city:cluses

  • « Mime Suiveur » à Cluses (74)

    Le jeudi 21 décembre 2017, de 15 à 19 heures, l’artiste Mime Philippe PILLAVOINE que vous pouvez apercevoir à la télévision dans les publicités GiFi, ou sur la chaîne YouTube de Golden Moustache dans les sketch si justement intitulé « Le Mime », sera à Cluses (74) pour présenter son animation de « Mime Suiveur »... https://www.silencecommunity.com/events/event/view/46789/« mime-suiveur »-a-cluses-74

    #animation #événementiel #mime #le_bateau_ivre #mime_suiveur #event #artiste_mime #Philippe_PILLAVOINE #PILLAVOINE #France # Rhône-Alpes #Savoie

  • Festivals : le coût de la sécurité a explosé depuis 2015
    http://www.dna.fr/actualite/2017/04/20/festivals-le-cout-de-la-securite-a-explose-depuis-2015

    Festivals : le coût de la sécurité a explosé depuis 2015
    Alors que le Printemps de Bourges ouvre la saison des festivals, une étude du Centre national de la chanson, des variétés et du jazz (CNV) dévoilée ce jeudi montre que, depuis les attentats de novembre 2015, le budget des festivals français a dû faire face à d’énormes surcoûts liés à la sécurité, plus de 3,7 millions d’euros. Jusqu’à en menacer l’équilibre financier voire l’existence même.

    Depuis les attentats de 2015, les surcoûts ont atteint plus de 3,7 millions d’euros pour les festivals, dont les Eurockéennes de Belfort. Photo Eurockéennes/Mael Joanas
    « Le 13 novembre 2015, ce qui a été visé, c’est la jeunesse, la vie, le spectacle vivant. On s’est tous sentis un peu mort ce jour-là ». C’est ce qu’exprimait quelques jours après l’attentat au Bataclan Guy Marseguerra, président du PRODISS (syndicat national des producteurs, diffuseurs et salles de spectacles, soit 340 entreprises en France) entouré de Jules Frutos, co-gérant du Bataclan et de plusieurs autres producteurs de l’Hexagone. 

    La culture visée, au cœur même d’un des lieux musicaux emblématiques de Paris, poussait alors ces professionnels à réclamer une aide d’urgence pour « faire face au défi de la sécurité » et « éviter une catastrophe culturelle ». 

    Bonne fréquentation des festivals en 2016 mais...

    Fragilisée par ces événements, leur répétition et la menace terroriste toujours présente, la filière a finalement obtenu 18 millions d’euros dans le cadre d’un fonds d’urgence, ainsi que 4 autres millions pour 2017, a annoncé mercredi le ministère de la Culture.

    Si dans les mois qui ont suivi les attentats, la fréquentation a chuté de près de 80 % dans les salles, la plupart des festivals de l’Hexagone, eux, n’ont pas connu, en 2016, de désertion du public. Au contraire, comme si le besoin de culture, de musique et d’échanges restait plus fort. Certains festivals ont même affiché complet, comme les Eurockéennes de Belfort, ou les Nuits Sonores à Lyon qui ont également battu leur record de fréquentation. 

    3,7 millions, surcoût de sécurité pour les festivals depuis 2015
    Pourtant, derrière cette satisfaction, leur pérennité est, pour certains, menacée par des surcoûts liés à la sécurité. C’est ce que révèle l’étude menée par le Centre national de la chanson, des variétés et du jazz (CNV) et rendue publique ce jeudi après-midi au Printemps de Bourges, qui ouvre la saison des festivals.

    Cette étude, portant sur 87 festivals (musiques actuelles et variétés) soutenus par le Fonds d’urgence, montre que le total des surcoûts « sécurité » atteint 3 738 000 millions d’euros sur des budgets totaux de festivals de 138, 2 millions d’euros.

