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  • Première journée internationale de mobilisation contre #Chevron
    http://multinationales.org/Premiere-journee-internationale-de

    Les communautés victimes de la multinationale Chevron s’unissent pour dénoncer les mauvaises pratiques de cette entreprise pétrolière. Dans une déclaration commune, elles invitent à participer à la première « Journée internationale anti-Chevron » qui se déroulera le 21 mai prochain. Initiée par des communautés équatoriennes, argentines, nigérianes, roumaines et américaines, cette mobilisation devrait déboucher sur un appel au boycott de l’ensemble des produits estampillés Chevron et de ses filiales. La (...)

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    #Énergie
    « http://www.antichevron.com »
    « http://www.bastamag.net/Le-petrolier-Chevron-ecope-de-la »
    « http://www.bastamag.net/Gaz-de-schiste-coup-de-force-de »
    « http://www.antichevron.com/index.html »
    http://multinationales.org/IMG/pdf/=_paris_2014.pdf
    http://multinationales.org/IMG/pdf/declaracion_en_fr_dzclaration_des_peuples_victimes_des_pratiques_de

  • Les 30 000 indigènes et paysans qui ont réalisé l’impossible. — Martín Cúneo
    http://www.legrandsoir.info/les-30-000-indigenes-et-paysans-qui-ont-realise-l-impossible.html

    Lors d’un procès, inédit dans le monde entier, en janvier 2012, la justice Équatorienne a confirmé la condamnation émise un an plus tôt : l’industrie pétrolière Chevron-Texaco est coupable d’avoir déversé des millions de tonnes de produits toxiques pour la forêt amazonienne et doit payer une facture de 19 200 000 000 de dollars, chiffre le plus élevé dans l’histoire des indemnisations prescrites par la justice.

    • En 1993, un groupe d’avocats, Colons et Indigènes, avaient déjà déposé plainte contre Texaco à New York. Mais le jugement avait été systématiquement bloqué par l’équipe millionnaire des avocats de l’entreprise. L’argument principale de l’entreprise pétrolière était que le procès devait se tenir en Equateur. « Texaco considérait qu’ici la justice est très corrompue et qu’ils pourraient acheter les juges avec quelques centimes », explique Alejandra Almeida, d’Action Ecologique. En 2002, Texaco a atteint son but : le jugement de New York a été transféré en Equateur.

      Mais les choses ne se sont pas passées comme l’espérait l’entreprise, dit Almeida : « Texaco n’avait pas compté sur le fait que la mobilisation allait être vigilante tout le temps et c’est ce qui a fait pression sur les juges pour qu’ils ne puissent pas se vendre. Avec des centaines d’Indigènes à la porte du tribunal, il ne pouvait arriver à aucun juge de faire quoi que ce soit d’atroce . En Équateur, les procès se gagnent dans la rue. C’est avec cela que n’a pas compté Texaco ». Les médias ont commencé à parler de « Jugement du siècle ».

    • Chevron rejette la décision de la justice en Equateur, les plaignants vont lancer des procédure dans d’autres pays
      http://www.romandie.com/news/n/_Chevron_rejette_la_decision_de_la_justice_en_Equateur_les_plaignants_vont

      La compagnie pétrolière Chevron a rejeté mercredi la décision de la justice équatorienne, qui a maintenu sa condamnation pour pollution mais réduit son amende, alors que les plaignants entendent multiplier les procédures d’indemnisation dans d’autres pays

      La Cour nationale de justice (CNJ), l’instance suprême en Equateur, a confirmé mardi la condamnation de Chevron pour pollution en Amazonie, mais réduit de moitié le montant de son amende, fixée à 9,511 milliards de dollars au lieu de 19 milliards de dollars.

      C’est aussi illégitime et inapplicable aujourd’hui que ça l’était à l’origine, a réagi la société, en litige avec les autorités du pays latino-américain, dans un communiqué publié à Quito.
       
      Poursuivi à l’origine par quelque 30.000 indigènes de la région, souillée par de vastes piscines de brut, la compagnie a été condamnée en 2011 par la cour de la province amazonienne de Sucumbios (nord) à une amende de 9 milliards de dollars.

      Le montant avait été doublé au motif qu’elle n’avait pas présenté d’excuses. C’est cette décision qu’a finalement annulée la CNJ, tout en confirmant la condamnation de Chevron à indemniser le Front de défense de l’Amazonie, qui regroupe les plaignants.

      Les dégâts dans la forêt amazonienne remontent à l’exploitation pétrolière par la compagnie américaine Texaco qui opéré en Equateur entre 1964 et 1990, avant d’être rachetée par Chevron.

      Cette décision de la Cour national renforce les actions des plaignants pour l’exécution de la sentence dans plusieurs pays, a affirmé à l’AFP l’avocat Juan Pablo Saenz, qui les représente collectivement.

      Il y a près de 30 pays où nous avons discuté avec des avocats et dressé une liste des actifs de Chevron, a-t-il assuré.

      Chevron n’est plus en Equateur depuis des années et n’a que peu d’actifs, comme les marques. C’est pourquoi les plaignants vont essayer d’obtenir un gel sur ceux qui se trouvent dans d’autre pays, mais ils vont devoir lancer des procédure pour chacun d’entre eux et cela peut durer des années, a expliqué à l’AFP Xavier Andrade, professeur spécialisé dans le thème des arbitrages internationaux à l’université San Francisco.

      En novembre 2012, un juge en Argentine avait déjà ordonné un gel sur les biens du pétrolier, une décision qui avait été finalement invalidée par la Cour suprême du pays.

      Le pétrolier, qui conteste sa responsabilité et incrimine la compagnie d’État équatorienne Petroecuador, a porté l’affaire devant une cour de New York et un tribunal d’arbitrage international de La Haye, dénonçant la corruption de la justice équatorienne.

      Même réduite de moitié, l’amende infligée à Chevron en Equateur représente l’une des plus fortes dans l’histoire du droit de l’environnement, dépassant celle de 4,5 milliards de dollars infligée à ExxonMobil pour la marée noire de l’Alaska en 1989.

      Le président Rafael Correa, un dirigeant socialiste aux relations conflictuelles avec les États-Unis, a récemment lancé une campagne international de boycottage contre les produits de Chevron qu’il accuse d’être responsable d’un des pires désastres environnementaux de la planète.

  • #Gaz_de_schiste en #Roumanie : un « oui » controversé - Le Courrier des Balkans
    http://balkans.courriers.info/article19682.html

    L’américain Chevron s’est vu accorder par l’Agence nationale pour les ressources minérales (ANRM) trois périmètres en Dobrodgea (sud-est), ainsi qu’une concession de 600.000 hectares dans la région de Bârlad (nord-est), où la phase d’exploration devrait commencer dans les mois à venir.

    Alors qu’en janvier, la Bulgarie a annulé la licence d’exploitation délivrée à Chevron, la Roumanie elle, soutient l’exploitation de ces gaz. Le 7 mars, le président Traian Basescu a demandé, sous prétexte de la dépendance énergétique de son pays vis-à-vis de la Russie, « que l’on étudie avec un maximum de responsabilité l’énergie provenant des gaz de schiste », tout en affirmant « que ces intérêts n’étaient en aucun cas politiques ». Le chef d’État a réitéré ses propos mercredi dernier lors de l’investiture du nouveau ministre de l’Environnement Attila Korodi.

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