city:dallas

  • A Brief Numerical Overview of the #texas #startup Ecosystem
    https://hackernoon.com/a-brief-numerical-overview-of-the-texas-startup-ecosystem-7ae90e12a149?s

    © AltalogyAt Altalogy, we deliver software development services for two Houston-based clients. A few weeks ago, I was discussing the pros and cons of Houston startup ecosystem with Dommonic Nelson, Clever Box Company Founder.The following point was made“When it comes to startups and tech in Texas, Austin outperforms Houston by order of magnitude”.I was a bit surprised by that fact and decided to see how other cities in Texas compare. As a source of information, I selected Angel List. I’m fully aware of the bias that some companies may not be present there though.The comparison includes 4 Largest Cities — Houston, San Antonio, Dallas, and Austin.Disclaimer: I live in Central Europe 7 hours time zone away from Texas, and the only time I’ve seen the Lone Star State myself was from an aircraft (...)

    #texas-startup-ecosystem #texas-startup #startup-life

  • #developer Spotlight : Leslie Cohn-Wein of Netlify
    https://hackernoon.com/developer-spotlight-leslie-cohn-wein-of-netlify-fe51e862fb18?source=rss-

    In this installment of the Cosmic JS Developer Spotlight Series, we sat down with Leslie Cohn-Wein, a Front End Developer and Austin native now residing in Dallas, Texas. Leslie most recently worked as a Front End Engineer for Canvas United, a New York City-based digital agency, prior to starting as a Front End Developer at Netlify. Follow Leslie on Twitter or LinkedIn and enjoy the Q/A.Cosmic JS: When did you first begin building software?Leslie: I taught myself basic CSS in the early 2000s in order to customize my MySpace and LiveJournal backgrounds. To my surprise, that experience kicked off an enduring interest in code.After studying digital media in college and interning at the Denver Open Media Foundation theming Drupal sites for nonprofits, I moved to NYC for a role as a (...)

    #javascript #web-development #jamstack #react

  • Bumble, l’application de rencontres dopée par #metoo
    https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/10/06/bumble-l-application-de-rencontres-dopee-par-metoo_5365635_3234.html

    Le mouvement antiharcèlement a fait de la plate-forme de rencontres féministe un phénomène de société. Lancée fin 2014 par Whitney Wolfe Herd, elle est passée depuis 2017 de 22 à 40 millions d’inscrits.

    Whitney Wolfe Herd n’est pas de celles qui font des concessions à la « bro » culture, la culture macho des programmeurs de la Silicon Valley. Ni tee-shirt ni tennis bariolées : quand elle arrive sur la scène de la conférence TechCrunch Disrupt, ce matin de septembre à San Francisco (Californie), elle est vêtue d’un tailleur fluide d’un bleu classique et chaussée de talons hauts. Imaginez Inès de La Fressange dans une convention de start-upeurs.

    A 29 ans, Whitney Wolfe « pèse » 230 millions de dollars (environ 200 millions d’euros), selon Forbes. Elle a cofondé Tinder, l’application de rencontres en ligne, en 2012, avant de claquer la porte, deux ans plus tard, et de poursuivre ses anciens camarades pour harcèlement sexuel. Fin 2014, elle a lancé Bumble, une plate-forme concurrente mais d’orientation féministe. « J’avais remarqué que beaucoup de femmes étaient en attente vis-à-vis des hommes, explique-t-elle. En attente d’un message, d’une proposition. Du premier pas. » Bumble a renversé l’équation.

    Etre traité avec « respect et gentillesse »

    Dans un secteur en pleine expansion (un mariage sur trois aux Etats-Unis commence par une rencontre en ligne), Bumble a réussi à se distinguer en donnant le pouvoir aux femmes. En bouleversant « les normes hétérosexuelles dépassées », précise le site français. Le principe est le même que pour Tinder : on fait son marché en éliminant – ou en conservant –, d’un swipe (« glissement ») à droite ou à gauche, les photos des partenaires potentiels.

    Mais sur Bumble, seules les femmes ont l’initiative pour engager le dialogue. Si un homme pour qui elles ont « voté » les a aussi gratifiées d’un « like », elles ont vingt-quatre heures pour entrer en contact. L’application est gratuite (sauf le service premium pour celles qui ont raté ce délai ou qui, saisies d’un regret, veulent réactiver des connexions qui ont expiré).

    Le succès a été immédiat, dans un marché pourtant très concurrentiel. Au début, la plate-forme était installée dans un appartement loué par Whitney Wolfe à Austin (Texas). « La salle de conférence était disposée autour de la baignoire », raconte-t-elle. L’attrait, pour les femmes, vient du fait que Bumble débarrasse le dating en ligne des manifestations de « toxicité masculine », selon l’expression des féministes : les commentaires vulgaires, les gros plans sur pénis, qui découragent les intéressées sur la plupart des autres applis.

    Sur Bumble, tout le monde doit être traité avec « respect et gentillesse ». Pas de contenus érotiques ou de photos en maillot, sauf devant une plage ou une piscine. Et pas d’armes à feu non plus sur les profils, depuis la fusillade qui a fait dix-sept morts, le 14 février, au lycée de Parkland, en Floride.

    BUMBLE SE VOIT COMME UNE RUCHE QUI AMBITIONNE DE « REDONNER UNE PLACE DE POUVOIR À LA FEMME », TOUT EN « RÉPARANT LES DÉSÉQUILIBRES HOMMES-FEMMES »

    Mais c’est le mouvement antiharcèlement #metoo, en 2017, qui a fait de Bumble un phénomène de société. En un an, le site est passé de 22 millions d’inscrits à 40 millions, la croissance la plus rapide jamais constatée dans le secteur. Et, phénomène rare parmi les start-up, il dégage des bénéfices.

    Whitney Wolfe se défend de tout opportunisme. « Il n’y a pas un moment où on s’est dit qu’il fallait être en phase avec un mouvement culturel, affirme-t-elle. C’est notre identité, notre voix authentique, et ça l’était avant #metoo. » Bumble se voit comme une ruche. Sa couleur emblématique est le jaune, celui des abeilles (Bumble vient de bumblebee, « bourdon » en anglais). Et ambitionne de « redonner une place de pouvoir à la femme », décrit Whitney Wolfe, cela tout en « réparant les déséquilibres hommes-femmes ».

    « L’Internet a démocratisé la misogynie »

    L’égérie du dating en ligne a grandi à Salt Lake City (Utah), où son père était promoteur immobilier. Quand elle était en CM1, ses parents ont pris un congé sabbatique d’un an en France. Des années plus tard, elle a passé un semestre à la Sorbonne, dans le cadre des études à l’étranger offertes par son université, la Southern Methodist de Dallas (Texas). Elle adore la France. Avant Bumble, elle avait envisagé d’appeler son application Merci.

    Chez Tinder, elle était vice-présidente chargée du marketing, mais les relations se sont détériorées en juin 2014, quand elle a accusé un autre des fondateurs, Justin Mateen – son ancien petit ami – de harcèlement. Il a fallu qu’elle porte plainte et montre les textos insultants du personnage pour être prise au sérieux. Justin Mateen a été suspendu, puis écarté de la compagnie. Le procès a été réglé à l’amiable, au prix d’une compensation de 1 million de dollars pour la plaignante.

