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  • @odilon
    odilon @odilon CC BY-NC-ND 14/04/2021
    1
    @rezo
    1

    Le recours accru aux contrats, une révolution silencieuse dans la fonction publique
    ▻https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/04/12/le-recours-accru-aux-contrats-une-revolution-silencieuse-dans-la-fonction-pu

    Les Républicains ne feraient ainsi qu’accélérer une évolution qui a déjà débuté. Car depuis quinze ans, le nombre d’agents recrutés sur contrat s’est considérablement accru dans la fonction publique française : de 755 307 en 2005, ils sont passés à 1 125 900 en 2019, soit une augmentation de 49 %. Ce qui a porté leur part dans l’emploi public à 19,9 % en 2019, contre 14,3 % à l’époque.

    la suite...
    #fonction_publique #privatisation

    odilon @odilon CC BY-NC-ND
    • @klaus
      klaus++ @klaus 15/04/2021

      Le Statut général des fonctionnaires (1946-2006) - CGT Educ’action Rouen
      ▻http://educaction7627.fr/spip.php?article1281

      En octobre 1946, le vote du Statut général des fonctionnaires a soldé
      un long passé d’arbitraire en établissant le fonctionnaire dans une relation de citoyenneté à l’égard de l’État. Au cours des soixante dernières années, le texte fondateur a constamment subi des attaques, connu des altérations. En 1983-1984, le chantier a été rouvert sur des bases progressistes et son champ étendu. Depuis, la bataille a repris pour mettre à bas l’édifice. Retour sur cette histoire et les enjeux qu’elle révèle.

      La situation dans l’après-guerre
      L’élaboration du Statut général
      Le Statut général, un « compromis » ?
      Les bases d’une nouvelle Fonction publique
      Des textes évolutifs
      Les deux refontes du Statut
      Des réformes majeures
      Vers un système d’emploi ?

      #travail #cgt #fonction_publique

      klaus++ @klaus
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  • @etraces
    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE 11/03/2021

    Fichage illégal chez un géant de la pub
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/090321/fichage-illegal-chez-un-geant-de-la-pub

    Trente-cinq salariés de l’agence de publicité McCann Paris ont été recensés dans un fichier illégal visant à budgétiser le coût de leur départ. Le syndicat Info’com-CGT a déposé une plainte contre X pour collecte déloyale de données à caractère personnel et discrimination. « TOXIQUE. » L’adjectif est écrit en lettres capitales, pour bien appuyer le propos. Il est utilisé pour qualifier plusieurs salariées, trois femmes précisément, de l’agence de publicité McCann Paris, dans un fichier contenant, au total, (...)

    #harcèlement #profiling #santé #travail #CGT

    ##santé

    https://static.mediapart.fr/etmagine/og/files/2021/03/09/photo.png

    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE
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  • @etraces
    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE 4/03/2021

    En Saône-et-Loire, l’envers du décor d’Amazon
    ▻https://www.alternatives-economiques.fr/saone-loire-lenvers-decor-damazon/00098319

    Attaquée pour son appétit d’ogre qui détruit des commerces et pour ses conditions de travail, Amazon n’est plus autant la bienvenue pour implanter ses entrepôts géants en France. Reportage à Sevrey, en Saône-et-Loire, où la firme est installée depuis huit ans. Sur la route du parc d’activités du Val-de-Bourgogne, à Sevrey (Saône-et-Loire), les camions se croisent à intervalles réguliers. Dans ce ballet motorisé, certains arborent le logo en forme de sourire en flèche d’Amazon. Pour l’automobiliste pressé, (...)

    #Amazon #GigEconomy #santé #travail #CGT

    ##santé

    https://www.alternatives-economiques.fr/sites/default/files/public/styles/for_social_networks/public/field/image/amazon_entrepot_france.jpg

    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE
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  • @etraces
    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE 10/02/2021

    Livreurs à vélo : « On ne va pas se féliciter qu’un employeur respecte le code du travail »
    ▻https://www.liberation.fr/france/2021/01/31/livreurs-a-velo-on-ne-va-pas-se-feliciter-qu-un-employeur-respecte-le-cod

    Just Eat France, filiale du géant mondial Takeaway.com, a annoncé dimanche le lancement de sa flotte parisienne de coursiers en CDI. Une annonce qui ne convainc pas totalement Ludovic Rioux, syndicat CGT. Effet d’annonce ou réel signal positif pour le secteur très précaire des livreurs à vélo ? Dans le Journal du dimanche, Just Eat France, filiale du leader mondial de la restauration livrée Takeaway.com, officialise le lancement de son équipe de livreurs à Paris. Inédit dans le secteur, et pourtant (...)

    #JustEat #GigEconomy #travail #CGT

    https://www.liberation.fr/resizer/hroAr2r2xWcL5rHA7VDXNLovz7E=/1200x630/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/liberation/MKLBEHB3E5GAT6E664T4LOYNIE.jpg

    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE
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  • @etraces
    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE 5/02/2021

    Livreurs : la lente conquête syndicale
    ▻https://www.alternatives-economiques.fr/livreurs-lente-conquete-syndicale/00095447

    A quelques mois des ordonnances qui trancheront sur les modalités du dialogue social pour les plates-formes, de plus en plus de villes se dotent de collectifs de livreurs. Un salaire de 10,30 euros de l’heure pour 4 500 livreurs en CDI – vous avez bien lu, en contrat à durée indéterminée –, c’est l’objectif annuel que vient d’annoncer Just Eat, qui souhaite salarier et fidéliser ses livreurs aujourd’hui indépendants. Avec la fermeture des restaurants, le couvre-feu à 18 heures, le secteur de la (...)

    #Deliveroo #Frichti #JustEat #UberEATS #migration #FoodTech #GigEconomy #lutte #syndicat #travail #CFDT #CLAP (...)

