city:bagdad

  • Iraqi Town Besieged by Islamic State Pleads for U.S. Help - WSJ
    http://online.wsj.com/articles/iraqi-town-besieged-by-extremist-group-pleads-for-u-s-help-1408665022?tesla=y&mg=reno64-wsj&url=http://online.wsj.com/article/SB10001424052970203858004580106003548682186.html

    “The U.S. deals in double standards in its defense and airstrikes,” said Adel al Bayati, the town’s district manager who has spent weeks appealing to Iraqi, Kurdish and American authorities to come to the rescue. “Our district might be the only one that has resisted since the crisis in June.”

    #Amirli #Irak

  • Obama déclare la guerre au Daash (EIIL ou ISIS)
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2255

    Apparu en 2006, dans les zones autour de Bagdad, comme un groupe irakien mineur et localement confiné à la capitale, menant la lutte contre les troupes britanniques et américaines, arrivées avec l’invasion en 2003, l’EIIL s’est toujours revendiqué d’Al-Qaïda. La proclamation du Califat « EIIL » est aussi la déclaration d’une base ouverte pour tous les terroristes… Les combattants islamistes transitent en se déplaçant dans les organisations régionales. L’ISIS (EIIL et Daash) est devenu l’une des plus (...)

    Monde, informations, actualité, international, politique, relations, diplomatie, affaires étrangères,

    / Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique , , #Irak,_prison,_pétitions,_chiite,_sunnite,_journaliste, Obama, USA, Israël, Proche-Orient, Palestine , Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, (...)

    #Monde,informations,_actualité,_international,_politique,_relations,_diplomatie,_affaires_étrangères, #Terrorisme_,_islamisme,Al-Qaeda,politique, #Obama,_USA,_Israël,_Proche-Orient,_Palestine #Afrique,_Monde_Arabe,_islam,_Maghreb,_Proche-Orient,

  • Comment un colonel de l’état-major analyse la situation irakienne

    La voie de l’épée
    http://lavoiedelepee.blogspot.fr

    vendredi 15 août 2014
    Les légions dangereuses

    Le « nouvel Irak » est depuis onze ans une source permanente de « surprises stratégiques », de l’apparition de la guérilla urbaine sunnite de 2003 contre la présence américaine jusqu’à son changement soudain d’alliance à la fin de 2006, en passant par les pulsions violentes de l’armée de Mahdi jouant tour à tour de la révolte armée dans les provinces chiites et de la prise de contrôle souterraine des rues de Bagdad. Autant de « cygnes noirs » peu prévisibles agissant pendant comme révélateurs des évolutions cachées des rapports de force, que les troupes américaines puis celles-ci du gouvernement irakien enfin et mal établi en 2006 se sont efforcés à chaque fois de réduire avec plus ou moins de succès.

    Le monopole étatique de la violence apparemment rétabli depuis 2008 s’est à nouveau effrité depuis un an avec la personnalisation croissante de ce monopole. Le Premier ministre s’est arrogé la direction de la police et de l’armée laissant à son fils celle des forces spéciales de sécurité, nouvel avatar des anciens services de Saddam Hussein, tandis que les unités militaires de Bagdad, les plus puissantes, font office de nouvelle Garde républicaine. La superposition de ce fractionnement sécuritaire, laissant les divisions les plus faibles à la marge du territoire, et du renouveau de la division politique ont ainsi créé les conditions d’une nouvelle surprise. Celle-ci a pris la forme de l’invasion de la première vraie armée proto-étatique sunnite, celle de l’Etat islamique en Irak et au Levant ou Daech.

    Forte sans doute d’environ 10 000 combattants, l’armée de l’EIIL a adopté le modèle désormais classique d’une infanterie mobile grâce montée ses picks-up, parfois d’origine américaine, et centrée autour de ses mitrailleuses lourdes. Elle dispose certes aussi désormais de quelques véhicules blindés et pièces d’artillerie pris à l’armée irakienne mais cet arsenal reste marginal. La vraie force de l’armée de l’EIIL est en réalité la motivation de ses membres. C’est elle qui permet de résister ou d’et autorise un combat très décentralisé, puisqu’on peut faire confiance à tous.En 2003, les divisions mécanisées de Saddam Hussein s’étaient effondrées devant l’armée américaine et Bagdad avait été prise en quelques jours. Un an plus tard, ces mêmes Américains mettaient neuf mois pour reprendre Falloujah, tenus par quelques milliers de combattants armés de Kalashnikovs et de lance-roquettes des années 1960.

