city:deir ezzor

  • Au moins 29 #enfants sont morts de froid dans un camp de #réfugiés syriens - rts.ch - Monde
    https://www.rts.ch/info/monde/10183443-au-moins-29-enfants-sont-morts-de-froid-dans-un-camp-de-refugies-syrien

    Le camp d’Al-Hol abrite, entre autres, près de 23’000 déplacés qui ont fui les combats qui opposent les djihadistes de l’Etat islamique aux miliciens arabo-kurdes des Forces démocratiques syriennes (FDS) dans la région de Deir Ezzor, dans l’Est syrien.

    #Syrie #OMS

  • http://spanish.almanar.com.lb/278874

    Le ministre de l’Intérieur turc déclare que les provinces syriennes d’Alep et d’Idleb, ainsi que des parties des provinces de Deir Ezzor et Rakka, faisaient partie de la Turquie avant l’intervention des forces coloniales françaises et anglaises...

    El analista político y escritor turco de origen sirio Adel Hamid Daud se ha referido en un artículo a una frase pronunciada por el ministro del Interior turco, Suleiman Soylu, que parece haber pasado sin importancia a pesar de su relevancia.

    En un vídeo, Soylu alabó a los refugiados sirios en Turquía e incluyó una frase que dijo que el 62% de dichos refugiados procedían de áreas sirias que Ankara considera que formaron parte de Turquía, pero que le fueron arrebatadas “por la acción de los colonizadores franceses e ingleses”.

    Entre estas áreas él citó las actuales provincias sirias de Alepo e Idleb y partes de las provincias de Raqqa y Deir Ezzor, así como la totalidad del área fronteriza entre Turquía y Siria.

    Estas ambiciones neo-otomanas turcas resultan significativas en la actualidad, cuando Turquía quiere establecer una zona segura en la frontera de 32 kms. Siria ha denunciado tales intentos como un intento turco de buscar anexionar partes de su territorio.

    Soylu añadió que el Ejército turco “está desplegado en toda la frontera con Siria y no para una operación limitada. Se trata de todo un ejército con las últimas armas y equipos militares de tierra y aire, así como logísticos”.

    En todo caso, tales ambiciones llevarán a Turquía a un choque con el Ejército y el pueblo sirios, que rechazan el colonialismo y expansionismo turcos. De hecho, Damasco y las milicias kurdas han iniciado conversaciones con vistas a hacer fracasar el plan turco de establecer una zona de seguridad en la frontera con Siria.

    #syrie

  • Pourquoi les Etats-Unis éprouvent-ils soudain la nécessité de déguerpir de la Syrie ?
    https://www.crashdebug.fr/international/15490-pourquoi-les-etats-unis-eprouvent-ils-soudain-la-necessite-de-degue

    S-300

    Il y a une semaine, deux batteries de fusées S-300 ont été déployées à Deir Ezzor, dans l’est de la Syrie. Immédiatement après cela, l’intensité des vols de la coalition dirigée par les États-Unis a diminué de 80% dans le nord-est de la Syrie. Depuis le 18 septembre, la Force aérienne israélienne n’a effectué aucun raid dans l’espace aérien syrien.

    Une délégation de l’armée israélienne, dirigée par le major général Aharon Haliva (chef des opérations), s’est rendue à Moscou et s’est entretenue avec le major général Vasily Trushin (chef adjoint des opérations de l’armée russe). Les relations entre les deux armées se sont détériorées après la destruction de l’avion russe IL-20 lors de l’attaque des cibles syriennes près de la base aérienne russe de Hmeymim par des F-16 israéliens.

    La délégation israélienne est arrivée (...)

    #En_vedette #Actualités_internationales #Actualités_Internationales

  • EEUU difunde por error foto con soldados franceses en Siria | HISPANTV
    https://www.hispantv.com/noticias/siria/388154/foto-soldados-franceses-deir-ezzor-coalicion

    Las imágenes, publicadas —y eliminadas minutos después— en la cuenta de Twitter del Equipo de Trabajo Conjunto de Operaciones Especiales de la Operación Resolución Inherente (SOJTF-OIR, por sus siglas en inglés), revelaron la presencia de soldados franceses en el territorio sirio. Se trata de la primera prueba concreta de la presencia de uniformados del Ejército de Francia en el este de Siria.

    En específico, en una de las fotos se puede ver un vehículo militar Nexter Aravis, de producción francesa y usado por las Fuerzas Armadas de Francia, junto a unidades de fuerzas especiales estadounidenses en la provincia oriental siria de Deir Ezzor durante operaciones militares contra el grupo terrorista EIIL (Daesh, en árabe).

    “Esta foto se tomó en el mes de agosto y evidencia que el Ejército de Francia tiene presencia en esta parte y coopera con las Fuerzas Armadas de Estados Unidos en la zona (…). La foto confirma el involucramiento directo de las fuerzas especiales francesas en la región”, ha dicho el periodista Wassim Nasr, citado por la cadena francesa France 24, al comentar la imagen.

    Content de savoir que nos p’tits gars font du bon boulot en #Syrie

  • En Syrie, réhabiliter le chemin de fer pour reconstruire le pays
    https://fr.news.yahoo.com/syrie-r%C3%A9habiliter-chemin-fer-reconstruire-pays-060713712.html
    Maher AL MOUNES - AFP - 9 septembre 2018

    Damas (AFP) - Près de Damas, dans sa locomotive, Abou Abdou déborde d’enthousiasme à l’idée de tester des rails fraîchement installés. En Syrie, le gouvernement de Bachar al-Assad veut réhabiliter des centaines de kilomètres de chemins de fer.

    L’initiative doit contribuer aux efforts de reconstruction dans un pays ravagé par la guerre depuis 2011, mais aussi relancer le commerce régional, assurent les autorités, au moment où le pouvoir d’Assad a consolidé son emprise sur près des deux tiers du territoire.