    ##CGT

    https://www.alternatives-economiques.fr/sites/default/files/public/styles/for_social_networks/public/field/image/rea_293011_024.jpg

    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 29/01/2021
    8
    @die_brucke
    @colporteur
    @rezo
    @solitudemaisdishuits
    @ricochets
    @7h36
    @monolecte
    @touti
    8

    Y a que la vérité qui blesse ! – L’envolée
    ▻https://lenvolee.net/y-a-que-la-verite-qui-blesse

    https://lenvolee.net/wp-content/uploads/2021/01/contreLaCensureWEB2.jpg

    Le 4 janvier dernier, par une « note de la direction » placardée dans toutes les prisons, l’administration pénitentiaire (AP) a interdit la diffusion du n° 52 du journal L’Envolée aux prisonnier·e·s abonné·e·s ; en même temps, elle a porté plainte pour diffamation et injure. Depuis vingt ans, L’Envolée soutient que les prisonniers, les prisonnières et leurs proches sont les mieux placés pour énoncer quelques vérités sur la #prison. À travers cette #censure et cette plainte, il s’agit de réduire au silence cet espace de libre expression, d’information et d’élaboration collective d’une critique de la prison.

    L’Envolée publie des textes et des lettres qui décrivent le quotidien carcéral, dénoncent les conditions de détention et luttent contre l’enfermement. Notre journal est un porte-voix pour celles et ceux qui ont été mis au ban de l’humanité ; en effet, aucune parole de prisonnier·e·s ne peut être rendue publique hors du contrôle de l’administration pénitentiaire : conversations téléphoniques et parloirs peuvent être écoutés ; les courriers sont lus systématiquement et les passages « dérangeants » censurés. De plus, pour trop de gens à l’extérieur, toute parole sortie des prisons est forcément une parole infâme, toujours suspecte d’exagération ou de mensonge.

    ▻https://seenthis.net/messages/897833
    #lenvolée

    Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 1/02/2021

      L’Envolée est une émission pour en finir avec toutes les prisons. Elle donne la parole aux prisonniers, prisonnières et à leurs proches. RDV chaque vendredi de 19 à 20h30 sur FPP 106.3 en région parisienne et MNE 107.5 à Mulhouse, RKB 106.5 en centre Bretagne les lundis à 22h, et sur les webradios Pikez (dimanche à 11h) et Station Station (lundi à 13h).
      #Podcasts disponibles sur toutes les plateformes.
      ▻https://seenthis.net/messages/899517
      ►https://lenvolee.net/wp-content/uploads/2021/01/ENV-29-01-21-SLIM.mp3


      #ERIS #QHS #CGT_pénitentiaire #syndicat_de_matons

      Vanderling @vanderling
    • @vanderling
      Vanderling @vanderling 4/02/2021

      L’administration pénitentiaire interdit la diffusion d’une revue dénonçant les violences pénitentiaires
      ▻https://www.nantes-revoltee.com/prisons-lenvolee-journal-censure

      Vanderling @vanderling
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  • @etraces
    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE 10/01/2021
    2
    @monolecte
    @tintin
    2

    Le Havre : une employée de McDonald’s licenciée après avoir dénoncé un harcèlement sexuel
    ▻https://www.europe1.fr/faits-divers/le-havre-une-employee-de-mcdonalds-licenciee-apres-avoir-denonce-un-harcelem

    Une salariée d’un McDonald’s du Havre (Seine-Maritime), qui avait dénoncé des faits de harcèlement et d’agression sexuels, avant d’être licenciée, va saisir les prud’hommes. Une salariée d’un McDonald’s du Havre (Seine-Maritime), qui avait dénoncé des faits de harcèlement et d’agression sexuels, avant d’être licenciée, va saisir les prud’hommes, a-t-on appris vendredi auprès de l’intéressée. Mathilde, 21 ans, affirme avoir été victime de harcèlement sexuel de la part d’un salarié, aujourd’hui délégué du (...)

    #McDonald's #Facebook #Messenger #racisme #sexisme #délation #écoutes #harcèlement #LGBT #surveillance #travail (...)

    ##CGT

    https://cdn-europe1.lanmedia.fr/var/europe1/storage/images/europe1/faits-divers/le-havre-une-employee-de-mcdonalds-licenciee-apres-avoir-denonce-un-harcelement-sexuel-4017135/56547295-1-fre-FR/Le-Havre-une-employee-de-McDonald-s-licenciee-apres-avoir-denonce-un-harcelement-sexuel.jpg

    e-traces @etraces via RSS ART LIBRE
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 12/01/2021

      #licenciement #harcèlement_sexuel #dénonciation #McDonald's

      CDB_77 @cdb_77
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  • @arno
    ARNO* @arno ART LIBRE 10/01/2021
    14
    @marielle
    @kassem
    @tintin
    @biggrizzly
    @gastlag
    @reka
    @fil
    @7h36
    @mad_meg
    @colporteur
    @monolecte
    @rezo
    @ericw
    @rastapopoulos
    14

    Comment le ministre Blanquer peut-il encore mentir sur la situation sanitaire dans les écoles ? | L’instit’humeurs | Francetv info
    ►https://blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/2021/01/10/comment-le-ministre-blanquer-peut-il-encore-mentir-sur-la-situatio

    C’est peu dire qu’on est nombreux à avoir été surpris, voire stupéfaits, par les chiffres donnés par le ministre : ce sont les mêmes que ceux annoncés en novembre et que plusieurs médias, notamment Libération et Le Monde, avaient « débunkés » afin de rétablir la vérité : les chiffres officiels du ministère étaient jusqu’à 20 fois inférieurs à celui de Santé Publique France dans certaines Académies ! Pire, quand les chiffres de l’EN ne montraient aucune évolution, ceux de SPF indiquaient clairement une nette augmentation à partir de la Toussaint (pour exemple, quand la région Auvergne Rhône Alpes a décidé de tester massivement dans les lycées, le taux de positivité est monté à 5%, 16 fois plus que le taux du ministre…). Le site AEF avait publié cette infographie montrant à quel point les données du ministère étaient éloignés de la réalité.

    https://blog.francetvinfo.fr/l-instit-humeurs/files/2020/11/Infographie-AEF-600x561.png

    ARNO* @arno ART LIBRE
    • @marielle
      marielle @marielle 10/01/2021

      Simple :
      Personne pour contredire en face (pas d’intervenants) et des journalistes qui sont de simples animateurs.
      Et comme les ministres choisissent les plateaux, ils ne prennent aucun risque.

