• HK-China border reopening hangs on Omicron’s spread - Asia Times
    https://asiatimes.com/2021/12/hk-china-border-reopening-hangs-on-omicrons-spread

    HK-China border reopening hangs on Omicron’s spread
    Analysts predict HK retail prices and rents will surge when borders are opened but Omicron fears are casting doubts on the plan
    by Jeff Pao December 6, 2021
    HONG KONG – Quarantine-free travel between Hong Kong and Macau and mainland China is expected to be implemented around Christmas, an opening that promises to boost Hong Kong’s retail and property sectors and revive cross-border business.On Friday, the Hong Kong government will allow people to download a health code that is compatible with those of Macau and the mainland so they can cross the border with a full location record.It is still discussing with the Guangdong provincial government about a “circuit breaker,” hoping that quarantine-free travel will be suspended only if two clusters of local infections are reported.
    Last month, health officials and experts expected the so-called border reopening would start in early December. However, Beijing changed its mind as it did not want to cause any disruption to Hong Kong’s Legislative Council elections on December 19 and activities related to the 22nd anniversary of the Macau Special Administrative Region on December 20.
    Property experts said if quarantine-free travel is not affected by the emergence of the Omicron strain of Covid-19, then prices and rents of Hong Kong’s retail shops could rebound in the short-term by as much as 30% and 60%.Manufacturers have said they would expand their retail businesses after the Hong Kong-mainland border was fully reopened, hopefully after the Chinese New Year in February.Since virus outbreaks in Wuhan were made public in late January 2020, people traveling across the border of Hong Kong and the mainland have been required to follow strict quarantine measures.People must be isolated for 14 days when they enter the mainland, although Hong Kong residents and mainlanders can enter Hong Kong from the mainland without quarantine via the Return2HK and Come2HK schemes. Last week, the Hong Kong government put four South African countries and 12 other countries on its high-risk list due to the growing number of Omicron cases around the world.On December 1, it announced that a 38-year-old man who arrived in Hong Kong from Qatar on November 24 was stuck in the restricted transit area at Hong Kong International Airport for four days due to a visa-related issue and tested positive with Omicron in a pre-departure test on November 28.
    David Hui, a professor of respiratory medicine at the Chinese University of Hong Kong and a government advisor on the pandemic, said on Sunday the border reopening schedule would not be affected by the four imported Omicron cases reported in Hong Kong.Hui said as it took four months to fully reopen the Macau-mainland border, Hong Kong should only expect a full border-reopening after February.
    The South China Morning Post reported on November 18 that a trial scheme for people to travel from Hong Kong to the mainland without quarantine would be launched in the first week of December.However, Beijing later decided to postpone the launch to late December to avoid causing any virus outbreaks that would disrupt the LegCo elections on December 19, HK01.com reported on December 3, citing officials familiar with the situation.A small-scale border-reopening scheme with a daily quota of 1,000 people would kick off before Christmas, Hong Kong media reported on Monday. The quota would then increase to 5,000 by next February.
    Although the Guangdong government has said it would prefer to suspend the scheme whenever a local case is identified, the Hong Kong government suggested that the scheme be suspended only if two clusters of patients were identified.Last Friday, the Hong Kong government said the “Hong Kong Health Code” system would be open for registration from 9am on December 10. It said people could register an account and familiarize themselves with its functions earlier, with a view to facilitating a smoother operation when quarantine-free travel with the mainland and Macau officially resumes.
    Applicants for the health code are required to register personal information such as name, identity document number and date of issue, contact telephone number and residential address and upload Hong Kong residential address proof. The information would be shared with the mainland only if the code’s user tested positive, said the government.

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  • Covid-19 : l’Italie restreint ses conditions d’entrée pour les voyageurs européens
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/14/covid-19-les-pays-bas-ferment-les-ecoles-primaires-une-semaine-plus-tot-par-

    Covid-19 : l’Italie restreint ses conditions d’entrée pour les voyageurs européens
    Ces nouvelles mesures, valables du 16 décembre au 31 janvier, interviennent alors que l’Europe fait face à une nouvelle vague de Covid-19, marquée par une rapide propagation du variant Omicron.
    La planète reste en alerte alors que le variant Omicron se propage à un rythme inédit, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS) qui estime que la plupart des pays sont désormais touchés. La pandémie de Covid-19 a fait au moins 5,3 millions de morts dans le monde depuis la fin de 2019, selon un bilan établi par l’Agence France-Presse (AFP) à partir de sources officielles, mardi 14 décembre.
    L’Italie a annoncé une restriction des conditions d’entrée sur son territoire pour les voyageurs en provenance de l’Union européenne (UE) à partir de jeudi, avec un test négatif obligatoire pour tous et une quarantaine de cinq jours pour les non-vaccinés.Jusqu’à présent, les ressortissants de l’UE pouvaient se rendre en Italie munis d’un passe sanitaire attestant un schéma de vaccination complet, une guérison récente ou un test négatif.
    Les personnes non vaccinées devront observer une quarantaine de cinq jours à leur arrivée, en plus de la présentation d’un test négatif. Celles qui arrivent de l’extérieur de l’UE devaient déjà être placées en quarantaine.

    #Covid-19#migrant#migration#italie#sante#frontiere#circulation#variant#omicron#OMS#test#quarantaine#restrictionsanitaire

  • Etudiants et travailleurs étrangers sont désespérés par la fermeture des frontières du Japon
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/15/etudiants-et-travailleurs-etrangers-sont-desesperes-par-la-fermeture-des-fro

    Etudiants et travailleurs étrangers sont désespérés par la fermeture des frontières du Japon
    Depuis le 30 novembre et la découverte du variant Omicron, les conditions d’entrée sur le territoire nippon se sont de nouveau durcies.
    La nouvelle fermeture des frontières du Japon, fin novembre, après la découverte du variant Omicron – dont 17 cas étaient recensés lundi 13 décembre –, a désespéré les étudiants et travailleurs étrangers, les familles séparées et les voyageurs internationaux.« Je suis déçu du Japon. L’Omicron est arrivé, il a appuyé sur le bouton panique », déplore un étudiant français désireux de conserver l’anonymat. Inscrit depuis septembre en master d’informatique dans une université publique nippone, il n’a toujours pas pu entrer au Japon. « Je dois suivre les cours en ligne. A cause du décalage horaire, je dois me connecter à 0 h 50 tous les jours. » Il ne sait pas s’il tiendra deux ans comme ça. « J’espère pouvoir partir pour le semestre d’avril. Sinon, j’aviserai », précise-t-il.
    Le Japon avait fermé ses frontières dès le printemps 2020 et avait plus ou moins maintenu cette politique jusqu’en octobre 2021, avec une exception pour les 80 000 personnes venues pour les Jeux olympiques et paralympiques de l’été 2021. Résultat : plus de 200 000 étudiants et travailleurs attendent actuellement leur visa pour venir au Japon. Les brèves périodes d’assouplissement n’ont pas permis de résorber les demandes.
    Lire aussi Article réservé à nos abonnés Entre performances et crise sanitaire, un bilan des Jeux paralympiques contrasté pour le Japon. C’est le cas pour l’assouplissement de novembre, brutalement interrompu le 30 novembre par une limitation des entrées sur le territoire aux Japonais et aux résidents permanents – un drame pour certaines familles. Melek Ortabasi, professeure de littérature japonaise à l’université canadienne Simon Fraser, a pu entrer sur le territoire nippon en octobre pour dix mois de recherche parrainés par la Japan Foundation, mais sans ses enfants. Ces derniers devaient la rejoindre le 23 décembre, ce qui semble impossible au vu des nouvelles mesures.« On me dit qu’ils pourraient me rejoindre en février », explique la chercheuse, qui juge « cruel et décourageant le manque de considération d’un pays auquel [elle a] consacré [sa]carrière ». Très mobilisée sur Twitter, Mme Ortabasi soutient la pétition pour la fin des mesures empêchant les familles de se retrouver, signée près de 9 500 personnes sur Change.org au 15 décembre.
    Quatorzaines ubuesquesAux strictes conditions d’entrée s’ajoutent des règles complexes à l’arrivée dans l’Archipel. Tous les voyageurs doivent avoir un test PCR négatif signé d’un médecin, repasser un test à l’aéroport, puis effectuer une période d’isolement, allant de trois à quatorze jours selon la provenance (trois jours pour la France), dans une chambre d’hôtel – généralement petite, parfois sans fenêtre – réquisitionnée par le gouvernement.Quand les hôtels de Tokyo sont pleins, la situation devient ubuesque. Le 7 décembre, une quarantaine de personnes arrivées de Californie ont ainsi été expédiées à Fukuoka, à deux heures d’avion de la capitale, pour trois jours d’isolement.Ceux qui échappent à cet isolement ou qui ne font que trois jours doivent compléter chez eux leur quatorzaine. Pour regagner leur domicile, comme il est interdit d’emprunter les transports en commun, ils doivent recourir à des taxis spéciaux. Mais « selon l’heure, il est difficile d’en trouver », explique une Japonaise, elle aussi désireuse de conserver l’anonymat. Revenue début décembre des Etats-Unis, elle a dû débourser 25 000 yens (195 euros) pour rentrer chez elle, soit plus de deux fois le prix normal. Ceux qui habitent loin de Tokyo, ne pouvant prendre le train, doivent passer leur quatorzaine à l’hôtel, à leurs frais.Une fois dans la chambre d’hôtel ou à la maison, pas question de resquiller. Chaque voyageur doit avoir téléchargé une application, MySOS, qui passe des appels automatiques de vérification plusieurs fois par jour, à des heures changeantes. « Il faut se filmer trente secondes pour que l’appli vérifie l’identité de la personne. L’usage de la géolocalisation permet de contrôler que l’on n’est pas sorti », ajoute la Japonaise. En cas de manquement, les Japonais voient leur nom et adresse exposés publiquement, selon la technique du « name ans shame ». Pour les étrangers, le risque est la perte du visa et l’expulsion.Ces mesures ne sont pas près d’être levées dans un pays qui ne déplore « que » 1,73 million de cas et 18 400 décès depuis le début de la pandémie. Mais elles interrogent au moment où Tokyo annonce un allégement des procédures d’immigration pour les très riches arrivants en avion privé ou en yacht de luxe.
    La remise en place de ces mesures restrictives est soutenue par 89 % des Japonais, selon un sondage du 5 décembre du quotidien Yomiuri. Le premier ministre, Fumio Kishida, n’oublie pas non plus que les errements de la gestion de la pandémie par ses prédécesseurs, Shinzo Abe (2012-2020) et Yoshihide Suga (2020-2021) sont à l’origine d’une saturation du système hospitalier et ont fait plonger leur taux de soutien, provoquant leur chute.