    Rebelle L’armée de Daech, c’est la force de Falloujah multipliée par trois ou quatre, unie et rendue suffisamment mobile pour être capable de frapper à tous les coins du Sunnistan irakien et parfois au-delà, renouant avec les raids de Bédouins. La division irakienne présente à Mossoul a été la première victime de cette nouvelle force, livrant à l’EIIL par son effondrement soudain des ressources considérables et la vallée du Tigre jusqu’à Bagdad. Il manque cependant à l’armée de l’Etat islamique une qualité essentielle, la quantité, et cela l’empêche de fait de s’emparer, et surtout de tenir, de villes dont la population est par trop hostile et capables de se défendre avec la même motivation qu’eux.

    C’est là que l’EEIL atteint ses limites militaires. En l’état actuel des forces, Daech est incapable de s’emparer de Bagdad et même semble-t-il de villes comme Samarra, lieu saint du chiisme. Sa force est une troupe de guerriers nomades courant d’un point à l’autre des provinces, en Diyala puis en Anbar, conquérant au passage quelques cités, pourchassant les impies et tentant d’établir un semblant d’ordre socio-politique, multipliant ainsi les frayeurs, les indignations et les ennemis.

    Le dernier acte à ce jour de ce Jihad tourbillonnant est l’attaque du Kurdistan irakien. C’est à nouveau une surprise et même une double surprise. Stratégique d’abord car on ne voit pas très bien quel intérêt politique l’EIIL a à s’attaquer aux Kurdes et à réintroduire par la même occasion les Américains dans le paysage militaire. La logique qui conduit l’organisation n’est peut-être simplement pas politique et, comme Hitler envahissant l’URSS, obéit-elle à des fantasmes racistes ou religieux. A long terme c’est suicidaire et donc à court terme c’est surprenant. Surprise tactique ensuite, car on imaginait les Peshmergas- les combattants kurdes – plus à même de résister à l’attaque des Islamistes. L’armée du gouvernement autonome avait jusque-là non seulement résisté à Saddam Hussein mais elle avait aussi réussi pendant la présence américaine à préserver les provinces kurdes de la guérilla sunnite. Cette armée n’avait cependant jamais eu affaire à une force organisée de cette mobilité, de cette ampleur et de cette motivation qui a pu concentrer assez de forces jusqu’à menacer Erbil, la capitale. Mais l’EIIL ne prendra pas Erbil. Les Peshmergas ont pu regrouper assez de moyens pour contre-attaquer et rependre une partie du terrain perdu. Les frappes américaines les y ont aidé, non pas tant par leur effet direct mais plutôt par la menace qu’elles font peser et qui placent les forces ennemies dans la contradiction entre la dispersion nécessaire, pour éviter d’être frappé par les airs, et la concentration indispensable, pour l’emporter au sol. Quant à l’assistance matérielle, elle est sans doute plus symbolique que véritablement utile.

    Pour l’instant donc, l’EIIL bénéficie d’un outil tactique excellent mais au service d’une stratégie désastreuse multipliant les ennemis sans grand bénéfice sur le terrain. Si l’organisation ne se transforme pas à nouveau, à la manière des Taliban qui ont réussi à passer d’une milice religieuse frustre à un véritable contre-gouvernement capable de s’implanter intelligemment dans la population, elle est condamnée. Déjà des forces souterraines se mettent en place pour y être fin par un nouveau basculement. Celui-ci peut venir à nouveau des sunnites, comme en 2007 lorsqu’Al-Qaïda en Irak leur était devenu odieux, des Kurdes jusqu’à ce qu’ils apparaissent à leur tour comme trop puissants ou, ce qui serait sans doute préférable, de Bagdad avec un nouveau gouvernement, et mieux encore, de nouvelles habitudes politiques. Ce processus peut cependant prendre des années avant de basculer en avalanche stratégique.