    Whitney Wolfe ne dit pas grand-chose du contentieux avec Tinder, du procès et du harcèlement en ligne qu’elle a subi, sinon qu’ils lui ont coûté très cher au niveau de l’estime de soi. Dans un article pour le magazine Harper’s Bazaar, elle explique qu’elle ne pouvait plus se regarder dans la glace, qu’elle buvait trop, déprimait, ne dormait plus. « A 24 ans, j’avais l’impression que j’étais finie. » De cet incident, elle a tiré une conclusion amère : « Pour le dire simplement : l’Internet a démocratisé la misogynie. »

    La jeune femme est rapidement retombée sur ses pieds après avoir rencontré l’entrepreneur russe Andreï Andreev, le propriétaire de Badoo, une autre application de rencontres, populaire dans le monde entier. Badoo est aujourd’hui l’actionnaire principal de Bumble.

    Entre-temps, Whitney Wolfe a épousé (sur la côte amalfitaine) Michael Herd, l’héritier d’une fortune pétrolière du Texas – elle dont le premier travail, à la sortie de l’université, fut de lancer une ligne de sacs en bambou au profit des victimes de la marée noire de BP dans le golfe du Mexique, en 2010.

    La guerre avec Tinder n’a jamais vraiment cessé. A deux reprises, le groupe Match, qui possède la plate-forme, a essayé de racheter Bumble, d’abord pour 450 millions de dollars, puis pour 1 milliard. Ne pouvant y parvenir, il a porté plainte pour vol de propriété intellectuelle. « C’est ce qu’on appelle du bullying [« harcèlement »] », a réagi la direction de Bumble, dans une lettre ouverte. La société a une politique radicale contre les mauvais joueurs, rappelle le texte : « swipe left » – ou l’élimination sans même un regard.

    Réseau social des « relations saines »

    Bumble a aussi déposé une contre-plainte, réclamant 400 millions de dollars de dommages et intérêts. Et le 24 septembre, Whitney Wolfe a annoncé que, faute d’arrangement à l’amiable, le divorce irait jusqu’au procès.

    Selon elle, le groupe Match, qui possède aussi OkCupid et Plenty of Fish, se sent menacé dans son quasi-monopole par les 100 % de croissance enregistrés en un an par Bumble. Si Tinder reste nettement plus gros (50 millions d’utilisateurs, pour un chiffre d’affaires de 400 millions de dollars en 2017), Bumble a affiché 200 millions de dollars de revenus en 2017 et rattrape son concurrent en matière d’abonnés payants : plus de 2 millions, contre 3,8 millions pour Tinder.

    Whitney Wolfe a confiance. Diplômée de marketing, elle a le don de sentir son époque. Bumble se veut aussi désormais le réseau social des « relations saines », à l’inverse des plates-formes qui encouragent les comparaisons dévalorisantes.

    Outre le dating, Bumble propose des rencontres amicales (Bumble BFF, pour Best Friend Forever, l’acronyme qu’aiment à partager les ados) ou du réseautage professionnel (Bumble Bizz). Le but est de promouvoir les bonnes conduites. « La plupart des plates-formes hésitent à en faire autant. Elles ont peur de perdre leurs usagers », note la créatrice.

    « Believe Women »

    Et comme il se doit, Bumble est à la pointe du mouvement Time Well Spent (« le temps bien employé »), qui voit dorénavant les plates-formes appeler elles-mêmes les consommateurs à passer moins de temps en ligne. « Nous sommes en partie responsables de cette épidémie d’obsession pour les réseaux sociaux », reconnaît Whitney Wolfe.

    Bumble vient ainsi de lancer Snooze, ou mode « veille », pour encourager les usagers à se « préoccuper de leur santé mentale ». Les princes charmants devront attendre le retour de l’éventuelle partenaire (ils sont avertis qu’elle fait une pause technologique).

    Whitney Wolfe a elle-même suivi une cure de digital detox (« désintoxication numérique ») de trois semaines. Cela a été dur, explique-t-elle aux technophages de TechCrunch. Une crise de manque pendant quarante-huit heures. « J’étais paniquée, anxieuse. Puis j’ai réappris à être humaine. Un formidable sentiment de libération. »

    La jeune femme est sortie de sa cure à temps pour partager le désespoir de millions d’Américaines devant les auditions du juge Brett Kavanaugh au Sénat. Au lendemain du témoignage de Christine Blasey Ford, l’universitaire qui accuse le candidat à la Cour suprême de l’avoir agressée sexuellement en 1982 – traumatisme qui, dit-elle, l’a accompagnée toute sa vie –, Bumble a publié une pleine page de publicité dans le New York Times. Toute jaune, avec ces seuls mots : « Believe Women ». Ecoutez les femmes et, surtout, « croyez-les ». Whitney Wolfe a également annoncé qu’elle donnait 25 000 dollars au réseau national de lutte contre le viol, l’inceste et les agressions sexuelles (Rainn).

    Accessoirement, Bumble prépare une possible introduction en Bourse. La nouvelle porte-drapeau de l’empathie en ligne fait le pari qu’« éradiquer la misogynie » est une valeur en hausse dans la société américaine, y compris à Wall Street.

    • Mouais, n’empêche que okcupid, qui appartient au gros groupe (je ne savais pas pour ce monopole), il n’est pas basé du tout sur ce zapping consommateur, où on élimine les gens uniquement sur leur apparence physique. Et c’est connu pour être le plus ouvert je crois, avec toujours des choix multiples et plein d’options (tu peux dire que tu es queer, asexuel⋅le, polyamoureux et moult autre).
      Bref Bumble ça a l’air d’être Tinder mais avec quelques restrictions de politesse, donc quand même de la merde.

      (Oui je connais un peu. :p)

  • Toux, fièvre, vomissements… une étrange épidémie dans un avion Emirates reliant Dubaï à New York
    https://www.ouest-france.fr/economie/transports/avion/toux-fievre-vomissements-une-etrange-epidemie-dans-un-avion-emirates-re


    Foto : Cortesía
    Alerta bacteriológica en Nueva York : Avión aterriza con 100 pasajeros enfermos

    À leur arrivée à New York, mercredi, plus 500 passagers d’un A380 de la compagnie Emirates ont été examinés. Une centaine d’entre eux présentaient de la fièvre, de la toux et certains étaient pris de nausées. Dix personnes ont été hospitalisées.

    Dix personnes hospitalisées, plus de 100 passagers se plaignant de toux et de fièvre. Le rappeur Vanilla Ice, parmi les 521 personnes bloquées sur le tarmac à New York : l’aéroport John F. Kennedy, s’est mobilisé mercredi face à une alerte santé d’une rare ampleur, probablement due à un épisode grippal.

    L’alerte a été donnée vers 09 h du matin (13 h GMT) à l’atterrissage du vol EK203 de la compagnie Emirates en provenance de Dubaï, assuré par un A380 avec 521 personnes à bord.

    Toux, fièvre et vomissements
    « On nous a informés qu’un grand nombre de passagers étaient malades : 106 présentaient des symptômes allant de la toux à de la fièvre et des vomissements », a expliqué Oxiris Barbot, responsable des services de santé de New York.

