#cholestérol

  • #SCLÉROSE_en_PLAQUES : Le rôle clé du cholestérol dans la régénération de la myéline | santé log
    https://www.santelog.com/actualites/sclerose-en-plaques-le-role-cle-du-cholesterol-dans-la-regeneration-de-la-

    La dégradation des gaines de myéline est la caractéristique majeure de certains troubles neurologiques (maladies démyélinisantes) dont la sclérose en plaques (SEP). Et le #cholestérol est un composant indispensable des gaines de myéline. Il est donc crucial de comprendre le rôle joué par le cholestérol : en temps normal, le cholestérol des gaines de myéline est soit recyclé à partir de la myéline endommagée, soit produit à nouveau localement.

    Ces travaux d’une équipe de l’Institut Max Planck de Göttingen, révèlent qu’en cas de maladie chronique, et contrairement aux dommages aigus, pratiquement aucun cholestérol n’est recyclé. C’est donc la production de nouveau cholestérol qui détermine l’efficacité de la réparation de la myéline. Cette découverte, présentée dans les Cell Reports, a des implications majeures pour le succès thérapeutique des troubles de la myéline tels que la SEP.

    Source :
    Neuronal cholesterol synthesis is essential for repair of chronically demyelinated lesions in mice : Cell Reports
    https://www.cell.com/cell-reports/abstract/S2211-1247(21)01359-0

  • #Sugarland

    Le sucre est partout ! Toute notre #industrie_agroalimentaire en est dépendante. Comment cet aliment a pu s’infiltrer, souvent à notre insu, au cœur de notre culture et de nos régimes ? #Damon_Gameau se lance dans une expérience unique : tester les effets d’une alimentation haute en sucre sur un corps en bonne santé, en consommant uniquement de la #nourriture considérée comme saine et équilibrée. A travers ce voyage ludique et informatif, Damon souligne des questions problématiques sur l’industrie du sucre et s’attaque à son omniprésence sur les étagères de nos #supermarchés !


    http://thatsugarfilm.com
    #film #documentaire #sucre #industrie_agro-alimentaire #fructose #cholestérol #alimentation #dépendance #humeur

    Intéressant les quelques jours que Damon Gameau passe auprès d’une communauté #aborigènes (#peuples_autochtones) qui ne vivent pratiquement que de sucres contenus dans les produits vendus dans le seul supermarché...

    Damon parcourt l’Australie pour constater les ravages des sucres cachés. Le voilà en territoire aborigène, dans un village qui depuis toujours a proscrit l’alcool et qui, quarante ans auparavant, se nourrissait encore des produits de la terre. Voici quelques années, les habitants, décimés par les maladies liées au sucre, obésité, pathologies cardio-vasculaires, diabète, ont décidé de faire la guerre aux sucres cachés. Le retour de bâton fut immédiat : le gouvernement leur a coupé les subventions. Plus de diététiciens, plus d’information, les gamins recommencent à manger n’importe quoi. On ne compte plus les patients sous dialyse. Dans le petit cimetière du village, cinq tombes récentes abritent la dépouille d’habitants de moins de quarante ans.

    https://le-quotidien-du-patient.fr/article/reportage/2018/01/29/sugarland-lenfer-du-sucre

    Deux choses que j’ai apprises dans ce documentaire :

    1.
    Que pas toutes les calories se valent... Damon Gameau a ingurgité la même quantité avant et durant son expérimentation, mais avant il était en bonne santé, après les 2 mois de test... plus trop...

    Le réalisateur attire notre attention sur un autre point tout aussi inquiétant. Il a changé de régime, pas la quantité de calories qu’il absorbe : 2 300 calories par jour. Mais il a remplacé les bonnes graisses – un poulet rôti avec la peau, des avocats, des fruits à coque, même des œufs au bacon – par du mauvais sucre. Là encore, il blâme la désinformation globale qui voudrait que l’obésité découle de trop de calories et pas assez d’exercice. Son expérience démontre, sans appel, que toutes les calories ne sont pas égales entre elles.

    https://le-quotidien-du-patient.fr/article/reportage/2018/01/29/sugarland-lenfer-du-sucre

    2. Que l’industrie du sucre a gagné la bataille sur celle de la graisse en 1955, après la crise cardiaque du président Eisenhower (https://www.youtube.com/watch?v=QKZldwXao7c

    ). Deux médecins ont bataillé pour décréter la cause de la crise cardiaque du président : graisse ou sucre... La graisse a gagné (ou perdu), alors que le sucre en est sorti blanchi...
    –-> ce qui me permet de faire un lien direct avec cet autre film documentaire, passé sur Arte :
    #Cholestérol le grand bluff
    http://seen.li/c75y

    #RAP2018-2019

    • Determined to give back to the APY communities and support them in their mission to take control of their own nutrition and improve their health status, Damon founded The Mai Wiru (good food) Sugar Challenge Foundation in 2014.It is time to empower people to improve their nutrition and we can do this by raising the much needed money to support community driven programs.
      #MAI_WIRU SUGAR CHALLENGE FOUNDATION

      The Mai Wiru Sugar Challenge Foundation recognises that the relationship of nutrition to health is a complex issue, especially in remote Aboriginal communities. By combining modern and local Traditional Knowledge of food preparation, the Foundation aims to reduce sugar intake by encouraging delicious healthy alternatives and supporting an innovative program of health promotion. Addressing behavioural change takes time and sustained support.The Mai Wiru Regional Stores Policy was developed in 2000-2001 and showed the dramatic changes over time in where people on the APY Lands are sourcing their foods, what was available and its cost to community members. As a result, the Mai Wiru project commenced work with the community owned stores and improve food security (the availability and affordability of healthy food and essential items every day in the local store).

