city:choisy

  • Entretien avec « L’Age de faire » sur la société de contrainte
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=1136

    Voici un entretien avec L’Age de faire (à ouvrir ci-dessous). On peut le lire sur papier dans le numéro de mai 2019 (2€, en vente dans tous les bons endroits et au journal lui-même.)

    diffusion@lagedefaire-lejournal.fr Tél. : 04 92 61 61 08 9 chemin de Choisy – 04200 Peipin

    Cet entretien conclut un dossier de huit pages consacré à l’oppression numérique, c’est-à-dire aux manifestations de la société de contrainte sur lesquelles nous enquêtons depuis 2001. Ainsi le téléphone portable, alias smartphone, instrument d’aliénation, de surveillance et de destruction massive (Cf. Le téléphone portable, gadget de destruction massive, éditions L’Echappée, 2008) ; les puces communicantes RFID et la police totale qui infestent rapidement tous les objets fabriqués et tous les êtres vivants afin de les tracer – animaux (...)

    #Nécrotechnologies
    http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/entretien_avec_l_age_de_faire.pdf

  • Les femmes dans l’économie (4/4) : L’économie du patriarcat
    https://www.franceculture.fr/emissions/entendez-vous-leco/entendez-vous-leco-du-jeudi-07-mars-2019

    Le patriarcat est avant tout un système économique, qui repose sur l’exploitation des femmes dans le cadre de la famille. Comment l’analyse de cette …

    • feat. #Christine_Delphy ! (seule invitée)

      http://rf.proxycast.org/1544556949100568576/10081-07.03.2019-ITEMA_22001685-0.mp3

      Le patriarcat est avant tout un système économique, qui repose sur l’exploitation des femmes dans le cadre de la famille. Comment l’analyse de cette exploitation domestique permet-elle de comprendre, et de combattre, la persistance plus générale des inégalités entre les femmes et les hommes ?

      [...] Nous en arrivons aujourd’hui à une réflexion sur l’économie du patriarcat.

      Dans quelle mesure la famille est-elle un lieu d’exploitation économique des femmes ? Comment la réflexion sur le genre peut-elle nous aider à comprendre la persistance de ces inégalités ? Et quelle tournure le combat féministe prend-t-il aujourd’hui ?

      "Au lieu de se concentrer sur des éléments idéologiques ou religieux, ou sur des éléments soi-disant physiques, sur des différences « naturelles » entre les hommes et les femmes, d’autres, et moi-même, avons entrepris de chercher les causes des inégalités domestiques dans l’économie." (Christine Delphy)

      Archives

      • Le témoignage de Jacqueline, aide à domicile à Choisy-Le-Roi, extrait de l’émission Les Pieds sur terre diffusée sur France Culture le 11 avril 2011
      • L’historienne Michelle Perrot dans l’émission La Grande Traversée, diffusée le 22 août 2016 sur France Culture
      • La sociologue Christine Castelain-Meunier dans l’émission La Grande Table, diffusée sur France Culture le 27 décembre 2013
      • Extrait du documentaire de Paule Zajdermann Judith Butler, philosophe en tout genre, réalisé en 2006
      • Le politologue Francis Dupuis-Déri au micro de Judith Bernard pour le site Hors-Série, le 18 mars 2017

      #patriarcat #femmes #féminisme

  • Quand les eaux montent – Mise en #patrimoine des #crues et des #inondations

    Cet ouvrage, issu des travaux de la Chaire Capital environnemental et gestion durable des cours d’eau (Géolab/Université de Limoges) présente des études de cas en France, en Europe mais aussi en Inde et au canada et propose une lecture patrimoniale des inondations.

    Si Jamie Linton enseigne la géographie à l’Université de Limoges, Alexis Metzger est associé au centre de formation sur l’environnement et la société de l »ENS-ULM. Tous deux introduisent l’ouvrage qu’il coordonne, organisent les diverses contributions en trois parties : traces et mémoires qui conduisent le lecteur dans le Gers et au Canada, Risques et cultures des rives du Brahmapoutre au Rhin en passant par les bords de Loire, la seine et le Tibre, Transmissions et créations entre Loire et Garonne.