    L’appareil a alors été conduit « à distance » des terminaux, et des équipes médicales, dont des spécialistes de l’agence fédérale des Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC), sont montées à bord pour examiner les 521 passagers.

    Parmi eux, le rappeur Vanilla Ice, qui a informé ses fans qu’il était assis à l’étage supérieur de l’A380. « C’est dingue. Apparemment il y a plus de 100 personnes malades à l’étage inférieur, je suis content d’être en haut », a-t-il notamment tweeté.

    • Du coup, on en inspecte d’autres…
      #EK203 (au cas où…)

      These flights have been quarantined and evaluated over sick passengers | Deseret News (article du 9/09/2018)
      https://www.deseretnews.com/article/900030842/these-flights-have-been-quarantined-and-evaluated-over-sick-passengers.

      Several flights across the country have been quarantined and evaluated over the past few days after some passengers showed signs of sickness.

      On Wednesday, a flight from Dubai to John F. Kennedy Airport was quarantined after at least 19 passengers suffered from a confirmed case of the flu, according to ABC News.

      The CDC quarantined the Emirates aircraft, which held 520 passengers. The CDC evaluated 100 passengers, who said they suffered from coughs, headaches, sore throats and fevers, ABC News reported.

      At least 10 people were hospitalized as a “precaution.” The rest were cleared.

      Given the symptoms that we are seeing in the patients and given the history that they present, it looks like this is probably influenza,” acting New York City Health Commissioner Dr. Oxiris Barbot said. “But again, until we have our final results late tonight we won’t be able to give a final determination on what the underlying cause is of this illness.

      Similarly, Southwest Airlines passengers on four flights between Dallas, Houston and Harlingen, Texas, may have been exposed to #measles, the airline company told KTRK-TV.

      The airline said it contacted customers who traveled on the plane two weeks ago to see if anyone onboard had the highly contagious virus.

      The Houston Health Department is working with the Centers for Disease Control and Prevention to speak with the passengers.

      The department told KTRK that the passenger who had the virus did not visit the airport after their flight. They stayed in a waiting room for an hour after the flight.

      And, as The Verg_e reported, two more international flights were evaluated after passengers were caught coughing and showing signs of sickness.

      Both flights were from American Airlines, flying from Munich and Paris to Philadelphia International airport. About 12 people on each flight felt sick, according to a statement from the airport.

      The airport said “_all passengers on the two flights — totaling about 250 plus crew — were held for a medical review and the CDC was notified.

      Allen Parmet, an aerospace medicine expert, told The Verge, “It’s actually pretty common to have somebody coughing in a plane.

      If it turns out to be the flu, this could be an early forecast of the flu season ahead. And the CDC has some tips for keeping the virus from spreading: get vaccinated, and stay home when you’re sick, if you can,” according to The Verge.

      #grippe #flu #influenza
      #rougeole

      les consignes du CDC :
      #se_faire_vacciner
      #rester_chez_soi
      #ne_pas_tousser_dans_l'avion (bon, ça c’est de moi…)

    • C’est un coup des musulmans du pèlerinage #Hajj

      Health Scares At Two U.S. Airports Linked To Pilgrims Arriving From Muslim Hajj In Mecca
      https://www.inquisitr.com/5064809/health-scares-at-two-us-airports-linked-to-pilgrims-arriving-from-muslim-

      U.S. health officials revealed on Friday that major health scares at two U.S. airports involving inbound flights are tied to pilgrims returning from Hajj, the pilgrimage to Mecca that Muslims take at least once in their lifetime, and which ended in late August.

      Health officials on Wednesday sent an emergency response team to the John F. Kennedy International Airport in New York after more than 100 Emirates passengers from Dubai showed flu-like symptoms.

      In an interview with Reuters, Martin Cetron, director for the division of Global Migration and Quarantine at the U.S. Centers for Disease Control and Prevention, said that 11 of the nearly 549 passengers evaluated at the airport were sent to a local hospital for further testing.

      Ten were tested for respiratory pathogen in an attempt to rule out serious infections that may pose health threats to the public.

      Our most critical issue was to rule several respiratory illnesses of urgent public health significance,” Cetron said.

      Two tested positive for a virulent type of the influenza A virus. One of the two was found gravely ill with pneumonia and also infected with another respiratory virus. Another passenger was positive for the cold virus.

      Seven crew members of the flight who were not at the pilgrimage tested negative for respiratory infections that could be of public health concern.
       
      Another health scare happened at the Philadelphia International Airport the next day. Medical teams had to screen passengers who boarded two American Airlines flights from Europe when 12 passengers showed flu-like symptoms. One of the sick passengers visited Mecca for the Muslim pilgrimage.

      Of the 11 passengers taken to the hospital for evaluation, 10 had respiratory symptoms and one exhibited signs of food poisoning. The 10 patients were also tested for Middle East Respiratory Syndrome, but none was positive. MERS is a highly contagious viral respiratory illness first reported in Saudi Arabia in 2012.

      The incident prompted a medical review of 250 passengers from the two flights. Authorities said that this was done as a precautionary measure.

      While airport operations were not affected, out of an abundance of caution, officials performed medical evaluations and assessments,” the Philadelphia International Airport said on Twitter.

      CDC spokesman Benjamin Haynes said that CDC and public health officers worked with emergency medical service personnel and officials from the Customs and Border Protection to evaluate the sick passengers.

      Twelve were found to have coughs and sore throats, and one tested positive for flu. The CDC said that this is not unusual since flu is a year-round virus.

      #MERS-CoV (ça faisait longtemps, tiens !)

  • #bullshit_job : Les cinq grandes familles de «jobs à la con» Quentin Périnel - 1 Aout 2018 - Le Figaro
    http://www.lefigaro.fr/decideurs/vie-bureau/2018/09/01/33008-20180901ARTFIG00020-les-cinq-grandes-familles-de-jobs-a-la-con.php

    Dans un livre qui paraît en cette rentrée, l’anthropologue américain #David_Graeber étaie la notion de « bullshit job » qui l’a fait connaître en 2013. Un regard critique et cynique sur la vie de bureau contemporaine.

    Lorsqu’un article fait autant de bruit dans le monde entier, c’est forcément que son auteur a visé juste. Lorsque l’anthropologue américain et militant anarchiste David Graeber - qui a animé en mars dernier une grande et passionnante conférence au Collège de France https://www.college-de-france.fr/site/evenements-culturels/Grande-conference-David-Graeber-version-originale.htm - publie, en 2013, un article intitulé « Le phénomène des jobs à la con » dans le magazine Strike !, il ne s’attendait pas à provoquer un tel émoi : des dizaines de reprises médiatiques, des traductions dans toutes les langues du monde... « Bullshit Job » : un emploi rémunéré qui est si totalement inutile, superflu ou néfaste que même le salarié ne parvient pas à justifier son existence. Telle est sa définition du concept.

    Cinq années plus tard, le chercheur américain a étayé encore davantage sa réflexion, et publie un livre - traduit aux éditions Les liens qui libèrent - qui porte le nom du phénomène. « À tous ceux qui préfèrent être utiles à quelque chose », écrit-il en première page en guise de dédicace. Dans son essai d’environ 400 pages, l’auteur dresse notamment une typologie desdits « #jobs_à_la_con », qu’il classe en cinq grandes familles représentatives, selon lui, du monde du #travail contemporain.