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  • Sajid Javid clears England’s travel red list as Omicron takes hold | Transport policy | The Guardian
    https://www.theguardian.com/politics/2021/dec/14/englands-travel-red-list-to-be-cleared-again-as-omicron-takes-hold
    https://i.guim.co.uk/img/media/0bb5c74d6e582ccd553dae044f23b34285936e8b/0_0_6278_3767/master/6278.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Sajid Javid clears England’s travel red list as Omicron takes hold
    All 11 countries to be removed from list as concerns about importing variant diminish
    All 11 countries on England’s travel red list are to be taken off it from 4am on Wednesday, amid diminishing concern about Omicron cases being imported into the country.Given that the variant has already taken hold in the UK – making up a third of new infections in London – the health secretary, Sajid Javid, announced that mandatory hotel quarantine for those arriving from some southern African countries was set to end.Instead, all travellers arriving in England will be able to isolate at home. If double-vaccinated, they can be released with a negative PCR test taken within two days of arrival. If not they must stay at home for 10 days and get a test before day two and another on day eight or later.The red list was cleared at the end of October, but after the discovery of the Omicron variant in South Africa, 11 countries were put back on it. They were: Angola, Botswana, Eswatini, Lesotho, Malawi, Mozambique, Namibia, Nigeria, South Africa, Zambia and Zimbabwe.Omicron’s spread through the UK has been swift. The UK Health Security Agency said on Monday that the number of confirmed cases of the variant was 4,700, but estimated daily infections were about 200,000.Javid announced in parliament on Tuesday that the red list was being emptied, saying it had become “less effective in slowing the incursion of Omicron from abroad”. He said the requirement to get tested before departure would remain in place.He had hinted at the move in a statement to the Commons last week. Under pressure from Tory MPs who raised concerns about the aviation and tourism sectors, Javid said that because Omicron cases would probably spread quickly in the UK, there would be “less need to have any kind of travel restrictions at all”.As health restrictions are devolved, it will be up to the administrations in Scotland, Wales and Northern Ireland whether to follow suit.Last week, EU leaders discussed easing similar curbs. Reuters reported a senior official as saying the travel ban was “a time-limited measure” but there were no immediate plans to lift it.The US has kept up its own travel ban, with the White House’s chief medical adviser saying action was taken when the country was “in the dark” about the variant, to give time to assess its threat.Some political leaders in southern Africa said the restrictions were unfair. Cyril Ramaphosa, the president of South Africa, said he was “deeply disappointed” by the action. According to the BBC, he said: “The only thing the prohibition on travel will do is to further damage the economies of the affected countries and undermine their ability to respond to, and recover from, the pandemic.”Akinwumi Adesina, the president of the African Development Bank Group, tweeted last week: “Now that Omicron has been found in many non-African and developed countries, why are travels from those countries not banned? Singling out African countries is very unfair, non-scientific and discriminatory.”

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  • Coronavirus: UK lifts Omicron travel ban for 11 African nations | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/world/europe/article/3159718/coronavirus-uk-lifts-omicron-travel-ban-11-african-nations

    Coronavirus: UK lifts Omicron travel ban for 11 African nations
    Countries on the UK’s travel red list include South Africa, Zambia and Botswana. Health Secretary Sajid Javid said the measure is less effective in slowing the incursion of Omicron from abroad as the new variant has already taken hold in Britain
    Britain will remove all 11 countries from its Covid-19 travel red list from Wednesday because there is now community transmission of Omicron, Health Secretary Sajid Javid told parliament.The British government added the southern African countries to its red list in late November, meaning that entry was only allowed to UK citizens or residents who then must quarantine in a hotel, in a bid to slow the spread of the new variant.“Now that there is community transmission of Omicron in the UK and Omicron has spread so widely across the world, the travel red list is now less effective in slowing the incursion of Omicron from abroad,” Javid said.
    UK’s PM Boris Johnson accused of ‘culture of disregard’ for Covid-19 rules
    13 Dec 2021“Whilst we will maintain our temporary testing measures for international travel we will be removing all 11 countries from the travel red list effective from 4am tomorrow morning.”Britain requires all inbound travellers to take either a PCR or a rapid lateral flow test a maximum of 48 hours before departure.Transport Secretary Grant Shapps said these testing measures would be reviewed in the first week of January.
    What do we know about the new coronavirus variant Omicron?“As always, we keep all our travel measures under review and we may impose new restrictions should there be a need to do so to protect public health,” he said on Twitter.The 11 countries which will be removed from the list are Angola, Botswana, Eswantini, Lesotho, Malawi, Mozambique, Namibia, Nigeria, South Africa, Zambia and Zimbabwe.

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  • Le Maroc prolonge la fermeture de ses frontières jusqu’au 31 décembre
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/12/10/le-maroc-prolonge-la-fermeture-de-ses-frontieres-jusqu-au-31-decembre_610546

    Le Maroc prolonge la fermeture de ses frontières jusqu’au 31 décembre
    Les vols de passagers au départ et à destination du royaume sont suspendus depuis le 29 novembre pour éviter la propagation du Covid-19 et du variant Omicron.Le Maroc a décidé, jeudi 9 décembre, de prolonger la suspension des vols de passagers à destination et en provenance du pays « jusqu’au 31 décembre minimum », selon une note de la Direction générale de l’aviation civile (DGAC) du royaume. Ses frontières aériennes sont fermées depuis le 29 novembre en raison de la propagation rapide du variant Omicron du Covid-19 et de la recrudescence de la pandémie en Europe.Les liaisons maritimes de passagers sont également suspendues jusqu’au 31 décembre, selon le site d’information économique Médias24.
    Lire aussi A l’aéroport de Casablanca, au Maroc, le désarroi des voyageurs à destination de la France
    Dans un tweet publié jeudi soir sur sa page officielle, la compagnie nationale, Royal Air Maroc, a indiqué l’annulation de ses vols « de et vers le Maroc […] à partir du 9 décembre 2021, et ce jusqu’au 31 décembre 2021 à 23 h 59 (22 h 59 GMT) ». L’agence de presse marocaine MAP a, elle, confirmé la prolongation de la suspension des vols commerciaux « à une date ultérieure », citant une source proche des milieux du transport aérien.
    Faible transmission du virus depuis cinq semainesLa note de la DGAC précisait que des vols exceptionnels de rapatriement étaient toujours soumis à l’autorisation des autorités marocaines. Depuis le 29 novembre, de telles liaisons sont organisées à partir du royaume, notamment vers l’Europe, en particulier la France. Par ailleurs, le gouvernement « étudie » le rapatriement des Marocains bloqués à l’étranger depuis la fermeture des frontières aériennes, a déclaré jeudi le ministre de la Santé, Khalid Aït Taleb, lors d’un point presse, sans donner plus de détails.
    Ces mesures ont été décidées « afin de préserver les acquis du Maroc dans la lutte contre la pandémie » de Covid-19, selon les autorités. La situation épidémiologique s’est stabilisée, avec une faible transmission du virus depuis cinq semaines, selon le ministère de la Santé. Un total de 951 092 contaminations et 14 794 décès a été enregistré dans le pays depuis le premier cas signalé en mars 2020, selon le dernier bilan officiel publié jeudi.Toutefois, les professionnels du tourisme s’alarment de l’impact dévastateur de la fermeture des frontières sur ce secteur vital pour l’économie du royaume, déjà miné par une crise sans précédent depuis bientôt deux ans.

