city:alep

  • Syrie : attentat meurtrier contre des personnes évacuées [de localités pro-régime] près d’Alep
    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20170415-syrie-attentat-meurtrier-rachidine-personnes-evacuees-pres-alep

    « Le kamikaze conduisait une camionnette transportant de l’aide alimentaire et l’a fait exploser près des 75 bus » stationnés à Rachidine, secteur rebelle à l’ouest de la métropole, selon l’OSDH, précisant qu’il y avait aussi « plusieurs dizaines de blessés ».

    C’est à bord de ces bus que 5 000 personnes avaient été évacuées vendredi de Foua et Kafraya, deux localités loyalistes assiégées par les rebelles, en vertu d’un accord qui a permis l’évacuation simultanée de deux localités rebelles assiégées par le régime.

    • Toujours faire appel à un expert pour rappeler les fondamentaux :

      D’autres sources considèrent par ailleurs que ce genre d’attaque sert aussi le régime, car elle finit de convaincre les Syriens que cette guerre n’a rien à voir avec une révolution. Cela justifie aussi sa guerre contre le terrorisme et confirme la thèse selon laquelle le régime est victime de terrorisme.

      Ohhhh…

  • Kurds make game changing exchange in northern Aleppo to help rebel forces
    https://www.almasdarnews.com/article/kurds-make-game-changing-exchange-northern-aleppo-help-rebel-forces

    According to local activists in northern Aleppo, the Syrian Democratic Forces will hand-over the villages of Tal Rifa’at, Mennagh, Kafr Karmeen, Deir Jammal, Harbek, ‘Ayn Daqnah, and Mur’anez to the Free Syrian Army.

    Initially, the Syrian Democratic Forces seized these villages from the Turkish-backed rebels; however, in some strange agreement recently, these sites will be handed back over.

    These villages are located just north of the Syrian Arab Army’s (SAA) positions in the Al-Zahra’a Valley, which puts the latter in a rough situation as they prepare for their large-scale offensive in the ‘Anadan Plain.

    La plaine d’Anadan se trouve à mi-chemin entre Alep et, en direction du nord-ouest, les très célèbres ruines de Saint-Siméon (sublime site mais aussi très stratégique). Les FDS sont des kurdes soutenus par les USA, tout comme l’ASL. On note juste que ces révolutionnaires ont l’amabilité de faire à peu près ce qui arrange leurs commanditaires.

    #syrie

  • Hardline Islamists drove me from opposition back to Assad, says regime negotiator - Syria Direct
    http://syriadirect.org/news/hardline-islamists-drove-me-from-opposition-back-to-assad-says-regime-n

    Negotiation is a service for besieged people, not a service for the regime,” Omar a-Rahmoun argued in a recent tweet. Last December, Rahmoun signed the agreement on behalf of the Assad regime that saw rebel forces surrender east Aleppo and tens of thousands of civilians leave the besieged half of Syria’s second city.

  • Syrie : la tache de Mélenchon - Libération
    http://www.liberation.fr/elections-presidentielle-legislatives-2017/2017/04/10/syrie-la-tache-de-melenchon_1561713

    Au passage, il remettait en cause le fait que les frappes russes se concentrent davantage sur les rebelles que sur l’Etat islamique. La preuve de son erreur : Alep est tombé, mais Raqqa non. L’unilatéralité des Etats-Unis qu’il condamne ne le gêne pas quand il s’agit de celle des Russes.

  • Sinon, ne jamais gâcher une bonne occasion de publier n’importe quoi : Bana Alabed après les frappes américaines en Syrie : "Nous ne voulons pas de Troisième Guerre Mondiale"
    http://www.huffingtonpost.fr/2017/04/07/bana-alabed-apres-les-frappes-americaines-en-syrie-nous-ne-vou_a_2203

    La petite fille, qui racontait son quotidien à Alep sur Twitter, a remercié Donald Trump de son intervention.

    INTERNATIONAL - Depuis la Syrie, où elle habitait, Bana Alabed, 7 ans, racontait son quotidien sous les bombardement. Désormais réfugiée en Turquie, la petite fille a réagi ce vendredi 7 avril sur Twitter aux représailles américaines, après l’attaque chimique de Khan Cheikhoun.

    « Je suis un enfant syrien, qui a souffert sous Bachar al-Assad et Poutine. Je remercie Donald Trump de son action contre les assassins de mon peuple », a posté la petite fille. « Poutine et Bachar al-Assad ont bombardé mon école, tué mes amis et volé mon enfance. Il est temps de punir les meurtriers des enfants en Syrie. »

    Au mois de janvier 2017, Bana Alabed avait adressé une lettre ouverte à Donald Trump, dans laquelle elle lui demandait d’intervenir en Syrie. « Vous devez faire quelque chose pour les enfants de Syrie parce qu’ils sont semblables à vos enfants et méritent de vivre en paix comme vous », écrivait-elle alors. Et si le président n’avait pas directement répondu à son courrier, il semble aujourd’hui avoir répondu à ses attentes.