      https://pbs.twimg.com/media/ErW6EsCXYAYhCXS?format=png&name=900x900#.jpg

      marielle @marielle
    • @marielle
      marielle @marielle 10/01/2021

      Lundi 11 janvier à #Brest, @jmblanquer aura un comité d’accueil ! #educationnationale #cgt #Blanquer #stopmepris #enseignants #profs

      https://pbs.twimg.com/media/ErTvKYfXYAA_dsS?format=jpg&name=small#.jpg

      marielle @marielle
    • @cdb_77
      CDB_77 @cdb_77 11/01/2021

      #école #mensonge #covid-19 #in_retrospect #écoles #coronavirus #chiffres #statistiques #contamination #mensonge_d'Etat

      CDB_77 @cdb_77
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 7/01/2021
    4
    @mad_meg
    @colporteur
    @lyco
    @biggrizzly
    4

    « On multiplie les techniques punitives intrusives, dont le fichage »
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/070121/multiplie-les-techniques-punitives-intrusives-dont-le-fichage

    La politiste Vanessa Codaccioni, qui publie un ouvrage sur la « société de vigilance », revient sur la décision du Conseil d’État d’autoriser le fichage des opinions politiques et syndicales.

    Le Conseil d’État vient de donner un avis favorable à trois décrets élargissant les possibilités de fichage, en autorisant policiers et gendarmes à faire mention des « opinions politiques », des « convictions philosophiques et religieuses », et de « l’appartenance syndicale » de leurs cibles, alors que les précédents textes se limitaient à recenser des « activités ».

    Identifiants, photos et commentaires postés sur les réseaux sociaux pourront aussi être listés, de même que les troubles psychologiques et psychiatriques « révélant une dangerosité particulière ». Outre les personnes physiques, les « personnes morales », telles que les associations, sont également visées.

    La plus haute juridiction administrative a ainsi rejeté le référé déposé par plusieurs centrales syndicales dont la CGT, FO ou la FSU, tout comme le Syndicat de la magistrature et le Syndicat des avocats de France en considérant que les trois décrets ne portaient pas une atteinte disproportionnée à la liberté d’opinion, de conscience et de religion ou à la liberté syndicale.

    Les trois fichiers concernés sont le PASP (prévention des atteintes à la sécurité publique) de la police ; le Gipasp (gestion de l’information et prévention des atteintes à la sécurité publique) des gendarmes et l’EASP (enquêtes administratives liées à la sécurité publique).

    Pour Mediapart, la politiste Vanessa Codaccioni revient sur cette décision inquiétante. Après avoir travaillé sur la justice d’exception et l’attitude de l’État face aux crimes terroristes et politiques, puis sur la légitime défense, la chercheuse a publié deux livres qui résonnent particulièrement avec le moment présent : Répression. L’État face aux contestations politiques (Textuel, 2019) et, jeudi 7 janvier, La Société de vigilance, également chez Textuel dans lequel elle étudie le « réagencement abouti et perfectionné des relations entre les trois types de surveillance possiblement exercés au sein d’une société : la surveillance étatique, le contrôle et la surveillance populaires du pouvoir, et la surveillance mutuelle ». Entretien.

    Comment regardez-vous la décision du Conseil d’État de valider le fichage des opinions politiques et syndicales par les forces de l’ordre ?

    Cette décision ne m’étonne pas du tout, parce que le Conseil d’État a beau, originellement, être un contre-pouvoir, censé protéger les citoyens et les citoyennes, ainsi que les libertés fondamentales, il n’a jamais véritablement joué ce rôle.

    Le Conseil d’État, qui a été souvent saisi ces derniers mois, paraît en effet être surtout une chambre d’enregistrement des décisions de l’exécutif. Cela a-t-il toujours été le cas ?

    On ne peut pas dire que le Conseil d’État n’ait jamais été un contre-pouvoir, particulièrement pendant les périodes de guerre et de crise. Pendant la guerre d’Algérie par exemple, il a validé l’ensemble des dispositifs et des législations d’exception, comme l’état d’urgence d’avril 1955, les « pouvoirs spéciaux » l’année suivante, admettant même la création de « camps d’hébergement ». Pour ce qui concerne les décisions liées à l’état d’urgence depuis 2015, ses membres ont également fait le choix de les entériner. Il s’agit donc d’une institution qui préserve l’ordre politique et répressif, qui n’est pas un rempart contre l’exception et les atteintes aux garanties fondamentales.

    Je ne repère qu’une seule grande décision allant à l’encontre de cette tendance historique : l’arrêt « Canal » de 1962, où le Conseil d’État a refusé la mise en place d’un tribunal d’exception voulu par Charles de Gaulle pour juger les membres de l’OAS. Cela a valu à cette institution la colère du Général, qu’on peut lire dans ses Mémoires. Depuis, en dépit de quelques décisions allant dans le sens des libertés publiques, il a avalisé la grande majorité des volontés parfois liberticides de l’exécutif.

    Vous disiez que vous n’étiez pas étonnée par cette décision du Conseil d’État…

    Non seulement en raison de ce que je viens de dire sur le Conseil d’État, mais surtout parce que cette volonté de fichage des opinions syndicales et politiques s’inscrit dans deux mouvements répressifs à l’œuvre ces dernières années.

    Le premier est le renforcement de l’arsenal dirigé contre la contestation politique, avec le développement d’une répression invisible contre les militants et les militantes, à base de surveillance physique, d’écoutes, de captation d’images, de sonorisation des lieux publics et privés, de géolocalisation ou encore d’exploitation du matériel informatique. Nous l’avons vu par exemple à Bure : des moyens inhérents à la surveillance antiterroriste ont été utilisés contre des opposants politiques. Cette invibilisation de la répression passe ainsi par la multiplication de techniques punitives intrusives, dont le fichage fait partie : la « fiche S » nous le rappelle puisque de nombreux militants syndicats et politiques sont fichés S alors qu’ils n’attentent pas à la sûreté de l’État.

    Le second mouvement est le renforcement de l’omniscience de l’État, qui veut tout savoir, connaître, et récolter le maximum d’informations sur les citoyennes et les citoyens qui ne doivent avoir aucun « secret » pour le pouvoir et les institutions de répression, être absolument « transparents ».

