city:caracas

  • Ça manquait ! Caracas est baignée dans un brouillard de microparticules provenant d’incendies de forêts…

    La #calima cubrió el cielo caraqueño este lunes
    http://www.el-nacional.com/noticias/sociedad/calima-cubrio-cielo-caraqueno-este-lunes_278383

    Este lunes se registró presencia de calima en el cielo de la Gran Caracas, debido a los recientes incendios forestales y contaminación.

    Este fenómeno consiste en la suspensión de partículas sólidas muy pequeñas en la atmósfera, que no se perciben a simple vista, pero le dan al cielo un color opaco. 

    Además de reducir la visibilidad, puede producir problemas respiratorios e irritación de las mucosas, de acuerdo con el Instituto Nacional de Meteorología e Hidrología (Inameh).

  • Mahan Air inaugure une liaison directe Téhéran-Caracas (16 heures).
    Les États-Unis, la France (depuis avril 2019) et l’Allemagne (depuis janvier 2019) interdisent Mahan Air pour cause d’intervention en Syrie. La compagnie dessert un réseau national et des vols internationaux vers Moscou, Pékin et Barcelone, entre autres.

    Aerolínea iraní inaugura el primer vuelo directo entre Teherán y Caracas
    http://www.el-nacional.com/noticias/mundo/aerolinea-irani-inaugura-primer-vuelo-directo-entre-teheran-caracas_278

    La aerolínea iraní Mahan Air, la segunda más grande del país, inauguró este lunes oficialmente un vuelo directo entre Teherán y Caracas, en una muestra de las estrechas relaciones entre Irán y Venezuela, ambos países bajo sanciones de Estados Unidos.

  • #Venezuela : du fait des sanctions états-uniennes, le Venezuela est dans l’impossibilité de régler les indemnités d’expropriation de mines d’or. Les sociétés créancières essaient de mettre la main sur la pépite de PDVSA, sa filiale pétrolière aux É.-U. (article de décembre 2018)
    Venezuela’s deals to shield Citgo from creditors now in doubt - Reuters
    https://fr.reuters.com/article/bondsNews/idUKL1N1YG26B

    Venezuela is facing the possible unraveling of a pair of billion-dollar settlements aimed at protecting the cash-strapped country’s U.S.-based Citgo Petroleum Corp from seizure by creditors.

    A lawyer for Canadian mining company Crystallex International Corp said on Tuesday Venezuela had breached the $1.4 billion November agreement that resolved a long-running fight over an expropriated gold mine.

    Separately, Venezuela’s $1.3 billion settlement in October with Rusoro Mining of Vancouver, also over expropriated mining assets, has been upended by U.S. sanctions on Caracas, a source told Reuters.

    Venezuela’s Information Ministry did not immediately reply to a request for comment.

    Both companies had their sights on getting a U.S. court order to auction the parent company of Citgo, which is indirectly owned by Venezuela through its state oil company, PDVSA.

    • Après avoir éjecté du procès PDVSA, maison mère de Citgo, comme n’ayant pas intérêt à agir, un juge états-unien accède à la requête de Juan Guaidó en lui reconnaissant un intérêt à agir en tant que représentant légitime du Venezuela et en accordant un délai de 120 jours pour préparer l’argumentaire juridique.

      U.S. court allows Venezuela’s Guaido to argue in Crystallex case - Reuters
      https://www.reuters.com/article/us-venezuela-politics-crystallex-idUSKCN1R22C4

      In a March 20 ruling, the U.S. Court of Appeals for the Third Circuit said Guaido’s representatives could request a stay in the dispute with Crystallex, which is going after Citgo to collect on an arbitration award in compensation for Venezuela’s expropriation of a gold mining project.

      We grant the Republic of Venezuela’s motion to intervene,” Judge Thomas Ambro wrote, referring to a March 1 request by Venezuela’s lawyers for a 120-day stay to allow Guaido’s interim government “sufficient time to evaluate its position in this and other cases.

  • Israël, deuxième puissance cybernétique, est-il impliqué dans les cyberattaques au Venezuela ? (Réseau International)
    https://www.crashdebug.fr/international/15874-israel-deuxieme-puissance-cybernetique-est-il-implique-dans-les-cyb

    Les doutes se confirment...

    Par Valentin Vasilescu

    Moins d’une semaine avant les élections législatives israéliennes, le Premier ministre Benjamin Netanyahu effectue une brève visite surprise à Moscou. Le Kremlin n’a pas révélé l’ordre du jour de la réunion entre Netanyahu et Vladimir Poutine, mais il semble qu’il y aura des discussions « passionnées ». La visite a lieu peu après que deux avions russes avec 100 soldats à bord aient atterri à l’aéroport de Caracas. Il semblerait qu’une partie des Russes soient des spécialistes de la cybersécurité. Leur présence est liée à une série de pannes électriques qui ont touché la majeure partie du Venezuela.

    Kaspersky Lab, basé à Moscou, est le détecteur de cyberattaques le plus avancé au monde. Kaspersky Lab compte 400 millions de clients dans le monde et fournit une (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Venezuela : l’Assemblée constituante lève l’immunité de Juan Guaido
    https://www.lemonde.fr/international/article/2019/04/03/venezuela-l-assemblee-constituante-leve-l-immunite-de-juan-guaido_5444926_32


    L’Assemblée constituante vénézuélienne s’est réunie pour voter la levée de l’immunité parlementaire de Juan Guaido, le 2 avril à Caracas.
    ARIANA CUBILLOS / AP

    Acquise à Nicolas Maduro, l’Assemblée constituante permet ainsi des poursuites pénales contre le chef de l’opposition. Juan Guaido dénonce une forme d’« inquisition ».

    L’Assemblée constituante vénézuélienne a levé mardi 2 avril l’immunité et autorisé des poursuites pénales pour usurpation de fonctions contre le chef du Parlement, Juan Guaido, reconnu comme président par intérim par plus de cinquante pays. L’Assemblée constituante a voté à l’unanimité pour « autoriser la continuation des poursuites pénales engagées contre le député » d’opposition devant la Cour suprême, a annoncé le président de cette institution Diosdado Cabello.

    Tant la Cour suprême que l’Assemblée constituante sont jugées comme acquises au pouvoir du chef de l’Etat socialiste, Nicolas Maduro, par l’opposition, tous leurs membres ayant été désignés par le chavisme (du nom du défunt Hugo Chavez).

    • Tant la Cour suprême que l’Assemblée constituante sont jugées comme acquises au pouvoir du chef de l’Etat socialiste, Nicolas Maduro, par l’opposition, tous leurs membres ayant été désignés par le chavisme (du nom du défunt Hugo Chavez).

      Rappel, l’Assemblée constituante a été élue le 30 juillet 2017 ; le boycott de cette élection par l’opposition ayant effectivement eu pour conséquence une assemblée totalement monocolore.

      C’est à cette phrase que s’arrête la reprise du texte de l’AFP. La suivante, absente de la suite dans la version du Monde, explicite la raison des poursuites :

      Venezuela : l’opposant Guaido menacé de levée de son immunité | AFP.com
      https://www.afp.com/fr/infos/334/venezuela-lopposant-guaido-menace-de-levee-de-son-immunite-doc-1fa8ur4

      Il est reproché à Juan Guaido, qui est le président du Parlement vénézuélien contrôlé par l’opposition, de ne pas avoir respecté une interdiction de sortie du territoire.

      L’opposant de centre-droit de 35 ans avait bravé cette décision prise le 29 janvier par la Cour suprême en quittant clandestinement le pays pour effectuer une tournée en Colombie voisine, au Brésil, au Paraguay, en Argentine et en Equateur, de fin février à début mars.