    L’introduction Mind the floods ! Définit le cadre conceptuel : le patrimoine en relation avec la crue considérée comme utile à l’écosystème de la rivière, une « contrainte à intégrer au développement des territoires »1. Les auteurs rappellent le contexte d’élaboration de l’ouvrage : un colloque tenu à limoges en octobre 2015 et invitent à compléter la lecture par l’écoute d’extraits de communications et proposent une bibliographie générale sur ces thèmes 2

    Traces et mémoires

    Franck David (Université Bretagne -Sud), spécialiste des traces mémorielles des héritages douloureux entre valorisation et oubli, aborde les mémoires d’une crue assez récente à Auch3, une crue dévastatrice pour les habitants de la ville basse épargnant la ville historique en rive gauche.Il pose une série de questions : la mémoire, construction sociale, constitue-telle un patrimoine ? Comment sont conservées ou cachées les traces visuels de la crue ? Les mesures de prévention des risques ne pourraient-elles pas entretenir les traces de hauteurs d’eau pour rappeler le risque ? La loi du 30 juillet 2003 prévoit en effet de matérialiser les repères de PHEC4 alors que rien n’est prévu en ce qui concerne l’étendue spatiale de l’inondation. L’auteur montre que d’autres formes existent : monument ou spectacle vivant. Il analyse deux figurations du sculpteur Jaime Plensa installées en 1992 et le parcours d’interprétation de la ville « chemin de traverse » les associant à une représentation chorégraphique évoquant la crue. Le but de ces œuvres est de réconcilier les habitants avec le rivière de même que les aménagements de rectification des rives et aménagements paysagers avec promenade et parcours sportif pour permettre une réappropriation pacifié du Gers.

    Anne Watelet der l’école de l’environnement de l’Université Laurentienne (Ontario-Canada) entraîne le lecteur sur les rives de la rivière des Ouataouais. Il s’agit d’une rivière liée à l’histoire même du Québéc, patrimoine reconnu officiellement en 2017 mais la mémoire des crues est peu connue. L’étude porte sur deux villages à l’ouest de Montréal, l’un est un point de portage incontournable à, l’aval de rapides fréquentés dès le début du XVIIe siècle par les migrants européens. Les vestiges du canotage ont été largement détruit par la construction d’une centrale hydroélectrique (1962). Comment les habitants vivent-ils aujourd’hui le milieu riverain ? L’auteure décrit l’hydrologie de la rivière et ses crues fréquentes, la mémoire des crues utiles à l’exploitation forestière5 ou à la ^pêche à l’esturgeon. La présentation des effets du barrage sur le sentiment des riverains montre une différence selon qu’ils vivent en amont ou en aval du barrage6. L’auteure constate que l’éloignement de la connaissance et de la crainte des crues amène à une extension des zones bâties en zone inondable en aval et une prise de conscience récente de la collectivité locale.

    Quatre universitaires britanniques : Lindsey McEwen, Joanne Garde-Hansen, Iain Robertson, Andrew Holmes explorent la nature changeante des archives d’inondation, leur relation avec la mémoire et les savoir locaux. Ils définissent les archives et les conditions de leur collecte. Ils montrent le poids ses élites dans la définition de ce qui doit être conservé même si des mémoires plus personnelles ou familiales existent. Les auteurs évoquent la conservation d’archives d’inondation : photographies7, témoignages, repères. Ils concluent sur l’existence d’un patrimoine culturel immatériel et pose la question de sa mise à disposition du public.

    Risques et cultures

    Quatre articles abordent la question sous l’angle risques/ressources.

    Émilie Crémin nous entraîne sur les rives du Brahmapoutre. Elle montre comment les populations y ont vécu en utilisant les différents niveaux d’eau, « jouant » avec les crues tandis que les autorités tentent depuis le XIIe siècle de les maîtriser. Elle présente la culture ancienne du fleuve divinisé, associé à Brahma, les politiques de préservation de l’écosystème de la plaine inondable dans le Parc National de Kaziranga et le « savoir vivre avec les crues des habitants de l’île de Majuli. Elle analyse ensuite un autre patrimoine lié à la longue histoire des digues, les évolution des pratiques agricoles, les critiques de ces politiques de protection. Elle conclut sur l’existence dans cette région d’une culture du risque exprimée par des dessins d’enfants.