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  • Green quarantine? Hong Kong hotels under pressure to recycle plastics thrown out by guests spending weeks in Covid-19 isolation | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/hong-kong/health-environment/article/3159356/green-quarantine-hong-kong-hotels-under-pressure

    Green quarantine? Hong Kong hotels under pressure to recycle plastics thrown out by guests spending weeks in Covid-19 isolation. Experts caution against recycling items from rooms of quarantined guests, citing Covid-19 risk NGO Green Earth estimates hotels have used at least 100 million plastic items during pandemic
    Hong Kong’s green groups are alarmed by the large amount of plastic tossed out by hotels where arrivals undergo compulsory quarantine during the Covid-19 pandemic.They want authorities, hotels and even quarantined guests themselves to cut the use of plastic water bottles, disposable utensils, tableware and toiletries, and try to do more to recycle.But some medical experts cautioned against sending items from quarantine hotel rooms into the community, citing the risk of spreading the coronavirus.
    Green Earth, a charity that has focused on plastic waste since 2016, estimated that at least 100 million such items had been used at quarantine hotels since the pandemic began last year.Hahn Chu Hon-keung, a director of the group, said that assuming all 86,282 travellers quarantined so far had spent 14 days in a hotel, at least 120,000 water bottles and 13 million plastic items such as food containers and cutlery were used every month. Some in fact stayed 21 days.Chu, who underwent quarantine himself last month, said he emailed his hotel before arriving to ask it not to place bottled water in his room. He also requested reusable cutlery for his stay.
    The Dorsett Tsuen Wan Hotel, where Chu stayed for 14 days, told the Post the amount of plastic items given to quarantine guests was so large that it had introduced reusable cutlery.It provided bottled water unless guests said they did not want it, and there were kettles for guests to use in their rooms.
    The Amber Foundation, a charity which has collected unused hotel toiletries and airline kits for distribution to street sleepers, women in shelters and others, urged quarantined hotel guests to donate unused, sealed items.
    How to use Hong Kong’s ‘Leave Home Safe’ app to enter mainland China and Macau quarantine free. Chairwoman Elizabeth Thomson said it used to repackage the donations into toiletry kits for men and women. Since the pandemic, these donations have surged.“We used to put together about 5,000 toiletry kits every year, but in the last month alone, we distributed more than 1,000 kits,” she said.Thomson said quarantined hotel guests could save unused items to recycle rather than leave them behind to be thrown away when they checked out.She said it would help if the Department of Health explained whether everything from the guests’ rooms had to be thrown out or if sealed toiletries such as liquid soap and shampoo could be given away.If there was nothing wrong with the items, the hotels could work with NGOs to recycle them and cut wastage, she added.
    “If we try counting the number of plastic waste [items] in a quarantine hotel, it would be horrifying,” Thomson said.

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  • Separated from sick family members, Hong Kong’s poorest ask why business travellers should visit mainland China before they do | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/hong-kong/hong-kong-economy/article/3159397/separated-sick-family-members-hong-kongs-poorest

    Separated from sick family members, Hong Kong’s poorest ask why business travellers should visit mainland China before they do Quarantine too expensive for many to cross border, local NGO says, urging government to use half of initial travel quota for reuniting families City leader Carrie Lam has previously said business community will take priority when border gradually reopens, something expected to take place after coming Legco poll
    Low-income Hongkongers hoping to visit sick relatives in mainland China are calling on the government to give them equal priority with business travellers when the border begins gradually reopening soon.At least 10,000 residents urgently need to reunite with family members, but the city is treating them as an afterthought, according to Sze Lai-shan, deputy director of NGO the Society of Community Organisation (SoCO).“Its inhumane and unfair for those with families in need to be excluded from the [initial] cross-border quota,” Sze said on Sunday while urging the government to reserve half the slots for such visits.Chief Executive Carrie Lam Cheng Yuet-ngor last month said business travellers would take priority in the coming quarantine-free travel programme. Sze said numerous families were left disappointed and angry.The programme – initially limited to neighbouring Guangdong province – was expected to be launched shortly after the December 19 Legislative Council election, the Post reported earlier, though only a few hundred people a day were likely to be allowed to cross.At least 80 per cent of low-income families surveyed by SoCO in February indicated that they needed to visit the mainland regularly to take care of their families, with 70 per cent saying coronavirus border controls made helping them impossible.Another 15 per cent complained of being unable to return to attend the funerals of loved ones.At a Sunday press conference, low-income Hongkongers were moved to tears as they described the painful experience of not being able to reunite with ill or dying family members during the 21 months of the border being closed due to coronavirus restrictions.Many said they could not afford the expense of quarantine, including the need to apply for extended leave from work.
    Chen Haiyan, a 49-year-old bakery worker, said her father, 93, had a lung condition and was in such a frail state he had fallen several times. Her mother, who was in her 80s and dealing with eyesight issues, did not have the money to take him to a doctor.While her parents had typically taken care of each other, their health issues made it increasingly challenging to do so, according to Chen, who said border restrictions made it impossible for her to help.“My mother keeps asking when she can see me, as she misses me. I told her I want to go back so badly too, but it’s not possible, as quarantine is so expensive and my salary is too low. I can’t give her the money she needs,” said Chen, who works in a bakery.Chan Siu-bing, a resident in her 40s, said her mother in Guangdong had suffered a stroke last month and needed constant supervision, while her father had also recently undergone an operation.Chan, who has underlying health issues of her own, said: “I even took the vaccine in August despite my doctor not recommending it, just so I could go back. But even then, I’m still not allowed to do so.”Chan said she hoped she could soon travel to the mainland with her autistic 16-year-old daughter who was close to her grandparents.In calling for allowing families to cross the border on compassionate grounds, Sze suggested reserving 50 per cent of the any quota for needy residents, while noting the pandemic situation in Hong Kong and the mainland had stabilised in recent months.“In the past two years, [there has been an accumulation of] many family needs. In the beginning, 30 per cent of the quota could go to urgent family matters, and another 20 per cent for family visits,” she said. “Maybe after a certain period, the quota could then be increased.”

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  • Covid-19 : en Israël, la fermeture des frontières désespère les professionnels du tourisme
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/05/covid-19-en-israel-la-fermeture-des-frontieres-desespere-les-professionnels-

    Covid-19 : en Israël, la fermeture des frontières désespère les professionnels du tourisme. Les frontières, rouvertes début novembre, se sont refermées brusquement devant la menace du variant Omicron.
    « Nous nous préparions à la saison de Noël. Les hôtels étaient pleins à 70 % pour les illuminations du 3 décembre. En quelques heures, on a perdu tous les touristes étrangers », soupire Anton Salman, maire de Bethléem, en Cisjordanie. Cette ville de 31 000 habitants, où la moitié de la population vit du tourisme, croyait revenir à la vie après plus de vingt mois d’isolement. Mais le variant Omicron a anéanti ses espoirs. Israël, qui contrôle les points d’accès à la Cisjordanie, a de nouveau fermé l’ensemble de ses frontières aux étrangers, le 28 novembre – au moins jusqu’au 13 décembre –, et imposé de nouvelles restrictions pour les Israéliens.Début novembre, les autorités sanitaires israéliennes avaient simulé l’apparition d’un variant du SARS-CoV-2 nommé Omega. Les leçons tirées de l’exercice ont été appliquées à la lettre : verrouillage du pays le temps de déterminer la virulence du nouveau variant, multiplication des tests PCR, traçage des contacts, au prix du recours controversé à certaines techniques de surveillance, recommandation d’une troisième dose et de la vaccination des plus jeunes.Ces derniers jours, seuls sept cas confirmés du nouveau variant ont été détectés, et le gouvernement se félicite déjà du succès de sa politique. Mardi 30 novembre, le premier ministre, Naftali Bennett, a annoncé le lancement d’un nouveau compte Twitter en anglais pour partager « les connaissances acquises pendant la pandémie ». Son premier post détaille les mesures prises contre Omicron. Le calcul du M. Bennett n’est pas que sanitaire : son gouvernement repose sur une coalition fragile et veut à tout prix éviter un reconfinement qui mettrait l’économie à genoux et ferait l’affaire de l’opposition.
    Cette fermeté a sans doute contribué à rassurer les investisseurs, mais le tourisme, lui, a été sacrifié. « Le moral est au plus bas », dit Oded Grosman, directeur de l’Association des hôtels de Tel-Aviv. « Nous étions très optimistes après la réouverture des frontières le 1er novembre, mais là, on est revenus à la case départ. »En 2019, année record, plus de 4,5 millions de touristes sont venus en Terre sainte – soit l’équivalent d’environ un tiers de la population israélienne et palestinienne. En Israël, ce secteur en pleine expansion représente près de 6 milliards d’euros de recettes et plus de 200 000 emplois directs et indirects. « Nous devons faire confiance aux autorités sanitaires. A condition que nous soyons compensés, et tout de suite, pas dans un an », estime M. Grosman. Le ministère du tourisme a déjà promis des subventions, mais M. Grosman estime que le risque est aussi systémique : « Les fermetures à répétition pourraient décourager les touristes sur le long terme. »Les subventions ne concerneront, par ailleurs, pas la Cisjordanie, où l’on dénonce une discrimination. « Israël dit que les territoires occupés ne sont pas sûrs, affirme M. Salman. Comme si on ne savait pas respecter les règles. Au début de la pandémie, on a fermé la ville nous-mêmes. » A Bethléem, les rares touristes venus admirer l’église de la Nativité sont assiégés par des vendeurs à la sauvette. Si les hôtels bénéficient encore d’un tourisme local, porté par des Arabes israéliens, nombre de commerces ont dû se séparer de leurs employés. « Ils n’ont souvent aucun espoir de reconversion et on constate une explosion de la pauvreté », explique le maire, pour qui les conséquences de cette nouvelle fermeture ne sont pas qu’économiques. « Quand les étrangers viennent ici, ils comprennent aussi notre réalité, et la vie sous occupation. »