      Having healthy food available does not mean people choose to eat that food all the time, or even most of the time. This is where the Foundation comes in. Our programs are developed and designed in an inclusive and sharing way – taking the best everyone has to offer to ensure the best outcomes for community members.


      http://www.maiwirufoundation.org
      #Amata

    • Et aux #Etats-Unis, Damon Gameau découvre les ravages de la #boisson #Mountain_Dew sur la santé, notamment des enfants :

      Le Mountain Dew, stylisé #Mtn_Dew, est un #soda au goût d’agrumes et caféiné commercialisé par le groupe PepsiCo.

      Il a été inventé dans la ville de Marion, en Virginie, et a été pour la première fois commercialisé dans la ville de Knoxville, dans le #Tennessee en 1948. Le Mountain Dew (rosée des montagnes) a par la suite été commercialisé à l’échelle des États-Unis à partir de 1964 et était en 2010 la quatrième boisson gazeuse la plus vendue aux États-Unis1. Il est commercialisé en France depuis 20142. Il est généralement emballé dans une bouteille verte, et sa couleur une fois sorti de son conteneur est d’un jaune-vert assez clair, et semi opaque.


      https://fr.wikipedia.org/wiki/Mountain_Dew_(marque_de_boisson)
      #pepsi #pepsi_cola

    • Pure, White and Deadly

      Pure, White and Deadly is a 1972 book by #John_Yudkin, a British nutritionist and former Chair of Nutrition at Queen Elizabeth College, London.[1] Published in New York, it was the first publication by a scientist to anticipate the adverse health effects, especially in relation to obesity and heart disease, of the public’s increased sugar consumption. At the time of publication, Yudkin sat on the advisory panel of the British Department of Health’s Committee on the Medical Aspects of Food and Nutrition Policy (COMA).[2] He stated his intention in writing the book in the last paragraph of the first chapter: “I hope that when you have read this book I shall have convinced you that sugar is really dangerous.”[3]

      The book and author suffered a barrage of criticism at the time, particularly from the sugar industry, processed-food manufacturers, and Ancel Keys, an American physiologist who argued in favour of restricting dietary fat, not sugar, and who sought to ridicule Yudkin’s work.[2] In later years, Yudkin’s observations came to be accepted.[a][2][4][5][6] A 2002 cover story about sugar by Gary Taubes in The New York Times Magazine, “What if It’s All Been a Big Fat Lie?”, attracted attention,[7] and the following year a World Health Organization report recommended that added sugars provide no more than 6–10% of total dietary intake.[8] In 2009 a lecture on the health effects of sugar by Robert Lustig, an American pediatric endocrinologist, went viral.[9] The subsequent interest led to the rediscovery of Yudkin’s book and the rehabilitation of his reputation.[2][10]

      Two further editions of the book were published, the second after Yudkin’s death in 1995. An expanded version appeared in 1986, revised by Yudkin himself, to include much additional research evidence. In 2012 the book was re-published by Penguin Books with a new introduction by Robert Lustig to reflect the changed nutritional context that the book had helped to create.


      https://en.wikipedia.org/wiki/Pure,_White_and_Deadly
      #livre

    • Sugar politics

      #Cristin_Kearns is a Postdoctoral Scholar at the University of California San Francisco with a joint appointment at the Philip R. Lee Institute for Health Policy Studies in the School of Medicine, and the Department of Oral and Craniofacial Sciences at the School of Dentistry. Additionally, she is an Acting Instructor at the University of Washington School of Dentistry. Her degrees include a B.A. in Neuroscience from Trinity College, a D.D.S. from The University of North Carolina School of Dentistry, and an M.B.A. in Health Administration from the University of Colorado, Denver.


      https://sugarpolitics.com

    • Sucre, le doux mensonge

      Comment, depuis les années 1970, l’industrie agroalimentaire a oeuvré pour augmenter les doses de sucre dans nos assiettes, avec à la clé un problème majeur de santé publique : obésité, diabète et maladies cardiaques se répandent à travers le monde, notamment chez les enfants. Cette enquête dévoile les mensonges de l’industrie sucrière et les recours possibles pour enrayer l’épidémie.

      C’est en épluchant les archives internes de la Great Western Sugar Company, l’un des fleurons de l’industrie sucrière américaine, que la dentiste Cristin Kearns a fait une découverte de taille, exposée fin 2012 dans le magazine américain Mother Jones : dans les années 1970, l’industrie mondiale du sucre a mis au point une stratégie délibérée de conquête, visant à inclure toujours plus de saccharose dans l’alimentation quotidienne mondiale et à en dissimuler sciemment les risques sanitaires. Quarante ans durant, l’Association américaine du sucre et ses homologues d’autres continents ont réussi à faire prospérer un empire lourd de plusieurs milliards et à transformer les habitudes alimentaires à l’échelle planétaire. Conséquence de la nouvelle addiction qu’ils ont su généraliser, l’obésité, le diabète et les maladies cardiaques se répandent à travers le monde, notamment chez les enfants.

