#cgpme

  • La loi sur le travail divise aussi les patrons
    https://www.mediapart.fr/journal/france/140316/la-loi-sur-le-travail-divise-aussi-les-patrons

    Si les syndicats de salariés se divisent à propos de la future loi sur le travail, les organisations patronales ne sont pas en reste. Un article glissé dans le texte, remettant en cause les règles de calcul de la représentativité des employeurs, a mis le feu aux poudres. Sur le fond aussi, les désaccords sont profonds.

    #France #CGPME #loi_travail #Medef #patronat #représentativité #temps_de_travail #UPA

  • Pénibilité, conférence sociale : la stratégie de pression du patronat semble payer
    http://www.usinenouvelle.com/article/penibilite-conference-sociale- la-strategie-de-pression-du-patronat-semble-payer .N272384

    Mardi 1er juillet au soir, une réunion se tenait entre le président du Medef, de la CGPME et de l’UPA pour décider de leur participation à la conférence sociale des 7 et 8 juillet. Dans un entretien aux Echos, ce mercredi 2 juillet, le Premier ministre,

    >> Manuel Valls donnait des gages de souplesse sur deux sujets qui cristallisaient la grogne des patrons . <<

    Qui sera présent à la grande conférence sociale ? Le Medef a décidé de faire durer le suspense jusqu’au bout sur sa participation les 7 et 8 juillet. « Y aller ou pas ? Réponse vendredi après-midi, après le Conseil exécutif du Medef », assure Pierre Gattaz, dans une note publiée mardi 1er juillet sur son site internet, après avoir listé une dizaine d’arguments, autant pour que contre sa participation. Mardi soir, une réunion se tenait au siège de la CGPME avec Pierre Gattaz, le président du Medef, Jean-François Roubaud, le patron de la CGPME et le président de l’UPA pour discuter de l’attitude à adopter. Mais dans un entretien aux Echos, mercredi 2 juillet, le Premier ministre Manuel Valls semblait déjà vouloir dégonfler quelques abcès d’exaspération en proposant de reporter d’un an, à 2016, la mise en œuvre complète du compte pénibilité et de compléter la législation sur les temps partiels de moins de 24 heures pour éviter les contentieux......

    #pénibilité
    #PS
    #Manuel_Valls

    #pression
    #stratégie
    #patronat
    #Medef
    #Gattaz
    #CGPME
    #UPA

  • Les chômeurs les mieux lotis financeront les plus précaires
    http://www.marianne.net/Les-chomeurs-les-mieux-lotis-financeront-les-plus-precaires_a237560.html

    Négociée tard cette nuit, dans un climat électrique, la nouvelle convention chômage que devraient signer le Medef, l’UPA et la CGPME avec la CFDT, la CFTC et Force Ouvrière, prévoit d’économiser 800 millions d’euros sur les indemnités des mieux lotis pour permettre de prolonger l’indemnisation des privés d’emplois en fin de droits, dès qu’ils auront retravaillé 150 heures. Le patronat se félicite d’avoir échappé à des hausses de cotisations, notamment sur les contrats courts.

    http://www.marianne.net/photo/art/default/981195-1162469.jpg?v=1395483110

    En ouvrant les négociations de l’assurance chômage, Jean-François Pilliard le négociateur du Medef avait promis « un accord au service des demandeurs d’emploi du pays ». Et osé les grands mots de « justice » et « d’équité ».

    Au final, la convention que le patronat a arraché, à une heure du matin, aux négociateurs de la CFDT, de la CFTC et de Force Ouvrière, impose surtout une solidarité entre les chômeurs les mieux indemnisés, notamment les cadres et les intermittents du spectacle sur lesquels seront réalisés 800 millions d’euros d’économie, avec les plus précaires.

    Car ces derniers, lorsqu’ils arriveront en fin de droits, pourront enfin bénéficier d’un complément d’indemnisation dès qu’ils auront retravaillé 150 heures ( alors qu’ils devaient attendre quatre mois précédemment). Promis dès janvier 2013 par l’accord interprofessionnel de flexisécurité, ces droits rechargeables portés par la CFTC et la CFDT coûteront 400 millions d’euros.

    En revanche, les chefs d’entreprise, eux, ne mettront quasiment pas la main au portefeuille. Ainsi alors qu’en l’espace de deux ans le déficit de l’Unedic s’est aggravé de 6,7 milliards d’euros, notamment du fait de l’’explosion de contrats courts, la nouvelle convention ne prévoit que quelques dizaines de millions de cotisations patronales supplémentaires que devront acquitter...les seuls employeurs d’intermittents du spectacle et de seniors de plus de 65 ans ! ...