    Apparemment, pas d’autre reprise en français. On a dû se dire que, les bombardements américains ayant commencé, ce n’était pas nécessaire d’en faire trop.

  • سورية : مصادر تؤكد أن انفجار معمل لتصنيع المواد الكيماوية والغازات السامه تابع للمجموعات المسلحة وراء حادثة مقتل العشرات في خان شيخون في ادلب.. الجيش السوري ينفي امتلاكه أسلحة كيماوية وروسيا تنفي تنفيذها غارات على المنطقة | رأي اليوم
    http://www.raialyoum.com/?p=650705

    Au risque de passer encore plus pour un dangereux suppôt de Bachar, je relève cette info, donnée à Beyrouth par « une source militaire syrienne » selon laquelle les victimes de Khan Cheikhoun seraient mortes à la suite de l’explosion d’une usine fabriquant des armements chimiques.

    #syrie

    • Rebel warehouse with chem weapons hit by Syrian airstrike in Idlib – Russian MOD — RT News
      https://www.rt.com/news/383522-syria-idlib-warehouse-strike-chemical

      The Syrian Air Force has destroyed a warehouse in Idlib province where chemical weapons were being produced and stockpiled before being shipped to Iraq, Russia’s Defense Ministry spokesman said.
      The strike, which was launched midday Tuesday, targeted a major rebel ammunition depot east of the town of Khan Sheikhoun, Russian Defense Ministry spokesman Major-General Igor Konashenkov said in a statement.

      The warehouse was used to both produce and store shells containing toxic gas, Konashenkov said. The shells were delivered to Iraq and repeatedly used there, he added, pointing out that both Iraq and international organizations have confirmed the use of such weapons by militants.

    • Attaque « chimique » en Syrie : la Russie accuse l’aviation syrienne - Le Point
      http://www.lepoint.fr/monde/attaque-chimique-en-syrie-reunion-d-urgence-du-conseil-de-securite-05-04-201

      Attaque « chimique » en Syrie : la Russie accuse l’aviation syrienne
      D’après Moscou, c’est une frappe sur un « grand entrepôt terroriste » contenant des « substances toxiques » qui aurait provoqué la mort d’au moins 72 personnes.

      Voilà, les avions Syriens n’avaient qu’à pas bombarder cet entrepôt où des gens pas criminels pour un sou produisaient des armes chimiques légales.

      Pendant ce temps, on cause pas de Mossoul et des massacres collatéraux et chirurgicaux en cours de civils.

    • Pourquoi toujours accuser Assad alors que les fameux rebelles vrais djihadistes assistés de faux docteurs journalistes demandent le carpet bombing censé liberé ce pays d’un soit disant tyran comme si on oubliait les nombreux mensonges avant les conflits destructions de pays Irak, Yougoslavie, Serbie, Afghanistan, Somalien Soudan, Lybie, et Syrie :
      https://sansapriori.net/2017/04/06/1723-syrie-idlib-cette-etrange-attaque-chimique-qui-rappelle-limposture-de-ghouta/#respond Il serait temps que s’arrête ce jeu de massacre sans fin depuis le 114 septembre 2001 ou selon le real « body-count » au moins 5 000 000 de musulmans, minorités religieuses ou ethniques, sont sacrifié au nom du Pétrole du Gaz et des Pipelines ! AMEN
      Quand à Mossoul malgré l’appel des habitants encore en vie, d’Amnesty International et des pays non alignés se sont des milliers de victimes qui vont grossir les rangs des damnés de la terre, et des mers en tant que réfugiés de guerre, que l’Occident nomme eurphémiquement des « migrants » comme si c’était des oiseaux migrateurs. Les mêmes qui criaient au génocide pour Alep la mouftent pour Mossoul https://sansapriori.net/2016/12/06/1377-alep-mossoul-ou-les-bons-mechants-sont-vus-differemment.

    • Le grand oubli des médias engagés dans le conflit dont l’Arabie Saoudite, Qatar et la France, Usa, Uk c’est que de nombreux terroristes faisaient fabriquer des armes chimiques dans des grottes ou des ancienne usines et dès 2016 vainement la Russie, Syrie ont tenté d’alerter de ce fait découvert quand Alep a été liberé de ces terroristes : https://www.rt.com/news/370653-syria-chemical-aleppo-militants-opcw ou des enfants ont été employés pour servir de petites mains à leur service mais nos médias « no news » ne parlent que d’un seul côté : https://www.rt.com/news/367797-lavrov-chemical-weapons-aleppo A qui profite le crime ? https://www.rt.com/op-edge/383524-syria-idlib-chemical-attack-rebels Facile de savoir puisque les financeurs de cette guerre ou agression contre un pays décident des lignes rouges et donc fabriquent le problème en amont pour prétendre ensuite le résoudre avec des moyens militaires dit « guerres humanitaires » ou R2P !
      Voici un documentaire de 2013 fait par un journaliste (un rare ) qui a enquêté sur les manoeauvres des rebelles financés par les bailleurs de fonds du Qatar ou l’Occident .https://bbcpanoramasavingsyriaschildren.wordpress.com
      Voici comment nos grandes démocraties (mode ironique) colonisent des pays arabes indépendants en les accusant de crimes que les bailleurs de fonds commettent eux mêmes ..Astucieux ça rappelle les ADM, Charniers de Timisoara, le soit disant génocide lybien qui cachait que Kaddafhi voulait larguer le dollar et établir le dinar africain comme on sait maintenant que Saddam Hussein voulait payer le pétrole en euro au lieu du dollard. l’Histoire se répète sans fin, les peuples oublient les anciens mensonges pour sauter à pieds joints dans les nouveaux .Résultat ? Des millions de morts, déplacés, persécutés, instrumentalisés par les ONG ...

