Lexique pour temps de réforme des retraites (2023)
▻https://www.acrimed.org/Lexique-pour-temps-de-reforme-des-retraites-2023
Lexique pour temps de réforme des retraites (2023)
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Sortie de Médiacritiques n°46 – Retraites : l’éditocratie avec Macron
▻https://www.acrimed.org/Sortie-de-Mediacritiques-no46-Retraites-l
BHL, le sparadrap du Palais, par Pierre Rimbert
▻https://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2023-02-23-Le-sparadrap-du-Palais
C’est l’une des malédictions de l’Élysée : depuis trente ans, tout président de la République française sait qu’un jour ou l’autre #Bernard-Henri_Lévy viendra rue du Faubourg Saint-Honoré, pour faire un selfie avec des amis ou réclamer une mission internationale. Il assiégea François Mitterrand en 1993 pour favoriser le destin d’Alija Izetbegović, président bosniaque. Jacques Chirac tenta de l’éloigner en février 2002 en lui confiant la rédaction d’un rapport sur l’Afghanistan. M. Nicolas Sarkozy, qu’il persuada d’intervenir militairement en Libye, le vit débarquer en avril 2011 avec des membres du Conseil national de transition. Puis il toqua à la porte de M. François Hollande en 2014 flanqué des favoris à la présidentielle ukrainienne. Comme chacun pouvait s’y attendre, #BHL s’est présenté le 8 février dernier au moment où MM. Volodymyr #Zelensky et Emmanuel Macron se retrouvaient à Paris.
Ces apparitions coïncident généralement avec la sortie d’un livre ou d’un film où le comédien-philosophe combat le Mal et commente ses propres réflexions d’une voix enrouée. Diffusés sur la chaîne publique Arte, dont BHL a présidé le conseil de surveillance depuis 1993 (trente ans là aussi…), ces documentaires crépusculaires ravissent le Tout-Paris des médias. Le Point (où BHL est chroniqueur, 16 février), L’Express (16 février) ; France 2 (18 février), Paris-Match (18 février), Le Journal du Dimanche (19 février), France Inter (20 février), Le Figaro (21 février), Le Parisien (22 février), L’Opinion (22 février), Technikart (février), etc. ont salué le dernier en date, Slava Ukraini – gloire à l’Ukraine. Le démarrage est tonitruant : « 208 entrées France mercredi pour #SlavaUkraïni ! en comptabilisant la séance hier à 20 h en présence de BHL au cinéma l’Arlequin (Paris 6ème, situé près des cafés du Flore et des 2 Magots) », affirme « Destination ciné » au soir du lancement. Réunir plus de spectateurs que de journalistes louangeurs, le défi reste à relever…
En période de creux, le réalisateur pourvoit lui-même à la promotion de son œuvre. « Mon film aux Nations unies. Pas celui que je suis en train de tourner, là, maintenant, (…). L’autre, Pourquoi l’Ukraine, qu’a diffusé Arte en juin », écrit-il il y a cinq mois dans son bloc-notes du Point (3 novembre 2022). BHL raconte alors comment un diplomate a fait applaudir un film de BHL qui met en scène BHL : « Voici l’ambassadeur Nicolas de Rivière – très en pointe depuis février dans le soutien à Zelensky – qui monte à la tribune pour présenter le film au nom de la France. (...) Et voici la salle qui, quand arrivent le générique de fin et la musique de Slava Vakarchuk, fait une standing ovation aux vivant et aux morts. » Et au réalisateur ?
Toutefois, l’inquiétude point chez les amis de Bernard-Henri Lévy. Au fil des mois, le philosophe caricature sa caricature, comme si son personnage, pris d’une rage apocalyptique, lui avait échappé. Ainsi, la guerre d’Ukraine opposerait, d’un côté « des violeurs, des pédophiles, des tueurs, qu’on a sortis de prison pour aller se battre à la place des soldats, et, de l’autre, une armée citoyenne ». Par conséquent, « il faut dénazifier la #Russie », anéantir les incarnations maléfiques que représenterait M. #Vladimir_Poutine puis les dirigeants chinois, iranien, turc. Un vaste programme : « La victoire ukrainienne doit être totale, sans appel ». « Il faut que la #Russie capitule si l’on veut que la Chine recule à Taïwan ».
Il faut aussi aller vite. « Je vais mourir bientôt. C’est fini. J’ai 75 ans. J’en ai plus pour longtemps », a expliqué BHL à #Christine_Angot qui rédigeait un article affectueux de plus à son sujet (Le Journal du Dimanche, 19 février). Certains se demandent si le fantôme de l’Élysée ne désire pas secrètement que le reste de la planète l’accompagne.
Elisabeth Borne élue « personnalité politique de l’année », elle succède à Valérie Pécresse
▻https://www.20minutes.fr/politique/4024005-20230216-elisabeth-borne-elue-personnalite-politique-annee-trombin
Le prix de la « révélation politique de l’année 2022 » du Trombinoscope, qui fait autorité dans la sphère politique, est décerné au chef de file du PCF, Fabien Roussel
Les chiens de garde de la prédation contre les retraites.
Ci-dessous le deuxième #tract réalisé par #Acrimed à destination des manifestants contre la #réforme_des_retraites.
▻https://www.acrimed.org/IMG/pdf/tract_retraites_2.pdf
Le premier tract, distribué pendant les manifestations de janvier :
▻https://www.acrimed.org/IMG/pdf/tract_retraites_1.pdf
#chien_de_garde #journalisme #presse_bourgeoise #éditorialiste
MANIFESTE RETRAITE 2023
▻https://formesdesluttes.org/images-retraite-2023
On prend les mêmes et on recommence...
Quatre ans après la première tentative de la Macronie d’anéantir les conquis sociaux du système de retraite, le gouvernement lance une nouvelle offensive.
Sauf que quatre ans plus tard, on est toujours là, toujours autant déterminé·e·s à nous défendre !
Retraite, 2ème Round : graphistes, mettons de la couleur dans nos luttes ! Et puisqu’ils tournent en rond, nous republions l’appel de 2019.
Le gouvernement a lancé une attaque sans précédent sur notre système de retraites, qui va pénaliser l’ensemble des salarié·e·s, du public comme du privé, bien au-delà des seuls régimes spéciaux. Cette attaque fait suite à de nombreuses autres, contre le droit du travail, contre le droit au chômage, contre les services publics, contre les droits des immigré·e·s, etc. Macron incarne avec une violence inédite la logique néolibérale, la défense des intérêts des plus riches, déterminés à détruire toutes les formes de solidarité et tout ce qui peut faire obstacle à l’exploitation sans frein des humains et de la nature.
Face à cela, nous, graphistes, artistes, illustrateur·trice·s, comptons bien mener la lutte avec nos moyens, ceux de l’image, en apportant notre soutien graphique aux mobilisations en cours.
Les affiches présentes sur ce site sont toutes téléchargeables et utilisables gratuitement dans le cadre de ces mobilisations. Une partie a été imprimée en autocollants que nous diffusons lors des manifestations.
portrait détaillé du : #Yevgeny_Prigozhin: the hotdog seller who rose to the top of Putin’s war machine | Russia | The Guardian
▻https://www.theguardian.com/world/2023/jan/24/yevgeny-prigozhin-the-hotdog-seller-who-rose-to-the-top-of-putin-war-ma
▻https://i.guim.co.uk/img/media/9504377ca7d9d2fd38c4ca9c5be5499cad495f0d/809_74_2194_1317/master/2194.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali
After nearly a decade in prison, the #Wagner_group founder’s ascent was extraordinary. But where does the ceiling of his ambition lie? Some of those who knew him describe his path to power
la suite plus ou moins :
▻https://www.theguardian.com/world/2023/feb/10/wagner-convict-soldiers-return-from-ukraine-russia-mercenary-group
Anatoly Salmin, a convicted thief and murderer, is home from prison years ahead of schedule, his reward for volunteering for a suicide mission in Russia’s war in Ukraine – and then managing to survive.
Hundreds of convicts recruited into the ranks of Wagner, a private military company tied to the businessman Yevgeny Prigozhin, have been killed or severely wounded in Ukraine, where the mercenaries have been tasked with some of Russia’s most desperate campaigns.
But a video released last month showed several dozen former convicts – among them murderers, drug dealers and domestic abusers – now heading to their home towns in northern Russia, supposedly having earned pardons by surviving six months in Wagner’s ranks in Ukraine.
#Russie #prison #chiens_de_guerre #crimes_de_guerre #criminels #criminalité #fucking_flip_total #survie
"Jeu de massacre sur Europe 1"
Heureusement, on n’est pas en Russie.... Des choses comme ça n’arriveraient pas ici, cheu nous, en France !
Ah ! Ah ! Ah !
"Jeudi 19 janvier, au matin de la première journée de mobilisation (massive) contre la réforme des retraites, Marine Tondelier, secrétaire nationale d’Europe Écologie Les Verts, était « l’invitée » de Sonia Mabrouk dans la matinale d’Europe 1. Au vu des antécédents de l’intervieweuse et des nombreux précédents en matière de convocation médiatique de contestataires par temps de (contre)réforme, on pouvait craindre le pire, et l’on ne fut pas déçu. Le quart d’heure d’« entretien » a consisté en une série d’accusations et de sarcasmes : un véritable jeu de massacre, animé par une volonté de nuire qu’on aura rarement vu aussi clairement assumée. Jusqu’au prochain épisode ?
Inutile de revenir sur les partis pris et les obsessions (extrême) droitières de Sonia Mabrouk, son militantisme échevelé sous couvert de journalisme, ses entretiens « deux poids, deux mesures »... tout cela est bien connu – en tout cas, nous l’avons déjà clairement établi. Alors pourquoi revenir sur le nouvel épisode de cette déplorable série ? Parce que Mme Mabrouk persiste, récidive et aggrave périodiquement son cas, sans que ces pratiques (qu’elle partage avec d’autres au sein des médias dominants) soient dénoncées comme elles le méritent.
