city:barre

  • Haute-Provence | Suicide d’un instituteur : une “erreur matérielle” dans sa suspension
    https://www.ledauphine.com/haute-provence/2019/06/08/suicide-d-un-instituteur-une-erreur-materielle-dans-sa-suspension

    Deux jours après avoir été suspendu à titre conservatoire, l’instituteur de 32 ans qui enseignait à Barrême a mis fin à ses jours jeudi 2 mai. Le syndicat FO demande une enquête administrative sur une erreur matérielle dans le premier arrêté de suspension.

    Il avait 32 ans, il enseignait à l’école Victor-Hugo de Barrême, au sud de Digne-les-Bains. Il a mis fin à ses jours le 2 mai dernier. Deux jours avant, il avait été suspendu par l’académie “à titre conservatoire”. Une mesure en lien avec un signalement qu’un parent d’élève aurait fait. “Il n’a pas supporté cette mise en cause”, affirment cette semaine les représentants Force ouvrière au comité technique académique. Selon nos informations, au 30 avril, aucune plainte auprès des forces de l’ordre n’avait été formulée contre l’instituteur de Barrême.

    L’enseignant n’a jamais été mis en examen

    Le syndicat met en exergue une “erreur” dans l’arrêté de suspension remis à l’enseignant. Le 30 avril, lorsque l’instituteur est reçu par l’inspection d’académie, on lui remet un arrêté de suspension portant la mention “vu la mise en examen de l’intéressé en date du 17 avril 2018 et son placement sous contrôle judiciaire”.

    L’enseignant n’a jamais été mis en examen pour quoi que ce soit et encore moins placé sous contrôle judiciaire. En revanche, le 17 avril 2018, un autre instituteur du département, à Entrevaux, était mis en examen et placé sous contrôle judiciaire pour “corruption de mineur”. Pour FO, l’académie a agi “sans précaution”.

    Le 2 mai, un nouvel arrêté est édité pour annuler et remplacer le précédent “suite à une erreur matérielle”. Posté le même jour, le courrier arrivera après le décès de l’enseignant.

    Un « vice de forme suite à un copié-collé »

    De son côté, l’académie reconnaît « le vice de forme suite à un copié-collé » et détaille la procédure. « Il a été reçu le 30 avril par la division du personnel, l’inspectrice académique et le secrétaire général de la direction académique pendant près d’une heure », précise la direction académique. Un entretien à l’issue duquel la suspension lui aurait été notifiée oralement avant la remise de l’arrêt. « Il était parfaitement informé des faits pour lesquels il était suspendu à titre conservatoire, mesure qui ne préjuge de rien. »

    Le CHSCT académique sera saisi

    Les représentants Force ouvrière au comité technique académique demandent au recteur de “diligenter une enquête administrative pour faire toute la lumière sur les raisons de l’arrêté erroné” remis à l’instituteur. Ils demandent aussi la saisine du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) académique “pour éviter toute situation de conflit d’intérêts dans les Alpes-de-Haute-Provence”, et le classement du décès en accident de travail.

    Hier soir, la direction académique et le rectorat ont confirmé que le CHSCT académique serait bien saisi et une enquête administrative diligentée. Le tout à la fin de l’enquête judiciaire en cours, ouverte après la découverte du corps de l’enseignant.

    #erreur_matérielle #vice_de_forme

  • Gisti+-+Fonctionnement+du+site
    https://www.gisti.org/spip.php?article4

    Si+vous+découvrez+le+site,+cette+page+est+faite+pour+vous.+Vous+trouverez+ci-dessous+la+présentation+des+éléments+actifs+de+la+page.+Barre+de+navigation+

    Pour+vous+rendre+dans+une+rubrique,+cliquez+sur+l’icône+correspondante.+Pour+plus+d’information+sur+le+classement+des+pages,+vous+pouvez+également+consulter+le+plan+du+site.++++Le+site+web+Un+mot+pour+vous+confirmer+que+vous+êtes+sur+le+site+du+GISTI.++Le+Gisti ?+Tout+ce+qui+dresse+l’autoportrait+de+l’association,+de+son+travail,+et+un+guide (...)

  • [Hautes Alpes] Soirée de soutien au Chum de Veynes, à Barrêt-sur-Méouge
    https://grenoble.indymedia.org/2018-05-01-Hautes-Alpes-Soiree-de-soutien-au

    Soirée de soutien au Centre d’Hébergement d’Urgence aux Mineurs Isolés (CHUM). 17 heures : Discussions et projections. à partir de 18 heures : Petite restauration et buvette. 20H30 : concerts avec : Marionèle (chanson). La Riff et nos Men (rap pop). Babel Buëch Madam Terminus : station tropicale Entrée à prix de soutien : 5, 7, 10 euros et plus… Événement porté par les associations Écoloc’, et co-organisé avec le groupe Babel Buëch Madam Réservation, hébergement : 04 92 55 49 25 mail (...)

    #Agenda

  • (7) Soutien à la journaliste Nadia Daam, menacée par des trolls - Libération
    http://www.liberation.fr/france/2017/11/03/soutien-a-la-journaliste-nadia-daam-menacee-par-des-trolls_1607591

    Pas des trolls, des cyberharceleurs. Que fait la justice ?

    Attaques contre ses comptes électroniques, injures pornographiques, menaces de mort, menaces de viol, menaces sur son enfant, tentative d’intrusion à son domicile au milieu de la nuit : voilà ce que subit une journaliste pour avoir dénoncé, dans une chronique diffusée sur Europe 1, le sabotage d’un numéro de téléphone destiné à aider les femmes victimes de harcèlement de rue par des activistes issus de ce forum 18-25, lieu d’une parole libre qui parfois dérape dans une violence faussement ludique. Ce qui arrive à Nadia Daam depuis cette chronique lui donne tragiquement raison.

    #Cyberharcèlement #Forum_jeux_vidéo #Fachosphère

    • Une « campagne de cyber-harcèlement » d’après l’expression d’Europe 1, orchestrée par des « trolls » œuvrant sur le « Forum Blabla 18-25 ans » du site internet #Jeuxvideo.com. Cet espace de discussion en ligne, qui appartient au groupe Webedia du milliardaire #Marc_Ladreit_de_Lacharrière, est connu pour être un repaire actif de militants antiféministes, dont certains sont proches de la fachosphère.

      J’ai déjà entendu ce nom là quelque part.


      Mais oui ! bien sur, le voilà ce gros plein de thunes avec tous ces amis.es
      qui est le milliardaire Marc Ladreit de Lacharrière ?
      http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2017/article/2017/01/26/marc-ladreit-de-lacharriere-l-influence-des-salons-et-de-l-argent_5069370_48

      C’était en mai 2010. Sous les ors de l’hôtel Matignon, François Fillon recevait La Revue des deux mondes et célébrait un numéro spécialement consacré à Philippe Séguin, disparu quelques mois plus tôt. De son pupitre, le premier ministre avait salué les orphelins de l’ancien président du RPR et les contributeurs exceptionnels de ce hors-série. Parmi eux, « Marc Ladreit de Lacharrière, membre de l’Institut », ainsi que le clame chaque mois la couverture orange de la plus vieille et balzacienne revue française.

