• Filmer le #centre-ville de #Marseille
    https://metropolitiques.eu/Filmer-le-centre-ville-de-Marseille.html

    Les centres-villes sont marqués par des conflits d’appropriation, mais également de représentation. Gaël Marsaud étudie comment un corpus de documentaires sur les #habitants et les habitantes de la rue de la République à Marseille construit une autre mise en récit de ce centre-ville populaire que celle des aménageurs et des pouvoirs locaux. Au début des années 2000, la rue de la République, située dans le périmètre d’Euroméditerranée, a été l’objet d’un vaste projet de réaménagement (Berry et Deboulet #Terrains

    / Marseille, #documentaire, centre-ville, #mobilisation, habitants, #rénovation_urbaine

  • D’anciens étudiants balancent leurs écoles de cirque

    Après un #happening à Châlons pour sensibiliser l’opinion publique, le collectif « #Balance_ton_cirque », dont la plupart des membres sont issus du #Centre_national_des_arts_du_cirque (#Cnac), souhaite libérer la parole des étudiants victimes de #violences_sexuelles, sexistes ou morales dans leurs écoles. Et surtout, faire en sorte qu’elles cessent.

    L’année se termine sur une note amère pour le Centre national des arts du cirque (Cnac). Vendredi dernier, à l’issue des #Echappées, représentations individuelles des étudiants en piste, un happening s’organisait devant le cirque historique de Châlons, porté par une vingtaine de personnes, anciens étudiants et artistes confondus. Dans un silence sépulcral, toutes pancartes brandies, le collectif « balance ton cirque » a dénoncé ce que beaucoup ne soupçonnaient pas, ou de loin : les #violences verbales, physiques, sexuelles et morales subies dans les #écoles_circassiennes. Toutes les écoles, le Cnac y compris. Et les témoignages, que certains classeraient volontiers dans la catégorie du #sexisme_ordinaire, sont glaçants. Sur les écriteaux, des propos rapportés de professeurs ou de directeurs à l’encontre des étudiants donnent le ton : « Ton corps change, tu deviens une femme », « C’est pas gagné, t’as pas un corps de danseur », ou encore « Tu as mis une petite culotte rose aujourd’hui. Demain, ce sera quelle couleur ? »

    Près d’une centaine de témoignages recueillis

    Ledit collectif, principalement constitué d’anciens du Cnac, revendique son indépendance et son envie de faire bouger les lignes. « Pour éviter à d’autres de vivre ce qu’on a vécu, expliquent ses membres. On imagine que certaines personnes de l’équipe pédagogique du Cnac ont pris notre démarche pour elles, mais on ne les vise pas. On souhaite que la parole se libère. Et si on a choisi les Echappées pour notre action publique, c’est aussi parce que le jury pluridisciplinaire qui évalue les étudiants était présent à Châlons ce jour-là. Il se compose de tout un tas de profils. Des gens qui n’ont absolument rien vu ou au contraire qui ont fermé les yeux, d’autres qui ont aussi subi ces violences et qui nous soutiennent. » Depuis cette mobilisation, près d’une centaine de témoignages issus du monde circassien européen ont été recueillis et publiés de façon anonymisée via le compte Instagram #balancetoncirque. Pas simple à gérer émotionnellement pour les lanceurs d’alerte, eux-mêmes victimes et / ou témoins. « On parle d’#agressions_sexuelles, mais également de #harcèlement_moral et d’#emprise_psychologique, parfois même de violences entre les élèves. On sait que des promotions actuelles y sont toujours confrontées. C’est incroyable que des écoles supérieures, des institutions comme le Cnac ou d’autres, ne le dénoncent pas et restent dans le déni. » Puis d’évoquer une « #omerta » et une « #pression permanente » entretenues par les directions. « Tout se règle en interne. On s’est déjà entendu dire : « si tu veux réussir, il va falloir te taire ». Les dirigeants ont les pleins pouvoirs et se permettent tout, même en dehors de l’école. »

    « C’était un rêve d’enfant, c’est devenu un cauchemar d’adulte. »

    Certains membres du collectif, par exemple, se sont vus interpeller à Châlons dans un cadre personnel et ont reçu des remarques désobligeantes concernant leur vie privée. D’autres ont été interrogés sur leur orientation sexuelle lors des auditions de sélection du Cnac. « Avec le recul et en échangeant tous ensemble, on réalise la gravité de ces faits, la façon dont on nous infantilise, dont on nous manipule. Pourtant, on a la chance de suivre une formation incroyable. Mais elle est gâchée à cause de quelques personnes seulement. C’était un rêve d’enfant, c’est devenu un #cauchemar d’adulte. » Plusieurs courriers adressés par des étudiants au ministère de la Culture ainsi qu’aux fédérations française et européenne des écoles de cirque sont restés sans réponse.

    Des actions en justice ?

    Prochaines étapes pour #balancetoncirque : prendre attache avec les associations référentes sur ces questions et suivre des formations d’écoutant(e)s afin de mieux orienter et accompagner les témoins. Des actions en #justice sont-elles envisagées ? « Ce n’est pas la vocation première de notre collectif, mais il n’est pas exclu que des démarches soient entreprises individuellement. Elles auront tout notre appui. On veut surtout que les gens parlent, se réunissent, pour changer les choses. » Et puisque la direction du Cnac doit être renouvelée d’ici la fin de l’année, le timing s’avère on ne peut mieux choisi.

    http://www.lhebdoduvendredi.com/article/40942/danciens-etudiants-balancent-leurs-ecoles-de-cirque

    #cirque #BalanceTonCrique #MeeTooCirque #me_too #écoles_de_cirque #France #harcèlement_sexuel #viols #arts_du_cirque #infantilisation #manipulation #corps

  • CRA - Centre de Rétention Administrative

    En 2012, à #Toulouse - Cornebarrieu, Meybeck participe à la campagne « #Ouvrez_les_portes » organisée par Migreurop et Alternative Européenne, campagne visant à obtenir l’accès des journalistes et de la société civile aux centres de rétention pour lesquels nous n’avons pratiquement aucune information, ni sur ce qui s’y passe, ni comment sont traités les migrants, ni sur le respect de leurs droits.

    https://www.desrondsdanslo.com/CRA.html

    #rétention #détention_administrative #CRA #centre_de_rétention_administrative #France #Cornebarrieu #open_access_now #migrations #asile #réfugiés #renvois #expulsions
    #livre #BD #bande_dessinée

  • Les Dimanches de la Canebière. Politiques d’attractivité et événements culturels à l’échelle de la rue
    https://metropolitiques.eu/Les-Dimanches-de-la-Canebiere-Politiques-d-attractivite-et-evenement

    Comment les événements culturels contribuent-ils à l’attractivité urbaine ? Nicolas Maisetti étudie le cas des Dimanches de la Canebière et interroge l’avenir de la politique de reconquête socio-spatiale de l’hyper-centre de #Marseille qui a présidé à la mise en place de cet événement. À l’occasion du 90e anniversaire de la « création » de la Canebière en janvier 2017, la mairie du premier secteur de Marseille (regroupant les 1er et 7e arrondissements, au cœur du #centre-ville) inaugure les « Dimanches de la #Terrains

    / Marseille, centre-ville, attractivité, #événements_urbains, #culture

    #attractivité
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met-maisetti4-2.pdf

  • Greece, ABR: The Greek government are building walls around the five mainland refugee camps

    The Greek government are building walls around the five mainland refugee camps, #Ritsona, #Polykastro, #Diavata, #Makakasa and #Nea_Kavala. Why this is necessary, and for what purpose, when the camps already are fenced in with barbed wire fences, is difficult to understand.
    “Closed controlled camps" ensuring that asylum seekers are cut off from the outside communities and services. A very dark period in Greece and in EU refugee Policy.
    Three meter high concrete walls, outside the already existing barbed wire fences, would makes this no different than a prison. Who are they claiming to protect with these extreme measures, refugees living inside from Greek right wing extremists, or people living outside from these “dangerous” men, women and children? We must remember that this is supposed to be a refugee camps, not high security prisons.
    EU agreed on financing these camps, on the condition that they should be open facilities, same goes for the new camps that are being constructed on the island. In reality people will be locked up in these prisons most of the day, only allowed to go out on specific times, under strict control, between 07.00-19.00. Remember that we are talking about families with children, and not criminals, so why are they being treated as such?
    While Greece are opening up, welcoming tourists from all over the world, they are locking up men, women and children seeking safety in Europe, in prisons behind barbed wire fences and concrete walls, out of sight, out of mind. When these new camps on the islands, financed by Europe are finished, they will also be fenced in by high concrete walls. Mark my words: nothing good will come of this!
    “From Malakasa, Nea Kavala, Polycastro and Diavata camps to the world!!
    “if you have find us silent against the walls,it doesn’t mean that we agree to live like prisoners,but in fact we are all afraid to be threaten,if we speak out and raise our voices!!”

    (https://twitter.com/parwana_amiri/status/1395593312460025858)

    https://www.facebook.com/AegeanBoatReport/posts/1088971624959274

    #murs #asile #migrations #réfugiés #camps_de_réfugiés #Grèce #camps_fermés #barbelés

    • "Ø double military-grade walls
      Ø restricted entrance and exit times (8am-8pm: itself a questionable suggestion: why should people be banned from going outside at any time of day or night? Under what possible justification?)
      Ø a CCTV system and video monitors
      Ø drone flights over the ‘camps’
      Ø camera-monitored perimeter alarms
      Ø control gates with metal detectors and x-ray devices
      Ø a system to broadcast announcements from loudspeakers
      Ø a control centre for the camps at the ministry’s HQ
      And this will be paid for – a total bill of €33m – by the EU.
      As this cash is on top of the €250m the EU has already promised to build these camps – described, we must stress, as ‘closed’ repeatedly in the Greek governments’ ‘deliverability document’ even though the EU, and specifically its Commissioner for Home Affairs Ylva Johansson who confirmed the €250m payment on her visit to the Aegean islands in March this year, promised the EU would not fund closed camps - it is absolutely vital that the Union is not misled into handing over millions of Euros for a programme designed to break international law and strip men, women and children of their fundamental human rights and protections.
      We must stress: these men, women and children have committed no crime. Even if they were suspected of having done so, they would be entitled to a trial before a jury before having their freedom taken away from them for – based on the current advised waiting period for asylum cases to be processed in Greece – up to five years.»

      ( text by Koraki : https://www.facebook.com/koraki.org)
      source : https://www.facebook.com/yorgos.konstantinou/posts/10223644448395917


      source : https://www.facebook.com/yorgos.konstantinou/posts/10223644448395917

      –—


      source : https://www.facebook.com/yorgos.konstantinou/posts/10223657767448885

      #caricature #dessin_de_presse by #Yorgos_Konstantinou

    • Pétition:

      EU: Build Schools, Not Walls

      We strongly stand against allocating European funds to build walls around Greek refugee camps.

      The ongoing fencing work at the Ritsona, Polykastro, Diavata, Malakasa and Nea Kavala camps must stop immediately.

      Greece, with the full support of the European Union, is turning refugee camps into de-facto prisons.

      Millions of euros allocated for building walls should be spent on education, psychological support and the improvement of hygienic conditions in the refugee camps.

      What happened?

      In January and February 2021, the International Organization for Migration (IOM) published two invitations to bid for the construction of fences in refugee camps in mainland Greece.

      However, the fences became concrete walls. In March the Greek Ministry of Migration and Asylum commissioned to build NATO type fences and introduce additional security measures.

      Nobody - including camp residents - was informed about it.

      The walls are a jeopardy for integration, safety and mental health

      Residents of refugee camps fled their country in search for safety. In Europe their (mental) health is worsening because of the horrific conditions in the camps.

      Building the walls after a year of strict lockdown will lead to a further deterioration in their mental state.