Ce 19 janvier, Marine Tondelier n’est pas invitée pour livrer son regard sur l’actualité sociale – l’un des mouvements sociaux les plus puissants des trente dernières années contre une réforme gouvernementale –, ni pour expliquer ses arguments contre le projet qu’elle combat, et encore moins pour évoquer ses contrepropositions. Jamais d’ailleurs on ne lui demande son « avis » sur quoi que ce soit (sinon sur des « menaces » contre des élus et des violences... potentielles !) L’interview n’est qu’un long réquisitoire, qui réussit le tour de force de réunir toutes les figures imposées du genre et de battre des records dans presque toutes les catégories : morgue, mépris, injonctions, insinuations, mauvaise foi et attaques ad hominem... Tout y passe, au cours d’un interrogatoire au plan aisément repérable, préparé autour de quatre questions-accusations, inlassablement répétées ou (à peine) reformulées, qu’on peut résumer ainsi :
1. Est-ce que vous assumez d’être une « zadiste » antidémocratique ?
2. Est-ce que vous condamnez les menaces sur des élus ?
3. Est-ce que vous condamnerez les violences des manifestants ?
4. Est-ce que vous n’avez pas honte de critiquer les milliardaires ?
(...)"
#politique #information #médias #merdias #Europe1 #Sonia_Mabrouk #propagande #intox #résistance #ACRIMED #critique #démocratie #chiens_de_garde #journalisme #interrogatoire #contre-information #écologie #EELV #Marine_Tondelier #vangauguin
Jeu de massacre sur Europe 1 - Acrimed | Action Critique Médias
►https://www.acrimed.org/Jeu-de-massacre-sur-Europe-1
Sonia Mabrouk chienne de garde sur CNews aussi. La télé de bolloré est un tel ramassis d’enflures incompétentes que l’attribution de la laisse d’or pour un de ces roquets est impossible.
Sur à peu près toutes les chaînes, on est gâté, c’est vrai... CNews essaie de se distinguer, et y arrive ! Les autres ne déméritent pas entre chiens de garde et carpettes... :-D :-D ;-)
Jeu de massacre sur Europe 1 | Florent Michaux, Olivier Poche, Pauline Perrenot
►https://www.acrimed.org/Jeu-de-massacre-sur-Europe-1
Jeudi 19 janvier, au matin de la première journée de mobilisation (massive) contre la réforme des retraites, Marine Tondelier, secrétaire nationale d’Europe Écologie Les Verts, était « l’invitée » de Sonia Mabrouk dans la matinale d’Europe 1. Au vu des antécédents de l’intervieweuse et des nombreux précédents en matière de convocation médiatique de contestataires par temps de (contre)réforme, on pouvait craindre le pire, et l’on ne fut pas déçu. Le quart d’heure d’« entretien » a consisté en une série d’accusations et de sarcasmes : un véritable jeu de massacre, animé par une volonté de nuire qu’on aura rarement vu aussi clairement assumée. Jusqu’au prochain épisode ? Source : (...)
« Durant ces 15 minutes, Marine Tondelier est interrompue à près de soixante reprises, soit une fois toutes les 15 secondes en moyenne. Elle ne peut jamais parler plus de 37 secondes en continu »
Notons que les audiences d’Europe 1 sont catastrophiques, je me demande si ce n’est presque pas leur faire trop d’honneur que de parler de leur « travail ».
Pourquoi les politiques s’acharnent-ils (et elles) au lieu de travailler, à aller faire les clowns dans des medias de merde ? Parce que ça fait parler d’eux (et elles) et tout ce beau monde est convaincu que c’est la seule chose qui compte (pour se faire réélire la prochaine fois), si on n’est pas un bon, ou une bonne cliente, le parti ne t’investira pas...
Élections 202(2) sur Twitter : « 🔴⚡️
3 janv. 2023
▻https://t.co/ZdWP6GlvQA » / Twitter
▻https://twitter.com/2022Elections/status/1617609775222779904
🔴⚡️ #Retraites : 10 éditorialistes « influents » dont Nathalie Saint-Cricq, son fils Benjamin Duhamel ou encore Dominique Seux, ont été reçus secrètement par Emmanuel Macron à l’Élysée, avec un objectif : influencer discrètement l’opinion.
Guillaume Tabard Figaro), Dominique Seux (France-Inter, Les Échos), Françoise Fressoz (Le Monde) , Nathalie Saint-Cricq (France-Télévision), Benjamin Duhamel (BFM TV) , Yaël Goosz (france-Inter)
▻https://video.twimg.com/ext_tw_video/1617581005484720140/pu/vid/1280x720/Hv1tEjYjibl-Px_V.mp4?tag=12
Avec une telle brochette d’influenceurs, sa réforme sent vraiment le roussi.
les dessins de Mat Colloghan sur une précédente réforme des retraites. Médiacritiques 2020.
▻https://www.acrimed.org/Dessine-moi-les-medias-reforme-des-retraites
Les gardiens de l’ordre social : le Médiacritiques n°45 sortira de l’imprimerie le 30 janvier. la veille du second round !
▻https://www.acrimed.org/Sortie-de-Mediacritiques-no45-Les-gardiens-de-l
Le 17 janvier, le service communication de l’Élysée avait invité dix journalistes vedettes à déjeuner avec Macron. Il s’agissait de leur distiller la bonne parole présidentielle sur les retraites, et la façon de la répercuter : les fameux « éléments de langage ».
Les invités – dont #Guillaume_Tabard du Figaro, #Françoise_Fressoz du Monde, Nathalie Saint-Cricq de #France-Télévision, #Dominique_Seux des Échos et de #France_Inter, #Benjamin_Duhamel de #BFM-TV… – avaient promis de ne pas dire avoir rencontré Macron.
Bien avant que la chose s’ébruite, #Macron avait vite pu vérifier que les grands médias faisaient passer le message. Ainsi, le soir même, un éditorialiste de France Inter titrait sa chronique : « Macron ne croit pas à une victoire de l’irresponsabilité », une formule reprise ensuite mot pour mot par Le Monde, BFM-TV, etc.
Cela ne surprend pas. Car, s’il n’existe plus de #ministère_de_l’Information comme sous de Gaulle, le pouvoir politique a bien des moyens de se faire entendre dans les salles de rédaction. Mais il y a une cause autrement plus fondamentale à la #servilité_des_médias, et elle est sociale.
La solidarité de classe des médias, de leurs propriétaires et de ceux qui mettent leur plume à leur service s’affirme sans état d’âme. Et cette solidarité s’exprime non pas tant avec le gouvernement, dont la couleur peut changer du fait des élections, qu’avec la bourgeoisie en tant que telle, dont le pouvoir n’est pas soumis aux aléas électoraux.
Mille liens personnels, familiaux, professionnels, de mode de vie, de façon de penser et de considérer la société unissent de façon concrète à la classe possédante celles et ceux « qui font l’opinion », surtout ceux que ce système a promus au premier rang.
Quand ils « travaillent » l’opinion jour après jour pour faire accepter aux travailleurs la réforme pro-patronale des retraites portée par Macron, ce sont les intérêts de la bourgeoisie que servent les médias. Il en va de même quand ils veulent persuader la population que l’impérialisme secourt la démocratie en Afrique ou en Ukraine, alors qu’il ne fait qu’y défendre les intérêts des grands groupes capitalistes.
▻https://journal.lutte-ouvriere.org/2023/01/25/macron-et-ceux-qui-font-lopinion_475545.html
#chiens_de_garde #faire_l’opinion #propagande #réforme_des_retraites
Polémiques autour du déjeuner présidentiel : l’impossible autocritique - Acrimed | Action Critique Médias
▻https://www.acrimed.org/Polemiques-autour-du-dejeuner-presidentiel-l
Les médias contre la gauche de Pauline Perrenot, parution 17/03/2023 éditions #Agone collection Contre-feux
▻https://agone.org/livres/les-medias-contre-la-gauche
Cet essai est le procès d’une absence, celle de la gauche, reléguée au second plan de l’information médiatique. L’autrice analyse la façon dont le débat public a été verrouillé par les médias dominants, qui ont reboublé d’efforts pour bipolariser les champs politique et journalistique autour des figures d’Emmauel Macron, de Marine Le Pen et de leurs thématiques sécuritaires et économiques.
Basé sur une documentation précise, l’ouvrage retrace l’effondrement intellectuel du « journalisme politique », qui a perdu tant en substance qu’en consistance, laissant le #storytelling remplacer l’information. L’autrice aborde notamment le traitement des différents projets de réformes par les chefs-lieux éditoriaux, souvent transformés en SAV du gouvernement...
S’appuyant sur l’émergence de la com’ comme cadre politique et journalistique, Pauline Perrenot (#Acrimed) dévoile le monopole absolu de la pensée libérale dans les médias et l’imbrication de la profession avec le monde patronal.
Un président créé de toutes pièces par les médias, la croisière journalistique de l’extrême droite, des emballements réactionnaires qui ponctuent les séquences des chaînes d’information... drôle d’état que celui de la #presse dans l’Hexagone. Pauline Perrenot s’appuie sur le traitement des thèmes qui ont « fait » l’actualité : maintien de l’ordre, sondages, loi sécurité globale, gilets jaunes, violences policières, émergence de Zemmour.
Ces penseurs de gauche qui abrutissent…
Dominique Méda, par exemple.
Qui est l’une de ces idéologues soporifiques qui m’insupportent le plus.
Leur fonction : répandre l’idée que la guerre sociale que mènent #Macron et ses gouvernements ne relève que d’un (mauvais) choix idéologique et qu’ainsi il suffirait de changer les hommes qui administrent l’État pour qu’il en soit différemment.
Ce vieux bullshit sur lequel, fondamentalement, repose le mensonge réformiste depuis toujours.
Disparue toute analyse de classe, tant de l’État que des nécessités prédatrices de la reproduction du capital.
Nous devrons réduire l’emploi dans certains secteurs, le développer dans d’autres, le bâtiment, l’agriculture, les énergies renouvelables, les infrastructures, le recyclage… Cela doit être anticipé, cartographié, accompagné : planifié. Les études montrent que le solde de ce vaste mouvement devrait être positif pour l’emploi, mais à condition qu’il soit bien organisé. Ces filières à développer fourniront des emplois sans aucun doute très utiles, plus utiles qu’un grand nombre de « bullshit jobs » aujourd’hui, et devraient donc satisfaire les attentes des jeunes.
Construire un capitalisme rationnel… Elle enseigne cette crétinerie à l’université.
Cette #planification devrait être le grand chantier enthousiasmant du pays. Mais la phagocytation de l’économie par l’#idéologie_néolibérale empêche d’appréhender les impératifs complexes. Il faut d’urgence changer le travail, et c’est sans doute la toute première des choses à faire plutôt que toutes ces réformes qui vont encore aggraver le malaise.