      La Revue des deux mondes, dont Pénélope Fillon a touché 5 000 euros brut par mois entre mai 2012 et décembre 2013, n’est qu’une toute petite parcelle du vaste empire Fimalac. Finance, hôtellerie, immobilier, loisirs, digital, spectacles, presse, le holding de Marc Ladreit de Lacharrière, créé en 1991, pèse aujourd’hui 3 milliards d’euros en Bourse. La vieille dame de bientôt 200 ans est à la fois l’antiquité du groupe et le salon littéraire et politique de « MLL », comme on l’appelle. Mieux que Fitch, cette agence de notation qui fait la loi dans le CAC 40, davantage encore que « sa » salle Pleyel rachetée en 2016, la revue raconte les manières de ce milliardaire de 76 ans soucieux d’être dans le monde – du club Le Siècle au cercle Bilderberg en passant par le Jockey Club.

      Au George V, palace des Champs-Elysées, les dîners-débats de la revue voient chaque mois se succéder les grands de la politique française : François Fillon, mais aussi Giscard, Barre, Sarkozy, Hollande, Fabius, Le Drian, Ayrault.... « Ladreit » n’est jamais aussi heureux que lorsqu’il peut présenter à un ministre un chanteur, un architecte, un banquier ou un intellectuel – et inversement. De sa main droite, le « grand mécène » du Louvre, 32e plus grosse fortune de France, donne de l’argent aux arts ; de l’autre, il prodigue expertises et avis à ses amis. François Fillon, par exemple.

      Le 21 septembre 2007, le premier ministre...

      Inutile d’aller plus loin, le reste de l’article est protégé.

  • affordance.info : Open Access Week 2017. On s’en bat (malheureusement encore) les couilles.
    http://affordance.typepad.com//mon_weblog/2017/10/open-access-week-2017.html
    http://www.affordance.info/.a/6a00d8341c622e53ef01b8d2b7b29d970c-600wi

    La saine colère d’Olivier Ertzscheid

    Mais le combat que nous avons à mener aujourd’hui est - à mon sens en tout cas - beaucoup plus urgent et fondamental : il faut que les résultats de la recherche publique, tous les résultats de toutes les recherches publiques, soient accessibles publiquement, intégralement, immédiatement et définitivement en dehors de tout cadre marchand. Point. Barre. Il faut que plus jamais, vous m’entendez bien, plus jamais une université publique ne soit obligée de débourser le moindre centime pour accéder à des résultats de la recherche publique**.

    Par ailleurs et pour autant qu’elle vous intéresse, voilà ma résolution pour cette semaine de l’Open Access : à compter de ce jour et chaque fois que j’entendrai un collègue se plaindre (à raison) de la baisse du budget, du manque de moyen et autres gémissements de nature pécuniaire concernant les conditions d’exercice de son métier, je lui demanderai poliment si l’ensemble de ses publications scientifiques sont déposées en accès ouvert. S’il me répond que non, je lui demanderai alors tout aussi poliment mais fermement de fermer sa bouche.

    Avant de lui expliquer une dernière fois quelle somme astronomique pourrait revenir dans le giron des universités et de la recherche publique si chacun, à commencer par lui, faisait simplement son travail, son vrai travail, son seul travail, le seul travail pour lequel il est payé par l’état : partager la connaissance qu’il produit pour qu’elle soit immédiatement, totalement et de manière pérenne, accessible pour ceux qui en ont besoin. C’est à dire l’ensemble des putains d’habitants de cette putain de charmante planète.

    #Olivier_Ertzscheid #Open_access #Publications_scientifiques #Accès_libre

  • Les 40 ans de dérégulation qui ont mis le code du travail en miettes
    https://www.mediapart.fr/journal/france/280617/les-40-ans-de-deregulation-qui-ont-mis-le-code-du-travail-en-miettes

    Depuis les premiers stages Barre en 1977, la #France a connu une avalanche de réformes du code du travail, accroissant massivement la flexibilité et la précarité. L’examen de ces lois soulève une question : est-il urgent d’en ajouter une autre ?

    #Economie #marché_du_travail #précarité #réforme_du_code_du_travail

  • Trois labels célèbrent Joëlle Léandre
    http://www.citizenjazz.com/Trois-labels-celebrent-Joelle-Leandre.html

    Il fallait au moins ça !
    Trois labels majeurs, trois maisons de disques françaises, Fou Records, Nato et RogueArt, s’associent pour fêter les 40 ans de carrière de #Joëlle_Léandre en organisant un concert
    le 28 novembre à l’Eglise Saint-Eustache à Paris, en présence de la contrebassiste.
    Elle n’y sera pas seule.
    Le violoniste, altiste américain Mat Maneri (partenaire de Cecil Taylor, Paul Motian, Marilyn Crispell, Craig Taborn, Barre Phillips…), la chanteuse écossaise Maggie Nicols (John Stevens, Johnny Dyani, Keith Tippett, Phil Minton, Robert Wyatt, Dudu Pukwana…) et la tromboniste française Christiane Bopp (Kent Carter, Dominique Pifarély, Hélène Breschand …), qui figure dans le tentet de Joëlle Léandre, la rejoindront.

    Cette soirée sera l’occasion de revenir sur ce parcours émeraude.

    Les places peuvent être pré-achetées en suivant ces liens :
    http://web.roguart.com/shop/album/id/109 (tarif plein à 12 euros)
    http://web.roguart.com/shop/album/id/110 (tarif réduit à 8 euros : étudiants, chômeurs, RSA)

    #whouah #ça_va_être_top !

  • L’école c’est de la merde ! - Nébuleuses
    http://nebuleuses.info/enfances/article/l-ecole-c-est-de-la-merde

    On avait envie de vous proposer pour la rentrée un petit témoignage bien vénère. Témoignage d’un lycéen qui n’en peut plus et refuse de se lever tout les matins pour se faire formater par une institution qui le révulse. On est peut-être pas les mieux placés pour critiquer une institution qui nous a nous même formaté et dont a profité. Mais c’est un texte qui permet de réfléchir autrement et surtout un bon défouloir ! Alors on le placarde devant les écoles, les collèges et les lycées ?

    L’école, c’est de la merde !

    Pourquoi ?

    Liste de raisons (incomplète, bien sur) !

    *

    TOUT LE MONDE Y PENSE, TOUT LE MONDE L’OUBLIE

    PERSONNE SE BARRE, TOUT LE MONDE SUBIT

    *

    Parce qu’on en a ras le cul de se faire lever tout le matin par un réveil, qui nous empêche de finir notre nuit comme notre corps en aurait envie.

    Parce qu’on en a ras le cul d’être en cours sans pouvoir parler, sans pouvoir aimer, sans pouvoir rêver, sans pouvoir bouger, sans pouvoir respirer l’air de la nature, sans pouvoir rien faire, obligé de rester entre 4 murs.

    Parce qu’on en a ras le cul d’entendre le prof d’histoire parler de la France comme si c’était notre maison, notre amie et que ses victoires étaient les nôtres.