    C’est à la jonction de ces deux processus qu’il faut comprendre la décision récente du Conseil d’État de valider ces décrets sur le fichage des opinions politiques et syndicales prises par le ministère de l’Intérieur.

    Cependant, dans votre dernier livre, vous insistez sur le fait qu’il ne faut pas comprendre la surveillance étatique à travers la seule image du panoptique, développée par le philosophe Jeremy Bentham, et réutilisée par Michel Foucault, pour étudier la mise en place de sociétés disciplinaires et disciplinées ?

    Le panoptique est une tour centrale disposée au milieu d’une prison d’où les gardiens peuvent tout voir. Les surveillés ne peuvent pas savoir s’ils sont en train d’être surveillés ou non, et se comportent en fonction. L’État se comporte comme le gardien de prison imaginé par Bentham : ses agents sont chargés de multiplier les programmes et les dispositifs pour en savoir le plus possible sur la population, comme les révélations de Snowden l’ont encore montré, et la population, de son côté, est possiblement insécurisée par cette surveillance massive et intrusive.

    Mais, en sus de cette logique panoptique, on assiste au développement d’un synoptique populaire, c’est-à-dire d’un système où une majorité de la population regarde et surveille quelques individus. Tout le monde ne regarde pas tout le monde, et tout le monde n’est pas regardé de la même manière non plus. En réalité, on assiste à la conjonction d’un panoptique et d’un synoptique sécuritaires, l’un émanant de l’État, l’autre de la population, qui se conjuguent pour renforcer la surveillance de certaines cibles : populations étrangères, précarisées, racisées, mais aussi militants politiques ou syndicaux. Plus généralement, ce sont les personnes ou les groupes considérés comme « déviants » par le pouvoir qui sont l’objet de cette double surveillance.

    Le recueil et le fichage de ces données politiques et syndicales sensibles étaient déjà, de façon dérogatoire, autorisés dans le code de la sécurité intérieure. Il sera désormais possible dans le cadre d’atteinte à la sécurité publique et à la sûreté de l’État. Est-ce une rupture si importante ?

    Je pense qu’il s’agit principalement d’une légalisation d’habitudes policières en réalité anciennes, qui se pratiquaient déjà, de même qu’en 2015 la loi Renseignement est venue légaliser a posteriori des pratiques intrusives déjà utilisées sur le terrain et jusqu’alors illégales, comme la collecte massive de données sur Internet. En ce sens, ce n’est pas un grand bouleversement. Mais le fait de l’afficher, de le visibiliser, est significatif politiquement. Le pouvoir indique : « On vous surveille, on vous fiche, on sait qui vous êtes et les opinions politiques que vous défendez. » On légalise l’invisible d’un côté, on visibilise une forme de répression de l’autre.

    En fait, on est dans un moment de notre histoire où les gouvernements cherchent à restreindre le champ de ce qui serait légitime politiquement. Ils essaient d’imposer ce qui est dicible, faisable, pensable en matière politique ou de militantisme. Et dès que l’on sort de ce champ rétréci, on est considéré comme un délinquant, un criminel ou un fou. Là, des opinions vont être a minima fichées et potentiellement réprimées. Mais que vont devenir les informations récoltées sur ces fichiers ? Pourront-elles servir de base à des actes d’accusation, ou être utilisées lors de manifestations pour aider à la police à arrêter certaines personnes ? On peut être quasiment certains que ces informations ne resteront pas oubliées dans un fichier, de même que les « notes blanches » ont été mobilisées dans le cadre de l’état d’urgence contre des militantes et militants.

    Pour autant, quand des personnes sont arrêtées, on ne sait jamais si ces arrestations se basent sur des informations contenues dans tel ou tel fichier. C’est par exemple le cas en décembre dernier lorsque plusieurs militants dits de « l’ultragauche » ont été arrêtés pour « association de malfaiteurs terroriste ». Cette situation a pour objectif de maintenir les militants et les opposants dans une incertitude et une appréhension : suis-je fiché ? Pourquoi ? Qu’est-ce que je risque ? Qu’est-ce qu’ils ont sur moi et à quoi cela va-t-il servir ? On les place ainsi dans l’anticipation de leur répression.

    En 2008, le fichier Edvige (exploitation documentaire et valorisation de l’information générale), qui prévoyait notamment de recenser des personnes exerçant ou ayant exercé un mandat politique, syndical ou économique, avait suscité un tel tollé qu’il avait été retiré. Comment expliquer que, un peu plus de dix ans plus tard, il y ait moins de résistance en dépit des indignations qu’on peut entendre ?

    Gérald Darmanin a pris ces décrets sur les fichiers policiers dans un moment où tout le monde avait les yeux rivés sur la loi « Sécurité globale ». Il a ainsi profité d’un moment de contestation d’une loi répressive et sécuritaire pour faire passer des décrets eux-mêmes répressifs ! Mais comme il ne s’agit pas d’une loi, mais de décrets, il était plus difficile de s’y opposer et d’avoir le temps d’y réagir.

    Ces décrets, comme la loi Sécurité globale, s’inscrivent dans une même logique, qui a sans doute déjà des effets, en particulier de renforcement de la gouvernementalité par la peur et de renforcement de la surveillance. Comme je l’indiquais tout à l’heure, ils disent aux militantes et militants : « On vous a à l’œil. »

    Or, tandis que l’État est censé pouvoir tout voir, les citoyennes et citoyens ne sont censés regarder que certaines cibles – les mêmes que celles visées par les dispositifs policiers ou de renseignement – et ne doivent surtout pas surveiller les agents de l’État et leurs pratiques, comme les mesures sur l’interdiction de filmer les policiers l’ont encore montré.

    Les autorités veulent donc affaiblir la vigilance démocratique et populaire, celle exercée par la population pour contrôler les agissements de celles et ceux qui gouvernent ou font fonctionner l’appareil répressif d’État.

    Cette volonté de ficher les opposants politiques ne va-t-elle pas à l’encontre de la stratégie de dépolitisation menée par le pouvoir contemporain à l’encontre de ses adversaires, de plus en plus alignés sur la législation contre les criminels ou les terroristes, comme vous l’analysiez dans votre précédent livre Répression. L’État face aux contestations politiques (Textuel, 2019) ?

