• EP25 : Quelle voiture choisir pour rouler le plus écolo possible. Hybride rechargeable, électrique... - YouTube

    https://www.youtube.com/watch?v=7i1Bq6pr120

    Pour aller au delà du discours que la voiture électrique n’est pas écolo, je vous propose d’aller plus dans le concret sur les voitures hybrides rechargeables, les voitures électriques pour voir laquelle est la mieux. Mais on ira aussi plus loin en parlant de la taille de batterie, du poids...

    #voiture #recharge #chargeurs #poids #hybride #suv #marges

    • C’est le youtubeur pro-nucléaire, je connais.
      Je vais aller voir ce qu’il dit. Bien que je pense déjà que les voitures les plus écolo soient des très petites citadines essence. Ou des voitures sans permis, électriques ou essence.
      Et au delà, que sur la même réponse au besoin, il y a les vélos triporteur, bakfiets ou juste de grosses sacoches (moi, c’est ce que j’ai - courses dans un rayon de 3 km - 25 kg max.).

      Une chose est sure, plus on choisira des solutions individuelles, moins il y aura de solutions collectives.

  • Profession : chargeur de trottinettes, dernier-né des petits boulots de l’ubérisation
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/03/09/profession-chargeur-de-trottinettes-dernier-ne-des-petits-boulots-de-l-uberi

    Yacine, 39 ans, est chargeur de trottinettes, ou « juicer » – juice signifie électricité en argot anglais. Un nouveau petit boulot de l’ubérisation – la mise en relation, par des plates-formes numériques, de clients et d’indépendants – apparu en France à l’été 2018, quand des sociétés (sept aujourd’hui) ont commencé à semer leurs trottinettes électriques en libre-service dans les villes. Depuis novembre 2018, Yacine travaille pour l’entreprise américaine Lime, la marque au citron. Il n’est pas salarié, mais autoentrepreneur. Il ne reçoit pas de fiche de paie, mais une rémunération journalière qui dépend du nombre de trottinettes collectées dans la journée, rechargées à son domicile la nuit et redéployées au petit matin.

    Yacine n’a pas de patron, si ce n’est l’algorithme de l’application Lime sur son smartphone. C’est l’appli qui donne la marche à suivre : où trouver les trottinettes, où les replacer, combien elles rapportent (entre 5 et 6 euros l’unité). C’est aussi elle qui lui attribue une note de satisfaction dont dépend le nombre maximal de trottinettes qu’il est autorisé à recharger chaque jour. Un couac, un retard, et ce plafond baisse. La paye aussi.

    #Travail #Uberisation #Jobs_à_la_con #Autoentrepreneur #Néomanagement #Algorithmes

    • lemonde.fr
      Profession : chargeur de trottinettes, dernier-né des petits boulots de l’ubérisation
      Stéphane Lauer éditorialiste au « Monde »
      8-11 minutes

      Économie
      Où va le travail ?

      Avec le déploiement des trottinettes électriques en libre-service dans les villes, un nouvel emploi est apparu : celui de « juicer », ou chargeur de trottinettes.

      Par Aurélie Collas Publié le 09 mars 2019 à 08h40 - Mis à jour le 09 mars 2019 à 08h40

      Lecture 5 min.

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      Yacine est « juicer », ou chargeur de trottinettes électriques, à Paris.
      Yacine est « juicer », ou chargeur de trottinettes électriques, à Paris. CYRIL ABAD POUR "LE MONDE"

      A bord de sa camionnette blanche, Yacine quitte Saint-Denis, dans la banlieue nord de Paris, pour rejoindre le centre de la capitale. Il est 14 heures, jeudi 21 février, et sa journée de travail commence : six heures de chasse aux trottinettes que les usagers ont laissées à moitié déchargées, ici ou là, au détour d’une rue. Six heures à tourner dans les artères de la ville comme un poisson dans un bocal. Saint-Michel, Raspail, Saint-Germain, puis encore Saint-Michel, Châtelet, Rivoli…

      Yacine, 39 ans, est chargeur de trottinettes, ou « juicer » – juice signifie électricité en argot anglais. Un nouveau petit boulot de l’ubérisation – la mise en relation, par des plates-formes numériques, de clients et d’indépendants – apparu en France à l’été 2018, quand des sociétés (sept aujourd’hui) ont commencé à semer leurs trottinettes électriques en libre-service dans les villes. Depuis novembre 2018, Yacine travaille pour l’entreprise américaine Lime, la marque au citron. Il n’est pas salarié, mais autoentrepreneur. Il ne reçoit pas de fiche de paie, mais une rémunération journalière qui dépend du nombre de trottinettes collectées dans la journée, rechargées à son domicile la nuit et redéployées au petit matin.

