city:ankara

  • The implications of the Andrey Karlov assassination
    http://www.aljazeera.com/indepth/opinion/2016/12/implications-andrey-karlov-assassination-161219225337066.html

    Although this assassination is a significant second blow to Turkish-Russian relations after the downing of the Russian jet, it is unlikely to impair these relations. Assessments of a World War III or analogies of Archduke Franz Ferdinand are also quite out of proportion.

    If anything, it will increase intelligence and security partnership between the two countries. Yet, the incident impairs Ankara’s ability to diplomatically pressure Russia either on the Aleppo evacuation, or its aftermath, or the role of Iran in post-war Syria.

    And finally, it opens up more extensive pressuring channels for Moscow to force Ankara to end any and all proxy relations in Syria, effectively cutting off Ankara from Aleppo or its aftermath.

    #Russie #Turquie

  • #turquie : le pouvoir renforce son black-out sur les #médias_kurdes
    https://www.mediapart.fr/journal/international/211216/turquie-le-pouvoir-renforce-son-black-out-sur-les-medias-kurdes

    En fermant une quarantaine de médias kurdes, Ankara a instauré un sévère blocus sur l’information en provenance du #Kurdistan_turc, où la guerre a repris depuis plus d’un an. Pour les journalistes encore en activité dans la région, couvrir un événement est devenu un parcours du combattant. À #Diyarbakir, trois d’entre eux relatent leur quotidien.

    #International #Erdogan

  • Ankara : le false flag flotte irrésistiblement
    http://www.dedefensa.org/article/ankara-le-false-flag-flotte-irresistiblement

    Ankara : le false flag flotte irrésistiblement

    Ils sont si nombreux à l’écrire qu’on s’en voudrait, pour cette fois dans tous les cas, de ne pas céder au charme très suspect du règne de la quantité ; Guénon ne nous en voudra pas car c’est vraiment, de notre part, très exceptionnel. Nous parlons bien entendu de l’assassinat de l’ambassadeur de Russie en Turquie, – terre d’élection, on le sait, puisque terre d’expérimentation, depuis fort longtemps, des cellules apparentées à Gladio et berceaux expérimental et originel de l’emploi de l’expression Deep State. Ces symboles anecdotiques purement gratuits pour un raisonnement rationnel finissent par influencer la recherche de la vérité-de-situation tant celle-ci vous sollicite dans le sens qu’on explore ici.

    Encore une anecdote... Lorsqu’une chroniqueuse aussi (...)

  • A few initial short thoughts on the murder of the Russian Ambassador to Ankara | The Vineyard of the Saker
    http://thesaker.is/a-few-initial-short-thoughts-on-the-murder-of-the-russian-ambassador-to-ank

    Okay, so tonight we have the name of the assassin, it is Mevlut Mert Aydintas, a 22 year old policeman who had been recently fired following the anti-Gulenist crackdown of Erdogan against the forces which had attempted to overthrow him recently. We also have a very useful video of the murder.

    That video of the attack also shows something very important: the only shots fired are those fired by the assassin. See for yourself:

  • Les enjeux politiques de la bataille de Mossoul - Noria Research
    http://www.noria-research.com/enjeux-politiques-de-bataille-de-mossoul

    Le PKK, allié aux milices chiites et à Bagdad, est de plus en plus présent dans les territoires disputés. Une partie de la branche yézidie du PKK, les Unités de protection du peuple (YBŞ, Yekîneyên Berxwedana Şengalê) est en effet accréditée par le ministère de la Défense dont elle reçoit ses salaires au même titre que le reste des milices chiites. Sous couvert de la lutte contre l’EI, ces unités permettent à Bagdad de contrer la réimplantation du PDK dans les territoires contestés. Profitant du vide politique dans certaines zones kurdes d’où l’EI se retire, le PKK développe ses institutions civiles et un modèle de gouvernance propre. Des camps d’entrainement lui permettent d’augmenter ses effectifs en cas d’avancées rapides. Son implantation dans le Sinjar par l’intermédiaire des YBŞ lui permet de se positionner en vue d’une possible implantation future dans les quartiers kurdes et yézidis de Mossoul.
    Enfin, la Turquie représente un autre acteur dans cette bataille. Elle cherche à contrer le PKK et l’arrivée des milices chiites dans le nord de l’Irak, par le déploiement d’un contingent militaire autour de Mossoul. Alliées au PDK, les forces turques ont équipé trois mille Arabes sunnites officiellement dirigés par l’ex-gouverneur de Mossoul, Atheel al-Nujafi. Cette milice leur permet d’intervenir dans les opérations sans l’accord de Bagdad et à l’écart de la coalition internationale dont Ankara se méfie.