    Avant le conflit, les voyageurs pouvaient parcourir en train des centaines de kilomètres en Syrie, de Damas jusqu’à Homs, Alep, Lattaquié ou encore Deir Ezzor. Mais, dès 2012, les combats dans un pays morcelé ont mis les locomotives à l’arrêt.

    « Quand je conduis un train, j’ai l’impression de piloter un avion ! », se réjouit Abou Abdou, cheminot de 42 ans qui a retrouvé son bleu de travail.

    « J’attends ce jour depuis six ans », s’exclame-t-il en pianotant sur le tableau de commande devant lui pour man ?uvrer sa locomotive.(...)

  • #syrie #kurdistan
    http://www.lefigaro.fr/international/2018/03/29/01003-20180329ARTFIG00386-la-france-envoie-des-renforts-au-kurdistan-syrien

    Selon une délégation kurde reçue à l’Élysée, des soldats français pourraient être déployés dans le secteur de Mambij.

    La France a décidé de soutenir ses alliés kurdes syriens. Après avoir longuement tergiversé depuis le début de l’offensive lancée par la Turquie contre les forces kurdes le 20 janvier dernier dans le nord de la Syrie, les Francais et les Américains ont finalement pris la décision de s’opposer aux menées turques en envoyant des troupes en renfort à Mambij.

    Ce déploiement vise à empêcher une offensive des forces turques, qui se préparaient à lancer une opération visant à reprendre aux Kurdes du YPG le contrôle de cette ville stratégique dans la haute vallée de l’Euphrate, dans le nord de la Syrie. L’ambassadeur de France à Ankara a été chargé de transmettre la décision au president turc, Recep Tayyip Erdogan. Le president Emmanuel Macron a reçu jeudi une délégation de représentants kurdes et arabes syriens, et leur a annoncé que des troupes françaises seraient déployées dans le secteur de Manbij. Contacté par Le Figaro, l’Élysée a indiqué « ne pas présenter les choses de cette manière » et a renvoyé à son communiqué.

    « Afrine n’est plus seule », a déclaré Khaled Issa, le représentant du Rojava en France dans une conférence de presse jeudi soir à Paris. « La France a été à la hauteur de son engagement dans la lutte contre le terrorisme ».

    La Turquie a lancé le 20 janvier dernier son armée en territoire syrien dans le canton d’Afrine. Cette opération, baptisée Rameau d’olivier, visait à déloger les forces kurdes du YPG de cette zone frontalière. Les troupes turques étaient accompagnées par des milices armées syrienne, souvent des combattants djihadistes, qui offraient une caution arabe à l’opération. Cette offensive a été lancée avec l’accord de la Russie, qui contrôle l’espace aérien dans cette partie de la Syrie. Après plusieurs semaines de combats, les forces kurdes, dépourvues d’armements lourds et d’armes, ont été forcées de se replier. Une grande partie des habitants kurdes d’Afrine ont aussi fui le canton, livré au pillage des milices arabes.

    Le president turc avait annoncé ces derniers jours son intention de poursuivre l’offensive et de chasser les « terroristes » de la zone frontalière. Ankara considere les forces kurdes des YPG, branche syrienne du PKK, le parti séparatiste kurde de Turquie, comme une organisation terroriste. Les forces kurdes, qui forment l’ossature des Forces démocratiques syriennes, ont fourni le gros des troupes au sol engagées contre l’organisation État Islamique depuis 2015. Appuyées par l’aviation et les forces spéciales américaines et occidentales, les FDS ont repris Raqqa, la capitale de Daech en Syrie, et combattent encore les djihadistes dans la region de Deir Ezzor. L’offensive turque a obligé les Kurdes à redéployer une partie de leurs forces vers le nord. On ignore encore le volume des forces qui seront déployées, ni dans quels délais, mais la décision franco-américaine est un coup de théâtre qui gêne considérablement les plans de la Turquie en Syrie

    « La France a été à la hauteur de son engagement dans la lutte contre le terrorisme »

    Khaled Issa, représentant du Rojava en France

  • Interview de l’ambassadeur russe au Liban
    http://magazine.com.lb/index.php/fr/component/k2/item/18026-alexander-zasypkin-il-ne-faut-pas-toucher-aux-fronti%C3%A8res-des