    Sylvain rode et Sylvie Servain se penchent sur la Loire moyenne autour de la question : « l’approche en terme de patrimoine ne peut-elle pas aider à donner une visibilité au risque inondation 8 » sur un site inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis l’an 2000 ? Il s’agit ici à la fois des paysages naturels de l’eau et des paysages culturels9 et du risque qui véhicule une image négative aux antipodes de la vallée des châteaux. L’interrogation porte sur l’intérêt d’une patrimonialisation de l’inondation pour définir une identité du lieu, un atout de développement notamment touristique et une culture du risque à construire.

    Ce ne sont pas moins de dix auteurs, historiens et géographes, qui analysent la culture du risque dans le fossé rhénan. Ils constatent une méconnaissance largement répandue du risque dans une zone urbanisée et industrielle. Si l’Alsace a un riche patrimoine historique et bien que très marquée par la présence du Rhin la connaissance et la mémoire des inondations sont faibles sans doute en raison, pour les auteurs, de l’histoire des conflits franco-allemands10. Les auteurs évoquent &également les travaux de correction, endiguement des cours d’eau et la rareté des repères de rue. La prise de conscience du risque est récente, peut-être une chance pour une patrimonialisation des inondations omniprésentes dans l’histoire de l’Alsace11. Les auteurs militent pour une géohistoire des inondations.

    Sofiane Saadia (doctorant à l’Université Paris Diderot) compare sur un siècle (des années 1930 au début du XXIe siècle) les stratégies de Paris et Rome face à la crue. Quelle intégration du risque dans les aménagements urbains ? L’auteur amorce sa réflexion autour des ouvrages de protection, leur patrimonialisation et les conséquences : valorisation des berges et mesures de prévention des risques, des rapports parfois antagonistes12. A partir de l’exemple d’aménagement du parc interdépartemental des sports de Choisy-le-Roi il pose ensuite la question : l’inondation peut-elle être considérée comme un patrimoine naturel ?

    Transmissions et créations

    Avec Annie Sigwalt, sociologue, on aborde la question des terres agricoles en zone inondable, les zones humides en Pays de Loire, autrefois élément de l’exploitation agricole, aujourd’hui en perte d’actifs agricoles.Elle présente les travaux de la commission marais de la chambre d’agriculture de Loire atlantique et notamment comment les éleveurs perçoivent leur activité professionnelle en zone humide, confirmant une connaissance réelle du milieu et des savoir à transmettre : formes de valorisation, connaissance du risque, réactions aux mesures agro-environnementales.

    L’exemple de patrimonialisation de la moyenne vallée de la Garonne marmandaise est présenté par Philippe Valette, Philippe Marmiesse et Jean-Michel Moreau. Après une description de la Garonne et son régime de crues les auteurs rappellent quelques données historiques et les caractéristiques d’un bâti traditionnel adapté et mis en valeur à Couthures par la Maison « Gens de Garonne ».

    En guise de conclusion La géographe Nancy Meschinet de Richemond développe bla nécessaire dimension positive de l’inondation pour une patrimonialisation allant au-delà de la dimension économique du patrimoine.

    https://clio-cr.clionautes.org/quand-les-eaux-montent-mise-en-patrimoine-des-crues-et-des-inond
    #mémoire #catastrophe #livre #géographie_culturelle #risques #catastrophes #histoire

  • Vente solidaire de fruits et légumes le 17 août dans de nombreuses villes d’Ile de France | L’Humanité
    http://www.humanite.fr/vente-solidaire-de-fruits-et-legumes-le-17-aout-dans-de-nombreuses-villes-d

    « L’ouverture des États généraux de l’alimentation a eu lieu en grandes pompes, avec une volonté de grand battage médiatique. Pour diversion ? Les dernières décisions gouvernementales ne laissent en effet entrevoir aucune volonté de répondre à la nécessaire augmentation du pouvoir d’achat des citoyens. Elles ne s’attaquent pas plus aux chantiers urgents de la rémunération du travail paysan et des salarié-e-s. », juge le Parti communiste français dans un communiqué qui annonce l’initiative qui se déroule jeudi 17 août toute la journée.

