• Toute la maison de retraite a signé en soutien à Gérard (74 ans)
    Si vous reconnaissez des noms qui figuraient dans une pétition en soutien à la corrida, ne vous étonnez pas, c’est bien le cas.
    97 ans - Judith Magre (actrice),
    89 ans - Pierre Richard (acteur),
    89 ans - Nadine Trintignant (réalisatrice et écrivain),
    87 ans - Joël Séria (réalisateur),
    86 ans - Francis Veber (réalisateur),
    85 ans - Jacques Henric (écrivain),
    85 ans - Daniel Humair (musicien et peintre),
    84 ans - Bertrand Blier (réalisateur),
    82 ans - Bernard Murat (metteur en scène),
    81 ans - Tanya Lopert (actrice),
    81 ans - Marie-France Brière (productrice et réalisatrice),
    80 ans - Josée Dayan (réalisatrice),
    80 ans - Jean-Marie Rouart, de l’Académie française (écrivain),
    80 ans - Jacques Dutronc (chanteur et acteur),
    77 ans - Jean-Claude Dreyfus (acteur),
    77 ans - Charlotte Rampling (actrice),
    77 ans - Brigitte Fossey (actrice),
    76 ans - Patrice Leconte (réalisateur),
    75 ans - Nathalie Baye (actrice),
    75 ans - Myriam Boyer (actrice),
    75 ans - Gérard Darmon (acteur),
    75 ans - Catherine Millet (écrivain),
    74 ans - Serge Toubiana (critique de cinéma et ancien directeur de la Cinémathèque française),
    74 ans - Jacques Weber (acteur),
    74 ans - Boualem Sansal (écrivain),
    73 ans - Philippe Caubère (acteur),
    73 ans - Paulo Branco (producteur),
    71 ans - Rudy Ricciotti (architecte),
    70 ans environ - Myriam Boisaubert (poète),
    70 ans environ - Marie Beltrami (styliste),
    70 ans - Arielle Dombasle (chanteuse),
    69 ans - Dominique Besnehard (acteur et producteur)
    67 ans - Christine Boisson (actrice),
    66 ans - Clémentine Célarié (actrice),
    66 ans - Carole Bouquet (actrice),
    65 ans - Charles Berling (acteur),
    64 ans - Victoria Abril (actrice),
    64 ans - Jean-Marie Besset (auteur dramatique),
    64 ans - Antoine Duléry (acteur),
    60 ans - Roberto Alagna (chanteur),
    60 ans - Christophe Barratier (réalisateur),
    59 ans - Vincent Perez (acteur),
    59 ans - Michel Fau (acteur et metteur en scène),
    59 ans - Benoît Poelvoorde (acteur),
    58 ans - Yvan Attal (acteur et réalisateur),
    58 ans - Karine Silla-Perez (actrice et réalisatrice),
    57 ans - Stéphanie Murat (réalisatrice),
    57 ans - Emmanuelle Seigner (actrice),
    57 ans - David Belugou (décorateur de théâtre),
    56 ans - Carla Bruni (chanteuse),
    53 ans - Stéphan Druet (metteur en scène),
    50 ans - Lilian Euzéby (artiste peintre),
    50 ans - Chiara Muti (actrice),
    47 ans - Afida Turner (chanteuse),
    35 ans environ - Marion Lahmer (actrice).
    32 ans - Yannis Ezziadi (acteur et auteur) (Instagram précise : éditorialiste à Causeur / Défenseur de la corrida)

    • Il y aurait beaucoup à dire sur l’attelage pour le moins baroque des signataires – à de très rares exceptions près tous âgés de plus de 55 ans – où se côtoient des proches de l’acteur (Nathalie Baye, Francis Veber, Bertrand Blier…), l’écrivaine Catherine Millet, l’académicien Jean-Marie Rouart, la diva Arielle Dombasle ou encore l’improbable Afida Turner. On pourrait aussi leur reprocher l’absence de toute évocation des femmes qui se disent victimes des agissements de Gérard Depardieu, et leur argument spécieux selon lequel il faudrait arrêter de parler des actions en justice contre l’acteur en vertu de sa contribution « à l’histoire de l’art, de la plus haute des manières ». Mais puisqu’ils agitent l’épouvantail de la « cancel culture » dont serait victime de Gérard Depardieu, examinons ce pseudo-effacement.