  • De l’Irak à la Syrie, aux origines de l’État islamique
    http://orientxxi.info/magazine/de-l-irak-a-la-syrie-aux-origines,0639

    L’expulsion des chrétiens de Mossoul représente la dernière mesure prise par le nouvel État islamique qui s’étend de l’ouest de la Syrie aux confins de Bagdad. Il aura fallu aux groupes radicaux musulmans dix années et la guerre américaine en Irak pour asseoir leur influence au cœur du Proche-Orient. Durablement ? Le 10 juin 2014, Mossoul tombait aux mains de l’État islamique en Irak et au Levant (EIIL). Alors que quarante jours plus tard, le samedi 19 juillet, la période de deuil s’achève pour les (...) Source : Orient XXI

  • Chrétiens d’Irak : l’Occident « découvre » des persécutions commencées dès 2003 ! (Must read) - Politis

    http://www.politis.fr/Chretiens-d-Irak-l-Occident,27922.html

    Les pays occidentaux, (notamment la droite et l’extrême droite) paraissent aujourd’hui découvrir que les chrétiens sont pourchassés et tués en Irak. Naïveté ou cynisme ? La deuxième hypothèse est la plus probable car l’UMP et le Front Nationale ne se sont jamais soucié de leur sort. Ces pays, qui découvrent que l’Irak est (reste) en état de guerre religieuse, offrent, notamment la France, de leur accorder un asile politique alors que ce que souhaitent ceux de Mossoul et d’ailleurs n’ont qu’une envie : pouvoir continuer à vivre en paix dans une région où ils habitent depuis prés de deux millénaires et où ils ont construit des centaines d’église.

    La chasse à ces chrétiens a commencé quelques mois après l’invasion par les Etats-Unis à la recherche des soi-disant « armes de destruction massive » . Une « mission civilisatrice » qui les a amené à préserver immédiatement le ministère du Pétrole et à négliger, pas exemple, le superbe musée de la capitale où l’ancien centre nucléaire d’Al Twaitha que des milliers d’habitants de Bagdad ont pu piller librement prenant le risque d’emporter dans leurs familles des objets et de ferrailles fortement contaminés. A l’époque, rares ont été les pays ou les médias à relayer les protestations de Greenpeace que les troupes américains expulsèrent rapidement.

    J’ai pu le constater lors de mes reportages à Bagdad au cours entre la fin de 2003 et 2006, les différences obédiences chrétiennes, et dieu sait si elles sont nombreuses, étaient déjà l’objet de nombreux attentats. Je me souviens notamment d’un carnage dans une église du centre et des récits des différentes communautés dont les membres étaient fréquemment enlevés et rarement retrouvés, même contre rançon. Les persécutions et les assassinats ciblés ont commencé dés le mois de décembre 2003 dans la capitale. Avec des messes de Noël placées sous haute surveillance militaire, ce qui n’empêchait ni les tirs ni les attentats.

    L’année suivante, Monseigneur Gabriel Kassah, évêque de Bassora, la grande ville du Sud où vivaient de nombreux chrétiens m’expliquait comment toutes les boutiques de sa ville, notamment celles qui vendaient légalement des alcools, étaient pillés, brulées, détruites avant que leurs propriétaires soient massacrés, souvent après avoir été torturés. Aujourd’hui, sans que les puissances occidentales et les bonnes âmes ne s’en préoccupent, il ne reste pratiquement plus de chrétiens dans cette grande ville alors que pendant l’intervention américaine , cet évêque avait organisé la distribution de son stock de médicaments sans se soucier des croyances de ceux qui en avaient besoin.

    Les chrétiens n’ont toujours eu qu’un seul refuge en Irak depuis l’invasion de 2003 : le Kurdistan autonome

  • Les Etats-Unis veulent vendre pour 700 millions de dollars de missiles à l’Irak
    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/07/30/les-etats-unis-veulent-vendre-700-millions-de-dollars-de-missiles-a-l-irak_4

    Les Etats-Unis ont l’intention de vendre cinq mille missiles antichars Hellfire à l’Irak pour 700 millions de dollars, afin d’aider Bagdad à lutter contre les insurgés sunnites de l’Etat islamique, qui ont créé un « califat islamique » entre l’Irak et la Syrie.