    Parce qu’on en a ras le cul que dés qu’on sèche, tout le monde nous dise qu’on devrait avoir « mauvaise conscience » alors que l’on a simplement profité d’un moment de liberté et qu’eux ils sont allés se faire chier.

    Parce qu’on en a ras le cul que tout le monde pense que si on n’a pas de diplôme, pas de travail, pas d’argent, on peut pas vivre.

    Parce qu’on en a ras le cul de voir les autres regarder le prof comme si c’était une télé.

    Parce qu’on en a ras le cul d’être formaté en consommant l’enseignement que nous donne l’éducation de masse.

    Parce qu’on en a ras le cul de pas pouvoir dire qu’on en a ras le cul, parce que si on le dit on a comme réponse : "qu’est-ce que tu proposerais, toi ?", "Si l’école n’était pas là, tu saurais même pas lire", ou encore "c’est la vie..."

    Parce qu’on en a ras le cul d’entendre des arguments que tout le monde dit sans y croire.

    Parce qu’on en a ras le cul d’essayer de se cacher que l’école c’est de la merde alors qu’on le sait très bien.

    Parce qu’on en a ras le cul que nos seuls droits soient ceux qu’on nous donne et pas ceux que l’on prend.

    Parce qu’on en a ras le cul d’être surveillé, fliqué, réprimer, puni.

    Parce qu’on en a ras le cul que même quand on est dehors il y ait des caméras qui nous filment pour nous dire que le big boss nous a à l’œil et que même si on est dehors on est pas libre.

    Parce qu’on veut profiter de notre enfance et notre vie.

    Parce qu’on veut trouver l’ivresse de la liberté et qu’on sait qu’elle ne se trouve certainement pas à l’école.

    Parce qu’on veut pouvoir sortir des normes.

    Parce qu’on veut aimer et faire tout ce qu’on a envie de faire qu’on soit dans la cour ou en cours.

    Parce qu’on veut vivre en accord avec nous-mêmes, et que si on va à l’école, on risque de devenir un sale bâtard qui a du pouvoir et de l’argent.

    Parce qu’on veut pouvoir montrer nos nombrils et même plus.

    Parce qu’on veut pas attendre d’avoir 60 ans (ou plus) pour pouvoir vivre librement (d’ailleurs à 60 ans, avec tout le conditionnement qu’on a subit, si on est allé à l’école ou qu’on a travaillé, on ne sait même plus ce qu’est la liberté)

    Parce qu’on veut pas de leur faux respect et qu’on veut se respecter vraiment.

    Parce qu’on veut pas perdre notre vie à la gagner.

    Parce qu’on veut pas rester en cours alors que dehors le système enlève des vies.

    Parce qu’on sait que l’école n’est pas vraiment "laïque", qu’en fait sa religion s’appelle le " républiquisme ".

    Parce qu’on sait que le cliché de l’élève qui se libère à l’école n’est réservé qu’à une élite qui devient soit bourges soit dirigeant.

    Parce qu’on sait que l’école est une arme du système pour que les élèves aillent dans le "bon chemin".

    Parce qu’on sait que l’école possède un immense pouvoir politique en pouvant faire des enfants de gentils (con)citoyens, qui croient en cette connerie de démocratie que l’école représente bien d’ailleurs.


    Parce qu’on sait que si parfois les profs nous interdisent de regarder par la fenêtre, c’est pour nous empêcher de rêver, c’est pour nous habitué à être enfermé et à regarder des choses sans vie (pour qu’on fasse pareil quand on est chez nous en regardant la télé), alors que dehors, la nature peut nous apporter plein d’enseignement vivant.

    Parce qu’on sait que l’école, par un système technologique de gestion des absences/retards et de notre vie écolière, nous habitue à être considéré comme des produits, des machines, des pions, des numéros, des cartes d’identités, des donnés biométriques, des séquences ADN etc.

    Parce qu’on trouve ça horrible qu’il y ait des espèces de barres aux fenêtres qui servent à empêcher les élèves de se suicider. Si elles sont là, c’est qu’il y a une raison, et cette raison c’est qu’il y a des suicides dans les écoles, et s’il y a des suicides dans les écoles c’est parce qu’elles sont, rien que par leur structure qui est carcérale, inhumaine, "robotaine" et qu’elles poussent à la dépression, à la folie, à la méchanceté, à ne pas écouter les autres (parce qu’on pense qu’au cours si on veux réussir), à l’égoïsme... et ceci en lançant, et en cultivant, des cercles vicieux que, nous, humains ne pouvons pas comprendre (surtout si nous sommes dedans).

    J’ai écrit cette brochure parce que j’en ai ras le cul de cette école et de tous les arguments à la con que me disent les autres alors qu’en fait, ils en ont ras le cul eux aussi et pensent au moins la moitié de ce qu’il y a dans cette brochure. Je l’ai écrit aussi parce que je vais quitter le système scolaire (premier pas pour quitter le système général) et que ça me rend triste de laisser tous ces humains, ces frères, pourrir dans ces écoles (dans ce système) Je pense que l’esprit de toutes les personnes qui sont à l’école est traversé par certaine de ces raisons à un moment ou un autre, mais, malheureusement, les efface avec une auto-censure du type : "oui, mais il n’y a pas le choix", "c’est quand même mieux qu’avant" etc. et s’habitue à la merde qu’est l’école. En réalité, cette merde n’est pas une fatalité : dans nos rapports avec la hiérarchie, et le système en général, nous pouvons chaque jour montrer aux autres humains, pions de cette société, l’illogisme de cette dernière et la déshumanisation qu’elle provoque. Essayer de se comporter le plus librement (humainement) possible dans son école me semble une bonne chose, cela conduit inévitablement à la porte (sauf si parmi vos supérieurs, certain préfèrent obéir à eux-mêmes qu’à la loi) ; "la meilleure façon de se rendre compte de la pourriture du système c’est d’essayer de le quitter"

    Un lycéen en rage

    Le texte est recopié ici en intégral, des fois que ... Le lien vers la source donnée par « Nébuleuse », en l’occurrence « descolarisation.org », nous apprend que « le site est fermé » (par qui ? pourquoi ?) ...