      https://www.telerama.fr/cinema/effacer-gerard-depardieu-vraiment-7018648.php

    • « Tu flippes toi aussi et tu as bien raison » : les graves accusations de Lucie Lucas à l’encontre de Victoria Abril, signataire de la tribune Depardieu | Télé 7 Jours
      https://www.programme-television.org/news/people/polemique/tu-flippes-toi-aussi-et-tu-as-bien-raison-les-graves-accusatio

      « J’ai beaucoup à dire sur certaines personnes de cette liste délicieuse de co-signataires… avec TOUT ce que les jeunes générations ont de dossiers sur vous, j’espère que vous êtes prêts à la retraite parce qu’on ne vous protègera plus », a-t-elle poursuivi sans citer de noms…sauf un, celui de Victoria Abril. Lucie Lucas a en effet porté de graves accusations contre celle à qui elle donnait la réplique dans la série Clem de TF1. « Victoria… Tu veux qu’on parle de tes nombreuses agressions y compris sexuelles envers tes partenaires ? A y réfléchir, je ne suis pas surprise que tu aies signé ce torchon… Tu flippes toi aussi, et à y réfléchir tu as bien raison ».

    • Depardieu : une tribune bien de notre temps [Le point de vue de CL] - Charente Libre.fr
      https://www.charentelibre.fr/editorial/depardieu-une-tribune-bien-de-notre-temps-le-point-de-vue-de-cl-179442

      Par Maurice BONTINCK - m.bontinck@charentelibre.fr, publié le 26 décembre 2023 à 19h43, modifié le27 décembre 2023.

      Plutôt que de causer cinéma, partons dans ses coulisses. Plutôt que de raconter la Bible, intéressons-nous à la genèse. Partageons ce conte sorti le 25 décembre pour demander de ne « pas effacer Gérard Depardieu ». Comme tout conte de Noël qui se respecte, c’est d’abord une histoire familiale : comment la petite famille des proches et la grande du cinéma – surtout celle du XXe siècle - vont-elles bien pouvoir sauver le soldat Gérard à qui l’on ose reprocher sa grivoiserie et sa passion pour la gent féminine ? On ne peut plus rien dire, rien faire, rien cacher. La période est triste, comme la chair post « Me too » qui ne se tait plus assez.

      Pendant les agapes, tout ce petit monde cogite. Entre la poire et le fromage, l’idée d’une tribune émerge ; la mise en doute du travail de Complément d’enquête et le soutien d’Emmanuel Macron à « l’immense acteur » n’ont pas suffi à laver son honneur. Et qui de mieux pour écrire une tribune qu’un spécialiste de l’exercice proche de la famille Depardieu ? Il a 32 ans et s’appelle Yannis Ezziadi. Il a déjà écrit une tribune pour la corrida, une en faveur de l’écrivain pédophile Gabriel Matzneff. S’il est inconnu du grand public, le qualificatif « d’acteur » lui colle aux basques sitôt qu’il arpente les colonnes du Figaro, de Causeur, de Valeurs Actuelles ou les plateaux de Cnews et Hanouna. Aucun ne manque pour reconstruire ce monde déconstruit qui s’en prend au génie français. Et ce n’est pas un hasard si tous ces canaux médiatiques là sont aujourd’hui dans un soutien appuyé à cette tribune.

