We are so screwed
▻http://agro.biodiver.se/2015/07/we-are-so-screwed
Well, all except soybean farmers in Rwanda.
We are so screwed
▻http://agro.biodiver.se/2015/07/we-are-so-screwed
Well, all except soybean farmers in Rwanda.
Climate change causes more rock slides
The global rise of temperatures is having dramatic effects in the Swiss Alps. In the Matter valley in canton Valais, rock masses are usually held together by permafrost. Now the ice is melting, releasing large chunks of debris.
▻http://www.swissinfo.ch/eng/multimedia/melting-mountains_climate-change-causes-more-rock-slides/36759038?fb_action_ids=10153021971228014&fb_action_types=og.likes
#changement_climatique #climat #éboulement
Le potentiel de la micro-agriculture biointensive pour remettre le carbone atmosphérique dans les sols et atténuer le #changement_climatique
▻http://growbiointensive.org/PDF/ClimateChangeandGROWBIOINTENSIVE_English.pdf
If we all change our farming practices to increase the organic matter (OM) content by 150% in tropical soils (to go from 1% to 2.5% OM) and by 300% in temperate soils (to go from 1% to 4% OM) to the depth of one foot (which are obtainable, realistic goals when using #biointensive methods), we would sequester enough carbon to decrease the atmospheric carbon to about 350 ppm - the amount recommended by Dr. Hansen!
#climat #sols #séquestration_biologique
sur le même sujet
►http://seenthis.net/messages/367347
►http://seenthis.net/messages/360087
►http://seenthis.net/messages/340099
►http://seenthis.net/messages/319569
►http://seenthis.net/messages/318977
►http://seenthis.net/messages/314560
►http://seenthis.net/messages/36167
cela dit, gare au solutionnisme ▻http://seenthis.net/messages/314560#message387312
Intéressant, comment les économistes voient le souci du #changement_climatique : se concerter globalement sur les commodités alimentaires à faire pousser.
Can trading crops make climate change less costly ? - Futurity
▻http://www.futurity.org/crops-climate-change-935132
“We find that much of the potential harm that could be done by climate change, in terms of reducing farmers’ earnings, will be avoided if farmers are able to switch the crop that they grow in response to changing relative yields,” says Donaldson.
In many areas of the world, he notes, many experts predict climate change will affect yields for some crops, but not all, and this may depend on location. For example, many regions are expected to see changes in wheat and rice productivity, the world’s two most important crops.
“If climate change were to (in some regions) make wheat scarce, how willing would consumers there be to substitute imported wheat, or rice, instead?” writes Donaldson, who conducted his research with MIT economists Arnaud Costinot and Cory Smith.
In their simulations, if the countries’ trade flows are constrained so that they cannot respond to climate change, those countries are not harmed much more by climate change than they would be in the absence of that constraint, he says.
cela dit en restant pragmatique il faudra bien trouver des cultures et des façons de faire plus tolérantes aux conditions chaudes et sèches
par chez moi #EHLG planche sur la question depuis une dizaine d’années ►http://www.ehlgbai.org/sites/default/files/media/colloque-eau-2006.pdf
#eau #climat
Oui mais ce qui est proposé là est plutôt pervers, au lieu de dire « qu’est ce qui pousserait localement », ils se disent « on a besoin de X tonnes de Y mondialement, quel est l’endroit où ça poussera le mieux pour les faire pousser la-bas »
oui oui leur truc à eux est carrément hors-sol, ils n’ont pas idée des implications locales et s’en foutent
Schizophrénie d’État : le véritable bilan annuel d’EDF
▻http://multinationales.org/Schizophrenie-d-Etat-le-veritable-bilan-annuel-d-EDF
Après Total et Engie, l’Observatoire des multinationales publie un nouveau contre-rapport annuel sur EDF. Près de 70 ans après sa création, on a bien du mal à reconnaître l’ancien service public national de l’énergie et les valeurs qu’il incarne. Qu’il s’agisse de fiscalité, de droits des travailleurs ou d’environnement, quelle entreprise illustre mieux qu’EDF la schizophrénie de l’État actionnaire ? Une entreprise encore formellement publique (dont l’État détient 84% des actions) qui distribue des (...)
/ A la une, #France, #Royaume-Uni, #Énergie, #État_actionnaire, #Énergie_nucléaire, #Énergies_fossiles, #Santé_et_sécurité_au_travail, #nucléaire, #financiarisation, #conditions_de_travail, #charbon, #énergie, #Greenwashing, #changement_climatique, gaz à effet de (...)
#gaz_à_effet_de_serre
▻http://multinationales.org/IMG/pdf/edf_contrerapport_final_bd.pdf
Podcast : #migration and climate change – evidence for policy
In June we chaired a session looking at the connections between climate change and migration – and the policies that can be used to address the connection. This podcast is a recording of the debate in which a number of policy makers and researchers reflect on the issues.
▻http://climatemigration.org.uk/podcast-migration-and-climate-change-evidence-for-policy
#climat #changement_climatique
@reka
Shocking Short Film Highlights the Environmental Cost of the Aviation Industry
▻http://www.filmsforaction.org/watch/shocking-short-film-highlights-the-environmental-cost-of-the-aviatio
It’s really not about polar bears any more...