    #Covid-19#migrant#migration#israel#populationpalestinienne#sante#frontiere#circulation#economie#tourisme#variant#omicron

  • Variant Omicron : le Nigeria juge « discriminatoire » l’interdiction de voyage décrétée par le Royaume-Uni
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/12/07/variant-omicron-le-nigeria-juge-discriminatoire-l-interdiction-de-voyage-dec

    Variant Omicron : le Nigeria juge « discriminatoire » l’interdiction de voyage décrétée par le Royaume-Uni
    Abuja considère cette décision « injuste, inéquitable, punitive, indéfendable et qui n’est pas motivée par la science ou même le bon sens ».
    La décision du Royaume-Uni de placer le Nigeria sur sa liste rouge des pays dont les voyageurs sont interdits d’entrée sur son territoire pour empêcher la propagation du variant Omicron est jugée « discriminatoire » et « injuste » par Abuja. « Cette décision est injuste, inéquitable, punitive, indéfendable et discriminatoire. Elle n’est pas non plus motivée par la science ou même le bon sens », a déclaré à la presse le ministre de l’information du Nigeria, Lai Mohammed.
    Le gouvernement britannique a ajouté le pays le plus peuplé d’Afrique sur cette liste, qui compte pour l’heure dix pays africains, après l’annonce la semaine passée de la découverte de cas de variant Omicron au Nigeria. Le Royaume-Uni a lui détecté à ce jour quelque 160 cas du variant Omicron. Mais selon les autorités, la grande majorité des cas présentent des liens évidents avec des voyages récents en Afrique du Sud et au Nigeria.
    Lire aussi Le Nigeria et le Ghana détectent leurs premiers cas du variant OmicronAinsi, depuis lundi, les voyageurs en provenance du Nigeria sont interdits d’entrée au Royaume-Uni, à l’exception des ressortissants et résidents qui devront observer une quarantaine de dix jours à l’hôtel à leurs frais.« Nous espérons sincèrement que le gouvernement britannique réexaminera la décision d’inscrire le Nigeria sur la liste rouge et l’annulera immédiatement », a également ajouté le ministre nigérian. Il a également déclaré que les pays développés feraient mieux de s’assurer que les pays en développement comme le Nigeria aient un accès aux vaccins plutôt que d’imposer des restrictions sur les voyages.Le Canada a également banni les voyageurs en provenance d’Egypte, du Nigeria et du Malawi par peur d’une propagation du nouveau variant. La présence d’Omicron est désormais confirmée dans quelque quarante pays dans le monde, après avoir d’abord été détectée par l’Afrique du Sud.Fin novembre, une équipe de chercheurs sud-africains a annoncé avoir détecté un nouveau variant du Covid-19, baptisé Omicron. La réaction a été immédiate : de nombreux pays avaient fermé leurs frontières, mettant en quelques heures l’Afrique australe au ban du monde.Lundi, les présidents sud-africain Cyril Ramaphosa et sénégalais Macky Sall ont dénoncé l’attitude des pays riches à l’encontre de l’Afrique du Sud après la découverte du variant Omicron. « Isoler un pays qui a séquencé un nouveau variant et fait preuve de transparence est non seulement discriminatoire, mais aussi contre-productif, car c’est inciter les autres » à ne pas être transparents, a estimé Macky Sall dans son discours d’ouverture du Forum international de Dakar sur la paix et la sécurité en Afrique.

    #Covid-19#migrant#migration#afriquedusud#afrique#egypye#nigeria#malawi#frontiere#circulation#frontiere#variant#omicron#discriminination

  • Variant « B 1.1 529, Omicron » : la Côte d’Ivoire renforce le contrôle sanitaire à ses frontières.
    https://www.dakaractu.com/Variant-B-1-1-529-Omicron-la-Cote-d-Ivoire-renforce-le-controle-sanitaire

    Variant « B 1.1 529, Omicron » : la Côte d’Ivoire renforce le contrôle sanitaire à ses frontières.
    Avec l’apparition d’un nouveau variant du Sars Cov 19, Omicron, détecté pour la première fois en Afrique du Sud, les pays du monde entier se renforcent en vue de prévenir une quatrième vague. C’est le cas des pays africains et notamment la Côte d’Ivoire qui a décidé de renforcer la surveillance sanitaire aux frontières.En effet, selon un communiqué du ministère de la santé, de l’hygiène publique et de la couverture maladie universelle de Côte d’Ivoire, il a été décodé au dépistage systématique par PCR de tout voyageur en provenance de pays ou le variant B 1.1 529 a été détecté.Un contrôle systématique de ces voyageurs se fera au cours des 5 premiers jours de son séjour en Côte d’Ivoire aussi, indique le document.

    #Covid-19#migrant#migration#sante#cotedivoire#frontiere#circulation#test#surveillancesanitaire

  • La Nouvelle-Calédonie accueille à nouveau les vols internationaux
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/02/la-nouvelle-caledonie-rouvre-ses-portes-aux-vols-internationaux_6104373_3244

    La Nouvelle-Calédonie accueille à nouveau les vols internationaux
    La Nouvelle-Calédonie a levé la suspension des vols internationaux, en place depuis le 1er avril 2020 en raison de la crise sanitaire. Le trafic restera cependant restreint compte tenu de la fermeture des frontières de plusieurs pays voisins, a annoncé le gouvernement de l’archipel français, jeudi 2 décembre.Initialement les frontières du Caillou devaient rester fermées jusqu’au 31 décembre 2021, mais la levée de la mesure a été avancée d’un mois, au 1er décembre, car la Nouvelle-Calédonie, longtemps restée exempte de cas de Covid-19, est depuis le début de septembre en situation épidémique. Cette fermeture n’avait donc plus de sens.
    Toutefois, l’accès au territoire est réservé aux passagers totalement vaccinés. Ils doivent en outre à leur arrivée s’isoler sept jours à domicile ou à l’hôtel, puis effectuer un dépistage. Un test antigénique ou PCR de moins de soixante-douze heures est aussi demandé au départ.Seule la compagnie territoriale, Air Calédonie Internationale (ACI), assure la desserte de l’archipel. Durant la suspension, elle opérait sur réquisitions du gouvernement calédonien. ACI a annoncé que jusqu’au 26 mars elle proposerait 4 rotations hebdomadaires Nouméa-Tokyo et trois à six rotations hebdomadaires en sens inverse. Le Japon, qui vient de fermer ses frontières à cause du variant Omicron, est une escale sur la route de Paris, les passagers n’y sont qu’en transit. Une rotation Nouméa-Papeete sera également assurée.

    #Covid-19#migration#migrant#nouvellecaledonie#frontiere#sante#circulation#test#vaccination#isolement#japon

  • Plus de 20 000 personnes bloquées au Maroc ont été rapatriées en France
    https://www.lemonde.fr/afrique/article/2021/12/01/plus-de-20-000-personnes-bloquees-au-maroc-ont-ete-rapatriees-en-france_6104

    Plus de 20 000 personnes bloquées au Maroc ont été rapatriées en France
    Rabat a décidé le 25 novembre de suspendre « jusqu’à nouvel ordre » les vols réguliers à destination et en provenance de l’Hexagone du fait de la recrudescence de la pandémie.
    Depuis la décision de Rabat de fermer ses frontières aériennes avec l’Hexagone en raison de la reprise de la pandémie de Covid-19, Paris a rapatrié à bord de vols spéciaux plus de 20 000 personnes bloquées, a-t-on appris mardi 30 novembre de source diplomatique française. Parmi ces passagers figurent une majorité de touristes, mais également des hommes d’affaires et des « semi-résidents » qui partagent leur lieu d’habitation entre le Maroc et la France, a précisé cette source.
    Rabat a décidé le 25 novembre, avant l’apparition du nouveau variant Omicron, de suspendre « jusqu’à nouvel ordre » les vols réguliers à destination et en provenance de France du fait de la recrudescence de l’épidémie. Des vols spéciaux, soumis à l’autorisation des autorités marocaines, ont été organisés pour les personnes n’ayant pas pu rentrer en France.Les compagnies Air France et Transavia ont ainsi mis en place des vols spéciaux au départ du Maroc depuis vendredi, et la compagnie nationale Royal Air Maroc (RAM) en a programmé à destination de la France à compter du mardi 30 novembre et jusqu’au 6 décembre. La France est de loin le premier partenaire économique du Maroc : plus de 1,3 million de Marocains vivent en France et près de 80 000 Français résident au Maroc.
    Par ailleurs, la compagnie aérienne low cost TUI fly a annoncé qu’elle allait opérer dix-huit vols spéciaux entre le 1er et le 5 décembre pour rapatrier quelque 2 377 touristes belges encore coincés sur le territoire marocain, selon un communiqué.Depuis lundi minuit, tous les vols directs de passagers à destination du Maroc sont suspendus, pour deux semaines, « afin de préserver les acquis du Maroc dans la lutte contre la pandémie ».