  • Les Occidentaux, ces badauds diplomatiques d’une des plus graves crises de l’après-guerre (B. Badie)
    http://www.bruxelles2.eu/2016/12/15/syrie-les-occidentaux-ces-badauds-diplomatiques-dune-des-plus-graves-cris
    Accablant mais excellent

    Humainement, les souffrances de la population d’Alep couvrent toute autre considération. Politiquement, la déroute occidentale fait l’événement tant elle est accablante. Les vieilles puissances étaient jadis tour à tour les gendarmes, les administrateurs et les arbitres d’une région où, dès 1919, elles se considéraient chez elles.

    Elles se retrouvent aujourd’hui au rang de spectateurs impuissants, badauds diplomatiques d’une des crises les plus aiguës de la scène internationale d’après-guerre. Pire encore, incapables d’agir, elles sont en partie les responsables plus ou moins conscientes du drame. Réunions au Quai d’Orsay, missions parlementaires, bons sentiments rhétoriques : tout est bon pour servir de cache-misère. Mais la débâcle est là : il va falloir la gérer…

    Un mauvais départ et une naïveté diplomatique

    Peut-être convient-il d’abord de la comprendre. Convenir que le point de départ était absurde : brandir, la main sur le cœur, qu’on ne parlerait plus jamais au dictateur incriminé. Bonne ou mauvaise sur le plan éthique, la posture relevait de l’extrême naïveté diplomatique. Elle rendait impossible toute négociation, puisqu’elle l’excluait par avance et qu’elle brandissait le résultat avant même que ne commence le débat.

    Assortie de la certitude que Bachar al-Assad ne tiendrait que quelques semaines, elle devenait l’otage d’un pari risqué digne de turfistes ou de pelousards d’occasion. Le choix était même irréaliste dès lors qu’on savait que les armées occidentales ne conduiraient aucune coalition capable d’épauler une insurrection dont on ne s’assurait ni de l’identité ni des soutiens régionaux. Il devenait carrément arrogant dès lors qu’il était perçu, à tort ou à raison, comme le prolongement d’une diplomatie « transformationnelle », c’est-à-dire visant à guider les changements de régime là où on le décide.

    L’échec de la diplomatie transformationnelle

    Cette diplomatie a échoué partout tout en faisant pourtant la réputation de l’Occident : elle s’est effondrée en Afghanistan, en Irak, en Libye ; elle s’est révélée meurtrière et source de problèmes nouveaux sans cesse plus graves. Pire encore, elle a éveillé le soupçon d’un grand nombre pour s’imposer comme une aubaine chez les plus cyniques. Les islamistes radicaux s’en sont nourris avec abondance, les puissances émergentes au souverainisme sourcilleux s’en sont inquiétées jusqu’à s’éloigner de la diplomatie de l’ancien monde tandis que la Russie de Poutine y a trouvé les choux gras de sa nouvelle diplomatie : se protéger d’un interventionnisme qu’elle n’avait pas vu venir en Libye et se présenter comme la garante des pouvoirs établis, là où tant de régimes autoritaires tremblent pour leur survie.

    S’immiscer pour imposer un autre pouvoir n’aboutit jamais

    L’équation est pourtant simple : intervenir chez l’autre pour réchauffer un pouvoir chancelant est possible, parfois gratifiant à court terme. S’immiscer pour imposer un autre pouvoir n’aboutit jamais : aucun fourgon étranger n’est assez grand pour y transporter un régime de substitution. Les puissances occidentales ont pu sauver des dictateurs, au Gabon, en République démocratique du Congo, au Tchad et ailleurs : elles ont été moins heureuses lorsqu’il s’agissait de mettre en place des formules de substitution.