  • #Venezuela : • plan de répartition du courant avec gestion administrative des secteurs prioritaires
    • réouverture des écoles d’ici un ou deux jours
    • appel à des " équipes de paix " (cuadrillas de paz, le mot cuadrilla s’utilise aussi pour désigner un gang,…) pour s’opposer aux guarimbas (vénézolanisme désignant les blocages de rue opérés par les opposants - initialement, des refuges contre la dictature)

    Maduro anunció que el “plan de administración de carga” será por 30 días
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/maduro-anuncio-que-plan-administracion-carga-sera-por-dias_277182

    Nicolás Maduro anunció este domingo 31 de marzo que desde hoy inició el “plan de administración de carga” que se mantendrá por 30 días. 

    «He aprobado un plan de 30 días para ir a un régimen de administración de carga, de equilibrio entre el proceso de generación, los procesos seguros de transmisión y los procesos de servicio y consumo en todo el país, poniendo énfasis en garantizar el servicio de agua», indicó el dirigente oficialista en cadena nacional de radio y televisión.

    Maduro dijo que probablemente sean restituidas las clases el próximo martes o miércoles. «He estado pensando en martes y miércoles restituir las clases de nuestros muchachos. Ayer sábado recibimos un ataque a la misma hora. También con carácter electromagnético», agregó. 

    El político llamó a la movilización de las “cuadrillas de paz” ante la ola de protestas de ciudadanos que se desarrollan en el país por los apagones en el país. "Tratando de traer guarimbas, le hago un llamado a todo el pueblo de Venezuela a defender esquinas, a defender a los barrios, no nos podemos dejar robar la paz, le hago un llamado a nuestras cuadrillas a defender nuestra paz".

    Estas declaraciones son emitidas luego de que ciudadanos en todo el país salieran a protestar de manera masiva este domingo en contra de la ineficiencia del Estado para restituir los servicios públicos (electricidad y agua). 

    Durante el transcurso del día colectivos armados amedrentaron a los ciudadanos que protestaban pacíficamente.

  • #Venezuela : encore une panne affectant la quasi totalité du pays. La cause n’est pas connue. La précédente a duré 48 heures…
    (un seul état n’est pas cité dans l’énumération ci-dessous : Amazonas)

    21 estados de Venezuela se quedaron sin electricidad este viernes
    http://www.el-nacional.com/noticias/servicios/estados-venezuela-quedaron-sin-electricidad-este-viernes_276955

    Una falla grave en el servicio eléctrico dejó sin energía 21 estados del país este viernes en la noche. Se desconocen las causas del apagón.

    Ciudadanos reportaron que los estados sin energía eléctrica son hasta ahora Táchira, Trujillo, Carabobo, Aragua, Anzoátegui, Vargas, Zulia, Miranda, Distrito Capital, Barinas, Sucre, Portuguesa, Apure, Cojedes, Falcón, Guárico, Lara, Mérida, Monagas, Nueva Esparta y Yaracuy.

    En Bolívar y Delta Amacuro hay reportes de bajones de luz. 

    Las entidades estaban recobrándose del apagón anterior, que duró más de 48 horas y afectó el servició de agua, por lo que ciudadanos debieron recurrir a ríos y quebradas para surtirse.

  • Venezuela : la Croix-Rouge Internationale est prête à distribuer l’aide internationale, à condition que celle-ci ne soit pas politisée…
    (enfin, sera prête dans 15 jours)

    Cruz Roja: Distribuiremos la ayuda humanitaria si no hay politización
    http://www.el-nacional.com/noticias/sociedad/cruz-roja-distribuiremos-ayuda-humanitaria-hay-politizacion_276868

    El presidente de la Federación Internacional de la Cruz Roja, Francesco Rocca, aseguró que el organismo ayudará con el ingreso de la ayuda humanitaria en el país si se respetan sus reglas de no permitir la injerencia militar.

    «Si la ayuda que está en Cúcuta y Brasil cumple con nuestro protocolo de no politización, nosotros podemos distribuirla sin problemas», dijo Rocca este viernes durante una rueda de prensa. 

    Además, señaló que «la operación de ayuda a Venezuela podría ser bastante similar a lo que se está haciendo en Siria», reportó el periodista Anatoly Kaurmanaev, del New York Time, en su cuenta de Twitter. «La Cruz Roja importará y distribuirá la ayuda para mantener la imparcialidad», agregó el comunicador.

    El presidente de la Federación indicó que la asistencia humanitaria enviada por la comunidad internacional, y que se encuentra en centros de acopio en Colombia, Brasil y Curazao, ayudará por lo menos a 650.000 personas. 

    «Nosotros no aceptamos, ni podremos nunca aceptar que mueran niños por falta de luz», aseguró Rocca, e indicó que dentro de 15 días estarán en capacidad de comenzar a distribuir la ayuda.

  • Juan Guaidó appelle à descendre dans la rue le samedi 6 avril pour une « répétition » de l’Opération Liberté.
    (simulacro : exercice, entrainement en vue de…, ?)

    Guaidó anunció puntos de concentración para el simulacro #Operación_Libertad
    http://www.el-nacional.com/noticias/sociedad/guaido-anuncio-puntos-concentracion-para-simulacro-operacion-libertad_2

    Juan Guaidó, presidente interino de Venezuela, anunció este jueves algunos de los puntos de concentración para llevar adelante el simulacro de la Operación Libertad que se realizará este 6 de abril en Caracas.
    […]
    El líder anunció el miércoles pasado que el 6 de abril se realizará un simulacro de la Operación Libertad, una estrategia que abarca “la fase de la máxima presión que permitirá el cese de la usurpación”.

  • Venezuela : Guaido révoqué de son poste de président du Parlement et déclaré inéligible
    https://www.lemonde.fr/international/article/2019/03/28/venezuela-l-opposant-juan-guaido-revoque-de-son-poste-de-president-du-parlem


    L’opposant Juan Guaido, qui s’est autoproclamé président par intérim du Venezuela, le 28 mars à Caracas.
    STRINGER / REUTERS

    Le leader de l’opposition s’était autoproclamé président par intérim du pays le 23 janvier, et a été reconnu à ce poste par une cinquantaine de pays.

    Le président du Parlement vénézuélien, Juan Guaido, également chef de file de l’opposition, a été révoqué de son poste, jeudi 28 mars, ont annoncé les autorités vénézuéliennes. Le principal opposant du président Nicolas Maduro a été en outre déclaré inéligible durant quinze ans pour corruption présumée.

    Le contrôleur général de la République, Elvis Amoroso, chargé de veiller à la transparence de l’administration au Venezuela, a décidé d’« interdire l’exercice de toute fonction élective au citoyen [Juan Guaido] pour la durée maximale prévue par la loi », a déclaré ce proche du pouvoir en place à la télévision d’Etat.

    Selon M. Amoroso, Juan Guaido ne justifie pas, dans ses déclarations de patrimoine, certaines dépenses réalisées au Venezuela et à l’étranger avec des fonds provenant d’autres pays. « Il a effectué plus de quatre-vingt-onze voyages hors du territoire pour un coût supérieur à 310 millions de bolivars [quelque 94 000 dollars au taux actuel], sans justifier l’origine de ces fonds », a expliqué le contrôleur général. Ce dernier avait annoncé le 11 février l’ouverture d’une enquête visant l’opposant.

    Dans la foulée, Juan Guaido, qui s’est autoproclamé président par intérim du pays le 23 janvier et a été reconnu comme tel par une cinquantaine de pays, a rejeté cette sanction lors d’un discours devant ses partisans, affirmant qu’Elvis Amoroso était illégitime. « Il n’est pas contrôleur. Il ne l’est pas (…) et il n’existe pas de sanction d’inéligibilité (…). Le Parlement légitime est le seul ayant le pouvoir de désigner un contrôleur », a déclaré M. Guaido, rappelant qu’Elvis Amoroso avait été nommé à ce poste par l’Assemblée constituante, acquise au pouvoir et qui remplace dans les faits le Parlement.