    Les risques d’une guerre israélienne contre le Hezbollah au Liban ou en Syrie sont-ils aujourd’hui plus grands ? « La situation générale sur le plan international est compliquée et l’évolution est difficile à prévoir, répond M. Zasypkin. L’équilibre de la terreur entre le Hezbollah et Israël empêchait l’éclatement d’une guerre. Nous constatons que le ton a changé ces derniers temps, aussi bien dans le cas de la Corée du Nord que du Hezbollah. Il y a des parties qui menacent de déclencher des hostilités. Les Américains contre Pyongyang ainsi que les Israéliens, qui intensifient leurs raids en Syrie contre des positions du Hezbollah. Ces actions et ces propos belliqueux peuvent avoir de graves conséquences, qui doivent faire bien réfléchir ceux qui en sont responsables. Personnellement, je ne pense pas que l’Etat hébreu choisira l’option militaire. Nous sommes plutôt dans une optique d’encerclement du Hezbollah à travers des sanctions et des pressions ».
    Dans ce contexte incertain, le référendum sur l’indépendance organisé dans le Kurdistan irakien ne prélude-t-il pas au partage des pays de la région en entités ethniques et confessionnelles ? « Le projet de partage n’est pas nouveau, fait remarquer M. Zasypkin. Avant même la fondation du califat (de Daech), l’idée d’un sunniland était évoquée non pas par les terroristes mais par des intellectuels arabes et occidentaux. Ledit printemps arabe s’inscrivait déjà dans ce contexte. Certes, les populations avaient des revendications parfois légitimes, mais d’autres acteurs possédaient des agendas politiques, économiques et sécuritaires qui aboutissaient, in fine, au démembrement des Etats. Le projet de modification des frontières au Moyen-Orient et de création de cantons confessionnels ne date pas d’hier. La question du référendum est une partie de ce grand tableau. Chaque acteur possède ses objectifs et les Kurdes ont les leurs. Au début de chaque nouvelle étape, les acteurs redéfinissent leurs priorités pour tenter d’atteindre leurs buts. La position de la Russie est claire : nous sommes catégoriquement opposés à tout changement des frontières des Etats de la région et nous luttons, militairement et politiquement, contre le partage. Dans le même temps, il faut garantir les droits des composantes ethniques et confessionnelles à travers un dialogue national. Dans ce cadre, il est important de noter que les zones de désescalade en Syrie visent à normaliser la situation et non pas à consacrer des zones d’influence. Nous sommes parfaitement conscients que ces arrangements doivent prendre fin lors de la solution politique. Cela va se produire inéluctablement car les enjeux ne sont pas régionaux mais internationaux et sont liés à l’émergence d’un nouvel ordre mondial multipolaire. Un ordre basé sur le pluralisme auquel participeraient non pas des cantons ou des pays démembrés mais des Etats souverains. C’est pour prévenir le partage de la Syrie que l’armée gouvernementale et les Russes se sont dirigés vers l’est pour reprendre Deir Ezzor, tout comme les autres batailles livrées ces deux dernières années, depuis l’intervention de la Russie, et qui ont permis de renverser les rapports de force en faveur de l’Etat syrien. Plus l’armée syrienne libère des territoires, moins la division du pays est possible. Mais le réalisme nous pousse à dire qu’il existe encore sur le terrain des forces étrangères, présentes d’une manière illégale. Cette présence suscite chez nous des craintes quant à l’avenir ».

  • Mapping the Battle Against ISIS in Deir Ezzor
    https://www.newsdeeply.com/syria/articles/2017/09/26/mapping-the-battle-against-isis-in-deir-ezzor

    In recent weeks, the so-called Islamic State has suffered a string of defeats in eastern Syria. It has lost swaths of territory in Deir Ezzor city to advancing pro-Syrian government forces and has been driven from villages and oil fields on the eastern banks of the Euphrates River by a U.S.-backed paramilitary group.

    The two simultaneous but separate offensives by the Syrian Democratic Forces (SDF) and Syrian government loyalists may have resulted in quick gains in their first few weeks, but fighting is ongoing in many parts of the province, much of which remains under complete militant control.

    ISIS still controls roughly 74 percent of the Deir Ezzor province and commands two main strongholds in the areas of Boukamal and Mayadin, south of the provincial capital. The group also controls a resource-rich region east of the Euphrates River that contains most of the oil and gas fields in the province.

    With a long and grueling campaign still underway to expel the militant group from its last bastion in Syria, Syria Deeply examines the battle for Deir Ezzor by looking at the main groups, their objectives and their advances in the region.

  • MoA - Syria - Russia Accusing U.S. Of Attacks, Abduction Attempts, Team-play With Al-Qaeda
    http://www.moonofalabama.org/2017/09/syria-russia-accuses-us-of-attacks-direct-coordination-with-al-qaeda.

    The U.S. wants to keep Syrian government forces away from the oil fields north of the Euphrates. It has plans to build and control a Kurdish proto-state in north-east Syria and control over the eastern Deir Ezzor oil would give such a state the necessary economic base.

    But the U.S. has too few proxy forces available to actually take the oil area away from the Islamic State. Only the Syrian army has enough resources in the area. The U.S. is now cheating, attacking Syrian-Russian forces, and rushing to get an advantage. According to the Russians the U.S. Kurdish proxies have even stopped the fight against ISIS in Raqqa and moved forces from that area to take the oil in the east. I doubt that Syria and Russia will allow that to happen without taking measures to counter it.

    With the al-Qaeda diversion attack in north-west Syria defeated and more reserves available the Syrian alliance should think about a fast air-assault on the oil fields. As soon as the oil wells are under Syrian government control and the ISIS presence eliminated the U.S. has no more excuse to continue the current deadly game.

    • L’armée syrienne se rapproche de l’EI à Deir Ezzor - Le Temps
      https://www.letemps.ch/monde/2017/09/17/larmee-syrienne-se-rapproche-lei-deir-ezzo

      En outre, indique cet organisme proche de l’opposition syrienne, des frappes aériennes menées par la Russie d’une part et par la coalition internationale contre l’EI dirigée par les Etats-Unis d’autre part ont tué au total plus de 30 personnes dans toute la province de Deir Ezzor ces dernières 24 heures. Les FDS se sont plaintes samedi dans ce contexte d’avoir été la cible de l’aviation russe et des forces armées syriennes. Moscou nie.

      Le chef de la diplomatie américaine Rex Tillerson a téléphoné samedi à son homologue russe Sergueï Lavrov pour discuter de la situation en Syrie. Mais le communiqué du ministère russe des Affaires étrangères qui relate l’entretien ne dit pas si les deux hommes ont discuté de l’accusation des FDS. Ni ce que Moscou a éventuellement répondu.

      Les FDS ont exhorté le même jour les forces du régime syrien à ne pas franchir l’Euphrate, considéré comme « une ligne rouge ». A Damas, une conseillère du président Bachar al-Assad a affirmé de son côté que l’armée syrienne s’en prendrait à tous ceux qui s’opposent à la reconquête du territoire national.

    • ‘I Want to Finish This’: US Special Ops Leaders Urge Washington to Stick by the Syrian Kurds - Defense One
      http://www.defenseone.com/threats/2017/09/special-report-elite-us-forces-say-dont-abandon-syrian-kurd-fighters/140984

      ““They are more like us; they are just aggressive,” this commander said of the SDF and its Kurdish contingent, the YPG, to me. “A stable group of pragmatic people.” And in the case of the Kurds, pragmatic people who see this conflict as an opportunity to govern themselves. “They want to win,” says the second commander. “You don’t spend your time pushing them into the fight — they want to go into the fight.”