      Sucre et tabac, même combat ?
      Le lobby du sucre est désormais au banc des accusés. Sa ligne de défense, jusqu’ici, ne bouge pas d’un iota : il exige de ses détracteurs toujours davantage de preuves de la nocivité du sucre. Ces manœuvres rappellent celles de l’industrie du tabac pour retarder coûte que coûte l’application des décisions politiques. Alors que l’industrie, la recherche et les pouvoirs publics se mènent une lutte de plus en plus dure, la bombe à retardement sanitaire approche de l’explosion… Cette enquête dévoile les mensonges de l’industrie sucrière et les recours possibles pour enrayer l’épidémie.


      https://www.arte.tv/fr/videos/054774-000-A/sucre-le-doux-mensonge

  • Sugar : The Bitter Truth

    Robert H. Lustig, MD, UCSF Professor of Pediatrics in the Division of Endocrinology, explores the damage caused by sugary foods. He argues that fructose (too much) and fiber (not enough) appear to be cornerstones of the obesity epidemic through their effects on insulin. Series: UCSF Mini Medical School for the Public [7/2009] [Health and Medicine] [Show ID: 16717]

    https://www.youtube.com/watch?v=dBnniua6-oM


    #épidémie #santé #sucre #obésité #insuline

    • Mentionné dans ce #documentaire diffusé ce soir sur arte :

      Sucre, le doux mensonge

      Comment, depuis les années 1970, l’industrie agroalimentaire a oeuvré pour augmenter les doses de sucre dans nos assiettes, avec à la clé un problème majeur de santé publique : obésité, diabète et maladies cardiaques se répandent à travers le monde, notamment chez les enfants. Cette enquête dévoile les mensonges de l’industrie sucrière et les recours possibles pour enrayer l’épidémie.

      C’est en épluchant les archives internes de la Great Western Sugar Company, l’un des fleurons de l’industrie sucrière américaine, que la dentiste Cristin Kearns a fait une découverte de taille, exposée fin 2012 dans le magazine américain « Mother Jones » : dans les années 1970, l’industrie mondiale du sucre a mis au point une stratégie délibérée de conquête, visant à inclure toujours plus de saccharose dans l’alimentation quotidienne mondiale et à en dissimuler sciemment les risques sanitaires. Quarante ans durant, l’Association américaine du sucre et ses homologues d’autres continents ont réussi à faire prospérer un empire lourd de plusieurs milliards et à transformer les habitudes alimentaires à l’échelle planétaire. Conséquence de la nouvelle addiction qu’ils ont su généraliser, l’obésité, le diabète et les maladies cardiaques se répandent à travers le monde, notamment chez les enfants.

      Sucre et tabac, même combat ?

      Le lobby du sucre est désormais au banc des accusés. Sa ligne de défense, jusqu’ici, ne bouge pas d’un iota : il exige de ses détracteurs toujours davantage de preuves de la nocivité du sucre. Des manœuvres qui rappellent celles de l’industrie du tabac pour retarder coûte que coûte l’application des décisions politiques. Alors que l’industrie, la recherche et les pouvoirs publics se mènent une lutte de plus en plus dure, la bombe à retardement sanitaire approche de l’explosion… Cette enquête dévoile les mensonges de l’industrie sucrière et les recours possibles pour enrayer l’épidémie.

      http://www.arte.tv/fr/videos/054774-000-A/sucre-le-doux-mensonge
      #industrie_agro-alimentaire #cholestérol #graisses #matière_grasse

      A mettre en lien avec cet autre documentaire diffusé sur Arte (et signalé par @odilon), sur le cholestérol :
      Cholestérol : le grand bluff ?
      http://seen.li/bfjr

    • #John_Yudkin

      Yudkin’s failure to incorporate possible confounding factors in his case-control designs was an area of heavy critique at the time; apart from other unmeasured known risk factors that might affect cardiovascular disease (CVD), data had emerged soon after suggesting that sugar intake was associated with smoking, a big risk factor for CVD.[6] Yudkin’s failure to account for confounding factors led to harsh words from Ancel Keys at the time.[7] From the late 2000s, there was a resurgence of interest in his work, following a 2009 YouTube video[8] about sugar and high-fructose corn syrup by the pediatric endocrinologist Robert Lustig, and because of increasing concern about an obesity epidemic and metabolic syndrome.[9][10][11] Pure, White and Deadly was republished in 2012, with a foreword by Lustig.[12]

      https://en.wikipedia.org/wiki/John_Yudkin

      Et le concurrent de Yudkin, qui a gagné la bataille (Yudkin pointait du doigt le sucre, Keys les graisses) :

      #Ancel_Keys

      Ancel Benjamin Keys (January 26, 1904 – November 20, 2004) was an American physiologist who studied the influence of diet on health. In particular, he hypothesized that dietary saturated fat causes cardiovascular heart disease and should be avoided.

      https://en.wikipedia.org/wiki/Ancel_Keys

      #conflits_d'intérêts

    • What’s a Food Industry to Do?

      I’d been asked by the food industry to give this talk at an industry breakfast, but 3 days prior to the event they got cold feet and dis-invited me. The good news is, the internet’s a much larger audience than a room full of food industry folks who likely wouldn’t have cared much about what I had to say in the first place. So here’s my take on what the food industry can do, why they’re not going to do it, and what we can do about it.

      https://www.youtube.com/watch?v=-BdFkK-HufU


      #Yoni_Freedhoff

    • Fredrick J. Stare

      In 1942, Stare founded the Department of Nutrition at Harvard School of Public Health, which he led as a professor of nutrition until his retirement in 1976.[1][2] He was a firm believer in the essential goodness of the typical American diet, holding that “prudence and moderation” was the key to healthy eating. As an adviser to the US government, Stare rejected the idea that ’the American diet’ was harmful; stating for example that Coca-Cola was “a healthy between-meals snack”[1] and that eating even great amounts of sugar would not cause health problems.[3] He was also an early advocate for the benefits of regularly drinking water throughout the day.

      https://en.wikipedia.org/wiki/Fredrick_J._Stare
      #Fredrick_Stare #Kellogg

      Stare avait des liens avec l’industrie alimentaire et celle du #tabac #industrie_du_tabac

    • Coke secretly funded obesity conference for good coverage of sugary drinks – report

      Coca-Cola secretly funded media training on obesity at a US university to influence journalists to report that a lack of exercise was more likely to cause obesity than consuming sugar.

      http://www.heraldlive.co.za/news/2017/04/11/coke-secretly-funded-obesity-conference-good-coverage-sugary-drinks-re
      #coca-cola #conférence_scientifique

      Quand des spécialistes de l’obésité prennent la défense de Coca-Cola

      Des scientifiques réputés dans le domaine de la recherche sur l’obésité ont soulevé colère et incompréhension chez plusieurs de leurs pairs, cette semaine, en diffusant des messages jugés favorables à l’industrie des boissons sucrées.

      http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/734100/coca-cola-sucre-etude-ethique

  • #Cholestérol le grand bluff

    Comment le cholestérol a été érigé en coupable idéal des maladies cardio-vasculaires par une série d’approximations scientifiques. Un dogme dont un nombre croissant de chercheurs dénoncent les dangers. Une enquête exceptionnelle.