    Dans ce pays où personne ne reconnaît la légitimé de personne, difficile de dire quelles seront les conséquences de cette décision qui vise Juan Guaido, également président du Parlement. Ni s’il va pouvoir continuer à siéger, la sanction étant en théorie d’application immédiate. L’ancien candidat à la présidentielle de 2013 Henrique Capriles avait été sanctionné de la même façon et déclaré inéligible, ce qui l’avait empêché de se présenter par la suite en 2018.

  • #Venezuela, encore et toujours des pannes. Une très importante ce mercredi matin. L’activité est pratiquement paralysée

    Nueva falla eléctrica deja sin luz a gran parte de Venezuela este miércoles
    http://www.el-nacional.com/noticias/servicios/nueva-falla-electrica-deja-sin-luz-gran-parte-venezuela-este-miercoles_

    Este miércoles a las 5:00 am se produjo un nuevo apagón que afectó una gran parte de Caracas y varios estados del país. Usuarios de las redes sociales han reportado la situación.

    La falla eléctrica forma parte de una serie de cortes registrados desde el lunes a la 1:30 pm, cuando se interrumpió el servicio en gran parte del país, lo que ocasionó el colapso de los sistemas de transporte público y de las principales vías de la capital.

    El corte de energía eléctrica duró aproximadamente tres horas. Posteriormente, el servicio faltó de nuevo en gran parte del país el mismo día a las 9:50 pm, y el apagón que duró en ciertos sectores hasta el martes a las 11:20 am.

    Los apagones evidenciados desde el lunes ocurren 18 días después de que una falla eléctrica dejara a Venezuela sin luz por más de 100 horas.

    La suspensión de las actividades escolares y laborales, la pérdida de electrodomésticos, la imposibilidad de los pacientes de cumplir sus tratamientos médicos y el cobro excesivo de insumos para paliar la situación han sido parte de las consecuencias que han generado los cortes de electricidad registrados en marzo.

    • … explication de l’explosion du transformateur qui a provoqué la panne de lundi. Problème évidemment (!) technique et défaut d’entretien, as usual

      Explosión de autotransformador en Guri provocó la pérdida de $ 5 millones
      http://www.el-nacional.com/noticias/sociedad/explosion-autotransformador-guri-provoco-perdida-millones_276437


      Foto : @VTVcanal8

      [José Aguilar, experto en materia eléctrica] Precisó que uno de los tres autotransformadores trifásicos de la Subestación Guri B, en el estado Bolívar, explotó porque una falla en un bushing (componente eléctrico que lleva gases dieléctricos) ocasionó la acumulación de gases combustibles que se mezclaron con aire externo. Aguilar afirmó que el accidente causó la pérdida de 5 millones de dólares.

      El autotransformador falló, según las fotos que hoy se revelan por las redes sociales del señor ministro, por una avería en un bushing, que es un componente eléctrico en la parte superior que lleva gases dieléctricos. Eso estalló porque tenía una acumulación excesiva de gases combustibles que entró en contacto con el aire. La presión que eso tenía, sumada a la sobrecarga, provocó que se dañara el autotransformador y se perdiera un equipo de 5 millones de dólares”, aseguró.

    • Le système électrique est devenu complètement instable…
      Je ne reprends pas l’article qui énumère (encore une fois…) toutes les raisons (à le lire, on pourrait croire d’ailleurs que tous les transformateurs ont atteint leur limite d’âge en même temps. Ah ! l’incurie du régime…) Ce qui est certain c’est qu’avec une centrale assurant de l’ordre de 80% de la production, situé à l’extrémité orientale du pays et un réseau qui accumule les effondrements, on se demande comment il peut encore rester des plages horaires où il y a du courant…

      Un sistema eléctrico inestable y descuidado deja a la población a oscuras
      http://www.el-nacional.com/noticias/sociedad/sistema-electrico-inestable-descuidado-deja-poblacion-oscuras_276450

    • Venezuela : « le silence est total, l’obscurité complète », les citoyens confrontés aux pannes géantes d’électricité
      https://www.lemonde.fr/international/article/2019/03/27/face-aux-pannes-d-electricite-la-debrouillardise-des-venezueliens_5441896_32


      Un habitant de Caracas utilise la lumière de son téléphone portable pour se diriger dans une rue de la capitale vénézuélienne, paralysée par une panne d’électricité, le 26 mars.
      CARLOS GARCIA RAWLINS / REUTERS

      Toute la journée, sur les réseaux sociaux, les Vénézuéliens qui ont réussi à recharger leur téléphone portable informent de l’état du réseau électrique et disent leur impuissance rageuse. « Difficile de savoir ce qu’il y a de pire. Ne pas avoir d’électricité et attendre qu’elle revienne ou en avoir et craindre qu’elle reparte ? », interroge Maria T. Menendez.
      […]
      Et [les Vénézuéliens] sont priés de ne pas tomber malades. Postée par le site Web El Pitazo, la vidéo de chirurgiens de l’hôpital de Ciudad Ojeda opérant dans le noir à la lueur d’un smartphone l’a rappelé.
      […]
      « Les soldats russes sont venus s’entraîner en conditions extrêmes », ironise pour sa part José, faisant référence à l’arrivée samedi de deux avions militaires russes et d’une centaine d’effectifs.

  • Moscou confirme l’arrivée des troupes russes au Venezuela
    https://www.crashdebug.fr/international/15827-moscou-confirme-l-arrivee-des-troupes-russes-au-venezuela

    Avions russes à Caracas, Venezuela le lundi 25 Mars 2019 / Credit : Reuters

    Les médias russes ont confirmé qu’un avion transportant 100 soldats russes est arrivé à Caracas samedi, provoquant des tensions entre Washington et Moscou en raison de l’aggravation de la crise au Venezuela. L’arrivée des troupes russes dans la capitale vénézuélienne a été signalée pour la première fois samedi matin par le journaliste vénézuélien Javier Mayorca, qui a déclaré sur Twitter que deux avions militaires russes avaient atterri à Caracas. Le journaliste a déclaré qu’un avion cargo Antonov An-124 Ruslan appartenant à l’armée de l’air russe se trouvait sur le tarmac de l’aéroport international Simón Bolívar dans la capitale vénézuélienne. Un autre avion, plus petit, portant également le drapeau (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • #Venezuela : arrivée de 99 militaires russes, dont le chef d’état-major de l’armée de terre, suivis d’un chargement de 35 tonnes de matériel.

    (Vassili Tonkochkourov est chef d’état-major de l’armée de terre et non, comme indiqué dans l’article, ministre de la Défense, toujours Sergueï Choïgou)

    Llegaron a Maiquetía 99 militares rusos con 35 toneladas de cargamento
    http://www.el-nacional.com/noticias/mundo/llegaron-maiquetia-militares-rusos-con-toneladas-cargamento_276068


    Foto : @FedericoBlackB

    Javier Mayorca, periodista venezolano, informó que 99 militares rusos, comandados por el mayor general Vasilly Tonkoshkurov, llegaron a Venezuela este sábado en la tarde por el Aeropuerto Internacional Simón Bolívar de Maiquetía, en el estado Vargas.

    Esta tarde llegó al aeropuerto de Maiquetía una comitiva de 99 militares rusos, al mando del ministro de la Defensa de ese país, mayor general Vasilly Tonkoshkurov”, dijo Mayorca en su cuenta de Twitter.

    EE UU discutió opción militar en Venezuela durante reunión con Rusia
    Asimismo, destacó que los militares fueron recibidos por Marianny Mata, directora de Asuntos Internacionales e Integración.