    Il est vrai qu’on cherche à dépolitiser des luttes en considérant de plus en plus les opposants comme des délinquants ou des terroristes. L’assimilation militantisme = terrorisme et militantisme = violence criminelle est l’une des stratégies répressives les plus puissantes aujourd’hui contre les contestations politiques et vise à les discréditer, les stigmatiser, à les réprimer ensuite.

    Mais il faut toutefois justifier la répression, ici le fichage. Comme on s’en prend, avec ces techniques intrusives de récolte de données, à des individus ou des associations qui n’ont commis aucune infraction, il faut donc les attaquer sur leurs pensées, leurs opinions politiques, les causes qu’ils défendent. Justifier et légitimer ces fichiers oblige ainsi à évoquer le caractère politique des engagements de celles et ceux que l’on cible, alors même que la stratégie du pouvoir est de dépolitiser ces mêmes engagements.

    Ces termes de « société de vigilance », qui donnent le titre à votre dernier livre, ont été prononcés par le président de la République, qui a appelé à « bâtir » une telle société, lors d’une cérémonie rendant hommage aux agents de la préfecture de Paris tués par l’un d’entre eux. Or ces fichiers de police sont censés être utilisés pour le recrutement de fonctionnaires sur des postes sensibles : cela n’en définit-il pas un usage légitime ?

    Bien évidemment, c’est une présentation légitime de l’usage de tels fichiers. Mais on peut déjà en envisager les dérives, et prévoir de tout autres usages que ceux évoqués au départ. Il y a peu de doute que cela visera des cibles de plus en plus plus étendues et que cela servira à des fins punitives.

    Quels sont les principaux dispositifs de cette « société de vigilance » que vous étudiez dans votre dernier livre ?

    Le premier grand dispositif est l’autosurveillance : la manière dont on va inciter quotidiennement les individus à se surveiller les uns les autres. Cela existe depuis longtemps, par temps de guerre ou de crise, ou dans les régimes autoritaires ou dictatoriaux. Mais cela se normalise et se retrouve aujourd’hui dans de nombreux pays du monde, et en temps de paix. Cette pratique disciplinaire insidieuse s’est renforcée depuis le 11 septembre 2001, à partir de l’idée que les services de renseignement et de police ne pouvaient pas tout voir et qu’ils avaient besoin des yeux et des oreilles des membres de la société. Cela se déploie dans toutes les sphères de la vie : rue, école, centre commercial, quartier, transport en commun, travail…

    Le second grand dispositif est la dénonciation. Là encore, ce n’est pas nouveau historiquement, mais avec désormais la spécificité de se dérouler en temps de paix et dans des régimes dits « démocratiques », et d’être présenté comme une pratique banale, inhérente à l’exercice de la citoyenneté. Beaucoup d’États encouragent la dénonciation, en proposant de l’argent, en en faisant une vertu civique et patriotique ou en ne punissant pas les dénonciations malveillantes. Pourtant, des chercheurs ont montré que la plupart des informations ainsi recueillies sont inutilisables. Untel a été vu en train de photographier un bâtiment, un autre parlait nerveusement dans son téléphone portable, etc.

    Cela montre que le but est moins de récolter des informations que d’asseoir le contrôle de l’État sur la population : en la maintenant dans un état d’insécurité permanente, en l’incitant à aider la police et donc à renforcer ses liens avec elle, en appelant continuellement à la vigilance, en insistant sur les risques permanents. Sur ce point, les exercices « alerte-attentats » aux États-Unis, mais aussi en France, où on a pu utiliser des « faux djihadistes », des armes factices ou demander à des enfants de faire les morts, sont très éclairants. Ils montrent comment, dès l’enfance, on nous prépare à un horizon fait de menaces et de catastrophes qui justifie la présence répressive et vigilante de l’État.

    La surveillance latérale et mutuelle, et la participation citoyenne aux activités de répression, contestent-elles le monopole de l’État en matière d’exercice de la force ?

    Assiste-t-on à une délégation du monopole de la force légitime ? En réalité pas du tout. À part dans des pays comme le Brésil ou la République tchèque, dans lesquels on incite les citoyens à s’armer et où on veut étendre le champ d’application de la légitime défense, la plupart des pays encadrent les comportements vigilants et distinguent les bons – appeler la police – des mauvais – se faire justice soi-même.

    Les pouvoirs publics encadrent ainsi la vigilance populaire en conservant le monopole de la contrainte. Dans les années 1970, période lors de laquelle le gouvernement utilise les chiffres du crime pour « insécuriser » la population, agite sans cesse l’augmentation de la délinquance et prône déjà la vigilance sécuritaire, une partie de la population s’arme et est tentée par l’autodéfense armée. De nombreux cambrioleurs sont abattus, quelques milices se mettent sur pied. C’est l’une des raisons pour lesquelles on a désarmé la société française dans les années 1980 et 1990. Tout l’enjeu pour les gouvernants est ainsi de gouverner par la peur, de susciter la peur, sans que les gens en viennent pour autant à se faire justice eux-mêmes, voire se mettent à contester le pouvoir établi, y compris par les armes.

    Que désignent ces termes singuliers de « répression participative » que vous employez ?

    C’est une répression qui inclut une partie de la population dans une traque punitive contre les ennemis de l’État et s’appuie sur la participation citoyenne aux activités de sécurité ou de défense nationale. Mais, en vérité, cette idée que les citoyennes et les citoyens « participent » aux activités répressives est un leurre sécuritaire, qui, comme la participation démocratique, est souvent cosmétique. Cependant, elle peut avoir de véritables effets, avec les dénonciations malveillantes ou calomnieuses et les violences, parfois physiques et armées.

    Vous avez montré comment des dispositifs d’exception antiterroristes ou liés à l’état d’urgence rentrent progressivement dans le droit commun ou la politique ordinaire. Faut-il craindre la même chose pour l’état d’urgence sanitaire alors que la situation justifie des restrictions importantes en termes de libertés individuelles ?

    C’est une grande question que je me pose mais à laquelle il me semble prématuré de répondre. Il faut être en alerte, parce qu’il y a des atteintes réelles et importantes aux libertés publiques, mais comment savoir si ces atteintes sont disproportionnées et s’il peut y avoir d’importantes dérives ?