(Libération)
Changer les mentalités pour rendre le #capitalisme vertueux…
Une planification compatible avec la loi du capital et utile à la collectivité…
De vieilles sornettes qui empêchent encore de poser les vrais enjeux.
#Dominique_méda #chien_de_garde #réformisme #sociologie
Missing in #Brooks_County: A tragic outcome of U.S. border and migration policy
Since the 1990s, tens of thousands of migrants have died painful deaths, usually of dehydration and exposure, on U.S. soil. Their remains are only occasionally found. The migrants began taking ever more hazardous routes after the Clinton and subsequent administrations started building up border-security infrastructure and #Border_Patrol presence in more populated areas.
The crisis is particularly acute in a sparsely populated county in south #Texas, about 70 miles north of the border, where migrants’ smugglers encourage them to walk around a longstanding Border Patrol highway checkpoint. Many of them get lost in the hot, dry surrounding ranchland and go missing.
The WOLA Podcast discussed the emergency in Brooks County, Texas in October 2020, when we heard from Eddie Canales of the South Texas Human Rights Center.
Eddie features prominently in “Missing in Brooks County,” a new documentary co-directed and produced by Lisa Molomot and Jeff Bemiss. Molomot and Bemiss visited the county 15 times over 4 years, and their film shows the crisis from the perspective of migrants, family members, Border Patrol agents, ranchers, humanitarian workers like Eddie, and experts trying to help identify remains and help loved ones achieve closure.
One of those experts, featured in some of the most haunting scenes in “Missing in Brooks County,” is anthropologist Kate Spradley of Texas State University, who has sought to bring order to a chaotic process of recovering, handling, and identifying migrants’ remains.
In this episode of the podcast, Lisa Molomot, Jeff Bemiss, and Kate Spradley join WOLA’s Adam Isacson to discuss the causes of the tragedy in Brooks County and elsewhere along the border; why it has been so difficult to resolve the crisis; how they made the film; how U.S. federal and local government policies need to change, and much more.
▻https://www.wola.org/analysis/missing-in-brooks-county-a-tragic-outcome-of-u-s-border-and-migration-policy
#USA #Etats-Unis #décès #morts #mourir_aux_frontières #Mexique #frontières #asile #migrations #réfugiés #contrôles_migratoires #désert #déshydratation #weaponization #frontières_mobiles #zones_frontalières #checkpoints #chiens #statistiques #chiffres #chasse #propriété_privée #prevention_through_deterrence #mortalité
#podcast #audio
Two families search for their loved ones who went missing in the fields of Brooks County, Texas after crossing from Mexico and find a sobering truth: the deadliest part of the journey is far from the border.
La #laine, #recyclage et #revalorisation
Malgré l’impact du transport sur le climat et des conditions d’élevage souvent peu respectueuses des animaux, la laine de mouton vient souvent des antipodes, Nouvelle-Zélande et Australie en tête. Pourtant, des alternatives émergent en Europe : certains remettent la production locale au goût du jour, d’autres mettent au point des #fibres innovantes.
▻https://www.arte.tv/fr/videos/100300-070-A/arte-regards-la-laine-recyclage-et-revalorisation
#mode
Où on voit notamment deux jeunes femmes qui ont commencé à tisser de la laine de... #chien !
Yes yes, voici leur site web :
modus intarsia produziert aus der Unterwolle von Hunden luxuriöse und besonders weiche Wollgarne und -produkte in Deutschland. So retten die Strickdesignerin und Nachhaltigkeitwisssenschaftlerin Ann Catrin Schönrock und die Textilingeneurin Franziska Uhl eine bisher ungenutzte Ressource, die bei der täglichen Fellpflege von Hunden anfällt, vor dem Mülleimer und erschaffen daraus umfassend nachhaltig produzierte und weltweit einzigartige, innovative Produkte.
Neben der Bewahrung handwerklicher Traditionen durch die Herstellung von Handstrickgarnen in Deutschland, haben die Gründerinnen mit #Chiengora ® das weltweit erste industriell gesponnene Garn am Markt aus Hundewolle entwickelt. Und weitere Innovationen, wie Garne aus Katzenwolle oder Pferdehaar sind schon in der Entwicklung.
Alle Projekte des Unternehmens generieren direkt Spenden für Tierschutzprojekte. Dies geschieht durch ein einzigartiges Crowdsourcing Netzwerk, in dem Hundebesitzer*innen, Züchter*innen und Hundesalons die bei der Fellpflege anfallende Unterwolle an den gemeinnützig gegründeten Verein Rohstoffe retten e.V. spenden. Die aus dem Verkauf der Rohwolle an das eigene Label oder Industriepartner*innen entstandene Erlöse werden an Tierschutzprojekte, wie den Birkenhof e.V. gespendet, der Hunden aus schlechten Haltungsbedingungen ein artgerechtes Leben ermöglicht.
#For_Shur
–-> nouveaux habits à partir de vieux #pulls en laine
Unter dem Label ForSchur produzieren wir mitten in Berlin Kleidung für Kinder und Erwachsene aus ökologisch wertvollen Wollstoffen.
I progetti solidali che danno nuova vita alla lana italiana
Solo una piccola parte delle 9mila tonnellate prodotte ogni anno finisce sul mercato, il resto diventa rifiuto speciale. Dalle Marche al Piemonte, allevatori e tessitori hanno creato inedite alleanze per valorizzare risorse e territori
Recuperano la lana dai pastori e la trasformano in gomitoli e vestiti per la vendita. In Italia sono numerosi i progetti avviati per tutelare il vello proveniente dalla tosa delle pecore, altrimenti destinato all’abbandono. L’utilizzo della lana appena tosata e sporca, infatti, è cambiato e la materia naturale non finisce più nei vestiti, sostituita dalle fibre sintetiche. È considerata un rifiuto speciale e, fatta eccezione per una parte che arriva sui mercati esteri, è destinata alla discarica. Nel peggiore dei casi, viene sotterrata e bruciata dagli allevatori che non sempre riescono a sostenere i costi dello smaltimento. Per valorizzare un materiale prezioso rendendolo un’opportunità, sono nate filiere in cui chi alleva lavora insieme a chi tesse.
“Negli anni abbiamo registrato un’attenzione crescente verso il tema, una fioritura. Ci si è chiesti da dove provengono i vestiti che indossiamo, come sono lavorati e che impatto hanno sull’ambiente”, spiega ad Altreconomia Annalisa De Luca, tra le fondatrici dell’associazione Le feltraie, una delle prime realtà in Italia ad avere recuperato la materia prima acquistandola dai pastori toscani. Dopo la sua chiusura De Luca ha continuato con l’autoproduzione, appassionandosi alla filatura e tessitura. “I progetti sono variegati e vanno dall’hobby a forme più sistematiche. Chi recuperava la lana ha iniziato a coinvolgere le sarte e si è arrivati a organizzare corsi e laboratori”. Il sito Le lanaiole li presenta uno dopo l’altro, dal Piemonte alle Marche. “Anche se il tema è di nicchia, si è creata una base di persone appassionate che partecipa in modo attivo. Per questo, con il Coordinamento tessitori ed Eva Basile –designer, esperta di tessitura a mano e direttrice artistica del festival Feltrosa, manifestazione annuale che unisce i feltrai italiani-, nel 2020 e nel 2021 abbiamo organizzato una scuola estiva”. Uno degli argomenti affrontati è stato come realizzare un tessuto o un oggetto di feltro partendo dalla fibra grezza attraverso la filatura e la tintura.
Secondo l’Istat in Italia ogni anno si producono circa 9mila tonnellate di lana sucida, proveniente dalla tosa non utilizzata di sette milioni di pecore, che non trova spazio nell’attuale mercato tessile nazionale. Se fosse utilizzata, come indicato in uno studio del Consiglio nazionale delle ricerche pubblicato nel 2016, si ricaverebbero oltre 5mila tonnellate di fibra e 15 milioni di metri quadrati di tessuto. La lana nostrana, sottolinea l’Istituto superiore per la protezione ambientale (Ispra) in una ricerca del 2018, non è di qualità elevata. Inoltre le sue fibre sono spesse e grossolane, inadatte ai macchinari usati nell’industria tessile.
Secondo la normativa europea la lana diventa un rifiuto speciale se non è immessa in una filiera produttiva in quanto sottoprodotto di origine animale. Per salvarla dalla discarica, a Montefortino (FM) nelle Marche, la filatrice Giulia Alberti e l’allevatrice Silvia Bonomi sono andate direttamente dai pastori e hanno creato una filiera che va dalla raccolta alla vendita del prodotto finito. Avviato nell’aprile 2021, il progetto “Sibillana” coinvolge 14 pastori oltre a chi si occupa di pulirla e farne matasse. “Ci rivolgiamo solo a chi ha piccoli numeri. I nostri pastori non possiedono più di 40 capi di bestiame”, spiega Alberti. Con loro si stipula un accordo iniziale: la lana è pagata fino a un massimo di cinque euro al chilogrammo, in base alla sua qualità, e il prezzo di vendita copre sempre le spese di tosatura. “Vogliamo portare avanti un lavoro di sensibilizzazione: spingere i pastori a porre attenzione alla qualità della lana che sarà poi pagata a un prezzo più alto”. In Abruzzo Valeria Gallese è stata una delle prime a farlo.
Nel 2015 ha ideato il progetto “AquiLana”. Raccoglie la lana dai pastori del Parco nazionale del Gran Sasso: la materia prima è poi spedita al Nord e filata nel Biella The Wool Company, consorzio avviato con lo scopo di creare una rete nazionale per la gestione della lana in Italia cui aderiscono 600 allevatori. Una volta lavata, la lana torna in Abruzzo dove è tinta usando materiali naturali, venduta ad aziende tessili e in una bottega a Santo Stefano di Sessanio. Quando AquiLana era nelle sue fasi iniziali, la lana tessuta era stata pari a 50 chilogrammi. Nel 2021 sono stati 6.500.