    Inmediatamente después (2:00 pm) llegó al mismo terminal un carguero ruso con 35 toneladas de materiales, pertenecientes al contingente que recién había desembarcado. En la comitiva de recepción también estaba personal de la embajada rusa y el GB Edgar Colina Reyes”, aseguró.

  • #Venezuela : la crise du Système électrique national
    (avec un bref historique des grandes pannes, 2009, 2011, 2018,…)

    El desastre eléctrico
    http://www.el-nacional.com/noticias/columnista/desastre-electrico_274680

    Si alguien quiere informarse acerca de los antecedentes del desastre eléctrico que arrancó el jueves 7 de marzo y cuyos efectos todavía se hacen sentir al día de hoy, no tiene más que leer el documento que elaboró la Comisión Eléctrica del Colegio de Ingenieros de Venezuela, titulado “Crisis en el Sistema Eléctrico Nacional”, el cual se hizo público en abril de 2016 y cuya versión digital (PDF) puede encontrarse a través del motor de búsqueda de Google. Ahí leemos señalamientos como los que registramos a continuación de manera reducida y no textual.

    Para el momento en que Hugo Chávez Frías asumió la Presidencia de la República por primera vez, el 2 de febrero de 1999, Venezuela tenía uno de los sectores eléctricos más desarrollados de América Latina. Entonces contábamos con un moderno parque de generación hidroeléctrica y térmica, una red de transmisión de alta tecnología y otra de distribución que abarcaba 96% de la población y a casi todo el territorio nacional. En esa industria eléctrica participaban el Estado y el sector privado nacional.

    ¿Qué hizo que todo cambiara? Las razones fueron múltiples y acá solo destacaremos cuatro de ellas. La primera fue el predominio de lo político sobre lo técnico y económico. Al igual que ocurrió con nuestra industria petrolera, se inició un proceso de desplazamiento de los altos niveles gerenciales y técnicos, que fueron sustituidos por figuras vinculadas al gobierno, sin la preparación y experiencia necesarias.

    La segunda causa del cambio fue la centralización que se llevó a cabo de toda la industria. El gobierno procedió a crear una entidad única (Corpoelec) para atender todo el servicio eléctrico, la cual absorbió las tareas que llevaban a cabo catorce empresas estatales, mixtas y privadas, distribuidas en todo el país. De esa manera el proceso de toma de decisiones se concentró en Caracas y las diferentes regiones perdieron su capacidad de respuesta rápida a los requerimientos de sus usuarios. En pocas palabras, la centralización generó retardos en las tareas operativas y de mantenimiento.

    La tercera fue la insuficiencia de ingresos. Las tarifas cobradas por las políticas populistas de Chávez no permitían cubrir los gastos que generaba la prestación del servicio. Lo que no deja de asombrar es que los principales deudores de la corporación son el Estado, sus empresas y los distintos organismos que le están adscritos.

    Y la cuarta fue el abandono de los planes de mediano y largo plazo que la industria eléctrica venía ejecutando a lo largo de los años, los cuales se sustituyeron por decisiones improvisadas. Eso generó un grave desfase entre la demanda y la oferta del servicio, lo cual condujo al deterioro de todo el sistema eléctrico.

    De los anteriores polvos viene el lodo de hoy. De modo que los recientes señalamientos de Nicolás Maduro de culpabilizar a Estados Unidos por supuestos ataques cibernéticos al cerebro de distribución de Corpoelec, no son más que el producto de su fantasía desbocada y acomodaticia.

    No hay que olvidar que la primera “emergencia eléctrica” del país arrancó el 21 de diciembre de 2009. El propio Chávez firmó ese día un decreto reconociendo la situación, la cual se mantuvo hasta el 30 de noviembre de 2010, aun cuando el problema no estaba resuelto. De hecho, el 14 de mayo de 2011, luego de que el país experimentase dos apagones nacionales, el gobierno puso en práctica un plan de racionamiento “temporal” y reconoció que el sistema eléctrico continuaba enfrentando dificultades. Inicialmente el racionamiento incluyó a Caracas. Pero tras la medida, las protestas comenzaron y Hugo Rafael no tuvo más alternativa que excluirla de sus planes. El fantasma del “Caracazo” le generó fríos súbitos en todo el cuerpo.

    El problema se mantuvo con variada intensidad a lo largo de toda la gestión de Hugo Chávez y continuó durante el gobierno de Maduro. Ello se hizo notar el 5 de marzo de 2018, una fecha especial para la revolución. Ese día un apagón eléctrico afectó varios estados del centro de Venezuela, ensombreciendo los actos de conmemoración del quinto aniversario de la muerte de Hugo Chávez. El Distrito Capital, Miranda y Vargas fueron las zonas más perjudicadas; y en el caso de Caracas, la falla afectó puntos neurálgicos de la ciudad, tales como la Candelaria, Chacao, El Paraíso, Los Palos Grandes y Sabana Grande.

    De allí en adelante, en todos los centros poblados del país la situación se estuvo repitiendo con mayor o menor intensidad, hasta que finalmente alcanzó la condición de colapso total. Ahora detentamos el desgraciado honor de ser el país que ha sufrido la paralización eléctrica más grande de América.

  • Tristes épigones, espoir et sabotages
    http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2019/03/tristes-epigones-espoir-et-sabotages.html

    Lorsque Alexandre le Grand mourut à Babylone, les généraux et compagnons qui avaient participé à l’épopée se disputèrent sa succession. Appelés Diadoques, ils étaient souvent déchirés entre deux visions. Ils avaient été membres à part entière de la formidable...

    • Il semble que Washington ait passé la vitesse supérieure dans sa tentative de prise de pouvoir à Caracas. C’est très vraisemblablement un sabotage électromagnétique qui a provoqué l’énorme coupure de courant qui a touché le pays en fin de semaine dernière. Chose intéressante, Pékin, qui propose d’ailleurs d’aider Maduro à restaurer l’électricité, parle ouvertement d’attaque cybernétique et accuse indirectement les Etats-Unis. Le plan était d’ailleurs dans les tuyaux du Pentagone depuis quelques années.

      Et maintenant, ce sont des usines de retraitement d’eau et des terminaux pétroliers qui, par le plus grand des hasards bien évidemment, se mettent à exploser. Les Follamour de Washington ont une explication toute faite : c’est la corruption des années Maduro qui est responsable de cette « dégradation ». Douce coïncidence, ces catastrophes ont lieu simultanément, les usines, centrales électriques et dépôts pétroliers s’étant sans doute donné le mot pour arrêter de fonctionner en même temps !

      La guerre semble déclarée. Après le flop de la pression « humanitaire », les bras cassés américains ont passé la vitesse supérieure et entrepris une campagne de sabotage, tactique quelque peu suicidaire s’ils veulent installer l’auto-proclamé au pouvoir. La ficelle est en effet tellement grosse que leur pion risque de voir sa légitimité torpillée dans la population vénézuélienne. Même les euronouilles, l’air gêné, préfèrent regarder ailleurs , c’est dire...

  • Le NY Times reconnaît l’opposition vénézuélienne comme étant la cause de l’incendie des camions de l’aide humanitaire, faisant écho aux premiers rapports de la presse alternative
    https://www.crashdebug.fr/international/15769-le-ny-times-reconnait-l-opposition-venezuelienne-comme-etant-la-cau

    Les troupes de la Garde nationale bolivarienne dressent une barricade qui bloque l’accès au pont international Francisco

    De Paula Santander à Urena, Venezuela, à la frontière avec la Colombie, le 23 février 2019. Fernando Llano | AP

    Alors que les médias indépendants ont fait des progrès dans la remise en question des récits du gouvernement, ces médias sont souvent dénigrés par les médias grand public influents pour leurs reportages qui remettent en question l’histoire officielle - du moins jusqu’à ce que les Médias grand public décident de s’y rallier et de remettre cette histoire en question eux-mêmes.

    par Whitney Webb

    11 mars 2019

    CARACAS, VENEZUELA - L’indignation internationale suscitée par les images de l’aide " humanitaire " donnée par les États-Unis qui a pris (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • Footage Contradicts U.S. Claim That Maduro Burned Aid Convoy - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2019/03/10/world/americas/venezuela-aid-fire-video.html

    Les conservateurs américains et Donald Trump pris en flagrant délit de fake news.