    Moscou ou Téhéran avaient trop besoin de démontrer à l’Occident que celui-ci perdait la main en la matière pour faciliter une transition politique douce en Syrie. Ils ont trop besoin de démontrer que la diplomatie occidentale a définitivement perdu cette prétention d’antan pour se prêter à une concertation ouverte sur l’évolution du régime de Damas.

    Le choix dangereux des révoltes qui arrangent

    L’avenir n’est réjouissant en fait pour personne. Renforcée par son succès militaire, la coalition russo-irano-assadienne n’a pas fini le travail, tant s’en faut. Quelques heures après que François Hollande se fut réjoui des « reculs » de Daech, celui-ci avançait victorieusement vers Palmyre, tandis que la bataille de Mossoul semble s’enliser. Les actions menées vers Raqqa sont le fait d’une coalition « arabo-kurde » qui risque de provoquer l’ire d’Ankara et mettre la Russie face à des soutiens occidentaux ambigus.

    Devant de telles incertitudes, les handicaps l’emportent sur les atouts. Le jeu occidental est terriblement pauvre. Les puissances qui l’orchestrent n’ont pas d’alliés dans la région, face à une Turquie incontrôlable et une Arabie saoudite des plus complexe. Elles n’ont plus de leviers, tant la méfiance des uns et l’incrédulité des autres viennent à les affaiblir. Appuyant certaines dictatures et choisissant les révoltes qui les arrangent, elles ne savent pas construire une diplomatie réellement en prise avec les réalités sociales régionales ; piégées par leurs échecs, elles ont du mal à atteindre les tables de négociation, à l’exception des États-Unis que la Russie recycle partiellement pour lui servir de faire-valoir…

    Les impasses des uns, le bonheur des autres

    La Russie, quant à elle, a mangé son pain blanc : elle a pu montrer sa force, ce dont elle rêvait pour revenir dans le jeu. Il lui faut maintenant montrer que cette force est convertible en capacité politique. Mais il ne suffit plus de faire d’Assad un nouvel Husak ou un Gomulka d’après 1956. Ce temps est terminé et cette résistance des dynamiques sociales risque bel et bien de faire le jeu du troisième larron incarné par les entrepreneurs islamistes les plus radicaux. « Voilà pourquoi votre fille est muette » et comment les impasses des uns font le bonheur des autres : il serait temps d’y penser…

  • Who profits from Turkey’s ’Sarajevo moment’?
    RT Op-Edge –
    Pepe Escobar | Published time: 20 Dec, 2016 15:40
    https://www.rt.com/op-edge/370997-turkey-ambassador-russian-assassination-syria

    (...) The Big Picture

    On the bilateral front, Moscow and Ankara are now working close together on counter-terrorism. Turkey’s defense minister was invited to Russia for anti-air defense system negotiations. Bilateral trade is booming again, including the creation of a joint investment fund. On the all-important energy front, Turkish Stream, despite the Obama administration’s obsession about its derailment, became the subject of state law in Ankara earlier this month.

    Atlanticists are appalled that Moscow, Ankara and Tehran are now fully engaged in designing a post-Battle of Aleppo Syrian future, to the graphic exclusion of the NATO-GCC combo.

    It’s under this context that the recent alleged capture of a bunch of NATO-GCC operatives – deployed under the US-led-from-behind “coalition” - by Syrian Special Forces in Aleppo must be interpreted.

    Syrian member of Parliament Fares Shehabi, the head of the Chamber of Commerce in Aleppo, published the names of the apprehended coalition officers; most are Saudi; there’s one Qatari; the presence of one Moroccan and one Jordanian is explained by the fact Morocco and Jordan are “unofficial” GCC members.

    And then there’s one Turk, one American (David Scott Winer) and one Israeli. So NATO shows up only via two operatives, but the NATO-GCC link is more than established. If this information proceeds – and that’s still a big “if” - these may well be coalition military personnel and field commanders, formerly advising “moderate rebels” and now a formidable bargaining chip in the hands of Damascus.

    Both NATO and GCC remain absolutely mum; not even non-denial denials have materialized. That might imply a made in the shade deal for the release of the high-value prisoners, further strengthening Damascus’ grip.