      Moreover, it will:
      – deepen divisions between people: it will make the interaction between refugees and the local community even more difficult, if not impossible.
      – make it even harder for journalists and NGO’s to monitor the situation in the camp
      – put the residents of the camps in danger in case of fire.

      As EU citizens we cannot allow that innocent people are being locked behind the walls, in the middle of nowhere. Being a refugee is not a crime.

      Seeking asylum is a human right.

      Democracy and freedom cannot be built with concrete walls.

      Building walls was always the beginning of dark periods in history.

      Crushing walls - is the source of hope, reconciliation and (what is a foundation of European idea) solidarity.

      No more walls in the EU!

      https://secure.avaaz.org/community_petitions/en/notis_mitarachi_the_minister_of_migration_of_greec_eu_build_schools_no

    • La Grèce construit des camps barricadés pour isoler les réfugiés

      L’Union européenne a investi cette année 276 millions d’euros pour la construction de camps de réfugiés sur cinq îles grecques. À #Leros, où un camp de 1 800 places ouvrira bientôt, habitants et ONG s’indignent contre cet édifice barricadé. Le gouvernement assume.

      L’Union européenne a investi cette année 276 millions d’euros pour la construction de camps de réfugiés sur cinq îles grecques. À Leros, où un camp de 1 800 places ouvrira bientôt, habitants et ONG s’indignent contre cet édifice barricadé. Le gouvernement assume.

      Le champ de #conteneurs blancs s’étale sur 63 000 mètres carrés sur une colline inhabitée. Depuis les bateaux de plaisance qui pénètrent dans la baie de Lakki, dans le sud de Leros, on ne voit qu’eux. Ils forment le tout nouveau camp de réfugiés de 1 860 places, interdit d’accès au public, qui doit ouvrir ses portes d’ici à la rentrée sur cette île grecque de 8 000 habitants, qui compte aujourd’hui 75 demandeurs d’asile.

      « Il sera doté de mini-supermarchés, restaurants, laveries, écoles, distributeurs d’argent, terrains de basket », détaille #Filio_Kyprizoglou, sa future directrice. Soit un « village, avec tous les services compris pour les demandeurs d’asile ! », s’emballe-t-elle.

      Mais le « village » sera cerné de hauts murs, puis d’une route périphérique destinée aux patrouilles de police, elle aussi entourée d’un mur surplombé de #barbelés. Depuis sa taverne sur le port de Lakki, Theodoros Kosmopoulou observe avec amertume cette « #nouvelle_prison », dont la construction a démarré en février, sur des terres appartenant à l’État grec.

      Ce nouveau centre barricadé est l’un des cinq camps de réfugiés grecs en construction sur les îles à proximité de la Turquie et ayant connu des arrivées ces dernières années. Ces structures sont financées à hauteur de 276 millions d’euros par l’Union européenne (UE). Si celui de Leros est bien visible dans la baie de Lakki, les centres qui s’élèveront à #Kos, #Samos, #Chios et #Lesbos seront, eux, souvent isolés des villes.

      Ces camps dits éphémères pourront héberger au total 15 000 demandeurs d’asile ou des personnes déboutées. Ils seront tous opérationnels à la fin de l’année, espère la Commission européenne. Celui de Samos, 3 600 places, sera ouvert cet été, suivi de Kos, 2 000 places, et Leros. L’appel d’offres pour la construction des camps de Chios (de 1 800 à 3 000 places) et Lesbos (5 000 places) a été publié en mai.

      Si l’Europe les qualifie de « #centres_de_premier_accueil_multifonctionnels », le ministère grec de l’immigration parle, lui, de « #structures_contrôlées_fermées ». Elles doivent remplacer les anciens camps dits « #hotspots », déjà présents sur ces îles, qui abritent maintenant 9 000 migrants. Souvent surpeuplés depuis leur création en 2016, ils sont décriés pour leurs conditions de vie indignes. Le traitement des demandes d’asile peut y prendre des mois.

      Des compagnies privées pour gérer les camps ?

      Dans ces nouveaux camps, les réfugiés auront une réponse à leur demande dans les cinq jours, assure le ministère grec de l’immigration. Les personnes déboutées seront détenues dans des parties fermées – seulement les hommes seuls - dans l’attente de leur renvoi.

      Un membre d’une organisation d’aide internationale, qui s’exprime anonymement, craint que les procédures de demande d’asile ne soient « expédiées plus rapidement et qu’il y ait plus de rejets ». « Le gouvernement de droite est de plus en plus dur avec les réfugiés », estime-t-il. Athènes, qui compte aujourd’hui quelque 100 000 demandeurs d’asile (chiffre de mai 2021 donné par l’UNHCR), a en effet durci sa politique migratoire durant la pandémie.

      La Grèce vient aussi d’élargir la liste des nationalités pouvant être renvoyées vers le pays voisin. La Turquie est désormais considérée comme un « pays sûr » pour les Syriens, Bangladais, Afghans, Somaliens et Pakistanais.

      (—> voir https://seenthis.net/messages/919682)

      Pour la mise en œuvre de cette #procédure_d’asile, le gouvernement compte sur l’organisation et surtout la #surveillance de ces camps, au regard des plans détaillés que Manos Logothetis, secrétaire général du ministère de l’immigration, déplie fièrement dans son bureau d’Athènes. Chaque centre, cerné de murs, sera divisé en #zones compartimentées pour les mineurs non accompagnés, les familles, etc. Les demandeurs d’asile ne pourront circuler entre ces #espaces_séparés qu’avec une #carte_magnétique « d’identité ».

      "Je doute qu’une organisation de défense des droits humains ou de la société civile soit autorisée à témoigner de ce qui se passe dans ce nouveau camp." (Catharina Kahane, cofondatrice de l’ONG autrichienne Echo100Plus)

      Celle-ci leur permettra également de sortir du camp, en journée uniquement, avertit Manos Logothetis : « S’ils reviennent après la tombée de la #nuit, les réfugiés resteront à l’extérieur jusqu’au lendemain, dans un lieu prévu à cet effet. Ils devront justifier leur retard auprès des autorités du centre. » Les « autorités » présentes à l’ouverture seront l’#UNHCR, les services de santé et de l’asile grec, #Europol, l’#OIM, #Frontex et quelques ONG « bienvenues », affirme le secrétaire général - ce que réfutent les ONG, visiblement sous pression.

      Le gouvernement souhaite néanmoins un changement dans la gestion des camps. « Dans d’autres États, cette fonction est à la charge de compagnies privées […]. Nous y songeons aussi. Dans certains camps grecs, tout a été sous le contrôle de l’OIM et de l’UNHCR […], critique Manos Logothetis. Nous pensons qu’il est temps qu’elles fassent un pas en arrière. Nous devrions diriger ces camps via une compagnie privée, sous l’égide du gouvernement. »

      « Qui va venir dans ces centres ? »

      À Leros, à des centaines de kilomètres au nord-ouest d’Athènes, ces propos inquiètent. « Je doute qu’une organisation de défense des droits humains ou de la société civile soit autorisée à témoigner de ce qui se passe dans ce nouveau camp, dit Catharina Kahane, cofondatrice de l’ONG autrichienne Echo100Plus. Nous n’avons jamais été invités à le visiter. Toutes les ONG enregistrées auprès du gouvernement précédent [de la gauche Syriza jusqu’en 2019 – ndlr] ont dû s’inscrire à nouveau auprès de la nouvelle administration [il y a deux ans - ndlr]. Très peu d’organisations ont réussi, beaucoup ont été rejetées. »

      La municipalité de Leros s’interroge, pour sa part, sur la finalité de ce camp. #Michael_Kolias, maire sans étiquette de l’île, ne croit pas à son caractère « éphémère » vendu aux insulaires. « Les autorités détruisent la nature pour le construire ! », argumente celui-ci. La municipalité a déposé un recours auprès du Conseil d’État pour empêcher son ouverture.

      Ce camp aux allures de centre de détention ravive également de douloureux souvenirs pour les riverains. Leros porte, en effet, le surnom de l’île des damnés. La profonde baie de Lakki a longtemps caché ceux que la Grèce ne voulait pas voir. Sous la junte (1967-1974), ses bâtiments d’architecture italienne sont devenus des prisons pour des milliers de communistes. D’autres édifices néoclassiques ont également été transformés en hôpital psychiatrique, critiqué pour ses mauvais traitements jusque dans les années 1980.

      C’est d’ailleurs dans l’enceinte même de l’hôpital psychiatrique, qui compte toujours quelques patients, qu’a été construit un premier « hotspot » de réfugiés de 860 places, en 2016. Aujourd’hui, 75 demandeurs d’asile syriens et irakiens y sont parqués. Ils s’expriment peu, sous la surveillance permanente des policiers.

      Il n’y a presque plus d’arrivées de migrants de la Turquie depuis deux ans. « Mais qui va donc venir occuper les 1 800 places du nouveau camp ?, interpelle le maire de Leros. Est-ce que les personnes dublinées rejetées d’autres pays de l’UE vont être placées ici ? » Le ministère de l’immigration assure que le nouveau camp n’abritera que les primo-arrivants des côtes turques. Il n’y aura aucun transfert d’une autre région ou pays dans ces centres des îles, dit-il.

      La Turquie, voisin « ennemi »

      Le gouvernement maintient que la capacité importante de ces nouveaux camps se justifie par la « #menace_permanente » d’arrivées massives de migrants de la #Turquie, voisin « ennemi », comme le souligne le secrétaire général Manos Logothetis. « En Grèce, nous avons souffert, elle nous a attaqués en mars 2020 ! », lâche le responsable, en référence à l’annonce de l’ouverture de la frontière gréco-turque par le président turc Erdogan, qui avait alors entraîné l’arrivée de milliers de demandeurs d’asile aux portes de la Grèce.

      Selon l’accord controversé UE-Turquie de 2016, Ankara doit, en échange de 6 milliards d’euros, réintégrer les déboutés de l’asile - pour lesquels la Turquie est jugée « pays sûr »- et empêcher les départs de migrants de ses côtes. « Elle ne collabore pas […]. Il faut utiliser tous les moyens possibles et légaux pour protéger le territoire national ! »,avance Manos Logothetis.

      Pour le gouvernement, cela passe apparemment par la #fortification de sa frontière en vue de dissuader la venue de migrants, notamment dans le nord-est du pays. Deux canons sonores viennent d’être installés sur un nouveau mur en acier, le long de cette lisière terrestre gréco-turque.

      De l’autre côté de cette barrière, la Turquie, qui compte près de quatre millions de réfugiés, n’accepte plus de retours de migrants de Grèce depuis le début de la pandémie. Elle aura « l’obligation de les reprendre », répète fermement Manos Logothetis. Auquel cas de nombreux réfugiés déboutés pourraient rester longtemps prisonniers des nouveaux « villages » de l’UE.

      https://www.mediapart.fr/journal/international/240621/la-grece-construit-des-camps-barricades-pour-isoler-les-refugies
      #business #HCR #privatisation

    • Grèce : sur l’île de Samos, les migrants découvrent leur nouveau centre aux allures de « prison »

      Sur l’île grecque de Samos, proche de la Turquie, un nouveau camp de réfugiés dit « fermé », isolé et doté d’une structure ultra-sécuritaire vient d’entrer en service. Les quelque 500 demandeurs d’asile qui se trouvaient encore dans l’ancien camp de Vathy ont commencé à y être transférés. Reportage.

      « Camp fermé ? On ne sait pas ce que c’est un camp fermé. C’est une prison ou bien c’est pour les immigrés ? Parce qu’on m’a dit que c’était conçu comme une prison. » Comme ce jeune Malien, assis à côté de ses sacs, les demandeurs d’asile s’interrogent et s’inquiètent, eux qui s’apprêtent à quitter le camp de Vathy et ses airs de bidonville pour le nouveau camp de l’île de Samos et sa réputation de prison.