    #déscolarisation #enfermement #ennui_à_l'école #formatage #éducation

  • Barre OLED et TouchID pour les nouveaux MacBook Pro
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/ordinateurs/32704-barre-oled-et-touchid-pour-les-nouveaux-macbook-pro.html

    On parlait cet été d’une possible nouveauté pour les prochains MacBook Pro et à en croire MacRumors qui a fouillé dans la dernière version de macOS Sierra, des images confirment ces hypothèses. La barre qui contient les touches fonctions serait ainsi de l’histoire ancienne et laisserait sa place à une barre OLED... [Tout lire]

    #Systèmes_complets

  • Barre OLED et TouchID pour les prochains MacBook Pro ?
    http://www.comptoir-hardware.com/actus/ordinateurs/32177-barre-oled-et-touchid-pour-les-prochains-macbook-pro-.html

    Les innovations chez Apple - comme chez d’autres constructeurs d’ailleurs - arrivent au compte-gouttes et le renouvellement des MacBook Pro serait enfin l’occasion de se mettre quelque chose sous la dent. D’après 9to5mac on retrouverait ainsi un bouton TouchID pour pouvoir s’authentifier sur sa machine, il pourrait d’ailleurs être couplé au bouton power de la même façon que sur les iBidules où le bouton Home sert aussi de capteur TouchID... [Tout lire]

    #Systèmes_complets

  • NON AU CAMP DE SALERANS de Jeune Nation ! RASSEMBLEMENT samedi 9 juillet 2016 à 11h @ Barret-sur-Méouge !
    https://nantes.indymedia.org/articles/35197

    Du 11 au 17 juillet 2016, Jeune Nation organise un « camp école » dans la commune de #salérans, village des Hautes Alpes (05) dans la vallée de la Méouges, proche de Sisteron. Cest un camp interdit aux Femmes (sauf à celles du groupe nationaliste Caryatides) aux Noirs, Arabes, Juifs, Rom-e-s, Homosexuel-les etc… et qui se réunit sur ce même lieu depuis 3 ans, avec pour thème cette fois, la réhabilitation de Pétain. Cette organisation d’identitaires d’extrême droite, raciste, antisémiste, sexiste, homophobe et fasciste est issue de l’Oeuvre Française et des Jeunesses Nationalistes. Ainsi, nous appelons toutes et tous à nous rejoindre pour agir contre ce camp, son organisation et les idées qu’il propage, #en participant notamment au rassemblement du samedi 9 juillet, sur la place du village de (...)

    #Racisme #Resistances #-ismes #tout #genres #_anarch-fémin #antifascisme #Racisme,Resistances,-ismes,en,tout,genres,_anarch-fémin…,antifascisme

  • Antoine Bozio, Gabrielle Fack, Julien Grenet (dir.), Les allocations logement, comment les réformer ? un note de lecture sur un ouvrage qui proposait une réforme qui n’a pas été retenue
    http://lectures.revues.org/19452

    Les #allocations_logement sont une composante essentielle des #politiques_sociales en France, puisqu’elles représentent, en volume, la principale prestation versée aux ménages modestes . Leur visibilité dans le débat public ne correspond pas à cette place, ce qui est souvent le cas en matière de logement. Les controverses qu’elles suscitent portent fréquemment sur des aspects ciblés comme le #logement #étudiant. Ce petit ouvrage (94 pages), issu d’un programme scientifique du Cepremap, s’intéresse à la question récurrente de la #réforme de ces allocations en offrant à la fois un état des lieux et une proposition de refonte visant à unifier les prestations sociales versées aux plus modestes : les allocations logement, le revenu de solidarité active (RSA) et la prime pour l’emploi (PPE) . Écrit par des économistes travaillant sur les politiques publiques plus que par des spécialistes du logement (à l’exception de Gabrielle Fack), il présente l’intérêt de relier la critique des politiques du logement à une réforme plus large des politiques sociales. Il fait écho à une littérature, pour partie académique et pour partie institutionnelle ou à visée opérationnelle, sur la réforme du « #système_socio_fiscal » français, au sein de laquelle on peut citer les travaux d’Alain Trannoy et Étienne Wasmer au conseil d’analyse économique.

    Instaurées en 1948 pour éviter que les ménages les plus modestes soient pénalisés par la hausse des loyers, les allocations logement sont restées secondaires dans les politiques du logement jusqu’au #plan_Barre de 1977 qui met notamment en place les #APL (aides personnalisées au logement). Dans un contexte de montée des critiques adressées au #logement_social, aux grands ensembles, et aux aides publiques aux constructeurs (les « #aides_à_la_pierre  ») il s’agit de faire bénéficier directement les ménages des prestations logement afin de desserrer les contraintes auxquelles ils font face sur le marché résidentiel. Progressivement, ces « aides à la personne » ont vu leur importance grandir. Elles sont versées à 6 millions et représentent environ la moitié des dépenses de la politique du logement (20 milliards d’euros par an sur 41, le reste se répartissant entre 6 milliards pour les aides à la construction et 15 milliards en avantages fiscaux destinés à favoriser la construction et la réhabilitation). Le coût de ces aides comparé à la persistance de difficultés d’accès au logement et du fait que les locataires de logements privé aient vu le poids du logement dans leur budget s’accroître fortement, justifient aux yeux des auteurs un examen critique.

    Ils soulignent pourtant leur #caractère_redistributif : 70 % des ménages appartenant au premier décile de revenu perçoivent des aides au logement (et moins de 10 % à partir du 6e décile). Les allocations logement sont plus importantes, en volume, que les deux autres aides considérées dans le texte, RSA et PPE (représentant respectivement 0,8 % 0,4 % et 0,1 % du PIB) . Elles se révèlent moins stigmatisantes [sic] que le RSA, et moins touchées par le problème du #non_recours. Elles assurent également une certaine redistribution horizontale entre zones géographiques (car les aides sont plus élevées dans la région parisienne, où les loyers sont également plus hauts). Leur complexité est réelle, parce qu’il existe plusieurs prestations différentes, mais surtout à cause du calcul du barème. Les quelques pages consacrées à ce point, quoique techniques, sont d’ailleurs très claires et utiles même aux spécialistes, confirmant bien que pour la majorité des bénéficiaires le montant de l’aide est déconnecté de celui du loyer et s’apparente « à une prestation sociale comme une autre », qui décroit en fonction du #revenu. En dépit de cette complexité, elles constituent l’un des piliers des politiques sociales en France.

    Les trois principales critiques adressées par les auteurs à ce système ne portent toutefois pas sur cette complexité. Les deux premières sont assez classiques dans l’analyse économique des politiques publiques. Il s’agit d’abord d’interroger la pertinence d’une aide affectée, qui peut relever d’un certain paternalisme (dicter aux ménages pauvres les « bonnes » dépenses) et induire des distorsions en favorisant la consommation de certains biens et services (en l’occurrence le logement). La seconde critique porte sur les effets négatifs en matière de reprise d’#emploi. Les allocations logement ne sont pas ici seules en cause : c’est leur mauvaise articulation avec le RSA et la PPE qui est en cause. La « double #dégressivité » (p. 49), c’est-à-dire la baisse concomitante du RSA et des allocations logement en cas de hausse des revenus d’activité serait ainsi une désincitation à la reprise d’emploi.