    Il me semble nécessaire de faire attention à ne pas effectuer un parallèle trop hâtif entre l’état d’urgence sécuritaire et l’état d’urgence sanitaire. Il est d’ailleurs intéressant de constater que des personnes comme Jair Bolsonaro ou Donald Trump se sont opposées aux mesures de sécurité sanitaires, ce qui dit quand même quelque chose de la différence entre les deux types d’état d’exception.

    L’urgence sanitaire est, ô combien, liberticide, et sans doute plus encore que les mesures prises pendant « l’état d’urgence antiterroriste ». Mais il me semble trop tôt pour en saisir tous les effets, notamment parce qu’il faudrait pouvoir observer et analyser les deux grandes dérives liées aux situations d’exception : la banalisation dans le temps des dispositifs créés dans ces circonstances, hors d’une menace imminente ; et le détournement de leur fonction première, ce qu’on ne peut pas véritablement dire, aujourd’hui, au sujet de l’urgence sanitaire.

    #activisme #délation #profiling #syndicat #surveillance #CGT

    https://static.mediapart.fr/etmagine/default/files/2021/01/07/41x0alqkgbl.jpg

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @partagenoir
    partagenoir @partagenoir CC BY-NC-SA 20/12/2020
    1
    @vanderling
    1

    #Victor_Griffuelhes (1874-1922) [02]
    ▻https://www.partage-noir.fr/article723

    https://framasphere.org/uploads/images/dabd2a433672c7466f50.jpg

    On connaît plus ou moins, dans le grand public, les théories syndicalistes. Les uns les ignorent absolument. Les autres les connaissent imparfaitement et professent pour elles la plus violente horreur. Victor #Griffuelhes (1874-1922) #CGT

    / Victor Griffuelhes

    #Victor_Griffuelhes_1874-1922_

    partagenoir @partagenoir CC BY-NC-SA
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  • @partagenoir
    partagenoir @partagenoir CC BY-NC-SA 19/12/2020

    #Victor_Griffuelhes (1874-1922) [01]
    ▻https://www.partage-noir.fr/victor-griffuelhes-1874-1922-01

    https://framasphere.org/uploads/images/54ab4193443b2037c462.jpg

    Au moment où, après avoir joué le rôle que l’on connaît, #Griffuelhes se décide — et c’est regrettable — à abandonner ses fonctions à la #CGT, il nous a paru nécessaire de le présenter aux lecteurs. Victor Griffuelhes (1874-1922)

    / Victor Griffuelhes

    #Victor_Griffuelhes_1874-1922_

    partagenoir @partagenoir CC BY-NC-SA
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  • @lescrises
    Les-Crises.fr [RSS] @lescrises via RSS CC BY-NC-SA 14/12/2020

    En dix ans, de 1939 à 1949, Industriels et Financiers ont détruit le pouvoir syndical
    ▻https://www.les-crises.fr/en-dix-ans-de-1939-a-1949-industriels-et-financiers-ont-detruit-le-pouvoi

    Par Jacques-Marie Bourget À notre époque, celle de l’à peu près et du mélange de mensonges qui fait vérité, il semble un peu ridicule et vieux monde de parler des dictionnaires. Pourtant, les livres d’Annie Lacroix-Riz sont comme des dicos, des bouquins qu’il faut avoir sur l’étagère, car ils recèlent la grammaire de l’Histoire. Dans […]

    #Histoire #CGT #Syndicats #Histoire,_CGT,_Syndicats

    https://www.les-crises.fr/wp-content/uploads/2020/12/img_actus_leon_jouhaux-760x400.jpg

    Les-Crises.fr [RSS] @lescrises via RSS CC BY-NC-SA
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  • @partagenoir
    partagenoir @partagenoir CC BY-NC-SA 5/12/2020

    [BD] #Georges_Cochon « le mouvement des #locataires » [03]
    ▻https://www.partage-noir.fr/bd-georges-cochon-et-le-mouvement-des-locataires-03

    https://framasphere.org/uploads/images/260ff8e51c2dbf815453.jpg

    L’ #anarchiste #Pennelier fonde en 1903 le Syndicat des Locataires de la #CGT, avec un programme juridique qui reprend les modes d’action de la défunte Ligue des #Antiproprios. Georges Cochon « le mouvement des locataires »

    #Georges_Cochon_« le_mouvement_des_locataires »

    partagenoir @partagenoir CC BY-NC-SA
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  • @cdb_77
    CDB_77 @cdb_77 22/11/2020

    #En_découdre - paroles ouvrières en roannais

    https://tillandsiavideo.files.wordpress.com/2019/11/en_dc3a9coudre_a2-ssmarges.png?w=312&h=544#.jpg

    Après la deuxième guerre mondiale, l’industrie textile emploie des milliers d’ouvrières sur le territoire Roannais. Elles produisent des vêtements de luxe dont la qualité est reconnue dans la France entière. A travers une série d’entretiens, ce film retrace l’histoire de ces femmes rentrant souvent jeunes à l’usine. Elles y découvrent des conditions de travail difficiles, le paternalisme patronal, mais également la solidarité ouvrière. Relatant les inégalités qui se jouent entre ouvriers et ouvrières, elles décrivent surtout la rencontre avec la culture syndicale et leur volonté d’en découdre avec l’exploitation. Des promesses d’émancipation de « mai 1968 » jusqu’aux combats contre la fermeture des usines et les destructions de leurs emplois à partir des années 1980, ces paroles ouvrières livrent une mémoire à la fois personnelle et politique des grandes mutations du monde contemporain.