    #Covid-19#migration#migrant#maroc#france#frontiere#circulation#sante#pandemie#resident#touriste#hommedaffaire#rapatriementsanitaire

  • Covid-19 : la France impose un test négatif obligatoire à tous les voyageurs, vaccinés ou non, arrivant de pays situés en dehors de l’UE
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/01/covid-19-la-france-prolonge-jusqu-a-samedi-la-suspension-des-vols-depuis-l-a

    Covid-19 : la France impose un test négatif obligatoire à tous les voyageurs, vaccinés ou non, arrivant de pays situés en dehors de l’UE
    Les autorités sanitaires françaises ont recensé treize cas suspects de contamination par le variant Omicron du coronavirus SARS-CoV-2 sur l’ensemble du territoire français, a par ailleurs annoncé Gabriel Attal, mercredi, après le conseil des ministres.
    Face à la propagation du variant Omicron du nouveau coronavirus, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, a annoncé un renforcement du protocole sanitaire pour les voyageurs internationaux, mercredi 1er décembre. Paris va imposer un test de dépistage négatif au coronavirus pour tout voyageur, vacciné ou non vacciné, provenant de pays extérieurs à l’Union européenne (UE), a-t-il dit. Ce test devra être de moins de quarante-huit heures pour les personnes vaccinées et de moins de vingt-quatre heures pour celles qui ne sont pas vaccinées, a-t-il déclaré à l’issue du conseil des ministres.Les autorités sanitaires françaises ont recensé treize cas suspects de contamination par le variant Omicron du SARS-CoV-2 sur l’ensemble du territoire français, a annoncé par ailleurs Gabriel Attal, lors du compte rendu du conseil des ministres. Selon lui, il est donc fort probable que des cas d’infection par ce nouveau variant identifié en Afrique du Sud soient déjà présents en France et identifiés dans les heures ou jours à venir.
    Le porte-parole du gouvernement a également expliqué mercredi que les vols avec dix pays de l’Afrique australe reprendront à partir de samedi avec un encadrement « drastique » qui ne permettra de voyager qu’aux Français, aux ressortissants de l’UE, aux diplomates et aux navigants. Ces dix pays sont l’Afrique du Sud, le Lesotho, le Botswana, le Zimbabwe, le Mozambique, la Namibie, l’Eswatini, le Malawi, la Zambie et l’île Maurice.
    Ces voyageurs subiront en outre un test de détection du SARS-CoV-2 à leur arrivée en France, suivi d’un isolement de sept jours en cas de résultat négatif et de dix jours si le résultat est positif. Dans les deux cas, l’isolement « sera surveillé par des forces de sécurité intérieure, et, en cas de non-respect de l’isolement, une amende de 1 000 à 1 500 euros » sera infligée, a ajouté M. Attal. Plus tôt dans la matinée, le secrétaire d’Etat aux affaires européennes, Clément Beaune, avait détaillé sur RTL un protocole européen « extrêmement renforcé », faisant actuellement l’objet de discussions entre les Vingt-Sept. Il devrait comprendre des restrictions déjà prises à l’encontre des pays « en liste rouge » lors des précédentes vagues de propagation du Covid-19 (« test à l’arrivée, test au départ et isolement »). « Nous irons sans doute encore plus loin », avait alors ajouté le secrétaire d’Etat, expliquant déjà que mêmes les personnes vaccinées devraient probablement se soumettre à un test pour voyager entre la France et ces pays d’Afrique australe.

    #Covid-19#migrant#migration#afriquedusud#sante#france#lesotho#botswana#zimbabwe#mozambique#namibie#eswatini#malawi#zambie#ilemaurice#test#frontiere#circulation#vaccination

  • Covid-19 : face au variant Omicron, La Réunion renforce ses contrôles aux frontières
    https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/12/01/covid-19-face-au-variant-omicron-la-reunion-renforce-ses-controles-aux-front

    Covid-19 : face au variant Omicron, La Réunion renforce ses contrôles aux frontières
    Les vols en provenance d’Afrique du Sud et de six autres pays d’Afrique austral ont été suspendus jusqu’au 4 décembre. Le dispositif de test des passagers des vols régionaux « sera renforcé par des tests antigéniques ».
    Par Jérôme Talpin(Saint-Denis (La Réunion), correspondance). Après la confirmation d’un premier cas mardi 30 novembre, l’inquiétude grandit à La Réunion. L’île appréhende de savoir si d’autres habitants sont porteurs de ce nouveau variant du SARS-CoV-2 récemment signalé en Afrique du Sud, pays voisin dont les côtes sont distantes d’environ 3 400 kilomètres. Le résultat du séquençage effectué sur un autre cas suspect s’est révélé négatif. Un troisième cas, qui n’a aucun lien avec les deux premiers, a été testé positif au Covid-19 mais n’a pu être séquencé en raison d’une trop faible quantité de virus. Plusieurs dizaines de nouveaux échantillons arrivés mercredi 1er décembre sont en cours en séquençage pour des analyses de routine.Ce premier patient français positif au variant Omicron est un homme de 53 ans rentré chez lui, à La Réunion, le 20 novembre depuis l’île Maurice. Parti de Maputo, au Mozambique, il avait effectué sur son trajet une escale à Johannesburg, en Afrique du Sud. Lors de son passage à l’île Maurice, l’homme d’affaires avait subi un test antigénique obligatoire qui s’est avéré négatif.A son arrivée à La Réunion, il a dû se soumettre à un test RT-PCR, comme tous les voyageurs en provenance d’un pays de la zone océan Indien, là aussi négatif. Mais deux jours plus tard, le quinquagénaire, pris de fièvre et de douleurs musculaires, a été testé positif. Parce qu’il avait séjourné dans un pays à risque, un séquençage a été ordonné en urgence dans la journée de dimanche. Une hospitalisation ne s’imposant pas, le patient a été « isolé à son domicile et fait l’objet d’un suivi régulier », ont annoncé la préfecture et l’agence régionale de santé (ARS) de La Réunion. « Les cas contacts à risque ont également été identifiés et mis à l’isolement », ont-elles indiqué. Des prélèvements sur son entourage proche ont été effectués. Directeur de l’unité de recherches Pimit au Cyclotron Réunion océan Indien (université de La Réunion/CNRS/Inserm/IRD), qui a identifié le variant Omicron à La Réunion, le Dr Patrick Mavingui doute « qu’il n’existe qu’un seul cas dans l’île ». « Si nous avons découvert un premier cas, il ne peut être exclu que ce variant ait déjà été introduit et qu’il circule », déclare-t-il au Monde. Pour ce microbiologiste et épidémiologiste, « il ne faut pas paniquer, mais s’inquiéter en continuant à prendre des précautions. Pour l’instant, il n’a pas été constaté d’explosion du nombre d’hospitalisations et de cas graves en Afrique du Sud. »
    Sans céder à la panique, la préfecture de La Réunion a réagi rapidement et décidé de réduire le nombre de voyageurs arrivant dans l’île en renforçant les contrôles. Depuis le 27 novembre, les vols en provenance d’Afrique du Sud et de six autres pays d’Afrique austral ont été suspendus jusqu’au samedi 4 décembre, a annoncé le secrétaire d’Etat aux affaires européennes, Clément Beaune. Le dispositif de test systématique des passagers des vols régionaux (principalement en provenance de Maurice, Madagascar, Mayotte, des Comores et des Seychelles) « sera renforcé par des tests antigéniques permettant d’obtenir un résultat immédiat et d’isoler les cas positifs ». L’île Maurice a été classée, le 30 novembre, en « zone rouge » sur la liste des pays caractérisés par une circulation particulièrement active de l’épidémie de Covid-19. Le préfet Jacques Billant indique « avoir proposé des mesures de protection supplémentaires de l’île face à l’émergence du variant Omicron qui nécessitent une modification réglementaire de niveau national ». Il s’agirait de rendre l’isolement obligatoire pour les personnes testées positives au nouveau variant. Pour les vols de La Réunion vers la métropole, chaque voyageur vacciné doit, depuis dimanche, présenter un résultat négatif à un test PCR ou antigénique de moins de 48 heures. Les non-vaccinés sont dans l’obligation de présenter aussi des documents justifiant un motif impérieux pour se déplacer. Un test et un motif impérieux sont également exigés dans le sens métropole-Réunion.
    L’annonce de l’identification du variant Omicron à La Réunion intervient dans un contexte de progression de l’épidémie de Covid-19 jugée « préoccupante », mais à « un rythme légèrement ralenti », selon les autorités sanitaires. Le taux de positivité reste stable à 4,3 %, alors que le nombre de dépistages réalisés n’a jamais été aussi élevé depuis le début de la crise sanitaire. Les hôpitaux sont loin d’être saturés : sur 74 lits de soins critiques installés dans le département, 18 lits de réanimation étaient occupés mardi soir. Une situation là aussi considérée comme « stable ». La donnée jugée la plus rassurante par beaucoup de médecins reste le taux de 73,1 % de la population éligible présentant un schéma vaccinal complet, soit plus de 513 000 Réunionnais. « Nous percevons depuis une semaine un regain pour la vaccination », souligne un médecin généraliste. L’annonce de la présence du variant Omicron sur l’île risque d’accentuer davantage ce phénomène.