    #industrie_de_la_mort

  • Aux sources du conflit sunnites/chiites

    http://www.sciencespo.fr/ceri/fr/users/laurencelouer

    Par Laurence Louër, chargée de recherche au CERI

    Le projet de remodelage du Moyen-Orient formulé par l’administration de Georges W. Bush au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 a réactivé le conflit, latent depuis la fin des années 1980, entre les deux principaux courants de l’islam que sont le sunnisme et le chiisme. En favorisant l’arrivée au pouvoir à Bagdad des mouvements islamistes chiites, le renversement du régime de Saddam Hussein en 2003 a suscité l’inquiétude des dirigeants arabes, une inquiétude résumée par le roi Abdallah de Jordanie qui évoquait à la veille des élections législatives irakiennes de 2005 le danger que pouvait constituer la formation d’un « croissant chiite » pour la stabilité du Moyen-Orient.

    La montée en puissance des chiites constitue un problème différent selon les acteurs concernés. La dimension religieuse est centrale pour les mouvements islamistes sunnites, notamment ceux issus de la mouvance salafiste dont la haine du chiisme plonge aux racines mêmes de la division entre les deux courants qui, en réalité, représentent deux utopies du pouvoir en islam. Pour les sunnites, la direction de la communauté des musulmans initialement exercée par Mahomet doit se transmettre à ses successeurs par un processus de consultation. Dans la lignée des réformistes musulmans des dix-neuvième et du vingtième siècles, les islamistes sunnites considèrent que seuls les quatre premiers califes ont été désignés conformément à ce principe. Après ces quatre successeurs « bien guidés », le califat s’est mué en un pouvoir dynastique illégitime avant de disparaître définitivement avec la chute de l’Empire ottoman. L’objectif des islamistes sunnites est donc de restaurer un califat authentique ou, du moins, une forme de pouvoir musulman inspiré des premiers temps de l’islam.

    Pour les chiites au contraire, Mahomet a explicitement désigné ses successeurs au sein de la lignée d’Ali et Fatima. Fatima était la fille du Prophète ; Ali, son cousin et très proche compagnon, l’un des premiers convertis à l’islam. Les chiites se présentent ainsi comme les défenseurs des ahl al-bayt (gens de la maison) du Prophète. Contrairement aux sunnites, ils pensent que les successeurs de Mahomet ne sont pas de simples dirigeants politiques guidés par l’islam mais aussi des autorités religieuses ayant accès au sens caché du message divin. A leurs yeux, les trois premiers califes ont usurpé le pouvoir et falsifié le Coran afin d’y effacer toute référence au droit à gouverner de la lignée d’Ali et Fatima. Seul le quatrième calife, Ali, est légitime.

    Ces querelles autour du pouvoir légitime en islam intéressent peu les dirigeants politiques actuellement au pouvoir qui redoutent surtout le renversement du statu quo. D’une part, ils craignent que la volonté de revanche des chiites, communauté politiquement et culturellement subalterne dans de nombreux pays du Moyen-Orient, ne donne lieu à de violents règlements de compte et à une marginalisation des communautés sunnites. D’autre part, parce que le chiisme est à leurs yeux un attribut consubstantiel au pouvoir d’Etat iranien, ils redoutent que le renforcement des chiites ne favorise les intérêts de Téhéran.

    De fait, depuis que la dynastie safavide l’a établi comme religion d’Etat en 1501, le chiisme a été utilisé par l’Iran non seulement comme une idéologie de construction de l’Etat mais aussi comme un instrument d’influence à l’extérieur de ses frontières. Y compris sous le règne du très laïc Mohammed Reza Pahlavi déposé par la révolution de 1979, l’Etat iranien a soutenu financièrement les institutions religieuses chiites à travers le monde, notamment en Irak. La République islamique a par la suite activement sponsorisé les mouvements islamistes chiites étrangers dans le cadre de sa politique d’exportation de la révolution. Son plus grand succès en la matière reste le Hezbollah libanais, grâce auquel l’Iran s’est invité dans le conflit israélo-arabe et, plus généralement, dispose d’un relais bien au-delà du Liban et des communautés chiites.