    It was President Putin who all but established a de facto Russia-Iran-Turkey axis dealing with facts on the Syrian ground – in parallel to the rhetoric-heavy, zero-solution UN charade going on in Geneva. Moscow diplomatically emphasizes that the work of the axis complement Geneva. In fact, it’s the only reality-based work. And it’s supposed to sign and seal definitive parameters on the ground before Donald Trump enters the White House.

    In a nutshell; the five-year (and running) NATO-GCC combo’s multi-billion dollar regime change project in Syria all but miserably failed. Wily Erdogan seems to have learned his realpolitik lesson. On the Atlanticist front nevertheless, that opens myriad avenues to channel geopolitical resentment.

    The Big Picture couldn’t be more absolutely unbearable for neocon/neoliberalcon Atlanticists. Ankara slowly but surely is veering the Eurasianist way; bye bye to the EU, and eventually NATO; welcome to the New Silk Roads, a.k.a. the China-driven One Belt, One Road (OBOR); the Russia-driven Eurasia Economic Union (EEU); the Shanghai Cooperation Organization (SCO); the Russia-China strategic partnership; and Turkey as a key hub in Eurasia integration.

    For all that to happen, Erdogan has concluded Ankara must be on board the Russia-China-Iran long-term strategy to pacify and rebuild Syria and make it a key hub as well of the New Silk Roads. Between that and an “alliance” of fleeting interests with Qatar, Saudi Arabia, and the US, it’s certainly a no-brainer.

    But make no mistake. There will be blood.

    #Alep-Est #Capture_officiers

  • Turquie : la dépouille de l’ambassadeur rapatriée en Russie
    https://www.crashdebug.fr/international/12868-turquie-la-depouille-de-l-ambassadeur-rapatriee-en-russie

    Un avion transportant la dépouille de l’ambassadeur russe assassiné la veille à Ankara par un policier turc à décollé mardi de l’aéroport d’Ankara à destination de Moscou. Six suspects ont été placés en garde à vue.

    Au lendemain de l’assassinat de l’ambassadeur de Russie à Ankara, sa dépouille a été rapatriée mardi dans un avion depuis l’aéroport d’Ankara à destination de Moscou. Le cercueil renfermant la dépouille d’Andreï Karlov, enveloppé du drapeau russe, a été placé dans l’appareil russe par une garde d’honneur composée de six soldats turcs, à l’issue d’une cérémonie religieuse sur le tarmac de l’aéroport en présence notamment de sa veuve, de responsables turcs et de diplomates étrangers.

    Un peu plus tôt, le président turc Recep Tayyip Erdogan a affirmé (...)

  • ALERTE ROUGE = VIDEO. L’ambassadeur russe à Ankara assassiné par balles + Qui est le meurtrier de l’ambassadeur de Russie en Turquie ?
    http://www.brujitafr.fr/2016/12/alerte-rouge-video.l-ambassadeur-russe-a-ankara-assassine-par-balles-qui-e

    Turquie : l’ambassadeur russe à Ankara a été tué par balles par un policier turc L’ambassadeur russe à Ankara, Andreï Karlov, a été tué par un policier turc lors d’une visite d’exposition à Ankara (Turquie), lundi 19 décembre. >> Suivez notre direct sur...

  • Le diplomate tué : un artisan du rapprochement entre la Russie et la Turquie
    http://vilistia.org/archives/13379

    Andreï Karlov : un artisan du rapprochement entre la Russie et la Turquie 19 déc. 2016, 22:21 Andreï Karlov (droite) aux côtés de Vladimir Poutine, à Istanbul, le 10 octobre 2016, ©Osman Orsal/Reuters L’ambassadeur Andreï Karlov, assassiné à Ankara, était … Lire la suite →

    #TURQUIE_RUSSIE_IRAN_OCS

  • Daech pas mort - Chroniques du Grand jeu
    http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2016/12/daech-pas-mort.html

    L’Etat Islamisque a beau être en recul partout, il ne faut pas vendre la peau du barbu avant de l’avoir épilé. Les petits hommes en noir font preuve de résilience, il faut le leur reconnaître...