      Au Cameroun, Paulette tenait un commerce de pièces détachées qui l’amenait à voyager à Dubaï voire en Chine. Ce nouveau camp, elle s’y résigne à contrecœur. « Ça me fend le cœur, dit-elle. Moi je n’ai pas le choix. Si j’avais le choix, je ne pourrais pas accepter d’aller là-bas. C’est parce que je n’ai pas le choix, je suis obligée de partir. »

      Comme elle s’est sentie obligée aussi de quitter le Cameroun. « À Buea, il y a la guerre, la guerre politique, on tue les gens, on kidnappe les gens. Moi, j’ai perdu ma mère, j’ai perdu mon père, j’ai perdu mon enfant, j’ai perdu ma petite sœur, mon grand frère… Donc je me suis retrouvée seule. Et moi je ne savais pas. S’il fallait le refaire, moi je préfèrerais mourir dans mon pays que de venir ici. Oui. Parce que ces gens-ci, ils n’ont pas de cœur. »

      Alors que les transferts entre les deux camps démarrent tout juste, la pelleteuse est déjà prête. La destruction de l’ancien camp de Vathy est prévue pour la fin de semaine.

      https://www.infomigrants.net/fr/post/35176/grece--sur-lile-de-samos-les-migrants-decouvrent-leur-nouveau-centre-a

    • Grèce : ouverture de deux nouveaux camps fermés pour migrants

      La Grèce a ouvert samedi deux nouveaux camps fermés pour demandeurs d’asile dans les îles de #Leros et de #Kos, un modèle critiqué par des défenseurs des droits humains pour les contrôle stricts qui y sont imposés.

      La Grèce a ouvert samedi deux nouveaux camps fermés pour demandeurs d’asile dans les îles de Leros et de Kos, un modèle critiqué par des défenseurs des droits humains pour les contrôle stricts qui y sont imposés.

      « Une nouvelle ère commence », a déclaré le ministre des Migrations Notis Mitarachi en annonçant l’ouverture de ces deux nouveaux camps.

      Les nouveaux camps sécurisés, entourés de barbelés, pourvus de caméras de surveillance et de portails magnétiques où les demandeurs d’asile doivent présenter des badges électroniques et leurs empreintes digitales pour pouvoir entrer, sont fermés la nuit.

      Les demandeurs d’asile peuvent sortir dans la journée mais doivent impérativement rentrer le soir.

      Ces nouvelles installations que la Grèce s’est engagée à mettre en place grâce des fonds de l’Union européennes, sont appelées à remplacer les anciens camps sordides où s’entassaient des milliers de migrants dans des conditions insalubres.

      « Nous libérons nos îles du problème des migrants et de ses conséquences », a ajouté le ministre. « Les images des années 2015-2019 appartiennent désormais au passé ».

      Le premier camp sécurisé de ce type a été ouvert en septembre sur l’île de Samos, après le démantèlement du vieux camp, véritable bidonville, qui avait abrité près de 7.000 demandeurs d’asile au plus fort de la crise migratoire entre 2015 et 1016.

      La Grèce avait été la principale porte d’entrée par laquelle plus d’un million de demandeurs d’asile, principalement des Syriens, des Irakiens et des Afghans, étaient arrivés en Europe en 2015.

      Le situation en Afghanistan a fait redouter l’arrivée d’une nouvelle vague de migrants.

      Les nouveaux camps à accès contrôlé sont dotés de commodités comme l’eau courante, les toilettes et de meilleures conditions de sécurité qui étaient absentes dans les anciens camps.

      La Grèce a prévu d’ouvrir deux autres nouveaux camps sécurisés sur les îles de Lesbos et de Chios.

      La contribution de l’UE pour la mise en place de ces nouvelles installations s’élève à 276 millions d’euros (326 millions de dollars).

      Des ONG se sont toutefois inquiétées de l’isolement des personnes qui y sont hebergées, estimant que leur liberté de mouvement ne devrait pas être soumise à des restrictions aussi sévères.

      Selon des estimations de l’ONU, quelque 96.000 réfugiés et demandeurs d’asile se trouvent sur le territoire grec.

      https://www.mediapart.fr/journal/fil-dactualites/271121/grece-ouverture-de-deux-nouveaux-camps-fermes-pour-migrants

  • Intervenir sur les rez-de-chaussée en ville : une #action_publique à enrichir
    https://metropolitiques.eu/Intervenir-sur-les-rez-de-chaussee-en-ville-une-action-publique-a-en

    Décisifs pour l’animation des centres-villes, les commerces disparaissent dans beaucoup de rues. Valérie Strock-Huttepain et David Rottmann reviennent sur les causes de cette déprise et sur quelques initiatives imaginées pour redonner vie aux rez-de-chaussée. Les rez-de-chaussée, fondements de l’animation des centres-villes et de leur mixité fonctionnelle et sociale, sont aujourd’hui en crise. Si la déprise commerciale des centres-villes ne date pas d’hier, elle est aujourd’hui accentuée par #Essais

    / #centre-ville, #commerce, #villes_moyennes, #foncier, action publique

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_rottman-strock.pdf

    • Cette vacance est une ressource qui doit être reconnue pour ouvrir les rez-de-chaussée à d’autres programmations, et en premier lieu le maintien ou le retour d’activités productives en ville. L’implantation de rez-de-chaussée productifs ou hybrides permettrait d’accueillir de nombreuses activités qui ne trouvent pas leur place dans nos tissus urbains, alors même qu’elles favorisent le retour de l’artisanat, une économie et des services plus inclusifs ou encore l’entrepreneuriat. C’est le cas par exemple à Villeurbanne qui, dans le cadre de l’expérimentation « Territoire zéro chômeur de longue durée » et en partenariat avec des bailleurs sociaux, des entreprises sociales et des PME locales, a favorisé l’implantation d’Emerjean

      , une entreprise d’insertion qui occupe un ancien rez-de-chaussée vacant et y déploie de la petite production textile ou des activités liées à l’ESS.

      Ainsi, dans des cas où les marchés sont défaillants, il n’y a plus de transaction et plus d’occupation des rez-de-chaussée, les lois du marché ne favorisent plus mécaniquement les activités commerciales au détriment des activités artisanales. D’autres activités peuvent alors s’installer. C’est donc peut-être dans les interstices de ces marchés défaillants, et à condition d’adapter les locaux, que l’on peut retrouver l’espace nécessaire au retour ou au développement d’activités qui s’étaient retrouvées en concurrence avec les activités commerciales.

  • Comment le rap construit sa centralité à #Marseille ?
    https://metropolitiques.eu/Comment-le-rap-construit-sa-centralite-a-Marseille.html

    Comment s’opère l’association entre un répertoire culturel et un territoire urbain ? À partir d’une enquête ethnographique auprès d’artistes marseillais, Rémi Boivin met en lumière les « ressources écologiques » que ces derniers mobilisent pour construire à Marseille la centralité du rap. Peut-on associer un répertoire culturel et un territoire ? Cet article se propose de mettre ce questionnement à l’épreuve d’un cas empirique : le rap à et de Marseille au cours des années 2010. En s’appuyant sur une #Terrains

    / Marseille, #musique, centralité, #centre-ville, #culture

    #centralité
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_boivin.pdf

  • Le Secrétariat d’Etat aux migrations va renforcer la #vidéosurveillance dans les centres d’asile

    Après plusieurs #plaintes pénales dénonçant des #mesures_coercitives disproportionnées prises à l’encontre des requérants d’asile, les autorités ont décidé d’installer davantage de #caméras de sécurité dans les centres fédéraux.
    La Confédération va étendre la #surveillance_vidéo dans les centres d’asile fédéraux au cours des prochains mois. Des caméras supplémentaires seront installées à l’extérieur et à l’intérieur des locaux. Cela vise notamment à prévenir la violence.

    Bien que les caméras ne servent pas exclusivement à prévenir la violence, elles pourraient aussi être utilisées pour élucider les #agressions en plus de leur effet préventif, a indiqué lundi Reto Kormann, porte-parole du Secrétariat d’Etat aux migrations (SEM) confirmant une information de radio alémanique SRF.

    Uniquement dans les pièces communes

    Le SEM se base sur les modifications de la loi sur les étrangers, entrées en vigueur le 1er avril 2020, selon lesquelles les #enregistrements_vidéo des centres peuvent être conservés pendant quatre mois et utilisés dans le cadre de procédures administratives ou pénales. Ils ne peuvent toutefois être analysés que par les autorités pénales.

    Lors de l’installation des caméras, le SEM tient compte de la #vie_privée, a précisé M. Kormann. La surveillance des douches, des toilettes, des chambres à coucher et des autres pièces similaires est donc « strictement interdite ». Dans les zones communes « dans lesquelles il ne peut être question de vie privée et d’intimité », elle est possible, note le SEM.

    https://www.letemps.ch/suisse/secretariat-detat-aux-migrations-va-renforcer-videosurveillance-centres-dasi
    #surveillance #asile #migrations #réfugiés #Suisse #centres_fédéraux

    –—

    Ajouté au fil de discussion sur #ORS en #Suisse :
    https://seenthis.net/messages/884092

    qui, lui-même, a été ajouté à la métaliste sur ORS :
    https://seenthis.net/messages/802341

  • Excédé.e.s face à l’attente aux caisses, des client.e.s abandonnent 168 caddies dans un supermarché.e ce 1er mai Idem pour d’autres magasins

    Privés de caissiers, le Géant Casino de Fréjus avait ouvert ses portes en libre-service ce samedi 1er mai.


    Illustration sexiste du Figaro, comme si les hommes étaient les seuls pousseurs de caddies.

    Mauvaise surprise pour les employés du Géant Casino de Fréjus (Var) en arrivant sur leur lieu de travail le dimanche 2 mai. La veille, plus d’une centaine de caddies ont été laissés à l’abandon dans les allées du supermarché. La raison ? Face à la longue attente aux caisses automatiques du magasin, certains clients impatients ont abandonné leur chariot avec leur course à l’intérieur.

    Bien qu’il s’agisse d’un jour férié, le supermarché avait gardé ses portes ouvertes en libre-service. L’absence de caissiers en raison de la fête du Travail a contrasté avec l’afflux de clients de ce samedi, qui ont dû se contenter des 21 caisses automatiques mises à leur disposition pour régler leurs achats. Ainsi, chaque client devait tour à tour scanner, peser, ranger et payer par carte, via l’application Casino Max ou par espèce en caisse rapide ses courses, ce qui a engendré de longues queues au moment de payer. Excédés face à l’attente, certains clients ont abandonné leur course, laissant derrière eux 168 caddies dispersés dans les allées du supermarché.

    En arrivant le lendemain, les salariés ont dû s’occuper du rangement et du réapprovisionnement des rayons. . . . . .

    La suite, sans intêret : https://www.lefigaro.fr/conso/excedes-face-a-l-attente-aux-caisses-des-clients-abandonnent-168-caddies-da

     #france #casino #monoprix  #carrefour #auchan #grande_distribution #travail #centre_commercial #Connards #travail #caissières

  • Euroméditerranée : faire la ville sans ses #habitants ?
    https://metropolitiques.eu/Euromediterranee-faire-la-ville-sans-ses-habitants.html

    Pourquoi les grands projets urbains peinent-ils tant à intégrer les habitants ? Marie Beschon dépeint, à partir du cas d’Euroméditerranée, des professionnels tiraillés entre sensibilité aux injustices et foi dans l’aménagement. Fierté Euroméditerranéenne contre indignité marseillaise ? Juin 2019 à #Marseille. Un immeuble proche de la place Jules-Guesde menace de s’effondrer. La rue est bouclée, la bouche de métro condamnée. En face, l’arc de triomphe de la Porte d’Aix trône fièrement sur son esplanade #Terrains

    / Marseille, #aménagement, #centre-ville, #urbanisme, habitants

    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_dossiermarseille_beschon.pdf

  • Annual Torture Report 2020

    Torture and pushbacks – an in depth analysis of practices in Greece and Croatia, and states participating in violent chain-pushbacks

    This special report analyses data from 286 first hand testimonies of violent pushbacks carried out by authorities in the Balkans, looking at the way practices of torture have become an established part of contemporary border policing. The report examines six typologies of violence and torture that have been identified during pushbacks from Croatia and Greece, and also during chain-pushbacks initiated by North Macedonia, Slovenia and Italy. Across the report, 30 victim testimonies of torture and inhuman treatment are presented which is further supplemented by a comprehensive legal analysis and overview of the States response to these allegations.