      Le conte familial devient bataille culturelle et idéologique. Avec comme paradoxe seulement apparent que ces artistes quasiment tous de « gôche » sont prêts à tout pour faire bloc autour de leur ami. Même à frayer avec l’extrême autre bord politique, sans toujours s’en rendre compte. Trop d’émotions. La seule victime c’est lui. Les seuls coupables sont ceux qui prendraient prétexte de quelques ‘dérapages’ pour « effacer » le génial Cyrano de Rappeneau. Les mêmes ont déjà commencé à vouloir « effacer » Noël, « effacer » toutes les traditions comme la corrida ou les hommes virils. Pour Noël, Trump et Fox News le disent depuis vingt ans, c’est que c’est vrai.

      Depardieu, c’est la liberté qu’on assassine. Celle qui permet aux intouchables de toucher et aux plus faibles de se taire. C’est le symbole de l’effondrement intellectuel d’une caste transformée en chiens de garde qui préfèrent aboyer dans tous les sens pour remettre en cause l’époque plutôt qu’eux-mêmes.

      Depardieu en Cyrano nous manque. Il leur aurait offert ce qu’ils n’ont plus : son panache.

    • 80 ans et 65 ans, ça aurait encore fait monter la moyenne d’âge.

      Gérard Depardieu : ces deux immenses stars qui auraient disparu de la tribune de soutien à l’acteur au dernier moment - Closer
      https://www.closermag.fr/people/gerard-depardieu-ces-deux-immenses-stars-qui-auraient-disparu-de-la-tribun

      Selon Le Canard Enchaîné, Catherine Deneuve et Alain Chabat auraient dans un premier temps accepté de signer cette tribune avant de finalement faire marche arrière.
      « [Ces] deux célébrités ne figurent pas dans la liste, alors que, selon un témoin, leurs noms circulaient depuis trois jours », peut-on ainsi lire dans les colonnes de l’hebdomadaire.

    • Nadine Trintignant, signataire de la tribune pour Depardieu, regrette une « grave erreur »

      La réalisatrice explique au « Point » qu’elle ignorait que le comédien Yannis Ezziadi, proche d’Eric Zemmour, était à l’origine de la tribune de soutien à Depardieu.

      https://www.huffingtonpost.fr/culture/article/nadine-trintignant-signataire-de-la-tribune-pour-depardieu-regrette-u

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      Gérard Depardieu accusé de viol : Yvan Attal et Carole Bouquet « mal à l’aise » par rapport à la tribune qu’ils ont signée

      OUPS L’un n’est finalement « pas totalement » en phase avec le texte quand l’autre est très embarrassée par les idées d’extrême droite de l’auteur de la tribune

      https://www.20minutes.fr/arts-stars/people/4068539-20231229-gerard-depardieu-accuse-viol-yvan-attal-carole-bouquet-ma

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    • Ah ah ah, Nadine Trintignant, Carole Bouquet, Yvan Attal, Gérard Darmon, ça commence à faire beaucoup à pas savoir lire. A vouloir se défiler en sentant le vent tourner de leur niaiserie ignorante alors que ce sont de sacrés gros soutiens de beaufs de zemerdour et du torchon causeur adorateur des violences patriarcales. #pitoyables #célébrités_françaises #lèches_cul

    • Et en gros c’est toujours un peu le même petit monde violophile qui s’agglutine à d’autres proches pour faire des adeptes de la défense de violeurs.

      Si tu tires le fil, ça fonctionne en cascade, Judith Magre (ex de Claude Lanzmann décédé en 2018, signataire de la pétition Polanski) a joué pour Bernard Murat dont la fille Stéphanie Murat a joué avec la sœur de Emmanuelle Seigner qui est la femme de Polanski.
      Signataires aussi de la Polanski’s petition, tu retrouves évidemment Catherine Millet et Jacques Henric, des proches de Sollers (bon il a pas pu signer, il est mort) les deux derniers étant signataires de la pétition pro-pédophile initiée par Matzneff en 1977 de « l’Affaire de Versailles ».
      Et le coordinateur de ce Depardieu boy’s club et écrivaillon de causeur, raciste fasciste et sexiste avait aussi soutenu Matzneff.