      “There is a real desire to be seen as a legitimate partner,” he said of the Syrian Kurds and the Syrian Democratic Forces more broadly. “These people want to do the right thing. They see it as this is their opportunity to change the perception of them.” Indeed, the varying perceptions of Syrian Kurds and the Kurdish People’s Protection Units of the YPG are a source of tension between the State Department and the Pentagon.

      For their part, the U.S. special operators see them as partners who never leave a fight. And the mission, they say, doesn’t cost a lot for all that it offers America. “It is not a major investment,” says the second commander. “We have a working partner here and that is a rarity in this part of the world.”

      And they say there is one scenario that could turn the situation from dream to nightmare: the U.S. abandons the Syrian Kurds.

    • Syrie : l’armée franchit l’Euphrate à Deir Ezzor pour prendre l’EI à revers - Moyen-Orient - RFI
      http://www.rfi.fr/moyen-orient/20170919-syrie-armee-euphrate-deir-ezzor-ei-etat-islamique-russie-aviation

      Ce débarquement répond à deux objectifs. Le premier est de prendre à revers les jihadistes et d’encercler totalement leurs troupes qui occupent encore le tiers de la ville de Deir Ezzor. Le deuxième est de barrer la voie à la coalition arabo-kurde, soutenue par Washington, qui n’est plus, en certains points, qu’à 6 kilomètres de la rive du fleuve.

      Les Syriens et leurs alliés ont donc décidé de ne pas partager le terrain à Deir Ezzor avec les Américains et leurs alliés. Ils veulent clairement poursuivre leur progression à l’est vers la frontière syro-irakienne, et au sud-est vers les deux derniers bastions jihadistes en Syrie, les villes d’Al-Mayadeen et de Boukamal.

    • Fabrice Balanche : À Boukamal, le régime syrien est tombé dans une embuscade, comme à Qousseir - Propos recueillis par Élie SAIKALI - L’Orient-Le Jour
      https://www.lorientlejour.com/article/1084554/fabrice-balanche-a-boukamal-le-regime-syrien-est-tombe-dans-une-embus

      La question qui se poserait aujourd’hui concernerait la rive nord de l’Euphrate. Celle-ci est tenue actuellement par les FDS. Mais si actuellement le commandement est kurde, l’essentiel des combattants sont des Arabes qui ont rejoint le mouvement. Quand l’EI sera vaincu, qui contrôlera cette zone ? Selon le plan de Washington, ce sont les tribus arabes locales qui devraient contrôler cette zone sous protection américaine et kurde. Mais la question du contrôle futur de la région est encore en suspens.

  • A Deir Ezzor, Bachar écrase Daech - RipouxBliqueDesCumulardsVentrusGrosQ
    http://slisel.over-blog.com/2017/09/a-deir-ezzor-bachar-ecrase-daech.html

    Que n’a-t-on entendu sur cette armée syrienne qui, au moment où j’écris ces lignes, brise l’étau de Daech autour de Deir Ezzor ! Vilipendée par les médias occidentaux, accusée des pires atrocités, qualifiée de milice à la solde d’un clan, elle donne une claque mémorable à tous ces vautours qui l’ont accusée de servir un pouvoir “criminel” alors qu’elle combattait une vermine que les dirigeants occidentaux, ces lâches, ont nourrie au grain pendant tant d’années.
    Deir Ezzor ! Depuis trois ans, la Garde républicaine y résiste héroïquement aux assauts des mercenaires sponsorisés par tous les traîtres que compte le monde arabe. Cernée de toutes parts, elle assurait la protection des 200 000 civils restés dans la capitale provinciale malgré la violence des combats. Aujourd’hui, c’est fini ! La jonction est faite entre cette unité d’élite et les troupes du Tigre, le général Souhail Al-Hassan, ce héros de la Syrie moderne qui ne sera pas dans nos manuels d’histoire mais qui figure déjà parmi les libérateurs du pays de Cham.
    Au terme d’une brillante offensive menée dans trois directions à partir du nord-ouest, de l’ouest et du sud-ouest, les positions de Daech dans le vaste désert syrien ont été anéanties par le feu roulant des forces syriennes et alliées. La vallée de l’Euphrate en ligne de mire, ces unités mobiles ont taillé en pièces la piétaille wahhabite, elles l’ont laminée en quelques semaines. Spectaculaire, cette bataille du désert fut un succès décisif, aussi important que la libération d’Alep des griffes des milices extrémistes soutenues par l’Occident au début de l’année 2017.
    Cette victoire restituera à l’Etat syrien le contrôle de ses frontières orientales, tarissant les sources d’approvisionnement du conglomérat terroriste et opérant la jonction avec les forces armées irakiennes afin de prendre en tenailles les dernières poches terroristes. Plus largement, cette victoire militaire contribuera à rétablir la souveraineté syrienne sur l’ensemble du territoire national. C’est essentiel, car cette souveraineté restaurée est le préalable indispensable, avec l’élimination des bandes terroristes, à une réconciliation nationale voulue par le gouvernement syrien afin de mettre fin au bain de sang.
    Avec la libération imminente de Deir Ezzor, la farce tragique de l’Etat islamique va connaître son dernier acte en Syrie. Pendant des années, cette organisation criminelle a bénéficié de la duplicité occidentale, elle a traficoté avec la Turquie d’Erdogan et copieusement sous-traité les intérêts saoudo-qataris. Elle a prospéré sur le double-jeu américain, la lâcheté européenne et le cynisme des richissimes potentats du Golfe. Désormais, c’est fini ! L’hydre takfiriste va rendre l’âme sous les coups d’un Etat souverain qui a subi tous les assauts, enduré toutes les trahisons, mais qui lui administre en ce moment même la raclée du siècle.
    Quelle gifle pour les guignols de la politique et les charlatans de l’expertise ! Pendant qu’ils lui crachaient dessus, la Syrie de Bachar Al-Assad a fait le boulot, elle a tordu le cou à Daech ! Ces menteurs professionnels disaient que “Bachar ne combat pas Daech”, répétant cette absurdité comme un mantra. Ils disaient même que Bachar avait “créé Daech” de toutes pièces. Maintenant ils ont l’air fin, ces politiciens opportunistes, ces experts à la noix ! Qu’ils aillent à Deir Ezzor, ils y verront une armée nationale, une armée de conscrits qui libère son pays de l’occupation étrangère. Visiblement, ils ne savent pas ce que c’est, ou plutôt ils ne veulent pas le savoir. Pauvre Occident ! Héroïque Syrie.