    Sans être erronée, cette perception ignore les recompositions dont le chiisme a fait l’objet depuis la fin des années 1980. Si l’Iran continue de disposer d’une grande influence au sein du monde chiite, son modèle politique d’Etat dirigé par le clergé est contesté par les grandes autorités religieuses mais aussi par certains mouvements islamistes chiites. Sa politique étrangère suscite également la controverse, nombre de chiites estimant qu’elle porte parfois tort à leur intégration au sein des pays dont ils sont citoyens. La défense de leurs droits en tant que communauté distincte mais partie intégrante de la nation constitue la ligne politique majoritaire des élites politiques et religieuses chiites, une ligne que la réintégration de l’Iran dans le concert des nations ne pourra que conforter. C’est sur ce plan que des avancées significatives dans l’apaisement des tensions confessionnelles pourraient être obtenues à l’issue des négociations actuelles ou à venir entre l’Iran, ses voisins et la communauté internationale.

  • Les affrontements en Irak ont un impact limité sur les cours du pétrole - Le Monde

    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/06/20/les-affrontement-en-irak-ont-un-impact-limite-sur-les-cours-du-petrole_44421

    L’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) a lancé, lundi 18 juin, une offensive contre la raffinerie de pétrole de Baiji, à 200 kilomètres au nord de Bagdad. Bien que pour l’instant repoussée par l’armée, cette attaque contre la plus importante raffinerie d’Irak a accru l’inquiétude des marchés pétroliers quant à la menace que pourrait faire peser l’EIIL sur la production de pétrole brut irakien. Avec 3,4 millions de barils par jour, dont 2,5 millions à l’exportation, l’Irak est devenue le deuxième producteur mondial au sein de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), derrière l’Arabie saoudite. Ces ventes de brut représentent plus de 75 % de son PIB et plus de 90 % des revenus de l’Etat irakien.

  • Notes sur l’American fatigue et la sieste de BHO
    http://www.dedefensa.org/article-notes_sur_l_american_fatigue_et_la_sieste_de_bho_16_06_2014.html

    • BHO, engagé dans une réflexion sur l’urgence de la situation, déclare : “L’Amérique fera sa part” . • Le Speaker Boehner s’exclame : “Ils sont à 100 miles de Bagdad et que fait le président ? Il fait la sieste.” • Surprise : Lindsay Graham veut une “alliance” avec l’Iran, et il est possible qu’on coordonne effectivement une “stratégie” USA-Iran pour soutenir Maliki. • Le Pentagone, lui, ne cesse d’être surpris : cette fois, ce fut par l’offensive de l’ISIS en Irak, qu’il ne vit pas venir. • BHO, dit Graham, est “désillusionné” et “détaché”. •L’American fatigue est celle de son propre mode confusion-désordre.

  • United Nations Security council is inviting for a discussion about the situation in Iraq. UNSC condems terrorist activities in Bagdad. Terrorists have overtaken many parts of Iraq now and going towards Bagdad.

    TVNET :: Ārvalstīs - ANO Drošības padome aicina uz steidzamu dialogu Irākā
    http://www.tvnet.lv/zinas/arvalstis/514245-ano_drosibas_padome_aicina_uz_steidzamu_dialogu_iraka

    Drošības padome ceturtdien aicinājusi uz steidzamu dialogu Irākā, nosodot teroristu aktivitātes, tomēr atturējusies mudināt uz konkrētu rīcību pret nemierniekiem, kas virzās uz Bagdādi.

    Resursi
    Obama : ASV valdība izskata visas iespējas, lai palīdzētu Irākai
    Nemiernieki Irākā sagrābuši savā varā Mosulu un Tikrītu, kā arī pārņēmuši kontroli pār Nīnavas provinci un vairākiem apgabaliem Kirkūkas un Salāh ed Dīnas provincēs.

    Domājams, ka nemiernieki, kuru vidū ietekmīgākais spēks ir džihādistu grupējums « Islāma valsts Irākā un Levantē » (ISIL), gatavojas virzīties uz Bagdādi un reģioniem, kur vairums iedzīvotāju ir šiītu musulmaņi, kurus islāmisti uzskata par neticīgajiem.