    The violations profiled include:

    - Excessive and disproportionate force
    - Electric discharge weapons
    - Forced undressing
    - Threats or violence with a firearm
    - Inhuman treatment inside a police vehicle
    - Inhuman treatment inside a detention facility

    –-

    Key Findings from Croatia:

    – In 2020, BVMN collected 124 pushback testimonies from Croatia, exposing the treatment of 1827 people
    - 87% of pushbacks carried out by Croatia authorities contained one or more forms of violence and abuse that we assert amounts to torture or inhuman treatment
    - Violent attacks by police officers against people-on-the-move lasting up to six hours
    - Unmuzzled police dogs being encouraged by officers to attack people who have been detained.
    - Food being rubbed into the open wounds of pushback victims
    - Forcing people naked, setting fire to their clothes and then pushing them back across borders in a complete state of undress

    Key Findings from Greece:

    – 89% of pushbacks carried out by Greek authorities contained one or more forms of violence and abuse that we assert amounts to torture or inhuman treatment
    - 52% of pushback groups subjected to torture or inhuman treatment by Greek authorities contained children and minors
    - Groups of up to 80 men, women and children all being forcibly stripped naked and detained within one room
    - People being detained and transported in freezer trucks
    - Brutal attacks by groups of Greek officers including incidents where they pin down and cut open the hands of people on the move or tied them to the bars of their detention cells and beat them.
    - Multiple cases where Greek officers beat and then threw people into the Evros with many incidents leading to people going missing, presumingly having drowned and died.

    https://www.borderviolence.eu/annual-torture-report-2020
    #rapport #2020 #Border_Violence_Monitoring-Network #BVMN
    #asile #migrations #réfugiés #Balkans #route_des_Balkans #frontières #push-backs #refoulements #traitements_inhumains_et_dégradants #détention #centres_de_détention #armes #déshabillage_forcé #armes_à_feu #Croatie #Grèce #Evros #refoulements_en_chaîne #taser

    ping @isskein

  • Un tweet du CHU Grenoble Alpes du 29.04.2021
    Le tweet a été publié à 13h39 alors que moi (comme des centaines d’autres personnes), sans RV, je venais tout juste d’être piquée et vaccinée...


    https://twitter.com/CHU_Grenoble/status/1387733192615071749

    –-> je mets ici pour archivage... on va peut-être un jour savoir ce qui s’est passé...

    #Alpexpo #Grenoble #vaccin #vaccinations #centre_de_vaccination #France #covid-19 #coronavirus

    • Message que j’ai reçu d’une amie et qui m’a fait décidé d’aller à Alpexpo même sans RV :

      Un message reçu par mes réseaux et qui me semble tout à fait crédible (les centres de vaccination ne vont pas jouer à devoir jeter des doses... Ce ne serait pas éthique avec ce qui se passe dans les monde ! Et les populations éligibles commencent à être bien vaccinées donc tous les créneaux possibles ne sont pas pris, ce qui ne sera plus le cas lorsque ce sera ouvert « à tous » dans peu de temps (?) + sources concordantes dans mon milieu professionnel) :

      Le message :
      « Venez à Alpexpo dès que vous pouvez aujourd’hui ils vaccinent tout le monde dès 18 ans. Plus tu viens vite moins il y a de queue. Avec carte vitale et identité »

    • Grenoble : le #vaccinodrome d’Alpexpo n’est plus accessible à tout le monde

      15h : Une bonne partie des gens ayant attendu des heures sera finalement vaccinée « mais le centre reprendra vendredi avec des créneaux sur rendez-vous pour les personnes éligibles, sans exception », souligne le professeur Epaulard du CHU.

      13h55 : La file d’attente ne cesse s’allonger. Ils sont sans doute près de 300 dehors à attendre un créneau. Mais le CHU vient de confirmer que les personnes non éligibles « ne seront pas vaccinées. Seul les gens avec un rendez-vous le seront ». Ce qui ne freine personne d’autant que la consigne ne circule pas. Les agents de sécurité ne laissent entrer que les personnes ayant rendez-vous à 14 heures. « Et les autres ? », demande un Grenoblois. Pas de réponse. Alors, ils attendent...

      13h : Une #rumeur circulait sur les réseaux sociaux ce jeudi matin et, une fois n’est pas coutume, elle n’est pas fausse. Ce jeudi, de très nombreux habitants se sont rués au vaccinodrome d’Alpexpo et, face à cette demande massive, « ils prennent tout le monde » nous indique une source proche du CHU.

      https://www.ledauphine.com/amp/sante/2021/04/29/isere-grenoble-ruee-sur-le-vaccin-a-alpexpo

  • 3RGG | Communiqué : #violences dans les camps fédéraux d’asile

    Le collectif “#3_roses_contre_les_frontières” (#3RGG), qui a publié en mai 2020 un rapport (https://asile.ch/wp-content/uploads/2020/07/3RGG_Immer-ein-Grund-uns-zu-schlagen_2020-11.pdf) dénonçant des violences subies par des personnes résidant au sein d’un centre fédéral d’asile à Bâle, répond au SEM : https://3rgg.ch/wp-content/uploads/2021/04/Stellungnahme-29.4..pdf. Le 27 avril 2021, celui-ci a publié un communiqué (https://www.sem.admin.ch/sem/fr/home/sem/medien/mm.msg-id-83251.html) repris dans plusieurs médias qui informait de l’augmentation des #attaques_violentes contre ses installations, de même qu’en vers ses employé.es. Les auteurs y évoquent “des groupes anonymes qui décrivent la politique suisse d’asile comme étant « inhumaine » et parlent de « camps de réfugiés » pour désigner les CFA. 3RGG dénonce le fait que ce communiqué du SEM connaît un plus grand écho dans les médias que ceux révélant les violences subies par les personnes exilées au sein des centres d’asile fédéraux. Il rappelle également que les milieux militant en faveur du droit d’asile n’ont pas pour habitude d’avoir recours à la mise en danger d’autrui comme méthode de dénonciation.

    Le collectif #3_Rosen_gegen_Grenzen a publié son communiqué (https://3rgg.ch/wp-content/uploads/2021/04/Stellungnahme-29.4..pdf) en allemand le 29 avril 2021 sur son site internet. Nous vous le proposons ci-dessous notre traduction du texte en français.

    Au sujet de la dénonciation des violences dans les centres d’asile fédéraux, vous pouvez relire l’article de la revue VE 178 juin-juillet 2021 “Violences au centre fédéral de Bâle. Quand le système déraille” (https://asile.ch/2020/07/30/enquete-violences-au-centre-federal-de-bale-quand-le-systeme-deraille) et l’éditorial de VE 182 – avril 2021 Centres fédéraux. Du rôle de la société civile (https://asile.ch/2021/04/21/revue-vivre-ensemble-centres-federaux-du-role-de-la-societe-civile).

    –-

    Violence dans les camps d’asile fédéraux – Déclaration des 3 Roses contre les frontières

    29.4.2021

    Dans plusieurs camps d’asile fédéraux suisses, des violences physiques massives ont été commises contre des demandeurs d’asile au cours des derniers mois. Des journalistes issus d’un large éventail de médias, d’ONG et de groupes issus du secteur de la migration ont révélé, à l’aide de recherches élaborées, qu’il y avait eu des attaques violentes de la part du personnel de sécurité dans des cellules sans fenêtre et des pièces sans caméra dans les camps d’asile ; des personnes ont été emmenées à l’hôpital avec des mâchoires cassées ; les suicides ne sont pas rares.
    Ces rapports sont basés sur de nombreux entretiens, des rapports d’hôpitaux, des photographies, des documents internes des camps d’asile et des informations provenant de dénonciateurs, comme dans le cas du camp d’asile fédéral de Giffers (Fribourg).

    En tant que groupe de recherche et de documentation sur le camp d’asile fédéral de Bâle, il est important pour nous de faire entendre la voix des personnes touchées par la violence à un large public. Nous mettons en lumière le contexte et les effets de la violence du personnel de sécurité afin d’y mettre un terme. Malheureusement, nous constatons que la violence n’a pas cessé et qu’un autre sujet fait actuellement la une des journaux : Une employée de SEM signale des actes de violence à l’encontre de son chat ainsi que des manipulations sur les freins de sa voiture. Nous ne pouvons pas imaginer – contrairement à ce qu’évoque la couverture médiatique – que des personnes issues de mouvements sociaux de gauche commettent de tels actes. Cela ne fait tout simplement pas partie des méthodes privilégiées d’action que de mettre en danger des personnes non impliquées ou d’infliger des souffrances aux animaux – nous rappelons également les fortes influences du mouvement de défense des droits des animaux dans cette mobilisation. Nous ne disposons d’aucune information sur ces incidents et ne voulons pas spéculer à leur sujet. Mais nous constatons que le SEM utilise cette situation pour discréditer la critique des centre d’asile fédéraux.

    Ce qui nous frappe : Tous les rapports dénonçant des actes de violence ne suscitent pas le même tollé. Toutes les agressions ne sont pas reprises, punies, condamnées de la même manière. Le fait qu’un demandeur d’asile ait été violemment battu dans un Centre fédéral d’asile, qu’il ait dû être réanimé par des médecins urgentistes, par exemple, n’a guère suscité d’écho. Il est évident que toutes les personnes ne sont pas protégées de la même manière contre les blessures et la violence, il est évident que toutes les vies n’ont pas la même valeur. Ne nous laissons pas abattre. Nous appelons les professionnel.les des médias, les militant.es et la société civile à écouter les personnes qui subissent des violences dans les camps d’asile. Leurs voix ne doivent pas être réduites au silence. Les conditions inhumaines et la violence sont des problèmes structurels des camps. Nous exigeons l’hébergement des demandeurs de protection dans des logements conventionnels.

    https://asile.ch/2021/04/30/3rgg-communique-violences-dans-les-camps-federaux-dasile

    Pour télécharger le rapport de 3RGG :


    https://asile.ch/wp-content/uploads/2020/07/3RGG_Immer-ein-Grund-uns-zu-schlagen_2020-11.pdf

    #centres_fédéraux #centre_fédéral #Suisse #privatisation #ORS #rapport #asile #migrations #réfugiés #hébergement #logement #multinationale #accueil (well...)
    –—

    ajouté au fil de discussion sur ORS en Suisse :
    https://seenthis.net/messages/884092

    et à la métaliste sur ORS :
    https://seenthis.net/messages/802341

  • Incidences environnementales des centrales nucléaires de Doel : donnez votre avis ! | Bruxelles Environnement
    https://environnement.brussels/news/incidences-environnementales-des-centrales-nucleaires-de-doel-do

    En 2003, il avait été décidé d’arrêter progressivement la production d’énergie #nucléaire à des fins de production industrielle d’électricité (loi du 31 janvier 2003). Le but était de désactiver l’ensemble du parc des #centrales_nucléaires d’ici 2025 et plus particulièrement Doel 1 et 2 en 2015. Cependant, afin de garantir une sécurité d’approvisionnement à tout moment, il a été décidé (amendement du 28 juin 2015) de reporter leurs désactivations jusqu’en 2025, soit une prolongation de 10 ans.

    La Cour constitutionnelle a jugé (arrêt du 5 mars 2020) que cette décision et les travaux nécessaires au bon fonctionnement de ces centrales pendant 10 ans supplémentaires, devaient être soumis à la réalisation d’un rapport d’évaluation des incidences sur l’environnement ainsi que d’une #consultation_publique.

