’ultra-doute conspirationniste se distingue-t-il du doute méthodique de Descartes et de ses héritiers des Lumières ? Et surtout qu’aurait répondu Descartes à un adepte de la pensée conspirationniste qui se serait revendiqué de lui  ?

    J’ai voulu prendre au sérieux leur revendication d’une filiation cartésienne. Comme j’ai consacré ma thèse et un certain nombre de travaux au 17e siècle, à travers ses penseurs moins connus que Descartes, je sais que le début des temps modernes est d’une diabolique complexité. Et c’est dans ce 17e siècle que j’avais déjà repéré des éléments gnostiques subversifs sans pouvoir les nommer. En fait je n’ai commencé à nommer cette interprétation religieuse qu’avec les séminaires de Heinz Wismann sur Heidegger – la matrice m’est apparue en pleine lumière, ou du moins il a nommé une matrice que je voyais bien à l’œuvre, et dont je voyais aussi des traces certaines dans une certaine interprétation catholique. Rien n’est monolithique, et je ne dis pas que l’Église catholique serait monolithique, bien au contraire. Et je m’intéresse aux petites choses, aux miettes. L’idée que le conspirationnisme serait une signature catholique se retrouve dans un article phénoménal d’Alain de Benoist, qui semble ainsi conspuer cette religion qu’il rejette de fond en comble ; elle se trouve aussi dans l’affirmation que Barruel serait le complotiste par excellence, ou bien ce jésuite grandiose que je cite, pour qui tous les pères de l’Église seraient une forgerie. Mais cela, les catholiques orthodoxes ne le disent pas, non plus qu’ils rejettent la bible hébraïque. C’est cette anguille sous roche là qui m’intéresse.

    Quant à Descartes, il ferait la tête que Musil donne à Aristote l’imaginant surgir du profond du sol au milieu d’une rue de Vienne au tournant du siècle. Je ne cite pas Musil par hasard, plus que tout autre il orchestre la rencontre des savoirs modernes et de la matière romanesque. Reste que le complotisme transpose sur la science actuelle la méfiance que les modernes posaient sur la scolastique

    – et cet anachronisme est fort intéressant.

    N.M : Tu places le conspirationnisme dans un univers néo-religieux plus que politique. Ton travail tourne autour de la notion de gnose. Or cette notion peut être perçue de manière extrêmement positive, le gnostique étant un être en quête de libération par la recherche de la vérité et du savoir . Si au départ, cette quête de vérité est réservée à une élite et à des sociétés secrètes, le conspirationnisme au fond propose en apparence, au moins, un dévoilement ultra-démocratique du monde. La proposition conspirationniste, le « informez vous par vous même  » est profondément séduisant et égalitaire. (...)

    #cosmogonie #désinstitutionnalisation #initiation #dualisme #conspirationnisme #complotisme #gnose #catastrophe #nihilisme_radical #croyance #savoir

  • Climat et écologie : notre capacité de survie, d’adaptation et à courber l’échine risque d’entraîner notre perte
    https://ricochets.cc/Climat-et-ecologie-notre-capacite-de-survie-d-adaptation-et-a-courber-l-ec

    Auparavant, quand les peuples subissaient guerres, effondrements locales de civilisation, famines, guerres civiles..., la vie repartait bon gré mal gré, au même endroit ou à côté. Ca pouvait être très dramatique, mais des sociétés humaines et des écosystèmes pouvaient renaître malgré tout assez vite. A présent, l’ampleur et l’échelle ne sont pas de même nature. La civilisation et son cortège de désastres, devenue planétaire et industrielle, n’épargne quasi aucune région de son emprise mortifère et de ses (...) #Les_Articles

    / #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques

  • Des abeilles et des hommes
    https://laviedesidees.fr/Des-abeilles-et-des-hommes.html

    À propos de : « Apicultures. Des mondes en recomposition », Études rurales, n° 206, juillet-décembre 2020.. L’abeille est notre sentinelle environnementale. Si elle meurt, nous aussi. #pollution, ravage des insecticides, recul de la biodiversité : si l’on veut sauver le monde des ruches, et le nôtre avec, il faut rapidement changer de modèle.

    #écologie #mort #catastrophe #animaux #Sciences
    https://laviedesidees.fr/IMG/docx/202106_abeilles.docx

  • L’ambition folle de Macron : dix géants européens de la tech d’ici à 2030
    https://www.latribune.fr/technos-medias/innovation-et-start-up/l-ambition-folle-de-macron-dix-geants-europeens-de-la-tech-d-ici-a-2030-88

    Après la « startup nation », la « scale-up Europe » ? Mardi 15 mai, à l’occasion du lancement du salon VivaTech, Emmanuel Macron a placé la tech comme l’une des priorités de la prochaine présidence française de l’Union européenne, au premier semestre 2022. A l’Elysée, face à un parterre d’une centaine d’investisseurs et d’entrepreneurs du numérique français et européens, ainsi qu’une dizaine de ministres européens, le président français a présenté des mesures proposées par le mouvement « Scale-Up Europe » (faire grandir l’Europe), lancé début mars à Station F dans le but de décliner des propositions pour guider la présidence française de l’UE.