    #Covid-19#migrant#migration#france#metropole#lareunion#afriqueaustrale#afriquedusud#omicron#test#tauxseropositivite#vaccination#frontiere#circulation

  • Omicron Covid variant discovered in west Africa and the Gulf | Coronavirus | The Guardian
    https://www.theguardian.com/world/2021/dec/01/omicron-covid-variant-discovered-in-west-africa-and-the-gulf
    https://i.guim.co.uk/img/media/56b84c9ef8ce79954fdca128fff8ce4e565a7f17/0_192_5760_3456/master/5760.jpg?width=1200&height=630&quality=85&auto=format&fit=crop&overlay-ali

    Omicron Covid variant discovered in west Africa and the Gulf

    US tightens border controls as more countries report first cases of coronavirus variant
    The Omicron variant of Covid-19 has been identified in west Africa and the Gulf, as the US said it was further tightening its border controls. Washington’s announcement was made as more countries reported their first cases of the variant, suggesting it is spreading around the globe.
    With Ghana, Nigeria, Norway, Saudi Arabia and South Korea among the latest states to record cases, Omicron has been identified in 24 countries.
    Dozens of countries have imposed stricter travel rules, and the US Centers for Disease Control and Prevention (CDC) said on Wednesday it was requiring all air travellers entering the country to show a negative Covid-19 test performed within one day of departure.Fifty-six countries were reportedly implementing travel measures to guard against Omicron despite warnings by the World Health Organization that “introducing blunt, blanket measures … will only worsen inequities”.However, a report on Wednesday suggesting that retrospective analysis in Nigeria had found evidence of Omicron as early as October – raising fears it had been circulating weeks earlier than first thought – proved to be incorrect.In fact, the genetic sequence identified in October was for the prevalent Delta variant of the virus, Nigerian health authorities said.Saudi Arabia became the first Gulf state to identify an Omicron case on Wednesday. Authorities in Riyadh said the variant had been identified in a traveller arriving from a north African country, without naming it.
    In Asia, South Korea confirmed its first cases, and Japan asked international airlines to stop taking new reservations for all flights arriving in the country until the end of December in a further tightening of already strict border controls. The transportation ministry said the request was an emergency precaution.The move by the world’s third-largest economy, coupled with its recent return to a ban on foreign visitors, is among the most stringent anywhere, and more in line with its cloistered neighbour China than with some other democracies in the region.This week the World Health Organization urged countries to avoid blanket travel bans.Japan has confirmed a second case of the Omicron variant in a person who arrived from Peru, one day after it reported its first case in a Namibian diplomat.
    Scientists are working frantically to determine how threatening Omicron is. Much remains unknown about the new variant, which has been identified in more than 20 countries, including whether it is more contagious, whether it makes people more seriously ill, and whether it can thwart the vaccine.
    Dr Anthony Fauci, the top US infectious disease expert, said more would be known about the variant in two to four weeks as scientists grow and test lab samples of the virus.

    #Covid-19#migrant#migration#monde#sante#variant#omicron#frontiere#circulation#economie#visiteur#oms#etranger

  • Omicron : La maladie fait son apparition en Afrique de l’Ouest
    https://www.seneweb.com/news/Sante/omicron-la-maladie-fait-son-apparition-e_n_365365.html

    Omicron : La maladie fait son apparition en Afrique de l’Ouest
    Par : Maria DIOP - Seneweb.com | 01 décembre, 2021
    Omicron : La maladie fait son apparition en Afrique de l’Ouest
    Le nouveau variant Omicron de la Covid-19 a fait son apparition en Afrique de l’Ouest. Trois cas ont été détectés au Nigeria, sur des personnes qui avaient voyagé en Afrique du Sud. L’annonce a été faite aujourd’hui par le Centre nigérian de contrôle des maladies. « Les échantillons prélevés sur les tests demandés à tous les voyageurs, deux jours après leur arrivée au Nigeria, se sont révélés positifs au variant Omicron chez trois personnes qui avaient précédemment voyagé en Afrique du Sud », informe le centre.
    Ces personnes arrivées la semaine dernière au Nigeria ont été mises à l’isolement. Elles sont suivies et la recherche de leurs cas contacts est en cours. Les autorités ont peur qu’il y en ait davantage dans le pays.
    Pour le directeur du centre, « il ne s’agit plus maintenant de savoir s’il y a d’autres cas du nouveau variant dans le pays, mais de savoir quand seront-ils découverts »

    #Covid-19#migrant#migration#afrique#afriquedusud#nigeria#variant#omicron#frontiere#circulation

  • Fermer les frontières ne stoppera pas la propagation du variant Omicron
    https://www.seneweb.com/news/Sante/fermer-les-frontieres-ne-stoppera-pas-la_n_365358.html

    Fermer les frontières ne stoppera pas la propagation du variant Omicron
    Par : slate.fr - Slate.fr | 01 décembre, 2021 à 13:12:32 | Lu 2687 Fois | 7
    La découverte du variant B.1.1.529 du SARS-CoV-2, baptisé « Omicron » par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), suscite l’inquiétude au niveau mondial, et a mis la planète en état d’alerte général. Et pour cause : l’OMS l’a déclaré « variant préoccupant » , car sa protéine Spike présente un large éventail de mutations, ce qui fait craindre que les vaccins et les traitements actuels s’avèrent moins efficaces pour le combattre.Bien qu’il soit encore trop tôt pour en être certain, Omicron semble par ailleurs être capable de réinfecter les gens plus facilement que les autres souches. Suivant l’exemple des États-Unis, du Canada, du Royaume-Uni et de l’Union européenne notamment, l’Australie a elle aussi fermé ses frontières aux voyageurs en provenance de plusieurs pays d’Afrique australe. Les citoyens australiens qui cherchent à rentrer chez eux depuis l’Afrique australe pourront le faire, mais à leur arrivée ils devront rester en quarantaine à l’hôtel et passer des tests. Ceux qui, au cours des deux semaines passées, sont revenus des neuf pays concernés –Afrique du Sud, Namibie, Zimbabwe, Botswana, Lesotho, Eswatini, Seychelles, Malawi et Mozambique– devront quant à eux s’isoler.
    Le problème est qu’Omicron a déjà été détecté dans d’autres régions du monde que l’Afrique, notamment au Royaume-Uni, en Allemagne, en Israël, à Hong Kong et en Belgique. Ainsi, si une interdiction de voyager dans les pays d’Afrique australe peut ralentir sa propagation et faire gagner un peu de temps, il est peu probable qu’elle suffise à l’arrêter complètement.
    Les gouvernements d’Australie et d’autres pays mettent en place ces restrictions pour tenter de protéger leurs propres citoyens. Cependant, ces mesures devraient s’accompagner d’un déblocage de ressources supplémentaires destiné à soutenir les réponses mises en place par les pays d’Afrique australe et d’ailleurs.
    Ce variant a été identifié le 22 novembre en Afrique du Sud, à partir d’un échantillon prélevé sur un patient le 9 novembre.Les virologues sud-africains ont agi rapidement : ils se sont entretenus avec leurs collègues par l’intermédiaire du Réseau de surveillance génomique en Afrique du Sud, et ont assuré la liaison avec leur gouvernement tout en informant l’Organisation mondiale de la santé, le 24 novembre.Cette démarche est conforme au Règlement sanitaire international, qui fixe les directives selon lesquels les pays sont censés réagir dans un tel contexte.
    Les scientifiques et les hommes politiques africains ont été déçus par la mise en place des mesures d ?interdiction, qu’ils considèrent comme une réaction « réflexe » de la part des pays qui les imposent. Ils affirment qu’elles auront des effets négatifs importants sur l’économie sud-africaine, qui accueille traditionnellement des touristes du monde entier pendant la période estivale de fin d’année. Ils soulignent également que l’on ne sait toujours pas si ce nouveau variant provient effectivement d’Afrique du Sud, même s’il y a été identifié pour la première fois. Étant donné qu’Omicron a déjà été détecté dans plusieurs autres pays, il se peut qu’il circule déjà dans des régions non incluses dans les interdictions de voyages.