We have a problem. We’re flying too much, and it’s changing the earth’s climate. Aviation is the fastest growing cause of climate change. But instead...
Rap News 33 : Pope Francis Vs Climate Change
▻http://www.filmsforaction.org/watch/rap-news-33-pope-francis-vs-climate-change
Today on Rap News, a world exclusive: Pope Francis performing his 2015 encyclical on climate change, revealing his new, revised Ten Climate Commandments for the care of our common home. Of course...
Laudato si’ - Lettre encyclique du #pape François « sur la sauvegarde de la maison commune » (24 mai 2015)
►http://w2.vatican.va/content/francesco/fr/encyclicals/documents/papa-francesco_20150524_enciclica-laudato-si.html
À cela s’ajoutent les dynamiques des moyens de #communication sociale et du monde digital, qui, en devenant omniprésentes, ne favorisent pas le développement d’une capacité de vivre avec sagesse, de penser en profondeur, d’aimer avec générosité. Les grands sages du passé, dans ce contexte, auraient couru le risque de voir s’éteindre leur sagesse au milieu du #bruit de l’#information qui devient divertissement. Cela exige de nous un effort pour que ces moyens de communication se traduisent par un nouveau développement culturel de l’humanité, et non par une détérioration de sa richesse la plus profonde. La vraie sagesse, fruit de la réflexion, du dialogue et de la rencontre généreuse entre les personnes, ne s’obtient pas par une pure accumulation de données qui finissent par saturer et obnubiler, comme une espèce de pollution mentale. En même temps, les relations réelles avec les autres tendent à être substituées, avec tous les défis que cela implique, par un type de communication transitant par #Internet. Cela permet de sélectionner ou d’éliminer les relations selon notre libre arbitre, et il naît ainsi un nouveau type d’émotions artificielles, qui ont plus à voir avec des dispositifs et des écrans qu’avec les personnes et la nature. Les moyens actuels nous permettent de communiquer et de partager des connaissances et des sentiments. Cependant, ils nous empêchent aussi parfois d’entrer en contact direct avec la détresse, l’inquiétude, la joie de l’autre et avec la complexité de son expérience personnelle. C’est pourquoi nous ne devrions pas nous étonner qu’avec l’offre écrasante de ces produits se développe une profonde et mélancolique insatisfaction dans les relations interpersonnelles, ou un isolement dommageable.
De l’Alberta à l’Arctique, le lourd tribut environnemental des sables bitumineux
►http://multinationales.org/De-l-Alberta-a-l-Arctique-le-lourd-tribut-environnemental-des-sable
Dans les plaines de l’Alberta, au #Canada, des firmes pétrolières canadiennes et internationales, parmi lesquelles #Shell et #Total, exploitent les gisements de sables bitumineux à un rythme effréné. Malgré la chute actuelle des cours du pétrole, elles espèrent encore tripler leur production d’ici 2030. S’il est beaucoup question de l’impact des sables bitumineux en termes d’émissions de gaz à effet de serre, on parle moins de ses conséquences sur les ressources en #eau. Extraction excessive et pollutions (...)
/ Canada, #Industries_extractives, #Industries_extractives, #Énergies_fossiles, Total, Shell, eau, #industries_extractives, biodiversité, #impact_sur_l'environnement, #impact_social, #communautés_locales, #normes_et_régulations, #changement_climatique, #énergie, santé (...)
Publication:- World Energy Outlook Special Report 2015: Energy and Climate Change - Executive Summary - French version
▻http://www.iea.org/publications/freepublications/publication/weo-2015-special-report-energy-climate-change---executive-summary---french-vers
Le monde se prépare à une réunion cruciale sur le changement climatique qui doit se tenir à Paris en décembre 2015 (COP21). Les négociations qui s’y dérouleront reposeront sur les engagements nationaux, officiellement connus sous le nom de contributions prévues déterminées au niveau national, dans le but de mettre le monde sur une trajectoire durable. L’Agence Internationale de l’Energie insiste depuis longtemps, auprès de ses membres et du monde entier, sur le fait que la production et la consommation d’énergie incompatibles avec les exigences internationales en matière d’environnement ne sont pas viables : elles ne répondent pas aux exigences de sécurité énergétique. L’AIE se sent ainsi dans l’obligation d’apporter sa contribution à la COP21, contribution qui réconcilie les exigences climatiques avec les besoins en énergie. Tel est l’objectif de ce rapport spécial de la série du World Energy Outlook (Perspectives énergétiques mondiales).
Sommes-nous responsables du #changement_climatique ?