      Yacine n’a pas de patron, si ce n’est l’algorithme de l’application Lime sur son smartphone. C’est l’appli qui donne la marche à suivre : où trouver les trottinettes, où les replacer, combien elles rapportent (entre 5 et 6 euros l’unité). C’est aussi elle qui lui attribue une note de satisfaction dont dépend le nombre maximal de trottinettes qu’il est autorisé à recharger chaque jour. Un couac, un retard, et ce plafond baisse. La paye aussi.
      Etudiants ou salariés en quête d’un complément de revenu
      Yacine vient de récupérer deux trotinnettes à recharger.
      Yacine vient de récupérer deux trotinnettes à recharger. CYRIL ABAD POUR "LE MONDE"

      A voir les cernes dissimulés dans l’ombre de sa casquette, le boulot est éreintant. « On finit tard le soir, on commence tôt le matin, raconte ce père de trois enfants. Et puis c’est physique. Les trottinettes pèsent 20 kg. Je me suis musclé depuis que je fais ça ! »

      Ses efforts, dit-il, sont « récompensés » chaque matin, lorsqu’il reçoit son dû. Quarante trottinettes – son plafond actuel – rapportent à Yacine autour de 200 euros par jour, auxquels il faut soustraire les charges : l’amortissement du camion (acheté 3 500 euros), l’assurance, l’essence, l’électricité, les cotisations… A la fin du mois, il lui reste environ 1 800 euros.

      A 15 heures, l’application indique une trottinette déchargée sur un trottoir entre le pont des Arts et le pont du Carrousel. Yacine cherche à se garer, ne trouve qu’un arrêt de bus, met ses feux de détresse. Il risque une contravention, mais pas le choix. Le stationnement gênant fait partie des risques du métier dont il doit endosser l’entière responsabilité : « Si je ne fais pas ça, je ne travaille pas. » Arrivé au lieu indiqué, Yacine scanne le code de la trottinette. 5,80 euros dans la tirelire.

      Direction ensuite le boulevard Raspail, où deux trottinettes ont les batteries à plat. La première lui passe sous le nez : un autre « juicer » est en train de la monter dans son fourgon. La seconde a déjà filé. La concurrence entre chargeurs est de plus en plus forte à mesure que leur nombre s’accroît.

      « Ce job permet de travailler dehors, d’être libre de son temps, de ne pas avoir de patron »

      Mais Yacine reste positif. « Faut pas se mentir, il n’y a pas que des inconvénients », assure-t-il. A 17 heures, de passage sur les quais, il sourit en contemplant les monuments longeant la Seine : « Voilà, c’est mon bureau ! » Yacine aime Paris et conduire. « Ce job permet de travailler dehors, d’être libre de son temps, de ne pas avoir de patron », explique-t-il.

      Son CV accumule les expériences d’autoentrepreneur : marchand, gérant d’un food truck, conducteur de taxi… En novembre 2018, lorsqu’il a entendu parler de l’activité de « juicer », il était au chômage. « C’est venu au bon moment, dit-il. Au début, Lime payait sept euros la trottinette. Je gagnais bien, j’envisageais de me développer, de prendre quelqu’un. » Mais loi de l’offre et de la demande oblige, le prix a baissé. « Sept euros, c’était honnête. Cinq euros, c’est juste. Je pense chercher autre chose. »