    Nous avons vu que les Turcs et leurs hommes de paille de l’ASL font du surplace au nord d’Al Bab. Certes, les Kurdes y sont aussi pour quelque chose, mais prendre la ville ne sera pas une partie de plaisir. Aussi, Ankara est-elle en train de déployer une force de 9 000 combattants « rebelles », dont 300 forces spéciales turques. Encore des morts en perspective pour une opinion publique qui commence à balancer...

    Relevons au passage que Washington rame pour ouvrir des canaux de discussion entre ses « alliés » turcs et kurdes afin qu’ils ne s’autodétruisent pas. Notons également que la folle et précipitée (avant que Trump ne prête serment) décision du Congrès US, sous influence du diable incarné McCain, d’autoriser Obama à fournir des missiles anti-aériens à l’opposition laisse tout le monde dans l’expectative. Certains analystes y voient un soutien jusqu’au-boutiste aux djihadistes mais les Turcs pensent, eux, que ces Stingers seront destinés aux YPG kurdes ! Jusqu’à la fin, Barack à frites aura joué au pompier-pyromane, sa politique de gribouille lui mettant tout le monde à dos.

    ..........

  • Turquie. WikiLeaks accuse le régime de collusion avec Daech

    http://www.humanite.fr/turquie-wikileaks-accuse-le-regime-de-collusion-avec-daech-628068

    Le site a publié 57 934 mails de Berat Albayrak montrant des relations troubles entre l’« État islamique » et la compagnie pétrolière Powertrans.

    [...]

    Ces mails – qui courent de juillet 2000 à septembre 2016 (putsch avorté compris) – corroborent ce que le quotidien d’opposition Cumhuriyet a tenté de faire savoir le 29 mai 2015.

    Sur son site Web, le journal avait diffusé des images tournées par les forces de sécurité turques en janvier 2014 près de la frontière syrienne montrant des gendarmes en train d’intercepter deux convois de camions chargés d’armes dirigés par les services secrets turcs (MIT). Pour avoir osé montrer ces images, le rédacteur en chef, Can Dündar, et Erdem Gül, son chef de bureau à Ankara, ont été accusés d’« espionnage » et « divulgation de secrets d’État », déclenchant l’ire de Recep Tayyip Erdogan, qui menaça publiquement le journaliste : « Je ne le laisserai pas, je le suivrai et il devra payer la facture. »

  • Arrestation de Februniye Akyol, seule maire syriaque du DBP-Kedistan
    http://www.kedistan.net/2016/12/07/maire-chretienne-a-finir

    @Ad Nauseam - Le 17 novembre dernier, la co-maire de Mardin, Februniye Akyol a été destituée par le pouvoir central d’Ankara dans le cadre post-coup d’état du 15 juillet 2016. Son collègue, Ahmet Türk a été arrêté le 21 novembre pour des charges relevant du terrorisme sous le prisme habituel d’avoir des relations avec (...)

    #Kedistan / #Mediarezo

  • La Turquie et la Russie veulent développer leurs relations au niveau stratégique
    http://vilistia.org/archives/12994

    12:03 06.12.2016(mis à jour 12:40 06.12.2016) Après une période difficile, Ankara et Moscou envisagent de développer leurs relations au niveau stratégique, a annoncé le premier ministre turc Binali Yildirim en visite à Moscou. « Au cours de la dernière année, … Lire la suite →

    #TURQUIE_RUSSIE_IRAN_OCS

  • Amnesty International demande à Ankara de permettre le retour de milliers de déplacés - Le Temps
    https://www.letemps.ch/monde/2016/12/06/amnesty-international-demande-ankara-permettre-retour-milliers-deplaces

    L’ONG Amnesty International a appelé mardi le gouvernement turc à permettre le retour chez elles de 24 000 personnes déplacées d’un district de Diyarbakir, « capitale » du sud-est majoritairement kurde de la Turquie, pendant les combats entre l’armée et les rebelles du PKK.

    Les autorités ont imposé un strict couvre-feu en décembre 2015 au district de Sur dans le cadre de leur lutte contre le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), une organisation séparatiste classée « terroriste » par Ankara et ses alliés occidentaux.