    La consultation est adressée à toute personne qui se trouve dans un rayon de 1000km ai-je entendu, lâchez-vous ;-)

  • #Belgique : Les conséquences de la privatisation dans le centre d’accueil de demandeur·ses d’asile de #Jalhay (Spa)

    Article du collectif Migrations Libres : « Centre d’accueil de Jalhay : quand les demandeur·ses d’asile paient le prix de la #privatisation » (https://migrationslibres.be/svasta)

    - En octobre 2020, la gestion du centre d’accueil de Jalhay (Spa) est passée de la #Croix-Rouge à la coopérative Svasta.
    - Ce changement a entraîné une importante diminution du personnel et des dysfonctionnements graves : limitation de l’#accès_aux_soins, exploitation des résident·es au profit du gestionnaire privé, logements insalubres, #menaces, #intimidations et #chantage de la part de la direction sur les résident·es.
    - Enregistrée comme coopérative à finalité sociale, #Svasta est administrée par le groupe hôtelier de luxe #Corsendonk et gère les centres sur les sites de ce dernier.
    - Le cas du centre d’accueil de Jalhay illustre les nombreuses questions que pose la tendance à la privatisation des centres d’accueil en Belgique. Nous tentons de mettre en lumière les conditions plus structurelles (réglementations minimales, financement) qui autorisent malheureusement de nombreux dysfonctionnements.

    Article consultable ici et communiqué de presse en pièce jointe
    https://migrationslibres.be/svasta

    #asile #migrations #réfugiés #centres_pour_demandeurs_d'asile #hébergement #logement

    Reçu via la mailing-list Migreurop, le 19.04.2021

    –-
    ajouté à la métaliste #tourisme / #migrations :
    https://seenthis.net/messages/770799

    ping @isskein

  • The report of the Commission on Race and Ethnic Disparities

    The Commission’s report sets out a new, positive agenda for change. It balances the needs of individuals, communities and society, maximising opportunities and ensuring fairness for all.

    The Commission has considered detailed quantitative data and qualitative evidence to understand why disparities exist, what works and what does not. It has commissioned new research and invited submissions from across the UK.

    Its work and recommendations will improve the quality of data and evidence about the types of barriers faced by people from different backgrounds. This will help to inform actions and drive effective and lasting change.

    https://www.gov.uk/government/publications/the-report-of-the-commission-on-race-and-ethnic-disparities

    #rapport #UK #Angleterre #racisme #discriminations #inégalités
    #Commission_on_Race_and_Ethnic_Disparities (#CRED)

    pour télécharger le rapport :
    https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/974507/20210331_-_CRED_Report_-_FINAL_-_Web_Accessible.pdf

    • Downing Street rewrote ‘independent’ report on race, experts claim

      Commissioners allege No 10 distorted their work on inequality, after conclusions played down institutional racism.

      Officials at Downing Street have been accused of rewriting much of its controversial report into racial and ethnic disparities, despite appointing an independent commission to conduct an honest investigation into inequality in the UK.

      The Observer has been told that significant sections of the report published on 31 March, which were criticised and debunked by health professionals, academics, business chiefs and crime experts, were not written by the 12 commissioners who were appointed last July.

      The 258-page document was not made available to be read in full or signed off by the group, which included scientist and BBC broadcaster Maggie Aderin-Pocock and Samir Shah, former chair of the Runnymede Trust, nor were they made aware of its 24 final recommendations. Instead, the finished report, it is alleged, was produced by No 10.

      Kunle Olulode, an anti-racism activist and director of the charity Voice4Change, is the first commissioner to condemn the government publicly for its lack of transparency. In a statement to the Observer, Olulode’s charity was scathing of the way evidence was cherrypicked, distorted and denied in the final document.

      “The report does not give enough to show its understanding of institutional or structural discrimination … evidence in sections, that assertive conclusions are based on, is selective,” it said. “The report gives no clear direction on what expectations of the role of public institutions and political leadership should be in tackling race and ethnic disparities. What is the role of the state in this?”

      One commissioner, who spoke out on condition of anonymity, accused the government of “bending” the work of its commission to fit “a more palatable” political narrative and denying the working group the autonomy it was promised.

      “We did not read Tony’s [Sewell] foreword,” they claimed. “We did not deny institutional racism or play that down as the final document did. The idea that this report was all our own work is full of holes. You can see that in the inconsistency of the ideas and data it presents and the conclusions it makes. That end product is the work of very different views.”

      The commissioner revealed that they had been privy only to the section of the report they were assigned, and that it had soon become apparent the exercise was not being taken sufficiently seriously by No 10.

      “Something of this magnitude takes proper time – we were only given five months to do this work, on a voluntary basis,” they said. In contrast to the landmark 1999 #Macpherson_report (https://www.theguardian.com/uk-news/2019/feb/22/macpherson-report-what-was-it-and-what-impact-did-it-have), an inquiry into the death of #Stephen_Lawrence, or the 2017 #Lammy_Review, both of which took 18 months to conclude, the report by the Commission on Race and Ethnic Disparities (Cred) was not peer reviewed and was published just seven months after the group first met on a videocall.

      The group, led by Sewell, was set up by #Samuel_Kasumu, No 10’s most senior black special adviser, who resigned from his post on the day the report was published, aghast at its final findings. Accusations that #Munira_Mirza, director of No 10’s policy unit, was heavily involved in steering the direction of the supposedly independent report were not directly addressed by a No 10 spokesperson, who said: “I would reiterate the report is independent and that the government is committed to tackling inequality.”

      A source involved in the commission told the Observer that “basic fundamentals in putting a document like this together were ignored. When you’re producing something so historic, you have to avoid unnecessary controversy, you don’t court it like this report did. And the comms was just shocking.”

      While the prime minister sought to distance himself from the criticism a day after its publication, unusually it was his office rather than the Cred secretariat which initially released the report to the press.

      A spokesperson for the race commission said: “We reject these allegations. They are deliberately seeking to divert attention from the recommendations made in the report.

      “The commission’s view is that, if implemented, these 24 recommendations can change for the better the lives of millions across the UK, whatever their ethnic or social background. That is the goal they continue to remain focused on.”

      https://www.theguardian.com/uk-news/2021/apr/11/downing-street-rewrote-independent-report-on-race-experts-claim

      #récriture #modification #indépendance #contreverse

    • voir aussi les critiques dans la page wiki dédiée au rapport :
      Reactions

      Political:

      Sir Keir Starmer, leader of the Labour Party, said that he was “disappointed” by the Commission’s report.[10][11]

      Isabelle Parasram, vice president of the Liberal Democrats, issued a statement that the Commission had “missed the opportunity to make a clear, bold statement on the state of race equality in this country”. Parasram said that the “evidence and impact of racism in the UK is overwhelming” and that “whilst some of recommendations made in the report are helpful, they fall far short of what could have been achieved”.[12]

      The Green Party of England and Wales issued a statement condemning the summary of the report as “a deliberate attempt to whitewash institutional racism” and that “Institutional racism in the UK does exist”.[13]

      Other:

      David Goodhart welcomed the report as “a game-changer for how Britain talks about race”.[14]

      Rose Hudson-Wilkin, the Bishop of Dover, described the report as “deeply disturbing”; she said the “lived experience” of the people “tells a different story to that being shared by this report”.[15]

      The historian David Olusoga accused the report’s authors of appearing to prefer “history to be swept under the carpet”.[16]

      A Guardian editorial quoted Boris Johnson’s intent to “change the narrative so we stop the sense of victimisation and discrimination”[17] when setting up the commission, and as evidence of the reality of racial inequality listed five recent government reports on different aspects:[18]

      - the criminal justice system (the David Lammy review of 2017[19][20]);
      - schools, courts, and the workplace (the Theresa May race audit of 2017[21]);
      - pay (the Ruby McGregor-Smith review of 2017[22][23]);
      - deaths in police custody (the Elish Angiolini report of 2017[24]);
      - the Windrush scandal (the Wendy Williams review of 2020[25][26]).

      https://en.wikipedia.org/wiki/Commission_on_Race_and_Ethnic_Disparities

  • La Face cachée des #énergies_vertes

    Voitures électriques, éoliennes, panneaux solaires… La transition énergétique laisse entrevoir la promesse d’un monde plus prospère et pacifique, enfin libéré du pétrole, de la pollution et des pénuries. Mais cette thèse officielle s’avère être un mythe : en nous libérant des combustibles fossiles, nous nous préparons à une nouvelle dépendance à l’égard des métaux rares. De graves problèmes écologiques et économiques pour l’approvisionnement de ces ressources stratégiques ont déjà commencé. Et si le « monde vert » qui nous attend se révélait être un nouveau cauchemar ?

    http://www.film-documentaire.fr/4DACTION/w_fiche_film/61421_1

    #film #film_documentaire #documentaire

    #COP21 #COP_21 #transition_énergétique #technologie #technologies_vertes #voiture_électrique #énergies_propres #extractivisme #mines #green-washing #greenwashing #délocalisation_de_la_pollution #pétrole #métaux_rares #néodyme #cobalt #graphite #lithium #photovoltaïque #énergie_solaire #énergie_éolienne #éolienne #solaire #dépendance #RDC #République_démocratique_du_Congo #Australie #Chili #Bolivie #Indonésie #Chine #industrie_minière #Mongolie #Terres_rares #eaux_usées #radioactivité #réfugiés_des_technologies_vertes #eau #IDPs #déplacés_internes #cuivre #santé #Chuquicamata #cancer #Aliro_Boladas #centrales_à_charbon #modèle_économique_extractiviste #énergies_renouvelables #engie #Norvège #charbon #hypocrisie #green_tech #zéro_émissions #changement_climatique #Jean-Louis_Borloo #ADEME #Renault #bornes_électriques #Rapport_Syrota #Jean_Sirota #BYD #EDF #Photowatt #Péchiney_métallurgie #magnésium #nationalisme_des_ressources #Bolivie #recyclage #déchets #décharges_sauvages #Neocomp #fausse_transition #sobriété #progrès_technologique #décroissance #énergies_renouvelables

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    déjà signalé par @odilon sur seenthis :
    https://seenthis.net/messages/888273

    • « La face positive des énergies vertes »

      Le documentaire « La face cachée des énergies vertes » est passé fin novembre sur Arte. Truffé d’erreurs et d’arguments partisans, allant jusqu’à comparer le problème des pales d’éoliennes, soit disant non recyclables, à celui posé par les déchets nucléaires !

      Autre exemple : ce documentaire assène que les énergies vertes et que les batteries nécessitent obligatoirement l’utilisation de terres rares. Ce n’est pourtant pas du tout l’avis de l’Ademe. D’autre part, le photovoltaïque n’utilise jamais de terres rares. Et pour l’éolien et les voitures électriques, leur utilisation dans les moteurs à aimants permanents permet de gagner en performances, mais cet usage n’est ni systématique, ni indispensable.

      Cet article présente :

      – La quinzaine d’erreurs grossières parmi les très nombreuses qui émaillent ce documentaire.
      – Le cercle vertueux du photovoltaïque et de l’éolien : plus on en installe, plus on réduit les émissions de gaz carbonique.
      – Que nos voitures contiennent davantage de terres rares que les voitures électriques sans moteurs à aimants permanents.
      – Pour qui roule le journaliste Guillaume Pitron, à l’origine de ce documentaire.

      En se fondant sur les avis qui se colportent, principalement sur la production des terres rares utilisées dans les énergies vertes, Guillaume Pitron, qui a enquêté dans une douzaine de pays, nous fait visiter quelques sites d’exploitation qui portent atteinte à l’environnement et à la santé des travailleurs.