    Lai apspriestu situāciju Irākā, ANO Drošības padome noturēja slēgtu sēdi, kas ilga divas stundas.

    #UNSC #Bagdad #Iraq #terrorists #shiites #islam #jihad

  • Après la chute de Fallouja, Mossoul, Tikrit, trois villes majeures d’Irak conquises par les djihadistes, Bagdad tremble. Alliance étonnante et détonnante entre les combattants de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), des chefs de tribus sunnites et d’anciens membres du pouvoir baassiste de Saddam Hussein, la guérilla fait cause commune pour abattre le gouvernement pro-chiite de Nouri Al-Maliki. En janvier 2014, Feurat Alani expliquait pourquoi « après dix années d’une violence inouïe » l’Irak se retrouve aujourd’hui « coincé dans un maelström de luttes de pouvoir entre sunnites et chiites se nourrissant du conflit syrien. »

    Cf. @orientXXI http://orientxxi.info/magazine/la-chute-de-mossoul,0616

    Irak-Syrie, mêmes combats
    http://www.monde-diplomatique.fr/2014/01/ALANI/50016

    Dix ans après, que devient l’Irak ?, par Peter Harling (mars 2013)
    http://www.monde-diplomatique.fr/2013/03/HARLING/48806

  • 6月9日のツイート
    http://twilog.org/ChikuwaQ/date-140609

    RT @mokkikunta: The Faves Daily is out! paper.li/mokkikunta/faves Stories via @ChikuwaQ @socialpyramid @jackyan posted at 08:12:30

    “Doom and Gloom” by The Rolling Stones: tmblr.co/ZWXySymJyYKY posted at 07:00:16

    Top story: Find who Unfollowed me on Twitter and Instagram | Unfollowers.com Unfollowers.com/?s=dt, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ posted at 06:14:02

    Top story: Chasse aux trésors réussie à Bagdad www.lemonde.fr/culture/articl…, see more tweetedtimes.com/ChikuwaQ posted at 00:48:52

  • La rue #Moutanabi, dernier refuge de l’intelligentsia bagdadie
    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/05/02/la-rue-moutanabi-dernier-refuge-de-l-intelligentsia-bagdadie_4410606_3218.ht

    A l’heure où d’autres convergent vers la mosquée pour la grande prière hebdomadaire, ces irréductibles viennent causer #culture et #politique dans une ambiance festive, à l’écart du #sectarisme ethnico-religieux ambiant. « C’est ma bouteille d’oxygène », explique Taha Rachid, chroniqueur pour Tariq Al-Shaab, le journal du Parti communiste irakien. « C’est le royaume de la libre expression », renchérit Leïla Soudani, une esthéticienne, poétesse à ses heures. Durant la semaine, la rue Moutanabi est un simple marché aux livres, l’un des multiples souks spécialisés du vieux #Bagdad, non loin de la rue des tanneurs. Longtemps monopole des plumes officielles du régime baasiste, l’endroit a trouvé un nouveau souffle après la chute de Saddam Hussein, en 2003, grâce à la réforme de la Société des écrivains irakiens et à l’afflux de publications jusque-là interdites.

    DUEL DE POÉSIE

    Mais c’est le vendredi, jour de congé hebdomadaire, que le phénomène Moutanabi donne toute sa mesure. L’endroit mue en une #agora pleine de vie, un hybride de Fête de l’Humanité et du Speaker’s Corner, ce coin de Hyde Park, à Londres, où des anonymes, juchés sur des chaises, haranguent les promeneurs. Sur quelques centaines de mètres, la Bagdad laïque et créative des années 1960-1970, réapparaît soudain.