      Donc il faut vraiment être stupide et hors-sol pour aller poser sa signature à cet endroit putride.

    • La déconfiture

      Charles Berling se désolidarise, Josée Dayan a exprimé des regrets vendredi, mais ils portaient principalement sur le pedigree de machin, Toubiana assure aussi ne pas avoir su qui était à l’origine du texte, Dominique Besnehard s’en veut d’avoir été naïf.

      https://www.liberation.fr/culture/affaire-depardieu-charles-berling-presente-ses-excuses-apres-avoir-signe-

      Affaire Depardieu : la contre-tribune défendant les victimes de violences sexuelles dépasse les 2 500 signatures
      https://www.liberation.fr/culture/affaire-depardieu-angele-judith-chemla-waly-dia-600-artistes-fustigent-un

    • ça s’étiole …
      https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/cinema/ma-signature-etait-un-autre-viol-jacques-weber-lui-aussi-regrette-son-sou

      Jacques Weber lui aussi regrette son soutien à Gérard Depardieu

      « J’ai par réflexe d’amitié signé à la hâte, sans me renseigner, oui j’ai signé en oubliant les victimes et le sort de milliers de femmes dans le monde qui souffrent d’un état de fait trop longtemps admis, écrit Jacques Weber dans une tribune publiée par Mediapart. Ma signature était un autre viol. » Et d’ajouter : « Malgré l’amour ou l’admiration que ses amis, sa famille et la famille du cinéma lui portent (à Depardieu), nous ne devons pas empêcher la vérité d’éclore ».

  • Celebrity Culture: Why Fame Is Big Business
    https://knowledge.wharton.upenn.edu/article/celebrity-culture-big-business

    What I argue in my book is that celebrity culture is the constant negotiation between media — and that can be producers, it can be journalists, it can be radio interviews, it can be photographers and celebrities themselves — and the public. No one group controls the narrative. No one group controls the outcome. That’s part of the reason we’re so engaged. We don’t know how it’s going to turn out.

    A lot of what we see today owes its roots to the 1980s and 1990s, when anybody could get a relatively cheap video camera and take videos of themselves, but there was no way to distribute them to a large number of people. That’s what phones have allowed. What we see today is that celebrities can have much more direct contact with their publics without having to deal with gatekeepers like heritage newspapers. It used to be both the public and celebrities were really limited by a smaller number of gatekeepers, and they’re gone. Now, the problem we have is that it’s hard to know in the public how to find anything that interests us, right? As a celebrity, anybody can have a Twitter account or a YouTube channel, but how are you going to make sure that people come to it?

    Knowledge@Wharton: But isn’t the public the conduit in that process?

    Marcus: That is an interesting way to think about it. We’re used to thinking of the media as the conduit, but I would agree with your way of putting it. It is, in fact, the public that’s the conduit. Because what I also saw by taking this long, historical view is that although we think of the media as making decisions and being in control of who is in the public eye, the media is very responsive to what interests the public. The media is always trying to figure out, “What do people care about?”

    Sometimes that’s guesswork. Sometimes it’s based on word of mouth. It feels to me like these days the newspapers are following social media more than the other way around. If something blows up on social media, it becomes a news story.

    Knowledge@Wharton: You also talk about the social component when a celebrity is well-known, such as boxer Muhammad Ali. In the 1960s, he was an activist, and that drew a lot of positive and negative attention to his fame.

    Marcus: Social and political. I’ll talk about Muhammad Ali in a second, but look again at Taylor Swift. When we talk about the #MeToo movement, I think a lot of us forget that right before the big story broke with Harvey Weinstein, Taylor Swift was in the news because she sued a photographer who groped her. She sued him for a penny because she was making a point that this wasn’t about money. It was about it not being OK. She was extremely articulate on the stand. Many celebrities have real aplomb dealing with the public. They’re able to improvise. They’re able to be spontaneous but also come off being very calm and collected, which is what you need to do if you’re in the courtroom. And she won. She raised a lot of attention to the ways that even the most famous, supposedly powerful young women are being exploited and mistreated. I think that that was a crucial example of a celebrity using their media presence and influence for a social and political purpose.