    ▻https://vimeo.com/330751537


    #ouvrières #femmes #industrie #femmes_ouvrières #France #industrie #histoire #industrie_textile #textile #témoignages #histoire_ouvrière #CGT #syndicat #syndicalisme #usines #bruit #paternalisme
    #film #film_documentaire #salaires #sainte_Catherine #cadeaux #droit_de_cuissage #inégalités_salariales #émancipation #premier_salaire #désindustrialisation #métallurgie #conditions_de_travail #horaire #horaire_libre #grève #occupation #Rhônes-Alpes #délocalisation #toilettes #incendies #chantage #treizième_salaire #plans_sociaux #outils_de_travail #Comité_national_de_la_Résistance (#CNR) #chronométrage #maladie_du_travail #prêt-à-porter #minutage #primes #prime_au_rendement #solidarité #compétition #rendement_personnel #esprit_de_camaraderie #luttes #mai_68 #1968 #licenciement #ARCT #financiarisation #industrie_textile

    CDB_77 @cdb_77
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 16/11/2020
    2
    @die_brucke
    @etraces
    2

    Tribune contre l’hégémonie d’Amazon : le groupe américain « porte un modèle de civilisation qui n’est plus possible », estime une signataire
    ▻https://www.francetvinfo.fr/internet/amazon/tribune-contre-l-hegemonie-d-amazon-le-groupe-americain-porte-un-modele

    Marie Hermann, co-fondatrice des éditions Hors d’Atteinte, a estimé lundi 16 novembre sur franceinfo qu’Amazon portait « un modèle de civilisation ou de consommation qui n’est plus possible ». L’éditrice est co-signataire d’une tribune contre Amazon publiée sur franceinfo. L’appel est lancé par différents syndicats et ONG comme la CGT, FSU, Attac, Greenpeace, Agir pour l’environnement, Confédération paysanne, Amis de la Terre, mais aussi des libraires, des éditeurs et des élus. Ils appellent à "stopper (...)

    #Amazon #domination #bénéfices #GigEconomy #lobbying #AmisdelaTerre #ATTAC #Greenpeace (...)

    ##CGT

    https://www.francetvinfo.fr/pictures/SLQwqxteCeof0hjW7ji_HL4s1Ao/1500x843/2020/11/16/phpkjUW0T.jpg

    e-traces @etraces ART LIBRE
    • @die_brucke
      Die Brücke @die_brucke CC BY-NC 17/11/2020

      "Stopper Amazon avant qu’il ne soit trop tard" : l’appel de plus d’une centaine d’ONG, de syndicalistes, de citoyens et d’élus
      ▻https://www.francetvinfo.fr/internet/amazon/tribune-stopper-amazon-avant-quil-ne-soit-trop-tard-l-appel-de-plus-d-u

      Die Brücke @die_brucke CC BY-NC
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 9/11/2020
    3
    @vanderling
    @marielle
    @monolecte
    3

    « Cachez ces violences policières que je ne saurais voir » : protégeons la liberté d’informer !
    ▻https://www.bastamag.net/tribune-cachez-ces-violences-policieres-protegeons-liberte-presse-loi-PPL-

    C’est une atteinte inédite à la liberté d’informer. L’article 24 de la proposition de loi « relative à la sécurité globale », sanctionne d’un an de prison et de 45 000 euros d’amende la diffusion d’images relative aux pratiques policières. La rédaction de Basta !, aux côtés d’autres médias, actuels et futurs journalistes, organisations et personnalités, s’opposent à cette loi liberticide. « Il en va de la liberté de la presse, de la liberté de manifester, de notre démocratie », rappelons nous dans cette tribune. (...)

    #journalisme #police #vidéo-surveillance #violence #censure #surveillance #SNJ #CGT #LDH-France (...)

    ##ATTAC

    https://www.bastamag.net/IMG/arton8093.jpg

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 5/11/2020

    Pour Amazon, le coronavirus est une affaire très profitable
    ▻https://reporterre.net/Pour-Amazon-le-coronavirus-est-une-affaire-tres-profitable

    La crise sanitaire et le confinement d’une partie de la population mondiale profitent largement au géant du commerce électronique. Qui entend se rendre incontournable aux yeux des États. Et faire oublier qu’il est un champion de l’évasion fiscale. Le cours de la bourse de l’action Amazon a bondi de 12 % en une semaine. Partout ailleurs, les indicateurs des grandes entreprises s’effondrent, la récession menace. Mais le géant du commerce en ligne semble imperturbable. Il surfe sur la crise avec des (...)

    #Amazon #bénéfices #consommation #COVID-19 #santé #CFDT #CGT #technologisme #GigEconomy (...)

    ##santé ##travail

    https://reporterre.net/local/cache-gd2/e3/40c930410336d2e8c84ebf0a47b1c0.jpg

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 26/10/2020

    Violences sexistes à McDo : première grève victorieuse au Havre
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/251020/violences-sexistes-mcdo-premiere-greve-victorieuse-au-havre

    Samedi 24 octobre, quinze salariés du McDonald’s de la gare du Havre, âgés d’en moyenne 20 ans, ont fait leur première journée de grève pour dénoncer la pression, le harcèlement moral et les violences sexistes et sexuelles. Ils ont obtenu un accord. Le Havre (Seine-Maritime).– Margot travaille dix-huit heures par semaine au McDonald’s de la gare du Havre, en parallèle de ses études. À 21 ans à peine, la jeune femme s’est mise, pour la première fois, en grève. Il ne lui aura fallu que quelques jours pour (...)

    #McDonald's #sexisme #violence #discrimination #harcèlement #FoodTech #GigEconomy (...)

    ##CGT

    https://static.mediapart.fr/etmagine/default/files/2020/10/25/mcdo-manchette.png

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 28/08/2020
    2
    @colporteur
    @pascal_le
    2

    Amazon : il alerte sur les conditions de travail, il est viré
    ▻https://www.lamarseillaise.fr/societe/amazon-il-alerte-sur-les-conditions-de-travail-il-est-vire-BX4374524

    Mohammed, salarié de la sécurité, licencié par Amazon Bouc-Bel-Air pour avoir alerté sur les conditions de travail au début de l’épidémie, devrait être fixé sur son sort dans la semaine. On sait que le géant américain de la distribution en ligne, de culture américaine, regarde le syndicalisme français avec des yeux ronds. Quant au droit du travail... Au début de l’épidémie, Amazon s’est assis sur les deux. Jusqu’à virer Mohammed Benguesmia, employé du sous-traitant Séris à la sécurité du site de Bouc-Bel-Air (...)