    • Les larbins. Les jobs de #larbins, explique-t-il, sont ceux qui ont pour seul but - ou comme but essentiel - de permettre à quelqu’un d’autre de paraître ou de se sentir important. En bref : d’aider quelqu’un à briller et à le tirer vers le haut tout en restant dans l’ombre. « Oui, il existe encore des boulots de domestiques à l’ancienne, de type féodal, soutient David Graeber. À travers l’Histoire, les riches et les puissants ont eu tendance à s’entourer de serviteurs, de clients, de #flagorneurs et autres #laquais. » Exemple ? Jack explique qu’il était démarcheur téléphonique chargé de vendre des actions à des clients, de la part d’un courtier. « L’idée était que, aux yeux du client potentiel, le courtier aurait l’air plus compétent et plus professionnel si l’on sous-entendait qu’il était trop occupé à faire du fric pour pouvoir passer les coups de fil lui-même, précise-t-il. Mon poste n’avait donc strictement aucune utilité, si ce n’est de faire croire à mon supérieur immédiat qu’il était un gros bonnet et d’en convaincre les autres. »

    • Les porte-flingue. Naturellement, le terme n’est pas à prendre au premier degré. Il s’agit d’une appellation métaphorique pour désigner ceux dont le travail a été créé par d’autres et comporte une composante agressive. « Un pays n’a besoin d’une armée que parce que les autres pays en ont une », explique Graeber. Un exemple qui vaut aussi, selon lui, pour les #lobbyistes, les #experts en relations publiques, les #télévendeurs ou les #avocats_d_affaires. « L’université d’Oxford a-t-elle réellement besoin d’employer une douzaine d’experts en #relations_publiques, au bas mot, pour convaincre le monde de son excellence ?, questionne-t-il. Il me semble au contraire qu’il faudrait au moins autant d’attachés de presse et des années d’efforts pour détruire sa réputation d’excellence, et je me demande même s’ils y parviendraient. »

    • Les rafistoleurs. Ou bricoleurs professionnels. Qui sont les #rafistoleurs ? Ceux dont le job n’a d’autre raison d’être que les pépins ou anomalies qui enrayent une organisation : ils sont là pour régler des problèmes qui ne devraient pas exister. Le terme est notamment employé dans l’industrie du logiciel, mais il peut être d’application plus générale. « Les premiers exemples de rafistoleurs auxquels on pense, ce sont des subalternes dont le boulot est de réparer les dégâts causés par des #supérieurs_hiérarchiques négligents ou incompétents », lit-on dans le livre Bullshit Jobs. « Une fois, j’ai travaillé dans une PME comme « testeuse », témoigne une employée. J’étais chargée de relire et corriger les rapports écrits par leur chercheur/statisticien star. »

    • Les cocheurs de case. Pour qu’une organisation puisse exister et que tout le monde sache qu’elle existe, il faut des #cocheurs_de_case. Il s’agit d’employés dont la seule principale raison d’agir est de permettre à une organisation de prétendre faire quelque chose qu’en réalité elle ne fait pas. Voilà une bonne définition de la réunionnite : des réunions sans cesse, pour le principe, et sans intérêt apparent ni aucune décision de prise. Graeber explique que dans la majorité des cas, les cocheurs de case sont tout à fait conscients que leur job n’aide en rien la réalisation du but affiché. Pire encore : il lui nuit, puisqu’il détourne du temps et des ressources. « L’essentiel de mon travail consistait à interviewer les résidents afin de noter leurs préférences personnelles dans un formulaire « loisirs », explique ainsi Betsy, qui était chargée de coordonner les activités de détente dans une maison de repos. (...) Les résidents savaient très bien que c’était du pipeau et que personne ne se souciait de leurs préférences. » Le temps que Betsy passait à remplir ces formulaires était précisément du temps qu’elle ne passait pas à les divertir !

    * • Les petits chefs. *C’est peut-être le profil le plus connu... et le plus haï aussi. Les petits-chefs se divisent en deux sous-catégories. Ceux du premier type n’ont qu’une fonction : assigner ou déléguer des tâches à d’autres. Ils peuvent être considérés comme le reflet inversé des larbins : ils sont tout aussi superflus, mais au lieu d’être les subordonnés, ce sont les supérieurs. Si cette première catégorie est inutile, la seconde est nuisible : il s’agit des petits chefs dont l’essentiel du travail consiste à créer des #tâches_inutiles qu’ils confient à leurs subalternes, ou même de créer de toutes pièces des « jobs à la con. » « Il est très difficile de recueillir des témoignages de petits chefs », observe Graeber. Logique : il est difficile d’admettre être chef et d’avoir un job inutile. « J’ai dix personnes qui travaillent pour moi, mais pour autant que je puisse en juger, toutes sont capables de faire le boulot sans qu’on les surveille, constate Ben, manager intermédiaire dans une entreprise. Mon seul rôle, c’est de leur distribuer les tâches - notez que ceux qui conçoivent ces tâches pourraient parfaitement les leur confier directement. » Ben va même encore plus loin dans sa lucidité quant à son travail : « J’ajoute que bien souvent, les tâches en question sont produites par des managers qui ont eux-mêmes des jobs à la con ; du coup, j’ai un job à la con à double-titre. »

    #entreprise #management #hiérarchie

    • Belle sélection américaine pour une si petite liste, mais ce sont les seuls que je n’arrive pas à écouter :

      Atlanta
      Future Mask Off
      Migos Bad and boujee
      Outkast Elevator (Me & You)
      Russ Do It Myself
      Boston
      Guru Lifesaver
      Breaux Bridge
      Buckshot Lefonque Music Evolution
      Brentwood
      EPMD Da Joint
      Chicago
      Saba LIFE
      Dallas
      #Erykah_Badu The Healer
      Detroit
      Clear Soul Forces Get no better
      Eminem The Real Slim Shady
      La Nouvelle-Orléans
      $uicideboy$ ft. Pouya South Side Suicide
      Mystikal Boucin’ Back Lexington
      CunninLynguists Lynguistics
      Los Angeles
      Cypress Hill Hits from the bong
      Dilated Peoples Trade Money
      Dr. Dre The next episode ft. Snoop Dogg
      Gavlyn We On
      Jonwayne These Words are Everything
      Jurassic 5 Quality Control
      Kendrick Lamar Humble
      N.W.A Straight outta Compton
      Snoop Dogg Who Am I (What’s my name) ?
      The Pharcyde Drop
      Miami
      Pouya Get Buck
      Minneapolis
      Atmosphere Painting
      New-York
      A tribe called quest Jazz (We’ve Got) Buggin’ Out
      Big L Put it on
      Jeru the Damaja Me or the Papes
      Mobb Deep Shook Ones Pt. II
      Notorious B.I.G Juicy
      The Underachievers Gold Soul Theory
      Wu-Tang Clan Da Mistery of Chessboxin’
      Newark
      Lords of the Underground Chief Rocka
      Pacewon Children sing
      Petersburg
      Das EFX They want EFX
      Philadelphie
      Doap Nixon Everything’s Changing
      Jedi Mind Tricks Design in Malice
      Pittsburgh
      Mac Miller Nikes on my feet
      Richmond
      Mad Skilzz Move Ya Body
      Sacramento
      Blackalicious Deception
      San Diego
      Surreal & the Sounds Providers Place to be
      San Francisco
      Kero One Fly Fly Away
      Seattle
      Boom Bap Project Who’s that ?
      Brothers From Another Day Drink
      SOL This Shit
      Stone Mountain
      Childish Gambino Redbone
      Washington DC
      Oddisee Own Appeal

      Limité mais permet des découvertes.