  • Mossoul : plus de 300.000 personnes déplacées
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2017/04/04/97001-20170404FILWWW00095-mossoul-plus-de-300000-personnes-deplacees.php

    Plus de 300.000 personnes ont été contraintes de fuir Mossoul, la grande ville du nord de l’Irak, depuis le début de l’offensive des troupes irakiennes pour en chasser les djihadistes de l’Etat islamique qui l’occupent depuis 2014, rapportent les Nations unies aujourd’hui.

    Les sièges et les bombardements qu’on a le droit. A ne pas confondre avec ce qu’il se passait à Alep, évidemment.

  • Older Syrian Refugee Dies Waiting for Family Reunification

    Fatima, 62 years old, fled persecution and the destruction of her city of Aleppo, Syria, with the dream of reuniting with her daughter and grandchildren in Germany. She survived the treacherous journey to Greece, but border restrictions in the Western Balkans stranded her there. She died last week in Athens, still waiting to reunite with her family.


    https://www.hrw.org/news/2017/03/21/older-syrian-refugee-dies-waiting-family-reunification
    #unité_familiale #asile #migrations #réfugiés #regroupement_familial #Grèce #Balkans

    • http://www.lemonde.fr/syrie/article/2016/07/20/en-syrie-la-pire-bavure-de-la-coalition-anti-ei_4972195_1618247.html

      Comparablement le fait qu’un bombardement ait fait 240 vitcimes civiles trois jours après l’attentat de Nice n’avait pas fait grand bruit (et je suis étonné que cet article du Monde que j’avais archivé juste après sopit toujours présent, j’ai l’impression que c’est une erreur de leur part, genre, on doit absolument cacher cet article du coup il passe sous la paywall haituel des archives.

      Du coup pour moi ce fait de guerre ou de terrorisme d’état avait déclenché chez moi la rubrique Qui ça ?:

      Mais même quand on ne regarde pas la télévision, on la regarde encore de trop. Et quand on regarde trop la télévision, on ne peut pas réfléchir posément à tout ça. Parce que, par exemple, ce n’est pas à la télévision que l’on apprend que trois jours après l’attentat de Nice, le 14 juillet 2016 (J – 295), l’armée de l’air française a bombardé et tué 240 civils à Mambij, en Syrie, dans la région d’Alep, était-ce par maladresse, mauvais renseignement ou simple fait de guerre impondérable, je doute même qu’il y ait une enquête pour l’établir, pourquoi, en effet, devrions nous nous émouvoir d’un bilan trois fois supérieur à celui qui déclenche un deuil national de trois jours en pleines vacances scolaires d’été, j’essaye de garder tout mon calme — « Nous prenons toutes les dispositions pendant nos missions pour éviter ou minimiser les pertes civiles … » est-il écrit dans un communiqué de la coalition suite à ce bombardement, tout est dans le ou qui dit clairement qu’il n’a jamais été question, en fait, d’éviter les pertes civiles, qui, de fait, sont largement acceptables, elles finiront par devenir souhaitées. De toute façon, pour nous les Français, une victime civile syrienne n’a pas le même poids, la même valeur, qu’une victime française, je suis moi-même victime de cette façon de penser en notant que 240 c’est le triple, peu ou prou, du nombre de victimes de l’attentat de Nice, on ne compte pas les victimes, on les pleure.

  • « L’Autre Côté de l’espoir » : Aki Kaurismäki, désarmer le désespoir
    http://www.la-croix.com/Culture/Cinema/LAutre-Cote-lespoir-Aki-Kaurismaki-desarmer-desespoir-2017-03-14-120083185

    Six ans après « Le Havre », le cinéaste finlandais sonde toujours l’humanité d’une Europe ambivalente face au malheur des réfugiés.

    Ours d’argent du meilleur réalisateur à la dernière Berlinale, Aki Kaurismäki poursuit dans cette veine avec un nouveau long métrage dont les premières images montrent un homme au visage charbonné, s’extrayant du ventre d’un cargo pour se glisser dans la nuit.