    Du bon journalisme de la part du New York Times, qui veut certainement redresser la barre et faire oublier son rôle de pourvoyeur de récits des faucons qui ont précédé la Guerre d’Irak.

    Une véritable manière d’éviter une intervention militaire que le journalisme basé sur les faits...

    CÚCUTA, Colombia — The narrative seemed to fit Venezuela’s authoritarian rule: Security forces, on the order of President Nicolás Maduro, had torched a convoy of humanitarian aid as millions in his country were suffering from illness and hunger.

    Vice President Mike Pence wrote that “the tyrant in Caracas danced” as his henchmen “burned food & medicine.” The State Department released a video saying Mr. Maduro had ordered the trucks burned. And Venezuela’s opposition held up the images of the burning aid, reproduced on dozens of news sites and television screens throughout Latin America, as evidence of Mr. Maduro’s cruelty.

    But there is a problem: The opposition itself, not Mr. Maduro’s men, appears to have set the cargo alight accidentally.

    Unpublished footage obtained by The New York Times and previously released tapes — including footage released by the Colombian government, which has blamed Mr. Maduro for the fire — allowed for a reconstruction of the incident. It suggests that a Molotov cocktail thrown by an antigovernment protester was the most likely trigger for the blaze.

    At one point, a homemade bomb made from a bottle is hurled toward the police, who were blocking a bridge connecting Colombia and Venezuela to prevent the aid trucks from getting through.

    But the rag used to light the Molotov cocktail separates from the bottle, flying toward the aid truck instead.

    Half a minute later, that truck is in flames.

    The same protester can be seen 20 minutes earlier, in a different video, hitting another truck with a Molotov cocktail, without setting it on fire.

    #Fake_News #Vénézuela #Donald_Trump #Guerre

  • Le ministre vénézuélien affirme qu’une importante panne d’électricité à probablement été causée par une « cyberattaque » et montre du doigt les États-Unis
    https://www.crashdebug.fr/international/15751-le-ministre-venezuelien-affirme-qu-une-importante-panne-d-electrici

    Vue d’une rue à Caracas lors d’une panne de courant le 8 mars 2019. Reuters / Carlos Garcia Rawlins

    Heure publiée : 9 mars 2019 10:14 Heure éditée : 9 mars 2019 15:09

    Une cyber-attaque est probablement la raison de la panne d’électricité majeure qui a plongé la majeure partie du Venezuela dans l’obscurité, a déclaré un responsable du gouvernement Maduro, laissant entendre que les États-Unis pourraient être impliqués dans l’offensive.

    Alors que le Venezuela est encore sous le choc d’une panne d’électricité à l’échelle nationale, le gouvernement de Nicolas Maduro affirme que l’urgence est le résultat d’une influence extérieure. La panne de courant majeure a probablement été provoquée par une cyber-attaque contre la centrale hydroélectrique de Guri, qui produit 80% (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • J’ai 24 ans et je suis chaviste.
    (article de BBC Mundo qui a fait une courte apparition sur la une hier…)

    Crisis en Venezuela : Por qué aún soy chavista y qué pienso de la situación
    http://www.el-nacional.com/noticias/bbc-mundo/crisis-venezuela-por-que-aun-soy-chavista-que-pienso-situacion_273536


    Foto : Fabiola Ferrero

    Ángela Villarreal tiene 24 años y procede de una familia de clase media de una ciudad satélite de Caracas. De padre opositor y madre chavista, ella está firme en su apoyo a la llamada revolución bolivariana, pese a la crisis económica que sufre el país, las denuncias de corrupción y de violación de derechos humanos. Sin embargo, también es crítica

    Para ella no es fácil ser chavista ahora en Venezuela.

    Sin embargo, Ángela Villarreal, de 24 años, se mantiene firme en sus ideas a pesar de la crisis económica que vive el país y de las acusaciones de corrupción y de violación de derechos humanos contra el gobierno de Nicolás Maduro.

    Vive en Guatire, una ciudad a 45 minutos de Caracas, con sus padres, de clase media profesional. Su mamá es chavista; su papá no. Está a punto de terminar Sociología, es miembro del partido gobernante PSUV (Partido Socialista Unido de Venezuela) y trabaja en una institución pública.

    En un momento de intensa crisis política e institucional en el país desde que Juan Guaidóse proclamara «presidente encargado» el 23 de enero, Villarreal expone sus razones, incomprendidas por muchos ahora en Venezuela.

    Esto es lo que piensa sobre la crisis, el descontento, la oposición, la emigración masiva y los errores cometidos por el chavismo.

    La crisis actual
    Siento que el verdadero enemigo del chavismo es el propio chavismo. No tenemos a alguien que se pueda organizar electoralmente para contrarrestarnos. Siento que si la salida al problema que hay ahorita es electoral, saldríamos airosos, incluso si ellos ponen las normas y cambian las autoridades del CNE (Consejo Nacional Electoral). Yo lo aceptaría.

    Sí creo que ganaríamos incluso en una elección abierta con todos los candidatos y partidos. Internacionalmente muchos no entienden eso.

    Les costaría organizar el descontento de su gente y capitalizarlo. Y los chavistas somos más cuadrito cerrado, vamos todos en fila. Escogemos un candidato y ese es. Las elecciones se ganan con organización y yo te garantizo que llamo a una chama (chica) como yo en cada municipio del país. Eso no sé si lo tiene la oposición.

    El chavismo transformó culturalmente la sociedad venezolana. No estoy para debatir si fue para bien o para mal. Estos señores (de la oposición) no entienden los códigos del país. Con el problema de inflación que tenemos, con el problema para adquirir alimentos, medicinas, no se justifica que llames a una marcha y a desconocer al presidente y que tú puedas salir a la calle porque el país está tranquilo y que a la mayoría de la gente no le llegue (el mensaje).

    El gobierno de Maduro tiene una desconexión, pero la oposición también.

    El deterioro económico y el descontento
    Hay mucha frustración. Mucha gente le ha dado la espalda al chavismo. Más que adeptos, el chavismo ha perdido emoción. Hay gente que dice: «Soy chavista, pero me da pena decirlo».

    El fenómeno migratorio, el montón de gente que se está yendo, puede ser una respuesta a eso. Gente que ya no cree en el chavismo y se siente defraudada, pero más que en contra, decide que ya no le importa nada y se va del país triste. Lo dejo todo y lo pierdo todo.

    La declaración de desacato de la Asamblea Nacional (controlada por la oposición), la anulación del proceso del referendo revocatorio en 2016, las elecciones presidenciales en las que la mayoría de la oposición no participó

    Hugo Chávez lo que hace es llevar a la política la polarización social que ya existía. Las diferencias son necesarias en cualquier democracia. Para mí el problema es que la oposición abandonó la política, y hoy Nicolás Maduro no cuenta con una oposición.

    Tenemos miles de problemas, estamos discutiendo cosas arcaicas y ni siquiera llegamos a debatir asuntos democráticos. La sociedad en el primer mundo está discutiendo sobre el aborto, sobre los derechos de la mujer.