    #laïcité #Irak

  • Le véritable objectif des guerres : Détruire le patrimoine historique
    http://www.brujitafr.fr/article-le-veritable-objectif-des-guerres-detruire-le-patrimoine-historiqu

    L’anéantissement du patrimoine culturel irakien Un an après le sac du musée de Bagdad, le Conseil provisoire de gouvernement assure que l’ampleur des pillages a été surestimée et que les forces de la Coalition ont récupéré la presque totalité des objets volés. La vérité est toute autre : avec la complicité du Pentagone, un gang de trafiquants s’est emparé de ce qui pouvait l’être lors de la chute du régime. Puis, il a organisé de vastes fouilles sauvages sur les sites archéologiques, notamment assyriens et babyloniens. En outre, les forces états-uniennes ont détruit quantité de monuments omeyyades et abbassides au cours des récents combats urbains contre la résistance. Le remodelage US du Proche-Orient passe-il par l’anéantissement des cultures ? (...)

    http://www.archeologia-magazine.com

  • Les Etats-Unis livrent des milliers d’armes à l’Irak | Le Soir

    http://www.lesoir.be/495207/article/actualite/fil-info/fil-info-monde/2014-03-16/etats-unis-livrent-des-milliers-d-armes-l-irak

    Les Etats-unis ont livré des missiles Hellfire, des fusils M4 et des centaines de milliers de balles, a indiqué dimanche l’ambassade américaine à Bagdad.
    Ces livraisons font partie des efforts américains pour aider l’Irak à combattre les groupes insurgés installés dans le pays, notamment l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), alors que le pays est frappé par une vague de violences que les autorités ne parviennent pas à arrêter.

  • Mardi soir, le fils du ministre des transports irakien rate son avion pour le vol Beyrouth-Bagdad. À mi-vol, le vol est annulé, retour vers Beyrouth pour les 70 passages, suite au refus de autorités aéronautiques irakiennes de laisser l’avion se poser à Bagdad sans le fils du ministre. Scandale sur les réseaux sociaux ; cet article est toujours le plus populaire sur le site du Daily Star :
    http://www.dailystar.com.lb/News/Lebanon-News/2014/Mar-06/249455-mea-iraqi-officials-son-misses-flight-plane-sent-back.ashx

    Aujourd’hui, il semble que les autorités irakiennes ont trouvé le fusible à faire sauter. Un obscure préposé à l’aéroport de Bagdad vient d’être arrêté.

    Baghdad airport official arrested following MEA flight fiasco
    http://www.dailystar.com.lb/News/Lebanon-News/2014/Mar-07/249536-travellers-caught-in-mea-flight-fiasco-leave-for-baghdad.ashx

    A “special security force from the office of the Armed Forces Commander” arrested Baghdad Airport Assistant Manager Samer Kibbeh during a raid on his office late Thursday night, according to an article published on Iraq’s Al-Sumaria TV channel website Friday.

  • MAJ = REFLEXIONS SUR LA DECOUVERTE DE LA PLUS VIEILLE PYRAMIDE AU MONDE EN UKRAINE + LA DOMINATION ILLUMINATI et la guerre qui s’y met en place ?
    http://www.brujitafr.fr/article-reflexion-sur-la-decouverte-de-la-plus-vieille-pyramide-au-monde-e

    Map of Crimea with the supposed underground pyramids south of Sebastopol A possible connection to the Ring of Brogdar/Scotland is claimed by Graham Hancock Questions : où les PREMIÈRES Troupes ont-elles été dirigées quand elles ont été envoyé en Irak ? Réponse : le Musée de Bagdad. Pourquoi ? Si vous voulez certaines des réponses assurez vous d’investir un peu de votre « temps » a découvrir pourquoi … Les Réponses Sont Là Pour Ceux qui sont prêts à ouvrir le yeux … Ce n’est pas le Pétrole, l’Argent, l’Or etc.., c’est votre Esprit qui est enjeux" tout ce qui fait de l’homme un être exceptionnel, intelligent, éveillé… Bien sur le reste (...)

  • Dans la série « Régis est un con », aujourd’hui, Régis au jihad.