    Le quai n’est plus français, mais finlandais. L’ombre discrète ne vient plus d’Afrique mais de Syrie. Elle se dirige tout droit vers les douches publiques, et de là au commissariat le plus proche, pour demander asile. Derrière sa machine à écrire et la fumée de sa cigarette, un barbu blond en uniforme lui répond : « ça coûte rien d’essayer. Vous êtes pas le premier. »

    Khaled fuit la guerre, Wikhström sa femme. Ce représentant de commerce, spécialisé dans la chemise pour homme, bazarde son stock et en joue le prix au poker dans une arrière-salle interlope...

    • Avec une image très construite et un montage très précis, Aki Kaurismäki dénonce un système d’accueil de réfugiés capable de renvoyer chez eux des réfugiés fuyant des pays en guerre. Et même si le long métrage L’autre côté de l’espoir traite ce sujet sur le ton de la comédie et en musique, Aki Kaurismäki n’en oublie pas pour autant la réalité plutôt sombre du statut de migrants actuellement en Europe et ce, malgré le soutien que reçoit Khaled par le patron de restaurant Wikhström et son équipe.

      En effet, alors que de nombreuses pauses musicales ponctuent le film à travers des sets filmés en entier, la magnifique chanson interprétée par Haji avec un saz est interrompue, comme si la Finlande, et donc l’Europe, ne voulait plus entendre les voix et les douleurs de ces migrants.

      Ainsi, avec le film L’autre côté de l’espoir , Aki Kaurismäki propose une nouvelle fois un regard décalé sur le sort réservé aux exilés par nous, les européens, à travers la réalisation d’un film drôle, burlesque et à la playlist musicale toujours aussi sympa.

      http://bullesdeculture.com/2017/03/critique-l-autre-cote-de-l-espoir-aki-kaurismaki.html

      Chez Kaurismäki, cafés ou restaurants sont les meilleurs lieux pour refaire le monde : gargote d’Au loin s’en vont les nuages , soupe populaire de l’Homme sans passé et désormais brasserie défraîchie de L’Autre Côté de l’espoir.
      C’est là que Khaled, réfugié syrien menacé d’expulsion, va pouvoir construire une nouvelle vie, sous la protection du patron, homme en quête d’un second souffle. Kaurismäki distribue avec sobriété et élégance couleurs et mots pour composer cette délicate fable humaniste. Il y a bien des fonctionnaires obtus, des fachos qui traquent l’immigré, mais le cinéaste leur oppose la solidarité et un humour qui flirte avec le burlesque. Si Khaled, rescapé d’Alep, paraît dans le film l’âme brûlée et le corps couvert de charbon, il en ressort comme lavé de sa détresse, un sourire aux lèvres. Et nous avec lui.

      Frédéric Theobald pour la Vie

      http://www.telerama.fr/cinema/sherwan-haji-un-destin-kaurismakien,155435.php

    • Si Khaled, rescapé d’Alep, paraît dans le film l’âme brûlée et le corps couvert de charbon, il en ressort comme lavé de sa détresse, un sourire aux lèvres.

      Et un couteau dans le ventre, blessure dont on ne sait pas s’il va réchapper. Il faudrait être un peu attentif tout de même. Ca permetterait notamment d’éviter de qualifier ce film de comédie, je ne pense pas que ce soit son but (faire rire), même si, de fait, la scène du restaurant japonais est délirante, je crois au contraire que la fonction de ce récit est toute autre, désespérée presque.

    • Oui, @philippe_de_jonckheere j’ai vu le film L’Homme sans passé hier sur Arte et je partage l’idée que le cinéaste finlandais estompe dans ses films cet épais désespoir qui forme l’encre noire de son œuvre : « À quoi sert le pessimisme lorsque tout espoir est perdu ? »

      Selon le comédien Sherwan Haji : « la tristesse d’Aki Kaurismäki en tant qu’homme, sa vulnérabilité sont liées à l’absurdité du monde. Il y a un peu du Don Quichotte en lui. Il veut sauver ce que beaucoup de gens ont presque oublié : leur humanité ».

  • Analysis: Politics of Class and Identity Dividing Aleppo – and Syria

    This week marked the end of the sixth year of the war in Syria. On this terrible anniversary we examine the deepening economic, social and other divisions that make it so difficult for refugees to return to Aleppo, the city that has become a bellwether for the country’s future.

    https://www.newsdeeply.com/refugees/articles/2017/03/17/analysis-politics-of-class-and-identity-dividing-aleppo-and-syria-2
    #Alep #Syrie

  • Monsieur Anis | Making-of
    https://making-of.afp.com/monsieur-anis

    Alep, Syrie — Il y a des hommes, des rêves, et des objets plus forts que la guerre, et Mohammed Mahiedine Anis, sa collection de voitures anciennes, sa pipe et son phonographe, en font partie.

    Le collectionneur avait fait l’objet d’un reportage vidéo à Alep, il y a un peu plus d’un an, par mon collègue syrien et photographe Karam Al-Masri. Nous l’avons retrouvé avec le directeur du bureau de Beyrouth, Sammy Ketz et le JRI de Damas, Youssef Karwashan. Ses voitures détruites, mais lui bien vivant, avec toujours ses rêves, sa pipe et sa musique.