▻http://lepeuplebreton.bzh/sommes-nous-responsables-du-changement-climatique
Gaël BRIAND
Alors que lʼ#écologie était omniprésente dans les médias et la société voilà quelques années, on constate aujourdʼhui une baisse de lʼintérêt pour ce courant #politique. Selon une étude de la société de services en développement durable GreenFlex parue le 1er juin 2015, 23,7 % des Français se disent désengagés face aux problématiques écologiques contre 15 % en 2014. Moins de 19,6 % des personnes interrogées se disent « très soucieuses des problèmes liés à lʼ#environnement » et 19,3 % pensent quʼ « agir pour lʼenvironnement nʼen vaut la peine que si cela leur fait gagner de lʼargent ». Une étude qui en dit long sur nos sociétés capitalistes…
Le #climat évolue, la #biodiversité trinque et lʼinfluence de lʼHomme sur son milieu nʼest plus à prouver. Pourtant, les pouvoirs publics ne semblent pas prendre ces problèmes à bras le corps, comme si la planète pouvait supporter encore quelques décennies de #productivisme alors que lʼon sait pertinemment que ses #ressources sʼépuisent. Pire, les États riches se permettent de rejeter la faute sur les États pauvres qui, selon eux, utilisent plus dʼénergies fossiles et donc contribuent plus à la #pollution, ce qui autoriserait les États riches à poursuivre le saccage ! Côté individuel, même chanson : les #médias nous abreuvent de lʼidée selon laquelle « ce sont les petits gestes qui comptent » et sʼétonnent que les Occidentaux persistent à ne pas faire évoluer leur mode de vie, leurs habitudes de #consommation.
Cʼest probablement que lʼon ne sʼintéresse à lʼécologie que lorsque lʼon est en « sécurité ». Lʼétude de GreenFlex appelle « rétractés » les personnes désengagées. 64 % seraient des hommes et on note une surreprésentation « chez les chômeurs et les populations modestes ». La précarisation actuelle de la société (associé au sentiment de précarisation) nʼincite en effet pas à la prise de recul. Même les CDI ne sont plus sûrs : en 2011, une étude du ministère du Travail expliquait quʼun tiers des CDI avaient été rompus avant la fin de la première année. La tête dans le guidon, la réflexion sur lʼinteraction hommes-milieux paraît malheureusement assez « bobo »…
Il faut dire que lʼécologie est considérée chez nous sous lʼangle punitif. De lʼécotaxe – qui était une prime à la centralité – aux interdictions de circuler en passant par les barbants « gestes du quotidien », tout est fait pour que lʼécologie soit impopulaire. Lʼétude dont il est question au début de cet article pose la question du « sacrifice » que les gens seraient capables, ou non, de faire pour favoriser la planète. Se soucier de son milieu nécessiterait donc de sacrifier une part de son bien-être ? Cʼest ce que beaucoup de mouvements écologistes tentent dʼinsinuer dans la tête des gens : je sauve le monde car jʼarrête de prendre des bains ! En caricaturant, on peut donc aisément dire quʼun super-héros serait alors un homme sale.
Même sʼil est évident, à lʼinstar de ce que disent les Colibris, que lʼeffort de chacun est nécessaire, rejeter sur lʼindividu la #responsabilité collective, cʼest oublier que le citoyen nʼest pas maître – en France du moins – des décisions politiques dʼenvergure. Qui peut affirmer, par exemple, que le choix du #nucléaire est un choix individuel ? Qui peut sérieusement estimer que la paix dans le monde commence par la politesse quand, dans le même temps, les États occidentaux au langage si policé vendent des armes dans les zones instables ? Certes, éteindre sa lumière en quittant une pièce et dire « bonjour » à ses voisins sont des attitudes qui ne peuvent pas faire de mal, mais cela ramène la responsabilité à des niveaux sensiblement différents : pour les uns, fermer un robinet, pour les autres, cesser une politique suicidaire.
Lʼobjet de ce point de vue nʼest pas dʼaffirmer que le principe de pollueur-payeur est néfaste ou de justifier un gaspillage inadmissible, mais dʼinterroger sur lʼun des fondements qui a prévalu à la pensée politique écologiste, à savoir le « risque ». À force de tout évaluer à lʼaune du risque, on en fait le principe de nos valeurs, dit en substance Ulrich Beck dans son ouvrage La société du risque (1986). La conscience écologique fait partie de ce jeu depuis les années 70 et cela sʼest accentué à partir de la fin du XXe siècle. Ce sont par exemple les écologistes qui ont créé ce qui appartient aujourdʼhui au vocabulaire politique de tous les « décideurs », à savoir le « principe de précaution ».
Plus récemment, on a vu fleurir des agences de notation et des procédures en tout genre définissant lʼ« acceptabilité » du risque. Car notre vie est devenue une course dʼobstacles au milieu de « risques » : manger est risqué, se déplacer est risqué, boire est risqué, faire lʼamour est risqué…
Tout cela pour dire que la société actuelle est régie par la peur et cʼest à lʼaune de cette peur, de ce risque hypothétique, que lʼon prend des décisions. Or, les États rejettent la responsabilité sur les individus, justifiant leur propre irresponsabilité par le fait que – loi de lʼoffre et de la demande oblige – cʼest lʼindividu qui choisit ce quʼil consomme (ex. : #OGM ou non) et que, par conséquent, le pouvoir est entre ses mains de citoyen. Le paradoxe, cʼest quʼalors que lʼindividu fait des efforts en tentant de réduire les risques, lʼÉtat lui impose des risques collectifs bien plus graves. Si bien que lʼindividu lambda ne perçoit pas le changement, malgré ses efforts. Ceci peut, en partie du moins, expliquer le fait que nombre de citoyens se désintéressent de ce sujet pourtant ô combien primordial. Ces personnes ont parfaitement conscience de lʼétat de la planète, mais dès lors quʼils ne peuvent pas agir réellement, concrètement, à grande échelle sur ce phénomène, ils le laissent de côté.