    #Amazon #GigEconomy #licenciement #santé #travail #COVID-19 #CGT

    ##santé

    https://www.lamarseillaise.fr/binrepository/480x360/1c48/480d250/none/150910102/XCWY/amazon-1-censored_542-1634605_20200827071242.jpg

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @martin4
    martin dufresne @martin4 CC BY-SA 15/08/2020
    3
    @biggrizzly
    @kassem
    @sinehebdo
    3

    Un syndicaliste CGT du réseau de la santé rend compte des ravages de la COVID autour de lui.
    On en parle jusqu’au Québec dans le milieu des syndiqués de la santé : ▻https://www.csn.qc.ca/actualites/lettre-dun-militant-de-la-confederation-generale-du-travail-cgt-atteint-par-l
    #COVID #CGT

    martin dufresne @martin4 CC BY-SA
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 16/08/2020

      #coronavirus #In_retrospect #France

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 22/07/2020
    1
    @colporteur
    1

    La moitié des livreurs Frichti sans papiers bientôt régularisés
    ▻https://www.liberation.fr/france/2020/07/22/la-moitie-des-livreurs-frichti-sans-papiers-bientot-regularises_1794907

    Après plus d’un mois et demi de conflit, les livreurs sans papiers de Frichti pourront en partie obtenir la régularisation de leur situation en France, à condition d’occuper un emploi salarié dans les mois à venir. C’est la fin d’un mois et demi de conflit. Mardi, en fin d’après-midi, les représentants des livreurs sans-papiers, la CGT et un membre de la direction de Frichti étaient réunis pour annoncer à Libération qu’ils étaient parvenus à obtenir un engagement auprès de l’Etat : environ la moitié des (...)

    #Frichti #migration #FoodTech #GigEconomy #travail #CGT

    https://medias.liberation.fr/photo/1317906-afp_1t3179jpg.jpg

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 21/07/2020

    [Radio] Quid des travailleurs précaires dans la crise sanitaire ? - Paris-luttes.info
    ▻https://paris-luttes.info/radio-quid-des-travailleurs-14172

    https://paris-luttes.info/IMG/arton14172.jpg

    ▻http://vivelasociale.org/les-emissions-recentes/149-precaires-dans-la-crise-du-covid-19
    ▻http://vivelasociale.org/images/emission-radio-vive-la-sociale/2020/20-06-18-vls-cgtpe-2.mp3

    L’indemnisation des travailleurs précaires s’est avérée particulièrement défaillante pendant le confinement. Une série de témoignages enregistrés lors d’un rassemblement impulsé le 13 juin par le Comité national des travailleurs privés d’emploi et précaires CGT nous donne la mesure de la difficulté des précaires isolés restés sans emploi à faire valoir leurs droits.

    Mais la difficulté du moment s’ajoute à une situation déjà compliquée en temps normal, notamment du fait de la dématérialisation des échanges avec #Pôle_Emploi, fort problématique pour tous ceux qui n’ont pas accès ou maîtrisent difficilement Internet, mais aussi dans tous les cas de recours contre des décisions contestées. Et l’application des nouvelles règles d’indemnisation prévue en septembre ne fera qu’aggraver les choses, sans une mobilisation massive capable de les remettre en cause.

    #précarité #radio #cgt_chômeurs

    Vanderling @vanderling
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  • @etraces
    e-traces @etraces ART LIBRE 20/06/2020
    1
    @simplicissimus
    1

    Données de santé : le « oui mais » du Conseil d’Etat au Health Data Hub
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/190620/donnees-de-sante-le-oui-mais-du-conseil-d-etat-au-health-data-hub

    La haute juridiction administrative donne cinq jours à la plateforme de santé pour préciser comment elle compte « pseudonymiser » les données et indiquer sur son site que celles-ci pourront être transférées hors de l’UE. Selon nos informations, le Health Data Hub négocie un avenant à son contrat avec Microsoft afin de régulariser cette situation. Le Conseil d’État a refusé, dans une décision rendue vendredi, de suspendre le déploiement du Health Data Hub, la plateforme devant héberger l’intégralité des (...)

    #ANSSI #Microsoft #OVH #anonymat #BigData #CloudAct #santé #FreeSoftware #CNIL #SNJ (...)

    ##santé ##CGT

    https://static.mediapart.fr/etmagine/default/files/2020/06/19/hdh.png

    e-traces @etraces ART LIBRE
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  • @vanderling
    Vanderling @vanderling 10/06/2020
    3
    @jeanmarie
    @sinehebdo
    @monolecte
    3

    Travailler « la boule au ventre » pendant l’épidémie | Santé & travail
    ▻http://www.sante-et-travail.fr/travailler-boule-ventre-pendant-lepidemie

    Une enquête de l’Ugict-CGT révèle que, pendant le confinement, la moitié des salariés disaient partir travailler le matin « la boule au ventre par crainte de contracter ou de transmettre le Covid-19 ». Il y a de forts risques que cette anxiété, qui pourrait perdurer ou rebondir avec l’épidémie, affecte leur santé psychique.

    c’est la lutte virale !
    ▻http://www.ugict.cgt.fr/ugict/presse/rapport-enquete-trepid
    #enquête #travail #cgt #pandémie

    Vanderling @vanderling
    • @sinehebdo
      Dror@sinehebdo @sinehebdo 22/06/2020

      #coronavirus #travail #France

      Voir compile des effets délétères indirects de la pandémie :
      ►https://seenthis.net/messages/832147

      Dror@sinehebdo @sinehebdo
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  • @deylord
    deylord @deylord 8/06/2020

    La manifestation de la CGT : une comédie-ballet avec la police

    https://sceneweb.fr/wp-content/uploads/2020/06/manifestation-cgt-photo-eric-demey.jpg

    Samedi 6 juin, un mois après la déclaration d’Emmanuel Macron au monde de la culture, la CGT appelait à une manifestation Place Royale qui a rassemblé peu de militants, mais beaucoup de policiers. Une manifestation qui tourne à la flashmob express, avec la participation exceptionnelle des performeurs des BRAV-M (Brigades de répression de l’action violente motorisées). La culture est réellement en train de se réinventer !... ▻https://sceneweb.fr/actu-la-manifestation-de-la-cgt-une-comedie-ballet-avec-la-police

    La pièce tourne à la comédie-ballet

    Ils demandent aux policiers d’utiliser leur cerveau

    #flashmob #culture #manifestation #intermittence #emmanuel_macron #macron #paris #place_royale #brav #cgt #CGT_Spectacle

    Archive : ▻https://archive.vn/Xrw23

    deylord @deylord
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