  • VIDEO : The moment the first Syrian Army tanks lifted the siege on Deir Ezzor
    https://www.almasdarnews.com/article/video-moment-first-syrian-army-tanks-lifted-siege-deir-ezzor

    BEIRUT, LEBANON (6:50 P.M.) – A video has been released by Hezbollah’s media wing showing the moment the first Syrian Army tanks used by relieving forces officially lifted the siege on Deir Ezzor.

    Earlier today, the Syrian Army units outside Deir Ezzor linked up with besieged forces protecting the city, ending the three year long siege imposed by ISIS.

    Le Hezbollah sait depuis très longtemps gagner la bataille des images. Les Russes doivent donner un coup de main. L’équipe de foot syrienne marque un but à la dernière minute d’un match important (contre l’Iran : je pense que les Syriologues vont nous expliquer que le match était truqué !) #syrie

  • Syrie : une frappe aérienne de la coalition bloque un convoi de jihadistes de l’EI évacués du Liban -
    France 24 - Avec AFP - Dernière modification : 30/08/2017
    http://www.france24.com/fr/moyen-orient

    La coalition internationale a mené, mercredi, une frappe aérienne pour empêcher un convoi transportant des jihadistes de l’EI de rejoindre les territoires que contrôle l’organisation dans l’est de la Syrie.

    La coalition internationale sous commandement américain a mené, mercredi 30 août, un raid aérien pour empêcher un convoi de jihadistes de l’organisation État islamique (EI) évacués du Liban d’atteindre l’est syrien.

    « Pour empêcher le convoi de se diriger plus à l’Est, nous avons créé un cratère et détruit un petit pont », a expliqué à l’AFP le porte-parole de la coalition internationale anti-jihadiste, le colonel Ryan Dillon, évoquant une « frappe aérienne », sans préciser la zone géographique où le raid a été mené.

    Les jihadistes ont été évincés de la frontière libano-syrienne, à la suite d’une semaine d’offensive menée sur un front par l’armée libanaise et sur un autre front par l’armée syrienne et son allié du Hezbollah. Un accord avec le parti chiite leur a permis d’être évacués par bus avec leurs familles, lundi, vers la ville de Boukamal située à Deir Ezzor, dernière province syrienne aux mains jihadistes et frontalière de l’Irak.

    « Les terroristes de l’EI doivent être tués sur le terrain »
    "Les terroristes de l’EI doivent être tués sur le terrain"

    « L’EI est une menace mondiale ; déplacer des terroristes d’un endroit à un autre [...] n’est pas une solution durable », a affirmé le colonel Dillon. Et d’ajouter : « La coalition surveille le mouvement du convoi en temps réel. En accord avec les lois régissant les conflits armés, la coalition agira contre l’EI au moment et dans le lieu où elle le pourra ».

    L’accord sur l’évacuation du Liban de ces jihadistes a provoqué un tollé en Irak et soulevé des critiques de la part des Américains. Juste avant les déclarations du colonel Dillon à l’AFP, l’émissaire du président américain auprès de la coalition anti-EI, Brett McGurk, a critiqué l’accord. « Les terroristes de l’EI doivent être tués sur le terrain et non pas être (évacués) à bord de bus à travers la Syrie jusqu’à la frontière irakienne sans le consentement de l’Irak », a-t-il tweeté.

    « Notre coalition fera en sorte que ces terroristes ne puissent jamais entrer en Irak ou s’échapper de ce qui reste de leur ’califat’ chancelant », a-t-il encore averti.

  • Al-Akhbar s’intéresse au brutal changement de position de la diplomatie israélienne à propos de la situation dans le sud de la Syrie. Au départ très favorable, Israël fait part aujourd’hui de son profond désaccord. En cause, le flou qui entoure, selon Israël, la présence iranienne et celle du Hezbollah, la présence de soldats de grandes puissances pour faire tampon n’étant pas aussi certaine que certains l’avaient imaginé... Ou alors, pour certains observateurs, ce refus de l’accord trouvé est une manière pour Israël de rentrer dans le jeu relatif aux termes qui présideront à la "fin" de la crise syrienne.

    إسرائيل تضع نفسها على « خط النار الدبلوماسي » مع واشنطن وموسكو | الأخبار
    http://al-akhbar.com/node/280357

    Puisqu’on est dans ce sujet, autre article intéressant sur la situation militaire dans l’est, où les Kurdes alliés des USA n’avancent pas assez vite, tandis que l’armée syrienne s’approche des portes de Deir Ezzor, en prenant de vitesse les alliés des USA [qui sont possiblement d’accord dans la combine]. http://al-akhbar.com/node/280356

  • Ça y est, la pétition en réaction à la déclaration de Macron sur la Syrie est en ligne : Monsieur le Président, maintenir Assad, c’est soutenir le terrorisme
    http://www.liberation.fr/debats/2017/07/02/monsieur-le-president-maintenir-assad-c-est-soutenir-le-terrorisme_158105

    Avec cette magnifique perle : Deir Ezzor, Raqqa et Idleb donnés comme exemples d’« expériences démocratiques » et de « véritable terreau [pour une ] une transition politique »…

    Il existe des alternatives à Bachar al-Assad en Syrie. L’insurrection issue des groupes qui ont manifesté pacifiquement en 2011 pour la fin de la dictature continue de résister. Daraya, Douma, Alep, Deir Ezzor, Raqqa, Homs, Deraa, Idleb et bien d’autres villes insurgées ont mis en place leurs propres conseils locaux et ont organisé des élections pour leur gestion. Ce sont ces expériences démocratiques qui constituent le véritable terreau pour que puisse émerger une transition politique.