    Le cholestérol, que tout un chacun se représente comme un excès de mauvaise #graisse dans l’organisme, est désigné à la vindicte médicale et populaire depuis les années 1950 comme responsable des #maladies_cardio-vasculaires qui terrassent jeunes et vieux avant l’heure. Or, un nombre croissant de chercheurs en médecine dénoncent ce qu’ils considèrent comme un vaste #mensonge, façonné à la fois par une série d’approximations scientifiques et par de puissants intérêts économiques, de l’#industrie_agroalimentaire d’abord, des #laboratoires_pharmaceutiques ensuite. Les facteurs avérés de risque, affirment ces recherches convergentes, sont en réalité le #tabac, l’#hypertension, l’#obésité et le manque d’exercice. Mais depuis la mise sur le marché, en 1993, de nouveaux traitements anticholestérol, les #statines, une écrasante majorité de médecins mise sur leur prescription avant toute autre mesure préventive. Consommées par 220 millions de patients à travers le monde, les statines sont devenues en quelques années le médicament le plus vendu dans l’histoire de la médecine. Or, les fabricants eux-mêmes commencent à reconnaître qu’elles peuvent entraîner des effets secondaires graves, tels que des #douleurs_musculaires, des #problèmes_hormonaux, des #pertes_de_mémoire, des #dépressions et aussi, selon des études récentes, le déclenchement d’un #diabète. Une reconnaissance tardive qui, étrangement, intervient alors que les derniers brevets en la matière tombent dans le domaine public et qu’une nouvelle molécule anticholestérol s’annonce.

    Pour démonter ce qui a constitué pendant plus d’un demi-siècle un dogme inattaquable, Anne Georget donne la parole à une quinzaine de spécialistes - chercheurs en médecine, cardiologues, journalistes médicaux, nutritionnistes... - qui expliquent à la fois ce que l’on sait du cholestérol et réfutent, études à l’appui, ce qu’ils estiment être des conclusions scientifiques biaisées. Ainsi le physiologiste américain Ancel Keys, qui, le premier, avait attribué à la surconsommation de graisses saturées la stupéfiante épidémie d’accidents cardio-vasculaires survenue dans les années 1950 dans certains pays occidentaux, a-t-il délibérément passé sous silence les contre-exemples statistiques. Tandis que les études cliniques des statines ont été financées à 80 % par les laboratoires qui avaient le plus intérêt à ce qu’elles s’avèrent positives.

    http://future.arte.tv/fr/cholesterol

    #documentaire #enquête #science #Alzheimer #industrie_pharmaceutique #big_pharma #cholesterol

  • Cholestérol : le grand bluff ? | Sciences, environnement, technologies | ARTE Future
    http://future.arte.tv/fr/cholesterol?language=fr
    Diffusion le 18.10.2016 à 20h50

    Le #cholestérol, que tout un chacun se représente comme un excès de mauvaise graisse dans l’organisme, est désigné à la vindicte médicale et populaire depuis les années 1950 comme responsable des #maladies_cardio-vasculaires qui terrassent jeunes et vieux avant l’heure. Or, un nombre croissant de chercheurs en médecine dénoncent ce qu’ils considèrent comme un vaste #mensonge, façonné à la fois par une série d’#approximations_scientifiques et par de puissants #intérêts_économiques, de l’#industrie_agroalimentaire d’abord, des #laboratoires_pharmaceutiques ensuite. Les facteurs avérés de risque, affirment ces recherches convergentes, sont en réalité le #tabac, l’#hypertension, l’#obésité et le #manque_d'exercice. Mais depuis la mise sur le marché, en 1993, de nouveaux traitements #anticholestérol, les #statines, une écrasante majorité de médecins mise sur leur prescription avant toute autre mesure préventive. Consommées par 220 millions de patients à travers le monde, les statines sont devenues en quelques années le #médicament le plus vendu dans l’histoire de la #médecine. Or, les fabricants eux-mêmes commencent à reconnaître qu’elles peuvent entraîner des #effets_secondaires graves, tels que des douleurs musculaires, des problèmes hormonaux, des pertes de #mémoire, des #dépressions et aussi, selon des études récentes, le déclenchement d’un #diabète. Une reconnaissance tardive qui, étrangement, intervient alors que les derniers #brevets en la matière tombent dans le domaine public et qu’une nouvelle molécule anticholestérol s’annonce.

    #big_pharma #santé

    • Cholestérol, les statines sont-elles dangereuses ?
      http://www.lejdd.fr/Societe/Sante/Cholesterol-les-statines-sont-elles-dangereuses-752851

      À partir des années 2000, plusieurs essais cliniques démontrent une efficacité. Censée orienter les prescriptions médicales, la Haute Autorité de santé estimait ainsi en 2010 que « le traitement par statines diminue le risque de mortalité de 10 % [celui] d’événements cardio-vasculaires de 15 à 23% ». Mais ce travail a été contesté à cause des liens d’intérêt des experts avec l’industrie. Plus indépendantes, les conclusions de la collaboration #Cochrane et celles de la revue #Prescrire reconnaissent l’efficacité des statines. « Elle est modeste », nuance le Dr Bruno Toussaint. Et le patron de ­Prescrire de ­rappeler que « toutes les statines ne se valent pas ».