      Hélas ce documentaire est gâché autant par sa partialité, que par de très nombreuses erreurs grossières.

      https://www.passerelleco.info/article.php?id_article=2390
      https://seenthis.net/messages/894307

    • Geologic and anthropogenic sources of contamination in settled dust of a historic mining port city in northern Chile: health risk implications

      Chile is the leading producer of copper worldwide and its richest mineral deposits are found in the Antofagasta Region of northern Chile. Mining activities have significantly increased income and employment in the region; however, there has been little assessment of the resulting environmental impacts to residents. The port of Antofagasta, located 1,430 km north of Santiago, the capital of Chile, functioned as mineral stockpile until 1998 and has served as a copper concentrate stockpile since 2014. Samples were collected in 2014 and 2016 that show elevated concentrations of As, Cu, Pb, and Zn in street dust and in residents’ blood (Pb) and urine (As) samples. To interpret and analyze the spatial variability and likely sources of contamination, existent data of basement rocks and soil geochemistry in the city as well as public-domain airborne dust were studied. Additionally, a bioaccessibility assay of airborne dust was conducted and the chemical daily intake and hazard index were calculated to provide a preliminary health risk assessment in the vicinity of the port. The main conclusions indicate that the concentrations of Ba, Co, Cr, Mn, Ni, and V recorded from Antofagasta dust likely originate from intrusive, volcanic, metamorphic rocks, dikes, or soil within the city. However, the elevated concentrations of As, Cd, Cu, Mo, Pb, and Zn do not originate from these geologic outcrops, and are thus considered anthropogenic contaminants. The average concentrations of As, Cu, and Zn are possibly the highest in recorded street dust worldwide at 239, 10,821, and 11,869 mg kg−1, respectively. Furthermore, the contaminants As, Pb, and Cu exhibit the highest bioaccessibilities and preliminary health risk indices show that As and Cu contribute to elevated health risks in exposed children and adults chronically exposed to dust in Antofagasta, whereas Pb is considered harmful at any concentration. Therefore, an increased environmental awareness and greater protective measures are necessary in Antofagasta and possibly other similar mining port cities in developing countries.

      https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC5922233

      #santé #mines

    • L’association #Vernunftkraft

      Aufgeklärte und deshalb zu Recht besorgte Bürger dieses Landes (https://www.vernunftkraft.de/bundesinitiative) erkennen hinsichtlich der Rationalität energiepolitischer Entscheidungen nicht hinnehmbare Defizite.

      Die Zerstörung von Wäldern zwecks Ansiedlung von volkswirtschaftlich sinnlosen Windindustrieanlagen ist dabei die Spitze des Eisbergs.

      Zentrale Elemente der gegenwärtigen Energiepolitik sind extrem unvernünftig.

      Daher möchten wir der Vernunft Kraft geben.
      https://www.vernunftkraft.de

    • La guerre des métaux rares. La face cachée de la transition énergétique et numérique

      En nous émancipant des énergies fossiles, nous sombrons en réalité dans une nouvelle dépendance : celle aux métaux rares. Graphite, cobalt, indium, platinoïdes, tungstène, terres rares… ces ressources sont devenues indispensables à notre nouvelle société écologique (voitures électriques, éoliennes, panneaux solaires) et numérique (elles se nichent dans nos smartphones, nos ordinateurs, tablettes et autre objets connectés de notre quotidien). Or les coûts environnementaux, économiques et géopolitiques de cette dépendance pourraient se révéler encore plus dramatiques que ceux qui nous lient au pétrole.

      Dès lors, c’est une contre-histoire de la transition énergétique que ce livre raconte – le récit clandestin d’une odyssée technologique qui a tant promis, et les coulisses d’une quête généreuse, ambitieuse, qui a jusqu’à maintenant charrié des périls aussi colossaux que ceux qu’elle s’était donné pour mission de résoudre.

      http://www.editionslesliensquiliberent.fr/livre-La_guerre_des_m%C3%A9taux_rares-9791020905741-1-1-

      #livre #Guillaume_Pitron

    • Rapport ADEME 2012 :

      Énergie et patrimoine communal : enquête 2012

      L’enquête « Énergie et patrimoine communal » est menée tous les cinq ans depuis 1990. Elle porte sur les consommations d’énergie et les dépenses payées directement par les communes sur trois cibles principales : le patrimoine bâti, l’éclairage public et les carburants des véhicules.

      https://www.ademe.fr/energie-patrimoine-communal-enquete-2012

      –—

      Rapport ADEME 2015 :


      Scénarios 2030-2050 : une vision énergétique volontariste

      Quel mix énergétique pour les années 2030-2050 ? L’ADEME actualise son scénario Énergie Climat et propose des mesures pour contribuer à la déclinaison du plan CLIMAT.

      Les objectifs ambitieux du Plan Climat lancé par Nicolas Hulot, ministre de la Transition écologique et solidaire, confirment la stratégie volontariste de la France pour la transition énergétique. Dans le contexte actuel de mise à jour de la Stratégie nationale bas carbone (SNBC) et de la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), l’actualisation du scénario énergie-climat de l’ADEME vient contribuer aux réflexions pour mettre en oeuvre ces objectifs.

      Cette contribution est double : d’une part, l’actualisation des « Visions énergétiques » de l’ADEME, qui souligne l’enjeu que représente l’atteinte des objectifs ambitieux inscrits dans la loi, et d’autre part, l’étude « Propositions de mesures de politiques publiques pour un scénario bas carbone », qui propose une liste de mesures concrètes à mettre en oeuvre.

      https://www.ademe.fr/recherche-innovation/construire-visions-prospectives/scenarios-2030-2050-vision-energetique-volontariste

    • En #Géorgie, la révolte de la “capitale du #manganèse” contre une exploitation hors de contrôle

      Le développement de technologies comme les voitures électriques a fait grimper la demande de manganèse. À #Tchiatoura, où cette ressource est abondante, on en paie les conséquences : excavations à tout-va, paysage saccagé, maisons qui s’effondrent, et main-d’œuvre mal payée.

      La grogne sociale monte depuis 2019 dans le district de Tchiatoura, ancienne “capitale” soviétique de la production de manganèse. Depuis trois mois, 3 500 mineurs sont en #grève pour réclamer la hausse de leurs salaires (qui ne dépassent pas 250 euros) et une meilleure assurance maladie. À la mi-mai, quelques mineurs du village de #Choukrouti, près de Tchiatoura, se sont cousus la bouche et ont entamé une #grève_de_la_faim, rapporte le site géorgien Ambebi.

      Face au silence des autorités locales et nationales, depuis le 31 mai, dix familles font un sit-in devant l’ambassade des États-Unis (la puissance occidentale la plus influente en Géorgie), à Tbilissi, la capitale. “Les gens réclament des compensations pour leur maison et demandent l’aide des diplomates étrangers”, pour rappeler à l’ordre la compagnie privée #Georgian_Manganese, filiale géorgienne de la société britannique #Stemcor, explique le site Ekho Kavkaza.

      Les habitants protestent contre les dégâts écologiques, économiques et culturels causés par une extraction intensive à ciel ouvert du manganèse. Utilisé dans la fabrication de l’acier, la demande pour ce métal est en forte croissance, notamment pour les besoins de l’industrie des véhicules électriques, des piles, des batteries et circuits électroniques.

      #paywall

      https://www.courrierinternational.com/article/degats-en-georgie-la-revolte-de-la-capitale-du-manganese-cont

    • En #Géorgie, la révolte de la “capitale du #manganèse” contre une exploitation hors de contrôle

      Le développement de technologies comme les voitures électriques a fait grimper la demande de manganèse. À #Tchiatoura, où cette ressource est abondante, on en paie les conséquences : excavations à tout-va, paysage saccagé, maisons qui s’effondrent, et main-d’œuvre mal payée.

      La grogne sociale monte depuis 2019 dans le district de Tchiatoura, ancienne “capitale” soviétique de la production de manganèse. Depuis trois mois, 3 500 mineurs sont en #grève pour réclamer la hausse de leurs salaires (qui ne dépassent pas 250 euros) et une meilleure assurance maladie. À la mi-mai, quelques mineurs du village de #Choukrouti, près de Tchiatoura, se sont cousus la bouche et ont entamé une #grève_de_la_faim, rapporte le site géorgien Ambebi.

      Face au silence des autorités locales et nationales, depuis le 31 mai, dix familles font un sit-in devant l’ambassade des États-Unis (la puissance occidentale la plus influente en Géorgie), à Tbilissi, la capitale. “Les gens réclament des compensations pour leur maison et demandent l’aide des diplomates étrangers”, pour rappeler à l’ordre la compagnie privée #Georgian_Manganese, filiale géorgienne de la société britannique #Stemcor, explique le site Ekho Kavkaza.

      Les habitants protestent contre les dégâts écologiques, économiques et culturels causés par une extraction intensive à ciel ouvert du manganèse. Utilisé dans la fabrication de l’acier, la demande pour ce métal est en forte croissance, notamment pour les besoins de l’industrie des véhicules électriques, des piles, des batteries et circuits électroniques.

      #paywall

      https://www.courrierinternational.com/article/degats-en-georgie-la-revolte-de-la-capitale-du-manganese-cont

    • propre lien:

      https://taz.de/Neues-Buch-von-Sahra-Wagenknecht/!5764480

      Die US-Theoretikerin Nancy #Fraser hat in dem Bündnis von Neoliberalismus und Linksliberalen eine Voraussetzung für den Aufstieg des Rechtspopulismus identifiziert. Ein „dröhnender Dauerdiskurs über Vielfalt“, so Fraser, habe die Forderungen nach sozialer Gleichheit verdrängt. Die Linke müsse sich wieder sozialer Gerechtigkeit zuwenden, aber ohne Minderheitenrechte zu vergessen.

      Auch Sahra Wagenknecht treibt die Frage um, warum die gesellschaftliche Linke partout nicht mehrheitsfähig wird. Sie knüpft in ihrer Streitschrift „Die Selbstgerechten“ an Frasers Kritik an und radikalisiert sie bis zur Unkenntlichkeit. Denn bei ihr sind der giftige Neoliberalismus und der nur scheinbar menschenfreundliche Linksliberalismus fast das Gleiche.

      „Die linksliberale Erzählung ist nichts als eine aufgehübschte Neuverpackung der Botschaften des Neoliberalismus. So wurde aus Egoismus Selbstverwirklichung, aus Flexibilisierung Chancenvielfalt, aus Verantwortungslosigkeit gegenüber den Menschen im eigenen Land Weltbürgertum.“

      [...]

      –------------
      cf. aussi:

      Interview:
      Sahra Wagenknecht: «In einer Demokratie muss man zur Grundlage nehmen, was die Menschen wollen, und nicht, was einige hippe Weltbürger schön finden»

      https://www.nzz.ch/international/deutschland/sahra-wagenknecht-identitaetspolitik-will-ungleichheit-ld.1611631

      [...]

      Die linken Parteien verlieren mehr und mehr aus den Augen, für wen sie eigentlich da sein müssen. Wir sind keine Interessenvertretung gutsituierter Grossstadt-Akademiker, sondern müssen uns vor allem für die einsetzen, die sonst keine Stimme haben: die in schlecht bezahlten Service-Jobs arbeiten, oder auch für die klassische Mittelschicht, etwa Handwerker und Facharbeiter, die oft keinen akademischen Abschluss haben. Debatten über Denk- und Sprachverbote gehen an den Bedürfnissen der Menschen vorbei.

      [...]

      #Wagenknecht #Allemagne #dieLinke #gauche_modérée #centre-gauche #cancel_culture #néolibéralisme

    • Ein Gespräch mit Sahra Wagenknecht über Identitäten, Wir-Gefühle, soziale Benachteiligung, den Begriff „Heimat“ sowie Umweltpolitik und Fridays for Future (Teil 1)

      https://www.heise.de/tp/features/Sahra-Wagenknecht-Was-wir-einfordern-muessen-ist-echte-Gleichbehandlung-602819

      [...]