    Et puis « l’insurrection issue des groupes qui ont manifesté pacifiquement en 2011… » qui « continue de résister », magnifique.

    Le texte est en fait une compilation des truismes de la rébellitude syrienne :

    C’est bien l’abandon de l’insurrection par l’Occident qui a donné à des groupes jihadistes l’occasion de prospérer dans une partie de la Syrie.

    et évidemment :

    Le régime ne s’est pas contenté de créer le chaos permettant la prolifération de groupes jihadistes : il a adopté une stratégie délibérée et active consistant à faciliter leur implantation sur le territoire et à éliminer dans le même temps les franges les plus démocratiques de l’insurrection.

    • @aude : si ça aurait dû être aussi brillant que l’ingérence en Libye, j’aime autant pour les Syriens qu’on les en ait dispensés de cet amical et désintéressé soutien, comme le sont toujours nos interventions, au seul bénéfice des droits de l’homme et du reste ! Pour être tout à fait complet, Aude, la France s’est plus d’une fois « ingéré » dans le conflit syrien, militairement et diplomatiquement pour s’en tenir à ces deux seuls domaines.

  • Ejército sirio toma Rusafa y bloquea el paso de los kurdos apoyados por EEUU hacia Deir Ezzor – Sitio de Al Manar en Español
    http://spanish.almanar.com.lb/95350

    Quelques kms seuelment mais, de fait, si les Kurdes veulent passer par là pour se rendre à Deir-Ezzor, il leur faudra combattre l’armée syrienne, et il semble que ce ne soit pas au programme (sans couverture aérienne en plus). Bien entendu, c’est exactement là que l’avion syrien a été abattu par les USA.

    #syrie

  • Abdollahian : Our Missiles on ISIL Headquarters in Syria “Soft Warning” – Al-Manar TV Lebanon
    http://english.almanar.com.lb/288704

    Adviser to the Iranian parliament’s speaker for international affairs, Amir Hussein Abdollahian said that the Iranian missiles launched on ISIL headquarters in eastern Syria was “just a soft warning.”

    Les Iraniens montrent les dents... Représailles contre les attentats de Téhéran disent-ils, mais on peut aussi penser que cela s’inscrit dans la lutte pour la définition de la carte militaire syrienne une fois l’EI liquidé. Surtout si les USA se mettent à descendre les avions syriens qui s’en prennent aux Kurdes qui attaquent les internationaux de l’EI ! (US releases statement accusing Syrian jet of attacking Kurdish forces : https://www.almasdarnews.com/article/us-releases-statement-accusing-syrian-jet-attacking-kurdish-forces) Après la jonction irako-syrienne à la frontière commune, Rakka et Deir Ezzor sont les principaux enjeux avec Abu Kamal sans doute.

    #syrie

  • Syrie : les enjeux cruciaux de la bataille du désert - Hebdo - RFI
    http://www.rfi.fr/hebdo/20170526-syrie-enjeux-cruciaux-bataille-desert-hebdo-irak-etats-unis-hezbollah-f

    Conscient que cette bataille est cruciale pour lui, le Hezbollah s’y est engagé sans retenue. Le 11 mai, le chef du parti chiite a annoncé le retrait de ses troupes de la frontière orientale du Liban, après le départ des derniers rebelles dans le cadre d’accords d’évacuation. Il a remis toutes ses positions à l’armée libanaise et les troupes retirées ont été redéployées dans le désert. L’agence de presse iranienne Fars affirme que 3000 combattants du Hezbollah participent à la bataille de la frontière syro-irakienne.

    Selon Elias Farhat, l’armée syrienne et ses alliés avancent aussi vers la ville de Sokhna, à 80 kilomètres au nord-est de Palmyre. Cette localité est un avant-poste fortifié du groupe EI pour la défense de Deir Ezzor, où une garnison de 7000 hommes des forces du régime est encerclée par les jihadistes depuis trois ans. Briser le siège de Deir Ezzor est un objectif prioritaire pour le régime et ses alliés afin d’arriver à la frontière.

    Dans le même temps, du côté irakien, les « Forces de la Mobilisation populaire », une armée parallèle pro-iranienne à majorité chiite, ont intensifié leurs attaques contre le groupe EI dans la région frontalière. Mardi 23 mai, elles ont pris la ville de Qayrawan, à l’ouest de Mossoul. « Le but des Iraniens et de leurs alliés syriens et irakiens est d’ouvrir un corridor terrestre suffisamment large reliant les trois pays entre la région à majorité kurde, au nord de la Syrie, et al-Anbar (à majorité sunnite) en Irak, précise le général Farhat. Al-Tanaf est aussi un objectif, même s’il est plus difficile à atteindre à cause de la présence des Américains. »

    Face à cette bataille aux enjeux cruciaux, quelle est l’attitude de la Russie ? Dans un communiqué diffusé par des médias pro-régime, une « source de sécurité » à Damas a assuré, lundi 22 mai, que « l’offensive en direction de la frontière syro-irakienne fait l’objet d’une entente russo-iranienne ». L’aviation russe participe d’ailleurs activement aux opérations en cours dans le désert contre l’organisation EI. Le vice-ministre des Affaires étrangères, Guennadi Gatilov, avait déclaré que le bombardement de la colonne syrienne près de la frontière jordanienne est « absolument inacceptable et constitue une violation de la souveraineté de la Syrie ».