    #Alep #Syrie #monsieur-Anis #afp

  • Frédéric Pichon : « L’avenir de l’Occident se joue en Syrie »
    Par Vianney Passot Mis à jour le 10/03/2017
    http://www.lefigaro.fr/vox/monde/2017/03/10/31002-20170310ARTFIG00134-frederic-pichon-l-avenir-de-l-occident-se-joue-en

    FIGAROVOX.- Dans votre livre , vous revenez sur ce conflit en Syrie qui dure depuis 2011. Pourquoi ce titre ?

    Frédéric PICHON.- J’ai effectué près d’une dizaine de séjours depuis 2011, à Damas, Homs, Alep, Suweida, Lattaquié ou Tartous : c’est cette impression de gâchis qui m’est venue à l’esprit lors qu’il s’est agi de trouver un titre. En particulier lors d’un séjour à Alep fin janvier où j’ai achevé mon manuscrit…Ce conflit a éclaté il y a tout juste 6 ans. Il a mis à bas les infrastructures du pays, déplacé plus de la moitié de la population syrienne, forcé ses élites à l’émigration et fait près de 400 000 victimes selon moi. Admettons que les revendications de départ aient été aussi celles de davantage de partage des richesses et de libertés publiques (je crois qu’elles ne furent pas essentielles ni générales) : le résultat est tout autre.

    Tout ça pour ça…

    La Syrie, jadis relativement épargnée par l’extrémisme sunnite, est devenu un de ses sanctuaires, le niveau de vie s’est effondré et la corruption s’est généralisée. Les politiques et les intellectuels qui s’étaient beaucoup investi (surtout verbalement il faut le dire) dans un conflit qui « fonctionnait » très bien pour leur univers mental post historique et droits-de-l’hommiste ont vu toutes leurs prévisions déjouées, leurs actions entravées. Tout ça pour ça… C’est-à-dire devoir se résoudre à admettre que la Russie faisait peut-être partie de la solution, que le départ d’Assad n’était peut-être pas un préalable réaliste (même Emmanuel Macron, véritable machine à recycler les néoconservateurs français l’a reconnu) et qu’enfin entre deux maux il faut choisir le moindre... Tout cela aurait pu être évité. Voilà où nous en sommes aujourd’hui . A Palmyre, des dizaines de frappes américaines ont précédé la reprise du site par les forces spéciales russes, les Syriens et même le Hezbollah. En prévision de l’assaut sur Raqqa, les Marines sont en train de se coordonner avec les Russes, tandis que les Kurdes entraînés par le Pentagone ont fait leur jonction avec l’armée syrienne. (...)

  • Romain Caillet | « L’Etat islamique va s’installer durablement en Irak et en Syrie »
    http://www.saphirnews.com/L-Etat-islamique-va-s-installer-durablement-en-Irak-et-en-Syrie_a19229.h

    Aaah la mémoire du Web ! Ces propos d’un expert ont deux ans et demi. #bêtisier

    Donc l’EI pourrait s’installer durablement en Irak ?
    Romain Caillet : Oui, je pense que l’EI va s’installer durablement. Les sunnites savent que l’EI est leur seul espoir de redevenir maîtres chez eux. Ils ont certes un désavantage démographique en Irak, mais c’est l’objectif de l’EIIL que de fusionner avec la Syrie pour inverser le rapport démographique et avoir un Etat sunnite à cheval entre l’Irak et la Syrie. Peut-être que des gens plus modérés que l’EI prendront leur place. Mais je pense que le Moyen-Orient tel qu’on le connaissait est fini, que les frontières régionales issues des accords de Sykes-Picot (signés en 1916 entre la France et la Grande-Bretagne pour le découpage des frontières du Moyen-Orient, ndlr) n’existeront plus.

    L’idée que les frontières vont disparaître n’est pas nouvelle. Walid Joumblatt, le leader druze, avait déjà émis cette idée quand a commencé la révolution en Syrie (en 2011, ndlr). Et Robert Fisk l’a reformulée dans un article pour The Independant, il y a quelques semaines, quand l’EI a rasé au bulldozer un mur de sable qui faisait office de frontière entre l’Irak et la Syrie.

    L’EI va-t-il aussi durablement s’installer en Syrie ?
    Romain Caillet : Bien sûr. Actuellement, ils occupent quasiment 90 % de la région de Deir Ezzor (est de la Syrie, ndlr). Globalement, la vallée de l’Euphrate, où il y a des populations culturellement très proches des sunnites irakiens, est clairement sous contrôle de l’EI. Il y a une cohérence historique dans un Etat comme celui-là. En Syrie, la vallée de l’Euphrate est peuplée de tribus qui ont été sédentarisées de force avec le tracé des frontières, et ces tribus nomades étaient à cheval sur l’Irak et la Syrie. J’ai fait des entretiens avec des gens qui ne sont pas proches de l’EI, mais qui se sentent appartenir à une tribu, qui se sentent bédouins avant d’être Syriens et ils se sont toujours sentis plus proches des Irakiens que des Syriens de Damas ou du littoral, sans même parler de la question confessionnelle. Parce qu’au-delà, il y aussi une culture qu’ils ont en commun.