    Il s’agira de proposer des fruits et légumes directement du producteur au consommateur, dans des dizaines de villes d’Ile de France (voir liste des points de vente ci-dessous). « Moins cher pour les consommateurs, plus rémunérateur pour les producteurs, le circuit court à prix juste, la population est invitée à en discuter... et à en bénéficier », commente le PCF dont une délégation sera reçue à 11h à Matignon.

    Une initiative identique aura aussi lieu les 1er et 2 septembre dans le Territoire de Belfort, dans le Jura, les 22, 23 et 24 septembre en Isère…

    Les points de vente solidaire en Ile de France de ce jeudi 17 août

    Paris

    8h. Place de la Bastille

    Hauts-de-Seine

    Bagneux. 10h rond-point de la Fontaine Gueffier.

    Gennevilliers. 9h30 parking Victor Hugo. 10h45 Place du marché du Luth. 12h Ferme de l’horloge. 14h45, Grésillons face à l’Espace. 16h mairie.

    Nanterre. 9h, Petit Nanterre (5 allée des Iris). 11h : Esplanade Charles de Gaulle.

    Val de Marne

    Alfortville. 10H30 PCF, 1 Square Véron.

    Boissy Saint Léger. 10h, Halle Griselle, rue Gaston Roulleau.

    Bonneuil-sur-Marne. 10h : pharmacie de Fabien, laboratoire de Verdun, République (place des Libertés). 12h, mairie.

    Champigny-sur-Marne. 10h : place Rodin et MPT Gagarine. 12h : Mairie. 14h30 : parking avenue de Coeuilly. 14h30 gare des Boullereaux. 17h au Maroc (centre Jean Villar).

    Chevilly-Larue. 18H30 : Maison pour tous ( 23 rue du Béarn ). 19H15 Quartier Anatole France.

    Choisy le Roi. 16h30 place Jean Jaurès (Marché)

    Fontenay sous Bois. 10H Hôtel de Ville.

    Gentilly. 12H parvis du gymnase Carmen Lerou. 17H30 Mairie.

    Ivry-sur-seine. 9h, Mairie.

    Kremlin-Bicêtre. 17h45, 48 avenue Charles Gide (piscine).

    La Queue-en-Brie. 9h30 Mairie, avenue Martier (Parking du centre commercial)

    Nogent-Le Perreux. 10h, angle des rues Losserand et Anquetil.

    Orly Ville. 10h, Espace Gérard Philipe.

    Orly aéroport. 10h, section PCF de l’aéroport, 2 rue Georges Baudelaire.

    Valenton. 18h, place du marché.

    Villejuif. 10h, face à la Mairie. 17h, Marché Auguste Delaune.

    Villeneuve-Le-Roi. 10 h, cité Paul Bert, cité Raguet Lépine.

    Vitry-sur-Seine. 11h, Hôtel de Ville. 14h, Section PCF place de l’église. 18h Cité Colonel Fabien et

    Place du 8 mai.

    Seine Saint-Denis

    Bagnolet. 10h30 Place du 17 octobre 1961, 78 rue Robespierre. 12h Hôtel de Ville. 17h30 Centre de santé rue Sadi Carnot.

    Bobigny. 10h Espace citoyen 160 Avenue Jean Jaurès.

    Drancy. 18h Quartier Salengro, ancien marché.

    Epinay. 18h30 Section PCF 39 avenue de la Marne.

    La Courneuve. 18h Franprix centre ville.

    Le Blanc-Mesnil. 17h30 Section PCF 8b rue Claude Terrasse

    Montreuil 17h. Section PCF 10 rue Victor Hugo, La Noue (Barrière de l’AFUL), Morillons (Leader Price) Bel Air (Château d’eau).

    Noisy-le-Sec. 17h30 Maison des communistes 27 rue Henri Barbusse.

    Pantin. 17H30 Ciné 104 Avenue Jean Lolive.