      Mark Mushiva - The Art of Dying (#Namibie)
      https://www.youtube.com/watch?v=rZZrp4TMAgQ

      Tehn Diamond - Happy (#Zimbabwe)
      https://www.youtube.com/watch?v=T5tjMAy5ySM

      #rap

    • « Global Hip-Hop » : 23 nouveaux morceaux ajoutés dans la base grâce à vos propositions ! Deux nouveaux pays (Mongolie et Madagascar) et 11 nouvelles villes, de Mississauga à Versailles en passant par Molfetta, Safi, Oulan-Bator ou Tananarive ?

  • Developer Spotlight: Joe Warren
    https://hackernoon.com/developer-spotlight-joe-warren-5278e7431013?source=rss----3a8144eabfe3--

    In this installment of the Cosmic JS Developer Spotlight Series, we sat down with Dallas-based Software Developer Joe Warren. Joe is a DevMountain graduate and currently works on a team building applications for an SMS technology platform based in Frisco, Texas. Joe is active in the local ReactJS Community, as pictured below during a recent presentation. Follow Joe on GitHub and Twitter, and enjoy the Q/A.ReactJS Dallas MeetupHow long have you been building software?I have always been passionate about technology, but my official transition into a software engineering career began in 2016. After 6 years of work experience in a different field, I decided to shift my focus to web development. My two years of building software have included personal projects, bootcamp projects, open-source (...)

    #react #nodejs #web-development #javascript #api

  • A Grotesque Spectacle in Jerusalem
    by Michelle Goldberg

    https://www.nytimes.com/2018/05/14/opinion/jerusalem-embassy-gaza-protests.html

    On Monday, Ivanka Trump, Jared Kushner and other leading lights of the Trumpist right gathered in Israel to celebrate the relocation of the American Embassy to Jerusalem, a gesture widely seen as a slap in the face to Palestinians who envision East Jerusalem as their future capital.

    The event was grotesque. It was a consummation of the cynical alliance between hawkish Jews and Zionist evangelicals who believe that the return of Jews to Israel will usher in the apocalypse and the return of Christ, after which Jews who don’t convert will burn forever.

    Religions like “Mormonism, Islam, Judaism, Hinduism” lead people “to an eternity of separation from God in Hell,” Robert Jeffress, a Dallas megachurch pastor, once said. He was chosen to give the opening prayer at the embassy ceremony. John Hagee, one of America’s most prominent end-times preachers, once said that Hitler was sent by God to drive the Jews to their ancestral homeland. He gave the closing benediction.

    This spectacle, geared toward Donald Trump’s Christian American base, coincided with a massacre about 40 miles away. Since March 30, there have been mass protests at the fence separating Gaza and Israel. Gazans, facing an escalating humanitarian crisis due in large part to an Israeli blockade, are demanding the right to return to homes in Israel that their families were forced from at Israel’s founding. The demonstrators have been mostly but not entirely peaceful; Gazans have thrown rocks at Israeli soldiers and tried to fly flaming kites into Israel. The Israeli military has responded with live gunfire as well as rubber bullets and tear gas. In clashes on Monday, at least 58 Palestinians were killed and thousands wounded, according to the Gaza Health Ministry.

    The juxtaposition of images of dead and wounded Palestinians and Ivanka Trump smiling in Jerusalem like a Zionist Marie Antoinette tell us a lot about America’s relationship to Israel right now. It has never been closer, but within that closeness there are seeds of potential estrangement.

  • ’We need more data-sharing and visibility in e-commerce air freight supply chains’ - The Loadstar
    https://theloadstar.co.uk/need-data-sharing-visibility-e-commerce-air-freight-supply-chains

    Cainiao, Alibaba’s logistics arm, has called on the air cargo industry to support data-sharing and visibility across its e-commerce supply chain network.

    Roger Su, head of global network planning and operations for the company, told delegates at the World Cargo Symposium in Dallas yesterday it needed better visibility across its ecosystem of handlers, carriers, truckers and forwarders.
    […]
    Chinese company #Alibaba has pledges to deliver within 24 hours in China and 72 hours globally, and is investing $15.2bn in logistics over the next four years, much of which will go into technology, said Mr Su.

    We need infrastructure investment and to get physical process points closer together to consolidate. And we are looking at how we can use technology to innovate and exchange data and streamline processes.

    World Customs Organisation (WCO) director of compliance and facilitation Ana Hinojosa said that, today, Customs was not quite ready for Alibaba’s plans.

    The maturity and development of countries around the world varies greatly, but over the last two years we have focused heavily on e-commerce.

    There has been a tsunami of small packages – for many countries, the volume has been exponential.

    Several players in the air cargo industry have already stepped up to the challenge. Swiss World Cargo, which as a capacity-limited belly carrier has an interest in small packages, is set to offer an e-commerce product.

    It has been piloting a proof of concept in two lanes, between London and Hong Kong, and London and Spain, which, according to Silvia Chacon Ramos, senior manager for postal services and e-commerce, has been very successful.

    The concept is integrating virtually with last-mile delivery partners,” she told The Loadstar. “That includes Customs clearance. We won’t do the delivery ourselves, but we have created a platform that can link and connect all the partners from origin to destination, starting from the etailer.

    It’s a #blockchain-based platform, visible regardless of where you are in the chain. It allows the final consumer to see every point of touch.

    One of the upcoming challenges for the e-commerce industry is new EU regulations which state that, from 2021, online marketplaces must collect VAT on their platforms and that the current VAT exemption for small consignments will be shelved.

  • « Bad Banks », une Allemagne dévergondée
    https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/280218/bad-banks-une-allemagne-devergondee

    Dallas... ou #Wall_Street-sur-le-Main. © #Arte Arte diffuse en deux soirées, les 1er et 2 mars, la mini-série allemande #Bad_Banks, illustrant la plongée vertigineuse de la banque traditionnelle francfortoise, pilier du capitalisme rhénan, dans la finance mondialisée à la mode anglo-saxonne. Beaucoup d’adrénaline, à défaut de pédagogie.

    #Culture-Idées #banque_d'investissement #Billions #Christian_Schwochow #Deutsche_Bank #Liars_Poker #Paula_Beer #Philip_Augar #salle_de_marché #The_Big_Short

  • Voici deux #affiches d’un parti et d’un mouvement d’extrême droite en Italie...
    J’ai trouvé ces images sur les réseaux sociaux.