    Dans les circonstances actuelles, et au regard des enjeux, les risques d’une confrontation directe entre les puissances régionales et internationales qui s’affrontent en Syrie n’ont jamais été aussi élevés.

  • Les États-Unis bombardent un convoi lié au régime syrien près de la frontière jordanienne - L’Orient-Le Jour
    https://www.lorientlejour.com/article/1052547/les-etats-unis-bombardent-un-convoi-lie-au-regime-syrien-pres-de-la-f

    « La coalition a frappé des forces pro-régime (...) qui posaient une menace pour des forces américaines et des forces alliées (syriennes) à At Tanf » près de la frontière jordanienne, a déclaré le colonel Ryan Dillon, un porte-parole militaire de la coalition en Irak. Un autre responsable américain a précisé à l’AFP, sous couvert de l’anonymat, que les forces pro-régime frappées étaient « probablement » des milices chiites, sans être plus précis sur leur identité.

    Pour que les choses soient claires, les forces pro-régimes, si je ne m’abuse, ce sont celles du hezbollah :

    http://en.farsnews.com/newstext.aspx?nn=13960228000475
    Hezbollah has deployed 3,000 forces in al-Tanf region to participate in Badiyeh operations in Syria. Most of the forces had earlier been stationed in al-Zabadani, Madhaya and Sarqaya regions as well as the Western parts of the town of al-Tofail and Brital, Ham and Ma’araboun heights in the Eastern mountain.

    Other units, including the Syrian army allies, have also been sent to this front to block the way to the US-backed forces.

    A well-informed military source said on Wednesday that the Syrian army forces will not allow the US and its western or regional allies to create a buffer zone in the Southern part of the country as a safe heaven for militants’ activities.

    Dès lors, on comprend mieux le titre de la dépêche AFP juste après : https://www.lorientlejour.com/article/1052550/syrie-washington-ne-cherche-pas-a-simpliquer-dans-la-guerre-civile-ma - Syrie : Washington ne cherche pas à s’impliquer dans la guerre civile (Mattis)

    ... avec toutes les circonvolutions à propos de la coopération avec les Russes dans l’artcile de l’OLJ donné en lien : "La coalition a tenté de dissuader le convoi de continuer sa progression, selon plusieurs responsables américains. Elle a utilisé notamment la ligne de communication spéciale mise en place avec la Russie, alliée du régime syrien, pour éviter les incidents entre avions russes et avions de la coalition dans le ciel de la Syrie. Il y a eu des « tentatives apparentes de la Russie » pour dissuader les forces bombardées de se diriger vers At Tanf, a indiqué le colonel Dillon. La coalition a aussi envoyé des avions effectuer des tirs d’avertissement avant de procéder aux frappes, a-t-il précisé. Selon le responsable de la défense anonyme, les véhicules bombardés comprenaient notamment un char et un bulldozer."

    RT les reprend d’ailleurs fort aimablement, quasiment mot pour mot : https://www.rt.com/usa/388864-us-led-coalition-confirms-strike-syria

    Un simple dérapage (6morts, 2 tanks) ou juste le début de quelque chose de beaucoup beaucoup plus grave. Trump va-t-il avoir le temps d’arriver en Arabie saoudite ce week-end avant une grosse explosion ?

    #catastrophe_arabe plus que jamais

  • Syrie : frappe de la coalition contre un dépôt d’armes chimiques de l’EI, des victimes
    https://fr.sputniknews.com/international/201704131030880171-frappe-coalition-syrie-armes-chimiques-daech

    Si la nouvelle est confirmée, ce qui n’est pas gagné, quelques experts et autres éditorialistes vont devoir récrire leur copie. Les politiques, eux, s’arrangeront comme ils savent le faire.

    La coalition internationale a porté mercredi une frappe contre un dépôt d’armes chimiques appartenant à Daech à Deir ez-Zor, faisant des centaines de victimes, a annoncé l’État-major syrien. L’incident prouve que les terroristes possèdent des armes chimiques, affirme l’armée syrienne.

    Une frappe portée mercredi par la coalition menée par les États-Unis contre un dépôt d’armes chimiques appartenant à Daech dans la région de Djalta, près de la ville de Deir ez-Zor, a provoqué l’intoxication de centaines de personnes, a annoncé le commandement des forces armées syriennes dans un communiqué diffusé par l’agence syrienne Sana.

    Selon l’agence, le raid aérien a été mené mercredi à 17h30 (heure locale) et a permis d’éliminer un grand nombre de terroristes de Daech, y compris plusieurs étrangers engagés à leurs côtés.

    Suite à la frappe, « un nuage de fumée blanche, puis jaune s’est formé » au-dessus du lieu de l’attaque, « ce qui témoigne de la présence importante de substances toxiques », indique le document dont Sputnik a obtenu une copie. « L’incendie sur les lieux a duré jusqu’à 22h30 », précise le communiqué.

    Selon le document, l’intoxication aux substances chimiques a fait des centaines de morts, y compris par asphyxie, parmi les terroristes ainsi que parmi les civils.

    « Ce qui s’est passé prouve que les terroristes des Daech et du Front al-Nosra possèdent des armes chimiques et sont capables d’en faire usage, de les obtenir et de les transporter », lit-on dans le document, qui rappelle une fois de plus que les troupes gouvernementales ne possèdent pas d’armes chimiques.

    Les États-Unis démentent de leur côté avoir mené une frappe près de Deir ez-Zor.

