Finissage
▻http://www.weck.fr/2018/04/30/finissage
Finissage de l’exposition « Avallon, cahier #1 », le vendredi 4 mai 2018 à partir de 17h aux Caves de la Halle.
#Blog_images
Finissage
▻http://www.weck.fr/2018/04/30/finissage
Finissage de l’exposition « Avallon, cahier #1 », le vendredi 4 mai 2018 à partir de 17h aux Caves de la Halle.
L’Yonne Républicaine
▻http://www.weck.fr/2018/04/20/lyonne-republicaine
Des dizaines de photographies sur la vie avallonnaise à découvrir dans deux commerces. Le photographe Pierre-Emmanuel Weck expose ses clichés de la vie avallonnaise jusqu’au 1er mai au bar de l’Hôtel-de-Ville et aux Caves de […]
Nous connaissons très précisément la violence des expulsions, les impasses qu’elles dessinent, la peur panique qui les anime, la déraison des politiques publiques dont elles relèvent.
Nous ne mesurerons pas encore la brutalité des prétendues solutions d’humanité qui s’inventent en contre feu. Leur programme est aujourd’hui publié : il est annoncé à Paris comme à #Grande-Synthe que l’hospitalité au 21e siècle s’administrera, que l’encampement sera sa norme ; il est acquis que l’architecte engagé se fera designer de #camps, expert en innovations « modulaires », producteur d’espaces anti-urbains mais « dignes » parce que techniques et conviviaux, promoteur de dystopies frappées d’incontestabilité morale.
Toujours, il s’agit de traiter des corps en trop : au moyen, d’un côté, d’opérations militaires d’évacuation et de neutalisation du territoire ; à la force, de l’autre, du déploiement massif de niches à la propreté clinique. Jamais nous ne considérons ces femmes, ces hommes, ces enfants comme des citoyens en plus. Jamais nous ne prêtons attention aux relations fragiles mais cruciales qu’ils ont tissées avec les riverains que nous sommes. Jamais nous n’imaginons cultiver les constructions infimes peut-être, mais vivantes assurément, qu’ici mêmes ils ont risquées.
Alors poursuivons-nous au PEROU notre travail systématique et appliqué de consigne de ce qui s’invente, s’affirme, se construit aujourd’hui à Calais. Tel est le sens de cet « Atlas d’une ville potentielle » que constitue la plateforme www.reinventercalais.org. Ainsi nous efforçons-nous de tracer un chemin en #dissidence, de donner forme et pensée à une autre politique de l’#hospitalité, de « #Réinventer_Calais » enfin. A Arc-en-Rêve à Bordeaux, à la Biennale d’architecture de Venise comme à la Cité de l’Architecture et du Patrimoine de Paris, nous avons initié le processus de cet appel à idées. Ce mardi 7 juin à partir de 18h30 aux Caves Dupetit Thouars (12 rue Dupetit Thouars, M° République) nous tâcherons d’en débattre, et de le préciser encore.
–-> reçu par email via @reka
#Calais #migrations #asile #réfugiés #architecture #urbanisme #campement #photographie
cc @albertocampiphoto
#cartographie :
Le meilleur vigneron de Pouilly-Fumé dépouillé de son #AOC | No wine is innocent | Rue89 Les blogs
▻http://blogs.rue89.nouvelobs.com/no-wine-is-innocent/2015/09/18/le-meilleur-vigneron-de-pouilly-fume-depouille-de-son-aoc-234
« Deuxième dégustation d’agrément vers mai 2014. Coup de fil : “Votre vin, M. Bain, il est oxydé...” C’est ce jour-là que j’ai compris qu’un vin tel que je le fais, en bio et biodynamie, avec des raisins mûrs, des peaux qui se sont affinées en cours d’élevage, des pépins qui sont devenus marrons et qui cassent comme un bris de verre, un vin sans arômes herbacés... Plus la fermentation malolactique, qui donne des vins plus digestes. Un vin pareil, ça ne passe pas.
Avec ma femme, on s’est d’abord dit “Après tout, on va se mettre en vin de table.” Mais mon vin, il s’appelle Pouilly-Fumé, pourquoi on l’appellerait autrement ? Moi, je m’appelle Alexandre, pas Robert.
Ici, tu peux faire des sauvignons [le cépage du pouilly-fumé, ndlr] californiens, et inversement... Si on joue la carte cépage-cépage-cépage, ça ne me plaît pas. Moi, je considère qu’on a des terroirs, et donc il faut élever les vins.
Chaque année, je vois le terroir sortir, le côté variétal s’efface au profit de quelque chose de plus exotique. La bouche n’est plus courte et acidulée, mais tu gagnes en longueur, tu as une acidité différente couplée à une grosse minéralité, mot fourre-tout que je n’aime pas, mais tu as vraiment l’impression d’avoir sur la langue une pierre fondue. C’est ce que je recherche, mais c’est absolument pas ce qui est recherché. »
« Des gens cautionnent notre travail »
Voilà l’un des problèmes d’Alexandre Bain, il fait différemment, selon nombre de commentateurs il fait mieux et, plus grave, ça se voit, ça se sait.
« J’ai bien compris que le principe des gens qui composent le comité de dégustation d’agrément, c’est de refuser tout produit différent du cadre qu’impose l’appellation #Pouilly-Fumé. Et alors on trouve un motif : éventé, oxydé, ou autre.
Mais quand tu es dans 17 des 50 meilleurs restos du monde, que tu fais du bio, que tu introduis des chevaux, et à la fin tu as le sourire du sommelier, du caviste, du client. Que tu as des articles dans des médias nationaux, les guides... Tous ces gens cautionnent notre travail. Donc remettre en question mes vins, c’est remettre en question le niveau de compétence de ces gens, comme Alexandre Jean, le chef sommelier à L’Astrance, ou le caviste Marc Sibard, ou Mickaël de Crus et Découvertes, ou Olivier Roblin des Caves du Panthéon. »