    La troisième critique concerne plus spécifiquement le marché du logement. Elle est plus discutée que les précédentes et étayée par des études récentes, en France et à l’étranger. Elle porte sur l’#effet_inflationniste des aides, c’est-à-dire sur le fait que le montant des allocations est en grande partie absorbé par l’élévation du niveau des loyers, de telle sorte qu’elles bénéficient in fine aux propriétaires. C’est le point clé de l’argumentaire développé dans cet ouvrage. Les travaux cités convergent pour montrer que cet effet existe et qu’il est important, un euro d’aide versé se traduisant par une hausse de loyer allant de 60 à 78 centimes (selon les travaux et les contextes étudiés). Plusieurs raisons sont examinées : la surconsommation [sic] de logement est invoquée (les aides incitent à augmenter les dépenses des ménages dans le logement et, l’offre étant peu élastique, ce surcroit se traduit par une hausse des prix), mais elle ne représente qu’une explication partielle. Le fait que les propriétaires bailleurs puissent aisément identifier les bénéficiaires (tout particulièrement dans certains cas comme celui des étudiants) et le montant des aides semble jouer un rôle déterminant dans la captation de celles-ci. Bien que convaincante l’argumentation laisse quelques points en suspens : le fait que cette hausse des prix correspond en partie à une amélioration de la qualité du logement des ménages modestes, l’ampleur exacte de la captation par les propriétaires, et surtout la part prise par cet effet inflationniste dans la hausse plus générale des loyers et des prix du logement (et donc de l’effet potentiellement désinflationniste qu’aurait l’abandon des allocations logement). Ce thème appelle donc d’autres travaux.

    Tirant les enseignements de ces différentes analyses, les auteurs en viennent ensuite à ce qui constitue l’objectif de l’ouvrage, la proposition d’une réforme visant à fusionner aides au logement, RSA et PPE en une prestation unique, non affectée, qui permettrait d’éviter ou de réduire les effets négatifs pointés ci-dessus. Son montant varierait proportionnellement au revenu, de façon à éviter les seuils et les effets d’étiquetage qui lui sont associés. Le texte s’attache à décrire les modalités de cette prestation, et raisonnant à budget égal, à déterminer qui en seraient les « gagnants » et les « perdants ». Parmi les premiers figurent ceux qui sont actuellement mal pris en compte par le RSA (les plus jeunes) ou par les aides au logement (les propriétaires les plus modestes), tandis que les seconds se compteraient parmi ceux qui cumulent les deux (notamment des ménages sans autre ressource). Néanmoins, la redistribution opérée par ces aides serait globalement comparable à celle que l’on observe actuellement. On note ici le souci des auteurs de contribuer au débat public en apportant les éléments les plus précis et en se souciant de la faisabilité et du caractère réaliste de leur proposition. Ils soulignent d’ailleurs que l ’idée d’intégrer ces aides à l’impôt sur le revenu a été écartée car cela supposait une réforme préalable de cet impôt .

    Clair et concis, l’ouvrage sert efficacement la thèse des auteurs et constitue une contribution notable et bien étayée au débat sur la réforme du système social et fiscal français. Centré sur la question des allocations logement, il laisse volontairement de côté les autres aspects de la politique du logement ce qui peut laisser sur sa faim le lecteur intéressé par ces questions. Si ce choix s’explique par l’objet même de l’ouvrage, qui est de défendre une proposition de réforme, notons que ce parti pris laisse sans réponse la question des conséquences sur le marché du logement de l’abandon des allocations logement.

    voir les perdants de la réforme de l’APL
    http://seenthis.net/messages/425811

  • Mélissa et Alison en #service_civique à Pôle emploi, la parole au directeur de l’antenne.
    http://www.republicain-lorrain.fr/edition-de-forbach/2015/11/03/forbach-melissa-et-alison-en-service-civique-a-pole-emploi

    Vêtues de leur gilet bleu, siglé "service civique", les deux jeunes filles se repèrent facilement à l’#accueil de #Pôle_emploi. Mélissa Bekka, 19 ans, de Petite-Rosselle, et Alison Cokovic, 19 ans, de Henriville, ont démarré leur mission lundi à 9 h à l’agence de la Ville-Haute à Forbach. « Elles ne sont ni salariées, ni stagiaires, ni bénévoles », indique Pascal Thuillier, directeur, qui accueille, pour la première fois, des volontaires du service civique. « Une nouveauté chez nous. Pôle emploi de Lorraine a décidé d’ouvrir ses portes au service civique. » A Forbach, les deux agences accueillent chacune deux jeunes filles pour une mission de huit mois. « C’est une très bonne #expérience pour elles comme pour nous » , se réjouit Pascal Thuillier, mettant en avant la notion d’#intérêt_général et d’engagement de ce dispositif destiné aux 16-25 ans, « cela a un parfum de #cohésion_sociale. »

    Facilitateurs d’inclusion numérique

    Plongées dans le grand bain dès leur arrivée, Alison et Mélissa se sont immédiatement retrouvées en contact avec le public. « Leur mission consiste à aider les #usagers [9alors, il disent ni D.E ni candidats, ndc] qui arrivent en zone d’accueil, en particulier ceux qui rencontrent le plus de difficultés à utiliser nos nouveaux #services_numériques , détaille le responsable. Elles sont là, en renfort des animateurs de Pôle emploi, pour accompagner les gens un peu perdus dans l’utilisation des services digitaux, pour leur permettre de gagner en #autonomie. »

    D’ici juin, les jeunes volontaires seront également appelées à coanimer les ateliers de Pôle emploi sur les #services_à_distance. « Comme notre emploi store que nous avons mis en place récemment », souligne Pascal Thuillier, souhaitant que les deux recrues soient avant tout « des facilitateurs d’inclusion numérique. »

    Le directeur de l’agence insiste sur l’impact du numérique dans la recherche d’emploi : « Aujourd’hui, 89 % des #DRH utilisent internet. Un recrutement par ce biais dure trois semaines contre trois mois par la voie traditionnelle. Un demandeur d’emploi qui n’a pas de #CV_en_ligne et qui ne dispose pas de boîte mail va être pénalisé. »

    « Une vraie valeur ajoutée »

    Suivies par un tuteur durant toute leur mission Mélissa et Alison ont un statut spécifique. « Elles ont signé un contrat d’engagement du service civique, elles travaillent 24 heures par semaine chez nous et touchent des indemnités » [#467€34/mois, soit un peu plus que le montant du RSA, ce minimum que la classe politique a en 1988 interdit aux moins de 25 ans à l’initiative du PS, ndc], explique le directeur de Pôle emploi.

    Très heureux d‘accueillir les jeunes filles, Pascal Thuillier compte sur leur maîtrise de l’outil numérique pour développer le portail digital et améliorer les services rendus aux usagers.