      Die Lifestyle-Linken par exellence sind natürlich die Grünen. Sie werden hauptsächlich von dem Milieu gewählt, in dem diese Botschaften ankommen: Eher gutsituierte, akademisch gebildete Großstädter, die in Vierteln wohnen, in denen schon die Mieten garantieren, dass man mit Ärmeren oder Zuwanderern, soweit es sich nicht um Hochqualifizierte handelt, persönlich kaum in Kontakt kommt - und also auch nicht mit den mit Armut und Zuwanderung verbundenen Problemen. Die Wähler der Grünen verdienen im Schnitt mittlerweile mehr als die der FDP. Das reale Leben bewegt sich für viele in einer Art Filterblase.

      Die Grünen sind erfolgreich, weil sie die Lebenswelt, die Interessen und die kosmopolitischen und individualistischen Werte dieses Milieus repräsentieren. Die Frage ist nur: Sollten Parteien, die sich als links verstehen, mit den Grünen vor allem um diese Wählerschaft konkurrieren? Oder sollten sie nicht eher versuchen, wieder die Stimme derjenigen zu sein, die es schwer haben, denen Bildungschancen vorenthalten werden, die um jedes bisschen Wohlstand kämpfen müssen und sich heute großenteils von niemandem mehr vertreten fühlen? Für diese Menschen da zu sein, war jedenfalls mal der Anspruch der Linken.

      [...]

      Identität ist eine wichtige Sache - jeder Mensch hat Identitäten; und zwar meistens nicht nur eine. Ich etwa verstehe mich als Saarländerin, weil ich hier lebe, aber natürlich auch als Bürgerin dieses Landes und als Europäerin. Die entscheidende Frage ist, ob man die gemeinsamen Identitäten in den Vordergrund stellt, oder die, die spalten und den Unterschied von der Mehrheitsgesellschaft betonen - ob man also die Abstammung und die sexuelle Orientierung hervorhebt oder das, was Belegschaften und auch die große Mehrheit der Bevölkerung eint: Die meisten Menschen müssen von ihrer Arbeit leben, profitieren von einem starken Sozialstaat, sind nicht reich. Aber sie haben deutsche oder nicht-deutsche Eltern, sind homo- oder heterosexuell.

      [...]

      #Verts #Gauche_du_lifestyle #identité

    • Stéfanie #Roza, https://seenthis.net/messages/912250 ,
      et Judith Basad font valoir des arguments très similaires:

      Identitätspolitik: „Schlechtes Gewissen einer Wohlstandselite“ 26. April 2021, Florian Rötzer

      Judith Basad über Ihr Buch „Schäm dich!“, die Kritik an der Identitäts-, Gender- und Antirassismus-Politik und die Weltsicht von Sprachaktivisten

      https://www.heise.de/tp/features/Identitaetspolitik-Schlechtes-Gewissen-einer-Wohlstandselite-6022674.html

      [...]

      Eine solche Form (....) hat mit Foucault oder Derrida nichts mehr zu tun, da diese Philosophen keine politischen Prämissen aus ihren Theorien abgeleitet haben. Auch die Poststrukturalisten, die die Grundlage für das Gendern und den ganzen Sprachaktivismus bilden, haben nie gefordert, dass die Sprache etwa in staatlichen Institutionen verändert werden muss, um eine gerechtere Gesellschaft zu erreichen. Letztendlich wird dieses postmoderne Cherry-Picking betrieben, um eine Ideologie durchzusetzen, die nur noch in Hautfarben, Binaritäten und Feindbildern denkt. Das ist meiner Meinung nach sehr gefährlich.

      Sie sagen auch, es seien Menschen aus einer bestimmten Schicht, die diese Theorien verfolgen und diese Ideologie durchsetzen wollen. Wie würden Sie diese Schicht beschreiben?

      Für die Rechten sind es vor allem die „linksversifften Grünen“, sie meinen damit relativ wohlhabende Menschen, die keine großen Probleme haben. Was treibt diese Menschen an?

      Judith Basad: Dahinter steckt ein religiöses Bedürfnis, das meiner Meinung nach mit einer Wohlstandsverwahrlosung einhergeht. Denn bei denjenigen, die in dieser Bewegung am lautesten sind – die etwa im Netz andere als Rassisten beschimpfen und Veranstaltungen sprengen – handelt es sich um eine Bildungselite, die gerne damit angibt, dass sie Foucault und Judith Butler verstanden haben.

      Diese Art von Aktivismus ist deswegen so erfolgreich, weil sich alles ums Weißsein dreht. Motto: Wie können „wir Weißen“ bessere Menschen werden? Für mich ist ziemlich offensichtlich, dass dahinter ein schlechtes Gewissen einer Wohlstandselite steckt, die behütet aufgewachsen ist und nun für diesen Wohlstand Reue empfindet.

      Wenn weiße Studenten sich demonstrativ im Fernsehen, in Artikeln oder auf Social Media für ihre Hautfarbe schämen, dann ist das nichts anderes als die Sehnsucht nach Unterwerfung, Buße und Läuterung – damit man der Welt zeigen kann, dass man jetzt zu den moralisch Guten gehört.

      [...]

    • Dialektik: Von Gleichheit, Perspektive und Aktion
      25. April 2021 Gerhard Mersmann

      https://neue-debatte.com/2021/04/25/dialektik-von-gleichheit-perspektive-und-aktion

      [...]

      Die Auswüchse, die das Treiben der Identitären, der Inquisitoren, der Sektierer zeitigen, sind grotesk und sie dokumentieren, in welcher Sackgasse sich Gemeinwesen wie Politik befinden. Gesellschaftlicher Fortschritt, wie er auch immer beschrieben werden mag, ist einer Paralyse gewichen, die an Selbstzerstörung nicht mehr zu überbieten ist.

      Es liegt auf der Hand, dass es einen Weg zurück nicht mehr geben kann, und es ist offensichtlich, dass es so nicht mehr weitergehen kann. Wer das vorschlägt und die inquisitorische Befindlichkeitsprogrammatik weiter vorantreiben will, bietet keine Option für alles, was ein Gemeinwesen ausmacht.

      Die Sprachvergewaltigung, die Verhunzung von Texten, die Kreation absurder Begriffe, alles wird weiter getrieben, ohne dass sich dadurch eine Perspektive erkennen ließe, die einen gesellschaftlichen Nutzen hätte.

      Gleichheit, Perspektive und Aktion

      Das Kernstück einer Gesellschaft, die in die Zukunft weist, muss das Prinzip der Gleichheit sein. Wird das aufgegeben, dann bleibt nach dem Aufräumen der umherliegenden Fleischfetzen der individuellen Befindlichkeit das Recht des Stärkeren, welches von der Spaltung begünstigt wird und Tür und Tor zur brutalen Herrschaft öffnet. Welches, bitte schön, von den vielen Opfern, wird sich dann noch dem widersetzen können?

      An ihren Taten sollt ihr sie messen, heißt es in einem der ältesten abendländischen Sätze. Doch welche Taten werden diejenigen vorweisen können, die ihre Identität als Anfang- und Endpunkt setzen?

      Die einzigen Taten, die in ihrem Journal stehen, weisen nicht in eine Richtung der Befreiung, sondern in die der Ranküne, der Vergeltung und der Zerstörung.

      Wer standhalten will, schrieb Theodor W. Adorno (1), einer der immer wieder Stigmatisierten, darf nicht verharren in leerem Entsetzen. Damit dokumentierte er sein Gespür für die Notwendigkeit der Gegenwehr, der aktiven Veränderung, der Gestaltung. Wer standhalten will, der muss sich seiner selbst bewusst sein, gewiss, der muss sich Verbündete suchen, und das geschieht auf dem Feld der Gemeinsamkeit.

      [...]

      #langue #égalité

  • Journal de bord d’un centre de vaccination semaine 2 - Doc Galava Balit | Une vue imprenable sur la diversité humaine
    https://docgalavabalit.wordpress.com

    Il y a un de mes patients de 90 ans qui est assis dans la salle d’attente post-vaccinale. Mon collègue s’étonne qu’il ait été capable de prendre rendez-vous par #doctolib. Il me soupçonne d’avoir pris rendez-vous moi-même pour lui, comme si c’était une faute, un passe-droit. Tous égaux devant doctolib. C’est ça la règle : que les plus malins se fassent vacciner et que les autres : pauvres , vieux, ou peu débrouillards soient contaminés, le darwinisme version start-up nation. Mais heureusement il existe un centre d’appel en complément, mais injoignable. 7000 appels le premier jour. Malgré la bonne volonté et la compétence des permanents du #centre_d’appel c’est ingérable.

    Franchement je suis déstabilisée par cette accusation de passe-droit : 30 pour 100 de mes patients sont en précarité informatique, je sais qu’ils ne pourront pas prendre rendez-vous par ce biais. Est-ce donc une faute de les aider ?

    En présence de mon collègue, je demande donc au patient si c’est moi qui lui ai pris rendez-vous. Il rit et me dit « Pas du tout Je me suis assis près de mon téléphone et j’ai téléphoné 68 fois » Un débrouillard tenace donc, qui n’a pas eu besoin de moi. Ceux pour qui j’ai pris rendez-vous ont-ils volé leur place ?

    Par une amie d’amie, je suis contactée par une femme de 50 ans qui a une chimiothérapie, mais qui travaille entre deux, et qui n’a pas réussi à avoir un rendez-vous par doctolib . Elle ne peux évidemment pas téléphoner 68 fois par jours jusqu’à avoir son rendez-vous. Je lui propose de la rappeler moi-même s’ il y a une dose restante le soir, la fameuse 7° dose que pour l’instant nous n’avons pas le droit de faire, et elle est ok. Elle sera d’ailleurs vaccinée dès le lundi suivant.

    Mais cette histoire me laisse perplexe. Comment font ceux qui ne n’ont pas d’intermédiaire pour me joindre ?

    Nous prenons donc l’initiative avec la CPTS (communauté professionnelle territoriale en santé) d’envoyer un mail à tous les acteurs du territoire en santé pharmaciens infirmiers médecins généralistes pour me remonter les situations d’urgence, notamment les greffés et les dialysés les trisomiques et les personnes en cours de chimiothérapie et c’est le centre de vaccination qui les rappelle. Autant les pharmaciens les médecins généralistes et les infirmiers vont nous signaler plusieurs dizaines de personnes jeunes, autant il va être très difficile d’obtenir par les médecins hospitaliers la liste de leurs patients ultra prioritaires. Les #médecins_hospitaliers se contentent de faire une ordonnance, en laissant les patients essayer d’avoir un rendez-vous par eux-mêmes, ce qui les laisse dans un grand désarroi.

    Vendredi de la deuxième semaine, nous sommes à la fois fiers de la réussite de ce montage express et fatigué et tendus par ce travail, et la concentration qu’il faut à chacun pour prendre ses marques. Nous sommes donc très heureux d’apprendre que l’#ARS va venir visiter le centre à 11 heures . Las, il y a du verglas ce matin là . Consigne est donnée aux personnes de l’ARS : télétravail obligatoire. Au dernier moment la visite est annulée. Ce matin-là des personnes très âgées sont venues se faire vacciner des vaccinateurs ont fait 70 KM pour venir nous aider, les différents référents sont venus tout exprès pour accueillir l’ARS, mais l’ARS, alors que le verglas a disparu rapidement pendant la matinée, n’est pas venue. Le décalage est total, sidérant.

    Les matelots rament, le capitaine reste dans sa cabine pendant la tempête, alors qu’il devrait être sur le pont

    Galava Balit est aussi sur touiteur.
    #vaccination #covid-19

  • #Marseille, la fin d’un système #politique ?
    https://metropolitiques.eu/Marseille-la-fin-d-un-systeme-politique.html

    Un an après les #élections_municipales, le dernier ouvrage de Michel Peraldi et Michel Samson montre comment les effondrements meurtriers d’immeubles de la rue d’Aubagne à Marseille ont précipité la chute d’un système de gouvernement et ouvert un espace de #mobilisation inédit. Quinze ans après Gouverner Marseille (2006), le dernier ouvrage de Michel Peraldi et Michel Samson étudie les transformations contemporaines du gouvernement de la cité phocéenne, dans le contexte de la séquence ouverte par les #Commentaires

    / élections municipales, Marseille, mobilisation, #métropole, politique, #municipalités, #centre-ville, (...)