    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/02/10/en-irak-une-formation-aux-attentats-suicides-tourne-mal-et-fait-22-morts_436

    En Irak, une formation aux attentats-suicides tourne mal et fait 21 morts

    Un groupe de djihadistes sunnites a été décimé dans une explosion accidentelle, lundi 10 février, dans un camp d’entraînement situé au nord de Bagdad, dans une zone rurale de la province de Samarra. Au moins 21 militants sont morts dans l’explosion. Selon le New York Times, qui cite des sources policières et de l’armée, un instructeur du groupe djihadiste de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) a fait détonner une ceinture explosive alors qu’il en démontrait l’usage. Selon l’AFP, qui cite également des responsables de sécurité locaux sans identifier le groupe, il s’agissait non d’une ceinture mais d’un véhicule piégé, et l’explosion a eu lieu durant le tournage d’une vidéo de propagande.

    Rappellera à n’en point douter, à ceux qui ont la chance de le voir, ce petit bijou d’humour britannique qu’était « Four Lions » (pour les autres, il est toujours temps de se rattraper !) :

    http://www.youtube.com/watch?v=VCpVh8Wox1U

  • En Irak, une formation aux attentats-suicides tourne mal et fait 22 morts
    http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/02/10/en-irak-une-formation-aux-attentats-suicides-tourne-mal-et-fait-22-morts_436

    Un groupe de djihadistes sunnites a été décimé dans une explosion accidentelle, lundi 10 février, dans un camp d’entraînement situé au nord de Bagdad, dans une zone rurale de la province de Samarra. Au moins 21 militants sont morts dans l’explosion. Selon le New York Times, qui cite des sources policières et de l’armée, un instructeur du groupe djihadiste de l’Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL) a fait détonner une ceinture explosive alors qu’il en démontrait l’usage. Selon l’AFP, qui cite également des responsables de sécurité locaux sans identifier le groupe, il s’agissait non d’une ceinture mais d’un véhicule piégé, et l’explosion a eu lieu durant le tournage d’une vidéo de propagande.

    #gorafi_encore_plagié #darwin_awards

  • Clichés arabes (4)

    L’image du jour : le logo de « rabia » (les pro-Morsi) dans les souks de Bagdad. Deux remarques : 1) l’opinion voit les choses différemment que ses dirigeants 2) ce petit business de la communication politique vient tout droit de Turquie !

    http://162.13.30.35/Web/elaphweb/Resources/images/Politics/2013/12/week2/scarffffffffff.jpg

    http://162.13.30.35/Web/elaphweb/Resources/images/Politics/2013/12/week2/Clockrabea.jpg

    (la source : http://www.elaph.com/Web/news/2013/12/856796.html?entry=Iraq)

    #clichés_arabes

  • Iran : Paris rouvrira début 2014 son poste d’attaché commercial à Téhéran — De Bagdad à Jérusalem : L’Orient indiscret
    http://blog.lefigaro.fr/malbrunot/2013/11/iran-paris-rouvrira-debut-2014.html
    Par Georges Malbrunot le 22 novembre 2013

    Paris se dotera en début d’année prochaine d’un nouveau représentant en charge des affaires économiques et commerciales auprès de son ambassade à Téhéran.

    Le poste avait été supprimé il y a quelques années, la France ne souhaitant pas que ses entreprises investissent dans un pays accusé de préparer la bombe.

    Depuis des mois, anticipant un dégel entre les Etats-Unis et l’Iran, les industriels et les diplomates français sur place à Téhéran militaient pour la réouverture de ce poste. Mais jusqu’à présent, le Quai d’Orsay s’y opposait.

    Pendant ce temps, les Italiens ont doublé leur effectif de commerciaux à leur ambassade et « même les Britanniques, longtemps vus comme le petit Satan par les Iraniens derrière les Etats-Unis, sont désormais très actifs pour revenir sur le marché iranien », constate avec dépit un homme d’affaires français familier de l’Iran.

    De son côté, le Médef organisera fin janvier, début février une mission en Iran avec la présence de chefs d’entreprises, intéressés par ce vaste marché de 80 millions de consommateurs.

    « Hélas, on risque d’arriver après tout le monde », fulmine l’industriel français, qui redoute les retombées négatives de la posture diplomatique de Paris en pointe pour empêcher l’Iran d’avancer vers la bombe, comme les négociations de Genève l’ont récemment montré.

    « Les responsables iraniens sont furieux », reconnaît un autre homme d’affaires français à Téhéran. « Ils risquent de nous le faire payer », ajoute-t-il.