city:bourget

  • L’armée appelée à la rescousse pour fournir des antidotes aux gaz toxiques
    http://www.lemonde.fr/attaques-a-paris/article/2015/11/17/l-armee-appelee-a-la-rescousse-pour-fournir-des-antidotes-aux-gaz-toxiques_4

    Trop cool

    Dans un arrêté du 14 novembre, la Direction générale de la santé (DGS) autorise la pharmacie centrale des armées à approvisionner les SAMU en sulfate d’atropine. Cette substance est le seul antidote aux gaz toxiques comme le gaz sarin, en cause dans l’attentat terroriste de 1995 dans le métro de Tokyo. Elle fait partie de l’arsenal classique des combattants, qui disposent de formes auto injectables, mais les hôpitaux n’en disposaient pas jusque-là.

    La DGS, comme le Service de santé des armées (SSA), précisent que « cette mesure était prévue pour la préparation de la Conférence des Nations unies sur le climat de Paris (COP21) et n’a pas été prise suite aux attentats de vendredi ». La conférence, qui se tiendra du 30 novembre au 11 décembre au Bourget (Seine-Saint-Denis), devrait accueillir 40 000 participants dont de nombreux chefs d’Etat. L’arrêté a-t-il été pris en réponse à une menace précise ? Sur ce sujet, la DGS et son directeur, Benoît Vallet, qui a signé le décret, restent muets.

    ...

    La quantité de sulfate d’atropine qui sera débloquée est secrète. « Nos ennemis ne sont pas supposés savoir combien de blessés nous anticipons », explique le militaire.

    #antidote #gaz_toxique #santé

  • Jour après jour - Piquet de grève : La justice rhabille H&M pour l’hiver
    http://www.force-ouvriere.fr/semaine.asp?id=2568

    L’entrepôt, situé au Bourget (Seine-Saint- Denis), a été filialisé en 2009 par la marque et dépend dorénavant de H&M Logistics GBC. Il est passé de plus de 500 salariés en 2009 à 195 cette année. La filialisation de l’entrepôt est indirectement la cause de la grève actuelle. En effet, elle a eu une conséquence que la direction du groupe ne semblait pas avoir anticipée, le changement de convention collective des salariés de l’entrepôt, qui ont quitté la convention de l’habillement pour celle du transport… Or, cette évolution, « au vu des tâches réalisées par les salariés, aurait dû les amener à changer de statut et à devenir des gestionnaires de stocks, alors que le groupe persiste à considérer qu’ils sont des préparateurs de commande », explique Modibo Fofana, le délégué syndical FO. L’enjeu, une progression de leurs rémunérations de près de 30%... Prendre la décision d’une filialisation et refuser d’en assumer les conséquences pour le statut des salariés, c’est toute l’hypocrisie du groupe d’habillement qui a fait 1,9 milliard d’euros de bénéfices en 2012 (+6,6%).