    #casapound #casa_pound #extrême_droite #publicité #Roms #tradition #famille #Italie #racisme #géographie_culturelle #xénophobie #patriarcat #Fratelli_d'Italia #espace_public

    L’affiche de casapound pourrait être un fake, la presse s’interroge sur l’origine

  • "L’abattage "désigne ici la mise à mort progressive de femmes d’élevage dévolus à la production du plaisir masculin. Entre marginalisation & rupture sociale l’auto-aliénation des prostitués en Catalogne

    Au fin fond des « bordels » de Catalogne : les clients transfrontaliers de la prostitution – Fragments sur les Temps Présents
    https://tempspresents.com/2016/12/20/au-fin-fond-des-bordels-de-catalogne-les-clients-transfrontaliers-de-

    À la croisée d’un imaginaire collectif du ‘bordel’ régulateur de l’ordre public et de l’ordre social, et sous l’influence bien réelle du lobbying des patrons de clubs et des activités récréatives (ANELA), la réglementation apparaissait comme un remède miracle pour dépasser les difficultés de gestion de l’espace public, et pour permettre le déploiement de la production de la plus-value festive. Dans la plaine de l’Emporda, on pouvait identifier une dizaine de puticlubs adhérents ou non du syndicat patronal : les plus grands ou les plus reconnus, Le Paradise, le Lady’s Dallas et le Gran Madams sur les communes de La Jonquera ou de Capmany, le Paloma Blanca à Medinya, le Nou Styl entre Gérone et Sain Féliu de Guixol, le Baby Doll et le Torre Park à l’Escala, le My Love et le Club Eden à Gérone, l’Erotica Club près de Santa Christina.

    La population prostitutionnelle n’était désormais plus la même : les estimations médianes présentaient à la fin des années 2000 plus de 350 000 prostituées présentes dans la péninsule espagnole2, les plus hautes estimations allant jusqu’à 500 000 prostituées3 ; entre 20 000 et 40 000 prostituées seraient présentes en Catalogne. Les mouvements circulatoires de prostituées à l’échelle continentale, ou au moins à l’échelle transnationale, modifient considérablement la nature de l’activité, celle-ci étant depuis les années 1990 reconnue internationalement comme un travail si la prostitution n’est pas contrainte4. Au-delà des conditions juridiques nationales de traitement de la prostitution, la prostituée est désormais reconnue comme une « travailleuse du sexe » libre et consentante, les puticlubs catalans deviennent des « megaprostìbulos » : la prostitution n’est plus exclusivement un phénomène territorialisé de sauvegarde de l’ordre social, c’est aussi, un empire licite massifiant le commerce du corps.

    • #prostitution #Espagne #Catalogne #France #Pyrénées_orientales #clients #bordel #virilité #virilisme #femmes

      Les bordels catalans ne sont pas l’hétérotopie masculine d’un monde perdu. Ils sont toujours, ponctuellement, au cours d’une soirée ordinaire, l’espace défouloir d’une virilité déchue. Tous les hommes n’ont pas un égo neutralisé par leur timidité. Beaucoup sont là par revanche, rarement de manière explicite, mais toujours, la discursivité laisse filtrer les mêmes équivoques du langage et des expériences. L’assimilation de la femme à la prostituée, et rarement l’inverse, pour tenter de comprendre le destin des travailleuses du sexe, laisse à penser que l’enjeu du ‘bordel’ dépasse très largement les murs des maisons closes. On serait même tenté de voir le ‘bordel’ comme ne se fermant plus par destination politique de la morale sociale, mais qu’à l’inverse, il laisse filtrer tous les comportements sociaux que la société contemporaine proscrit et prescrit simultanément. Un client nous le dit, en prenant des accents que l’on croirait emprunté à un Éric Zemmour en virée : « Tant que les femmes auront plus de droits que nous, nous aurons toujours besoin des filles [les prostituées] pour ne pas devenir des châtrés » [entretien informel avec un client régulier, juin 2003]. Le virilisme revendiqué justifie tout autant qu’il rend possible l’espace de domination prostitutionnel : le ‘bordel’ étant pour d’aucuns un espace d’autonomie permanent de cette domination normalement proscrite, mais toujours reproduite comme une norme originaire.

    • J’isole cette partie sur le #sport et une raison supplémentaire de le detester. Je savais deja que les soirs de match de foot il y a une augmentation des violences par conjoint et que ces violences augmentent encore en cas de défaite de l’équipe locale mais maintenant j’apprend que c’est aussi un prétexte utiliser par des putiers pour refiler le VIH, l’hépatie, la syphillise ou des clamydias à leur compagnes.

      Les clients partageant leurs vies avec une compagne l’avouent quasiment tous : leurs visites se font la plupart du temps incognito, sous le prétexte festif, « d’y boire juste un coup ». Le meilleur alibi est alors celui de l’activité ou du spectacle sportif. Les plus nantis vont au golf, le commun va au Camp Nou voir le FC Barcelone. Beaucoup en profitent pour faire une « halte de repos festif » [expressions communes] dans les clubs catalans. Il est singulier de relever cette association entre la pratique sportive et la pratique sexuelle tarifée. Les tenanciers de club catalans déclarent tous que leur chiffre d’affaires augmente dès qu’un événement sportif a lieu à Barcelone.

      ...

      La féminisation du public dans les stades n’est probablement pas qu’un effet de communication du marketing, c’est aussi l’émergence symbolique d’un doute des épouses trompées.

      Pour le golf les putiers bourgeois se sont garantie une plus grande impunité car ce sport comporte toujours beaucoup de clubs non mixtes et d’exclusion explicite des femmes.
      #prostitution #fraternité #hommerie

    • Je n’ai pas tout lu « au fin fond des bordels de Catalogne » @tradfem a traduit un article d’Amélia Tiganus ( survivante de la prostitution et de la traite. Elle est activiste pour feminicidio.net ) https://seenthis.net/messages/623250
      http://feminicidio.net/articulo/las-manadas-los-sanfermines

      Sous prétexte de manifestation sportive ou tout simplement de tourisme, des mâles vont au bordel comme d’autre vont mettre un cierge à Lourdes.
      #sexe #violence #torture #tourisme_sexuel #bordel #Catalogne

    • Le marché de la prostitution à La Jonquera - Arte Regards
      https://www.arte.tv/fr/videos/073399-053-A/arte-regards
      30 min.
      Disponible du 12/01/2018 au 11/02/2018
      Prochaine diffusion : mardi 16 janvier à 04h20

      Depuis le durcissement de la législation française en matière de #prostitution, la petite ville de #La_Jonquera, à la frontière franco-espagnole, est devenue une destination de choix pour les amateurs de sexe contre rémunération.
      Comment se porte la prostitution en Europe ? L’une des réponses se trouve à La Jonquera, à la frontière franco-espagnole. Pour Sònia Martínez Juli, la maire de La Jonquera, c’est un problème qu’il faut traiter à l’échelle nationale. Le propriétaire du Paradise, la plus grande maison close d’Europe, lui-même fils de prostituée, voit les choses différemment... Quant aux témoignages de Français, qui constituent ici 90 % de la clientèle, ils apportent un éclairage supplémentaire sur ce phénomène en pleine expansion.

      3 connards offre une pute à leur pote pour son anniversaire, pour faire de lui un homme. Je leur souhaite de tomber un jour sur Raffaëla et Karen, les 2 potesses de Virginie Despentes.