Lʼécologie ne peut pas être cosmétique. Or, le capitalisme en fait un objet de marketing parmi dʼautres. Lʼécologie, au contraire, impose un changement de paradigme profond que le pouvoir doit prendre en compte dans ses politiques. Quand notre société aura monté cette « marche », on pourra peut-être enfin parler de réduction de la production et façonner une société qui vivent en fonction de ses besoins et non de ses envies. Cela nʼa rien de frustrant, mais nécessite simplement une adaptation de la technique à ces impératifs. Un choix politique qui sous-tend une législation adéquate. Encore faudrait-il que le citoyen ait le pouvoir de lʼimposer. Et pour cela, il faudrait revoir nos institutions pour que les décisions se prennent à lʼéchelon le plus petit. On appelle ça « subsidiarité » et cʼest un principe de base de la démocratie. Or, dès lors que la démocratie nʼest pas effective, il est injuste de faire porter la responsabilité sur les individus…
Assez prévisible dans une société où la question de la
#démocratie et de la #représentation (cc @aude_v) est éludée, et où le #libéralisme a évacué la question de la #justice_sociale. On se retrouve avec un pouvoir sur lequel on n’a plus la possibilité d’agir et qui nous balance des sermons « #développement_durable » hypocrites et infantilisants.
liens avec
▻http://blog.ecologie-politique.eu/post/L-%C3%A9cologie-urbaine-contre-l-%C3%A9cologie-politique
▻http://www.lan02.org/2012/08/2-lecologie-contre-le-peuple
▻http://www.lan02.org/2012/10/il-faut-articuler-la-critique-des-besoins
►http://seenthis.net/messages/187774
►http://www.dailymotion.com/video/x8n2mo_bobo-ecologie-developpement-durable_fun
#peur #risque #individualisme (à la fois conséquence et cause du libéralisme)
Anecdote personnelle
Il y a 17 ou 18 ans de cela, j’essayais vainement de faire comprendre aux gentils militants écolos de Chiche ! qui disputaient d’opposition aux OGM qu’il était intellectuellement désarmant de lutter en acceptant le langage de l’ennemi. Qu’on se désarmait soi-même en acceptant de parler en termes de « risques » et de « peur ».
Qu’en l’occurrence, il ne s’agissait pas de « risques », mais de certitudes - l’ « incertitude » concernant seulement, question ô combien passionnante !, où, quand et comment - sur qui - les conséquences morbides de telle ou telle nouvelle technologie seraient d’abord perçues...
Qu’il s’agissait de manifester un refus de ces conséquences et de donc leurs causes, et certainement pas d’adopter le langage de leurs promoteurs.
Quand aux peurs, aux prises de risque, on pouvait et on devait en parler entre amis, entre alliés, entre personnes de confiance : mais les politiser ne signifiait certainement pas d’en faire état, encore moins les brandir comme argument devant un pouvoir que l’on combat.
Nous n’étions pas nombreux (et où je me trouvais - Grenoble - j’étais souvent bien seul) à formuler cet type de critique, et ne fumes guère écoutés. L’ « information au consommateur » et le « principe de précaution » étaient des slogans tellement plus vendeurs, tellement plus porteurs à très court terme, et ce milieu écologiste semblait pour beaucoup, dont c’était la première expérience d’engagement, une forme d’alternative à une réelle politisation, à une prise de conscience un peu douloureuse des réalités des luttes sociales.
Mais les ébauches de luttes d’alors (je pense aux campagnes contre les OGM en particulier) semblent bien loin aujourd’hui
vu sur twitter : ▻https://twitter.com/clemence_h_/status/638632249152417792
Vous savez quand sur un produit alimentaire ou un billet de train on affiche l’empreinte Co2 ? C’est pour individualiser le problème.
Ce sont des grandes entreprises de l’agro-alimentaire ou de transport (RATP, SNCF) qui affichent ça. Elles ont un pouvoir d’action énorme !!
Mais si implicitement elles rejettent la faute sur vous... Elles n’ont plus besoin d’agir. Ça devient votre responsabilité, VOUS devez changer
Le + vicieux dans tout ça c’est que les gens pensent que c’est un progrès en soi d’afficher le Co2. Mais ça bloque tout progrès structurel.
La SNCF supprime des trains et des milliers d’emploi depuis des décennies. Mais voyez combien vous émettez pour un Paris-Bordeaux !!!
On vit dans un système climaticide. On ne pourra pas sauver le climat en changeant individuellement nos consommations ! Ça ne suffira jamais
Et ils savent que ce sera toujours insuffisant !! C’est pour ça que les grandes entreprises individualisent le truc !!!!
Et c’est pour ça que quand Naomi Klein écrit un livre anti-capitaliste Antoine de Caunes lui demande ce qu’il peut faire individuellement.
Parce que changer le système, agir collectivement, prendre des mesures politiques fortes- tout ça n’est pas dans nos esprits.
Faut-il vraiment pédaler pour la planète ?
« Zéro CO2 ». Le panonceau en plastique de couleur vive, fixé sur le porte-bagages des bicyclettes, est bien visible. Les Nantais qui ont imaginé cet affichage espèrent ainsi montrer que leur moyen de transport ne contribue aucunement au changement climatique, contrairement aux automobiles, camionnettes et scooters qui circulent à vive allure dans les rues de la ville.