    #Covid-19#migrant#migration#afrique#monde#sante#variant#omicron#frontiere#circulation#economie#OMS

  • Rapport de l’OIM : la COVID-19 entraîne une forte augmentation du nombre de migrants vulnérables en transit par les Amériques | International Organization for Migration
    https://www.iom.int/fr/news/rapport-de-loim-la-covid-19-entraine-une-forte-augmentation-du-nombre-de-migran

    Rapport de l’OIM : la COVID-19 entraîne une forte augmentation du nombre de migrants vulnérables en transit par les Amériques
    Buenos Aires/San José – Selon un rapport sur les mouvements migratoires régionaux dans les Amériques publié aujourd’hui par l’Organisation internationale pour les migrations, au moins 30 000 enfants, la plupart âgés de moins de cinq ans, font partie des plus de 125 000 personnes qui, cette année, ont risqué leur vie en traversant la région du Darien, l’un des itinéraires irréguliers les plus dangereux au monde pour les migrants faisant route vers l’Amérique du Nord.
    Le rapport souligne que le transit de migrants originaires des Caraïbes, d’Asie, d’Afrique et des Amériques depuis l’Amérique du Sud se développe depuis une dizaine d’années, mais qu’il a augmenté de façon spectaculaire en raison de l’impact socioéconomique, sanitaire et politique de la pandémie de COVID-19. Le nombre total de traversées irrégulières du Darien - une dangereuse traversée de la jungle à la frontière entre la Colombie et le Panama, dépourvue de routes et où opèrent des groupes armés, des passeurs de migrants et des trafiquants d’êtres humains - est plus élevé cette année que pour l’ensemble de la période 2010-2020. Quelque 25 pour cent des personnes qui traversent la frontière sont des enfants, dont environ 24 000 ont cinq ans ou moins. Selon le rapport, un grand nombre des migrants vulnérables en transit sont des Haïtiens, mais il y a aussi des ressortissants d’autres pays des Caraïbes, d’Asie, d’Afrique et des Amériques. Un nombre croissant de ressortissants de ces régions ont migré vers l’Amérique du Sud au cours de la dernière décennie. Selon les estimations du Département des affaires économiques et sociales des Nations Unies (ONU DAES), les migrants africains en Amérique du Sud sont passés de 22 000 en 2010 à 43 000 en 2020, tandis que les migrants des Caraïbes dans la région ont connu une croissance exponentielle, passant de 79 000 en 2010 à 424 000 en 2020. Les migrants asiatiques dans la région ont également augmenté, passant de 208 000 en 2010 à 302 000 en 2020.
    N’ayant pas la possibilité d’emprunter les itinéraires migratoires réguliers, de nombreux migrants ont recours à des passeurs, ce qui accroît leur vulnérabilité et les problèmes de protection, selon le rapport. Parmi ces flux, on trouve des migrants qui se sont installés régulièrement, principalement dans des pays d’Amérique du Sud, notamment au Brésil et au Chili, ces dernières années. Le rapport souligne que certains migrants en transit vers l’Amérique du Nord en provenance des Caraïbes, d’Afrique et d’Asie ont des enfants qui sont des ressortissants de pays d’Amérique du Sud. Il ne s’agit donc pas exclusivement de migrants originaires des Caraïbes et d’autres régions.D’autres ont été contraints, ou ont décidé, de migrer vers d’autres destinations au nord du continent car ils n’ont pas les documents adéquats ou en raison de l’impact de la pandémie, notamment une augmentation alarmante de la xénophobie, qui a limité leur accès aux services de base. Les catastrophes et l’instabilité politique dans les pays d’origine et de résidence ont également été des moteurs. L’OIM a lancé un appel de 74,7 millions de dollars pour répondre aux besoins humanitaires du nombre croissant de migrants vulnérables en transit, ainsi que pour permettre aux pays de destination actuels d’atténuer les effets négatifs de la crise et d’autres facteurs socioéconomiques qui frappent souvent les migrants en premier et le plus durement. L’aide comprend de la nourriture, des vêtements, des services de santé et un soutien psychosocial, des abris sûrs et une protection pour les victimes et les personnes à risque de violence fondée sur le genre et de traite des personnes. La Plateforme mondiale de réponse aux crises de l’OIM donne un aperçu des plans et des besoins de financement de l’OIM pour répondre à l’évolution des besoins et des aspirations des personnes touchées ou menacées par les crises et les déplacements en 2021 et au-delà. La plateforme est régulièrement mise à jour en fonction de l’évolution des crises et de l’apparition de nouvelles situations.

    #Covid-19#migrant#migration#monde#sante#frontiere#circulation#migrationirreguliere#vuulnerabilite#pandemie#psychosocial#protection#crise#transit#droit

  • Propagation du variant Omicron : L’Oms dénonce l’isolement de l’Afrique - Lequotidien - Journal d’information Générale
    https://lequotidien.sn/propagation-du-variant-omicron-loms-denonce-lisolement-de-lafrique

    Propagation du variant Omicron : L’Oms dénonce l’isolement de l’Afrique
    Lequotidien
    L’Afrique du Sud ainsi que les pays de l’Afrique australe sont presque isolés du reste du monde à cause de l’apparition du variant Omicron. Une situation dénoncée par l’Oms et qui ne risque d’être appliquée par les autres pays africains. C’est Macky Sall qui l’a assuré.
    Par Malick GAYE – Une « discrimination » ! C’est de cette façon que l’Afrique du Sud perçoit l’isolement que subit le pays à cause de la déclaration du variant Omicron. Porté à la connaissance du monde le 24 novembre passé, ce variant « préoccupant » du Covid-19 serait plus contagieux que Del­ta. Une donne qui a poussé une bonne partie de l’Europe à suspendre ses liaisons aériennes avec les pays de l’Afrique australe. Une situation dénoncée par l’Orga­nisation mondiale de la santé (Oms), qui appelle à une action coordonnée.L’Oms qui a salué l’attitude de l’Afrique du Sud en partageant le plus tôt possible les informations sur le nouveau variant, craint que cet isolement n’encourage pas la transparence. En effet, elle doute que les pays fassent de la rétention d’informations, de peur d’être isolés.Le Président sud-africain, Cyril Ramaphosa, s’est dit « profondément déçu » par ces fermetures de frontières, qui représentent, à ses yeux, une forme de « discrimination à l’égard de notre pays » et de ses voisins.
    Ces restrictions contredisent aussi frontalement les engagements du G20 à Rome, le mois dernier, en faveur du tourisme et des voyages internationaux, a poursuivi Cyril Ramaphosa, au ton sévère mais posé, dans un discours télévisé.
    Elles ne font qu’« endommager davantage nos économies et saper notre capacité à répondre et à nous remettre de la pandémie », a-t-il dit. L’Oms, qui a pourtant déconseillé les restrictions sur les voyages, estimant qu’il faudra « plusieurs semaines » pour comprendre la virulence d’Omi­cron. L’organisation a appelé dimanche à ce que « les frontières restent ouvertes », se tenant « aux côtés des pays africains ». L’Oms a également appelé les dirigeants du monde entier à « adopter une approche scientifique », basée sur « l’évaluation des risques » avant de décider de nouvelles restrictions.
    Le Président sénégalais, Macky Sall, a assuré hier lundi que les pays africains ne fermeront pas leurs portes à l’Afrique du Sud et aux autres pays d’Afrique australe, malgré l’apparition du variant de Covid-19, dénommé Omicron. Pour autant, Macky Sall invite ses collègues à rester vigilants.

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  • INTERDICTION DE VOLS AUX PAYS AFRICAINS : La directrice régionale de l’OMS monte au créneau | EnQuete+
    https://www.enqueteplus.com/content/interdiction-de-vols-aux-pays-africains-la-directrice-r%C3%A9gionale-de

    La directrice régionale de l’OMS monte au créneau
    Après la découverte du nouveau variant Omicron en Afrique du Sud, de nombreux pays ont mis en place une interdiction de voyage visant l’Afrique. Une attitude que déplore la directrice régionale de l’OMS, Docteur Matshidiso Moeti.Alors qu’un nombre croissant de pays impose des interdictions de vols aux pays d’Afrique australe, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a appelé les pays à agir conformément à la science et au Règlement sanitaire international (2005) en laissant les frontières ouvertes. Ces décisions prises par beaucoup de pays sont causées par des inquiétudes suscitées par le nouveau variant Omicron.Mais pour la directrice régionale de l’OMS, Docteur Matshidiso Moeti, ce n’est pas une raison de fermer les frontières aériennes aux pays d’Afrique. ‘’Maintenant que le variant Omicron est présent dans plusieurs régions du monde, la mise en place d’interdictions de voyage visant l’Afrique constitue une attaque de la solidarité mondiale. La Covid-19 profite continuellement de nos divergences. Nous ne prendrons le dessus sur le virus que si nous travaillons ensemble sur les solutions ‘’, a averti hier Dre Matshidiso Moeti dans un communiqué parvenu à ‘’EnQuête’’.Selon elle, les restrictions de voyage pourraient contribuer à réduire légèrement la propagation de la Covid-19. Mais ces dernières font peser un lourd fardeau sur les vies et les moyens de subsistance. A son avis, si des restrictions sont mises en place, elles ne devraient pas être inutilement invasives et intrusives. Elles devraient, souligne-t-elle, être basées sur la science et le Règlement sanitaire international qui est un instrument juridiquement contraignant de droit international reconnu par plus de 190 pays. Pour le Bureau régional de l’agence sanitaire mondiale, l’Afrique du Sud a suivi le Règlement sanitaire international. Dès que son laboratoire national a identifié le variant Omicron, elle en a informé l’OMS le 24 novembre, explique-t-elle. ‘’La rapidité et la transparence avec lesquelles les gouvernements d’Afrique du Sud et du Botswana ont informé le monde de ce nouveau variant sont à saluer. L’OMS se tient aux côtés des pays africains qui ont eu le courage de partager ces informations de santé publique susceptibles de sauver des vies, en aidant ainsi à protéger le monde contre la propagation de la Covid-19‘’, soutient Dre Moeti.Tandis que les investigations sur le variant Omicron continuent, l’OMS recommande aux pays d’adopter une approche scientifique s’appuyant sur l’évaluation des risques. L’organisation onusienne demande également de mettre en place des mesures qui peuvent limiter sa propagation éventuelle. Des interdictions de vol ont été imposées aux pays d’Afrique australe, mais seulement deux pays ont jusqu’à présent détecté le nouveau variant. Dans le même temps, des pays d’autres régions ont signalé des cas d’Omicron.