    En moyenne, les surcoûts s’élèvent à 42 970 euros par festival, soit 13 613 euros par jour. D’après cette étude, pilotée par Mary Vercauteren, en charge des aides aux festivals au sein du CNV, ces coûts supplémentaires sont à 91 % liés aux deux postes : "Contrôle et surveillance" et « Aménagement du site, et périmètre et gestion de flux ». Il est évidemment plus compliqué de sécuriser un festival aménagé sur une zone naturelle qu’une salle de spectacles, et cela engendre d’autres coûts.

    Certains festivals ont disparu...

    Sur les 1 887 festivals habituellement pris en compte par les études du CNV, les charges varient. Entre 2014 et 2016, elles ont globalement augmenté pour le secteur technique-logistique-sécurité de 7%, et, dans le même temps, les charges artistiques (cachets d’artiste par exemple) ont, elles, continué à flamber de 6 %. C’est dire si ces événements musicaux traversent une période difficile alors même que, selon le CNV, "les aides des collectivités territoriales ont tendance à se stabiliser, voire à diminuer".

    Entre 2008 et 2016, 78 % des manifestations ont connu une hausse de leur budget, quand 22 % étaient en baisse. Certains ont même tout simplement mis la clef sous la porte, pour des raisons diverses, comme l’emblématique « Rock dans tous ses Etats » à Evreux (Eure), le BIG Festival à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques ou « Musiques en Stock » à Cluses (Haute-Savoie). L’année 2017 s’annonce encore périlleuse pour de nombreux festivals, dans un contexte financier fragile, et sur fond d’incertitude politique...
     
    Ce jeudi, le ministère de la Culture a sorti un guide de recommandations « Gérer la sûreté et la sécurité des événements et sites culturels », et annonce avoir créer 73 emplois pour la sécurité de ses établissements publics nationaux à vocation culturelle.

    Après l’attentat de Nice, le gouvernement annonçait un renforcement des mesures de sécurité pour les festivals.

  • Cluses (74) : le FN contre « la haine anti-flics » et au service de la répression
    http://lahorde.samizdat.net/2016/05/24/cluses-74-le-fn-contre-la-haine-anti-flics-et-au-service-de-la-rep

    Article de l’Action antifa 74 : Ce mercredi 18 mai 2016 était organisée, à l’initiative d’ un « citoyen », une manifestation contre « la haine anti-flics ». Pour Le Dauphiné Libéré, le rassemblement a réuni « une trentaine à s’être déplacés, citoyens souhaitant apporter leur soutien aux forces de l’ordre ». De qui se moque t-on [&hellip

    #Extrême_droite_institutionnelle

  • LA SOCIALE un film d’auteur réalisé par Gilles Perret

    Extrait « La Sociale », film de Gilles Perret - Rouge Productions - YouTube 4’39
    https://www.youtube.com/watch?v=FQcKhRN-aDw



    A voir absolument en octobre 2016 : LA SOCIALE un film d’auteur réalisé par Gilles Perret. (l’avant première a eu lieu à Cluses, en Hte Savoie)

    Avec Jolfred Frégonara (ancien syndicaliste haut-savoyard qui fut chargé de la mise en application de la Sécurité Sociale il y a 70 ans) un nonagénaire pétillant et plein de malice.

    Avec Bernard Friot que vous connaissez bien et la présence de l’historien Michel Etievent.

    Le principal bâtisseur de cet édifice qu’est encore notre sécurité sociale (mais plus pour longtemps), édifice des plus humanistes, se nommait Ambroise Croizat. Qui le connait aujourd’hui ?

    " Détruire le droit du travail et la solidarité nationale qui est la sécurité sociale, c’est détruire ce que les luttes sociales ont pu arracher au capital, supprimer ce qui nous réunit tous et préparer la mise en concurrence de tous contre tous, c’est à dire préparer la guerre civile pour mieux esclavagiser et contrôler tout le monde."
    #résistance

    • La privatisation programmée de la Sécurité sociale
      http://universitepopulairetoulouse.fr/spip.php?article848

      Un petit mot de La sociale

      La Sociale envoie un DVD à M. François Fillon,
      éventuel futur Président de la République.