    Muhammad Ali, as an African American boxer in the 1960s, raised awareness about civil rights, about the Vietnam War. He refused to serve in the Vietnam War well before there was a massive protest movement against the Vietnam War. As a result, he was put in jail during what would have been the height of his boxing career. I think all of that was a great example of how many celebrities go against the grain. They take unpopular positions that then become the norm in many ways.

    #Célébrités #Médias_sociaux #Culture_populaire #Médias

  • Chères #célébrités, cessez d’utiliser les #réfugiés et les #conflits pour vos relations publiques
    http://www.middleeasteye.net/fr/opinions/ch-res-c-l-brit-s-cessez-dutiliser-les-r-fugi-s-et-les-conflits-pour-

    George, l’autre moitié du couple Clooney, a essayé de cultiver au cours de sa longue carrière cette image de militant à temps partiel engagé sur des questions aussi diverses que la défense des droits des animaux et sur son opposition aux conflits. Il y a quelques mois, il s’est même tenu face à un groupe de réfugiés syriens et leur a déclaré que l’Amérique ne serait pas l’Amérique sans ses communautés de réfugiés.

    Il a également été en Allemagne avec Amal, il y a quelques mois, pour implorer la chancelière Angela Merkel d’accepter davantage de réfugiés. Il est ahurissant qu’il parvienne à réunir par la suite la somme de 353 400 dollars (environ 315 000 euros) reversés à la campagne présidentielle d’Hilary Clinton.

    Après tout, c’est Hillary Clinton qui a lancé la campagne de promotion visant à démanteler la Libye, réduisant ainsi un pays doté d’un État à un couloir de transit pour les réfugiés. Elle a également apporté un soutien inconditionnel à une intervention musclée des États-Unis en Syrie, en appelant le président Barack Obama à « armer les faucons », une politique qui n’a fait que contribuer à accroître le nombre de réfugiés auxquels George Clooney semble si attaché.

    Mais le couple Clooney n’est pas le seul à se complaire dans cette élégante #hypocrisie. Celui qui fait autorité en la matière est Gordon Sumner, plus connu sous le nom de scène de Sting. Celui qui s’est auto-investi diplomate itinérant des causes humanitaires du showbiz, et qui pèse plus de 194 millions de dollars (173 millions d’euros) s’est manifestement fait le champion des questions des droits de l’homme depuis des décennies – vous vous souvenez des band aid (groupes de stars réunies pour une chanson dont les bénéfices des ventes sont reversés à une cause humanitaire) ?

    Malheureusement en 2010, une révélation embarrassante dévoilait qu’il avait personnellement accepté entre 1,2 et 2,5 millions de dollars (1,07 et 2,23 millions d’euros) pour s’envoler en Ouzbékistan et se produire à la soirée d’Islam Karimov (décédé en septembre), alors à la tête d’un régime totalitaire brutal. Depuis, son aura n’a plus jamais été la même.

    Pour replacer les choses dans leur contexte, Islam Karimov a été condamné par plusieurs organisations, notamment les Nations unies et Amnesty International, pour avoir massacré des manifestants qui réclamaient une redistribution des richesses plus égalitaire, pour avoir réduit des enfants en esclavage, et même pour avoir fait bouillir ses ennemis politiques.

    Sting - et c’est cela qui est peut-être encore plus sordide - a essayé d’utiliser l’UNICEF comme couverture, en prétendant que l’organisme des Nations unies qui défend les droits des enfants, avait « sponsorisé l’événement » auquel il avait participé. Or par la suite, l’UNICEF a nié.