city:bizerte

  • Les codes secrets du poisson dans l’art du bijou tunisien
    https://scribium.com/erich-alauzen/a/les-codes-secrets-du-poisson-dans-lart-du-bijou-tunisien

    Le houta (poisson) était déjà associé chez les Phéniciens au culte de Tanit, déesse carthaginoise. Il représentait la chance et la prolificité.

    Dans la religion chrétienne primitive, le poisson constituait un signe de reconnaissance entre les chrétiens pourchassés à Rome tandis que, dans la religion juive, il protégeait contre le mauvais œil, comme l’atteste cette phrase du Talmud : « Les poissons de la mer, recouverts par les eaux sur lesquels le mauvais œil est sans pouvoir » (Source : www.harissa.com).

    Plus tard, les musulmans en ont fait le signe de la vigilance du fait que les poissons ne ferment jamais l’œil. Par extension, le poisson éloigne le mauvais œil et porte chance. D’ailleurs dans des cérémonies de mariage à Bizerte ou à Sfax, le marié tourne plusieurs fois autour d’un poisson pour éloigner le malin.

  • Embellir les infrastructures pour créer de l’imaginaire
    http://www.franceculture.fr/emission-ce-qui-nous-arrive-sur-la-toile-embellir-les-infrastructures-

    Dates/Horaires de Diffusion : 4 Février, 2014 - 08:45 - 08:50

    Il y a quelques semaines, à l’occasion du déplacement de la Matinale à Marseille, j’évoquais ce problème qui est que le numérique ne créé pas d’imaginaire local : Marseille est un des grands ports numériques d’Europe (des #câbles relient Marseille à Bizerte, Alexandrie, Karachi, ou encore Mumbay), or cela ne créé aucun imaginaire propre, car contrairement au port naval, il n’y pas de quai où se promener, pas de gros navires à regarder partir ou arriver, pas de marins qui dorment comme des oriflammes le long des berges mornes, pas de dockers, pas de #conteneurs. Il en va de même pour d’autres villes du monde. La commune de Highbridge, à l’ouest de l’Angleterre, accueille une bonne partie des câbles transatlantiques qui vont irradier toute l’Europe – ce serait un peu l’équivalent dans le monde d’avant du port de Rotterdam – et pourtant, qui en Europe connaît Highbridge ? Et même en Angleterre ? Personne ou presque.

    #Internet #Industrie #Infrastructure

  • Pèlerinage à la Ghriba : Des conditions sécuritaires bien meilleures que l’année 2012 |

    Nawaat - Tunisie

    http://nawaat.org/portail/2013/04/30/pelerinage-a-la-ghriba-des-conditions-securitaires-bien-meilleures-que-lanne

    D’après René Trabelsi, Directeur général de l’agence de voyage Royal First Travel, 500 pèlerins juifs sont venus cette année de l’étranger pour fêter le Lag Ba’omer [1] ; soit une faible augmentation de 70 personnes comparé à 2012 (entre 430 et 450 visiteurs). Pour M. Trabelsi, la cause en serait les récents événements en Tunisie, notamment ceux des accrochages à Bizerte ou même celui de l’attaque contre l’ambassade de la France en Libye. Cependant, ce qui a fait la différence cette fois-ci c’était le déplacement de Tunisiens de confession juive vivants en Tunisie vers l’île de Djerba, d’où le nombre important qui a été observé sur place. D’ailleurs, pour M. Trabelsi Pérez, président du Comité de la synagogue Ghriba « Les conditions ont été excellentes, meilleures que celles de 2012 ».

  • Un élu français agressé par des salafistes en Tunisie - TUNISIE - FRANCE 24
    http://www.france24.com/fr/20120822-jamel-gharbi-elu-PS-sarthe-victime-agression-salafistes-tunisie-f

    AFP - Un conseiller régional socialiste des Pays de la Loire a porté plainte après avoir été roué de coups à Bizerte (Tunisie) par des militants islamistes opposés à un festival culturel, a-t-il indiqué mercredi, une agression dénoncée par le président de la région, Jacques Auxiette (PS).

    Jamel Gharbi, 62 ans, élu régional PS dans la Sarthe depuis 2010 et chargé de mission à la ville du Mans, se promenait en compagnie de sa femme et de sa fille de 12 ans dans le quartier du port de Bizerte, ville dont il est originaire, dans la soirée de jeudi, quand il a été violemment pris à partie.

    « Nous avons croisé un groupe d’une cinquantaine de salafistes qui les ont agressées verbalement en raison de leurs vêtements d’été, qui n’avaient pourtant rien de choquant », a-t-il déclaré à l’AFP.

    Après avoir crié à ses proches de s’enfuir, il a vu les agresseurs se ruer sur lui et le « frapper à coups de matraques et de gourdins », a-t-il indiqué. « Personne ne m’a secouru. Je n’ai dû mon salut qu’au fait que j’ai réussi à m’enfuir. Si j’étais tombé à terre, ils m’auraient lynché ».