In provincia di Parma il recupero della lana è servito per rafforzare la comunità. “Lana di montagna alta Val Taro” riunisce raccoglitrici costituitesi come associazione: acquistano la lana dai pastori locali, poi pulita in uno stabilimento in Toscana che la rende un filato. Tornata in valle, tinta con erbe naturali e sottoprodotti dell’orto, è utilizzata per gomitoli e indumenti venduti nei mercatini. “Ci scambiamo suggerimenti e consigli. I nostri numeri sono piccoli ma le persone apprezzano la bellezza del progetto in sé -dice Elena Gabbi, pastora che fa parte del progetto-.Lavoriamo anche insieme all’associazione Io non ho paura del lupo, che si occupa di alimentare un dibattito sull’animale e su come affrontarlo tutelandolo. Abbiamo creato un progetto che rinsalda i legami”.
▻https://altreconomia.it/i-progetti-solidali-che-danno-nuova-vita-alla-lana-italiana
Et en Italie aussi, la laine de chien semble avoir été commercialisée :
Lana di cane
Lana di Cane, per avere il tuo cane addosso per sempre, per essere realmente ecosostenibile e crueltyfree e per avere dei capi d’abbigliamento unici!
léa salamé reçoit son doigt d’or du « meilleur chien de garde » !
▻https://www.youtube.com/watch?v=hpqzDknaEJc
léa salamé a été élue Meilleur Chien de Garde par notre Jury cette année grâce à ses magnifiques performances avec Carlos Ghosn et Philippe Martinez !
Nous sommes donc allés lui remettre son Doigt d’Or !
Découvrez l’intégralité de cette séquence ainsi que les autres remises de récompense dans la 8e Cérémonie des Doigts d’Or
– Le Film ! déjà disponible en VOD : ►https://www.helloasso.com/association...
Le Doigt du Capital ! 🙏 ▻https://eglise-de-la-tres-sainte-consommation.com
▻https://www.facebook.com/EgliseStConso/videos/770561747156409
Bravo a salame mais y a ausssi des mecs de sud radio qui devraient en avoir un pour leur soutien a l ideologie d extreme droite..genre doigt de diamant..sans compter bien sur cnews
Fille de Ghassan Salamé, ancien ministre libanais de la Culture, politologue et professeur à Sciences Po Paris et ancien conseiller spécial du secrétaire de l’ONU Kofi Annan1 ; sa mère, Mary Boghossian, d’origine arménienne2, est la sœur des diamantaires Jean et Albert Boghossian1. Hala Salamé quitte le Liban pour Paris avec sa famille à l’âge de 5 ans pour fuir la guerre civile3. Elle est naturalisée française à 10 ans4. Sa sœur cadette, Louma dirige la Fondation Boghossian-Villa Empain à Bruxelles.
wikipédia
Vaccination et fake news : le CNRS dénonce les abus - Le Point
▻https://www.lepoint.fr/sante/vaccination-et-fake-news-le-cnrs-denonce-les-abus-24-08-2021-2439996_40.php
Le problème de la désinformation sur la vaccination agite les hautes sphères scientifiques. Le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) a exigé mardi, dans un communiqué, le respect des règles de déontologie par des scientifiques s’exprimant, sans compétences particulières, sur le sujet de la vaccination contre le Covid. Cette déclaration fait suite aux appels de sociologues et de citoyens exigeant du CNRS une réaction ferme aux propos du sociologue Laurent Mucchielli qui avait affirmé que la vaccination contre le Covid-19 était à l’origine d’une « mortalité inédite » en France. Le CNRS « déplore les prises de position publiques de certains scientifiques, souvent plus soucieux d’une éphémère gloire médiatique que de vérité scientifique, sur des sujets éloignés de leurs champs de compétences professionnelles comme sur la vaccination contre le Covid ».
« Le monde » , « Le point » , des références dans la diffusion des fausses informations qui plaisent à la haute bourgeoisie et à ses #chiens_de_garde .
@metroet_ c’est là que le mode de pensée complotiste n’a aucun sens : un média qui diffuse souvent de la merde (et on est nombreux à le dire ici on t’a pas attendu hein…), et qui diffuserait un communiqué du CNRS qui n’a rien à voir avec eux, et qui comprend des milliers de chercheureuses qui se relisent les un⋅es les autres, ça ne transforme pas ce communiqué en un truc faux magiquement. La pensée par association simpliste (et non par cause/conséquence prouvable) n’a aucune utilité.
« Le point » , des références dans la diffusion des fausses informations qui plaisent à la haute bourgeoisie
Est-ce que tu fais allusion au fait que Le Point publie les chroniques de Saint Didier depuis des années :
▻https://www.lepoint.fr/invites-du-point/didier_raoult
y a des trucs assez fendards, dedans…
Raoult (17/08/2018) - Du bon usage du scepticisme - Le Point
▻https://www.lepoint.fr/invites-du-point/didier_raoult/raoult-du-bon-usage-du-scepticisme-17-08-2018-2244167_445.php
En pratique, le scepticisme est une preuve d’intelligence, notre ignorance de la part de hasard dans les événements est une évidence scientifique, et ceux qui ne le perçoivent pas font simplement preuve d’une incompétence encore plus grande. En conclusion, douter c’est penser. Sans le doute il n’y a pas de pensée. C’est seulement dans la foi qu’on peut avoir une obéissance totale traduite, chez les jésuites, par perinde ac cadaver, c’est-à-dire obéir aveuglément, à la manière d’un cadavre.
Bon, ça reste du Raoult, hein !
Il est un peu irritant, pour les scientifiques qui ont une expérience de l’histoire des sciences (l’épistémologie) [comme moi (note de l’éditeur ;-)], de voir des idées simples, auxquelles on aurait le devoir de croire, assénées par des gens dont la formation épistémologique est probablement proche de zéro.
On peut plus rien dire - #CQFD, mensuel de critique et d’expérimentation sociales
https://cqfd-journal.org/On-peut-plus-rien-dire
paru dans De l’autre côté du papier, par #Chien_Noir
mis en ligne le 01/07/2021
Puisque l’air du temps s’y prête hélas très bien, on publie ici une nouvelle de notre camarade Chien Noir, serial-auteur de courtes nouvelles d’anticipation.
Mmmh tu t’es encore trompé de lien de vidéo à priori :) (tu peux éditer)
oui je viens de voir, c pas moa ki se trompe mais le bookmarlet qui mets ce que j’ai regardé juste avant.
en vrai j’aime pas trop dmx, sauf, et je suis d’accord avec driver ce son « Who we be », un « #traumatisme » :
sur foxy brown ça slut shame sale.
DMX Funeral Procession through The Bronx
▻https://www.youtube.com/watch?v=gArx_BjXeBY
ah mais y a des vélos aussi
Someone need to find that young man who rode from Bronx to Brooklyn on a one wheel bike through the traffic. That’s whole lot of DMX love.
Le bon les brutes et l ISF part 1 nada Info
▻https://www.youtube.com/watch?v=ctWZqy-IVO8
Les chiens de gardes ne mordent jamais la main qui les nourris !
Réinstaurer l’impôt de solidarité sur la fortune comme le réclament les gilets jaunes ?
Ce serait un mauvais signal populiste et improductif aboient-ils … La meute est là pour veiller au grain ou plutôt au gain de leurs bons maîtres.
En route pour 2 épisodes en mode nouveaux western, cowboys-journalistes versus indiens-gilets jaunes .
Pour plus d’infos et d’autres vidéos : ▻http://nada-info.fr
#ISF #information #en_vedette #chiens_de_garde #médias #fiscalité #gouvernement_macron #france #actualités_françaises #inégalités #réformes_antisociales #impôt #impôts #guerre_aux_pauvres #riches #économie #chiens_de_gardes #nada_info
Vous étiez sans nouvelles depuis plusieurs mois et vous aviez peut-être constaté que Nada-Info avait disparu de la toile. Notre site se remet doucement en place avec deux nouveaux épandages car nous n’avons pas abandonné les armes, loin de là. Mais le manque crucial de moyens, nous a détourné un moment de la plate-forme que nous avions créée en 2013 après le succès du documentaire "Les Nouveaux chiens de garde".
Pas besoin de périphrases compliquées pour constater que le monde des médias ne s’est pas amélioré ces cinq dernières années (ni le reste du monde non plus !!). Les derniers événements sociaux ont démontré plus que jamais leur vassalisation à leurs maîtres milliardaires et au pouvoir en place.
Cela nous donne d’autant plus envie de nous battre, de repartir au combat, mais dans un cadre différent.
Le bilan des cinq années écoulées démontre que l’association Nada-Info n’est pas l’outil adapté pour produire des documentaires long métrages qui entraîne des budgets élevés. Nada-Info n’a pas une structure financière suffisante.
La réalisation par exemple de « Nous avons des armes » nécessitait un budget important (au moins 60 000 euros). Les 10 320 euros obtenus par 534 contributeurs n’ont pas permis de faire ce film.
Quelques membres de Nada-Info en association avec des proches ont décidé de se donner les moyens pour produire des documentaires cinémas et ont constitué une société de production indépendante, Héméré Production. Seule une entreprise peut prétendre avoir accès aux multiples aides (CNC par exemple) qui jalonnent le cinéma français. Héméré Production a notamment dans ses cartons un projet de documentaire du réalisateur Gilles Balbastre, « Ceux qui tiennent la laisse », dans la droite ligne des Nouveaux chiens de garde ou du projet de Nada-Info, Nous avons des armes.
Nous avons décidé d’aider financièrement ce projet et de consacrer la somme destinée à « Nous avons des armes » au projet de Gilles Balbastre : « Ceux qui tiennent la laisse ».
Le reste de la somme sera consacrée à relancer la plate-forme Nada-Info. Nous avons décidé en effet de réorienter l’association vers une mission d’agitateur d’idées. Le succès des Epandages médiatiques que nous avons postés régulièrement sur notre chaîne Youtube (Nada-info), nous amène à consacrer le site internet de l’association en majorité à la critique des médias, à partir d’une production de vidéos de courte à moyenne durée.
Nous allons donc continuer cette production car elle ne nécessite pas un gros budget. Les contributions écrites ne seront pas évidemment interdites. Il faut que ce nouveau site trouve une place sur le Net, à coté d’autres sites comme celui d’Acrimed ou de Là-bas si j’y suis. L’idée est de créer une version internet du Plan B, le journal sarcastique que vous avez peut-être connu dans les années 2000. Pour permettre les activités de Nada-Info, nous relancerons des appels au soutien militant via le système déjà en place (ou prochainement) sur notre site en re-construction.
Voilà, Nada-Info, tel un phénix, renaît de ses cendres.