    • https://seenthis.net/messages/567365

      #Richard_Poulin arrive à l’interview avec un badge sur le revers de sa veste qui montre clairement quels sont ses principes : “Aucune femme ne naît pour être pute”, un slogan qui reprend le titre du livre écrit par la colombienne #Sonia_Sánchez, une survivante de la prostitution. Parce que ce Canadien, professeur émérite de l’UFR de sociologie et d’anthropologie à l’Université d’Ottawa et auteur de nombreux livres et études sur la prostitution et la traite d’êtres humains à des fins d’exploitation sexuelle, est considéré comme un des plus grands spécialistes mondiaux dans ce domaine.

      source et traduction @tradfem

  • L’art, nouvelle passion des centres commerciaux
    http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/11/29/l-art-nouvelle-passion-des-centres-commerciaux_5222196_3234.html

    Miami, Dallas, Hongkong, Tokyo, Shanghaï, Paris, Metz ou Cagnes-sur-Mer, même combat. Les centres commerciaux et les grands magasins ne jurent plus que par les expositions d’art contemporain. Dès 1975, le pape du pop art, Andy Warhol, prophétisait : « Un jour, tous les grands magasins deviendront des musées et tous les musées deviendront des grands magasins. » Il avait vu juste.

    Jeudi 30 novembre, la Galerie des Galeries présentera une nouvelle exposition aux Galeries Lafayette, boulevard Haussmann, à Paris, « Always someone asleep and someone awake », une réflexion sur la fête. « Un espace non marchand de 300 m2 accessible gratuitement à nos 100 000 clients quotidiens, uniquement pour que l’art soit accessible au plus grand nombre », explique Guillaume Houzé, directeur de l’image et de la communication du groupe. Les quarante premières expositions ont été vues par 12 000 à 15 000 visiteurs dans ce lieu coincé au premier étage au fond d’un couloir, à deux pas du rayon des marques de prêt-à-porter ultrachic. De l’image ? De la communication luxueuse ? A ses yeux, sans doute.
    « Les grands magasins doivent raconter des histoires. Aujourd’hui plus que jamais », explique Guillaume Houzé, directeur de l’image et de la communication des Galeries Lafayette.

    Egalement président de la Fondation d’entreprise Galeries Lafayette, qui ouvrira au printemps dans le quartier du Marais à Paris, M. Houzé poursuit une tradition familiale. En 1946, en effet, les Galeries exposaient déjà Nicolas de Staël ou Alberto Giacometti. Et sa grand-mère à poigne, Ginette Moulin, elle-même petite-fille du cofondateur du grand magasin Théophile Bader, a constitué une importante collection d’art contemporain.

    « Les grands magasins doivent raconter des histoires. Aujourd’hui plus que jamais », assure l’héritier qui s’est entouré de conseillers ad hoc. « Les artistes...

    #pay_wall #art #décoration #commerce

  • Peut-on “déclassifier” l’“Indicible” ?
    http://www.dedefensa.org/article/peut-on-declassifier-lindicible

    Peut-on “déclassifier” l’“Indicible” ?

    Le président Trump a rendu public un lot de documents jusqu’ici classés “secret” par la CIA et le FBI, concernant l’assassinat du président Kennedy en novembre 1963 à Dallas. Mais la nouvelle la plus intéressante est que dans ce lot, qui avait été maintenu “secret“, la CIA et le FBI ont obtenu de Trump que plusieurs centaines de pièces soit maintenues sous ce statut six mois de plus de façon à ce que les deux services puissent mesurer l’impact au niveau de la sécurité nationale...

    Comme le remarqueraient certains, on ne voit pas ce que l’on mesurerait de plus en six mois qu’on n’a pas mesuré en gros demi-siècle avec des renouvellements successifs ; par conséquent, il est avisé de faire l’hypothèse que, dans six mois, un nouveau délai sera demandé et sans doute obtenu par (...)

  • Net of Rights - YouTube
    https://www.youtube.com/watch?v=m1U0Ebix-aQ

    Net of Rights is a short documentary film which explores the relation between Internet protocols and the promotion and protection of Human Rights. Internet Engineers have defined the Internet as a network of networks, providing connectivity for all users, at all times, for any content. Internet connectivity increases the capacity for individuals to exercise their rights, the core of the Internet, its architectural design is therefore closely intertwined with the human rights framework. However, the assertion that technology and the design of standards and protocols is a ethically neutral task are still commonplace. The series of interviews recorded during the 92nd meeting of the Internet Engineering Task Force (IETF), held in Dallas, Texas, in March 2015, demonstrated that this belief in the neutrality of standards and protocols is starting to change. It is becoming more apparent that promoting an open, secure, unfiltered and reliable Internet is essential for the rights to privacy, expression and assembly. But how can these concepts be addressed on the protocol level? Without taking human rights into account while developing protocols, the human rights-enabling characteristics of the Internet are at risk. While the Internet was designed with freedom and openness of communication as core values, as the growth in scale and commercialization of the Internet have caused a shift in those values. The influence of such world-views started to compete with other values. The rights-enabling characteristics of the Internet will be endangered if they are not properly defined, described and protected. The reverse is also true: if we don’t protect human rights online, we risk loss of functionality and connectivity of the Internet itself.

    #Internet #Droits_humains #Protocoles

  • La grande multinationale #Sears ferme. Elle avait mis en place une #retraite par capitalisation censée bénéficier à ses employés. Ce type de retraite que les politiques français nous vantent depuis 30 ans comme devant remplacer la retraite par répartition solidaire. La #bourse est censée être plus efficace que la solidarité... sauf quand l’économie se dérègle. En faisant #faillite, Sears perd l’argent de ses #fonds_de_pension, et ses employés perdent leur retraite... Vive le #capitalisme et ses mensonges qui profitent à quelques milliardaires et essorent les petits #vieux...

    Sears #Canada ferme et les fonds de retraite des employés fondent
    Stéphane Parent, RCI, le 11 octobre 2017
    http://www.rcinet.ca/fr/2017/10/11/sears-fermeture-faillite-employers-fonds-retraite-pensions

  • What the Enron E-mails Say About Us | The New Yorker
    http://www.newyorker.com/magazine/2017/07/24/what-the-enron-e-mails-say-about-us

    Given that e-mail leaks can imperil governments, it seems odd that correspondents spend so little time reviewing basic work before they press send. Writing, along with fire-making and the invention of the wheel, is widely held to be a milestone of human progress. This view will seem naïve to anybody who has read much human writing. In its feral form, prose is unhinged, mystifying, and repetitive. Writers feel moved to “get things down on paper,” usually incoherently, and even in guarded moods say alarming stuff because they don’t know where to put their commas. (“Time to eat children!”) The true wellspring of civilization isn’t writing; it is editing. E-mail, produced in haste, rarely receives the requisite attention. That is bad for us but good for posterity—and for students of the literary gestures we imprudently put in pixels. When inboxes are gathered, cracked open, and studied, they become a searchable, sortable atlas for the contours of our social minds.

    the archive has been pulled apart and pecked up; it has been digested by computers and referred to by more than three thousand academic papers. This makes it, in the annals of scholarship, something strange: a canonic research text that no one has actually read. Mostly, that’s because it is too long, and too boring, for complete human consumption. When the e-mails were released, in 2003, the dump was more jumbled than even computers could handle

    Computers can do little with a text that humans could not, but they make some laborious work go faster. In 1949, an Italian Jesuit priest named Roberto Busa presented a pitch to Thomas J. Watson, of I.B.M. Busa was trained in philosophy, and had just published his thesis on St. Thomas Aquinas, the Catholic theologian with a famously unmanageable œuvre. (Work on a multivolume critical edition of Aquinas’s philosophy, commissioned by the Vatican, began in 1879 and is nowhere near done.) Busa had begun to wonder whether Watson’s computing machines could aid his work. Watson backed him, and, for the next thirty years, Busa encoded sixty-five thousand pages of Thomist text so that it could be word-searched, cross-referenced, and what we now call hyperlinked. The Index Thomisticus was the first corpus to be primed for digital scholarship, no less impressive because it started on punch cards and ended up online. “Digitus Dei est hic!” Busa punned in 2004. The finger of God is here.