    Après, est-ce que l’EI a la possibilité de s’installer plus loin que la vallée de l’Euphrate ? Je ne le sais pas. A l’ouest d’Alep et dans la région d’Idlib, où les populations se sentent pleinement syriennes, et pas du tout proches des Irakiens, il y a un gros rejet de l’EI.

  • Congrès National de l’Opposition Démocratique de Syrie, 15-17 Avril à Genève
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article3040

    Le contexte s’y prête à une reprise des activités de l’opposition démocratique syrienne. Le mandat du haut comité des négociations créé lors de la crise et mis sous la coupe saoudienne a expiré en décembre 2016. Cette instance n’est plus habilitée à de quelconques pourparlers au nom de l’ensemble de l’opposition. Les travaux de la composante de Moscou est une instance consultative entre l’opposition et le pouvoir. L’instance du Caire est aussi inopérante, elle a été neutralisée par les efforts conjoints de (...)

    international, suivi, grand événement, internationaux, monde, continent, Etats, conflits, paix,

    / #Syrie,_opposition,_Turquie,_Qatar,_armée,_Alep,_Damas,_Bashar_Al-Assad,_Liban, journaliste, poète, poésie, livre, écrits, #diplomatie,_sécurité,_commerce,_économie_mondiale, Terrorisme , (...)

    #international,suivi,_grand_événement,_internationaux,_monde,_continent,_Etats,_conflits,_paix, #_journaliste,_poète,_poésie,_livre,_écrits #Terrorisme_,_islamisme,Al-Qaeda,politique,_ #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion,_perdition #France_Sarkozy_justice_politique_scandale_UMP_PS_PCF
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/IMG/pdf/Opposition_syrienne_communique_1.pdf

  • The Syrian war shakeout is changing the Mideast’s balance of power - Middle East News

    Turkey’s intervention has created a rift with Iran, Jordan-Syria ties are tightening and America’s absence could weaken the Saudis. The alliances emerging in Syria will determine the fate the region.

    Zvi Bar’el Feb 27, 2017 1
    read more: http://www.haaretz.com/middle-east-news/.premium-1.773974

    Secondary relationships born of the Syrian civil war could have a greater impact on the future of the country and the region than the war itself. While the warring parties are busy holding onto and expanding territorial gains, finding funds and arms and jockeying for position in future negotiations, the smaller players are crafting long-range strategies that will divide the region à la the 1916 Sykes-Picot Agreement.
    The secondary relationships are alliances and rivalries that developed between global powers such as Russia and the United States, and between local powers such as Iran, Turkey and Saudi Arabia. But the term is inaccurate in a sense because the Syrian war has long become a proxy war in which the payer of the bills dictates the military movements while changing proxies based on battlefield success.
    More importantly, the alliances between the sponsors and “their” militias create the balance of political forces between the powers. For example, Russia uses the Kurds in Syria as a bargaining chip against Turkey, whose cooperation with the Free Syrian Army creates a rift between Ankara and Tehran. Meanwhile, Jordan’s strikes on the Islamic State in southern Syria boost the Russian-Jordanian coalition and Jordan’s ties with the Assad regime − and everyone is looking ahead to "the day after.”
    The latest development puts Turkish-Iranian relations to the test. Speaking at the Munich Security Conference a week ago Sunday, Turkish Foreign Minister Mevlut Cavusoglu called on Iran to stop threatening the region’s stability and security. The remark wasn’t only unusually blunt but also seemed to come from an American talking-points page. Iranian Foreign Ministry spokesman Bahram Ghasemi responded the next day, warning that while Turkey was an important neighbor, “there is a certain cap to our patience.”
    Tehran and Ankara are deeply divided over the Assad regime, and particularly over whether the Syrian president should stay on after a negotiated settlement. But these disagreements didn’t affect the two countries’ bilateral trade of some $10 billion a year.
    Iran was the first country to denounce the failed coup attempt in Turkey last July, and President Hassan Rohani is on track for a fourth visit to Ankara in April. Tehran and Ankara share an interest in preventing the establishment of an independent Kurdish region in Syria that could inspire the Kurds in Iran and Turkey.
    But Ankara and Tehran are each deeply suspicious of the other’s strategic ambitions. Turkey believes that Iran seeks to turn Iraq and Syria into Shi’ite states, while Iran is sure that Turkish President Recet Tayyip Erdogan dreams of reestablishing the Ottoman Empire.
    The Iranians were apprehensive about the liberation, by Turkish forces and the Free Syrian Army, of al-Bab, a city around 30 kilometers from Aleppo, even though the defeated party was the Islamic State. The Iranians were worried because control over al-Bab, whose liberation the Free Syrian Army announced Friday, opens up the route critical to retaking Raqqa, the Islamic State’s capital in Syria. Control over al-Bab is also key for taking control of the Iraq-Syria border, which Tehran views as critical.