    « Nos agences de Forbach sont particulièrement visitées dans un bassin d’emploi compliqué , note-t-il. Pour l’instant, nous n’avons qu’un CV sur trois en ligne, un niveau assez faible. Nous allons essayer de passer un cap avec nos volontaires, qui représentent une vraie valeur ajoutée. »

    Depuis les #stages Barre en 1976, le « manque d’expérience » des #entrants_sur_le_marché_du_travail a servi le prétexte pour les sous payer au nom de l’insertion dans le monde de l’entreprise et de l’emploi. Un phénomène dont l’ampleur a explosé durant le premier septennat socialiste (Travaux d’utilité collective, stage d’insertion à la vie professionnelle, etc.). On note que ces deux femmes sont en première ligne dans le travail de l’agence (accueil), quelles effectuent un travail de formation à partir d’une #qualification_gratuite (une maîtrise des outils informatiques, ici faiblement indemnisé par l’état, Pôle n’ayant rien à dépenser). L’#échelle_des_salaires comporte désormais une myriade de niveaux, une stratification accrue accompagnée d’une #individualisation, la destruction de ces valeurs collectives là a permis de faire exploser les #inégalités de salaires. It’smore fun to compete, et il n’y a pas d’alternative, sauf à rejoindre les casso’s, mais, la aussi, la #concurrence façonne fortement les moeurs.
    #B-scale_partout_Reagan_Thatcher_itou

  • Une Histoire politique des Wampas - Polémix et la voix Off
    http://www.polemixetlavoixoff.com/une-histoire-politique-des-wampas

    De 1983 à aujourd’hui, plus de 30 années d’Histoire et de politique française… via l’#Histoire des #Wampas… racontée par Didier Wampas !
    Avec dedans des vrais morceaux de Marchais, Giscard, Mitterrand, Fabius, Tapie, Chirac, Barre, Balladur, Sarkozy…
    Juin 2015 – 30ème édition du Festival Aucard de Tours – Radio Béton.

    #punks #anars #gauche_Canal+ #socialistes :-)
    “pinochet, fasciste, giscard, complice !” et #années_80

    par contre il est bien désabusé sur le #front_national

    http://polemix.dooz.org/histoiredeswampas.mp3

  • Le parlementaire somalien Abdulahi Qayad Barre assassiné
    http://www.argotheme.com/organecyberpresse/spip.php?article2422

    C’est le 6ème, 5 députés ont été déjà tués en 2014 en Somalie par le groupe terroriste locale « Al-Shabab ». Mogadiscio est livrée aux hordes de criminels qui abattent les politiciens, choisis en vertu de la p^lus banale stratégie de terreur. La présence des troupes étrangères, depuis 2011, une force africaine du maintien de la paix est déployée, notamment dans la capitale... Mais en vain, l’ennemi agit selon des méthodes déjà usitées ailleurs : les éliminations... Les forces de maintien de la paix, de l’UA, (...)

    international, suivi, grand événement, internationaux, monde, continent, Etats, conflits, paix,

    / Terrorisme , islamisme , Al-Qaeda , politique , , #fait_divers,_société,_fléau,_délinquance,_religion,_perdition, Afrique, Monde Arabe, islam, Maghreb, (...)

    #international,suivi,_grand_événement,_internationaux,_monde,_continent,_Etats,_conflits,_paix, #Terrorisme_,_islamisme,Al-Qaeda,politique,_ #Afrique,_Monde_Arabe,_islam,_Maghreb,_Proche-Orient,

  • Un village qui veut garder ses immigrés, des femmes de ménage d’un Palace en grève, cyber-djihadistes et liberté numérique
    http://www.franceinter.fr/emission-comme-un-bruit-qui-court-un-village-qui-veut-garder-ses-immigre

    COMME UN BRUIT QUI COURT http://rf.proxycast.org/947864165593128960/13947-11.10.2014-ITEMA_20678967-0.mp3

    durée : 00:54:34 - COMME UN BRUIT QUI COURT - par : Charlotte PERRY, Giv Anquetil, Antoine CHAO - En Lozère, le village de Barre-des-Cévennes se mobilise pour garder ses immigrés, les femmes de ménage du Royal Monceau en grève, et cyberdjihadistes versus libertés numériques, acte (...)

  • Contre les décisions iniques du préfet de Lozère, des villageois cévenoles font de la résistance

    Cévennes, terre de solidarité | L’Humanité
    http://www.humanite.fr/cevennes-terre-de-solidarite-549729

    Barre-des-Cévennes (Lozère), 
envoyé spécial. « Ils n’ont pas intérêt à y toucher, sinon on va se fâcher. En Lozère, l’accueil de réfugiés politiques est une tradition.  » François Rouveyrol est maire de Barre-des-Cévennes. Une commune de deux cents âmes fièrement accrochée aux reliefs cévenols, à plus de 900 mètres d’altitude. Il fustige Guillaume Lambert, le préfet du département et ancien directeur de campagne de Sarkozy, qui vient de signifier une obligation de quitter le territoire français (OQTF) à une famille tchétchène. Deux enfants et leurs parents accueillis et protégés depuis trois ans par la population du village.

    .../...

    «  Le gouvernement actuel joue sur la peur, dénonce l’élu. Peur de la crise, peur des étrangers. Mais c’est le capitalisme mondialisé qui déstabilise la vie des gens. Il faut inventer de nouvelles perspectives politiques. Pour les citoyens français comme pour ces personnes dont l’accueil est un devoir.  »

  • Bon dieu, il a gagné :-( Flamby a réussi à faire du fn le 1er parti de France... Tu réponds Valls aux français après la claque aux municipales, ils te répondent fn. T"as compris maintenant ?

    Barre à gauche, à gauche toute, mais pas vers cette fausse gauche du PS, du FdG, des écolos ou des antifas qui a oubié le pauvre, l’ouvrier, le prolo. Barre à gauche mais vers la gauche du peuple, vers celle où tu vas à l’hosto sans un rond mais t’es soigné quand même, vers celle ou le service public devient la référence, vers celle qui ne vendra pas l’université française à coups de lru, vers celle où les Bové disparaissent car ils ont trahi l’écologie, vers celle où après avoir commandé tes médicaments dans une pharmacie tu te retrouves pas en slip.

    Y’a Cosse à la tv, c’est à te dégoûter de l’écologie... Plus bas, c’est pas possible, on peut que remonter maintenant, enfin j’espère...

    #gôôôche

    • Mmmouais.... Cela dit Copé mets lui aussi la montée du fn sur le dos de hollande, pour des raisons diamétralement opposées, à savoir que hollande n’est pas assez à droite. Apparemment, pas mal de pays se retrouvent avec une augmentation de leur nombre de députés « eurosceptiques » et une abstention assez forte. En fait, l’europe, la plupart des gens s’en foutent et une grosse partie de ceux qui restent est radicalement contre. Je ne suis pas sûr qu’il faille verser dans la rhétorique de le pen en consacrant le fn premier parti de france.

    • Salut @simon4
      Regarde ta télé actuellement, Placé et Cosse mettent aussi la montée du fn sur hollande, Mélanchon également lui colle la responsabilité de la débâcle et chacun pour les raisons qui lui vont bien… Je comprends pas trop où tu veux en venir avec Copé.

      la novlangue c’est bien, la clarté c’est mieux : le prolo ne vote plus pour le ps, le Fdg ou les écolos (ils ont les bobos pour ça). Le prolo vote fn, c’est comme ça. Il ne le fait pas par vice, mais uniquement parce qu’il n’a aucune réponse du côté de ceux qui se vantent de parler en son nom.

      Le peuple doit naturellement voter à gauche mais Valls, c’est le contraire de la gauche, hollande pareil. STOP au traité de libre échange avec ces fondus d’US, STOP au remboursement d’une dette véreuse qui a pour effet de fermer, les uns après les autres, TOUS les services publics afin d’enrichir encore et encore une minorité d’ordures, STOP à cette fausse gauche (antifas et consort) qui embrume le combat des classes populaires, STOP à la pravda (journalisme français d’aujourd’hui) servile et à la botte des puissants.