Bien à vous toutes et tous
Le petit doigt de Ruth Elkrief lui souffle à l’oreillette que la réforme de l’ISF était « la cuillerée d’huile de foie de morue, il faut l’absorber. C’est un mauvais moment à passer, c’est le signal au reste du monde signifié dans l’entourage présidentiel .. . »
L’éditocrate politique « la queen de l’info » après avoir travaillé pendant quinze ans chez BFM-TV, vient de retrouver la chaîne concurrente LCI.
« Quotidien » déroule le tapis rouge à Ruth Elkrief Sophie Eustache #Acrimed
▻https://www.acrimed.org/Quotidien-deroule-le-tapis-rouge-a-Ruth-Elkrief?recherche=ruth%20ekkrief
« Quotidien » : service communication du groupe TF1 ? Jeudi 1er avril, Yann Barthès accueillait en grande pompe sa consœur Ruth Elkrief qui, après avoir travaillé pendant quinze ans chez BFM-TV, vient de retrouver la chaîne concurrente LCI : « On l’appelle "la Queen de l’info", elle est partie brutalement de BFM sans qu’on ne comprenne vraiment pourquoi et bonne nouvelle ! Cette semaine on a appris qu’elle allait être notre collègue de bureau : elle arrive dans le groupe TF1. Voici #Ruth_Elkrief ! », annonce .
L’interview est l’occasion de vanter les mérites de la nouvelle recrue. « Quotidien » passe ainsi en revue le parcours de la « Queen de l’info », qui a participé au lancement de LCI en 1994 avant de rejoindre BFM-TV en 2005. Mais l’interview, ou l’entretien d’embauche, ne serait pas probant sans une mise à l’essai. Yann Barthès propose donc à Ruth Elkrief de réagir à l’allocution d’Emmanuel Macron. La journaliste se prête au jeu : « Il était indispensable qu’il se prononce, qu’il parle, car le fil était un petit peu distendu avec l’opinion et qu’il était indispensable qu’il prenne la parole. Je crois que la situation est vraiment difficile pour lui. Que les gens ne comprennent pas ce qu’il se passe. Qu’il a essayé d’expliquer. J’ai beaucoup de questions […] ». Yann Barthès est béat : « C’est là qu’on voit que vous êtes bonne, parce que je vous pose une question sur ce qu’il s’est passé hier et vous donnez une analyse juste comme ça. »
En plus de démontrer ses talents, Ruth Elkrief profite de la tribune pour s’adonner à une ode à l’info en continu. Extrait :
- Yann Barthès : À l’époque, vous disiez que LCI était une chaîne pour les élites…
- Ruth Elkrief : C’est comme ça qu’on l’avait créée à l’époque, il y avait une volonté d’en faire une chaîne pour les décideurs. Aujourd’hui, c’est une chaîne qui est sur la TNT donc elle s’adresse à tout le monde, elle est regardée par beaucoup beaucoup de monde. Avec [l’élection] présidentielle, […] on va faire l’événement. Je pense que ça continue d’être l’ADN de n’importe quelle chaîne d’info, c’est faire l’événement. Sur LCI.
- Yann Barthès : En 2022, est-ce que la Présidentielle va se passer sur les chaînes d’info ?
- Ruth Elkrief : Elle va se passer sur les réseaux sociaux, sur Instagram, Twitch… mais on ne pourra pas se passer des chaînes d’info.
- Yann Barthès : Les politiques ne pourront pas se passer de vous ?
- Ruth Elkrief : Ils ne pourront pas se passer de nous car on parle au plus grand nombre. […] Une campagne présidentielle, c’est minute par minute, il peut y avoir des coups de théâtre, il peut y avoir un nouveau candidat, un événement, tout peut basculer, ça va être sur les chaînes d’info et ça va être sur LCI !
- Yann Barthès : On sent que ça vous fait vibrer !
Nous aussi…
Oulala "la queen de l’info" chopait une jaunisse en décembre 2019, vite une cuillerée d’huile de foie de morue !
▻https://www.youtube.com/watch?v=6s3VG3TFDOA&t=192s
BFM TV, CNews, LCI… Les fléaux de l’information
▻https://www.monde-diplomatique.fr/podcast/2021-04-BFM-TV-CNews-LCI-fleaux-information
Les chaînes d’information en continu ont colonisé notre imaginaire visuel et mental. Ces antennes négligent l’enquête et le reportage, mais impriment leur rythme à la vie politique.
Entretien avec Sophie Eustache. Par Thibault Henneton & Yoko
▻https://www.monde-diplomatique.fr/audio/Podcast_diplo/2021-04-Entretien_Eustache.mp3
« CNews est une chaîne de débats, de polémiques, Pascal Praud est un show-man pas possible, mais est-ce que c’est une chaîne d’info ? Ce qui m’intéresse, c’est ce que son succès révèle… »
L’animatrice Ruth Elkrief, qui vient de quitter BFM TV pour LCI, le 1er avril sur TMC
Un genre littéraire, la catastrophe - Chronique 2
▻https://lundi.am/Un-genre-litteraire-la-catastrophe
Quadruppani à propos de Péage Sud de Sébastien Navarro :
Pour mieux comprendre la catastrophe en cours aux USA depuis le 6 janvier 2021, on peut s’aider d’un extrait de Péage Sud , de Sébastien Navarro, déjà apparu dans la chronique précédente. Ici, nous retrouvons le narrateur le 23 décembre 2018 en train de boire son jus matinal au Café des Sports. Lisant dans le journal que Macron est en crise existentielle à cause des Gilets Jaunes, le narrateur pouffe et un buveur de Ricard au look hard-rocker lui demande ce qui le fait rire.
« — C’est Macron, je réponds. Il ne va pas fort et ça me fait marrer.
-- Peut crever.
-- On n’en est pas là, même si ça en prend le chemin. Ecoutez ça. C’est un député de la majorité qui balance : « Il ne sort plus sans se maquiller tellement il est marqué. Il se maquille même les mains. »
Mon acolyte de bar avale une gorgée de Ricard. Son cerveau a besoin de temps pour traiter et analyser l’information. Il ferme son œil valide, la paupière de l’autre s’abaissant à mi-parcours. Puis il croise ses gros doigts noueux devant sa bouche et dit :
-- J’hésite entre la pute et le spectre.
-- La pute a droit à notre respect, j’objecte.
-- T’as raison. C’est un spectre. Un truc sans consistance qu’on nous fout devant les yeux pour nous endormir.
-- Une marionnette, quoi.
-- Non, un spectre. Une marionnette, c’est encore du solide. Tu peux la guillotiner ou faire fondre le plastique. Tu peux rien contre les spectres. C’est comme l’autre avec son hologramme.
-- Mélenchon ?
-- Ouais. On est dirigés par des spectres. Des halos de lumière sans consistance. Des faisceaux.
-- Faisceaux/fascistes, c’est la même racine, j’analyse.
-- On s’en fout, des fascistes.
L’œil désaxé vire globuleux, la pupille se coince dans un arcane supérieur avant de redescendre. Il poursuite :
-- Ils sont morts, les fascistes. On a changé d’époque. Aujourd’hui, c’est les faisceaux. Juste eux. La matrice. La lumière.
-- Et comment on en vient à bout des faisceaux et des spectres ?
-- Faut couper le jus.
-- Et tu sais toi comment couper le jus ?
-- Tu crois que je serais là à picoler si je le savais ? J’en sais rien et personne sait. »
La direction indiquée par l’ivrogne matutinal de Navarro semble bien plus prometteuse que les reconstructions à posteriori sur le complot trumpiste qui visait une proclamation de la loi martiale : comme on l’a déjà dit, en coupant le jus de Trump, les seigneurs des Gafam ont montré où étaient la matrice et la lumière animant les spectres qui nous gouvernent. Et les morts-vivants fascistes qu’ils sauront, le moment venu, déchaîner contre nous.
Les élevages de visons en Chine à l’origine du Covid-19 ? Les indices s’accumulent | Yann Faure et Yves Sciamma
▻https://reporterre.net/Les-elevages-de-visons-en-Chine-a-l-origine-du-Covid-19-Les-indices-s-ac
Et si la pandémie était née dans des élevages intensifs d’animaux à fourrure en Chine ? Le « chainon manquant » entre la chauve-souris et l’humain pourrait bien être le vison — le chien viverrin est également suspecté. Ceci expliquerait la volonté tenace de la Chine — premier producteur mondial de fourrure — de verrouiller l’information scientifique. Source : Reporterre
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Amusant de comparer avec l’article du Figaro de novembre ▻https://www.lefigaro.fr/conjoncture/le-vison-chinoispret-a-remplacerson-cousin-danois-victime-du-covid-19-20201 qui sous-titrait
L’abattage de tout le cheptel au Danemark, premier exportateur mondial, va doper l’élevage en Chine.
Sinon : chien viverrin = tanuki. Comme ici :
▻https://seenthis.net/messages/826340
La via della vergogna Sulla rotta balcanica delle migrazioni
Il viaggio disperato lungo la rotta dei Balcani, tra violenze e torture inaudite da parte della polizia Centinaia di profughi con diritto alla protezione respinti dall’Italia
È la schiena curva e livida dei respinti a dire le sprangate. Sono le gambe sanguinanti a raccontare la disperata corsa giù dal valico. A piedi nudi, con le caviglie spezzate dalle bastonate e i cani dell’esercito croato che azzannano gli ultimi della fila. È l’umiliato silenzio di alcuni ragazzi visitati dai medici volontari nel campo bosniaco di #Bihac per le cure e il referto: stuprati e seviziati dalla polizia con dei rami raccolti nella boscaglia. I meno sfortunati se la sono cavata con il marchio di una spranga incandescente, a perenne memoria dell’ingresso indesiderato nell’Unione Europea.
Gli orrori avvengono alla luce del sole. Affinché gli altri, i recidivi degli attraversamenti e quelli che dalle retrovie attendono notizie, battano in ritirata. Velika Kladuša e il valico della paura. Di qua è Croazia, Europa. Di la è Bosnia, fuori dalla cortina Ue. Di qua si proclamano i diritti, ma si usa il bastone. Oramai tra i profughi della rotta balcanica lo sanno tutti che con gli agenti sloveni e gli sbirri croati non si scherza.