    Most results were unsurprising: people e-mailed more formally when dealing with business, across a gap in rank, with people they scarcely knew, and to a bigger audience. Oddly, though, e-mails grew more informal as the list of addressees expanded beyond ten. The researchers hypothesized that people like to strike a slouchy pose before big workplace audiences, the better to seem the cool kid in a class of dweebs.

    In 2014, an enterprising business-English teacher named Evan Frendo had the idea of using the corpus to locate phrases helpful to the foreign businessperson working with Americans. After what must have been punishing study, he discovered a fixation on “ball” metaphors. “I thought I’d get the ball rolling,” one Enroner wrote. “Sounds like you guys had a ball at dinner,” another said. “I played hard ball and told them that I had to have more time,” a correspondent reported. “Someone REALLY dropped the ball here!” an employee chides. “From June 1, we will be totally on the ball,” reads an e-mail that you don’t believe. “I will pretty much leave it in your ball park about Friday night,” somebody writes (a message that Frendo correctly annotates “???”). All told, the corpus contained six hundred and two instances of ball speech, apparently covering every scenario in modern American business. It is not clear that this compendium eases the task of the Danish banker on a morning flight to Dallas. But perhaps it tells him where to focus his study.

    In the iconoclastic 1980 book “Is There a Text in This Class?” Stanley Fish attacked the field of stylistics, and the tendency to equate the work of the humanities researcher with the work of the scientist. The equivalence was false, Fish thought, because the inquiries had different goals. Scientists were trying to zero in on something fixed and unknown: the laws of nature and their potential applications. Humanists were working with something variable and contingent: the way a text produced meaning for a given group of readers. You could turn up patterns in any long piece of writing without showing that such patterns were germane to how the work communicated. The most revealing question about a piece of text was the obvious one: How does it mean?

    When the Enron scandal broke, last decade, e-mail was the most wanton kind of media. It is no longer so—people now have indecent texts at home, manic Slack threads in the workplace, and, for just about every venue, crankish, boastful Facebook, filled with babies and bad news. As the scandals of the past few years show, however, indecorum hasn’t left our inboxes, and the lives behind the @ symbol may still have something to hide.

    #Mail #Humanités_numériques

  • Five U.S. Presidents and First Ladies at the funeral of President Richard Nixon in 1994.
    http://historicaltimes.tumblr.com

    « L’armée et tout le #complexe_de_sécurité_US sont assujettis à un budget de 1000 milliards de dollars pompés sur les contribuables américains. En menaçant de normaliser les relations avec un ennemi créé uniquement pour justifier ce gigantesque budget, #Trump devenait la plus grosse menace pour le pouvoir et les intérêts des forces de l’American National Security State. »

    http://yetiblog.org/index.php?post/2454

    On pourrait rigoler devant ce piètre et grossier spectacle si ceux qui le donnaient étaient de simples rigolos. Mais rappelez-vous, s’écrit Paul Craig Roberts, quand en 2016 le président Obama tenta de négocier un accord de coopération militaire avec Poutine sur le problème syrien, le département de la Défense US refusa d’obtempérer et, quelques jours plus tard, tua sans façon quelques soldats syriens pour torpiller l’agreement conclu avec les Russes.

    Pire encore, rajoute Paul Craig Roberts, quand dans les années 60, le président Kennedy se mit en tête de bloquer un énième projet d’invasion de Cuba (“the Northwoods project”), refusa une attaque nucléaire “préventive” contre l’URSS, et évoqua l’idée de mettre fin à la Guerre froide, eh bien, ni une ni deux, le Deep State le liquida sans façon à Dallas.

    C’est dire si aujourd’hui la situation politique américaine est périlleuse, tendue à l’extrême, menacée d’embûches et de coups tordus. Mais ainsi va la fin de vie des empires finissants, qui passent inévitablement par des soubresauts aussi sanguinolents que ridicules. Carnage en vue !

    http://www.zerohedge.com/news/2017-05-19/paul-craig-roberts-laments-assault-trump

    In the 1970s President #Nixon was driven from office, because he thought he was in charge of foreign policy. Like Kennedy, Nixon was a threat to the national security state. Nixon pushed through SALT 1 and the anti-ABM Treaty, and he opened to China, defusing those tensions as well. The military/security complex saw its budget dwindling as the threat dwindled. Nixon also determined to withdraw from Vietnam, but was constrained by the national security state. Nixon, the most knowledgeable president about foreign affairs, was forced from office, because his efforts in behalf of peace constituted a threat to the power and profit of the military/security complex.

    #Presidents_US #FBI

  • Hacking Attack Woke Up Dallas With Emergency Sirens, Officials Say - The New York Times
    https://www.nytimes.com/2017/04/08/us/dallas-emergency-sirens-hacking.html

    Officials in Dallas said the city’s warning system was hacked late on Friday night, disrupting the city when all 156 of its emergency sirens sounded into the early hours of Saturday morning.

    The alarms, which started going off around 11:40 p.m. Friday and lasted until 1:20 a.m. Saturday, created a sense of fear and confusion, jarring residents awake and flooding 911 with thousands of calls, officials said.

    Mr. Vaz said emergency workers and technicians had to first figure out whether the sirens had been activated because of an actual emergency. And turning off the sirens also proved difficult, eventually prompting officials to shut down the entire system.

  • #UGK Super Tight... Super #Samples
    http://www.swampdiggers.com/UGK-Super-Tight-Super-samples

    Septembre 1994. Dallas, #Texas. Ride en Chevy au milieu des puits de pétrole. Lone Star en canette et Stetson sur la tête. La bande son ? Question idiote. Onze titres. Pas d’intro. Pas d’outro. Pas d’interludes non plus. Pas d’invités prestigieux, juste les amis (Smoke D et 3-2 des Blac Monks). Pourtant en s’attardant sur le livret un nom ressort : Leo Nocentelli. Pour l’aider à produire ce classique Pimp C a fait appel à trois musiciens, et parmi eux le légendaire guitariste des Meters (groupe (...)

    #Sélections

    / #Sélections, #Compilation, Samples, UGK, Texas, #Samplediggers

    « http://www2.zippyshare.com/v/DxVdLt7h/file.html »

  • The Rehabilitation of George W. #Bush, War Criminal | Alternet
    http://www.alternet.org/right-wing/rehabilitation-george-w-bush

    So, he’s back. George W. Bush leaves his Dallas attic and his paintbrushes to visit the television studios. He has a book to flog—Portraits of Courage: A Commander in Chief’s Tribute to America’s Warriors.

    #tragi_comédie #criminel #guerre