      Ça change, je sais mais c’est le discours de #gauche auquel je crois encore.

    • Ils s’en foutent des élections, des gens et de tout le bordel. Ils sont les laquais du #capitalisme, lequel n’a plus trop envie de composer avec la #démocratie et qui pousse à la roue depuis des années pour pousser les fascistes sur le devant de la scène. Pourquoi ? C’est très simple. Le #fascisme a toujours été le bras armé du capitalisme : il sert à faire peur au peuple pour qu’il ferme sa gueule et produise plus sans faire chier avec ses revendications.
      Et c’est tout.

    • Je n’ai pas la télé pour pouvoir écouter ce que disent ces zozos. Ce que je veux dire avec Copé, c’est que le commentaire politique consiste souvent à exprimer l’opinion la plus avantageuse pour soi sans tenir compte de ce qui se passe, ce que fait copé, ce que font placé et melenchon. Chacun essaie de se placer du mieux qu’il peux dans ce jeu dégueulasse et ils tapent tous sur hollande qui est l’homme à abattre (c’est vrai qu’il l’a bien cherché). Je ne crois pas que le vote fn soit la réponse du peuple de gauche à la nomination de valls. Les prolos qui votent fn sont des cons même s’ils n’ont aucune réponse de ceux qui disent les représenter.
      Oui, hollande est le contraire de la gauche, mélenchon aussi et tous les autres, alors quand tu veux voter à gauche, tu fais comment ?
      De la même façon, si tu es contre l’europe et que tu ne veux pas voter fn, tu fais comment ?
      Les idées que tu exprime, butadaie, je les trouve simples et justes, mais où se trouve leur débouché politique ?

    • Ils servent à quoi, au fait, les euro-députés ?

      À avaliser ceci sûrement mais bon, on s’égare ...

      http://rue89.nouvelobs.com/2014/05/25/mondial-bresil-new-fantasy-bordel-comme-les-autres-acceptera-leuro-

      Pour le patron du bordel visé, Marcos Gonçalves, la pique du sélectionneur de l’équipe de France est le coup de pub parfait. Son complexe de nuit n’héberge pas de prostituées mais il possède une dizaine de chambres pour que les filles puissent travailler. Tout en faisant visiter les bars et la salle de strip-tease, il répond à Deschamps :

      « Tous les Français sont les bienvenus ici, les joueurs comme les journalistes. Nous sommes un lieu de haut standing, nous avons de jolies filles et n’oubliez pas de dire que nous acceptons les euros ! Beaucoup d’euros.

    • Ce que je trouve épatant, c’est à quel point les partis de gauche génèrent un tel rejet. Ici autour de moi c’est « on sait pas pour qui voter, ça change rien ». Et quand tu creuses, ils n’ont jamais voté pour mieux que PS (ils n’ont donc jamais voté à gauche dans les 15 dernières années)... quand ce n’est pas à droite... Et quand tu causes de partis de gauche, ils t’émettent des théories violentes du genre « Mélanchon (avec le a, évidemment), il est comme Hollande et tous les autres ». Tu te demandes ce que le gars (ou la nana) a voulu dire. Est-ce que citer Victor Hugo, c’est considéré désormais comme une insulte ? Sans doute. Faut parler moderne. Comme Zalando y nous fait parler. Là, on ne pourra pas t’accuser d’être trop intello, donc, forcément, corrompu et dangereux (et continuer de faire élire des multirécidivistes comme à Levallois...).

      Je crois qu’on mérite collectivement d’être traité comme des gamins. Encore du martinet, des bonnets d’ânes et des coups de baguettes sur les doigts. Au moins, ça évite de devoir réfléchir.

    • Tu vois la logique des gus, aussi.
      Donc, les partis de gouvernement prennent une tannée magistrale. Il parait que ce sont les #prolos et les jeunes qui ont voté le plus pour le FN. Oui, mais, en même temps, ce sont aussi ceux qui se sont le plus abstenus.
      Admettons.

      Réponse du PS, qui a lâché depuis plusieurs années les prolos (http://seenthis.net/messages/83742) sous prétexte qu’ils votent mal : on va baisser les impôts !
      Logique !
      Comment se réconcilier avec les classes populaires qui naviguent autour du seuil de pauvreté et voient leurs droits sociaux fondre comme neige au soleil ? En baissant les impôts qu’ils sont trop pauvres pour payer !
      Ce qui implique qu’il va falloir compenser cette nouvelle perte de recettes par un nouveau coup de rabot... sur les prestations sociales des prolos.

      Ah ouais, là, on sent que le PS les a bien compris !

    • En Grèce dans une situation sociale et économique effroyable c’est Syriza qui arrive en tête.
      En France le NPA et LO à eux deux ne font pas 1%, le FdG a un score peu reluisant.
      Ce n’est pas seulement la crise et la trahison social-démocrate qui expliquent le vote d’extrême droite, il y a une dimension culturelle aussi. Charles Maurras a laissé des traces.

      Et ce qu’on oublie vite c’est que le vote FN est multiple, celui des riches du Sud-Est est sociologiquement très différent de celui des déclassés du Nord et du Nord-Est.

    • Le fond du problème c’est de se sentir persecuté par les impôts, plus que d’en payer. Payer des impôts sur le revenus quand tu as un salaire, même proche du smic, ça a toujours existé, pourquoi ça devient insupportable aujourd’hui ?
      Les libéraux nous ont vraiment bien « endoctrinés » (pour rester polis) pour qu’on arrive à nous faire croire que le problème de la population c’est pas la pauvreté, c’est pas le chômage, mais la « pression fiscale »..
      Le problème de cette société c’est pas un salaire à 1200€ (qui te rend matériellement plus à l’aise que n’importe quel bourgeois il y a 20 ans) c’est l’exaltation des inégalités et la fabrique des frustrations intrinsèques au capitalisme.
      Le problème de cette société c’est de flirter avec la pauvreté quand tu es à ce salaire, parce que toute la société, la pub, ton patron, ta téloche, ton proprio, ton supermarché te rappelle que tu es pauvre et que si t’as pas le dernier écran tactile tu n’es rien.
      Le problème enfin c’est de te sentir persecuté par tout ce qui est « social », qui touche aux mécanismes de solidarité, de te faire croire que tu te fais dépouiller par l’Etat et les pauvres alors que c’est les capitalistes et les riches qui récupèrent le plus ton argent. C’est cet enfumage permanent qui te convainc de taper sur les faibles plutôt que sur les forts, et qui fait aujourd’hui que le « chacun-sa-merde » et le « chacun-chez-soi » triomphe sur la guimauve européenne.

      Flanby est pas responsable, il est pas coupable, il a juste collaboré avec nos créanciers capitalistes qui ont fondu sur la France comme des actionnaires sur une entreprise en difficulté pour la dégraisser en se partageant le gateau.. Ce qui est triste, c’est qu’il a collaboré avec un zèle hallucinant. Il les couvre, il porte le chapeau. Ils doivent bien rigoler derrière quand même...