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  • World scrambles to contain Omicron coronavirus variant | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/china/science/article/3157621/world-scrambles-contain-omicron-coronavirus-variant

    World scrambles to contain Omicron coronavirus variant
    The emergence of a coronavirus variant with a large number of mutations could pose new challenges for China but too little was known about the strain, according to one of the country’s top respiratory disease specialists.
    Chinese media reported Zhong Nanshan’s assessment of the Omicron variant on Saturday as countries around the world scrambled to contain the variety first found in southern Africa and identified on Friday by the World Health Organization (WHO) as a variant “of concern”.The WHO cautioned countries against “hastily” tightened travel restrictions.
    A number of jurisdictions, from the European Union, to the United States, Hong Kong and Russia, tightened limits on travellers from countries in southern Africa.Dozens of confirmed cases have been identified in South Africa, Hong Kong, Botswana, Belgium and Israel, while suspected cases have been reported in the Czech Republic and Germany.Dutch officials said 61 people on two flights from South Africa to Amsterdam tested positive for Covid-19 on Saturday, but it was not clear if they were infected with the new variant. China did not announce any new travel restrictions in response to the variant but the country has one of the strictest restrictions on border entry and flights. It has also introduced a flight suspension mechanism if there are more than five positive cases on board.
    Sanjaya Senanayake, associate professor of medicine at the Australian National University, said Omicron was troubling because of its high number of mutations. Research indicated that it had 32 spike protein mutations, compared with the 13 to 17 seen in the more prevalent Delta variant.
    “Some of these mutations can increase transmissibility of the variant, while others can help it evade the immune system: a worrying combination,” he told the Australian Science Media Centre. In a post on the website of Imperial College in London, Neil Ferguson, director of the college’s MRC Centre for Global Infectious Disease Analysis, said such a number of mutations in the spike protein gene was “unprecedented”. According to the WHO, early signs indicate an increased risk of reinfection from Omicron compared to other highly transmissible variants – meaning people who have had Covid-19 and recovered could be at greater risk of catching it again with Omicron.The WHO said studies were under way in South Africa and other countries to better understand the variant in terms of transmissibility, severity and any impact on the use of diagnostics, therapeutics and vaccines.US infectious disease chief Anthony Fauci said that while the reports on the new variant threw up a “red flag”, it was possible that vaccines might still work to prevent serious illness.

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  • Coronavirus: Hong Kong further tightens quarantine rules on arrivals from 8 African nations in fight against new ‘Omicron’ variant | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/hong-kong/health-environment/article/3157589/coronavirus-unvaccinated-hongkongers-could-find

    Coronavirus: Hong Kong further tightens quarantine rules on arrivals from 8 African nations in fight against new ‘Omicron’ variant. City residents returning from South Africa, Botswana and six other nations must spend the first of three weeks of quarantine at a government facility
    Hong Kong has further tightened quarantine rules for its residents arriving from eight African countries following the detection of a new, highly infectious coronavirus variant, requiring them to complete the first week of their mandatory confinement in a government facility. The Centre for Health Protection said on Saturday that Hong Kong residents arriving from South Africa, Botswana, Eswatini, Lesotho, Mozambique, Malawi, Namibia and Zimbabwe would immediately be sent to Penny’s Bay quarantine centre. The measure takes effect on Sunday.

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  • South Africa complains flight bans are ‘punishment’ for it detecting Omicron, new Covid-19 variant | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/article/3157617/south-africa-complains-flight-bans-are-punishment-it-detecting-omicron-new

    South Africa complains flight bans are ‘punishment’ for it detecting Omicron, new Covid-19 variant. Many nations have banned flights from countries in southern Africa; South Africa government says ‘science should be applauded, not punished’ . South Africa has complained it is being “punished” for detecting a new Covid-19 variant which the World Health Organization has termed a “variant of concern” and is more transmissible than the dominant Delta strain. The decision by a host of countries to ban flights from southern Africa following the discovery of the Omicron variant “is akin to punishing South Africa for its advanced genomic sequencing and the ability to detect new variants quicker,” the foreign affairs ministry said in a statement.“Excellent science should be applauded and not punished,” it said, adding that new variants had been discovered in other parts of the world.“Each of those cases have had no recent links with Southern Africa, but the reaction to those countries is starkly different to cases in Southern Africa,” it said.The variant was first discovered in South Africa and has since been detected in Belgium, Botswana, Israel and Hong Kong.UK bans travel from South Africa after emergence of new heavily-mutated Covid-19 variant
    A minister in the German state of Hesse said on Saturday that the variant had very probably arrived in Germany, in a traveller returning from South Africa. Czech health authorities said they were examining a suspected case of the variant in a person who spent time in Namibia.
    South Africa said its “capacity to test and its ramped-up vaccination programme, backed up by a world-class scientific community should give our global partners the comfort that we are doing as well as they are in managing the pandemic”.Anxious travellers thronged Johannesburg international airport, desperate to squeeze onto the last flights to countries that had imposed sudden travel bans. Many had shortened their holidays and rushed away from South African safaris and vineyards. “It’s ridiculous, we will always be having new variants,” said British tourist David Good, passport in hand. “South Africa found it but it’s probably all over the world already.”The main countries targeted by travel shutdowns include South Africa, Botswana, eSwatini, Lesotho, Namibia, Zambia, Mozambique, Malawi and Zimbabwe.Scientists are now racing to determine the threat posed by the heavily mutated strain, and whether current vaccines should be adjusted. Markets and oil prices around the world plunged on Friday as news of the latest setback in the fight against the pandemic sank in.
    US President Joe Biden said countries should donate more vaccines and give up intellectual property protections to manufacture more doses worldwide.
    “The news about this new variant should make clearer than ever why this pandemic will not end until we have global vaccinations,” he said.The WHO said it could take weeks to understand the variant and cautioned against imposing travel curbs while scientific evidence was still scant.But many countries around the world, including the US, Australia and Japan, moved to try to clamp down on the new variant by restricting flights.EU officials agreed in an emergency meeting to urge all 27 nations in the bloc to restrict travel from southern Africa, with many members having already done so.

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  • Coronavirus: Omicron variant fears prompt Australia, Japan, Philippines, Thailand to impose new travel curbs | South China Morning Post
    https://www.scmp.com/news/asia/australasia/article/3157590/coronavirus-omicron-variant-fears-prompt-australia

    Coronavirus: Omicron variant fears prompt Australia, Japan, Philippines, Thailand to impose new travel curbs. The restrictions are similar to those brought in by Singapore, Hong Kong and elsewhere after the discovery of the new variant triggered global alarm on Friday
    Australia imposed new restrictions on Saturday on people who have been to nine southern African countries, a day after the Philippines made a similar move, as the new Omicron variant raises concerns about another wave of the coronavirus pandemic.Effective immediately, the Australian government will ban non-citizens who have been in South Africa, Namibia, Zimbabwe, Botswana, Lesotho, eSwatini, the Seychelles, Malawi and Mozambique from entering and will require supervised 14-day quarantines for Australian citizens and their dependents returning from the countries, said Health Minister Greg Hunt. These restrictions also apply to people such as international students and skilled migrants arriving from countries with which Australia has travel bubbles, who have been in any of the nine countries within the past 14 days.Anyone who has already arrived in Australia and who has been in any of those countries within the past 14 days must immediately isolate and be tested.The Australian government will also suspend all flights from the nine southern African countries for two weeks.
    Meanwhile, Japan said it would tighten border controls for the southern African nations of Mozambique, Malawi and Zambia, requiring a 10-day quarantine for any entrants, the Foreign Ministry said on Saturday.
    The new rules, taking effect from midnight, come a day after Japan tightened border controls for those arriving from South Africa, Botswana, Eswatini, Zimbabwe, Namibia and Lesotho.
    The Philippines has also suspended flights from South Africa and six other countries – Botswana, Namibia, Zimbabwe, Lesotho, eSwatini, and Mozambique – until December 15, Cabinet Secretary Karlo Nograles said in a statement on Friday night. Passengers who have visited any of these countries in the 14 days before their arrival will also be temporarily barred from entry, he said. Earlier in the day, the Philippines had announced the reopening of borders to tourists from what it considers low-risk areas, as part of an easing of restrictions after weeks of declining coronavirus infections.Thailand said on Saturday it would also ban the entry of people travelling from eight countries – Botswana, eSwatini, Lesotho, Malawi, Mozambique, Namibia, South Africa and Zimbabwe – from December.
    “We have notified airlines and these countries,” senior health official Opas Karnkawinpong told a news conference. “Those that have already been approved to enter the country from these eight countries will be ordered to undergo an additional 14-day mandatory quarantine, starting now,” Opas said.People from other African countries who have already secured approval to visit Thailand will be subject to 14 days in hotel quarantine. No African countries are on a list of 63 nations eligible for quarantine-free travel to Thailand which started this month, Opas said.

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