      En réalité, peu de chargeurs de trottinettes vivent de cette activité. Beaucoup sont étudiants ou salariés à la recherche d’un complément de revenu. C’est le cas de Yazid, gardien d’immeuble. « Je fais ça quand je peux, quand je vois quelques trottinettes le soir dans le quartier, raconte-t-il. Je prends ma voiture, j’en mets cinq dans le coffre et les branche dans le salon. » Montant du gain : 25 à 30 euros par nuit. « Ça évite d’être dans le rouge. »
      « Je ne pense pas qu’on puisse en vivre »

      « Au début, c’était amusant, comme lorsqu’on cherche des Pokémon dans le jeu Pokémon Go ! », explique Jason. Sauf que cet étudiant n’a pas trouvé de « nid » (zone de dépôt) près de chez lui pour replacer les trottinettes le matin. Il a laissé tomber au bout d’un mois.

      Anis, un chômeur de 22 ans, conclut, à l’issue de trois mois d’expérience, à une « super arnaque » : « Une fois payés la location du camion, du local pour charger les trottinettes, le plein d’essence, il ne restait quasiment rien des 100 euros que j’avais gagnés dans la journée. »
      Chaque nuit, sur le parking de son immeuble à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), Yacine recharge dans son camion plus de 40 trottinettes.
      Chaque nuit, sur le parking de son immeuble à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), Yacine recharge dans son camion plus de 40 trottinettes. CYRIL ABAD POUR "LE MONDE"

      « Cette activité ne me choque pas tant qu’elle reste un job d’étudiant, estime Grégoire Leclercq, cofondateur de l’Observatoire de l’ubérisation. Le problème, c’est quand on la propose à des gens qui cherchent un revenu décent. Là, on les piège. D’abord, parce qu’à l’exception d’une minorité qui industrialise l’activité, je ne pense pas qu’on puisse en vivre. Ensuite, parce que ces personnes n’ont pas la protection sociale qu’offre un contrat de travail. »

      « Toutes les sécurités constitutives du droit du travail n’existent pas pour ces gens-là »

      Pas de mutuelle, pas de chômage, pas de congés payés, pas de salaire minimum, pas d’indemnisation en cas de maladie ou d’accident du travail… « Toutes les sécurités constitutives du droit du travail n’existent pas pour ces gens-là », renchérit Karim Amellal, auteur de La Révolution de la servitude (Demopolis, 2018). Pour les sociétés du secteur, le recours à des indépendants permet de disposer d’une main-d’œuvre à moindre coût. Contacté, Lime n’a pas donné suite à nos sollicitations.

      Il est 20 heures. Dans le centre de Paris, le trafic des livreurs Deliveroo à vélo et des chauffeurs privés bat son plein. Yacine s’arrête à Châtelet et fait le bilan. Il a trente-deux trottinettes dans son camion. Il arrivera à atteindre les quarante en en ramassant quelques-unes sur le chemin du retour. Chez lui, il lui faudra une bonne demi-heure pour installer les branchements électriques. Puis il se réveillera à 4 h 30 pour déposer les trottinettes avant 7 heures dans Paris… et ainsi de suite, jusqu’à trouver une activité plus rentable.

      Le secteur, en tout cas, va continuer à se développer : un huitième opérateur vient d’annoncer, jeudi 7 mars, le déploiement de huit cents trottinettes à Paris, et d’autres sociétés devraient encore suivre.

      Aurélie Collas

  • The Mystery of the Power Bank Phone Taking Over Accra
    https://medium.com/product-notes/the-mystery-of-the-power-bank-phone-taking-over-accra-344adbb56919

    One thing that quickly became clear when I spoke to people is that the number one reason they bought the phone is to use it as a power bank.

    Ghana is currently experiencing a severe power crisis — city-wide blackouts of 36 hours or more have become the norm in the capital, and a brisk business has grown around selling power banks, which are small portable rechargable batteries that can be used to charge small electronics such as MP3 players and, yes, phones.

    #mobile #ghana #électricité #chargeurs

  • Les propositions d’#Obama pour lutter contre les #armes à feu :

    Vérifications d’identité

    Environ 40 % des ventes d’armes à feu se font sans vérification du casier judiciaire ou de l’identité des acheteurs. La loi actuelle ne requiert ces vérifications, auprès d’une base de données du #FBI, que pour les achats réalisés en magasins ou chez des armuriers. Les vendeurs occasionnels, sur internet et surtout dans les très nombreuses foires aux armes, seraient désormais obligés de consulter le fichier de la police fédérale. Mais le Congrès doit approuver ce changement.