«Siamo stati consegnati dalla polizia slovena alla polizia croata. Siamo stati picchiati, bastonati, ci hanno tolto le scarpe, preso i soldi e i telefoni. Poi ci hanno spinto fino al confine con la Bosnia, a piedi scalzi. Tanti piangevano per il dolore e per essere stati respinti». Sono le parole di chi aveva finalmente visto i cartelli stradali in italiano, ma è stato rimandato indietro, lungo una filiera del respingimento come non se ne vedeva dalla guerra nella ex Jugoslavia. Certi metodi non sembrano poi cambiati di molto.
Tre Paesi e tre trattamenti. I militari italiani non alzano le mani, ma sono al corrente di cosa accadrà una volta rimandati indietro i migranti intercettati a Trieste come a Gorizia. Più si torna al punto di partenza, e peggio andranno le cose. Le testimonianze consegnate ad Avvenire dai profughi, dalle organizzazioni umanitarie, dai gruppi di avvocati lungo tutta la rotta balcanica, sembrano arrivare da un’altra epoca.
Le foto non mentono. Un uomo si è visto quasi strappare il tendine del ginocchio destro da uno dei mastini delle guardie di confine croate. Quasi tutti hanno il torso attraversato da ematomi, cicatrici, escoriazioni. C’è chi adesso è immobile nella tendopoli di Bihac con la gamba ingessata, chi con il volto completamente bendato, ragazzini con le braccia bloccate dai tutori in attesa che le ossa tornino al loro posto. I segni degli scarponi schiacciati contro la faccia, le costole incrinate, i calci sui genitali. Un ragazzo pachistano mostra una profonda e larga ferita sul naso, il cuoio capelluto malridotto, mentre un infermiere volontario gli pratica le quotidiane medicazioni. Un afghano appena maggiorenne ha l’orecchio destro interamente ricucito con i punti a zigzag. Centinaia raccontano di essere stati allontanati dal suolo italiano.
Una pratica, quella dei respingimenti a ritroso dal confine triestino fino agli accampamenti nel fango della Bosnia, non più episodica. «Solo nei primi otto mesi del 2020 sono state riammesse alla frontiera italo-slovena oltre 900 persone, con una eccezionale impennata nel trimestre estivo, periodo nel quale il fenomeno era già noto al mondo politico che è però rimasto del tutto inerte », lamenta Gianfranco Schiavone, triestino e vicepresidente di Asgi, l’associazione di giuristi specializzati nei diritti umani. «Tra le cittadinanze degli stranieri riammessi in Slovenia il primo posto va agli afghani (811 persone), seguiti da pachistani, iracheni, iraniani, siriani e altre nazionalità, la maggior parte delle quali – precisa Schiavone – relative a Paesi da cui provengono persone con diritto alla protezione ». A ridosso del territorio italiano arriva in realtà solo chi riesce a sfuggire alla caccia all’uomo fino ai tornanti che precedono la prima bandiera tricolore. Per lasciarsi alle spalle quei trecento chilometri da Bihac a Trieste possono volerci due settimane.
Secondo il Danish Refugee Council, che nei Paesi coinvolti ha inviato numerosi osservatori incaricati di raccogliere testimonianze dirette, nel 2019 sono tornate nel solo campo di bosniaco di Bihac 14.444 persone, 1.646 solo nel giugno di quest’anno.
I dati a uso interno del Viminale e visionati da Avvenire confermano l’incremento delle “restituzioni” direttamente alla polizia slovena. Nel secondo semestre del 2019 le riammissioni attive verso Zagabria sono state 107: 39 da Gorizia e 78 da Trieste. Il resto, circa 800 casi, si concentra tutto nel 2020. Il “Border violence monitoring”, una rete che riunisce lungo tutta la dorsale balcanica una dozzina di organizzazioni, tra cui medici legali e avvocati, ha documentato con criteri legali (testimonianze, foto, referti medici) 904 casi di violazione dei diritti umani. Lungo i sentieri sul Carso, tra i cespugli nei fitti boschi in cima ai dirupi, si trovano i tesserini identificativi rilasciati con i timbri dell’Alto commissariato Onu per i rifugiati o dall’Agenzia Onu per le migrazioni. I migranti li abbandonano lì. Testimoniano di come a decine avessero ottenuto la registrazione nei campi allestiti a ridosso del confine balcanico dell’Unione Europea.
Quel documento, che un tempo sarebbe stato considerato un prezioso salvacondotto per invocare poi la protezione internazionale, oggi può essere una condanna. Perché averlo addosso conferma di provenire dalla Bosnia e dunque facilita la “riconsegna” alla polizia slovena. Anche per questo lo chiamano “game”.
Un “gioco” puoi vincere una domanda d’asilo in Italia o in un’altro Paese dell’Ue, o un’altra tornata nell’inferno dei respingimenti. «Quando eravamo nascosti in mezzo ai boschi, la polizia slovena – racconta un altro dei respinti – era anche accompagnata dai cani. Qualcuno si era accucciato nel bosco e non era stato inizialmente visto, ma quattro o cinque cani li hanno scovati e quando hanno provato a scappare sono stati rincorsi dai cani e catturati».
▻https://www.avvenire.it/attualita/pagine/lorrore-alle-porte-delleuropa
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Violenza sui migranti, in un video le prove dalla Croazia
Impugnano una spranga da cui pende una corda. Stanno per spaccare ginocchia, frustare sulla schiena, lanciare sassi mirando alla testa dei profughi. Sono soldati croati...
▻https://www.youtube.com/watch?v=tacXXCD8UL8&feature=emb_logo
Non è per il freddo delle gelate balcaniche che gli uomini appostati nella radura indossano un passamontagna. Il branco è lì per un’imboscata. Impugnano una spranga da cui pende una corda. Stanno per spaccare ginocchia, frustare sulla schiena, lanciare sassi mirando alla testa dei profughi. Sono soldati croati. E stavolta Zagabria non potrà più dire che non ci sono prove.
Ora c’è un video che conferma le accuse di questi anni. Nei giorni scorsi, dopo la ricostruzione di Avvenire e la pubblicazione di immagini e testimonianze di alcune tra le migliaia di persone seviziate dai gendarmi, era intervenuta la commissaria agli Affari Interni dell’Ue, Ylva Johansson. «Abbiamo sentito di respingimenti dagli Stati membri e non è accettabile». Nessun accenno, però, alla violenza. Il governo di Zagabria, infatti, ha sempre respinto le accuse dei profughi respinti a catena da Italia, Slovenia e Croazia. «Nonostante i report lo Stato croato ha negato, mettendo in dubbio la credibilità dei migranti, degli attivisti e dei giornalisti – ricordano i legali del “Border violence monitoring” – citando la mancanza di prove fotografiche». Ora quelle prove ci sono.
I fotogrammi e i video raccolti sul campo non lasciano spazio a dubbi. La frusta schiocca i primi colpi. Un uomo viene atterrato dopo che l’aggressore lo ha quasi azzoppato. Neanche il tempo di stramazzare tra i rovi che viene centrato in pieno volto. Poco distante, in un fossato che segna il confine con la Bosnia Erzegovina, altri due uomini a volto coperto, entrambi con divise blu scure, afferrano dei grossi sassi e li scagliano contro alcuni ragazzi che corrono per riguadagnare il confine bosniaco, a meno di 30 metri, dove gli aggressori croati sanno di non potere addentrarsi.
▻https://www.youtube.com/watch?v=rtEDbuDbqzU&feature=youtu.be
Le sequenze sono raccapriccianti. Le urla spezzano il fiato. I militari infieriscono ripetutamente su persone inermi. A tutti sono state tolte le scarpe, i telefoni, il denaro, gli zainetti con gli unici ricordi delle propRie origini. Un uomo piange. Il volto gonfio, una gamba dolorante, alcune ferite alla testa, il labbro superiore sanguinante. Nella sua lingua biascica la più universale delle invocazioni: «Mamma mia».
Le immagini,che risalgono alla fine di marzo, sono state analizzate per mesi da legali e periti di vari Paesi per conto del “Border violence monitoring”, il network di organizzazioni di volontariato attivo in tutti i Balcani. Nel video integrale (sintetizzato da Avvenire in una versione di 4 minuti in questo articolo) si possono vedere i filmati con le ricostruzioni forensi. Oltre alle identità dei feriti è stato possibile riconoscere anche i corpi di appartenenza dei picchiatori: guardie di confine, nuclei speciali della polizia e militari dell’esercito.
Le forze di sicurezza, come sempre, avevano pensato a impedire che le testimonianze potessero trovare riscontri fotografici. Questa volta, però, un ragazzo afghano è riuscito a beffarli. Poco prima del respingimento altri agenti in un posto di polizia avevano rubato denaro, telefoni ed effetti personali. Con le scarpe e i vestiti avevano fatto un falò. Nella concitazione, da uno degli zainetti è scivolato un telefono. Il ragazzo ha fatto in tempo a nasconderlo nelle mutande. Per consegnarci le immagini della vergogna all’interno dell’Unone europea.
Dopo una corsa disperata, inseguito dalle sprangate e dalle scudisciate, una volta superato il fossato ha riacceso il cellulare danneggiato durante l’aggressione. C’era ancora abbastanza batteria. Si sente anche la sua voce mentre non riesce a tener ferme le mani: «Mi fa male una gamba, ho troppo dolore». Un altro accanto a lui comprende l’importanza di quegli istanti: «Ti tengo io, devi continuare a riprendere».
Pochi giorni prima The Guardian aveva pubblicato un inchiesta di Lorenzo Tondo: la polizia croata veniva accusata di segnare i migranti islamici con una croce sulla testa, ma ancora una volta Zagabria aveva negato.
Le riammissioni a catena, con cui dal confine italo–sloveno «si deportano illegalmente i rifugiati fino in Bosnia, hanno l’effetto di esporre le persone a condizioni inumane e a un rischio di morte: vanno pertanto immediatamente fermate», chiede il Consorzio italiano di solidarietà (Ics). Anche in Bosnia vengono denunciati episodi di violenza ed uso eccessivo della forza da parte della polizia.
L’11 dicembre, sei giorni dopo la pubblicazione della prima puntata dell’inchiesta di Avvenire (LEGGI QUI), è intervenuta la Commissaria ai diritti umani del Consiglio d’Europa, il consesso che ha dato vita alla Corte europea dei diritti dell’Uomo. In una lettera la bosniaca Dunja Mijatovic parla delle «segnalazioni di gruppi di vigilantes locali che attaccano i migranti e distruggono i loro beni personali», esprimendo preoccupazione «per le segnalazioni di attacchi e minacce contro i difensori dei diritti umani che aiutano i migranti, tra cui una campagna diffamatoria e minacce di morte».