      « Les statines préviennent les récidives d’infarctus. Le scandale, c’est de les prescrire à des gens bien portants », martèle le Dr Dupagne. En France, les médecins ont longtemps eu la main lourde sur les médicaments anti-cholestérol. « Nous avons prescrit trop de nouvelles drogues, en particulier le Crestor, le plus cher, qui n’a pas d’effet sur la mortalité. Il vaut mieux utiliser des génériques moins chers et efficaces », reconnaît un ponte de la cardiologie. « La structure de consommation des statines demeure en décalage avec les recommandations sanitaires et très éloignée de celle des autres pays européens », reconnaissait l’Assurance maladie en 2013. « Aujourd’hui, dans ma spécialité, on donne des statines après un infarctus et plus avant », témoigne le cardiologue marseillais et blogueur ­Jean-Marie Vailloud. Faut-il également traiter les personnes à très haut risque, sans antécédents, comme le conseillent les recommandations américaines et la Haute Autorité de santé ? « Il faut regarder au cas par cas », estime Bruno Toussaint, qui rappelle que le meilleur moyen de diminuer son risque cardio-vasculaire est de se mettre au régime méditerranéen. Double avantage du changement de mode de vie : son absence d’effets secondaires quand les statines peuvent causer des atteintes musculaires, voire déclencher un diabète.

  • Re-evaluation of the traditional diet-heart hypothesis : analysis of recovered data from Minnesota Coronary Experiment (1968-73)
    http://www.bmj.com/content/353/bmj.i1246

    Conclusions
    Available evidence from randomized controlled trials shows that replacement of saturated fat in the diet with linoleic acid effectively lowers serum #cholesterol but does not support the hypothesis that this translates to a lower risk of death from coronary heart disease or all causes. Findings from the Minnesota Coronary Experiment add to growing evidence that incomplete publication has contributed to overestimation of the benefits of replacing saturated fat with vegetable oils rich in linoleic acid.

    #Huiles végétales : des vertus anti-cholestérol qui montrent leurs limites
    http://www.francetvinfo.fr/sante/alimentation/huiles-vegetales-des-vertus-anti-cholesterol-qui-montrent-leurs-limites

    Pour autant, cette étude a fait grincer des dents, notamment celles du Pr Frank M. Sachs, spécialiste de la prévention des maladies cardiovasculaires à Boston. Il a jugé que l’étude n’était « pas fiable ». Selon lui, il faut « au moins deux ans pour qu’un traitement visant à diminuer le cholestérol ait un effet sur les maladies cardiovasculaires ». Or, l’expérience menée entre 1968 et 1973 a duré à peine plus d’un an, en moyenne, pour chacun des participants.

    Cholestérol et risques cardiovasculaires : un nouveau pavé dans la mare ?
    http://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/cholesterol-et-risques-cardiovasculaires-un-nouveau-pave-dans-la-mare_1

    L’utilisation de #statines est associée à de nombreux effets secondaires (notamment musculaires), aussi de nombreux laboratoires sont à la recherche d’alternatives thérapeutiques anti-cholestérol. Une nouvelle classe de médicaments, capable de limiter les échanges de cholestérol entre les transporteurs LDL et HDL, semblait prometteuse sur le papier [1]. Si les premiers candidats évalués ont déçu [2], le groupe pharmaceutique Eli Lilly avait identifié un champion : l’evacetrapib.

    [...]

    En effet, durant les phases préliminaires de tests, cet evacetrapib diminuait d’un tiers le taux de LDL, et parvenait à doubler le taux de HDL (transporteurs de haute densité, réputés bénéfiques). Un vaste essai clinique, initié il y a quelques années sur 12.092 patients, est venu confirmer cet effet biologique. Mais en octobre 2015, Eli Lilly interrompt prématurément cette étude, à la surprise de nombreux observateurs.

    Un échec cuisant
    Les raisons de cet arrêt ont été précisées ce 3 avril lors d’un important congrès international de cardiologie [3]. Durant l’étude, sur environ 6.000 participants sous evacetrapib, 256 ont fait une crise cardiaque. Dans le groupe témoin, qui prenait un placebo, le nombre de crise cardiaque était de… 255, soit une totale absence de différence statistique. De même, le nombre d’AVC dans le premier groupe était de 82, contre 95 dans le groupe placebo. Et le nombre de décès liés aux maladies cardiovasculaires de 434, contre 444. En bref : l’evacetrapib n’a absolument aucun intérêt thérapeutique.

    Cité par le New York Times, le docteur Stephen Nicholls, responsable de l’étude avortée, résume l’interrogation qui se trouve sur toutes les lèvres : « nous avions un médicament qui semblait agir sur tout ce qu’il fallait ; […] comment un traitement qui diminue quelque chose identifié comme délétère ne peut entraîner aucun bénéfice ? »

    #santé #science

  • Sweet drug clears #cholesterol, reverses heart disease—and was found by parents
    http://arstechnica.com/science/2016/04/sweet-drug-clears-cholesterol-reverses-heart-disease-and-was-found-by-p

    Des parents de jumelles atteintes d’une maladie héréditaire grave ont fait des recherches tellement intenses sur la molécule qui a fini par être utilisée (avec un certain succès) pour combattre ladite maladie, qu’ils ont fini par trouver une autre indication thérapeutique à la molécule en question,

    Two parents’ quest to save their twin daughters’ lives from a rare, degenerative genetic disorder may end up saving and improving the lives of millions.