      Monsieur Fillon, Sans vouloir vous manquer de respect et compte tenu de votre grande connaissance de l’histoire de notre pays, ainsi que du glorieux héritage du Conseil National de la Résistance, nous nous permettons de vous faire parvenir notre contribution au roman de notre république. Veuillez trouver ci-joint le DVD du film documentaire "La Sociale" réalisé par Gilles Perret, actuellement au cinéma.
      La Sécurité Sociale fut portée sur les fonts baptismaux par une coalition de résistants gaullistes, chrétiens, socialistes et communistes. Soixante-dix ans après sa création, elle reste un ferment de notre unité nationale. Nous avons noté que vous souhaitiez "désétatiser", c’est à dire remettre au privé, cette institution qui protège chaque Française et chaque Français, de la naissance à la mort, de manière équitable, efficace et peu onéreuse. En faisant ce choix, vous n’êtes pas sans savoir que vous allez créer de l’inégalité, de la misère et que vous diminuerez l’espérance de vie de la population. Lorsque vous aurez visionné le film, nous vous demandons de préciser la politique exacte de santé que vous mettriez en œuvre si vous deveniez Président de la République. Quel serait, avec vous, l’avenir de la Sécu ?

      Salutations républicaines.
      Gilles Perret, réalisateur,
      et Jean Bigot, producteur de « La Sociale »

  • Un #propriétaire trop gourmand suspecté d’une vaste fraude aux prestations sociales [et d’escroquerie].
    https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/un-haut-savoyard-suspecte-d-une-vaste-fraude-aux-prestations-sociales-145

    Un sexagénaire de la Vallée de l’Arve est suspecté de fraude aux prestations sociales pour un préjudice évalué à plusieurs centaines de milliers d’euros. Il louait des appartements à des personnes âgées et il est soupçonné d’avoir encaissé leurs aides sociales.
    Ce haut-savoyard d’une soixantaine d’années louait des chambres et de petits appartements dans la Vallée de l’Arve, à Scionzier, Cluses ou encore Marnaz.
     

    Il avait une soixantaine de #locataires, des personnes âgées et des étrangers à la recherche d’une résidence secondaire en France. Le bailleur est soupçonné d’avoir touché leurs prestations sociales : allocations familiales, retraites et assurances complémentaires.

    Le haut-savoyard avait procuration sur les comptes bancaires de ses locataires et il est suspecté d’avoir gardé toutes ces aides sociales pour lui.

    La caisse de retraite de la sécurité sociale avait donné l’alerte en 2014. L’homme était donc dans le viseur du Comité opérationnel départemental anti-fraude (Codaf) depuis l’an dernier. Au cours des perquisitions, il y a deux semaines, les gendarmes haut-savoyards ont trouvé chez ce loueur d’appartements 132.000 euros en liquide grâce au flair d’un de leurs chiens renifleurs de billets.

    132.000 euros en liquide retrouvés chez le sexagénaire

    Les gendarmes ont également découvert que le bailleur avait une assurance vie d’un montant d’un million d’euros. Le loueur d’appartements est incapable d’expliquer d’où vient tout cet argent suspect.

    L’homme a été placé en garde à vue le 7 décembre dernier, puis relâché et laissé libre après avoir été entendu. Le préjudice est évalué à plusieurs centaines de milliers d’euros et l’enquête a été confiée à un juge d’instruction par le parquet de Bonneville.

    « Il ne s’agit pas de bande organisée. Les investigations se poursuivent à l’étranger pour confirmer l’ampleur de la fraude » selon une source proche du dossier. Le sexagénaire devrait prochainement être mis en examen.

    #Touristes #retraités