    Nosotros no llegamos a eso porque unos señores se olvidaron de la política. En 2015 unos señores dijeron «vamos a sacar al loco éste que está en Miraflores». Maduro les propuso en 2017 una Asamblea Nacional Constituyente y no participaron.

    Ellos decidieron dejar un espacio vacío y en política no hay espacios vacíos.

    Las acusaciones al gobierno de violaciones de derechos humanos, de torturas y de asesinatos extrajudiciales
    Hay procedimientos abiertos a la Guardia Nacional, pero siento que estos procesos se quedan enmarañados en el retraso procesal histórico del sistema judicial venezolano.

    No creo que la tortura sea algo sistemático ni una política de Estado.

    ¿Los asesinatos de chamos en los barrios pobres por las fuerzas de seguridad? Yo las noticias que están saliendo este año no las creo. Pasó en Siria, en Irak. El problema de este año siento que existe en la prensa, porque yo no lo veo en la calle. Me muevo en Caracas de un lado a otro y siento que no es real.

    En algunos barrios el gobierno desde hace años ha tenido un lío tremendo con temas como el narcotráfico, corrupción, etcétera.

    En todo este ambiente de zozobra siento que es el hampa la que gana. Y eso es un problema no resuelto por el chavismo, que pensó que con generar más acceso social iba a disminuir la violencia. Y no pasó, incluso creció. Hay espacios en los que es como si el Estado no gobernara.

    Los grupos de civiles armados, llamados colectivos, en defensa del chavismo
    No voy a negar que existen. Internacionalmente no entienden de dónde nacen. No los estoy justificando, no creo que para hacer política necesites armas. Esta gente usó armas desde el 27 de febrero (de 1989, el «Caracazo», como se conoce a la represión del Estado contra una protesta popular). Es la forma venezolana de hacer la política. Caracas entera tiene parroquias combatientes. Es un proceso de defensa.

    No acepto que vengan a decirme a mí cómo tengo que organizarme. Por eso no me atrevo a meterme en el (barrio) 23 de enero (bastión de colectivos chavistas) a decirle a fulanito de tal nada, porque quizás sin fulanito de tal, esa parroquia no tiene orden. Hay que comprender Venezuela.

    A pesar de que nos vendieron que somos una democracia perfecta y a que en la bonanza petrolera llegamos a una estabilidad económica tremenda, tenemos deudas históricas que saldar. El contrabando en la frontera, la sobrevaloración de la moneda no son asuntos nuevos. Tenemos un montón de atrasos históricos.

    Pero si me preguntan por qué soy chavista es porque siento que es lo único que hay políticamente.

    La corrupción en el Estado y las denuncias contra altos cargos que rompen con el chavismo
    Uno no puede esperar a que se voltee alguien para decir lo que es o lo que no es. Debemos ir hacia mayor transparencia en nuestros procesos porque esa falta resta legitimidad.

    La corrupción nos molesta ahorita porque hay menos dinero. Pero si antes había más dinero, había más corrupción. Ahorita la vemos porque no tenemos dinero.

    En estos 20 años en PDVSA (la petrolera estatal) hubo corrupción, pero también hubo educación pública y gratuita.

    Por qué soy chavista
    Siento que es gente como yo, gente que me respeta. Puedo colgar en mi blog cualquier cosa y no me atacan por eso. Más allá de los conflictos y problemas nosotros tenemos un sueño, una idea clara de país.

    Siempre me gustó el ejercicio de la política y fueron los primeros que me ofrecieron participar en política en mi liceo. En la Universidad me encontré gente muy intolerante. Creo que si me hubiera encontrado opositores más abiertos, yo no estaría en el chavismo.

    Y me considero de izquierdas. No de una izquierda marxista, socialista. Creo en lo público. Soy de una izquierda muy distinta al chavismo, pero siento que el chavismo es lo que más se parece a mí.

    La crítica al chavismo
    Siento que el chavismo es monolítico, no acepta lo heterogéneo. Es ahí donde se ha quedado agotado. El chavismo, por ejemplo, sólo concibe una forma de ser joven. Cuando escuchas las alocuciones presidenciales, el joven es el chamo (chico) que trabaja por la patria. La gente joven no tiene necesariamente que trabajar por la patria.

    Va a ser un dilema muy grande para Nicolás Maduro y todos los chavistas lo que va a sentir mi generación de aquí a tres años.

    A mi generación Chávez le decía que era una generación de oro. Creó muchas universidades y hay mucha gente que estudió y se preparó y va a llegar a los 25 años, como yo, y va a querer tener un carro, porque, como en cualquier país del mundo, si soy profesional y soy buena en lo que hago, mi salario me da para tener un carro.

    Y ahora los salarios no dan ni para comprar la cesta básica.

    El chavismo es muy conservador en lo familiar. Eso lo detesto. No hay otra forma de ser mujer que no sea siendo madre.

    Si eres progresista o de izquierda tienes que luchar por transformar eso. Es la fuerza política con mayor participación política de la mujer, pero al mismo tiempo te inventa planes de atención sólo para ser madre.

    El futuro del chavismo
    En la oposición hay gente muy intolerante. No se trata de que nosotros seamos los buenos y ellos los malos. El chavismo es una reinterpretación de lo popular. Les ha costado comprenderlo (a la oposición). Chávez sólo pudo batir a los adecos (el partido AD, que dominó la política en Venezuela antes de Chávez) el día que los entendió como una manifestación.

    Los conflictos personales por ser chavista
    He tenido miembros de mi familia que me han deseado la muerte porque dicen que apoyo a una dictadura. Yo no soy marginal, bruta, fea ni enchufada, como dicen de los chavistas.

    En la universidad fue muy duro. No tengo problema con alguien que me adversa con ideas, pero me molesta la violencia. ¿Por qué no nos podemos entender?

    Cómo termina el actual conflicto político
    No sé si soy soberbia, pero creo que nada grave va a pasar. La izquierda latinoamericana tiene un fetiche con la invasión norteamericana. Todo el mundo cree que lo van a invadir.

    Creo que los gringos tienen intereses acá, están jugando una carta muy importante, presionando mucho, pero en Venezuela no hay odios profundos como en Siria, en Libia, los sunitas y los chiitas.

    No nos estamos matando. Hay mucha intolerancia. Antes no había tanta, pero no nos estamos matando ni va a pasar en un futuro próximo. La salida debe ser electoral.

  • Venezuela : « Me séquestrer serait l’ultime erreur » du régime, prévient Guaido
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_venezuela-me-sequestrer-serait-l-ultime-erreur-du-regime-previent-guaido

    « Essayer de m’enlever serait sans aucun doute une des dernières erreurs qu’il commettrait » a lancé le président par intérim reconnu par une cinquantaine de pays, dans une adresse à ses partisans via les réseaux sociaux.

    « Retenez-moi ou j’fais un malheur ! »

    • vidéo de l’arrivée à Caracas de Juan Guaidó
      El masivo recibimiento de Juan Guaidó en la plaza Alfredo Sadel
      http://www.el-nacional.com/videos/sociedad/que-viste-masivo-recibimiento-juan-guaido-plaza-alfredo_121370

      Juan Guaidó, presidente interino de Venezuela, salió de Maiquetía y llegó a la plaza Alfredo Sadel, en Las Mercedes, para acompañar a los ciudadanos que lo esperaban desde tempranas horas de la mañana

    • Détails sur le retour de Juan Guaidó : il y a des ruptures dans la chaîne de commandement : il n’a pas été arrêté à l’immigration ni ultérieurement. Il affirme (on l’entend dans la vidéo ci-dessus) que les fonctionnaires lui ont souhaité «  Bienvenue, Président  ». Accueilli à l’aéroport par le corps diplomatique dont le chargé d’affaires états-unien.