    After digging through medical literature and fitting pieces of data together, the non-medically trained couple contacted German researchers and suggested that a chemical called cyclodextrin may be able to treat atherosclerosis—the hardening of arteries with cholesterol-rich plaques, which is a precursor to heart attack, stroke, and other cardiovascular diseases.

    The researchers, Eicke Latz at the University of Bonn and colleagues, followed up on the parents’ hypothesis and found that in mice, cyclodextrin indeed blocked plaque formation, melted away plaques that had already formed in arteries, reduced atherosclerosis-associated inflammation, and revved up cholesterol metabolism—even in rodents fed cholesterol-rich diets. In petri dish-based tests, the researchers found that the drug seemed to have the same effects on human cells and plaques.

    Cyclodextrin promotes atherosclerosis regression via macrophage reprogramming
    http://stm.sciencemag.org/content/8/333/333ra50

    La maman, Chris Hempel, fait partie des auteurs de l’étude.

    #cyclodextrine #hypercholestérolémie #athérosclérose #infarctus #santé

  • L’école des soignants: À quoi reconnaît-on un blogue médical respectueux de l’#éthique (et, par conséquent, des internautes) ?
    http://ecoledessoignants.blogspot.fr/2015/10/a-quoi-reconnait-on-un-blogue-medical.html

    J’entends par là qu’un blogue qui utilise des arguments effrayants ou culpabilisants est, d’un point de vue éthique, indigne de confiance. Si une méthode comporte des risques, il est certes important de les énoncer, mais tout aussi important de les mettre en perspective et de ne jamais les utiliser comme des armes. Vous remarquerez que cette exigence de « non-terrorisme » est valable aussi pour les messages institutionnels ou commerciaux.
    Ainsi, culpabiliser et inquiéter les hommes pour qu’ils se fassent doser leur #cholestérol, ou les femmes pour les convaincre de vacciner leurs filles prépubères contre le #VPH, ce n’est pas de l’#information, c’est du #terrorisme. Donner aux femmes les chiffres réels du cancer du col, préciser les incertitudes concernant le vaccin contre le VPH, rappeler l’existence du #frottis cervical pour le dépistage et suggérer que les filles auront la possibilité de se vacciner à leur majorité si elles le désirent, c’est donner une information conforme à l’éthique : car c’est aux femmes elles-mêmes de décider de leur vie ; non aux médecins ou à leur mère.

    #santé

  • Advice From a Vegan Cardiologist
    http://well.blogs.nytimes.com/2014/08/06/advice-from-a-vegan-cardiologist

    Researchers have long known that the relationship between the dietary cholesterol found in food and the #cholesterol that circulates in the blood is complicated, varying greatly from one person to the next. In many people, the cholesterol in food has only a minor or negligible effect on blood cholesterol levels. But in some people, the effect can be more pronounced, which Dr. Williams said was probably the case with him.

    #nutrition

  • Cholestérol : une nouvelle voix s’élève contre les traitements actuels - Le Nouvel Observateur
    http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20140309.OBS8984/cholesterol-une-nouvelle-voix-s-eleve-contre-les-traitements-ac

    Cholestérol : une nouvelle voix s’élève contre les traitements actuels
    Anne Crignon
    Par Anne Crignon

    Voir tous ses articles
    Publié le 09-03-2014 à 19h40
    A+A-
    Une sommité médicale britannique met en garde contre la prescription des statines, une famille de médicaments qui font baisser le cholésterol.

    C’est comme si en France le numéro 2 de l’Ordre des Médecins prenait la parole dans le débat en cours sur l’utilité des statines. Le docteur Kailash Chand, vice-président de la British Medical Association qui regroupe médecins et étudiants aux Royaume-Uni, et dont dépend le très sérieux British Journal of Medecine, a publié un article d’une étonnante liberté de ton sur son blog le 18 février. Il critique avec virulence les nouvelles recommandations du NICE, l’Institut britannique de veille sanitaire, qui vient d’abaisser considérablement le seuil de risque à partir duquel il recommande de prescrire des statines, et pour un minimum de cinq ans.

    Le docteur Kailash Chand explique que ces médicaments administrés contre les arrêts cardiaques et accidents vasculaires cérébraux (AVC) n’ont pas de vertu préventive démontrée. Selon lui, les études avancées par les firmes pharmaceutiques ne sont pas fiables et pour le moins lacunaires, les effets secondaires - parfois très invalidants - étant soit minorés soit passés sous silence. Pour mémoire, il s’agit de douleurs musculaires et articulaires, manque de tonus, perte d’intérêt et de vivacité d’esprit, désordres de la mémoire et de l’agilité intellectuelle, extinction du désir sexuel, troubles de l’érection pénienne et clitoridienne, et même diabète (études en cours) (1).
    Toxicité des statines

    Le docteur rejoint sur ce point le professeur Philippe Even, biochimiste de formation, qui ne disait pas autre chose lors de la parution de son livre en février 2013 (2) où il faisait la démonstration que le cholestérol est la plus noble et indispensable de nos molécules, nécessaire au bon fonctionnement du corps et de l’esprit, assurant la robustesse des membranes de nos milliers de milliards de cellules. Un savoir que n’ont pas les prescripteurs, expliquait-il, cardiologues ou généralistes, sans formation en biochimie. Le docteur Chand observe aussi que ceux qui prennent une statine chaque jour à titre préventif se croient protégés et que ce sentiment de sécurité enduit un relâchement du mode de vie - selon l’OMS, 80% des infarctus sont imputables au tabac, au manque d’exercice et au déséquilibre alimentaire. Pour lui, marcher dix minutes de plus par jour serait autrement plus efficace qu’un cachet quotidien inutile, susceptible qui plus est, de vous faire sentir vieux et rouillé bien avant l’heure.