    #syria #russia #iran

  • The rise and fall of a US-backed rebel commander in Syria
    https://www.ft.com/content/791ad3bc-ecfc-11e6-930f-061b01e23655

    “People have this perception the Americans weren’t very involved [in Syria]. But that’s not true — they were, and to a minuscule level of detail for a while in places like Aleppo when [the CIA programme] started,” a regional diplomat says. “The problem with American policy in Syria was in some ways the same as it always was: all tactics, no strategy . . . It was a mess."

    [...]

    He says commanders regularly inflated their forces’ numbers to pocket extra salaries, and some jacked up weapons requests to hoard or sell on the black market. Inevitably, much of that ended up in Isis hands. Other groups cut in Jabhat al-Nusra on deals to keep it from attacking them. “The CIA knew about this, of course, everyone in MOM did. It was the price of doing business.”

  • Après la chute d’Alep, l’avenir de plus en plus incertain de la #Syrie
    https://www.mediapart.fr/journal/international/230217/apres-la-chute-d-alep-l-avenir-de-plus-en-plus-incertain-de-la-syrie

    Deux mois après la chute d’Alep, les perspectives d’une résolution du conflit syrien sont plus lointaines que jamais, tandis que la situation sur le terrain poursuit sa déliquescence. La conférence d’Astana en janvier a marqué l’effacement de l’opposition politique. La conférence de Genève qui débute de 23 février pourrait encore renforcer le rôle des parrains de #damas.

    #International #Alep #Beyrouth #Daech #front_al-Nosra #guerre #humanitaire #Idlib #Liban #ONG #Palmyre #Proche-Orient #Wadi_Barada

  • Syrie : le plan français d’aide aux rebelles
    Par Georges Malbrunot Mis à jour le 22/02/2017 à 21:08
    http://www.lefigaro.fr/international/2017/02/22/01003-20170222ARTFIG00368-syrie-le-plan-francais-d-aide-aux-rebelles.php

    INFO LE FIGARO - Une note confidentielle du Quai d’Orsay esquisse ce que doit être la position française après la cuisante défaite des rebelles d’Alep, fin décembre.

    Comment la France compte-t-elle sauver l’opposition syrienne dans ses derniers bastions ? Le Figaro publie une note confidentielle rédigée par le ministère des Affaires étrangères qui esquisse ce que doit être la position française après la cuisante défaite des rebelles d’Alep, fin décembre.

    Paris affiche deux priorités : aider les rebelles dans les « zones libérées » de Syrie - dans la province d’Idleb au nord-ouest et dans le sud frontalier de la Jordanie. Et torpiller la reconstruction de la « Syrie unitaire », option préconisée par la Haute représentante de l’Union européenne, Federica Mogherini.

    Problème : les radicaux islamistes et les djihadistes font souvent la loi dans ces zones libérées dont Paris veut aider à la reconstruction. Le pari français est dangereux, répondent plusieurs chercheurs qui ont lu pour nous cette note du Quai d’Orsay. Même isolée sur le dossier syrien, Paris campe fermement sur sa position : entraver « le projet russo-iranien » en Syrie, affirme la note dont Le Figaro publie des extraits.

  • En #Syrie, « on laisse de nouveau la place aux plus fanatiques »
    https://www.mediapart.fr/journal/international/190217/en-syrie-laisse-de-nouveau-la-place-aux-plus-fanatiques

    À quelques jours d’un nouveau round de négociations sur la Syrie à Genève, #Abdelahad_Astepho, un des principaux responsables de l’opposition syrienne, évoque les difficultés de son mouvement après la chute d’Alep, face aux groupes djihadistes revigorés, une diplomatie russe agressive et un département d’État américain aphone pour cause de séisme présidentiel.

    #International #Astana #Front_Fatah_al-Cham #Hezbollah #Iran #Moyen-Orient #Russie #turquie

  • La Russie en Syrie : un superbe documentaire vidéo sur les soldats tchétchènes à Alep
    http://vilistia.org/archives/13595

    Par Sayed Hasan – Le 29 janvier 2017 – Source sayed7asan Tandis que les aboyeurs et moralisateurs patentés continuent leur office et versent des larmes de crocodile sur le drame syrien qu’ils ont façonné de leurs propres mains, continuant à … Lire la suite →

    #*_VIDEOS_ICI #SYRIE_ARMEMENT

  • Bab, Raqqa, la face arrière des enjeux militaires…-Kedistan
    http://www.kedistan.net/2017/02/15/bab-raqqua-enjeux-militaires

    @Ad Nauseam - L’agonie d’Alep avait suscité force polémiques politiques, sur fond de “compassion”, mêlant propagande pro et anti régime de Bachar, et réelles interrogations humanistes légitimes. Ce grand “je suis Alep“, à l’approche d’une date anniversaire du début du “soulèvement syrien” a pourtant quasi disparu des (...)