    • Aucun ne me convient : tous ont des « erreurs », dans le sens où aucun n’offre toutes les possibilités de mise en sens d’un texte (citation, titraille, définitions ?), offrant pourtant des possibilités de mise en forme superficielle (couleurs, retrait).

      Je préfère l’approche et l’interface suggérée ici (cf. http://seenthis.net/messages/158560) :

      Il est quand même plus aisé de rédiger son texte au kilomètre, les mains sur le clavier, sans devoir s’interrompre tous les trois mots pour cliquer un bouton ! Bref, je préfère les raccourcis clavier aux clicodromes.

      Ceci dit, cette approche n’exclut pas l’ajout d’une barre de boutons cliquables. Dans ce cas je préfère sans hésitation la dernière, celle de Redactor : simple, sans filets superflus, en une seule ligne. Ce qui me rappelle le relookage que j’avais fait de la barre typo pour SPIP 3 :

    • En y regardant de plus près, l’éditeur Redactor (dont il était déjà question ici : http://seenthis.net/messages/108537) s’avère assez complet, ce que ne montrent pas les captures précédentes : titraille et citations sont bien disponibles, mais étonnamment cachées en sous-menu dépliant.

      L’usage ne dément pas la simplicité apparente, c’est agréable. Par contre, c’est toujours aussi laborieux de faire une simple liste en WYSIWYG, là où des tirets à la ligne suffisent en texte brut… et je n’ai pas trouvé comment faire une liste imbriquée. Recalé ! Mais c’est très réussi pour les tableaux et l’insertion d’image : immédiatement visible, tout en restant simple. Nettement mieux que TinyMCE et CKEditor !

      Râh, ça me donne envie de spécifier mon éditeur idéal !

    • moi ça ne me dérange pas de stocker du html — on a des html2text assez efficaces maintenant quand on a besoin d’une version texte (indexer, envoyer un mail)…

    • @Rastapopoulos : oui, mes considérations étaient d’ordre ergonomique, d’abord UI puis UX. Le format de contenu stocké est une autre problèmique, sans rapport direct, puisque non dépendant de l’interface (barre typo, syntaxe ou WYSIWYG). Faut pas tout mélanger.

    • @fil Oui, c’est vrai, tant que le HTML est propre, sans imbrications bizarres ni classes utilisées pour des fonctionnalités.

      Mais je ne sais pas si c’est vraiment le format pivot idéal (pour générer « pas que du web », à partir de ce qui a été rédigé).

      On abandonne la piste Markdown aussi alors, et on revient à du HTML uniquement ?

      Bon ça ne résout pas la question des « modèles » (inclusion avec possiblement des paramètres), fonctionnalité qui n’est pas propre à SPIP, utilisée dans d’autres système (entre autre les wikimedias évidemment).

    • @tetue ce n’est pas mélangé, ça a une incidence et un rapport. En effet, un éditeur qui n’édite que du HTML, c’est beaucoup plus facile de faire du wysiwyg (ce dont on parle ici) puisqu’il édite directement ce qui sera produit au final. Alors que quand on veut un autre format, il faut forcément passer à un moment dans un compilateur (que ce soit côté client ou côté serveur) qui va produire le HTML permettant de voir (le what you see).

      Ce qui fait que quand on décide que le HTML produit nous suffit, il ne reste « plus que » l’interface, l’ergonomie, à étudier. La partie technique étant à peu près résolue (mise à part pour les inclusions/modèles).

    • Il est initialement question d’interface, pas tant de l’éditeur, plus précisément de la « barre typo » (ici WYSIWYG, mais pas forcément, comme c’est le cas de SPIP, et générant… peu importe). C’est-à-dire des boutons, des pictos (symbolisant les enrichissements possibles), de leur nombre, leur répartition, leur graphisme, etc.

      L’article cité montre l’évolution dernière de cet élément d’UI. On remarque une nette tendance à la simplification : moins de couleurs, moins de boutons, moins de lignes, d’encombrement, moins d’effets… Ce qui est frappant dans cette uniformisation, c’est : niveaux de gris avec accentuation du contraste négatif ayant pour conséquence de valoriser le signe, mais aussi la persistance d’un effet de relief discret, façon métal brossé, délicat, presque étonnant en ces temps de flat design. Ça n’est pas anodin.

      Quels boutons mettre à dispo dans une barre typo ? Dans quel ordre les ranger ? Comment préserver la simplicité ? Faciliter l’usage ?

  • Bac 2013 : L’année de la fracture
    http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/07/12072013Article635092149783573926.aspx

    Le bac fait-il un nouveau bond ou un recul ? Faut-il regarder les +2,4% de réussite en plus ou les 3,4 points de moins de bacheliers dans une génération ? Faut-il se réjouir des 92% de réussite aux bacs généraux ou pleurer les 78% de reçus aux bacs professionnels ? Une certitude : le bac 2013 approfondit les fractures apparues dans les années antérieures. Le bac des riches et le bac des pauvres ont des destins divergents.
    […]
    – L’année des records ? […]
    – Changement d’identité pour le bac général […]
    – Le bac pro interrogé […]
    – Bac des riches et bac des pauvres […]
    – L’objectif des 80% s’éloigne […]

    #éducation #baccalauréat #inégalités #élitisme

  • Emplois d’avenir, le gouvernement en appelle au secteur privé - France Info
    http://www.franceinfo.fr/economie/tout-info-tout-eco/emplois-d-avenir-le-gouvernement-en-appelle-au-secteur-prive-982473-2013-

    Après les stages Barre, en 1976, après l’interdiction du #RMI aux moins de 25 ans par le #P.S (et une assemblée nationale unanime), en 1988, nos bons maitres restent toujours prêts à organiser les conditions du dressage à la précarité des entrants dans le #salariat.

    #précarité #emploi-d'avenir #jeunes #Michel_Sapin

  • « La crampe de Hollande » : radioscopie d’un buzz - Making-of
    http://blogs.afp.com/makingof/?post/2013/04/16/«La-crampe-de-Hollande»-:-radioscopie-d’un-buzz

    L’entretien avec François Hollande, pourquoi le président a appelé deux condisciples de sa promo Voltaire à ses côtés à l’Elysée, l’histoire de ce millésime d’énarques symbole des réseaux d’influence à la française, la chronique de cette génération formée entre mai 1968 et mai 1981, leur goût sans mesure pour les politiques de rigueur, de Barre à 2013 en passant par le tournant de 1983… : quatre jours avant la première diffusion, je n’ai encore rien lu sur internet ou ailleurs concernant les autres angles de notre modeste travail – rien, à part les fameuses images de la crampe de François Hollande

  • « Google May Kill Chrome URL Bar » http://www.conceivablytech.com/5746/products/google-may-kill-chrome-url-bar

    Inconvénients : davantage de pouvoir pour Google (surprise) puisqu’on ne pourra plus naviguer qu’avec les fonctions de recherche et qu’on ne pourra plus lire l’URL pour avoir où on est. Avantages : les anglosaxonophiles arrêteront de nous dire que les #IDN (noms de domaine en #Unicode) augmentent le risque de hameçonnage.