E non sarà certo la prima neve a fermare le traversate.
Ieri la polizia serba ha bloccato 300 persone in due distinte operazioni: 170 sono stati trovati nella zona di Kikinda, lungo un sentiero sul confine con la Romania; altri 140 sono stati vicino al valico di Horgos, alla frontiera con l’Ungheria. Sperano così di aggirare la sbirraglia.
Nicola Bay, direttore in Bosnia del “Danish refugee council” spiega di avere identificato con la sua organizzazione «14.500 casi di respingimenti dalla Croazia alla Bosnia dall’inizio del 2020. Nel solo mese di ottobre, i casi sono stati 1.934, tra cui 189 episodi in cui migranti sono stati soggetti a brutale violenza, e in due episodi anche violenza sessuale, da parte di uomini in uniformi nere, con i volti mascherati». Perciò «non è accettabile che i respingimenti violenti siano utilizzati, di fatto, come strumento per il controllo dei confini dagli stati europei. È giunto il momento di esigere, da parte della Commissione Europea e degli stati membri della Ue, inclusa l’Italia, il pieno rispetto delle più basilari norme del diritto comunitario e internazionale».
E non è escluso che grazie a queste immagini si apra finalmente una inchiesta giudiziaria per individuare i responsabili, i loro superiori e fermare i crimini contro gli esseri umani commessi nell’Unione Europea.
▻https://www.avvenire.it/attualita/pagine/torture-su-migranti-al-confine-tra-croazia-e-bosnia-vide-scavo
L’inchiesta. Abusi sui migranti della rotta balcanica, scende in campo l’Ue
Dopo le denunce su violenze e respingimenti, l’Agenzia Ue per i diritti umani: monitorare i comportamenti della polizia. Zagabria: violenze presunte. A Trieste con i volontari che curano le ferite
▻https://www.youtube.com/watch?v=uBfEBYHMXXE&feature=emb_logo
La lavanda dei piedi comincia all’ora del vespro. È il quotidiano rito dei volontari che ogni sera, nel piccolo parco tra la stazione e il vecchio porto, dai loro zaini da studente estraggono garze, cerotti, unguenti. Passano da lì gli impavidi del game, i superstiti della roulette russa dei respingimenti a catena, e a bastonate, verso la Bosnia. Cacciati fuori dai confini Ue.
Dopo le nuove denunce di queste settimane, qualcosa tra Bruxelles e Zagabria si muove. L’agenzia Ue per i diritti fondamentali è pronta a monitorare i comportamenti delle polizie lungo i confini. Ma manca una data per l’avvio del piano di prevenzione degli abusi.
Pochi giorni fa a Bruxelles hanno chiuso un rapporto che racconta di vicende sfuggite alle principali cronache internazionali. Sono ancora in corso le indagini per episodi ch si ripetono da anni senza che mai si arrivi a individuare delle responsabilità. Nel novembre 2017 «una bambina afghana di sei anni, Madina Hosseini, è stata uccisa da un treno in transito al confine tra Croazia e Serbia» si legge nel dossier, che precisa: «Secondo il rapporto del difensore civico croato, Madina e la sua famiglia erano arrivate in Croazia e avevano chiesto asilo, quando è stato detto loro di tornare in Serbia». Una violazione delle norme sul diritto d’asilo finita in dramma. La famiglia è stata trasferita «in un veicolo della polizia vicino alla ferrovia e istruita a seguire i binari fino alla Serbia. Poco dopo, la bambina di sei anni è stata uccisa da un treno». D allora non molto è cambiato in meglio.
Da Kabul a Trieste sono 4mila chilometri. Da qui il villaggio di casa è lontano, la guerra anche. C’è chi l’ultimo tratto lo ha percorso cinque volte. Perché acciuffato dagli agenti sloveni, infine riportato in Bosnia dopo una lezione della polizia croata. E c’è chi a Trieste invece c’era quasi arrivato, ma è stato colto dalla polizia italiana sulla fascia di confine, e poco dopo «riammesso» in Slovenia, come prevede un vecchio accordo tra Roma e Lubiana siglato quando implodeva la ex Jugoslavia.
Scarpe sfondate, vestiti rotti, le caviglie gonfie e gli occhi troppo stanchi di chi l’ultima volta che s’è accucciato su un materasso era in un qualche posto di polizia. Per Gianfranco Schiavone, vicepresidente dell’Associazione per gli studi giuridici sull’immigrazione (Asgi), è più che «anomalo che la riammissione possa avvenire senza l’emanazione di un provvedimento amministrativo». Anche perché «è indiscutibile che l’azione posta in essere dalla pubblica sicurezza attraverso l’accompagnamento forzato in Slovenia produce effetti rilevantissimi – aggiunge – sulla situazione giuridica dei soggetti interessati».
Ricacciati indietro senza neanche poter presentare la domanda di protezione, molti passano per le mani delle guardie croate. Anche qui, però, il compatto muro di omertà tra uomini in divisa comincia a incrinarsi. La diffusione di immagini e filmati che documentano la presenza di gendarmi tra i picchiatori di migranti sta convincendo diversi agenti a denunciare anche i loro superiori. Gli ordini, infatti, arrivano dall’alto. Il merito è dell’Ufficio per la protezione dei diritti umani di Zagabria, dotato di poteri investigativi che stanno aprendo la strada a indagini della magistratura, garantendo l’anonimato ai poliziotti che collaborano con le indagini. Il ministero dell’Interno di Zagabria respinge le accuse arrivate nelle ultime settimane da testate come Der Spiegel, The Guardian e Avvenire, riguardo le violenze commesse dalle autorità lungo i confini. Foto e filmati mostrano uomini in divisa armati di spranghe e fruste. «Non si può confermare con certezza che siano membri regolari della polizia croata», si legge in una nota. «La polizia croata protegge il confine dalla migrazione illegale, lo protegge dalle azioni illegali e dai pericoli – aggiunge – che possono portare con sé persone senza documenti e senza identità, e lo fa per fornire pace e sicurezza al popolo croato». Tuttavia «non tolleriamo alcuna violenza nella protezione delle frontiere né (la violenza) è parte integrante delle nostre azioni». Riguardo al filmato e alla ricostruzione di Border Violence Monitoring «concludiamo che non abbiamo registrato azioni in base alla data e al luogo dichiarati nell’annuncio». Quali indagini siano state condotte non è però dato saperlo. «Controlleremo accuratamente i presunti eventi».
Mentre dal Carso i primi refoli della sera si scontrano con quelli che soffiano dal mare, i volontari appostati nei dintorni della statua della principessa Sissi si preparano a un’altra serata con dolori da alleviare e lamenti da ascoltare. Lorena Fornasier, 67 anni, psicoterapeuta, e suo marito Gian Andrea Franchi, 83 anni, professore di filosofia in pensione, passano spesso di qua. Raccolgono quelli messi peggio. Lo fanno da anni, senza clamore, e si devono a loro le prime denunce sui maltrattamenti subiti dove finiscono i Balcani e comincia la Mitteleuropa.
«Bisogna portare in tribunale dei casi individuali con l’intento di definire un precedente che sia valido per tutti, per attivare dei cambiamenti normativi che permettano un maggiore rispetto dei diritti fondamentali», osserva Giulia Spagna, direttrice per l’Italia del Danish refugee council, le cui squadre continuano a raccogliere prove di abusi lungo tutta la dorsale balcanica. «Da una parte – aggiunge – si devono offrire soluzioni concrete alle persone che hanno subito soprusi, attraverso supporto legale, oltre che medico e psicologico. Dall’altra usare questi episodi per influenzare le politiche europee e nazionali».
▻https://www.avvenire.it/attualita/pagine/a-trieste-tra-chi-cura-le-ferite-reportage-migranti
Communiqué suite à la condamnation d’un membre de Désarmons-les ! | Désarmons-les !
▻https://desarmons.net/2020/12/04/communique-suite-a-la-condamnation-dun-membre-de-desarmons-les
Ce jeudi 3 décembre au tribunal de Montpellier, ian, membre de Désarmons-les, se faisait juger sur la base d’un faux en écriture publique réalisé par un agent des Compagnies départementales d’intervention, Jean-Charles Notolan. Ce dernier, après avoir maltraité une observatrice de la LDH au cours de la manifestation du 28 septembre 2019 [1], en lui assénant des coups répétés de bouclier (affaire faisant l’objet d’une plainte IGPN de la part de ladite observatrice), s’était plaint de violences imaginaires de la part de ian, mais aussi d’outrage (il faut bien arrondir sa paie), avant que ses collègues n’ajoutent un délit de groupement en vue de commettre des violences, prétextant la présence dans sa sacoche d’un résidu de grenade lacrymogène percutée [2]
Le déroulé des faits avait été publié ici : ►https://desarmons.net/2019/10/01/ianb-membre-de-desarmons-les-revient-sur-son-arrestation-a-montpellier-le
Une affaire somme toute banale qui ne laissait pas présager un coup de massue comme celui qui est tombé sur la tête de ian en fin d’audience : 8 mois de prison ferme et 600 euros au titre des dommages et intérêts !
L’audience s’est avérée être une farce, dans laquelle le procureur Lionel Sabater Bono, la juge Gisèle Bresdin et l’avocat du policier Panis Guilhem se sont livrés à des simagrées digne d’un tartuffe. Dans leurs certitudes bourgeoises, le policier est couvert d’un blanc-seing qui l’absout par avance de tout mensonge et de toute violence sous prétexte qu’il a prêté serment (la réalité des abus et violences dénoncée à corps et à cris par l’ensemble de la société leur est indifférente) : malgré les évidences criantes, leur prisme d’analyse totalement binaire et manichéen les amène à considérer toute personne critique envers l’action des forces de l’ordre comme un parasite à écraser sous sa botte, à réduire au silence. Et c’est ainsi que ian a été traité tout au long de l’audience, avec un violent mépris, sans retenue.