    Voir : https://seenthis.net/messages/906641

    #technologisme #scale-up #technocrate #déréglement_climatique #catastrophe #macron #paywall

  • #Anvers : Pollution au PFOS à Zwijndrecht : le gouvernement flamand débourse 63 millions d’euros, 3M paye 75.000 euros Anne François, Belga

    Le quotidien De Standaard écrivait ce mardi - et l’information a été confirmée à VRT NWS - que la multinationale 3M, qui est liée à une ancienne pollution au PFOS (acide perfluorooctanesulfonique) à Zwijndrecht en région anversoise, a conclu en 2018 un accord juridique avec la société de gestion Lantis, en charge de la construction de la liaison routière Oosterweel. C’est cet énorme projet d’achèvement du périphérique autour d’Anvers qui a permis de mettre au jour cette pollution de longue date. L’accord devait permettre à Lantis - qui accepte de ne pas porter le dossier de pollution devant la justice - de poursuivre le projet Oosterweel, tandis que le gouvernement flamand débourse 63 millions d’euros d’argent public pour s’attaquer à la décontamination du terrain, alors que 3M doit dépenser 75.000 euros.

    A la suite d’un conseil des ministres extraordinaire, le gouvernement flamand a annoncé lundi soir qu’il prenait des mesures de précaution face à la pollution au #PFOS à Zwijndrecht (Anvers), dans les environs directs du site de l’entreprise 3M. Ces mesures s’adressent aux personnes résidant dans un rayon de moins de 10 km du site pollué : il leur est déconseillé de consommer des légumes de leur jardin, de la volaille, voire même les œufs de volaille. Les jeunes enfants, femmes enceintes ou allaitantes sont particulièrement visés par ces mesures.

    Le PFOS - produit jusqu’en 2002 par 3M à Zwijndrecht - est notamment utilisé pour l’imperméabilisation des tissus, du mobilier et des tapis. Il a également été utilisé pour traiter les papiers à contact alimentaire contre les taches d’eau et de graisse, ainsi que pour diverses autres applications grand public. Mais il est cancérigène.

    La multinationale 3M nie avec véhémence être responsable de la pollution du sol autour de son site. La société de gestion Lantis n’était pas de cet avis, mais pour éviter une longue procédure judiciaire qui aurait retardé (éventuellement de 20 à 30 ans) l’avancement du projet de mobilité Oosterweel à Anvers, un accord a été conclu en 2018 stipulant que la pollution ne serait pas dénoncée en justice.

    Les 63 millions d’euros qui sont versés par les autorités flamandes doivent avant tout servir à « emballer » le sol pollué et à construire une installation d’épuration d’eau. Avec les 75.000 euros de l’entreprise 3M, une berme de sécurité doit être aménagée pour enterrer les sols les plus pollués. La multinationale met aussi un de ses terrains à disposition pour cette berme et la station d’épuration d’eau. Mais la différence entre les deux montants fait sourciller, et pas seulement les actuels partis de l’opposition.

    Dans une courte réaction sur Radio 1 (VRT) ce mardi, la ministre régionale de la Mobilité Lydia Peeters (Open VLD) a expliqué que l’assainissement des sols contaminés était de toute façon une responsabilité de 3M, selon les termes du Décret d’assainissement des sols pollués. Et cet assainissement devrait lui coûter très cher, jugent certains experts.
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    La suite : https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2021/06/15/pollution-au-pfos-a-zwijndrecht-le-gouvernement-flamand-debour

    #pollution #santé #environnement #pollution #multinationales #agriculture #catastrophe #découverte #chimie #3M #PFOS #argent_public

    • Les personnes vivant dans un rayon de 1,5 km autour du site 3M sont invitées à prendre les mesures suivantes :

      Il est déconseillé aux enfants de moins de 12 ans, aux femmes enceintes, aux femmes qui allaitent ou qui souhaitent être enceintes de consommer des légumes cultivés sur place.

      Il est déconseillé de consommer de la volaille de production locale.

      Il est conseillé aux personnes vivant dans une zone de 5 kilomètres autour de l’usine de ne pas consommer les œufs des volailles de leur jardin. Les personnes qui vivent dans un rayon de 5 à 10 km du site 3M ne doivent pas consommer plus d’un œuf de leur poules par semaine.

  • L’enfer climatique fabriqué par les Etats et le capitalisme se rapproche
    https://ricochets.cc/L-enfer-climatique-fabrique-par-les-Etats-et-le-capitalisme-se-rapproche.h

    Un nouveau rapport confirme ce que l’on savait déjà si on n’est pas dans le déni : L’ONU prévient : nous nous dirigeons vers un enfer climatique… - Selon un nouveau rapport sur les tendances climatiques, le monde pourrait dépasser le seuil clé de 1,5 degré Celsius de réchauffement de la planète au cours des cinq prochaines années. Il s’agit du dernier signe en date indiquant que nous nous dirigeons à toute vitesse vers un avenir sombre, contre lequel les climatologues nous mettent en garde depuis des années (...) #Les_Articles

    / #Catastrophes_climatiques_et_destructions_écologiques, La civilisation, la civilisation (...)

    #La_civilisation,_la_civilisation_industrielle
    https://mediascitoyens-diois.info/2021/06/lonu-previent-nous-nous-dirigeons-vers-un-enfer-climatique