    Sollicité par le « Sunday Express », Kailash Chand a en effet expliqué dans un entretien repris en France par la nutrtion.fr comment il a découvert il y a cinq ans à ses dépens la toxicité des statines. Il avait 60 ans. « Après plusieurs semaines de traitement, j’ai commencé à ressentir des douleurs musculaires épouvantables, dans tout le corps qui me réveillaient même la nuit. J’ai mis cela sur le compte du stress. » Il a mené ses recherches et arrêté de lui-même son traitement. « Les choses ont commencé à rentrer dans l’ordre dans les deux ou trois semaines qui ont suivi. »
    Le cholestérol bon pour l’organisme ?

    S’il dénonce le fait que soient mis sous statines des gens en bonne santé, le docteur est convaincu que le traitement est bénéfique en prévention secondaire « Il ne fait aucun doute, écrit-il, que les statines jouent un rôle important pour le soin des patients ayant déjà été victimes d’un arrêt cardiaque au un accident vasculaire cérébral. » Les « cholestérosceptiques », c‘est à dire les chercheurs qui, du Japon à la Norvège, ont révélé la fragilité des études d’origine menées à partir des années 50 et sur lesquelles repose le combat contre le cholestérol (l’étude de Framingham et l’enquête des 7 pays) sont divisés sur cette question.

    Pour les uns, comme le Pr Even ou Michel de Lorgeril, du CNRS de Grenoble, le premier chercheur français à avoir mis en cause l’histoire du diabolique-cholestérol-boucheur-d’artères et être parti en guerre contre « le cholestérol delirium » (3), les statines sont tout aussi inutiles en prévention secondaire et pour cause : le cholestérol ne fait pas de tort à l’organisme, bien au contraire. Pour ceux-là, le traitement ne devrait être prescrit que dans les cas peu répandus d’hypercholestérolémies familiales. Une maladie rare en somme : 100.000 en France quand 5 millions d’hommes et de femmes sont sous statines, et 6 à 7 millions au Royaume Uni.
    Effets secondaires non voulus

    Quelques chercheurs avancent donc l’hypothèse que l’action bénéfique des statines sur l’athérosclérose après la survenue d’un infarctus ou d’un AVC serait due à « leur effet pléïotrope ». En clair : on sait que tout médicament a des effets autres que celui pour lequel il est prescrit, la statine serait donc efficace, non parce qu’elle abaisse le taux de cholestérol… mais par une autre de ses vertus. La plupart des praticiens hostiles à la prescription d’anticholestérolémiants aux bien-portants restent comme le docteur Cand favorables à son utilisation après un accident grave. Quoi qu’il en soit, c’est bien la première fois qu’une sommité britannique prend la parole sur cette question d’intérêt général.

    (1) Voir « Le Nouvel Observateur » numéro 2519 du 14 au 20 février 2013.
    (2) « La vérité sur le cholestérol », au Cherche Midi éditeur
    (3) « Cholestérol, mensonge et propagande », Thierry Souccar Editions

    #santé
    #toxicité
    #statines
    #cholestérol #mensonge et #propagande

  • Eat Your Heart Out - NYTimes.com
    http://well.blogs.nytimes.com/2013/03/07/eat-your-heart-out/?ref=magazine

    Researchers with the National Institutes of Health and other organizations recently resurrected the results of a long-overlooked Australian study conducted from 1966 to 1973, in which one group of men with heart disease increased omega-6-rich polyunsaturated fat intake to 15 percent of calories, while reducing saturated fat intake to less than 10 percent. Another group of men with heart disease continued their normal diets.

    The men were followed for an average of 39 months, and those on the polyunsaturated-rich diet lowered their cholesterol levels by an average of 13 percent. But they also were more likely to die, and in particular to die of a heart attack, than those who stuck with their usual diet, which consisted of about 15 percent saturated fat.

    This study — the results of which weren’t fully analyzed when it was conducted in the early days of enthusiasm for polyunsaturated oils — adds to a small but unsettling body of data suggesting that consuming polyunsaturated oils, even though they reliably lower cholesterol, may nevertheless increase your risk of heart disease.

    In broader terms, the new analysis muddies the already murky issue of just how diet affects heart-disease risk and health in general. Polyunsaturated oils, while decreasing cholesterol, may simultaneously promote inflammation throughout the body, says Philip C. Calder, a professor of nutritional immunology at the University of Southampton, in England, who wrote an editorial accompanying the new analysis. This inflammation may initiate heart disease and “outweigh any possible good effect” of the oils.

    More fundamentally, we don’t fully understand how high cholesterol levels contribute to heart disease.

  • Pilules contraceptives : mode d’emploi - Pourquoi Docteur ?
    http://pourquoi-docteur.nouvelobs.com/Pilules-contraceptives--mode-d-emploi-1759.html

    D’une génération de pilule à l’autre, on a fait varier les taux d’EE et on a utilisé des progestatifs différents dans l’objectif de diminuer les effets indésirables de la pilule (#cholestérol, la #pression-artérielle, #prise-de-poids, augmentation de la #pilosité, survenue d’#acné…). Les nouvelles générations sont généralement mieux tolérées et réduisent le #risque-cardio-vasculaire mais parallèlement à cela, il a été constaté que le #risque-tromboembolique (apparition de caillots qui empêche la bonne circulation du sang) était augmenté.

    Mesdames, Mesdemoiselles qui prenez ou avez pris la pilule, vous avait-on comme à moi caché (un non-dit opportun de votre gynécologue via les labos) cette longue liste des effets indésirables, à laquelle vous pouvez aussi rajouter la baisse de #libido ?
    Autre question : comment appeler autrement que cobayes, des êtres humains autant mis en danger sans qu’on leur ait jamais rien dit ?