▻http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/06/04/faut-il-vraiment-pedaler-pour-la-planete_4647212_3244.html?__scoop_post=0d63
#vélo #climat #changement_climatique
Norway Will Divest From Coal in Push Against Climate Change - NYTimes.com
▻http://www.nytimes.com/2015/06/06/science/norway-in-push-against-climate-change-will-divest-from-coal.html?emc=edit_t
Je remercie ma « taupe » à Montréal qui me signale les trucs bien sur mon pays ;)
Norway’s $890 billion government pension fund, considered the largest sovereign wealth fund in the world, will sell off many of its investments related to coal, making it the biggest institution yet to join a growing international movement to abandon at least some fossil fuel stocks.
Parliament voted Friday to order the fund to shift its holdings out of billions of dollars of stock in companies whose businesses rely at least 30 percent on coal. A committee vote last week made Friday’s decision all but a formality; it will take effect next year.
#Vidéo : Un tiers du #Bangladesh bientôt sous l’eau
Si le niveau de la mer continue à monter, cet Etat à la densité de population record pourrait perdre jusqu’au tiers de sa surface et voir fuir des millions de ses habitants, chassés par les ravages de la #mousson et des #inondations. Dans le Sud, au coeur de la mangrove, l’#exode des villageois a déjà commencé.
Plus de gaz pour sauver le climat ? La grande offensive de #Greenwashing des majors pétrolières
▻http://multinationales.org/Plus-de-gaz-pour-sauver-le-climat-La-grande-offensive-de-greenwashi
Le 26e Congrès mondial de l’industrie gazière mondiale vient de se tenir à Paris. L’occasion pour les grandes majors des hydrocarbures comme #Total, Engie (GDF Suez) Chevron, ExxonMobil ou Shell de mettre en avant leur vision de la lutte contre le #changement_climatique et de la transition énergétique : développer le gaz, présenté comme la « moins sale » des énergies fossiles. Sauf que le gaz reste bien une #énergie sale, particulièrement lorsqu’il s’agit de gaz non conventionnel, et que son développement (...)
Actualités
/ #Libération, #Énergie, #Énergies_fossiles, Greenwashing, Total, Engie (ex GDF Suez), #charbon, #marketing, #publicité_mensongère, changement climatique, énergie, #gaz_à_effet_de_serre, gaz de (...)
#Engie_ex_GDF_Suez_ #gaz_de_schiste
« ▻http://www.liberation.fr/economie/2015/06/01/le-gaz-est-il-vraiment-le-levier-incontournable-de-la-transition-energeti »
« ▻http://www.amisdelaterre.org/Sous-la-pression-populaire-Engie.html »
« ▻http://www.usinenouvelle.com/article/total-stoppe-ses-activites-dans-le-charbon-et-met-l-accent-sur-le-gaz »
Historical cross-border relocations in the Pacific: lessons for planned relocations in the context of climate change | Professor Jane McAdam
Professor Jane McAdam focuses here on the relocation of the Banaban population from Ocean Island (previously one of the Gilbert & Ellice Islands, now Kiribati) to Rabi Island in Fiji after the Second World War, and the lessons that can be drawn from this.
▻http://www.rsc.ox.ac.uk/news/historical-cross-border-relocations-in-the-pacific-lessons-for-planned-rel
#Océanie #Pacifique #climat #changement_climatique #migration
cc @reka
Global finance must face up to climate challenge - Climate News Network
▻http://www.climatenewsnetwork.net/global-finance-must-face-up-to-climate-challenge
By Kieran Cooke
Trillions of dollars need to be redirected into building low-carbon economies to avoid serious climate change, the UN warns.
LONDON, 27 May, 2015 − The world’s financial system must undergo comprehensive change by 2035 if humanity is to make the transition needed to reduce the threat of dangerous climate change, according to a new report by the United Nations Environment Programme (UNEP).
The report, on an inquiry into aligning the financial system with sustainable development, says finance must be focused on moving investments into low-carbon projects.
A Lisbonne, les parcs deviennent des #potagers urbains
▻http://www.reporterre.net/A-Lisbonne-les-parcs-deviennent
A Lisbonne, la municipalité a réagi à la crise en faisant le pari que l’#agriculture_urbaine pouvait avoir un rôle social. Des hectares d’espaces verts sont devenus des potagers urbains, et les parcelles attribuées sur critères sociaux à 500 familles. Une façon d’augmenter leurs revenus, tout en améliorant la #résilience de la ville et en répondant au #changement_climatique.
[...]
Depuis 2008, la municipalité a décidé de revoir son approche. Au programme : jardins, vergers et potagers urbains, parcs, corridors verts et pistes cyclables pour relier tous ces espaces de respiration.
Sur 32 hectares d’espaces verts, 7 sont devenus des potagers ou des jardins urbains. Des parcelles de 50 mètres carrés pour les plus petites, 1500 mètres carrés pour les plus grandes, ont été attribuées à 500 familles. Le but est de doubler ce chiffre d’ici 2017.