      Detalles del regreso de Guaidó que muestran la crisis política del país
      http://www.el-nacional.com/noticias/bbc-mundo/detalles-del-regreso-guaido-que-muestran-crisis-politica-del-pais_27345


      Guaidó pasó por migración. En Venezuela, el mandatario llega a una terminal especial conocida como Rampa 4
      AFP

      (Guaidó est passé par les guichets usuels de l’immigration, contrairement aux dirigeants qui passent par un pavillon spécial)

      Juan Guaidó, el principal líder opositor al que se enfrenta a Nicolás Maduro, volvió al país desafiando el riesgo de ser detenido. Algunas circunstancias de su regreso revelan la anómala situación en que se encuentra la política venezolana
      […]
      1. Un «presidente» en la fila de Inmigración
      Guaidó había prometido que volvería a Venezuela «como hacen los presidentes», por Maiquetía.

      Y lo hizo.

      (ben, non, il est passé par les guichets ; mais c’est en effet très étrange)

      2. Una atípica bienvenida: el cuerpo diplomático
      Cuando Guaidó llegó a la terminal no lo estaban esperando autoridades de su país ni ministros de su gobierno.

      Quienes lo recibieron fueron embajadores y representantes extranjeros.

      Estaban el encargado de negocios de la embajada de Estados Unidos, James Story, y los embajadores de varios países de la Unión Europea y América Latina que lo apoyan.

      La presencia del diplomático estadounidense es solo la última muestra de la firme apuesta de Washington por el dirigente del partido Voluntad Popular.

      (parmi les diplomates de divers pays de l’UE, l’ambassadeur d’Espagne est le seul explicitement mentionné (il est en photo)

      3. Un «golpista» en libertad
      Pese a haber hecho caso omiso de las medidas que le impuso el Tribunal Supremo, haberse proclamado presidente y haber sido señalado públicamente por Maduro como líder de una trama golpista, Guaidó continúa en libertad y participa en actos con miles de seguidores ante los que se presenta como el legítimo presidente venezolano.

      La tolerancia mostrada por el gobierno contrasta con el trato que se dispensó en el pasado a dirigentes opositores que se rebelaron contra Maduro.

      Su compañero de partido, Leopoldo López, continúa bajo arresto domiciliario después de ser condenado por su papel en las protestas antigubernamentales de 2014.

      Un putschiste en liberté…

    • Étaient présents à l’arrivée de Juan Guaidó, les ambassadeurs d’Allemagne et des Pays-Bas ainsi que les consuls de France, des États-Unis et du Chili.

      L’ambassadeur d’Allemagne est déclaré persona non grata et a 48 heures pour quitter le pays.

      Estos fueron los diplomáticos que recibieron a Guaidó en Maiquetía
      http://www.el-nacional.com/noticias/politica/estos-fueron-los-diplomaticos-que-recibieron-guaido-maiquetia_273326


      Foto : @TVVNoticias

      Representantes diplomáticos de Alemania y Países Bajos junto a los cónsules de Francia, Estados Unidos y Chile, esperaron al presidente interino Juan Guaidó en el Aeropuerto Internacional Simón Bolívar este lunes, donde le dieron la bienvenida tras completar su gira por diferentes países de Latinoaméroca.

      En este sentido, el Ministerio de Exteriores venezolano tachó como «inaceptable» la acción de estos comisionados y declaró a Daniel Martin Kriener, embajador de Alemania, como persona non grata.

      Kriener cuenta con 48 horas para abandonar el país, de acuerdo con información compartida por Jorge Arreaza mediante su cuenta de Twitter.

    • Les fonctionnaires de l’immigration qui n’ont pas arrêté J. Guaidó ont été transférés dans le principal établissement militaire de la capitale (qui comprend, entre autres, le ministère de la Défense, la résidence de la vice-présidente, etc.)

      GNB que permitieron ingreso de Guaidó fueron trasladados a Fuerte Tiuna
      http://www.el-nacional.com/noticias/politica/gnb-que-permitieron-ingreso-guaido-fueron-trasladados-fuerte-tiuna_2734

      José Luis Pirela, diputado a la Asamblea Nacional, denunció que los funcionarios de la Guardia Nacional Bolivariana (GNB) que no acataron la orden de detener a Juan Guaidó, presidente interino de Venezuela, en el Aeropuerto Internacional Simón Bolívar, fueron trasladados a Fuerte Tiuna.

      El parlamentario alertó que la orden de captura contra el presidente interino continua vigente. Hizo un llamado a la comunidad internacional a estar atentos a lo que pueda suceder en el país.

      La GNB en el aeropuerto no ejecutó la orden de detener a Juan Guaidó. Los funcionarios fueron trasladados a Fuerte Tiuna. La orden de captura está vigente. Alerta Venezuela, alerta gobernantes del mundo”, indicó Pirela en Twitter.

  • Curaçao n’expédiera pas d’aide humanitaire sans l’accord des autorités du #Venezuela

    Curazao advierte que no enviará ayuda a Venezuela sin autorización
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/curazao-advierte-que-enviara-ayuda-venezuela-sin-autorizacion_271864


    Foto : cortesía

    La isla caribeña de Curazao dijo este viernes que no permitirá que la ayuda humanitaria destinada a Venezuela salga de su puerto a menos que las autoridades de Caracas den permiso.

    «Ningún envío de ayuda desde Curazao saldrá hacia Venezuela de manera forzada», dijo en un comunicado el gobierno de la isla.

    «Los envíos desde Curazao solo se realizarán cuando las autoridades de Venezuela estén de acuerdo. Hasta entonces, la ayuda permanecerá almacenada», informó el gobierno de la isla en un comunicado.

  • Venezuela : les coulisses de l’ascension de Juan Guaido, jeune député devenu visage de l’opposition
    https://www.lemonde.fr/international/article/2019/02/21/juan-guaido-le-recit-d-une-irresistible-ascension_5426055_3210.html


    Manifestation des partisans du président autoproclamé vénézuélien Juan Guaido à Maracaibo, le 12 février
    ISAAC URRUTIA / REUTERS

    Tiens ! une équipe (solide !) du Monde enquête sur le phénomène Guaidó … (sous #paywall, hélas…)

    Par Claire Gatinois, Gilles Paris, Sandrine Morel, Marie Delcas et Jean-Pierre Bricoure

    La main droite est ouverte et levée, l’autre posée sur un exemplaire de la Constitution. Il est peu avant 14 heures et le jeune député de l’opposition Juan Guaido fait face à plusieurs dizaines de milliers de manifestants rassemblés sur l’avenue Francisco de Miranda, cœur de Caracas. « Aujourd’hui 23 janvier 2019, lance-t-il, en tant que président de l’Assemblée nationale, invoquant les articles de la Constitution bolivarienne, devant Dieu tout-puissant et devant mes collègues de l’Assemblée, je jure d’assumer formellement les pouvoirs de l’exécutif national en tant que président en charge du Venezuela. » Tonnerres d’applaudissements.

    A peine une dizaine de minutes plus tard, alors que les opposants au régime de Nicolas Maduro battent encore le pavé, Donald Trump annonce dans un communiqué et un Tweet qu’il reconnaît le président par intérim. La déclaration du président américain fait l’effet d’une bombe. Non seulement elle prend de court les dirigeants chavistes, et surprend par son côté abrupt et risqué en termes diplomatiques, mais elle renvoie à une action coordonnée inédite.

    Il est 15 heures et Luis Almagro, secrétaire général de l’Organisation des Etats américains, basée à Washington, félicite l’impétrant. Encore un quart d’heure et c’est au tour du Canada de reconnaître Juan Guaido. Arrive le Brésil, cinq minutes plus tard. Puis la Colombie et le Pérou. Encore deux heures, et c’est le président du Conseil européen, Donald Tusk, qui dit « espérer que toute l’Europe va être unie en soutien des forces démocratiques au Venezuela ».