    Pierrefitte 10h, Place de la mairie.

    Saint-Denis. 18h, Floréal (promenade de la basilique). Francs-Moisins (La Poste), Square Fabien. 18h30 Place du 8 mai 1945.

    Saint-Ouen. 17h vieux Saint-Ouen, boulangerie du haut. 18h30 Docks, parvis des bateliers et Place de la mairie.

    Stains. 10h, 38 rue Paul Vaillant-Couturier.

    Villepinte. 16h Quartier Pasteur (Espace Prévert) et quartier Fontaine Mallet (face pharmacie).

  • Pas Sage En Seine 2017
    https://www.april.org/pas-sage-en-seine-2017

    Début : 29 Juin 2017 - 11:00Fin : 2 Juillet 2017 - 19:00

    Le festival Pas Sage en Seine propose des conférences et des ateliers autour notamment des logiciels libres, des œuvres libres et de la neutralité du Net à Choisy-le-Roi en région Île-de-France du jeudi 29 juin au dimanche 2 juillet 2017. Lionel Allorge y proposera deux conférences : Le jeudi 29 juin de 17:00 à 18:00 (à la médiathèque) : Réalisation de photos libres pour Wikipédia Participez à Wikipédia en prenant des photos et en les publiant sous licences libres. Les thèmes, les bonnes pratiques, les concours seront passés en revue. Le vendredi 30 juin de 14:00 à 15:00 (à la médiathèque) : Montage vidéo libre Présentation du montage vidéo avec des logiciels libres, particulièrement avec Kdenlive, pour produire des vidéos dans des (...)

    #Le_Logiciel_Libre

  • On prend la rue et on la lâche plus,... - Mouvement Inter Luttes Indépendant (Mili) appel vidéo
    https://fr-fr.facebook.com/182353848622139/videos/472088709648650

    On prend la rue et on la lâche plus, jeudi 31 mars, lycéen-ne-s, étudiant-e-s, chômeurs-es, travailleurs-es, bloquons tout contre la loi travail !
    Trois semaines de blocus. Trois semaines où le nombre de lycées mobilisés n’a fait qu’augmenter à Paris, mais également en banlieue et sur l’ensemble de la France.

    • Journée de grève, manifestations et actions contre la loi travail
      http://www.cip-idf.org/article.php3?id_article=8072

      À Paris 11h Rassemblement à Nation à l’appel des lycéens en lutte

      13h30 Place d’Italie, manifestation en direction de Nation Rendez-vous Cip : devant le Mac Do, à l’angle place d’Italie/ avenue de Choisy

      18h Rassemblement « Nuit debout » à République
      On peut se voir autour de la table d’infos Cip !
      Le projet de loi Travail pourra bien être retiré, et Valls sauter, nous ne rentrerons pas chez nous. Ce monde qu’ils construisent contre nous avec acharnement, nous n’en voulons pas !
      Comme à Bordeaux, Guingamp, Lyon, Millau, Nantes, Rennes, ... : Après la manifestation : on ne rentre pas chez nous, on occupe une place ! Des précisions seront diffusées progressivement sur http://www.convergence-des-luttes.org

  • Vietnam, au cœur des négociations secrètes, par Martine Bulard
    http://blog.mondediplo.net/2015-04-13-Vietnam-au-coeur-des-negociations-secretes

    Pendant trois ans, dans le secret le plus total, M. Henry Kissinger, alors conseiller spécial du président Richard Nixon et Le Duc Tho, lui aussi conseiller spécial mais du président Ho Chi Minh, se sont rencontrés régulièrement derrière les volets clos d’un pavillon de banlieue parisienne. D’abord à Choisy-le-Roy puis à Gif-sur Yvette et à Saint-Nom-la Bretèche. Objectif : mettre fin à la guerre entre les Etats-Unis et le Vietnam qui dure déjà depuis dix ans quand démarrent les discussions, le 21 février 1970.