Les plus grandes parcelles sont distribuées en priorité aux chômeurs ou personnes habitant des logements sociaux. « Elles ont vraiment un rôle social, insiste Duarte Mata. Elles permettent de compléter des revenus insuffisants et d’améliorer la qualité de l’#alimentation de la famille. »
Mais cela a aussi transformé le visage de la ville. Les pelouses vertes laissent peu à peu place à des jardins riches en biodiversité. Les occupants de parcelles ont l’obligation de laisser le passage aux promeneurs dans les allées. « Les parcs ont désormais plusieurs fonctions : récréative, mais aussi de production alimentaire, se félicite l’architecte. Et la présence de personnes dans les jardins crée un sentiment de sécurité pour tous. »
Forte de ce succès, la ville est donc en train d’augmenter la surface des parcs, tout en diminuant les coûts d’entretien. Plus besoin d’arroser les pelouses tout l’été pour les garder bien vertes, ou d’arroser d’herbicides les allées. « Désormais, ce sont les citoyens qui s’occupent des parcs », se réjouit Duarte Mata. Des formations à l’#agriculture_biologique sont même proposées aux heureux occupants de parcelles.Faire face aux pénuries alimentaires et au changement climatique
De quoi créer une ville plus verte, mais aussi plus résiliente. C’est ce que souligne un article des Centres de ressource en agriculture urbaine, qui résume le plan stratégique d’Agriculture urbaine de la capitale portugaise :
« Ce plan souligne combien l’agriculture urbaine est importante pour une ville, principalement à cause de sa dépendance aux légumes frais, de la montée des cours internationaux, et du revenu supplémentaire que cela apporte aux familles. Un autre facteur (…) est que cela permet de faire face aux éventuelles pénuries alimentaires. (…) Vous ne savez jamais ce qui peut arriver – événements soudains, catastrophes naturelles ou guerres (…). Par exemple, Lisbonne est située dans une région sismique et subit fréquemment des tremblements de terre, dont un en 1755 qui fût l’un des pires de l’histoire humaine. »
Résilience, et donc également adaptation au changement climatique. « Chaque année les pluies sont plus intenses, nous avons eu cinq inondations rien que cet hiver », souligne Duarte Mata. Les sols cultivés permettent d’absorber le trop plein d’eau et d’atténuer les conséquences des fortes averses. L’été, les jardins permettent à l’inverse de lutter contre les vagues de chaleur, elles aussi de plus en plus fréquentes.
#bonne_nouvelle
le gazon c’est la mort ►http://seenthis.net/messages/356092 le #potager c’est la vie
Le gazon des parcs publics c’est chouette aussi quand on a des enfants. Faut en garder un peu quand même.
On peut aussi mettre du trèfle ou de la luzerne à la place, du coup ça fait des prairies de fauche en même temps que des parcs :-)
bon ok, du lotier corniculé à la place du trèfle
On peut aussi faire paturer le gazon et manger les oeufs ou la viande
Ouais mais ça occupe l’espace, du coup c’est moins pratique pour promener les gamins (clôtures, bouses, mouches...)
Ahah, j’allais dire que les enfants seraient attirés par les animaux, par le reste aussi apparemment
Pour sponsoriser la Conférence climat de Paris, le gouvernement choisit les multinationales françaises les plus polluantes
▻http://multinationales.org/Pour-sponsoriser-la-Conference-climat-de-Paris-le-gouvernement-choi
On attendait depuis plusieurs semaines de connaître le nom des multinationales appelées à devenir les sponsors officiels de la Conférence climat de Paris (COP21), qui doit se tenir à la fin de l’année. Laurent Fabius vient de rendre publique la liste de ces sponsors, qui confirme les pires craintes des associations et des militants du climat. Y figurent notamment des firmes énergétiques fortement investies dans le #charbon (EDF et Engie) et une banque championne européenne du financement des énergies (...)
Actualités
/ #France, #Greenwashing, #Lobbying, #Énergies_fossiles, #EDF, Engie (ex GDF Suez), #BNP_Paribas, #LVMH, #Suez_environnement, #Veolia_environnement, #Renault, #Air_France_KLM, #changement_climatique, charbon, #gaz_à_effet_de_serre, #influence, (...)
#Engie_ex_GDF_Suez_ #fiscalité
« ▻http://www.amisdelaterre.org/Non-Les-sponsors-prives-de-la.html »
« ▻http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/climat/actualites-liees-au-dereglement/actualites-2015-liees-au/article/climat-presentation-des-premiers »
Noam Chomsky et la stupidité institutionnelle
►http://www.les-crises.fr/noam-chomsky-et-la-stupidite-institutionnelle
Emmanuel Kant a dit que notre expérience dépend non seulement de la nature du monde extérieur mais aussi de notre appareil perceptif et de nos catégories mentales. Il y a le monde phénoménal, le monde tel qu’on en a l’expérience, et il y a le monde nouménal, le monde extérieur tel qu’il est en réalité, et que l’on ne peut jamais pleinement connaître.