    Ce fichier est par ailleurs critiqué de longue date par les associations pour ses erreurs et ses omissions. Quatre décrets signés par Barack Obama mercredi visent à améliorer la transmission d’informations entre les polices locales et le FBI, notamment concernant les personnes souffrant de maladies mentales, via des incitations financières.

    Interdiction des armes d’assaut et de certaines munitions

    Obama demande au Congrès de renouveler l’interdiction des #armes_d'assaut qui était en place entre 1994 et 2004, mais n’avait pas pu être renouvelé faute de consensus politique. Cette interdiction comportait de nombreuses failles : les fabricants avaient pu la contourner en modifiant certains aspects cosmétiques de leurs armes. L’interdiction n’était pas rétroactive et ne touchait pas aux armes déjà en circulation, ce qui, selon CBS, est également le cas du projet de Barack Obama. C’est la mesure qui a le moins de chance de passer au Congrès.

    Le président souhaite aussi interdire les #chargeurs de plus de dix balles, comme entre 1994 et 2004. Ces chargeurs permettent de tirer jusqu’à 30 balles en quelques secondes. Les balles qui percent les #blindages, dont la fabrication et l’importation sont déjà interdites, deviendraient complètement interdites, y compris celles déjà en circulation.

    #Trafic

    Barack Obama veut punir les personnes qui achètent des armes pour d’autres personnes qui n’auraient pas le droit d’acquérir des armes.

    Budget et recherche

    Le président demande au Congrès de financer 15 000 postes de policiers, et la #formation de 14 000 #policiers et responsables d’écoles à des situations d’urgence face à un tireur. Le Congrès doit aussi autoriser la recherche sur la violence par armes à feu, « y compris les liens avec les #jeux_vidéo, les images médiatiques ». Barack Obama veut aussi faciliter le travail de traçabilité des armes jusqu’au fabricant.

    Proprietaires

    Encourager les propriétaires d’armes à conserver leurs armes sous clés, séparément des #munitions.

    Écoles

    Créer 1 000 postes de policiers, de psychologues et d’assistantes sociales dans les #écoles. Améliorer les plans d’urgence de chaque école en cas de fusillade. Améliorer le « climat » et la communication au sein des écoles, réduire le harcèlement et les autres problèmes comportementaux.

    Maladies mentales

    L’administration veut faire en sorte que les enfants et les adultes qui souffrent de problèmes psychiatriques reçoivent l’aide et les traitements nécessaires. Le président demande au Congrès de nouveaux budgets pour former des psychologues, conseillers et autres professionnels. Les assureurs vont également se voir préciser les traitements psychiatriques qu’ils sont obligés de couvrir, selon la réforme de la santé votée pendant le premier mandat de Barack Obama.

    Bien sûr, la #NRA et les "républicains sont contre.

    Source : http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2013/01/16/obama-va-appeler-le-congres-a-interdire-les-armes-d-assaut-et-les-gros-charg

    #Psychiatrie #États-Unis_d'Amérique.

  • Actualité > USB Power Delivery, ou comment recharger un PC portable sur une prise USB
    http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/informatique/d/usb-power-delivery-ou-comment-recharger-un-pc-portable-sur-une-pris

    Une prise USB pourrait délivrer jusqu’à 100 watts avec le nouveau standard, baptisé USB Power Delivery, finalisé en juillet dernier par l’USB Implementers Forum. L’objectif : utiliser le même …

    Source : Futura-Sciences

    #USB_Implementers_Forum #USB #USB_Power_Delivery #USB-PD #Universal_Serial_Bus #chargeur_universel #téléphone #tablette #baladeur #PC_portable #disque_dur #Hewlett-Packard #Intel #Microsoft #Renesas_Electronics #ST-Ericsson #Texas_Instruments #USB_2.0 #USB_3.0 #USB-BC #SSD #netbook #Commission_européenne #micro-USB #._Lightning #iPhone_5