Le procureur Lionel Sabater Bono, d’une médiocrité rhétorique assourdissante, s’est ensuite empêtré dans un réquisitoire honteux, présentant ian comme un complice du #terrorisme, du fait qu’il prenait l’initiative de réagir aux injustices au lieu de laisser faire la police : “Si Mohammed Merah se faisait interpeller par la police, vous le sauveriez aussi ?” (SIC). Dans son argumentaire scabreux, il s’est également retrouvé involontairement à comparer les policiers avec des chiens enragés : “Si des chiens attrapaient quelqu’un par les crocs, vous iriez vous jeter dans leurs griffes pour le libérer ?” Au delà de l’ineptie de la question, le pire est sans doute que la réponse normale devrait être “oui”. (...)
Ce feu qui nous rassemble
▻http://acontretemps.org/spip.php?article815
à propos de Péage Sud de Sébastien Navarro aux Éditions du Chien rouge, Marseille.
Si ce Péage Sud surpasse bien des ouvrages, même dignes d’intérêt, parus à ce jour sur le mouvement des Gilets jaunes, c’est qu’il nous restitue, de l’intérieur et en fil direct, ce qui fit – et continue de faire – sa singularité dans l’histoire de la « canaille », comme disait Thiers des communards. Cette singularité, c’est l’idée que quiconque veut le rejoindre ou le quitter « s’y agrège et se désagrège sans que des protocoles aient besoin d’être déployés ». La tribu ne sélectionne pas ; elle n’exclut pas non plus. Ce qu’elle construit, c’est un « agir » spontané, une « énergie politique sans leader », une « puissance » désidentifiée, une force insaisissable capable de muter au gré des convergences qui pourraient naître de la fraternité des combats. C’est ainsi que les Gilets jaunes ont trouvé naturellement leur place dans le mouvement contre l’ignoble projet macronien de contre-réforme des retraites et qu’ils sont encore là, au bout de cette sinistre année 2020 où tout nous fut volé de nos patientes impatiences. Ils savent que la police tient l’État dans sa pogne, qu’elle a fait corps séparé et que c’est précisément pour cela que Darmanin leur lâche tout. Et pourtant ils attendent toujours le grand soulèvement, plus convaincus que jamais que leur cause est juste et leurs pratiques méritoires. C’est aussi en cela qu’ils font exception. Ils se refusent, en fait, à n’être réduits qu’au souvenir d’eux-mêmes aux heures du grand feu qui les/nous rassembla. Ils n’en ont pas fini avec Macron et son monde de merde.
Voir :
▻https://seenthis.net/messages/885331
►https://seenthis.net/messages/886310
Menaces de mort contre Taha Bouhafs : « hors sujet » selon Julien Pasquet de CNews
▻https://www.acrimed.org/Menaces-de-mort-contre-Taha-Bouhafs-hors-sujet
Le même type de hors sujet que pour le terroriste de Cholet.
(on pourrait d’ailleurs discuter de ce mot, terroriste, et de ce que ceux qui l’emploient souhaitent nous masquer, et de combien nous devrions être finalement heureux que le meurtrier de Cholet n’ait pas été qualifié de terroriste... et ce combien on devrait réclamer avec force que les autres meurtriers de ce genre soient qualifiés avec la même volonté de ne pas rendre inintelligibles les actions de ces gens)
David Guiraud porte-parole Jeunesse de la France Insoumise prend en otage un journaliste sportif sur CNews.
▻https://video.twimg.com/amplify_video/1328481789229330433/vid/1280x720/TwX8jgImdeXCY_-I.mp4?tag=13
Julien Pasquet, présentateur de l’émission « Soir Info » sur #CNews, est déjà un #chien_de_garde accompli. Ex-journaliste sportif, comme son collègue (et mentor) Pascal Praud , il est passé maître dans les interventions tonitruantes. Qu’il s’agisse de « se ficher des chiffres » (quand ils ne lui conviennent pas) ou de juger de l’insuffisante présence des musulmans à l’hommage à Samuel Paty. Sa dernière prestation : son refus de prendre en considération les menaces de mort adressées au journaliste Taha Bouhafs
▻https://twitter.com/GuiraudInd/status/1328484019852496896
David Guiraud voulait-il faire comprendre à ce sportif de plateau qui sont les « vrais journalistes » , ceux qui donnent « la vrai information » dixit LaREM ? sur CNews ??
On vient de faire imprimer le prochain bouquin des Éditions du Chien rouge.
Il s’agit du deuxième livre de Sébastien Navarro que les lecteurs/lectrices de CQFD connaissent bien.
C’est un roman sur son expérience en jaune et qui porte le doux nom de Péage Sud.
▻https://www.hobo-diffusion.com/catalogue/2293/peage-sud
C’est l’histoire d’un gars qui a lu plein de bouquins sur la révolution et qui a failli passer à côté de celle en train de germer sur le rond-point de son village.
L’histoire d’une rencontre entre un intello maladroit et une foule sortie de son mouroir périphérique pour hurler à la face du monde sa soif de dignité et de justice sociale. Une histoire de manifs organiques, de pétroleuses magnifiques et de rires-aux-larmes lacrymogènes.
Vous le trouverez dans tous les bons drives indépendants à partir du 13 novembre !
Pour en savoir plus sur son premier bouquin, Panchot , c’est pas ici :
▻https://cqfd-journal.org/Panchot-la-somme-des-mensonges-sur
Le 1er août 1944, 600 soldats allemands et miliciens français s’engagent sur la route de Valmanya, dans les Pyrénées catalanes. Leur objectif ? Mater le maquis du Canigou, qui a pris ses quartiers un peu plus haut, dans l’ancienne colonie minière de la Pinouse. Grâce aux guérilleros républicains espagnols qui harcèlent le convoi nazi, d’autres résistants ont le temps d’organiser la fuite des 150 villageois. Quatre vieillards décident de rester : ils seront sauvagement exécutés. Enceinte, une jeune femme demeure également au village : elle sera violée devant ses enfants. Méthodiquement, le bourg est pillé, puis incendié. Du côté de la Pinouse, les Francs-tireurs et partisans résistent un temps, avant de décrocher. Leur chef, Julien Panchot, est blessé : capturé par l’ennemi, il est sauvagement assassiné.
Voilà pour la version consensuelle de l’histoire. Il y en a d’autres… C’est ce qui a intrigué le camarade Sébastien Navarro, vieux compagnon de route de CQFD , qui signe avec Panchot son premier bouquin, aux éditions Alter Ego.
Le pire c’est qu’on connaît déjà la fin de la blague : en 2022 nous serons bruyamment invités à réélire le pantin merdeux, ses Darmanin, ses Schiappa et toute la bande, au motif de faire barrage à l’extrême-droite.
Et m’est avis que ce ne sera pas la dernière ... Parce que en fait, l’ultra-libéralisme (ou l’extrême centre, c’est selon), c’est choisir entre Covid-19 et Ebola.
À moins que d’ici là, on réussisse à construire une alternative politique pertinente et digne de ce nom, avec des représentantes et représentants fréquentables, qui emportent une majorité d’entre nous qui serait potentiellement plus nombreuses et plus nombreux que les électeurs des pieds nickelés que tu mentionnes. On peut quand même rêver et suggérer des idées à défaut d’autre chose (#reka_bisoumours)
Je fais aimablement remarquer que si « on » ne s’en mêle pas, « on » ne risque pas de trouver des représentants fréquentables.
La politisation des inners est médiocre, et il suffit de lire les remarques de tranbert sur un autre fil pour comprendre que leur seule boussole est le trouillomètre. La conflictualité et l’altérité sont leurs ennemis, et toute personne leur proposant de « réagir » sera considéré avec nettement plus de sérieux que nous là, qui aimons la pensée complexe, et la recherche des causes et le débat d’idées. Et en fait, même si on s’en mêle, on n’y arrivera pas... Le trouillomètre contrôle tout.
Effectivement, de plus en plus de monde déteste Macron et ses sbires, et malheureusement il sera quand même réélu faute de concurrence. Un autre problème de la démocratie...
En tout cas, au début du mouvement quasi insurrectionnel des #gilets_jaunes, on a quand même vu le #trouillomètre atteindre des niveaux rarement égalés du côté de la #bourgeoisie, enfin, disons de la #classe_dominante. Et je dois bien vous avouer que, pour moi, ce fut jubilatoire. Bon après, la répression de la #police_politique en roue libre a fait le reste. Fin de l’histoire.
Suite au fiasco de StopCovid, le président de la République a annoncé ce mercredi le lancement de la nouvelle application « Tous Anti Covid ». Pour 2022 je vois plus qu’une application « Tous Anti Macron » pour endiguer cette chienlit.
▻https://www.lefigaro.fr/flash-eco/l-application-stopcovid-rebaptisee-tous-anti-covid-20201014
#chienlit #anti-macron
Le covid-19 a-t-il une odeur ? À l’aéroport d’Helsinki des chiens sont utilisés pour dépister les porteurs du virus. Ils pourraient le détecter cinq jours avant l’apparition des symptômes.
Síntomas de covid-19 : el mecanismo por el que los perros pueden detectarlos 5 días antes de que empiecen
▻https://www.elnacional.com/bbc-news-mundo/sintomas-de-covid-19-el-mecanismo-por-el-que-los-perros-pueden-detectarl
En Argentina, Brasil, Chile, Colombia y México, entre otros países, están entrenando perros para que puedan detectar la enfermedad en pacientes asintomáticos
¿El covid-19 tiene olor?
Esa es una respuesta que solo nos podría dar con exactitud un perro.
La capacidad olfativa de una de nuestras mascotas preferidas se ha convertido en otra herramienta para combatir la pandemia del covid-19, que ya ha causado más de 20 millones de contagios y un millón de muertes en todo el mundo.
En países como Finlandia, Líbano, Argentina, Chile, Alemania, EE.UU., Colombia y México, las autoridades están entrenando canes para que puedan detectar si las personas están contagiadas con el nuevo coronavirus.
Desde hace algunas semanas, por ejemplo, perros especialmente entrenados para identificar mediante el olfato el covid-19 comenzaron a rastrear pasajeros como parte de un programa piloto en el aeropuerto de Helsinki-Vantaa de Finlandia.
De acuerdo con la profesora Anna Hielm-Bjorkman, de la Universidad de Helsinki, los perros pueden detectar el virus en humanos cinco días antes de que se desarrollen síntomas.
“Son muy buenos [para detectar el coronavirus]. Nos acercamos al 100% de efectividad”, explica.