Le projet de Chomsky, sous certains rapports fait penser à celui de Kant. Il étudie de quelle façon on obtient notre connaissance du monde #social et du monde #politique. Le monde étant très vaste, il n’est pas possible d’être témoin direct de la plupart des événements qui s’y déroulent, et à la place on doit les découvrir par des intermédiaires, sous une forme condensée. C’est parce qu’ils sont des intermédiaires qu’on les appelle des #médias. Mais avant de diffuser des informations, ils doivent décider de ce qui mérite d’être diffusé, et de quelle façon. Dans les régimes autoritaires ce processus est soumis à une #censure qui est souvent flagrante et parfois brutale.
La stupidité se présente sous plusieurs formes. Je voudrais dire quelques mots d’une forme particulière que je crois être la plus inquiétante de toutes. On peut l’appeler la « stupidité institutionnelle ». C’est une sorte de stupidité entièrement rationnelle dans le cadre où elle s’exerce, mais le cadre lui-même s’étend du grotesque au virtuellement dément.
Au lieu d’essayer de l’expliquer, il est probablement plus utile d’évoquer deux ou trois exemples pour illustrer ce que je veux dire. Il y a trente ans, au début des années 80 – les premières années de Reagan – j’ai écrit un article intitulé « la rationalité du suicide collectif ». C’était au sujet de la stratégie nucléaire, et de comment des gens parfaitement intelligents étaient en train de définir un projet de #suicide collectif d’une façon qui était raisonnable dans leur cadre d’analyse géostratégique.
J’ignorais à l’époque à quel point la situation était mauvaise. Nous avons depuis beaucoup appris. Par exemple, un numéro récent du Bulletin of Atomic Scientists présente une étude des fausses alarmes lancées par les systèmes de détection automatique que les États-Unis et d’autres utilisaient pour détecter les attaques de missiles et d’autres menaces pouvant être perçues comme une attaque nucléaire. L’étude porte sur les années 1977 à 1983 et on estime que durant cette période il y eut un minimum d’environ 50 fausses alarmes, et au plus d’environ 255. Il s’agit d’alarmes auxquelles une intervention humaine a mis fin, prévenant le désastre à quelques minutes de l’irréparable.
Il est plausible de supposer que rien de fondamental n’a changé depuis. Mais en réalité, la situation a empiré – ce que je n’avais pas non plus compris à l’époque de la rédaction du livre.
En 1983, à peu près au moment où je l’écrivais, il y avait une très grande peur de la guerre. C’était dû en partie à ce que l’éminent diplomate George Kennan appelait à l’époque « les caractéristiques indubitables de la marche vers la guerre – et rien d’autre ». Elle a été initiée par des programmes que l’administration Reagan a entrepris dès l’entrée en fonctions de Reagan. Tester les défenses russes les intéressait, ils ont donc simulé des attaques aériennes et navales sur la Russie.
C’était une période de grande tension. Des missiles Pershing américains avaient été installés en Europe occidentale, ce qui leur donnait un temps de vol jusqu’à Moscou de cinq à dix minutes. Reagan a aussi annoncé son programme de « guerre des étoiles », compris par les stratèges des deux camps comme une arme de première frappe. En 1983, l’Opération Able Archer a inclus un entraînement qui « a amené les forces de L’OTAN à une simulation grandeur nature de lancement d’armes nucléaires ». Le KGB, nous l’avons appris d’archives récemment publiées, a conclu que les forces américaines avaient été placées en état d’alerte, et auraient même commencé le compte à rebours.
Le monde n’a pas tout à fait atteint le bord de l’abîme nucléaire ; mais en 1983, sans en être conscient, il en a été terriblement près – certainement plus près qu’à tout autre moment depuis la Crise cubaine des Missiles de 1962. Les dirigeants russes ont cru que les États-Unis préparaient une première attaque, et qu’ils auraient bien pu avoir lancé une frappe préventive. Je cite en fait une analyse récente faite à un haut niveau des services secrets américains, qui conclut que la peur bleue de la #guerre a été réelle. L’analyse indique qu’au fond d’eux-mêmes, les russes gardaient l’ineffaçable mémoire de l’Opération Barberousse, le nom de code allemand pour l’attaque de 1941 d’Hitler sur l’Union soviétique, qui a été le pire désastre militaire de l’histoire russe et a été bien près de détruire le pays. L’analyse américaine dit que c’était exactement ce que la situation évoquait pour les russes.
C’est déjà assez grave, mais il y a encore pire. Il y a un an, nous avons appris que en plein milieu de ces événements menaçant le monde, le système de première alerte de la Russie – semblable à celui de l’Ouest, mais beaucoup plus inefficace – avait détecté l’entrée d’un missile lancé des États-Unis et avait lancé l’alerte de plus haut niveau. Le protocole pour les militaires soviétiques consistait à riposter par une frappe nucléaire. Mais l’ordre doit passer par un être humain. L’officier de service, Stanislav Petrov, décida de désobéir aux ordres et de ne pas transmettre l’avertissement à ses supérieurs. Il a reçu une réprimande officielle. Mais grâce à son manquement au devoir, nous sommes maintenant en vie pour en parler.
Nous avons connaissance d’un nombre énorme de fausses alertes du côté des États-Unis. Les systèmes soviétiques étaient encore bien pires. Mais maintenant les systèmes nucléaires ont été modernisés.