    Ce sont ces négociations que révèle Daniel Roussel dans le documentaire « Guerre du Vietnam, au cœur des négociations secrètes », diffusé mardi 14 avril à 22h20 sur Arte.
    http://www.arte.tv/guide/fr/048884-000/guerre-du-vietnam

  • #Perturbations trafic #ratp et #sncf #transilien le 2 juin 2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-ratp-sncf-transilien-2-juin-2014

    RER C : Des travaux de remplacement de 9 aiguillages à Choisy le Roi modifient la circulation des #trains, tous les jours du 02 juin au 30 juin 2014 sauf les samedis et les dimanches ainsi que le lundi 9 juin,...Cet article Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien le 2 juin 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_IDF #banlieue #bus #lignes #metro #RER #Tramway

  • #Perturbations trafic #ratp et #sncf #transilien les 31 mai – 1er juin 2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-ratp-sncf-transilien-les-31-mai-1er-juin

    RER C : Des travaux de remplacement de 9 aiguillages à Choisy le Roi et des travaux en gare de Brétigny, Etampes et Versailles Chantiers, interrompent les circulations sur la ligne C du #RER, ...Cet article Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien les 31 mai – 1er juin 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_IDF #banlieue #bus #lignes #metro #trains #Tramway

  • #Perturbations trafic #ratp et #sncf #transilien le 30 mai 2014
    http://www.transports-en-commun.info/perturbations-trafic-ratp-sncf-transilien-30-mai-2014

    RER C : dessertes modifiées du 02 au 30 juin 2014. Travaux de remplacement de 9 aiguillages en gare de Choisy Le Roi sur la ligne C du #RER, du lundi au vendredi, du 02 au 30 juin 2014...Cet article Perturbations trafic RATP et SNCF Transilien le 30 mai 2014 est apparu en premier sur Point Info Transports.

    #Infos_Trafic #Infos_Trafic_IDF #banlieue #bus #lignes #metro #trains #Tramway

  • A propos de Nous... La Cité #livre
    http://www.editions-zones.fr/spip.php?page=lyberplayer&id_article=162

    Ma cité va parler | Mediapart (#paywall) #banlieue
    http://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/200912/ma-cite-va-parler

    Les pages consacrées à la description du deal sont particulièrement détaillées. Rachid repère ainsi les « petites têtes blondes » de Chatou ou Choisy, leur laisse des échantillons gratuits ou leur offre des promotions. « En fait, c’est un vrai travail de capitaliste, explique-t-il. Tout pour le fric, le client est roi et il faut qu’il revienne. » Il leur propose ensuite de venir sur le « terrain qui ne peut pas tourner à moins de cinq mille euros par jour », parce qu’il faut payer les guetteurs, un physionomiste, le vendeur « qui ne bouge pas des escaliers », le « chargeur/déchargeur », qui approvisionne en drogue toutes les heures ou toutes les deux heures et qui récupère l’argent, mais aussi les « sauvettes », les appartements de repli au cas où il y aurait une descente, à ne pas confondre avec les « nourrices », les appartements où la #drogue est planquée. « Les gens disent que c’est de l’argent facile, mais en fait, c’est faux. C’est pas de l’argent facile, c’est de l’argent rapide », est-il expliqué. Le shit est donc vendu à l’intérieur de la cité, contrairement à la cocaïne, livrée directement dans les appartements des beaux #quartiers où « les gens avaient des prénoms rares, comme Constantin, et des noms de bonne famille ».

    Ensuite, si on lit entre les lignes, Nous… La cité raconte une histoire de la #société française des dernières années vue des cités, notamment parce que « être dealer, c’est aussi voir vraiment la misère », explique l’un d’eux. « Y a les clients du matin, eux c’est différent, ils fument la journée pour tenir au boulot, alors que ceux du soir c’est plus pour décompresser. Et puis, il y a un autre genre de clients, c’est les “clients du cinq”. Eux, c’est les smicards, les Rmistes, ils claquent le cinq du mois une bonne partie de leur paie. » Avant de conclure : « Tu vois de tout, toutes les couches sociales. Ça va du petit de douze ans au tellement vieux qu’on dirait qu’il a fait le Hadj, soixante-cinq, soixante-dix ans. Tu vois des riches, des junkies, des gens que t’as vus à la télé. Tu vois toute la #France. »