    #Kedistan / #Mediarezo

  • On the debris of Aleppo : a gloomy and uncertain reconstruction for Syria : an analysis
    http://cadmus.eui.eu/handle/1814/45146

    The current military map that has emerged following the fall of Aleppo, and the gradual purging of dozens of rebel towns in Rif Damascus in 2016, is the culmination of dynamics that were initiated as early as in 2013. They were accelerated following Russia’s direct military involvement in September 2015: the rise of Iranian and Russian presence on the ground; the disengagement of Gulf and Western countries; the gradual elimination of nonjihadist armed rebel forces; and the emergence of new spheres of influence (Turkish and Kurdish). Syria has in fact entered a new era, marked by the ultimate defeat of Syrian-Revolution forces that are now confined to increasingly narrow territorial pockets, and by the assertion of a new troika (Russia, Turkey and Iran) on both the military and diplomatic level. The conflict itself, however, seems to remain far from over.

  • Repenser l’internationalisme après Alep
    http://www.contretemps.eu/repenser-internationalisme-alep

    « La #Syrie et les Syriens se sentent abandonnés pas seulement par les États du monde « libre » mais aussi et surtout par les sociétés civiles occidentales. Le seul élan de solidarité remarquable et reconnaissable s’est traduit par l’engagement citoyen de certains pays, comme l’Allemagne et le Canada, pour gérer d’une manière décente la question des réfugiés en général et celle des Syriens en particulier . » (Salam Kawakibi, intellectuel franco-syrien originaire d’Alep, politiste et directeur adjoint de l’Arab Reform Initiative...

    Il appartient donc à la critique anticapitaliste de rappeler la dialectique du développement historique sur la longue durée telle qu’esquissée par Marx en 1859 dans sa Préface à la Critique de l’économique politique : « À un certain stade de leur développement, les forces productives matérielles de la société entrent en contradiction avec les rapports de production existants, ou, ce qui n’en est que l’expression juridique, avec les rapports de propriété au sein desquels elles s’étaient mues jusqu’alors. De formes de développement des forces productives qu’elles étaient, ces rapports en deviennent des entraves. Alors s’ouvre une époque de révolution sociale. »14 Le martyre d’Alep en est aujourd’hui l’illustration. La guerre en Syrie n’a rien d’un complot capitaliste ou impérialiste. S’il existe des auteurs indéniables d’exactions, de massacres et de crimes de guerre et/ou d’humanité, il n’en demeure pas moins que les origines historiques/sociales/structurelles de ce conflit sont bien plus profondes et viennent de loin. Et dans ces origines de longue durée, le mode de production capitaliste est incontournable.

    Une enquête historique approfondie et détaillée serait nécessaire pour en saisir toutes les médiations historiques. Mais, dans l’immédiat, en voici ici un seul des multiples aspects. Jean Jaurès expliquait à la tribune de la Chambre des députés le 7 mars 1895 que la société bourgeoise « porte en elle la guerre comme la nuée dormante porte l’orage ». Car « [t]ant que, dans chaque nation, une classe restreinte d’hommes possédera les grands moyens de production et d’échange, tant qu’elle possédera ainsi et gouvernera les autres hommes, tant que cette classe pourra imposer aux sociétés qu’elle domine sa propre loi, qui est la concurrence illimitée, la lutte incessante pour la vie, le combat quotidien pour la fortune et pour le pouvoir ; tant que cette classe privilégiée, pour se préserver contre tous les sursauts possibles de la masse, s’appuiera ou sur les grandes dynasties militaires ou sur certaines armées de métier des républiques oligarchiques, tant que le césarisme pourra profiter de cette rivalité profonde des classes pour les duper et les dominer l’une par l’autre, écrasant au moyen du peuple aigri les libertés parlementaires de la bourgeoisie, écrasant au moyen de la bourgeoisie gorgée d’affaires le réveil républicain du peuple ; tant que cela sera, toujours cette guerre politique, économique et sociale des classes entre elles, des individus entre eux, dans chaque nation, suscitera les guerres armées entre les peuples. C’est de la division profonde des classes et des intérêts dans chaque pays que sortent les conflits entre les nations. »

    Dimitris Fasfalis

    #Diaporama #Stratégie #droit #gauche #gauche_radicale #géopolitique #guerre #impérialisme #internationalisme #Moyen-Orient

    http://zinc.mondediplo.net/messages/50177 via Contretemps

  • Explosive Weapons in Populated Areas

    Armed conflicts are increasingly fought in population centres, but often with weapon systems that were originally designed for use in open battlefields. When used in populated areas, explosive weapons that have wide-area effects are very likely to have indiscriminate effects. They are a major cause of harm to civilians and of disruption of services essential for their survival.

    https://www.icrc.org/en/document/explosive-weapons-populated-areas-factsheet
    #armes #armement #rapport #conflits #guerres #civils
    cc @reka