    #gentrification
    https://metropolitiques.eu/IMG/pdf/met_dossiermarseille_geisser.pdf

  • Quelle gouvernance des #eaux pour quelle construction étatique dans les territoires palestiniens ? : l’étude des constellations hydropolitiques des eaux douces et usées entre #adaptation, #fragmentation et #colonialité

    Cette thèse propose d’étudier la coproduction de la #gestion_de_l'eau et de l’#agriculture et des processus de formations étatiques en #Cisjordanie. Elle associe l’étude des discours, des constellations d’acteurs et des processus de #territorialisation qui façonnent et résultent de la gouvernance de la #terre et de l’eau. Elle se fonde sur des travaux de terrains en Cisjordanie et des concepts de la #critical_political_ecology. L’objectif de notre recherche est de comprendre les transformations socio-politiques des territoires investis par les discours sur l’efficience pour caractériser la fragmentation du pouvoir politique en Cisjordanie. Les alliances politico-économiques dans certains territoires jouent un rôle important dans la fabrication par le haut d’une structure étatique palestinienne, ignorant et fragilisant l’organisation sociale et politique traditionnelle. Dans le même temps, les territoires délaissés par l’#Autorité_palestinienne, les bailleurs et les investissements privés s’organisent autour de nouvelles formes de tenure de l’eau et de la terre. Cette thèse contribue ainsi à éclairer les effets des politiques et projets d’amélioration de l’efficience de l’#irrigation et leurs implications dans la formation d’une structure étatique en Cisjordanie.

    http://www.theses.fr/2020MON30008

    #Palestine #eau #eau_douce #eaux_usées #écologie_politique #thèse #doctorat #Jeanne_Perrier
    –—

    Pour info, l’autrice de cette thèse n’a pas obtenu la qualif :
    https://twitter.com/Thesard_es/status/1370789575094849544

    ping @nepthys @reka

    • Les lois palestiniennes de l’eau : entre #centralisation, #décentralisation et mise en #invisibilité

      Cet article explore les processus de #réformes des lois palestiniennes de l’eau, en particulier la dernière loi de l’eau promulguée en 2014. Ces réformes législatives s’inscrivent dans un contexte international de modernisation des lois de l’eau, et dans un contexte national palestinien d’une réforme de la gestion de l’eau entamée en 2008. Celles-ci reprennent les idées clés formulées dans les Principes de Dublin en 1992. L’État et le concept d’efficience se retrouvent au cœur des dispositions des lois modernes de l’eau, et s’accommodent parfaitement du contexte conflictuel entre Israël et l’Autorité palestinienne.
      L’objectif de cet article est de déconstruire le processus de réformes de la gestion de l’eau palestinienne pour comprendre les véritables enjeux de pouvoir. Pour y parvenir, nous analyserons le contexte politique et discursif de production de la loi de l’eau palestinienne de 2014. Celle-ci a pour objectif de mettre en place une gestion plus démocratique des ressources en eau, notamment à travers un processus de décentralisation de l’Autorité palestinienne de l’eau vers de nouveaux acteurs, tels que les fournisseurs régionaux ou encore les associations d’usagers de l’eau. Cependant sa mise en œuvre s’avère un échec. Cet article montre comment elle a ignoré les constellations hydropolitiques locales et les enjeux de pouvoir entre les différents acteurs de cette gestion de l’eau.
      Le pouvoir de l’Autorité palestinienne de l’eau reste limité. Il se heurte à la réalité du pluralisme juridique, en pratique dans la gestion de l’eau palestinienne. L’occupation israélienne accentue ces difficultés. Cependant, les outils législatifs, tels que la loi de l’eau de 2014 et les récentes réglementations, permettent d’avancer petit à petit les pions d’une centralisation de la gestion des ressources en eau. Ainsi, les discours de décentralisation promus par les bailleurs de fonds et repris par l’Autorité palestinienne de l’eau pour justifier les réformes sur l’eau cachent une dynamique d’intégration verticale de la gestion des ressources en eau. Le règlement sur les associations d’usagers de l’eau en est exemple frappant. L’analyse des documents législatifs couplés aux stratégies palestiniennes et aux dynamiques internes nous permet de révéler ces dynamiques de centralisation qui menacent les pratiques locales de la gestion de l’eau.

      https://www.afd.fr/fr/ressources/les-lois-palestiniennes-de-leau-entre-centralisation-decentralisation-et-mise-en

    • Water driven Palestinian agricultural frontiers: the global ramifications of transforming local irrigation

      Water-driven Palestinian agricultural frontiers:the global ramifications of transforming local irrigation Julie Trottier1Jeanne PerrierCNRS, FranceUniversité Paul Valéry, FranceAbstractIn agricultural transformations, small scale farmer driven processes interact with globally driven processes. Donor-led or foreign investor-led irrigation development systematically interacts with local, farmer-led irrigation development. This article harnesses Kopytoff’s concept of ’interstitial frontier’to study such interactions. It discusses the shape an agricultural frontier may have and its interactions with local forms of water and land tenure. It discusses the manner in which changing access to water may spur the development of agricultural pioneer fronts. It distinguishes surface water driven, groundwater driven and wastewater driven agricultural frontiers. It then explores the manner such frontiers are transforming water tenure in the West Bank. This is an important aspect of the globalization of Palestinian society. The method this article develops is applicable elsewhere. Within interstitial frontiers, investors, whether local farmers or outsiders, enroll a globally maintained scientific discourse of efficient water use to secure donor funding. Meanwhile, they try developing clientelist ties with the authorities to secure their new access to water. The impacts on neighbouring, peasant-run irrigated systems, food security, housing security and many other mechanisms that sustain a society, are important and too often neglected

      https://halshs.archives-ouvertes.fr/hal-02103773v1

  • HCR - En RDC, le HCR relocalise des milliers de réfugiés centrafricains vers des lieux plus sûrs
    https://www.unhcr.org/fr/news/briefing/2021/3/603e263ca/rdc-hcr-relocalise-milliers-refugies-centrafricains-vers-lieux-rs.html

    Le HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés, relocalise des milliers de réfugiés centrafricains vers des lieux plus sûrs et éloignés des régions frontalières reculées et instables en République démocratique du Congo (RDC). Le HCR et la Commission nationale congolaise pour les réfugiés ont signé des accords et construisent un site d’une capacité d’accueil de 10 000 réfugiés à Modale, un village situé près de Yakoma dans la province du Nord-Ubangi. Un second site est actuellement envisagé près de Ndu dans la province du Bas-Uele, en attente de l’approbation du gouvernement. Des travaux sont en cours pour identifier deux sites supplémentaires où un plus grand nombre de réfugiés pourront être transférés. Le HCR et la CNR vont préparer quatre sites de relocalisation pour environ 35 000 réfugiés qui vivront aux côtés des communautés locales et cultiveront leurs propres récoltes, fréquenteront les écoles locales et bénéficieront d’autres services essentiels destinés à leurs hôtes congolais. L’installation des réfugiés dans les communautés locales leur permettra de vivre avec davantage de dignité et une indépendance accrue.
    Dans le site de Modale, le HCR établit de nouvelles installations pour la distribution d’eau et l’assainissement et prévoit d’accroître les infrastructures de santé et d’éducation. Les localités sélectionnées disposent déjà de services administratifs et judiciaires, de neuf écoles primaires, d’une école secondaire et d’un dispensaire. Le HCR renforce les services et les infrastructures existants qui seraient confrontés à des difficultés face à une hausse soudaine du nombre de nouveaux arrivants.
    Selon les autorités de RDC, 92 000 réfugiés sont déjà arrivés depuis la République centrafricaine (RCA) après l’éruption des violences liées aux élections en décembre 2020. La plupart des réfugiés centrafricains vivent actuellement sur les berges de rivières dans des régions frontalières difficiles d’accès, au sein de communautés d’accueil disposant de ressources limitées. Leurs conditions de vie sont désastreuses. De nombreux réfugiés dorment dans des abris de fortune. La plupart d’entre eux n’ont pas ou peu accès à l’eau potable, à des installations sanitaires ou à la nourriture. Certains sont hébergés par des familles d’accueil, avec parfois jusqu’à trois familles de réfugiés vivant dans une seule maison.
    Les besoins en matière de soins de santé sont aigus. Des équipes conjointes des agences des Nations Unies, d’ONG et de la division provinciale de la santé pour l’évaluation sanitaire ont signalé un risque élevé d’épidémie majeure de rougeole dans les zones d’accueil des réfugiés dans le Nord-Ubangi. Des cas suspects ont déjà été signalés dans les communautés d’accueil. L’équipe d’évaluation a recommandé une campagne de vaccination urgente, car moins de 30% des enfants réfugiés sont vaccinés. D’autres mesures pour lutter contre la pandémie de Covid-19 sont également nécessaires.
    Près de 40 000 réfugiés ont déjà été enregistrés au moyen de la biométrie par les équipes du HCR. Nos équipes viennent en aide à plus de 4500 réfugiés particulièrement vulnérables, notamment des enfants non accompagnés et séparés, des femmes vulnérables, des personnes handicapées ou affectées de graves problèmes médicaux. Nous apportons également un soutien à environ 80 victimes de violences sexuelles et sexistes, y compris des cas de mariages d’enfants. Tous ces incidents auraient eu lieu en République centrafricaine. Les besoins de milliers de réfugiés centrafricains continuent d’augmenter, ainsi que les besoins en financements. Les fonds destinés à la réponse humanitaire du HCR sont extrêmement limités et soumis à une forte pression en raison des besoins des réfugiés et des communautés d’accueil. Le HCR lance un appel de 164,7 millions de dollars pour des prestations vitales en matière de protection et d’assistance aux Centrafricains déplacé

    #Covid-19#migrant#migration#republiquedemocratiquecondo#centrafrique#refugie#UNHCR#sante#vulnerabilite#humanitaire#inclusion#zonefrontaliere

  • Au vieux pays de mes pères

    Il y a milles histoires de #collaborations qui sont terriblement françaises, mais celle-ci, à première vue, est plutôt bretonne. C’est celle de Mathieu Cabioch, cultivateur, homme pieux, père, grand-père, arrière-grand-père. Et collabo, aussi ?

    Cette histoire, c’est une histoire de #transmission. De ce que l’on se passe, de génération en génération, pour construire le #récit_familial.

    C’est l’histoire d’une quête, aussi. Celle du journaliste #Thomas_Rozec, pour trouver la vérité dans ce que ses parents et grand-parents lui ont raconté de ses ancêtres. C’est tout l’enjeu de cette série documentaire en 5 épisodes, réalisée par #Quentin_Bresson.

    « Au vieux pays de mes pères » est une enquête à travers le #Finistère, le temps, et les souvenirs.

    https://binge.audio/podcast/programme-b/au-vieux-pays-de-mes-peres

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Breiz_Atao
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Perrot

    #Breiz_Atao #ww2 #seconde_guerre_mondiale #nazisme #eglise_catholique #Jean-Marie_Perrot

  • « Comme vous avez pu le voir sur Twitter, j’ai récemment mis en place une infrastructure complète en Data Center. De l’installation des serveurs à la configuration du réseau, venez découvrir comment j’ai mis en place ma nouvelle infra ! »

    Un très détaillé compte-rendu de l’installation de serveurs et de leur connexion réseau. Pour se rappeler que l’Internet (SeenThis, par exemple), ne fonctionne pas dans un nuage !

    https://blog.ataxya.net/une-infra-en-datacenter

    #centre_de_données #Internet