    Les quelque 24 000 habitants des six quartiers de Sur encore sous couvre-feu ont tous quitté leur domicile, indique Amnesty dans un rapport publié mardi. L’ONG enjoint aux autorités de « lever sans délai le couvre-feu » et prendre des mesures pour permettre aux déplacés de rentrer chez eux.

    Selon Amnesty, environ 500 000 personnes ont été forcées de quitter leur domicile depuis la reprise des combats dans le sud-est de la Turquie à l’été 2015 qui a torpillé le processus de paix visant à mettre un terme au conflit qui a fait plus de 40 000 morts depuis 1984.

  • « Nous souhaiterions voir la Turquie dans le Shanghai Five » (ambassadeur russe à Ankara)
    http://vilistia.org/archives/12944

    « Nous souhaiterions voir la Turquie dans le Shanghai Five » (ambassadeur russe à Ankara) L’ambassadeur russe à Ankara, Andreï Karlov qui a fait des explications, a fait savoir que la Chine et le Kazakhstan souhaitaient aussi voir la Turquie adhérer à … Lire la suite →

    #TURQUIE_RUSSIE_IRAN_OCS

  • A Turning Point in Aleppo
    http://carnegie-mec.org/diwan/66314

    The most interesting area is the rebel zone carved out thanks to Turkish military intervention northeast of Aleppo, in battles against the self-proclaimed Islamic State. Here, the prospect of military backing from Turkey’s fiercely anti-Assad president, Recep Tayyip Erdogan, has raised the opposition’s hopes of breaking the siege of Aleppo. But that is unlikely, for three reasons.

    First, the purpose of the Turkish intervention was to clear the area from Islamic State jihadis and ensure that the vacuum was not filled by Kurdish forces aligned with the Kurdistan Workers’ Party, or PKK. For all of Erdogan’s loathing of Assad, it doesn’t come close to his hatred of the PKK. Indeed, if Erdogan’s primary concern had been to overthrow the Syrian president, he wouldn’t have diverted thousands of Syrian rebel combatants to help him clean up the border region when they were so desperately needed in Aleppo.

    Second, the Turkish intervention was based on an understanding with Russia, which is committed to protecting Assad. How Ankara and Moscow plan to divide the border area is unclear and may be up for renegotiation, and there may well be clashes between Turkish- and Russian-backed forces (perhaps even some friction between Russian and Turkish troops). But we know that neither Russia nor Turkey is interested in a major conflict, having spent so much time improving their relations—and also because Turkey’s NATO membership greatly raises the stakes of any confrontation.

    Third, if Erdogan had any intention of breaking the siege of Aleppo, he would have done so long ago. It makes no sense for him to wait until Assad has virtually destroyed the rebel enclave to try saving it now.

    After a long and telling silence, the Turkish president recently spoke out on Aleppo, saying his intervention in August had been to “end the rule of the cruel Assad.” Unsurprisingly, this met with immediate Russian pushback, as a Kremlin spokesperson said it would be in touch with Turkey to seek an explanation. The actual explanation? Most likely, Erdogan is simply trying to save face.

    If Turkish intentions northeast of Aleppo are not what the opposition had hoped for, Ankara’s involvement in Idlib has so far been more clearly aligned with the rebel cause. The area, which fell completely to Syrian rebels in spring 2015, still receives strong support from across the Turkish border and has served as a staging ground for attacks in Aleppo, Hama, and Latakia.

    The Idlib rebellion is strong and well implanted. It is a real threat to Assad. But though it contains many different groups, it is strategically dominated by hardline Islamists such as Ahrar al-Sham and Jabhat Fatah al-Sham, the new incarnation of Jabhat al-Nusra that has links to Al-Qaeda and is riddled with international jihadis. These groups are formidable enemies of the regime, but they are also too toxic to gain Western endorsement. Policymakers in Doha and Ankara have shown a higher threshold of tolerance for jihadism than their colleagues in Washington, but Jabhat Fatah al-Sham is ultimately a step too far for everyone.

    In other words, while it will remain a thorn in Assad’s side, the Idlib region is unlikely to serve as the springboard for a foreign-backed strategy to end Assad rule.

    #Syrie