    Jamais un opposant au régime chaviste n’avait suscité un tel élan d’unanimité. En moins d’une après-midi, Juan Guaido, encore inconnu quelques jours plus tôt de la majorité des Vénézuéliens et de la communauté internationale, est devenu le visage d’une opposition qui s’était surtout distinguée, depuis des années, par ses divisions malgré les faiblesses du régime. Pour la première fois, glisse un diplomate occidental à Caracas, elle fait preuve d’une capacité …

  • #Venezuela 102ème anniversaire de Juan Vicente Torrealba
    (vidéo[es] incorporée)

    #20Feb Nació Juan Vicente Torrealba, leyenda viviente | Informe21.com
    https://informe21.com/actualidad/20feb-nacio-juan-vicente-torrealba-leyenda-viviente

    Juan Vicente Torrealba, caraqueño por accidente y llanero por tradición, cumple hoy 102 años. Ha compuesto más de 300 temas y cumplió su sueño de escribir un libro titulado “El llano de Juan Vicente”. Comenzó con la música folclórica y alcanzó el grado sinfónico con su Concierto en la llanura.

    Nació en Caracas el 20 de febrero de 1917. A los ocho meses sus padres lo llevaron al llano donde pasó su infancia y gran parte de su adolescencia.

    A los 31 años Juan Vicente Torrealba deja el llano y busca nuevos horizontes en Caracas, donde conoce a la compositora María Luisa Escobar quien le recomienda grabar su música si la quería dar a conocer.

    Así lo hizo y surgió el llamado “estilo torrealbero” que iba en contracorriente con lo que para ese momento se conocía como música llanera.

    La música torrealbera se dio a conocer por toda Venezuela y gran parte del mundo.

    Sin saber escribir música, Juan Vicente Torrealba no se limitó a un estilo. Comenzó con la música folclórica y alcanzó el grado sinfónico con su Concierto en la llanura.

    Llanero, originaire des llanos, pays d’étendues immenses, d’élevage et donc de garçons vachers (oui, ça sonne mieux en anglais,…) interprète et compositeur pour la harpe vénézuélienne, il est celui qui a introduit cette musique de bouseux dans les salons de l’élite caraquenienne, restée jusque là indéboulonnablement fidèles à la valse avec une solide tradition de valses vénézuéliennes pendant au moins le premier tiers du XXè siècle.

    Sa création emblématique est Concierto en la llanura dont le nom résume parfaitement cette transition de la campagne à la ville…

    En version harpe, cuatro, maracas
    https://www.youtube.com/watch?v=POFmc2-3f1w

    quelques 60 ans plus tard en version symphonique par la_Orquesta Sinfónica Juvenil de Caracas_ sous la direction de Gustavo Dudamel (purs produits de el Sistema)
    https://www.youtube.com/watch?v=jlkggaIaF4k

  • Venezuela : la Chine va-t-elle parier sur Juan Guaidó ?
    La Chine et la Russie ont cessé d’apporter des financements au gouvernement vénézuélien, elles se contentent d’allonger les moratoires de remboursements, sachant que les paiements en pétrole brut atteignent péniblement 50% des montants dûs…

    Appel à la raison du gouvernement chinois qui suppose, au passage, que la période de transition ne soit ni trop longue ni trop chaotique pour permettre un retour à une situation (au moins une extraction pétrolière normale). Considérant de plus que l’éventuel nouveau gouvernement ne pourrait probablement pas refuser grand chose aux États-Unis dont les relations avec Chine et Russie sont ce qu’elles sont…

    ¿Le apostará China a Guaidó ?
    http://www.el-nacional.com/noticias/columnista/apostara-china-guaido_270578

    Uno de los secretos mejor guardado es el nivel de exposición con que China llega a esta última turbulencia venezolana. Son muchos los medios y los centros de investigación que han monitoreado, a lo largo de los tiempos revolucionarios, la evolución de los empréstitos que la gran potencia le ha concedido al proyecto populista caribeño sin que nadie pueda asegurar, fuera de Pekín y Caracas, la verdadera situación del endeudamiento venezolano con sus socios asiáticos.

    Las vicisitudes que China ha debido enfrentar de unos años a esta parte no son pocas en este terreno, pero siempre elementos de carácter político y estratégico han aconsejado, a quienes toman este tipo de decisiones, ser amplios y condescendientes con sus socios en los refinanciamientos, sobre todo porque un volumen considerable de la apuesta financiera contaba con un repago en crudo y las cuentas nacionales venezolanas seguían cuadrando, aun cuando la producción petrolera se iba adelgazando consistentemente.

    Pero hace rato ya que ni China ni Rusia aportan financiamientos frescos al gobierno de Nicolás Maduro. Apenas se contentan con extender períodos de gracia a los empréstitos vencidos y de nada han valido los viajes a Pekín y Moscú en 2017 y 2018 para tratar de abrir de nuevo el grifo ni de uno ni de otro lado. Es que razones sobran para que, en lo que a China atañe al menos, la credibilidad, la responsabilidad financiera y la eficiencia del gobierno de Nicolás Maduro y de la estatal petrolera Pdvsa se encuentre en entredicho. Una fuente de la empresa informaba en diciembre pasado a El Nacional que no se está cumpliendo el compromiso de pagar con crudo los viejos endeudamientos chinos y rusos, sino en 50%.

    De allí que sea necesario atar esta mala coyuntura en la relación con Venezuela con el difícil momento que atraviesa la planificación económica china. Hace un par de semanas nos referíamos a la desaceleración que deberá enfrentar el gigante de Asia, a la contracción de su propio consumo interno y a los efectos mundiales del rifirrafe que mantienen con los Estados Unidos. La ortodoxia económica lo que aconseja es mantener bajo control el repago de los colosales endeudamientos otorgados a países en desarrollo, que, al igual que el resto del mundo, estarán impactados económicamente por la crisis global.

    Y es así como la sensatez deberá prevalecer en China en su futura relación con Venezuela, y cobrar lo que se le adeuda será la prioridad con mayor peso. La irreductible solidaridad política de antaño con la revolución bolivariana tendrá que pasar a un segundo plano. Cuando se perfore el secretismo que rodea la realidad de las cifras envueltas en los empréstitos y las turbias condiciones de los endeudamientos salgan a la luz, cuando del examen de los contratos y negociaciones entre las partes se evidencien elementos de corrupción que con frecuencia acompañan estos compromisos, cuando exista claridad meridiana sobre los procedimientos no cumplidos y las autorizaciones no otorgadas en cada una de las inversiones conjuntas y en los fondos que acompañaron las relaciones bilaterales, China tendrá frente a sí un problema mayúsculo a resolver. Y más le vale en ese momento, haber actuado del lado de quienes están dando por finiquitado el desorden, las ineficiencias, los “negociado_s” y el saqueo del país.

    “_Quien a buen árbol se arrima…” no es un adagio chino, estoy segura, pero no dudo de que la sabiduría milenaria que caracteriza al Imperio del Medio sabrá, desde esta temprana hora, quién es su mejor aliado en la lejana y díscola Venezuela, ahora en proceso de rehabilitación bajo la férula de Juan Guaidó.

  • #Venezuela : Bilan du 12F : c’est pour le 23F…

    Guaidó: El 23 de febrero ingresará la ayuda humanitaria
    http://www.el-nacional.com/noticias/politica/guaido-febrero-ingresara-ayuda-humanitaria_270527


    Foto: Asamblea Nacional (@AsambleaVE)

    Juan Guaidó, presidente interino de Venezuela, informó este martes que el día pautado para el ingreso de la ayuda humantaria a Venezuela es el 23 de febrero.