    #contraception_chimique #laboratoire

    • Oui @klaus, il y a différents paramètres qui interviennent dont l’homologation.
      Mais les médecins savent (savaient) les risques, et ils n’en avertissent pas leurs patientes ? comme si les femmes étaient incapables de choisir en connaissance de cause ? Je suppose qu’il en va du principe de dépossession des corps qu’opère la médecine depuis des siècles, surtout, et toujours, du corps de la femme.
      Je ne sais pas si le même traitement eût été passé sous silence aussi longtemps s’il s’était agi d’hommes. Je dénonce également ces prises d’hormones sans informations qui se sont faites sur le dos des femmes (en France ou ailleurs) alors que les gynécos déconseillaient le stérilet ou d’autres méthodes efficaces de contraception. Au tréfonds de ces actes, il y a une histoire de morale, de punition, de religion anti-avortement et anti-contraception non avouée ou la femme devient le point d’achoppement de tout cela et doit payer le tribu de sa propre santé.

      Le #féminisme est une théorie extrémiste qui consiste à considérer les femmes comme des êtres humains.

    • @allergie, merci de vos remarques du point de vue médical, c’est toujours intéressant. Il se trouve que je demande le point de vue des patientes et que je donne le mien. Mais je note qu’il vous est apparemment insupportable de remettre en question ces pratiques ou de ne pas mépriser votre interlocuteur. Dommage.

    • Le vrai scandale dans cette histoire c’est que les femmes ne sont pas assez informées sur le stérilet temporaire qu’on peut enlever et remettre à tout moment de façon très simple.
      http://www.tasante.com/article/lire/4814/Le-sterilet-une-alternative-a-la-pilule.html
      Le stérilet cuivre n’est pas non plus la panacée mais il est beaucoup plus sain et plus économique que la pilule.
      Pourtant en Octobre 2011 le ministère de la santé avait fait une campagne d’information http://www.choisirsacontraception.fr/trouver-la-bonne-contraception/quelle-est-la-meilleure-contraception/qu-est-ce-qu-une-methode-contraceptive-efficace.htm, mais il faut croire que les attitudes irrationnelles sur ce sujet ont la vie dure et que les médecins informent peu, on se demande bien pourquoi ...
      En tous cas cette manne fait le bonheur de ...

    • @allergie

      il ne s’agit pas d’un complot contre les femmes mais des effets normaux des hormones féminines sur le corps selon leurs proportions

      Allons, vous écrivez « effets normaux » quand il s’agit d’une liste d’effets indésirables qui ne cesse d’augmenter au fur et à mesure des années et vous m’accusez dans le même temps de croire à un « complot » comme si il vous était nécessaire de discréditer ma parole ! Là est toute la différence car je questionne justement ce que vous, vous positionnant en plus (dans votre réponse plus bas) comme représentant de la médecine, vous considérez comme normal ! Non, c’est loin d’être normal, et non, l’information à ce stade connu du danger est totalement insuffisante puisqu’elle est laissée à une profession qui détient -aussi et largement- le #pouvoir-de-se-taire, même si cela ne concerne comme vous le dîtes que quelques individus ayant grade de médecin c’est déjà trop.

      Pour ma part, étant une femme, je me réfère à mon vécu, j’interroge aussi d’autres femmes et mes amies et je peux vous dire que nous découvrons en les vivant les effets indésirables des hormones contraceptives ou abortives qui nous ont été prescrites sans parole ! En tant que femme, je ne peux ignorer la façon dont sont traitées celles qui veulent avorter dans les hôpitaux, aujourd’hui en France, je souhaite aussi m’interroger sur le lien avec les moyens de contraception offerts et sur ce que signifient les risques médicaux et les conditions de soins qui sont toujours mis en balance avec notre liberté ! Que vous ne vouliez pas comprendre ne vous autorise pas à me faire la leçon médicale sur l’aspirine.

      D’autre part, je parle très « sérieusement » quand j’évoque la dépossession du corps des femmes par la médecine et je ne « délire » non plus aucunement quand je pose des questions de société. Aïe Aïe, l’inconscient des médecins, apprenez que le délire est l’apanage des fous, et que je n’apprécie pas à nouveau cette manière de discréditer mon propos…
      Je trouve également symptomatique que vous en veniez à vous sentir avocat de « votre profession », comme si vous deviez inverser la charge du tribu. La médecine a beau jeu d’indiquer après coup la responsabilité du patient ! (comme le contrat facebook que personne n’a lu ?). On a bien compris depuis Molière que la longue liste des effets indésirables d’un médicament n’est pas du jugement du patient, mais de celui du médecin qui le prescrit. Je n’ai pas le Vidal à la maison mais j’ai une méfiance saine vis à vis de la médecine et du pouvoir des scientifiques et suffisamment de verve critique malgré des parents tous deux médecins.

      Il n’y a donc pas un « unique problème », mais beaucoup de questions sur les dangers de la pilule et le rapport qu’entretient la médecine (et la société qui la fabrique) avec les femmes et leurs libertés.

    • @allergie, vous faites bien comme vous voulez, la surdité de la profession médicale semble vous avoir affecter.
      Merci de votre comparaison avec Martin Winckler, j’en suis très fière, contrairement à ce que vous semblez croire.

  • David Elia n’est pas un sein. (De la médecine générale, seulement de la médecine générale)
    http://docteurdu16.blogspot.com/2011/09/david-elia-nest-pas-un-sein.html

    ’écoute hier matin David Elia sur Europe 1, il est consultant de la station, et il fait l’apologie de la mammographie à l’occasion de l’opération (que le terme est bien choisi) Octobre Rose qui est annoncée ainsi sur Doctissimo. Source : De la médecine générale, seulement de la médecine générale