Le Bulletin des Scientifiques atomistes possède une célèbre Horloge de la fin du monde et ils l’ont récemment avancée de deux minutes. Ils expliquent que l’horloge « affiche maintenant trois minutes avant minuit parce que les dirigeants internationaux ne remplissent pas le plus important de leurs devoirs, assurer et préserver la santé et la vitalité de la civilisation humaine. »
Individuellement, ces dirigeants internationaux ne sont certainement pas stupides. Cependant, dans leur fonction institutionnelle, leur stupidité a des implications mortelles. Si l’on regarde rétrospectivement depuis la première – et unique jusqu’ici – attaque atomique, cela semble un miracle que nous en ayons réchappé.
La destruction #nucléaire est une des deux menaces majeures et très réelles de notre survie. La deuxième, bien sûr, est la catastrophe #environnementale.
Il existe au sein de PricewaterhouseCoopers une équipe reconnue de services professionnels qui vient tout juste de publier son étude annuelle sur les priorités des PDG. Au sommet de la liste se trouve la sur-réglementation. Le rapport indique que le #changement_climatique n’apparaît pas dans les dix-neuf premières. Encore une fois, sans aucun doute, les chefs d’entreprise ne sont pas des individus stupides. On peut supposer qu’ils gèrent leurs entreprises intelligemment. Mais la #stupidité_institutionnelle est colossale, littéralement c’est une menace pour la survie des espèces.
On peut remédier à la stupidité individuelle, mais la stupidité institutionnelle est beaucoup plus résistante au changement. A ce stade de la société humaine, elle met réellement en danger notre survie. C’est pourquoi je pense que la stupidité institutionnelle doit être une préoccupation de première importance.
plus les relations interindividuelles sont rigides, plus le comportement de la totalité apparaîtra, à ses éléments individuels, comme doté d’une dynamique propre, qui échappe à leur contrôle. [...]
On fait, donc, face à une situation paradoxale. Lorsque les individus sont sous une influence mutuelle, l’avenir du système est prévisible pour les observateurs extérieurs, alors que les individus se sentent impuissants à en infléchir l’orientation. Le comportement d’ensemble ne résulte que de l’intégration des réactions individuelles, mais le tout semble s’autonomiser et son évolution se figer en destin.
Now You Can « Hear » Climate Change - Scientific American
▻http://blogs.scientificamerican.com/observations/now-you-can-hear-climate-change-video
▻https://vimeo.com/127083533
each instrument represents a region of the hemisphere. The cello plays the data from the equatorial zone, the viola the mid-latitudes, one violin the high latitudes and another violin the Arctic. The pitch of each note represents the average annual temperature of the region for the relevant year. For example, a high note on the violin means warm weather in the Arctic; a low note on the cello means cold weather along the equator. Blend all four, and you can hear how temperatures fluctuate across the hemisphere and how much they have risen.
#visualisation ou plutôt #sonification du #climat
Les géants de l’énergie, plus influents et moins transparents que jamais à Bruxelles
▻http://multinationales.org/Les-geants-de-l-energie-plus-influents-et-moins-transparents-que-ja
Les géants européens de l’énergie sont moins transparents que jamais sur leur #Lobbying auprès de la Commission et des autres institutions de l’Union. La plupart ne fournissent toujours pas de données précises ou crédibles sur leurs activités dans la capitale européenne. Pour les ONG, une telle opacité est inquiétante à un moment où se prennent des décisions cruciales sur la politique européenne de l’énergie, qui pourraient compromettre ses engagements sur le climat. Depuis plusieurs mois, les institutions (...)
Actualités
/ Corporate #Europe Observatory (CEO), Europe, #Total, #GDF_Suez, #Énergies_fossiles, Lobbying, #union_européenne, #influence, #énergie, #changement_climatique, #transparence, (...)
#Corporate_Europe_Observatory_CEO_ #ALTER-EU
« ▻http://alter-eu.org/fr »
« ▻http://corporateeurope.org/fr/power-lobbies/2015/05/le-lobbying-de-l-industrie-de-l-nergie-bruxelles-un-monde-qui-reste »
« ▻https://www.flickr.com/photos/isnapshot/12793650333
Victoire pour le climat : le #Crédit_agricole se détourne du #charbon
▻http://multinationales.org/Victoire-pour-le-climat-le-Credit-agricole-se-detourne-du-charbon
C’est une nouvelle victoire pour les militants de la justice climatique. Lors de son Assemblée générale annuelle tenue le 20 mai 2015, le Crédit agricole a annoncé qu’il mettait fin au financement des activités d’extraction du charbon, la première source mondiale de #gaz_à_effet_de_serre. Malgré ses limites, cette annonce place la banque loin devant ses concurrentes françaises BNP Paribas et Société générale en matière d’engagement pour le climat. Bien entendu, les annonces du Crédit agricole restent très (...)
Actualités
/ #Finances_et_banques, Crédit agricole, #Industries_extractives, #Énergie, #Énergies_fossiles, charbon, #changement_climatique, gaz à effet de serre, campagne (...)
#campagne_citoyenne
« ►http://www.banktrack.org/show/pages/banking_on_coal_2014_report »
« ▻http://www.amisdelaterre.org/IMG/pdf/150512_bnp_briefing_french_final.pdf »
« ▻http://www.banktrack.org/manage/ems_files/download/sg_briefing_en_digital_final_pdf/sg_briefing_en_digital_final.pdf »