    #chômage
    #assurance
    #cfdt
    #cgc
    #cgpme
    #cgt
    #chomage
    #fo
    #medef

  • Chômage : ces attaques nous affaiblissent tous - Les occupants de l’Opéra Garnier
    http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=6883

    Aujourd’hui, des actions ont eu lieu partout en France : #Medef occupé à Dijon, Toulouse, Chalon, Avignon, Nantes, #CGPME occupée à Lyon, MUCEM occupé à Marseille, des agences d’interim adeco et manpower sur Metz, Orléans et Paris, des Pôle Emploi occupés... et à Rodez faute d’avoir pu occuper le Medef ils ont pris la #CFDT ! [2]
    Un peu partout, nous cherchons à nous faire entendre et écouter alors que se déroulent ces pseudo négociations qui veulent décider de nos vies sans nous, sans aborder les vraies questions politiques et sociales qui se jouent autour de l’assurance chômage.

    Leurs « négociations » reprennent demain. Mais le Medef campe sur ses positions : ne pas « dégrader les marges des entreprises », faire des économies sur le dos des salariés, en rognant nos droits à l’assurance #chômage. Même le joli terme mis en avant de « droits rechargeables » masque des réductions globales d’indemnités, et encore une fois ce sont les plus #précaires qui vont trinquer : #intérimaires, travailleurs à l’emploi discontinu, intermittents...

    La #CFDT est prête à négocier sur la base de ce texte [3].

    Nous pas.
    Ces négociations ne nous représentent pas, nos propositions doivent être étudiées !
    Une refonte de l’Unedic est nécessaire, nous voulons de nouveaux droits pour toutes et tous !

    Chômeurs, précaires, intermittents, intérimaires, avec ou sans papiers... nous ne sommes pas des variables d’ajustement !

    Nous croirons à leur crise quand les riches se suicideront en masse.

    Pour les droits de toutes et tous,
    Parce que nous ne laisserons pas le Medef et la CFDT décider pour nous,
    La lutte continue !

    Et la lutte va continuer.
    Parce que nous ne laisserons pas le gouvernement agréer une convention qui corresponde encore à une baisse des droits sociaux.

  • http://t.co/JxBkNSaR4Y (un .pdf à lire ou à télécharger)

    Communication de la CGPME à propos des négociations sur l’assurance chômage.

    La négociation sur le renouvellement de la convention sur l’assurance chômage qui s’est ouverte est cruciale à plus d’un titre.
    Bien sûr les enjeux financiers viennent immédiatement à l’esprit. Le déficit du régime pour la seule année 2013 dépassera les 4 milliards d’euros. À législation inchangée le déficit cumulé avoisinera les 40 milliards d’euros en 2017. Il est donc bien question aujourd’hui de sauver le régime d’assurance chômage.
    Parallèlement la situation de l’emploi n’a cessé de se dégrader. L’UNEDIC, elle-même anticipe près de 30 000 demandeurs d’emplois indemnisés supplémentaires et...14 000 cotisants en moins en 2014. Enfin, du côté des entreprises, le niveau des défaillances, qui n’a jamais été aussi élevé, atteint en 2013 un niveau record de 63 000.
    Dans un tel contexte toute hausse des cotisations générerait des destructions d’emplois et ne ferait qu’alimenter un cercle de plus en plus vicieux dont il convient de sortir.
    Les partenaires sociaux n’ont d’autre choix que d’engager une véritable réforme qui doit modifier en profondeur les fondements mêmes du système d’assurance chômage. Ne pas fragiliser les chômeurs tout en incitant davantage au retour à l’emploi pour favoriser la reprise économique, l’équation est là. Elle se double d’un souci d’équité entre tous pour bâtir un système plus juste.
    La CGPME entend donc proposer des pistes qui seront portées par ses négociateurs.

    On y trouve ce genre de perles :

    Assimiler un refus de CDI en fin de CDD à une démission
    Même si plus de 85% des contrats de travail sont à durée indéterminée, plus de 70% des nouveaux contrats signés sont à durée déterminée. (euh ... ça vous la coupe, hein ?) Manque de visibilité du carnet de commande (pas de boulot, en fait) et rigidité du code du travail (là, je ris) expliquent ce paradoxe. Il convient néanmoins de s’interroger sur les cas, rares il est vrai , dans lesquels un salarié en CDD refuse au terme de celui-ci une embauche en CDI (ça doit pas courir les rues en effet) , rejoignant ainsi sans y être contraint les rangs de Pôle Emploi.
    La CGPME propose d’assimiler un refus d’embauche en CDI à l’issue d’un CDD, à la démission n’ouvrant pas droit au régime d’indemnisation.

    Toujours la même fable, encore plus de contrainte et de contrôle social sur ces feignasses de chômeurs ...