  • Romain Caillet | « L’Etat islamique va s’installer durablement en Irak et en Syrie »
    http://www.saphirnews.com/L-Etat-islamique-va-s-installer-durablement-en-Irak-et-en-Syrie_a19229.h

    Aaah la mémoire du Web ! Ces propos d’un expert ont deux ans et demi. #bêtisier

    Donc l’EI pourrait s’installer durablement en Irak ?
    Romain Caillet : Oui, je pense que l’EI va s’installer durablement. Les sunnites savent que l’EI est leur seul espoir de redevenir maîtres chez eux. Ils ont certes un désavantage démographique en Irak, mais c’est l’objectif de l’EIIL que de fusionner avec la Syrie pour inverser le rapport démographique et avoir un Etat sunnite à cheval entre l’Irak et la Syrie. Peut-être que des gens plus modérés que l’EI prendront leur place. Mais je pense que le Moyen-Orient tel qu’on le connaissait est fini, que les frontières régionales issues des accords de Sykes-Picot (signés en 1916 entre la France et la Grande-Bretagne pour le découpage des frontières du Moyen-Orient, ndlr) n’existeront plus.

    L’idée que les frontières vont disparaître n’est pas nouvelle. Walid Joumblatt, le leader druze, avait déjà émis cette idée quand a commencé la révolution en Syrie (en 2011, ndlr). Et Robert Fisk l’a reformulée dans un article pour The Independant, il y a quelques semaines, quand l’EI a rasé au bulldozer un mur de sable qui faisait office de frontière entre l’Irak et la Syrie.

    L’EI va-t-il aussi durablement s’installer en Syrie ?
    Romain Caillet : Bien sûr. Actuellement, ils occupent quasiment 90 % de la région de Deir Ezzor (est de la Syrie, ndlr). Globalement, la vallée de l’Euphrate, où il y a des populations culturellement très proches des sunnites irakiens, est clairement sous contrôle de l’EI. Il y a une cohérence historique dans un Etat comme celui-là. En Syrie, la vallée de l’Euphrate est peuplée de tribus qui ont été sédentarisées de force avec le tracé des frontières, et ces tribus nomades étaient à cheval sur l’Irak et la Syrie. J’ai fait des entretiens avec des gens qui ne sont pas proches de l’EI, mais qui se sentent appartenir à une tribu, qui se sentent bédouins avant d’être Syriens et ils se sont toujours sentis plus proches des Irakiens que des Syriens de Damas ou du littoral, sans même parler de la question confessionnelle. Parce qu’au-delà, il y aussi une culture qu’ils ont en commun.

    Après, est-ce que l’EI a la possibilité de s’installer plus loin que la vallée de l’Euphrate ? Je ne le sais pas. A l’ouest d’Alep et dans la région d’Idlib, où les populations se sentent pleinement syriennes, et pas du tout proches des Irakiens, il y a un gros rejet de l’EI.

  • Pourparlers d’Astana : le point sur les combats en Syrie - Moyen-Orient - RFI
    http://www.rfi.fr/moyen-orient/20170123-pourparlers-astana-le-point-combats-syrie?ns_campaign=reseaux_sociaux&n

    A Deir Ezzor, dans l’est de la Syrie, la bataille qui fait rage sans interruption depuis dix jours a déjà fait, selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme, plus de 250 morts, dont une cinquantaine de civils.

    Dans cette région proche de la frontière avec l’Irak, l’armée syrienne a reçu d’importants renforts du Hezbollah libanais, acheminés par voie aérienne. Les troupes gouvernementales tentent de rétablir la jonction entre les deux parties de leur enclave de 30 kilomètres carrés, coupée en deux par les jihadistes. Elles sont appuyées par des vagues incessantes de raids menés par les avions russes et syriens.

  • Daech progresse aux portes d’Israël et de la Jordanie | Un si Proche Orient
    http://filiu.blog.lemonde.fr/2017/01/19/daech-progresse-aux-portes-disrael-et-de-la-jordanie

    Daech progresse aux portes d’Israël et de la Jordanie

    La chute d’Alep a permis à Daech, non seulement de reprendre Palmyre et de progresser à Deir Ezzor, mais aussi de consolider ses positions dans le sud de la Syrie.
    . . .
    Quelles que soient les rodomontades du dictateur Assad et de ses soutiens à l’étranger, c’est bel et bien Daech qui tire les plus grand bénéfices de la chute d’Alep : il continue de menacer l’Europe, entre autres, à partir de Rakka ; il a pu frapper la ville jordanienne de Karak, la veille de la tuerie du marché de Noël de Berlin ; il consolide sa présence au carrefour des frontières entre Israël, la Jordanie et la Syrie, à l’Ouest, ainsi que dans le triangle Syrie-Jordanie-Irak à l’Est.

    Un résultat aussi désastreux augure le pire pour 2017.

    #EI #daesh #Syrie #Jordanie #Israel #Filiu

  • Syrie-Irak : Frappes contre l’EI : le Danemark retire ses F-16
    lematin.ch | (Créé : 02.12.2016, 16h44)
    http://www.lematin.ch/monde/frappes-ei-danemark-retire-f16/story/25753851

    Les F-16 du Danemark sont engagés dans la coalition menée par les Etats-Unis contre l’organisation État islamique (EI).

    La décision de se retirer a été rendue publique trois jours après la révélation par le Pentagone des erreurs qui ont amené les armées de l’Air américaine, australienne, britannique et danoise à tuer des combattants du régime syrien confondus avec des djihadistes, le 17 septembre près de Deir Ezzor (est de la Syrie).

    La mission ne sera pas prolongée mais une vingtaine de soldats seront envoyés en plus. Ceux-ci, selon le ministre de la Défense Claus Hjort Frederiksen, apporteront des compétences en ingénierie et construction. « Ils formeront les forces irakiennes, entre autres choses, à des opérations de déminage, et renforceront notre contribution actuelle dans la formation », a-t-il souligné dans un communiqué.

    Depuis l’été, le Danemark, qui est membre de l’OTAN, fournit à la coalition sept F-16, un avion de transport militaire C-130J qui sera aussi retiré, et 400 militaires, dont 60 membres des forces spéciales. (ats/nxp)